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15 réponses de 76 à 90 (sur un total de 577)
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  • #275679

    En réponse à : un cousin de nulle part

    houmidi59
    Participant

    On fit entrer mon ami dans un salon aussi vaste qu’un terrain de football. Dedans étaient étalés huit ou neuf sommiers sur lesquels étaient posés de gigantesques matelas .Il y avait accroché au mur de grandes photos de la famille de l’hôte. Ce dernier ne manqua pas de donner quelques détails: ça c’est mon père, celui-là c’est mon grand-père, celle-ci est la femme de mon oncle…….
    Encore une fois, le cocher souhaita la bienvenue à son invité et lui dit : Voudriez-vous boire du thé ou du café ?
    Mon ami ne savait que répondre : non merci, se hasarda-t-il de répondre
    L’hôte était catégorique : non, cher invité, il faut bien que tu boives quelque chose ; note bien qu’on ne manque de rien , il y a même de la limonade ou du jus de fruits si le cœur t’en dit
    Mon ami réfléchit un moment ; puis: d’accord, alors je prendrai bien un verre de thé à la menthe
    Aussitôt, l’hôte sortit de la pièce ; et quelques minutes, il réapparut avec un plateau qu’il déposa sur la table , aussitôt, une autre personne entra dans la pièce .
    Je te présente mon voisin : Larbi ; il est originaire d’Oujda
    Non, de Berkane, rectifia le nouvel arrivant
    Soudain, mon ami sursauta : mais on s’est déjà rencontré tout à l’heure .J’espère que vous n’avez pas oublié : au restaurant
    Ce dernier le regarda surpris ; puis, il se tapa le front : Ah, oui! excusez-moi pour tout à l’heure, j’étais un peu occupé .Au fait , j’avais une course urgente à faire .Alors, je me suis sauvé .
    Mon ami était quelqu’un de pacifiste et qui ne faisait aucun mal même à une mouche. Aussi, il dit : c’est oublié mon ami
    Et d’ajouter : cependant, j’aimerais bien savoir si vous connaissez un cousin à moi : il habite à Marrakech …il s’appelle…
    L’hôte l’interrompit : cher invité chaque chose en son temps .Pour l’instant, tu es mon invité
    Pour commencer, buvons du thé; ensuite, je vais te présenter mes nouveaux voisins d’Oujda ; après, on dînera et enfin je te répondrai à ta question au sujet de ton cousin
    Mon ami acquiesça de la tête et sourit en signe de consentement.
    Ainsi, le thé fut servi accompagné d’une variété de gateaux.Ensuite, des amis de l’hôte entrèrent dans la pièce .Mon ami fit leur connaissance après une brève présentation de la part du cocher. Les quatre arrivants étaient inconnus de mon ami
    Bientôt, le diner fut servi. Mon ami se régala du festin à tel point qu’à la dernière bouchée, il eut du mal à se relever.
    Enfin, on débarrassa la table et on apporta aux invités de l’eau pour se laver les mains
    Quelle fut sa surprise quand mon ami remarqua la personne qui tenait la bouilloire et la bassine: c’était son cousin
    Ça alors, il, je n’aurai jamais imaginé te rencontrer dans cette maison
    Pourquoi, s’interrogea le nouvel arrivant
    Ben, j’ai vu les quatre oujdis qui habitent les alentours et je ne connais aucun d’eux
    Après un bref moment de silence : mais, dis moi étais tu au courant de ma venue?
    Le cousin ria malicieusement avant de dire : tu sais cousin, sans rien te cacher je le savais depuis des heures
    Et il montra du doigt le faux cousin : c’est grâce à lui
    Et d’expliquer : on m’avait déjà annoncé ta venue à Marrakech. Alors, je me suis dit : mon cousin ne sait pas ou j’habite ; mais, comme je le connais, il va sûrement me chercher à la place jamaa el-fna .Alors, j’ai pensé te guetter , quand j’ai vu notre faux cousin et je me suis dit que toi aussi tu vas tomber dans le panneau en le voyant. Heureusement pour moi, c’est toi qui l’a remarqué alors que normalement c’était à lui de te repérer
    Et de conclure : on peut dire que tu lui as bien facilité la tache
    C’est ainsi qu’il s’est enfui pour me prévenir .Aussitôt, je t’ai envoyé le cocher et la suite tu la connais
    Bandes de rigoleurs, finit par lâcher mon ami
    Puis, il embrassa son cousin en disant: je suis quand même heureux de te revoir après une si longue absence

    Fin

    #275678

    En réponse à : un cousin de nulle part

    houmidi59
    Participant

    Un cousin de nulle part (suite)

    Après presque deux heures de tourisme, la calèche arriva de nouveau à la mosquée de la koutoubia .Justement l’appel de la prière se faisait entendre.
    Cette fois mon ami n’était pas seul pour faire sa prière. Son guide l’accompagnait. Sitôt les devoirs religieux accomplis, mon ami décida de chercher un hôtel ou passer la nuit .Il le fit savoir à son compagnon. Ce dernier ria de bon cœur :
    _ « Non, mon ami,lui dit –il, pour cette nuit , tu es mon invité
    Puis : allons chez moi
    Mon ami hésita un moment ; puis il lâcha ces mots : tu sais, je ne suis qu’un étranger et tu ne connais rien de moi. Moi si j’étais à ta place, je me serais bien méfié d’un étranger
    Le conducteur de la calèche n’était pas de son avis. Aussi, il dit d’un ton plus sérieux cette fois : au contraire, j’ai l’impression de bien te connaitre .Et sans rien te cacher, j’ai des voisins qui sont originaires d’Oujda .Vraiment, je suis fier d’être leur ami : ils sont généreux, serviables et toujours prêts à aider leur prochain
    D’ailleurs, je tiens à te les présenter ; des fois ou tu connais certains d’entre eux
    Bonne idée, complimenta mon ami
    Ainsi, le cocher invita mon ami à monter dans la calèche et prirent la direction de sa demeure. Une demi heure plus tard , ils arrivèrent devant une vieille maison .Le conducteur détela les animaux et leur donna à manger et à boire .Ensuite, il les fit entrer dans un hangar à proximité de la maison. Après quoi , il dit à son invité : donne -moi deux minutes pour avertir ma famille afin de faire le nécessaire. Puis, il entra dans la demeure. Pendant ce temps, mon ami contemplait les alentours : une lignée de maisons presque semblables .Apparemment , se dit _il ces gens sont pauvres et pourtant ils aiment faire du bien.
    Soudain, il aperçut quelqu’un sortir de l’une des maisons .Il tenait à la main un panier .Sûrement, il allait faire des courses .Comme il faisait nuit et la ruelle était obscure , il ne put identifier la personne. En tout cas c’était un homme et assez âgé en plus. Mon ami espérait reconnaitre l’un des oujdis dont lui avait parlé son hôte.
    Mais, se dit-il ,chaque chose en son temps
    Il était absorbé par ces réflexions, quand il entendit des pas derrière lui : c’était son ami le cocher : désolé si je t’ai fait attendre un peu plus que prévu ; mais tu dois bien le savoir la chambre des invités était un peu en désordre et on a dû la nettoyer et remettre chaque chose à sa place.
    Veux-tu bien entrer dans ma modeste demeure et d’accepter d’être mon invité pour cette nuit ?
    Mon ami était tout ému .Aussi, il dit : je ne saurai comment te récompenser, mais Allah te vaudra ça décuplé.
    Que Dieu vous bénisse toi et ta famille

