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• « MAGHREBOPATHIE,
VISIONS ÉPARSES ENTRE MYSTIQUE CIVISME »• Entre Maghrébins, philosophons un peu. Voici une lettre ouverte avec nos vœux d’être lus par le plus célèbre et le plus sémillant de nos voisins, SE le Président Si Abdelaziz Bouteflika.
• DES LOIS PHYSIQUES AUX LIBERTÉS.• Les corps et les lois, propriétés physiques, automatismes et conséquences, applications aux destins. Le destin et les règles, les propriétés et le mouvement. Je remue le café, je vois fondre les morceaux de sucre et se déliter. Selon quels sens et quelles séquences les lois de chimie physique, de chaleur, de concentration des substances, de poids, de pression interne, de volume, de composition chimique ou d’attraction de la pesanteur, ces corps inanimés observent-ils leurs destinés et appliquent-ils ce pourquoi et ce comment ils sont faits ? Selon quels sens, eau chaude et cristaux de sucre, dans le volume qu’est le verre et le sens giratoire des mouvements que j’impulse à la cuiller, se fondent et se délitent-ils ?
• Autrement dit, selon quels destins ces composés agissent-ils ? Le sens inscrit dans leurs compositions et les mouvements induits sur eux en leur présence ! Quels destins quels prescriptions, quelles règles ou propriétés suivent-ils ? Peut-on parler du destin des choses, tel qu’il est inscrit dans leurs propriétés ? Suivent-ils des lois précises ou aléatoires ? Y a-t-il un certain ordre dans le chaos ? Ces mouvements de l’eau sous la force et les mouvements que la main impulse, c’est votre cerveau en fait qui les transmet indifféremment aux molécules d’eau qu’il agite, par le biais de la cuiller pour sucrer votre café! Par certains côtés, il y bien une pagaille à l’intérieur des lois qui nous déterminent et avec lesquels nous agissons sur d’autres mécanismes !• LE HASARD ET LE DESTIN
• Peut-on appliquer ces réflexions à Laâyoune, à notre cause nationale, au chaos de Gdim Izik ? Quelles est la part du destin et celles de la surprise, celles de la volonté des uns et des autres ? La part du destin ? C’est à dire de l’usage de ces photos abusives et de ces images vidéo montrant des armes chez les mercenaires infiltrés ! Et, quelle est cette part du hasard, dans notre actuelle prouesse ou prestation diplomatique ?
• Les lois canalisent des propriétés dans un ensemble cohérent ! Oui, il arrive qu’un mouvement brouillon, verse le café sur votre jupe ou sur la main de votre gosse ! Des incidents, des accidents, dus à un empressement, un détour de l’attention, une interaction cumulée, intercurrente, à une imprécision momentanée de celui qui agite la cuillère ! L’effet de la montre qui approche, du temps et des retards qui font qu’une action déterminante, erratique inattendue, influence en bien ou en mal , des propriétés, attendues ou savamment établies !• LA MYSTIQUE DU COQ À L’ÂNE
• Quelles directions donnent-t-ils à ses molécules de café? À ces milliards de cafés que boit l’humanité chaque matin ? Quelles influences des planteurs, des commerçants aux torréfacteurs ? Quelles sommes d’actions physiques ou mathématiques, déterminent les actions chimiques ? Quelles actions donnent le goût ou le parfum, la cohésion à un met, à un acte, à une pensée une humeur, à une action ! A un destin ! A la liberté, au hasard ? A une responsabilité !
• PARABOLE
• Où commence la malfaisance algérienne où commence ce qui est pris comme notre impuissance ou considéré comme notre force tranquille ?
• Ainsi tournent les étoiles, se meuvent les nuages et ‘’flottent’’ dans leurs dérives les vagues et les continents ! Ainsi coule l’eau sur ses cailloux de rivière, ainsi vont les poissons dans l’océan et que tombent en cristaux la neige aux sublimes cristaux sur les toits de vos maisons ! Ainsi le chameau foule-t-il les sables et que tombe une plume de cigogne sur la terrasse de ma maison ! Ainsi vous regrettez d’avoir à tuer ces moustiques menaçants et que vous vous félicitez d’épargner cette araignée qui grimpait dans la baignoire et que votre doigt salvateur, qui ne craignant pas sa piqûre lui donne le doigt, la main secourable pour la laisser en vie !
• Ainsi vont ces avions, ces insectes, ces oiseaux ou ces anges, inventés ou qu’on ne voit pas !
• Cette balle qui bombe au ralenti dans un film, cette bulle de savon, aux couleurs d’arc-en-ciel, cette voix aigre, cet air arrogant et cynique de l’acteur, ces cris, cet éclair, cette fumée de cuisine qui va vous faire tousser, cette feuille de rose qui jonche la table, déterminent des actes et causent des conséquences !
