Résultats de la recherche sur 'Re:'
Forums › Rechercher › Résultats de la recherche sur 'Re:'
-
AuteurRésultats de la recherche
-
mbasso khobze khasso
Membreالبراد ديال اتاي فاتت عليه سكرة قلها انت ي حلوة يا سكرة جاوبات ايوة يا مذوبني 😆 😆 😆 😆 😆
ayman
Membre@houlakou wrote:
قالت زوجة لزوجها ساعة غضب:يا ريتني تزوجت ابليس ولا تزوجتك
اجاب:لا يصح لأخ ان يتزوج اخته.😆 😆 😆
décembre 7, 2007 à 1:58 #239626En réponse à : OU SONT ARRIVé les Travaux de réaménagement urbain a OUJDA ?
houl
Membre@ratek84 wrote:
Est ce qu’il y a quelequ’un qui peut nous dire , ou sont les travaux de réaménagement urbain qui ont commencé a oujda depuis un an ??
😆 😆 wach rak tkalam bniytak nta?hadik al hamla ka ysamiwha (tanga 002 mim min dawakh al ghachi) ,dima ka ydirouha qbal lintikhabat al baqiya fi hyatak shab chkara darbou darba wamchaw bal haq mayansawkouch ghadi ydirou likoum alwaada fsidi yahya ara ma tbarou
décembre 6, 2007 à 5:17 #212550En réponse à : tribu ouled sidi Ali
sadi
Membrebonjour
une des familles idrissidesse se trouve près de Tombouctou dans le Sahara, leur grand père est Sidi Ali, c’est un cherif et un grand cheikh quadiri. En connaissez vous l’histoire?décembre 6, 2007 à 12:19 #239600En réponse à : RECHERCHE URGENT
hafid
Membre@Farah91 wrote:
@hafid wrote:
@Farah91 wrote:
Salam ailekoum
Je suis a la recherche d’une villa a Oujda entre 1.000.000 Dhrs de preference rue Ben Khadoun ou Hay Johara ou encore Hay Al3askari. Avec PHOTOS SVP!
Mercikayan bazzaf alvillat fi hadik ajiha man algantra asghira hatta al mal3ab acharafi ana na3raf wahad assamsar wald hadik ajjiha ila bghiti telefoun diyalo na3tihlak
Hteli nemra dial tilifoune nta3 had assamsar
071024514
décembre 6, 2007 à 12:13 #239619En réponse à : La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographiqu
observateur
MembreLalla Zoubida est un personnage clé dans l’histoire du roman et ce à plus d’un titre. Elle est la mère d’un enfant mineur et par conséquent son tuteur, comme elle est la maîtresse de maison d’un foyer d’où le père est souvent absent. Elle a la fonction de remplir les vides : vide patriarcal laissé par l’absence de la maison de son mari Si Abdeslam et vide narratif laissé par le jeune âge du narrateur Sidi mohammed. A ce titre, elle est constamment présente et sa présence pèse lourd sur le récit qu’elle domine par ses nombreuses interventions aussi bien à caractère social que narratif. C’est une femme qui s’impose à Dar Chouafa par ses origines de Chérifa ,descendante du prophète(femme de naissance noble) comme elle le fait entendre à haute voix :<>( page 16) c’est pourquoi elle prend des airs de supériorité sur ses voisines dont le nom n’est précédé d’aucun titre de noblesse comme Rahma et Fatma Bziouya tout court ; enhardie par ses origines, elle s’impose par son parler rude et par ses prises de positions pour prendre la défense de son amie Lalla Aïcha dont elle se fait l’avocate ou pour s’en prendre aux autres ; elle s’impose également par ses interventions dans le récit qu’elle prend en charge au détriment du narrateur officiel et attitré.