    A suivre…….

    #275691
    mounavri
    Membre

    ONZE Arbitres africains seront présents en cette Edition 2010 :

    MOHAMED BENOUZA ( ALGERIE )–38 ans– Profession : homme d’affaires
    « assisté par NASSER ABDEL NABI (Egypte)–MAAMAR CHAABANE (Algérie) »
    NB : Concernant MED BENOUZA, lire l’examen final ci-après :
    **Suite à son échec aux tests physiques a été remplacé par :Martin E. Vazquez Broquetas (Uruguay)**

    JEROME DAMON ( AFRIQUE DU SUD)–38 ans–Professeur d’anglais
    « assisté par CELESTIN NTAGUNGIRA (Rwanda)–ENOCK MOLEFE (Afrique du Sud) »

    KOMAN COULIBALY (MALI)— 39 ans –Inspecteur des finances
    « assisté par REDOUANE ACHIK (MAROC)–MANUEL CANDIDO (Angola) »

    EDDY MAILLET ( SEYCHELLES )–42 ans — Coordinateur d’arbitres
    « assisté par EVARISTE MENKOUANDE (Cameroun)–BECHIR HASSANI (Tunisie) »

    #275677

    En réponse à : un cousin de nulle part

    ayman
    Membre

    Heureux de te relire Houmidi, je parie que le cousin mysteieux réapparaîtra subitement de la même manière énigmatique que la première fois !je vais repasser pour lire la suite ,me fais pas trop attendre PDT_Armataz_02_02

    #275676

    En réponse à : un cousin de nulle part

    houmidi59
    Participant

    Un cousin de nulle part (suite )

    Mon ami quitta aussitôt la mosquée de la koutoubia.Il ne savait quelle direction prendre .Aussi, suivit du regard un groupe de touristes qui se dirigeait vers des calèches alignées le long de la grande avenue .L’un d’eux négocia le prix avec le cocher ; puis ce groupe qui était au fait quatre personnes monta dans le véhicule . Soudain, mon ami sursauta : voilà un bon moyen pour se balader sans être dérangé ou volé.Du coup, il se dirigea ves l’une des calèches.Il chercha du regard son propriétaire .Celui-ci était entrain de faire un petit somme sous un arbre .Bonne âme qu’il est ,mon ami ne voulait pas le réveiller ; alors, il monta dans la calèche et attendit le réveil du cocher .Une heure plus tard, ce dernier se réveilla et remarqua aussitôt le passager dans son véhicule .Mon ami l’apostropha poliment : -« j’espère que vous avez bien dormi !
    – Hein! s’exclama l’ex-dormeur
    – Rassurez-vous , je ne voulais pas vous déranger ; alors je….
    – Monsieur ,l’interrompit- il soudain, vous êtes quelqu’un de bien ; non, vous êtes un marabout
    Puis :
    _ »Je vais vous faire visiter toute la ville …sans rien me payer
    _ Non, non, intervint mon ami , vous méritez bien votre salaire .Après tout c’est otre métier , non?
    _ Bien sur , conclut ce dernier ; mais je vais vous faire un prix : 100 dirhams pour cette randonnée. »
    Le touriste approuva et bientôt la calèche quitta les lieux.
    Mon ami a vu la plupart des monuments et des endroits connus de Marrakech.Le cocher , était un guide remarquable .Chaque fois qu’ils arrivaient devant un endroit ,il dit : ça c’est le palais al-badii ou la Ménara ou tout simplement ce boulevard s’appelle Moulay Youssef
    On peut dire que mon ami avait vite oublié ses mésaventures .Alors, il était aussi content qu’un nourrisson à la vue du sein de sa mère.
    Bien entendu, mon ami ,qui est bavard comme une pie ,a profité de l’occasion pour casser les oreilles de son interlocuteur ; pardon pour lui raconter tout: son départ d’oujda, son arrivée et ses mésaventures .
    Le conducteur du véhicule semblait trouver beaucoup du plaisir .Aussi, il se contentait de dire de temps à autres :
    _ » ça , alors !, ça alors! « 
    Après presque deux heures de tourisme, la calèche arriva de nouveau à la mosquée de la koutoubia .Justement l’appel de la prière se faisait entendre

    A suivre…….

    #275675

    En réponse à : un cousin de nulle part

    houmidi59
    Participant

    Merci Alaa-eddine

    Un cousin de nulle part (suite)

    Mon ami m’a affirmé qu’il avait attendu le retour de son cousin près d’une demie heure.Ce n’est pas normal, s’est-il exclamé tout d’un coup.Puis, il se dirigea vers le caissier .Justement , les toilettes se trouvaient de ce côté là.