• Ces cheveux qui percent de votre crâne, ces flammes que vous voyez à l’écran, celle des films et celles des infos, qui calcinent les restes d’un terroriste qui s’est ‘’autodafé’’, faute d’exploser dans un restaurant, autrement dit, ces résistants qu’on voit d’un œil et retors et sordide, négationniste, quand on sait qu’il faut sauver les héros pour ne pas en faire des martyrs et donne leurs droits et leur dignité, aux peuples soumis comme aux putes, aux baleines et aux homos !• DE L’ARROGANCE A LA HOGRA
• La richesse et la fierté de nos frères se conjuguent à nos dépens ! Le monde est fait de bien des choses, différentes, complémentaires ou contraires ! Ne jugeons plus les dérives qui ont des causes qui nous dépassent ou réclament notre compréhension et notre justice sinon nos égards ! Ne jugeons pas du haut notre jeunesse, les faiblesses ou de la supériorité consentie nos cultures et autres 4×4, les piétons et les pauvres ! Discriminations, exclusion, marginalisation, colonisations, prédations, haines et extrémisme ! N’oublions pas ceux qui ont froid et faim, ceux qui sont loin et incultes, alors qu’ils ne sont qu’à quelques km de nos demeures ! Ceux qui ont besoin de médicaments, d’école et de route, de chaleur et de médecins. Pour vivre et comprendre, penser et partager !
• Destins complexes enchevêtrés, des ces milliards d’êtres humains, et des milliards de cellules et de micro éléments qui les composent, les structurent et les déterminent, pour penser, agir, manger, boire, forniquer se battre et espérer ! A quoi pourrais-je être utile à Dieu dans l’Au-delà, à mon pays, ou à ma cité, si je ne sais pas ce que je fais sur terre ? Et que je n’ai développé ni valeur civique ni valeur céleste !• LE CIVISME NOUS INTERPELLE
• On se serait crus morts, si ce n’était la superbe Marche Blanche de Casablanca ! Cette manifestation salvatrice a été quasi instantanée, avec ses millions de marcheurs, toutes tendances concernées, qui ont répondu à l’appel de la conscience patriotique. Nous devons aussi saluer les nombreux repentis et autres sahraoui, revenus dans leurs terres ! Nous devons à Mustapha Salma, une salvatrice résurgence ! L’erreur de Gdim Izik a été savamment positivée !
• La retenue louable des forces de l’ordre, leur sacrifice est unique dans le monde, de nos jours. Unique dans son genre, il est une marque de générosité à nulle autre pareille. Nous devons à ces hommes un fier réveil de nos valeurs de notre démocrate, de notre prestige et de notre sens du renoncement. Une diplomatie paradoxale, qui a déstabilisé ces pays et cette presse, qui nous haïssent. Mais cette héroïque manœuvre, ce démantèlement perspicace, d’un campement sauvage inverti par les hordes barbares, n’a pas été suffisamment assénée pour défendre nos droits, notre démocratie et notre cause.
• Mieux, nous devons saluer plus sérieusement ceux des héros désarmés qui ont consenti l’ultime martyr. Nous sommes, à ce jour en deçà de l’orgueil que nous leur devons et du devoir d’illustration qui est le leur. A fortiori, les erreurs des mercenaires, leur dessein contraire nous sert. Leurs maîtres à penser sont confondus. Eux, qui en temps de paix et de dialogue, ont abusé de nos voies pacifiques pour nous berner ! Eux qui ont osé frapper à l’intérieur du Maroc, en profitant de la tolérance des édiles, de leur écoute et de la nonchalance, dit-on des cadres locaux !• SUPERCHERIE BARBARE ET IGNOBLE USAGE DE FAUX
• Si ce n’étaient les erreurs adverses, de la presse espagnole liguée à la connerie du Sénat espagnol et du Parlement Européen, on se serait crus morts ! Diplomatiquement éteints! Morts sur le plan du nationalisme ! Seule l’Armée et le Roi nous protègent ! Heureusement, nous sous sommes ressaisis ! Mais le combat est prégnant ! Le dialogue entre responsables et concernés aussi ! Et ça va de la Prusse voisine à cette t partie du vieux Maroc, devenue à force de coupures et de fractionnement de la nation, la Maurétanie ! Qui sont les Maures, ô Histoire de nos pays ? France, Espagne, Amérique, Angleterre, Allemagne, vous qui fûtes témoins de nos retards et de nos avancées, sous vos joug et vos jupons, dites-nous qui nous étions avant de nous pénétrer et de nous séparer ! Rendez à notre avenir à notre Histoire, sa géographie et son territoire !