Toutes les fois que Lalla Zoubida prend la parole, c’est pour agresser ou contrefaire. Son langage est grossier et frôle parfois le vulgaire, ses insinuations nombreuses. Elle domine l’œuvre par sa présence permanente, et Dar Chouafa par sa position : rien ne lui échappe de son deuxième étage qui lui offre une vue en plongée. Pour rentrer chez-elle, elle passe par Kanza, la Chouafa, par Rahma la femme du fabricant de charrues, et par Fatma Bziouya ; pour en descendre, elle fait l’inverse. Elle est donc le personnage le mieux renseigné du roman, plus que le narrateur lui-même, grâce à ses nombreuses sorties qui lui permettent d’aller à la recherche des nouvelles qu’elle trouve du plaisir à colporter.
Dès la seconde moitié du chapitre I, le lecteur prend connaissance de Lalla Zoubida : en effet, elle accable d’insultes Rahma qu’elle traite de tous les noms ; son mari non plus n’échappe pas à sa langue :<> (page 16). Au retour de Si Abdeslam de son travail, elle lui fait le comte rendu de la dispute du jour à sa façon mais de manière non moins insultante pour sa voisine qu’elle dédaigne de nommer et qu’elle désigne par le métier peu noble de son mari :<> (page 18). Comme la journée ne lui a pas suffi à calmer les démons qui habitent son corps de démon femelle, lalla Zoubida ouvre les hostilités .Et les deux femmes enhardies par la présence du mari de chacune, s’échangent des insultes d’égale à égale, mot pour mot, injure pour injure, contorsion pour contorsion. La dispute du soir est une réplique de celle du matin avec en plus la présence des hommes et le sentiment que Rahma a de rendre à Lalla Zoubida coup pour coup. A <> de Lalla Zoubida, répond :<> de Rahma (pages 18 et 19). Et la suite est une cacophonie d’injures, d’insultes, de cris, mêlée d’échevellement, et de contorsions.
Abdelkader, l’associé de Moulay Larbi, n’échappe pas aux diatribes et invectives de Lalla Zoubida; elle le traite de ; de , pour devenir en fin de compte. Elle le classe parmiet<> (pages 68 et 69)
La fille du coiffeur devenue la seconde épouse de Moulay Larbi fait les frais de Lalla Zoubida par ses insinuations indécentes à caractère charnel ou érotique : (page232).
Le narrateur lui aussi reçoit sa part du registre de Lalla Zoubida qu’elle désigne par des dénominatifs non moins péjoratifs et insultants<> ; <> ;; (page 104).
Crainte de la plupart des femmes pour être une femme qui fraternise avec Satan et le Diable et pour commander les Démons qui peuplent l’univers, La Chouafa ne fait pas exception à la règle :<> (page 111)
De retour chez-elle après le bain maure, elle se livre à toute une comédie où elle allie avec art le geste au verbe et dont les baigneuses et les masseuses sont les infortunées victimes contrefaites :<> (page13)
Et pour finir Lalla Zoubida se joint à Lalla Aïcha, et à Salama la marieuse pour couvrir d’injures le coiffeur, sa mère, sa femme et leur fille : elles<>, quant à la mère du coiffeur (<>) (page 238) même morte, elle n’est pas épargnée. Les deux Lalla composent un couple de jumelles parfaites ; les noms des Khadija ne leur échappent pas : Ils sont pour elles source de plaisanterie et de rire<> (page148).
Puis les deux Lalla donnent libre cours au côté poétique de leurs commérages sur les hommes :<> (page 58).