    S’il vous plait , n’avez-vous pas remarqué un homme mince avec une barbichette sortir des toilettes?0

    Le caissier fit la moue:
    _ »personne n’y est entré depuis presque deux heures
    _ Mais…mais, s’exclama mon ami, ou est-il ?
    _ Qui ? questionna le restaurateur
    _ Mon cousin , lacha le chercheur
    _ Désolé, conclut le vendeur de tajine, je ne connais pas votre cousin. »
    Mon ami fit le tour de la grande pièce ; ce qui ouvrit davantage son appétit.Alors, il fit appeler le garçon et lui dit tout simplement:
    _ » apportez-moi à manger ; j’ai faim
    _ Que désirez-vous , l’apostropha ce dernier « 
    Mon ami regarda autour de lui : sur la plupart des tables, il y avait des tagines
    _ Apportez-moi un grand tagine et une bouteille de limonade bien glacée
    Quelques minutes après, il quitta les lieux et prit la direction de la mosquée de la koutoubia.Justement l’appel du muezzin se faisait entendre : c’était l’heure de la prière d’el-asr .Avant d’entrer dans les lieux saints, mon ami enveloppa ses chaussures d’un sac de plastic ,puis le déposa juste en face de lui .Car, m’a-t-il dit, les voleurs de godasses sont partout au Maroc .Donc, il entama son entrée par une prière de deux rakaats en guise du salut de la mosquée.A peine la prière terminée son sang ne fit qu’un tour, ses yeux s’écarquillèrent et sa bouche s’ouvrit sans piper mot .De son index , il pointa l’endroit ou il avait laissé ses chaussures.Celles -ci avaient disparu.Pas de doute, l’un des voleurs l’avait remarqué depuis son entrée à la mosquée.Alors , il a profité de ses prosternations et il a pris le sac de plastic.Il était entrain de réfléchir , quand l’imam fit son entrée et la prière d’el-asr débuta.
    Mon ami m’avait dit que durant toute la prière son esprit voguait ailleurs .La preuve, il fut srpris quand il entendit : salamou alaykoum
    Mon ami sortit de la mosquée désemparé, affligé et très démoralisé
    Son voyage chez les bahjas ne s’annonçait pas bien
    Je lui avais demandé s’il était sorti les pieds nus, il s’est mis à rire et m’a répondu : non
    Et d’ajouter , heureusement que j’avais dans mon sac de voyage une autre paire de chaussures
    Donc,lui ai-je dit du tac au tac: tu te doutais bien qu’on pourrait te voler tes pompes
    Il me toisa du regard un moment , puis il me dit : pas tout à fait mais moi j’ai toujours apporté avec moi deux exemplaires de chaque chose .
    Et de me montrer : le pantalon, la chemise , les chaussettes, le tricot…les chaussures: durant mon voyage , j’en mets toujours deux de chacun dans mon sac
    Même le portefeuille , j’en ai deux
    Epaté par cette philosophie , je répliquai : mais comme toi, mon ami , deux il n’y en a pas !

    A suivre…….

    #275665

    En réponse à : Flasher le bios

    Alaa-eddine
    Participant

    c’est bien ce que je croyais le BIOS n’a rien avoir là dedans, surtout si ton PC marchais avant.

    Voici le diagnostique à faire :
    * si ton pc fonctionnait bien, que le dvd fonctionnait bien, et que suite à la coupure electrique il n’a plus démarré correctement c’est un problème materiel à 99% . Dans ce cas.
    – si ton pc s’allume mais n’affiche rien, ni texte, ni image, juste un écran gris, ca peut être la carte graphique qui a cramé.

    * si ton PC a fonctionné après la coupure electrique et que du jour au lendemain il s’est arrété de démarrer avec écran gris, et encore une fois sans rien afficher d’autre, c’est probablement un problème de l’écran : mauvais contact ou autre

    * si tu as déjà tenté de flasher ton BIOS et que suite à celà le PC ne démarre plus … là et seulement là il faudra reflasher le BIOS mais ca ne sera pas chose facile puisque pour flasher le bios il faudra démarrer le PC et voir ce qui s’affiche à l’écran.

    Je te conseil d’aller voir un bon technicien derrière souk melillia, il est un peu cher mais efficace. il est dans la ruelle juste derrière souk mellilia en sortant du coté des vendeurs d’espadries .

    #275639
    nordest
    Membre

    Wa Aleykoum Salam,

    Bienvenue à vous. Gal3ia est une tribu amazighe située dans le département de Nador. La ville même de Nador se trouve sur son territoire. Nador signifie la vigie. Cette tribu doit son nom aux redoutes du Makhzen construites sur son territoire en face du préside éspagnol Melilla (prononciation locale « Mritch » qui veut dire Mlilt c’est à dire la « Blanche »). Une redoute se dit en thamazight  » thaqel3it » qui vient du mot arabe « elqal3a ». C’est pourquoi on qualifie en langue Amazighe cette tribu par le terme « Iqel3iyen ». Gal3i est le qualificatif en parler marocain dont le pluriel est « Gla3a ».

    Le territoire des Gal3ia a une vingtaine de kilomètres du N. au S., une quarantaine de l’E. à l’O. Elle a sept fractions

    1- Beni-Chiker: (les enfants du Chiker),
    2- Ferkhana (la jeunesse).
    3- Beni Bou-Ghomren (les enfants de celui qui a des coudes),
    4- Beni bou-Gafer (les enfants de celui qui a de l’infertilité),
    5- Beni-Sidal ,
    6- Beni Bou-Ifrour (Les enfants de celui qui a des agneaux),
    7- Mezzouja longue crête de montagne.
    Le préside espagnole  » Melilla » ou « Mritch » est bâti sur l’ancienne ville Romaine Russaddir. Avant qu’elle devienne Romaine, des Hstoriens disent qu’il était un comptoire carthaginois car le mot « Russaddir » est un terme phénicien et non latin. En effet, il est composé par deux mots à savoir  » Russ » et « addir » dont le premier signifie « tête » dans la langue ancinne des phéniciens.

    Juste avant l’arrivée des conquérants arabes le territoire qui s’étend depuis le fleuve Moulouya dont le nom latin Mouloucha jusqu’au confins de la ville de Tétouan (Tittawin) était occupée par la grande tribu Amazighe Ighomaren « Ghomara » dont une partie était de confession chrétienne et sous la tutelle du prince espagnole Julianus. C’est ce dernier qui va aider Tarik Ben Ziyad et les Ghomara à la conquête de l’Andalousie.