• Il faut que le patriotisme ressuscite de ses réserves diaphanes ! Et qu’on laisse l’esprit de la Marche Verte continuer son imprégnation et sa vitalisation des foules ! Avec la musique et les sports, longtemps négligés, les concerts qui reviennent, les fêtes dans les stades qui avaient disparu, et les activités culturelles sur les places publiques ! Tout ce qui doit être fait pour sortir le pays de la nonchalance, afin d’empêcher les jeunes de se désolidariser du destin commun ! De s’oublier dans une fausse paix, derrière les murs que seuls les militaires et leurs familles, consentent !• CITOYENNETÉ ET CIVISME
• Cet autrui, d’outre-rue, du rural, d’outre-mer ou du Sahara, votre frère du Polisario monsieur le ministre de la Santé, votre alter égo monsieur le président de l’Algérie, Gbagbo de Côte-d’Ivoire qui ne veut pas céder sa place, votre interlocuteur de Palestine, monsieur Netanyahou, tous ont besoin de vous comprendre. Vous lui tendez la main, vous attendez qu’il fasse un effort au lieu de la mordre, comme l’araignée que vous avez sauvée de l’eau du bain ! Qu’on fraternise un peu, bon Dieu avant de crever !
• Tout en lui souhaitant longue vie à notre très cavalier et admirable marocain d’Algérie, Dieu sait que Bouteflika est malade ! Peut-Il dès lors, dans Sa grâce, souffler au Président de faire faire la paix entre frères et d’influencer ses militaires, avant de l’emporter dans Ses vastes jardins ?
• Dieu en sait quelque chose : est-ce inutile d’espérer ? Inutile d’utiliser ces formes de dialectique qu’est l’espoir ? Lutter, nous réserve des surprises. Des actes inouïs ou une rhétorique qui ne figurent pas dans nos équations diplomatiques ou notre gymnastique politique ! De quoi faire la paix, des braves et des intérêts bien compris, ou des secousses telluriques ! Des déflagrations passées d’époques, propres aux reptiles en manque de repères, d’espoirs ou d’innovations !• DROITS, SÉRÉNITÉ ET FORCE TRANQUILLE
• Et Dieu dans tout ça ? Qu’Il nous en préserve de ces méfaits et de ces erreurs ! Car les grandes puissances mêmes si elles nous arment ne voudraient pas sacrifier la paix en Méditerranée ! Toutes leurs guerres aux menées orientales n’ont servi à rien ! On le voit chaque jour sur les écrans ! Et des gens, les leurs de militaires, les américains ou les ‘’alliés‘’sont les premiers qu’on déplore…Les autres, les autochtones ne comptent pour rien !
• De notre part, nous voulons rester ouverts, parce que libres et polis. Tenaces pour un minimum de respect et d’égards indus, car nous ne voulons pas être bêtes et méchants. C’est aussi une question de frontières, terrestres et célestes, d’ouvertures et de dialogue directs ! Ce afin de permettre une évolution meilleure pour les nôtres, autour de la multiculture et de l’égalité des chances, pour tous. Un climat pacifique et non de suprématie ou de sécession, une volonté mature pour collaborer et se développer, offerte à tous les peuples de la Méditerranée !
• OUTRE FRONTIÈRES, LA SUITE LEPÉNISTE
• Que dire de Dieu, des lois qu’il imprime à sa création et de la prédation de Son nom ? Que dire de la religion, quand les hommes, les religieux comme les séculiers, instrumentalisent, d’une façon directe ou antinomique, Dieu et ses valeurs, pour assoir leur pouvoir et leurs plans sur leurs assujettis! ? Les parties et les pays, qui s’attribuent la religion et l’instrumentalisent, ne voient que la prééminence de dieu pour s’offrir sa grandeur en prime et opprimer ses ressortissants !
• Que dire de Dieu quand ce sont Ses lois, parasitées par celles des hommes, ou déviées de leurs fonctions, qui tissent le destin des hommes sans les laisser libres, de leurs opinions, de leurs pensées, de leurs crédos ou de leurs mouvements ? Quelles libertés invoquer et quelle responsabilité assumer, face aux destins dessinés par les hommes ? Et puis, de quelles libertés profiter dans les démocraties ainsi pensées ? Les règles du bâton et de la carotte du paradis et de l’enfer, des morales laïques ou religieuses se posent dans tous les états du monde.