Le registre de Lalla Zoubida est riche et varié en grossièreté. S’il lui arrive de ne pas trouver une victime sur qui se décharger, elle se retourne contre sa propre personne : (page 177)
Zaid Tayeb 12-11-07
décembre 6, 2007 à 12:10 #239618En réponse à : La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographiqu
observateur
MembreDeux récits jumeaux s’emboîtent dans la Boîte à Merveilles pour tisser sa structure de manière parallèle ou superposé. D’un côté, il y a le récit de la famille de Sidi Mohammed et de l’autre celui du couple Moulay Larbi et sa femme Lalla Aïcha. Mais il semble que le second récit a éclipsé le premier. Je crois que la narration de l’un et de l’autre y est pour quelque chose dans cette prééminence de l’un sur l’autre. Si la narration du premier récit est menée par Sidi Mohammed en sa qualité de narrateur attitré par l’auteur, la seconde, elle est plutôt conduite par Lalla Zoubida. Et nous avons l’exemple de deux récits dont l’un entre en concurrence avec l’autre et le masque aux yeux des lecteurs Donc, le récit de Lalla Aïcha prime par son tragique celui du narrateur sur sa propre famille. Quelle en est la cause ? Elle est toute simple. Le narrateur adulte qui émerge du récit en tant que personnage et s’approprie la narration en la chuchotant, en la mimant, intéresse mieux que le narrateur officiel qui voit les choses avec les yeux d’un petit garçon et dont le récit est d’une platitude des dents d’un peigne. Les lecteurs écoutent plus l’adulte que l’enfant car il sait mieux que lui capter l’attention en modulant son récit en fonction des effets qu’il cherche à produire. Lalla Zoubida est donc mieux armée en ce sens que son poltron de fils. Et le monde vu par les yeux d’un adulte retient mieux que celui perçu par un enfant de 6 ans.
Le récit premier que je considérerai comme le récit porteur est le récit de Sidi Mohammed, le narrateur à qui l’auteur a confié la tache de raconter une partie de son enfance. Il est vrai que cette partie ne constitue qu’une infime part de la vie de l’auteur puisqu’elle ne dépasse pas une année de l’âge de l’enfant narrateur.
I- Etat initial :<> (de la page 3 du chapitre I à la page 164 du chapitre VIII)
II- Perturbation : (de la page 164 du chapitre VIII à la page 166 du même chapitre)
Ceux qui auront choisi la perte du capital de Maâllem Abdeslam comme élément perturbateur n’auront pas tout à fait tort, quant à moi je considère que les choses ont commencé à mal aller pour la famille avec l’achat des bijoux auxquels Lalla Zoubida attribuent un effet néfaste en prédisant que le malheur viendrait par eux. N’a-t-elle pas dit avec la fermeté d’une femme qui écoute la voix de son cœur :<> ? (Page 168), puis : ? (Page 169) et encore<> ? (page 170) . La perte de l’argent n’est que la réalisation du présage de Lalla Zoubida annoncé précédemment. La perte du capital, qui survient à la page 178 du chapitre IX<< J’ai perdu dans la cohue des enchères aux haïks tout notre maigre capital) la perte du capital, dis-je, est donc une péripétie de l’action qui sert à enfoncer encore plus le récit dans la trame de la narration à un moment où tout semblait bien aller pour cette famille qui, comparée aux autres familles, vivait dans une certaine quiétude, à la mesure de l’époque, bien entendu.
III-Action :<> (de la page 166 du chapitre VIII à la page244 du chapitre XII)
IV- Force équilibrante : (de la page 244 du chapitre XII à la page 245 du même chapitre)
V- Etat final :<> (de la page 245 du chapitre XII à la page 249 du même chapitre)
Le récit second est celui mené par Lalla Zoubida devenue une narratrice d’elle-même ; c’est une prise de pouvoir et un coup d’état perpétré contre le narrateur officiel du roman, mais il demeure bénéfique pour la lecture de l’œuvre dont les péripéties se déroulent sur deux fronts : parallèles ? Alternatifs ? Superposés ? Peut-être les trois à la fois. Mais ce qui est certain c’est que les deux récits s’emboîtent et vont de pair pour trouver leur résolution avec la dernière page de l’œuvre dont ils sont les constituants majeurs.
I- Etat initial : (de la page 21 du chapitre II à la page 171 du chapitre VIII)
II- Perturbation : (de la page 171 du chapitre VIII à la page 172 du même chapitre)
III- Action :<> (de la page 172 du chapitre VIII à la page 220 du chapitre X)
IV- Force équilibrante : de la page 220 du chapitre X à la page 239 du chapitre XI).