    Ghomara est une tribu amazighe de la branche Masmouda « Imesmouden » apparenté à l’autre grande branche amazighe à savoir Iznaguen que les Historiens arabes ont appelé « Senhaja ». A la conquête arabe, le Maroc est essentiellement peuplé par des Senhaja et des Masmouda.

    Revenons à notre tribu des Gal3ia qui n’est ni Senhaja ni Ghoumara càd Masmouda. Elle est issue de l’autre grande branche amazighe à savoir Znata ou plus tôt Iznaten ou « Ijnacen » comme il les a appelés le grand Historien des Berbères Ibn Khaldoun . Les Iznaten ou Ijnacen sont les Amazighes de l’Est. Leurs territoires historiques est plutôt la Libye, la Tunisie et la Numidie orientale càd la partie est et centre de l’Algérie actuelle. La défaite des amazighes Znata devant les troupes arabes les a poussé de plus en plus vers l’ouest. Le pays Ghomara qui s’étendit depuis le fleuve Moulouya s’est rétrécit pour n’occuper que le centre du Rif entre le fleuve Ouringa et Asif Laou qu ‘on appelle actuellement « Oued Laou ». le mot « oued » a tout simplement remplacé le mot « Assif » qui signifie « oued » en dialecte amazighe Ghomari. Pour être plus précis les Amazighes Ghomara occupent actuellement la partie méditerranéenne de la province d’Achaouen (Chefchaouen). Au passage « Achaouen » signifie en berbère « les cornes ». Si un jour vous aurez l’occasion de visiter cette ville vous verrez les deux pics de montagnes qui ont la forme des cornes.

    Le retrait des Amazighes Ghomara a laissé la place aux autres amazighes Zenata qui arrivent de l’Algérie. Les Zénètes ont eu leur période de gloire avec les deux dynasties suivantes : Benou Ziyan fondé par Yaghmoracen qui avait sa capitale à Tilimçane et la dynastie sœur des Benou Mérin qui avait établit d’abord sa capitale à Guercif pour s’installer ensuite à Fés. Ces dynasties sœurs zénètes étaient rivales et cherchaient chacune d’elle à dominer l’autre. C’est pendant cette période que les Amazighes Znata occupaient l région qui s’étend depuis l’est de la ville d’Alger depuis Tipaza en passant par Chlef, Oran, Tilimçane, Oujda, Taza jusqu’aux confins de Fès, le Rif de l’est et central et toute la dahra càd les hauts plateaux de l’Oriental càd depuis Geurcif jusqu’au Ayt Seghrouchen à l’ouest de Figuif en passant par Debdou.

    Ce sont les rivalités entre les Ziyanides de Tilimçane et les Mérinides de Fès qui ont poussés ces dynasties à faire appel vers le 13ème siècle aux tribus arabes Hilalienne et Ma3quil installées dans les régions sahariennes au sud d’Oran pour les aider dans leurs guerres. C’est à ce moment que les premières tribus arabes s’installent dans l’oriental marocain et en particulier dans les plaines d’Angad et les plaines de la dahra.

    Les tribus Znata qui substituaient les tribus ghomara entre la Moulouya et Le fleuve Nekor s’appelait à l’époque Ibettouyen « Bettouya » . Ibn Khaldoun disait que les Ibettouyen était les frères des « Iznassen ».

    Cette tribu mère a été détruite par la dynastie Almohade pour venger l’enlèvement d’un prince almohade par cette tribu. Cette éclatement a donné naissance à des tribus sœurs qui existent au jour d’aujourd’hui à savoir : Ayt Oulichek, Ayt Said, gal3ia, Ayt Touzine, Temsamane. Certaines fractions des Bettouya se sont installés chez les Bekkouya à l’ouest de Hoceima et d’autres se sont installées sur le territoire algérien « Nemours » de côté d’Arzew.

    Fraction DES BENI-CHIKER

    I3azzanen (les chéris, les honorés) entre le Cap Viejo et le Cap des Trois Fourches; sur le bord de la mer. Les habitants sont pêcheurs et agriculteurs, mais surtout pêcheurs,

    Aith-Ségdal (les enfants des prairies artificielles, près de l’Ouad Beni Chiker. Au Sud, le Souk Eth-Thelatha, (Marché du mardi).

    Thak’oul3ith (la petite forteresse)
    Aïth-Fahthal

    Sidi El-Hadj Es-Saïd

    I3abdounen (les adorateurs) de Dieu.
    El-Erbe3 (le mercredi) Grand marché le mercredi.

    FRACTION de Ferkhana.

    Aith-Mousa (les enfants de Moïse).
    Jnad’a(le camp) près de l’Ouad Beni-Chiker, qui porte, à partir de cet endroit, le nom de Ouad Ferkhana

    Ferkhana (les jeunes gens) simple petite crique, appelée pompeusement Mersat Ferkhana (port ou baie de Ferkhana), juste au N. et près de Mliliya.
    El-K’al3â (la forteresse), au sud de Mliliya.
    Nadour (la vigie), port de mer.

    Fraction DES Beni-bou-Gafer

    Tizi (le col) gros bourg au milieu des dunes, à l’ouest de la presqu’île.
    Azîzaten (les chéris)

    Zerroura (la graveleusesuccession de hameaux bâtis sur des terrains accidentés, pierreux.

    H’aninaten (les sensibles) réunion de cinq ou six bourgades assez rapprochées les unes des autres.

    Bajjou (morue), (qui a les orbites des yeux très grandes).

    Thazarint (les belvédères) près de la mer. .
    Oulad El-H’asen (les enfants de H’asen), sur l’ouad Bou-Gafèr. Au sud de ce hameau se trouve le Souk Eth-Thelatha (marché du mardi)

    Tifaçoua (luzerne) près de la mer.

    Bou-H’amza (le père de H’amza) (A) sur l’Oued Bou-Gafer.
    Mersat Bou-Gafer (le port de Bou-Gafer), petite baie

    Beni-Bou-Gheffari (les enfants de celui qui possède des fusils de Tétouan) petit hameau sur le bord de la mer.

    Asammer (endroit ensoleillé) bourg important
    Chemlala pays produisant la meilleure espèce d’oliviers dite Achemlal);

    Teghdamiya (le pacage)

    Mehiyaten (antilopes addax; dont le type est l’addax nasovtaculatus)

    Oulad 3mar (les enfants de 3mar)

    Bouffoua (l’impuissant) non loin dela rive gauche de l’Oued El-Kert, qui commence à s’appeler à cet endroit Ouad Bou-Gafer.