• Certains ont trouvé dans la laïcité un espace négationniste. Leur dite laïcité, leur dite Démocratie, leurs dites Libertés et autre Égalité, blanche riche et exigüe, empêchent bien des gens de prier. Ce, à même la rue. Dieu, n’est-il pas dans la rue, aussi ? Ou que cette partie de son règne fasse désordre ? On accepte par là, que Dieu soit crucifié et qu’il meure, qu’il ressuscite ou s’élève au Ciel…Mais on empêche les gens de se courber par respect, partout où Il se trouve, l’immortel et vrai DIEU !• SAUVEZ LES HÉROS POUR FAIRE MOINS DE MARTYRS
• N’y-a-t-il de dieu que dans les beaux temples et les cathédrales ? Est-il absent des rues et des parages des garages ? Là où les moyens de fortune permettent à ces ‘’gueux’’, exploités, honnis et écrasés, ailleurs, là où ces gens fricotent avec le misérabilisme civique, de se rassembler, pour le louer, en se penchant par respect ! Si l’érection des minarets et l’édification des mosquées les dérangent de façon vitale, autrui les empêchent-il à ce point de dormir en paix !
• Oui ça fait sale, ça gène le confort des biens pensant qui interdisent aux gens de construire des mosquées en bonne et due forme dans leurs pays ! Oui, ils les empêchent et par référendum tranchés, s’il vous plaît Ça se passe en Suisse, le pays, la banque à blanchiment, le pays politiquement neutre, là où les ‘’richesses délocalisées’’, les trésors exilés, des pays sous-développés s’amoncèlent ! Aujourd’hui ils sont appelés plus loin ! Ces temples, d’un autre nom, mais dressés au même Dieu que Le leur, les outrent et les dérangent ! Ils n’ont rien compris, certes !
• Leur esprit fermé est devenu hostile et intolérant. Ces gêneurs du confort outragent par leurs génuflexions, leurs foulards et leurs épouses, les gens bien pensant de la politique du pays des libertés en tous genres et des lumières blafardes ! La fracture coloniale et esclavagiste persiste dans le cœur des psychopathes de la politique !
• Des fléaux de dieu, les partisans extrémistes de la Droite, sont des terroristes de la pensée unique. Outrageux, arrogants, agressifs et haineux, ils ne voient dans la culture et le dialogue des religions, qu’un vain mot, un discours pour abuser les gens du Sud. Une parodie de la mondialisation ! Ils ne voient cette universalité œcuménique et économique qu’est la mondialisation que dans un seul sens ! Le leur. Celui de leur seul profit.
• Le profit unilatéral, la liberté de circuler et d’investir que dans un seul sens. La lucarne borgne qui leur sert de raison, ne traverse pas la barrière (méningée) des espèces ! A ce titre, les fossiles éborgnés et leurs descendants de parmi les reptiles ne sont pas prêts d’évoluer, même s’ils raclent profondément dans la crasse, raciste et xénophobe, des voix pour les figer dans leurs urnes rouillées !• SAUVEZ LES JEUNES DE L’EXCLUSION
• Autant que les Partis du Centre et de Droite, perclus dans leurs registres du commerce, les Socialistes ont-ils démissionné ? La question est valable partout, même ici ! De fractures en séparation, de scission nationaliste en parachutages, de connivences en compromissions, les forces alternatives font défection et fuient les rangs. Chacun veut être patron d’une sous-unité, d’un néo parti, qu’il crée pour sa convenance. Ce, faute de préparer les jeunes et de rester solidaires des bases, faute de rajeunir les chefferies en limitant les années de présidence ! De solitude en solitude, jusqu’à l’anéantissement ! Seules les Droites seraient-elles éternelles ?
• Les grands rassemblements, cette nécessité vitale, qui a fait les USA, l’ancienne URSS, l’actuelle CEE et la promise UMA, cette notion, cet objectif de cohésion et de combat pour le développement, n’est pas valable seulement aux States et en en Europe, mais aussi à l’endroit de nos Partis qui voudraient gagner en hommes, en cadres, en jeunes, en respect et en pouvoir !
• Des vérités aux vénalités, de la vanité aux rivalités, la seule Jouvence, la seule vitalité est dans les réformes et les adaptations au temps, non dans les déchirements et à la multiplication stupide et dérisoire de partis sans référentiel distinctif aucun et sans programme particulier. Des Partis sans noms, quasiment anonymes, à force d’être devenus nombreux. Cette indécence qui dessert la Patrie et le civisme a-t-elle un nom ? Oui, l’opportunisme ! Des partis égotistes qui déçoivent et découragent les jeunes. Les forces vives sont oubliées. Tout un capital est exclu, marginalisé ! Cet état équivaut à une honte pour les militants arrivés à maturité ! Les leaders sont fatigués, perclus à force de lutte. Les horizons de jeunisme du pouvoir n’ont pas encore profité aux jeunes !