Avant l’entrée en scène de Salama la marieuse qui est porteuse de la résolution du nœud, Lalla AÏcha connaît l’issue heureuse de l’histoire. Le chapitre XI constitue une mise en scène orchestrée par Lalla Aïcha . Il est plus qu’une assemblée de femmes. C’est une mini cours de justice avec son public (Lalla Zoubida), la victime (Lalla Aïcha), le témoin ( Zhor) et le complice(Salama la marieuse). La scène se termine par le verdict dont le lecteur a pressenti la teneur avec la fin du chapitre X: (page 221 du chapitre X).Le coupable Abderrahman le coiffeur, jugé par contumace, est accablé d’injures, lui et sa famille(page 238 du chapitre XI). Quant à Moulay Larbi, le principal accusé, il est présenté comme la victime innocente du coiffeur et par conséquent « acquitté ».Justice est donc rendue.
V- Etat final : (de la page 240 à la page249 du chapitre XII). La résolution du problème est confirmée par Driss El Aouad : (page 248 du chapitre XII)
La lecture des deux récits nous offre la possibilité de les comparer. En effet, si le récit de Lalla Aïcha, mené par Lalla Zoubida part un chapitre plus tard que celui de la famille du narrateur, conduit par Sidi Mohammed, il n’en demeure pas mois que les deux récits vont en parallèle : ils se dégradent tous deux au chapitre VIII et trouvent leur résolution au terme du chapitre XII.Récit de Sidi Mohammed racontant une partie de La vie de sa famille
Le récite de Lalla Zoubida racontant de manière parallèle l’histoire de son amie Lalla Aïcha
1-situation initiale : du chapitre I, page 3 au
Chapitre VIII, page 164.
2- Perturbation : du chapitre VIII, page 164 au
Chapitre VIII, page 166.
3- Action : du chapitre VIII, page 166 au
Chapitre XII, page 244.
4- Force équilibrante: du chapitre XII, page 244
au chapitre XII, page 245.
5- Situation finale : du chapitre XII, page 245 au
Chapitre XII, page 249.
1- Situation initiale : du chapitre II, page 21 au
Chapitre VIII, page 171.
2- Perturbation : du chapitre VIII, page 171 au
Chapitre VIII, page 172.
3- Action : du chapitre VIII, page 172 au
chapitre IX, page 220.
4- Force équilibrante : du chapitre IX, page 220 au
chapitre XI, page 239.
5- Situation finale : du chapitre XII, page 240 au
Chapitre XII, page 248.
Le lecteur peut très bien remarquer que la perturbation dans le récit de Sidi Mohammed se situe 7 pages en amont (page 164) de la perturbation du récit de sa mère (page 171), que toutes deux se situent au chapitre VIII à quelque 6 pages d’intervalle la première de la seconde. En conséquence, il n’y a pas de doute que les deux récits, menés par deux narrateurs différents au sein d’une même œuvre se chevauchent pour aller l’un avec l’autre vers une fin identique : chacune des deux femmes voit son mari lui revenir, Maâllem Abdeslam d’une absence pour travail, Moulay Larbi d’une escapade avec une autre femme.
Les numéros des pages renvoient à l’édition’’ Librairie des Ecoles- Casablanca’’
Zaid Tayeb 15-11-07décembre 4, 2007 à 8:41 #239599En réponse à : RECHERCHE URGENT
Farah91
Membre@hafid wrote:
@Farah91 wrote:
Salam ailekoum
Je suis a la recherche d’une villa a Oujda entre 1.000.000 Dhrs de preference rue Ben Khadoun ou Hay Johara ou encore Hay Al3askari. Avec PHOTOS SVP!