    Ighil Oumedhghar (crête tortueuse)

    Ath-Arî (les enfants d’Ali)

    Ijouaouen (les Zouaoua)

    FRACTION DES BENI-SIDAL

    Aith-Sidhar (en-arabe Beni-Sidal)

    Ya- centre le plus important des Beni-Sidal mosquée, Zaouiya, étudiants.

    FRACTION DES BENI-BOU-IFROUR

    Sidi Bou-Sbar (Celui qui a de la patience). C’est le saint des Beni bou-IFrour, Nombreux pèlerinages à son tombeau.

    Azrghenghen, bourg importante, sur la rive droite de l’Ouad El-Kert.

    Ez-Zaouiya (le séminaire) sur l’Ouad El-Kert.

    El-Asara (la difficulté).

    Souk’ El-Khemis (le marché du jeudi).Marché important.

    Thelalha (mardi) . Grand marché le mardi

    FRACTION DE ME2Z0UJA

    Sidi-Mousa , à l’extrémité septentrionale du lac Bou-Erg.

    Mersat Bou-Erg (le port, ou la baie de Bou-Erg) , petite anse séparée du village précédent par l’étroite langue de sable située entre la sebkha et la mer

    Thaliouin (les Sources) , non loin du Bou-Erg,

    El-joumou3A (le vendredi)

    Bezghenna. Au sud, le Soug El-H’add (le marché du dimanche).

    K’eçbat Selouan (la caserne de Selouane). Le petit Ouad Bou-Erg fournit l’eau nécessaire à la garnison du Makhzen.

    FRACTION des BEN Bou-Ghomren

    Bou-Ghomren, non loin des sources d’un ruisselet, l’Ouad Sidi Mousa, qui a son embouchure à Nador, D’importantes ruines se trouvent sur le territoire de cette tribu . Ils les appellent Ikhraben Iroumyen (ruines chrétiennes). Ce sont peut-être les vestiges d’une vieille cité dont le nom est oublié dans le pays.

    Voilà pour ce soir.

    Wa ssalam

    #273718
    yousfi amel
    Membre

    Bonjour Dominique, je m’appelle Amel, je suis le fille de Belaida et donc la nièce de Mohamed, j’ai contacté mon oncle aprés être tombée complètement par hasard sur ton message. Il serait trés heureux d’avoir de tes nouvelles et m’a demandé de donner suite à ton message afin de renouer le contact. Je reste donc à ta disposition si tu souhaite le joindre.
    Cordialement, Amel

    #275618

    En réponse à : je viens vivre à Oujda

    Alaa-eddine
    Participant

    Bonjour Françoise, au nom de la communauté Oujdi je vous souhaite la bienvenue parmis nous.

    concernant vos interrogations, si vous comptez passer votre retraite à Oujda prener plutot une maison si vous avez les moyens, tant qu’a faire vous serez plus tranquille dans une maison que dans un appart.
    Après il faut bien choisir le quartier dans lequel vous souhaitez acquérir votre bien ; le mieux serait un quartier que vous connaissez puisque vous dites que vous venez souvent à Oujda. sinon , appliquez les mêmes critères de choix qu’en achat en France, entre autres : l’emplacement, les commerces de proximité, la sécurité …etc

    pour votre achat veillez à ce qu’il soit titré, c’est quand même une sécurité en plus, ça vous évitera des surprises.
    ensuite pour les agences immobilières, pas forcement, si vous connaissez du monde à oujda le bouche à oreille fonctionne en général mieux que les agences, si vous n’avez pas le choix, faites vous accompagné par une personne Oujdi, qui saura négocier et vous évitera des malentendus.

    voilà, j’espère vous avoir aidé.

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    PLAIDOYER POUR ABROGER LES TAXES CRUELLES SUR LES MALADIES

    A CEUX QUI DEVRONT AGIR POUR SAUVER LES MALADES

    Exergue

    Les Taxes de Douane et de TVA, 24 % au total sur pratiquement tous les médicaments et le matériel de soins voué aux malades, sont une véritable ineptie, une fois qu’on en a conscience. C’est une injustice humanitaire, anti citoyenne que de les garder, alors que le Roi fait de l’INDH son chantier de règne et ses des pauvres et des handicapés, son vœu moral et sa passion de souverain, pour les sortir du mépris, de la misère et de l’ingratitude afin des les placer sur le chemin du progrès et de la dignité. Garder ces lois inconscientes et iniques est une arnaque amorale, portée sur le dos des seuls malades. Ce sont des lois canailles, honnies et contreproductives, pour Son prestige. Il est donc naturel de solliciter une grâce de SM le Roi, dont ont sait le pouvoir exécutif et le rôle ascendant dans le Gouvernement. D’autant qu’aucun ministère, pris à lui seul n’est capable de décider et de légiférer ! Il est naturel dès d’attendre du Roi, qu’Il les abroge et fasse un acte de justice, en graciant les malades de payer des taxes sur leurs maladies, pour lever cette prédation partiale, archaïque et embarrassante.

    Citation d’un plaidoyer

    « Célébrer les morts, est-ce utile aux vivants ? La civilisation est-ce de commémorer les morts ou de collectionner leurs faits et actes ? Défendre les malades à qui cela sert-il ? Supporter les malades est si lourd, mais, est-ce tellement ingrat ? Si vous dites encore que soutenir les vieux et les handicapés est une charge onéreuse et improductive, c’est que vous optez pour le meurtre et l’euthanasie ! Les Valeurs humanitaires d’un peuple se développent dans les soins attentifs aux malades et se mesurent dans le courage exercé par tous dans la poursuite de ce deal ». In Mme Student, in « Chronique des gens qui passent…» Sachez qu’avant de naître, que vos enfants sont prédestinés et passibles d’une contravention originelle ! Ils assumeront des charges et des taxes que leurs parents ont laissé sévir, sans en comprendre la gravité et sans réagir !