• Les jeunes et les moins jeunes, perclus dans un système d’enseignement cynique et pervers, aux multiples langues, surtout mal employées, voient les intempéries dévaster leur monde ! Les eaux qui emportent, maisons, terres, routes et villes, leurs structures. Ils chôment et voient le travail qui se raréfie, le pouvoir d’achat qui s’emporte. Ils savent qu’ils n’ont pour la plus part aucune possibilité de fonder un foyer, de se soigner correctement ou de se loger dignement. Ils voient la basse corruption partout ravager leur pays, qui est des plus mal classés.
• Ainsi, c’est avec raison et sans espoirs qu’ils quittent virtuellement leur pays ! Si la drogue les aide, un peu quand ils peuvent l’acquérir, pour certains, c’est souvent c’est sans artifice qu’ils répudient terre, partis, politique, citoyenneté et religion !
• Ils font abstinence de politique, de sports, d’études, voire d’opinion. La patrie, ils slaloment dessus, pour ne pas faire dans les étrons ! Ils l’ont mentalement, organiquement, quittée pour ne pas dire qu’ils la pensent vendue aux riches et aux étrangers. Le patriotisme, le nationalisme, sont devenu hors mode. La mode, c’est lahrig ! C’est là que résident leurs dieux ! Ce sont pourtant ces hommes de demain que les Partis devraient coopter. Mais, c’est pourtant cette masse qui déserte les urnes ! Totalement oubliée, hors séquence des élections ! Ce n’est pas avec ça, avec cette précarité là, avec cette vanité des rangs, avec cette sordide disparité, qu’on fera l’union autour des principes sacrés et que s’opérera la défense du territoire et de l’union ! L’Union Maghrébine !• AIMEZ VOTRE NATION, DIEU VOUS LA RENDRA !
• DR IDRISSI MY AHMED
• KENITRA, LES 26-31 DÉCEMBRE 2010
Episode I : la fête et l’inconnuDans la demeure de Boudhab, il y avait une grande réception en l’honneur des amis et des connaissances de la famille. En fait, on fêtait dix années de mariage. Aussi, on est venu pour présenter les meilleurs vœux au couple. Ce dernier, bras dessous et bras dessus, allait de table en table en souhaitant la bienvenue aux uns et remerciant les autres .Tandis que des chuchotements d’admiration et peut-être bien de jalousie marquaient leur passage.
Les amis de monsieur Boudhab étaient nombreux et la plupart étaient des célébrités. Il y avait le professeur Mahraz connus par ses nombreuses recherches et ses inventions dans le domaine de l’agriculture notamment la pomme de mer et le chou-rose .Etait présent aussi, le médecin Fanidi spécialiste dans tous les voies entre autres : urinaires, sanguinaires, publiques et secondaires…sans pourtant oublier la voie lactée et la voie orale. Cependant, son seul vrai exploit : la guérison d’une brebis galeuse en la transformant agneau doux.
Le monde de la littérature était aussi présent : Abou Kassid , le célèbre poète connu par ses mille vers, Tartari , l’écrivain et le romancier dont les œuvres ont été traduites dans toutes les langues y compris l’espéranto et le yiddish, le grand chroniqueur Lafhamat qui abordait tous les sujets sans pourtant atteindre la marge d’ un seul .
Les acteurs ne manquaient pas.Aussi, on remarqua la présence de l’acteur Français John Aimard, le Chinois Jess Wi Ching Wa ,l’Egyptienne Amal Hayaty , l’Américain Brave Type , la Sénégalaise Mamati et bien entendu le talentueux marocain Taleb Maachou.Dans le monde artistique : la belle chanteuse Kachira connue par sa chanson romantique avis de recherche à vie dans laquelle elle disait
Je te cherche
tu te caches
viens vite !
Sinon, je me fâche
Grâce à cette chanson, elle a eu l’oscar de l’année et deux lascars aux trousses.
Il y avait le célèbre prestidigitateur à la main souple. Actuellement, il est l’assistant d’un dentiste, pour ne pas dire : arracheur de dents.
Pour finir, la célèbre voyante qui prétend voit tout .D’ailleurs dès que vous lui parlez, elle vous dit : je vois, je vois
Chose surprenante, l’inspecteur Boukal était parmi les convives. Il n’était pas en mission ; mais il se trouve que sa femme est la cousine de madame Boudhab et comme elle était un cordon bleu de la cuisine marocaine, on n’avait pensé que son aide ne serait pas de refus. D’ailleurs, elle avait préparé presque tous les plats de la fête , exceptes ceux qui contenaient du sucre ou du sel. Pour vous dire combien sa présence était nécessaire
Donc tout se déroulait bien et à merveille. Ah, j »ai oublié de vous dire qu’on se trouvé dans le superbe jardin de la villa et qu’il y avait à peu près une vingtaine de tables couvertes par des parasols excentriques; ce qui donnait à l’endroit une atmosphère de carnaval.