Mercikayan bazzaf alvillat fi hadik ajiha man algantra asghira hatta al mal3ab acharafi ana na3raf wahad assamsar wald hadik ajjiha ila bghiti telefoun diyalo na3tihlak
Hteli nemra dial tilifoune nta3 had assamsar
décembre 4, 2007 à 6:53 #239598En réponse à : RECHERCHE URGENT
hafid
Membre@Farah91 wrote:
Salam ailekoum
Je suis a la recherche d’une villa a Oujda entre 1.000.000 Dhrs de preference rue Ben Khadoun ou Hay Johara ou encore Hay Al3askari. Avec PHOTOS SVP!
Mercikayan bazzaf alvillat fi hadik ajiha man algantra asghira hatta al mal3ab acharafi ana na3raf wahad assamsar wald hadik ajjiha ila bghiti telefoun diyalo na3tihlak
décembre 1, 2007 à 4:49 #214462En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
el-hammouri
Membreالى الاخ بوعياد هل لك ان تخبرنا اين دفن سيدي اعلي بوشنافة>وهل تستطيع ان تدلنا على مراجع حول تاريخ سيدي اعلي بوشنافة من الادارسة حتى اولاد موسى مثلا=مشكور على دلك >رقم هاتفي هو 😛
el-hammouri-27_@hotmail.fr
لا تنسانيdécembre 1, 2007 à 2:22 #239558En réponse à : [Enigme] un petit truc
dawy
Membre@houlakou wrote:
A quelle epoque de l humanite cette egalite a-t-elle ete verifiee?
31 oct=25 dec31 en octal vaut 25 en decimal 💡 😆
Chifourak a 7lima.
Un vrai chef d’oeuvre. 😆 😆
Merci beaucoup.novembre 30, 2007 à 10:07 #239531En réponse à : [Enigme] (Mesurer une mi-temps du match de foot)
dawy
Membre@ficam wrote:
-Vous disposez d’un joli briquet de non-fumeurs et de deux bandes identiques en tissu.
-Si vous allumer l’extrémité de l’une de ces deux bandes elle met 30 minutes pour brûler toute entière (pour que le feu arrive à l’autre extrémité).
-Les deux bandes ne sont pas uniforme : la vitesse de combustion à chaque instant est imprévisible.
Question:
Comment pouvez vous grâce à ces deux bande et à votre briquet mesurer une mi-temps (45 minutes) d’un match de foot?
Impossible de bruler quoi que ce soit avec ce briquet.
Puisque c’est un briquet de decoration (non-fumeurs),Il ne produit pas de flamme.
N’est-ce pas?novembre 29, 2007 à 1:25 #229347En réponse à : dans quel lyce
ayman
Membre@dawy wrote:
Mnin kan Houlakou manfi f’madagascar 😆 😆
Houlakou makhala ta blassa , mara niaggara, mara madagascar !!!!mana3ref fin radi yjibha lmara jaya ! 😀
novembre 29, 2007 à 12:44 #229345En réponse à : dans quel lyce
dawy
Membre@ayman wrote:
@amato-allah wrote:
Salam, Moi j’étais a waliy al3ahd (mohammed 6) et après a ziri ibn 3atiya
c’étaient des jours innoubliables avec eux et avec les amies,
un grand salam a tt mes profs
à quelle epoque t’as été à waly l3ahd?
Mnin kan Houlakou manfi f’madagascar 😆 😆
novembre 29, 2007 à 12:17 #235184En réponse à : لماذا لا نقول لها شـــكـــرا؟
dawy
Membre@houlakou wrote:
@dawy wrote:
@amato-allah wrote:
salam
merci de ton beau sujet Mr ali kadiri !
allah ismah lina men alwldine.La fin des tarawi7s c’est pour quand?
😆 😆 😆 😆 tarawahi bakistaniya khouya DAWI 98 rakaa ,waqaf hadak lhawli rah khraj galbou 😆 😆 😆 😆 😆
Khalli dinamou yajri 7atta ya8dar m’3aya bal abdab.
A bon entendeur………………………….Ba3333333333333333333333 😆 -
AuteurRésultats de la recherche