    APPEL A CELUI QUI SAURA AGIR POUR SAUVER LES MALADES

    Le constat social

    A l’heure où le Parlement rouvre sa session avec un Président prestigieux leader d’un parti progressiste Si RADI, et un médecin et ancien ministre de la Santé ,Si Biadillah, dans la Deuxième Chambre, qui plus est phare du PAM à l’heure ou le gouvernement de SM le Roi, entame la deuxième partie de son exercice, il serait-il utile aux militants des Partis, à tous les cadres responsables du Royaume, aux Conseillers du ROI, qui analysent les événements, les idées et les actes, entre la morosité et les cataclysmes, politiciens , électoraux ou climatiques de se pencher aussi, sur cette autre calamité, que sont les maladies ! Les simples maladies et leurs approches, législatives et économiques ! Médecins et pharmaciens ne suffisent plus ! Ils réclament une réforme ! Avec courage et inventivité, une vraie réforme, sans désistement ni atermoiements. Le Maroc nous regarde !

    Appel ou prière aux absents

    Nous sommes tous concernés ! Est-il socialement productif de continuer à délaisser ce secteur vital, odieusement taxé d’inutilité, au profit d’autres factions plus dynamiques ? Est-il défendable de saborder ainsi sa base, la population de son propre pays ? Là où la souffrance réduit même les plus aisés d’entre les gens, au statut tragique d’assistés, rendant la dignité, donc la citoyenneté, à sa plus basse expression. Les Partis, par voie de fait, se transforment en collèges virtuels où des arrivistes sabordent les concepts de démocratie, en niant au peuple des quartiers leurs bons droits ! Du coup la signification même de représentants, leur crédibilité d’élus se perd !

    Les milieux, ruraux, pauvres ou besogneux, dénigrés au profit d’expédients extatiques et de pétarades de salons, sont ceux qui requièrent le plus l’affection et justifient des Cadres leur temps, leur énergie et leur abnégation, par tous les temps. Ce sacerdoce ne connait pas les vacances ! Les actes de présence, les gestes de solidarité sont la base de la vie en communauté, donc de toute politique. Est-ce abâtardir les cadres et polluer leurs méninges que d’aspirer leur rencontre salvatrice avec les couches qui les ont générés ?

    La logique, la raison, les sentiments, la nécessité, requièrent le courage de ce retour. Le Peuple a besoin de ses fils pour reformer la famille ! Ces immersions dans les rues, les usines et les quartiers, sont synonymes de rencontres entre condisciples et de proximité avec ceux qui remplissent les urnes, voire avec ceux qui avec raison s’en détournent et fuient les suffrages et les scrutins !

    Appel des familles, appel du peuple

    Le service humanitaire, acte altruiste de citoyenneté, est la meilleure audience pour les militants avec leurs électeurs potentiels. Le Peuple, ces simples sujets qui travaillent pour vous instruire, attendent qu’on étanche leur sueur. Ils attendent, non sans crainte d’être déçus et non sans espoir de fierté, un juste retour des sentiments de ces cadres, de ces cigognes, qu’elles refassent leur printemps ! Ils attendent que les programmes des Partis intègrent leurs soucis et leurs justes espoirs. Ils attendent que ces patriotes leur rendent justice et qu’ils lavent la honte des exactions et des abus ! Que les fils et les filles se détachent des innommables amalgames et se différencient de ceux qui les subornent et les trompent ! Que les programmes, leurs volontés écrites, soient aussi réalistes, que vrais et qu’on ne vole plus leurs droits, leurs aspirations et leurs rêves !

    Ils veulent que leurs besoins, les plus simples, soient réalisés. Que les élus ne soient plus que de virtuels pastiches, les uns des autres, bons à placarder les murs de fausses promesses qui restent les témoins balafrés de leurs mensonges !
    Et les chantiers à couvrir sont légions, dans tous les domaines, du travail à l’éducation et de la justice à la santé ! Le premier travail est de leur rendre leur confiance en soi et de régénérer un sang par trop corrompu ! Le premier travail est de retrouver cette fierté légitime, cette richesse que nul adversaire n’avait pervertie. A commencer par chasser toutes les formes de mépris et tous les stigmates de l’humiliation : celles exogènes et celles dues au destin de tout être vivant ! Leur droit à la santé, le droit des personnes malades à être soignées, le droit de ne pas subir d’entraves ni d’être d’un système de soins, les otages muets ! Le droit de ne pas subir de surenchères, ni d’embargo sur leur santé.
    La santé est un droit, un devoir envers les citoyens,

    Que dire de la santé, de l’accès aux soins, du coût des actes et du prix des médicaments, et qui plus est, des taxes que l’Etat prend sur les malades, leur souffrance et leur maladie ? Les maladies représentent deux faces de la responsabilité des gestionnaires que l’on peut réexaminer sous un nouvel angle, plus moderne et plus contemporain. Celui qu’il est d’assurer les besoins communautaires en médications et celui des moyens et règlements d’approche pour l’acquisition des médicaments et des soins. Sachant qu’il ne saurait y avoir de conflit d’intérêt entre les obligations de l’état dans ses deux facettes de régulateur et de commanditaire, ni de schizophrénie entre l’offre des médicaments qu’il organise et leur accessibilité, dont il décrète les coûts, la qualité et les obligations. Or, obligé d’assurer une couverture, il ne doit pas lui être étranger d’en abaisser les coûts pour répondre aux besoins élargis. Et nous connaissons l’impact de la maladie dans la genèse de l’inconfort, du chômage, de la misère, du mécontentement social, dans l’origine des grèves, dans les troubles et dans la révolte et les séditions !

    Il s’agit pour nous, à partir de l’AAMM, qui vous remercie de votre engagement et de votre affable soutien, entre autres associations dynamiques et ONG civiques, d’éclairer l’Etat sur un dol qu’il entretient et de faire prendre conscience à la cascade des décideurs, d’un concept nouveau, celui du DROIT DES MALADES. Nous sommes devant des punitions collectives, perpétrées selon un système organisé et des modes légalisés. Exactions aberrantes, devenues institutionnelles et inconscientes, revers d’un droit naturel, mais ignoré, doublé d’un devoir oublié. Nous ne disons pas dénigré, de par notre immense espoir en notre pays et en nos cadres nationalistes, car ce droit et sa solution sont simples !
    Ce droit légitime et naturel est celui d’être traités, sans arnaques ni surenchères, comme il devient coutumier de le lire, de le voir, de le souffrir et de le déplorer. Droit de refus nouveau et devoir de délation nôtre, doublé d’une violente condamnation face à des prélèvements coutumiers, impropres et inconséquents. Nous dénonçons avec vigueur citoyenne, dans un esprit pédagogique inlassable, ces taxes abusives dans leur concept, qui saignent les malades ! Une aberration, dès qu’il s’agit pour le fisc de frapper les médicaments et de pénaliser les demandeurs de soins ! Dès lors, il nous parait juste de ne pas laisser le malade crouler sous la chape des TAXES DOUANIERES et autre antinomique TVA sur la maladie !