On était heureux comme un bébé. Aussi, on s’amusait comme des fous, on riait comme des bossus, on mangeait comme des affamés et on buvait comme des trous.
Madame Boudhab était vraiment ravissante ce jour. Elle s’était habillée comme une reine .Avec sa taille de guêpe, elle donnait l’impression à son entourage qu’elle était loin d’avoir ses trente ans. Elle se déplaçait d’un pas souple et léger entre les convives, tout comme un papillon d’une rose à l’autre .Vraiment, elle était l’héroïne de la fête
Son mari, lui était quelqu’un qu’on voudrait bien avoir son poids s’il était en or. Il avait mis son costume à rayures qui lui donnait l’impression d’un zèbre femelle enceinte de dix mois. Cependant, il se déplaçait comme un taureau .Heureusement que sa demie le maintenait en laisse, sinon il aurait bien fait des malheurs .Non, rassurez-vous:il n’avait pas bu d’alcool ; mais le Malheureux a sifflé par ignorance, voire insouciance une bouteille de sirop .Notez qu’il était enrhumé et son médecin traitant lui avait prescrit deux cuillerées trois fois par jour; et lui intelligent comme il était il avait pensé prendre les trois doses en un seul coup. Comme ça, son seul souci serait l’accueil de ses invités. Alors, il a vidé le contenu d’un seul trait .Quand sa femme l’avait trouvé, il était entrain de fou de rire. Bien entendu, il était trop tard pour l’emmener aux urgences et puis les invités étaient déjà dans la demeure.
L’épouse dévouée lui a fait boire du café noir .Ainsi, le débauché s’est à moitié dessaoulé.
Hormis ce cas d’ivresse accidentelle, monsieur Boudhab était un riche homme d’affaires ; quelqu’un de sérieux, de serviable et de brave. Malgré sa corpulence, il était aussi doux qu’un agneau et ne tuait pas une mouche même si elle mettait ses pattes dans son assiette. Tout simplement, il l’écrasait entre deux bouchées de pain sans s’apercevoir de sa présence.
A un moment, une des servantes s’approcha du couple et chuchota à l’oreille de madame qu’un vieil homme demandait à la voir. Celle-ci par un geste lui fit savoir de dire à l’intrus que c’était à lui de se faire voir ailleurs. La servante obtempéra, mais revint aussitôt :
ا_ Qu’est-ce qu’il y a encore? Tu ne vois pas que je suis occupée
_ Mais madame, le monsieur insiste pour vous parler
Madame Boudhab réfléchit quelques secondes. Puis :
_ A -t-il dit son nom ?
_ Oui madame; il s’appelle Maazouz
_ Ce nom ne me dit rien qui vaille
Bon , dis-lui que j’arrive !
Pendant ce temps, monsieur Boudhab se rua vers quelques uns de ses anciens amis .Ces derniers l’accueillirent à bras ouverts.
Quant à madame Boudhab, elle s’approcha du seuil de la porte. Elle ne vit personne. Elle regarda aux alentours : une voiture qui démarrait attira son attention, puis les miaulements de deux chats qui se disputaient une proie (sûrement une tête de poulet).A part cela, rien d’anormal. Elle s’apprêtait à rebrousser chemin quand elle entendit comme un chuchotement :
_ Malika! je suis là .Ne t’en vas pas
Elle se retourna brusquement et ne manqua pas de crier :
Ah, mon DieuA suivre dans trois jours
Sujet: Souvenirs de correspondance
Quand j’avais l’âge de dix huit ans , ou un peu moins , j’aimais beaucoup la correspondance.Aussi, j’avais beaucoup d’ami(e)s à travers les pays du monde;notamment en France ,en Belgique , en Italie et en Suisse.Chaque jour, je répondais à une dizaine de lettres ; mais c’était peu à celles que je recevais : pas moins de trente lettres par semaine.A tel point que j’avais lié une solide amitié avec le facteur.Au fil des jours , je lui avais refilé quelques adresses auxquelles je ne pouvais répondre.Le distributeur du courrier était très reconnaissant .Ainsi pour me montrer sa gratitude, il tenait à me remettre les lettres de main en main.D’ailleurs cela tombait bien et m’arrangeait beaucoup.Figurez-vous que l’un de mes frangins , lisait certaines de mes lettres en cachette .Cependant ce qui était intolérable de sa part : il lui arrivait de les donner à ses amis en échange de quelques pièces de monnaie .
Ce qui était magnifique dans la correspondance c’était surtout la connaissance de l’autre ,de sa vie de sa culture et du patrimoine de son pays .Ces différentes liaisons m’avaient permis de corriger certaines idées et opinions de mes correspondants sur notre pays .