    Reformater les taxes

    La loi qu’il s’agit d’exorciser, l’abcès torpide qu’il s’agit d’inciser est donc cette ostensible et publique tare de l’Etat ! Une infamie, qui aberrante déjà, obère l’accès aux soins ! C’est-à-dire qu’il s’agit pour vous maintenant de faire raisonner le législateur et repenser aux réglementations devenues infâmes. Des us contreproductifs, car ils pèsent sur l’accès aux médicaments et aux soins, des soins que l’état veut élargir pourtant par l’AMO !

    Un leitmotiv libératoire s’entend ! Reformater les taxes de douane et de TVA ! Ces contraintes contraires que l’état nous impose, sont des pénalités sur les fièvres et les douleurs. Des charges superflues qui représentent entre 25 % (à 42 du prix des laits de bébés) sur les médicaments les plus indispensables, comme ceux de première nécessité ! Sauf exception ! Cette arnaque est vécue comme une entrave au simple droit de se soigner et comme un carcan, un boulet, autant d’exactions punitives, qui datent de l’ère qui précède celle des droits de l’homme !

    Une taxe rétrograde anti humanitaire et un cumul d’indignités

    Ces dissonances, artéfacts fossiles, archaïques, dignes des gestions reptiliennes, sont gravement antisociales. Elles plombent l’accès aux soins. Vous m’excuserez de m’appesantir sur cette punition collective qu’on administre à la Nation ! Elle est indigne du Maroc, contraire aux valeurs préconisées par le ROI Sidi Mohammed VI que dieu le protège. Indigne du Ministre Financier et du grand socialiste USFP, Si Oualaâlou, qui donna ses cours de droit et d’économie au Roi, et que nous avons tant interpellé ! Indigne de son sémillant successeur et nouveau responsable du RNI, Si Salaheddine Mezouar. Indigne des valeurs enseignées par les Partis Nationalistes et du Premier Ministre Me Abbés El Fassi qui rassemble avec Si Abdelouahed Radi, les piliers princeps de la Koutla. Indigne des démocrates, indigne de l’Islam, civilisé antérieur et cautérisé à présent, indigne de notre ouverture moderne. Indigne de notre tolérance, qui doit être une passion envers autrui, et d’abord, envers ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur être, dans leur santé et dans leur personne. C’est une antinomie humanitaire que toute personne sensée, dotée d’un minimum de civisme et d’éthique citoyenne, se devrait de condamner, afin que les plus hauts responsables et dignitaires du pays, puissent l’effacer à jamais. Et ce, au nom de ceux qui souffrent, pour la bonne économie de l’Etat, comme par patriotisme.

    Un exemple brillantissime du Roi citoyen

    En effet, l’école de solidarité et de défense des tranches pauvres et des handicapés, exprimée avec ardeur, en temps réel et sur le terrain, par notre Roi Sidi Mohamed, stimule notre énergie civique. Elle nous libère et nous pousse à la franchise, plutôt qu’au laisser-faire ! Elle éveille en nous, médecins, vos amis, admirateurs, militants et concitoyens, une volonté de voir les gouvernants et les réglementations suivre, avec réalisme et dans les actes, la juste passion de SM que Dieu Le garde.

    Un besoin de réformes humanitaires

    Réformer les concepts, c’est donc, pour l’Etat de réviser le cadre même de sa fiscalité sur les soins, à la lumière de clairvoyance de SM le Roi. A commencer par les médicaments et leurs divers intrants. De l’usine au labo et de la pharmacie au bloc ! Les citoyens sauront accepter les mesures de remplacement, les plus légères, sur le timbrage local, fiscal, sur les boisions prises en public dans les café, par solidarité et civisme, « à la santé des malades » ! Sans gêner leur aisances et leur susceptibilité de classe, les plus riches accepteront les taxes sur les produits de confort et de luxe qui viendront remplacer celles de la Douane et de la TVA, lesquelles ne font trinquer que les malades, même ceux des states les plus pauvres ! Il ne faut pas sortir de Saint Cyr pour supprimer les rubriques budgétaires par d’autres mieux adaptées au Maroc nouveau ! C’est une mesure salvatrice et de solvabilité de cet humanisme humanitaire qui est le nôtre et pour lequel nous admirons notre Roi initiateur ! C’est une question de force et de volonté contre les archaïsmes. Une autre forme du Nouveau Pouvoir !

    Un besoin d’évolution démocratique

    Supprimons dès lors les taxes rédhibitoires qui pénalisent l’accès aux soins. Car ces prébendes usuraires sur les souffrances, génèrent de la haine et suscitent la sédition ! Ces pénalités révoltantes sur les fièvres et les douleurs, injustes et inhumaines, surmultiplient les mécontentements populaires ! Comme ces entraves augmentent notre lot d’incapacités et de handicaps, par les retards, sinon par l’empêchement des secours initiaux et dans les prises en charge ! La cherté mine le chemin des soins et barre leur administration.

    En défiscalisant les soins, les médicaments et leurs intrants, c’est le budget de la Santé publique, (en premier, celui des hôpitaux, civils et militaires), qui sera décuplé. Ses médicaments, ses instruments, ses réactifs !
    Car l’investissement dans la Santé doit être vu, au moins, comme celui du Tourisme, pour son développement et ses privilèges, et soutenu comme l’une des priorités, aussi importantes que la fourniture du blé toute l’année, le pain qu’on subventionne, et du lait qu’on importe pour le mois de Ramadan !