Je me souviens d’une correspondante canadienne qui croyait que le Maroc se situait dans la savane et qui était habité par les pygmées.Un australien m’avait demandé comment étaient nos constructions et quel était notre mode de vie.Ce citoyen du pays du kangourou avait vu un reportage sur l’Afrique et il avait cru que le Maroc se trouvait là quelque part avec ses chasseurs presque nus qui abattaient les animaux avec leurs lances , mangeaient de la viande crue et habitaient dans des cabanes faites d’herbes sèches.
Pour vous dire que dans le temps , on nous prenait pour des sauvages.
La correspondance m’avait permis de faire visiter mon pays à mes correspondants .Beaucoup d’entre eux étaient venus me rendre visite à Oujda .C’était l’occasion de leur montrer l’hospitalité marocaine et la bravoure du peuple marocain.
Malheureusement,je n’ai pas eu le loisir de traverser les frontières de mon pays pour visiter les pays de mes correspondants.Il n’était pas question d’argent puisque certains de mes amis m’assuraient le prix du voyage : aller et retour.
Ceux de mon âge vous diront qu’il était presque impossible d’avoir son passeport .Vous auriez plus de chance de remporter la médaille d’argent aux jeux méditerranéens que d’avoir votre passeport.En plus , les frais du dossier étaient exorbitants.
Cependant, grâce aux photos et aux cartes postales , je me suis vite fait une idées sur l’étranger.
Beaucoup de correspondants avaient marqué un peu ma vie .En fait , , je m’en souviens de deux : un correspondant Belge et une correspondante des iles Maurice
Pour le premier , je venais juste de faire sa connaissance,quand il m’annonça qu’il allait s’installer à Rabat .Bien entendu , moi aussi , ma famille venait de déménager vers la capitale .
Quelques jours plus tard, un de mes amis d’enfance vint me rendre visite .En parlant de notre passe temps favoris , je lui ai montré la dernière lettre de mon ami belge.Aussitôt ,il m’a dit :
_ »et si on lui rend visite ?
_ mais t’es un peu fou , lui ai -je dit , cela fait seulement un mois que je correspond avec lui
_ Et alors , ? Quel mal y a-t-il à cela ?
Bien entendu, après une demie heures de discussion, j’ai cédé à sa proposition.Alors, on avait décidé de lui rendre visite dans trois jours après l’avoir averti de notre arrivée par courrier.
En effet, nous avons pris le bus pour Temara .En ce temps là , cette grande ville n’était qu’un simple centre d’estivation. pour les hommes riches .Il y avaient beaucoup de villa qui faisaient face à la mer.C’était là qu’on devait chercher mon correspondant.Cela nous avait pris presque deux heures de recherche.Quand nous avons frappé à sa porte , il était presque deux heures de l’après midi : l’heure de la sieste.
Quelques minutes sont passé quand la porte a été ouverte : un homme qui était loin d’être un européen nous apostropha :
_ » Bonsoir , que puis-je faire pour vous ?
Et moi :
_ je voudrais parler à monsieur André
_ Est ce que vous avez un rendez-vous ?
J’ai hésité un peu :
_ non…mais je suis l’un de ses correspondants
Aussitôt , le chauve a souri :
_ Ah, vous êtes Abdelhamid , son nouvel ami ami oujdi
J’acquiesçai d’un hochement de tête.
Puis :
_ veuillez bien entrer dans le salon
Soudain , mon ami me chuchota dans l’oreille :
_ « Houmidi , qu’est-ce que tu fais ? Tu ne penses pas que…
Malheureusement, l’hôte nous avait entendu.Alors, il lui dit :
_ » Tu peux attendre ton ami sur le seuil de la porte , si tu veux
_ Non, non, je vais entrer
_ D’accord
Donc, nous sommes entrés dans un superbe living room.L’homme sans cheveux nous pria d’attendre quelques instants le temps de réveiller monsieur André.
A suivre…….
HOUMIDI le : 15 décembre 2010
Le rêve des pauvres est d’avoir beaucoup d’argent pour le dépenser selon leurs désirs et souhaits: acheter une villa avec une piscine munie d’eau chaude et froide pour en profiter toute l’année , avoir une voiture luxueuse avec un tableau sophistiqué et commandé par un ordinateur à distance, voyager en avion ….bref se satisfaire.
Le cauchemar des riches c’est l’idée de perdre cet argent par n’importe quel moyen : vol, agression , perte ou tout simplement une affaire qui tourne mal
Comme quoi l’argent est le soucis de tout le monde : les riches et les pauvres.