    Et tous les malades, du plus dramatique, au plus complexe, du moins grave au plus léger, seront dispensés des frais injustes et superflus ! La Santé s’offrira à un plus grand nombre ! Les Marocains qui n’ont pas d’autres saints auxquels se vouer, seront plus soignés et mieux soignés. Ils seront reconnaissants au Pouvoir Royal qui aura libéré leur santé des contraintes ! Cette OPA, géniale, profitera à l’AMO et à l’INDH qu’elle consolidera par des coûts de médicaments et de soins plus accessibles. Cette réforme, sur nous-mêmes et nos réglementations, est à faire en bloc et d’un seul tenant pour qu’elle soit productive et efficiente.

    Des lois justes et plus honnêtes, sans discrimination entre les pathologies

    En supprimant les taxes décriées, messieurs les Conseillers du Roi, vous rendez justice à l’Etat et vous rendrez sa pureté aux lois en les ré-humanisant. Agissant ainsi et conseillant de la sorte, vous rendrez les lois plus louables, plus amènes, plus convenables, plus en harmonie avec la politique de solidarité imaginée par SM.

    Mesdames et messieurs les Ministres et les Députés, vous les Cadres sains de la Nation, vous les leaders d’opinion et les responsables des Partis, vous qui pouvez avoir l’audience et l’écoute du Souverain, vous êtes des responsables, sensés transmettre les dols de la population à SM. Nous percevons pour le Pouvoir, une gloire de plus, une exaltation de l’admiration et des louanges supplémentaires, un bénéfice en popularité opportun pour tous les acteurs de l’ETAT.
    En plus de la reconnaissance de la part du Peuple, l’effet produira un rejaillissement psychologique sur son imaginaire et un starter sur son enthousiasme rouillant

    ! Un plus en sera l’effet humanitaire, qui confortera notre image au sein des Nations les mieux développées !
    Cette réforme de la fiscalité des soins et des médicaments, sera une option curative du brouhaha généré par toutes les hausses des prix dans les hospices publics et autres indélicatesses ! Une chance, qui, si elle est bien pulsée, sera capable de stimuler, sans doute, cet amour pour la Patrie, qui semble en défection depuis la Marche Verte et qui se vit dans la morosité ambiante et le dégoût navrant de certains, qu’il est temps d’oublier pour développer l’INDH et d’aller voter, au besoin, pour d’autres consciences !

    Dr Idrissi M. Ahmed, Président de l’AAMM, Kénitra

    ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHÉNIQUES DU MAROC
    Kénitra, le 1er MAI 2010, Assistance : 00212-0-661252005, Tel-fax: 00212-0-537376330, aamm25@gmail.com

    #275577
    Alaa-eddine
    Participant

    Je ne vois pas de quoi vous parlez, que voulez vous dire par : prostitution dans les familles ?

    et juste une précision : prière de ne pas citer des lieux, quartiers, noms de familles …etc vous pouvez risquer des poursuites et nous avec.

    la discussion est ouverte tant que vous respectez ces règles.

    #264552

    En réponse à : quel plat avez-vous cuisiner?

    amine200
    Membre

    comment faire pour avoir « la maakouda à la oujdi » :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
    Tu fais cuire à l’eau bouillante des pommes de tere avec leur pelure.Après environs 20 minutes , tu les pèles puis tu les fais écraser pour les rendre comme de la purée.
    Après ,tu ajoutes du sel, du poivre et tu en fais une grosse boule
    Ensuite , tu ajoutes un oeuf à la pâte et tu mélanges à nouveau
    Ensuite , tu mets un peu d’huile sur un poele et le laisse bouillir
    Après ,tu prends une boule de purée que tu trempes dans une assiette de semoule fin puis tu en fais un rond et tu mets dans le poéle
    Tu la fais cuire des deux côtés
    C’est comme ça qu’on fabrique la maakouda chez nous à Oujda
    Bon appêtit

    Alaa-eddine
    Participant

    @nediha_gawriya wrote:

    par contre y’aura de plus en plus d’étrangers à Oujda chose que plait guère!

    haha faut pas réfléchir comme ca, toi même t’as souffert de gens qui pensent comme ca en belgique et au luxembourg 😉

    sinon pour le tramway je pense que tu n’as pas lu la suite 😆 😆

    #275213
    touria016
    Membre

    @ hassani :  » le rôle de l’hopital donc de son personnel est de soigner mais tout d’abord de bien accueillir ses visiteurs et ses malades
    en vue de les soigners mais notre HOPITAL EST MALADE QUI ET COMMENT LE GUERRIR? »

    Que pense tu de ça (ma réponse plus haut):

    « Ce qui manque avant tout, c’est un véritable changement des mentalités : la plupart des praticiens (je dis bien la plupart et pas tous) sont corrompus ne serait ce à l’image du jeune étudiant en médecine qui s’est trompé de filière : il s’est cru en commercial alors qu’il était à proprement parler en MEDECINE.

    Certes, on cherche tous à bien gagner nôtre vie, qu’elle soit confortable…mais je vous apprendrai rien si je vous disais qu’avant tout un médecin c’est qulqu’un qui a pour vocation à accompagner le patient dans sa guérison. Si l’objectif principal de se faire du fric alors, je crois qu’on perd son temps, qu’on se trompe de voie. Tout ça pour dire, qu’il faut d’abord un changement de mentalité, un changement de la conception du métier de médecin qu’on se fait, via la formation..D’ailleurs, c’est valable pour l’ensemble des membres du corps médical : une infirmière qui refuse de te guérir qu’à la condition que tu lui files tes pantoufles, ou ta belle écharpe qu’elle a « soigneusement » prit la peine de vanter à maintes reprises..désolée mais moi j’appelle pas ça une infirmière !
    Alors, je sais pas si ça existe ou pas, mais je pense que si y avait des règles déontologiques pour encadrer ce genre de comportement, et qu’elles étaient appliquées, ça en dissuaderait plus d’un !

    Ensuite, si on creuse un peu plus, je crois que le problème est plus profond : sans protection sociale, sans droit à la santé, le malade sera indépendamment du fait qu’il soit malade, très vulnérable à ce genre de pratiques. Si on reconnait au malade le droit d’avoir accès au soins…ça serait un autre moyen pour dissuader ces charlatans (je vois pas comment on pourait appeler ça autrement..) d’agir comme ça.

    Le problème est présent, mais les moyens de le résoudre le sont aussi, alors à nous de dégainer l’arme.« 

15 réponses de 76 à 90 (sur un total de 577)
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