Après cette petite introduction à la choucroute, je vais vous raconter une petite histoire amusanteC’était un vagabond qui frappait chez les gens en demandant l’aumône. Le jour , il errait dans les rues et la nuit, il retournait à sa petite cabane pour manger ce qu’il avait ramassé .Maintes fois, on allait lui rendre visite .Lui en bon hôte , partageait avec nous son diner .Il était très heureux de sa vie de nomade. Quand nous le quittions, il s’endormait aussitôt. La preuve qu’il était très fatigué après une rude journée de marche. Le lendemain de bonne heure, il se réveillait et entamait sa promenade par visiter les épiceries et les cafés pour prendre son petit déjeuner. Après quoi, il se dirigeait vers les quartiers populaires. A chaque porte il frappait de légers coups. Quand, on lui ouvrait la porte, il disait toujours : bonjour madame (ou monsieur).Avez-vous besoin de mes services ? Je peux vous être très utile
Accoutumé par ses visites, on souriait souvent avant de lui demander d’attendre quelques instants pour revenir ensuite avec du pain, le reste du diner, des fruits et des fois des habits.
Le vagabond les fourrait dans une sacoche accrochée à son dos ; puis il poursuivait sa tournée vers la seconde maison et ainsi de suite jusqu’à la tombée de la nuit.
Il lui arrivait quelques fois que des femmes qui se trouvaient seules à la maison de lui demander de faire des courses ou de faire quelques réparations mondaines. Il s’acquittait de ces taches honorablement.
Un jour notre vagabond décida de jouer à la loterie .Il avait vu beaucoup de gens remplir des cases par des numéros .Alors, il s’est dit : et si je tente ma chance moi aussi
Donc, il entra dans petite agence .Aussitôt , le caissier s’approcha de lui et voulut le mettre dehors.Sans rien vous cacher , ses habits sentaient la moisissure et le dégout .D’ailleurs, les habitués de lieux ont vite fini par déguerpir .Le vagabond , sortit de sa poche trois billets verts et les tendit au caissier : je voudrais tenter ma chance dit-il tout simplement
L’employé lui montra les formulaires et lui donna un stylo
Notre vagabond a rempli les cases à la hâte tout en rêvant de la fortune.
Puis , il retourna directement chez lui. Ce jour là, il était resté chez lui.
Deux jours après, il passa près de l’agence. Quelle fut sa surprise de voir étalé sur la vitrines les mêmes numéros qu’ils avait cochés
J’ai gagné , j’ai gagné cria-t-il à la cantonade
Les passants le regardaient avec pitié
Le pauvre dit l’un d’eux à son compagnon : ça y est notre bonheur a perdu les boules
Le vagabond décida de retirer son lot à l’agence ; mais là-bas on lui fit savoir qu’il devait aller à Casablanca pour avoir ses gains .Tout simplement , il venait de gagner la somme de cents millions de centimes
De quoi faire perdre la raison d’un homme normal!
Donc, pour la première fois il constata qu’il était répugnant avec ses habits graisseux .Puis, il se rappela qu’il ne s’était pas lavé , il y a des mois .
Alors, il décida d’acheter quelques vêtements neufs avec ses économies. Il alla ensuite au bain .
Il dut rester presque quatre heures pour devenir propre .Ensuite, il s’habilla de ses nouveaux habits .Pour finir, il fit un saut chez le coiffeur pour se donner une autre allure .Ce soir , il nous avait dit : les enfants , je vais prendre le train pour Casa .Là-bas une grande fortune m’attend
Puis , il ajouta : à chacun de vous , je vais vous donner beaucoup d’argent pour remplir vos poches
Nous le quittâmes sans vraiment le croire .
Avant de prendre le train, le vagabond mit tous ses frusques dans une grande bassine en métal ; il y versa un litre d’essence ; puis alluma une allumette qu’il jeta au tas avant de dire : Adieu la pauvreté, adieu la saleté, adieu le vagabondage
Petit à petit les habits se consumaient pour devenir un tas de cendre. Il assista à la scène jusqu’à la fin sans cesser de sourire avec une ironie qui en disait long sur ses principes.
Après quoi, il se dirigea vers la gare.
Durant tout le voyage , notre vagabond avait imaginé mille et un projet .Quand le train arriva à destination, il prit un taxi en lui disant : s’il vous plait emmenez-moi vite à cette adresse
Le taxi s’arrêta devant un grand immeuble qui semblait aussi désert qu’une école après six heures.Il y entra en se précipitant vers l’un des guichets: monsieur , dit-il à un employé je viens de gagner 100 millions
Félicitations rétorqua ce dernier.Alors, donnez-moi votre reçu pour que je puisse vérifier
Le vagabond obtempéra ; puis il se mit en devoir de fouiller ses poches .Soudain, il cria : Ah , non ; ce n’est pas vrai !
Hélas , il venait de se rappeler que le billet gagnant avait tout simplement été brulé avec ses anciens habits de vagabond
A vous de deviner la fin
Houmidi59: 8/12/2010