Résultats de la recherche sur 'carte maroc'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'carte maroc'

15 réponses de 151 à 165 (sur un total de 175)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • #201872

    Sujet: vive la liberte de reflechir

    dans le forum Débats

    salut à tous de la part de Yeghmorrassen.
    je voudrais chers amis si vous le voulez bien preciser certains point pour arriver ensemble à cerner notre sujet sur la descendance de IDRISS 1er.
    democratiquement libre à chacun de remonter l arbre genealogique de sa famille et peu importe si celà represente un interet queconque pour lui ou non.mais alors deux problemes se pose à la personne qui entame une telle recherche :
    1er probleme : le procédé suivi dans la recherche de ses ancetres . il va peut etre utiliser des livres d histoire , des actes de mariages de certains membres de sa famille voire de ses grands parents , des temoignages ecrits ou oraux rassemblés ici ou là et peut etre des chajarates ( du mot arbre) trouvés chez un parent , c est une peau de gazelle sur laquelle sont repartis des noms : x fils de y fils de ….jusqu au imam ali et sayyida fatima zohra fille de rassoul sidna Mohammad. Se pose alors le probleme de authenticité et du degré de vérité de ces sources ? avouez que celà n est du tout une chose faclle pour des documents personnels . la preuve le monde musulman est completement divisé sur lacceptation ou le refus de tel ou tel Hadith meme si celui ci se truve dans les livres de BOUKHARI , MOUSLIM et compagnie qui ne d ailleurs pas des arabes sauf peut etre AL BAYHAQUI. et à propos de boukhari il ne contient TENEZ VOUS BIEN qu un seul et unique hadith cité par Fatima fille du prophete qui ne l a jamais quitté et comporte plus 3700 hadith de abou hourayra qui n a embrassé l islam qu à KHAYBAR c est à dire 3 ans et 4 moi avant la mort du prophète. c est quand meme incroyable qu on ne dispose que d un seul ha dith de la fille du prophéte mais rassurez vous les arabes de qoraich et banou oummayya sont passés par là . quant au cousin et gendre du prophéte l imam Ali qui vécu avec le prophéte jour par jour on lui trouve 24 hadiths chez notre cher boukhari . POURQUOI alors lisez un peu et faites vos recherches . vous comprenez donc qu il est certainement tres difficile de se fier à des documents ecrits il ya seulement 3 ou 4 siecles pour décider qu on est ou pas descendant du prophéte . ceci est pour la descendance d IDRISS et pour les autres dsecendances. mais pour en avoir le coeur soumettons les documents cités plus haut par monsieur bouayad à des historiens confirmés au maroc ,et ailleurs puis organisons un clloque la dessus pour mesurer la qualité historique de ces documents . alors faisons celà par exemple à OUJDA puisqu on traite des chorfas de l oriental .mais je voius previens surtout pour les ames sensibles que la déception peut leur beaucoup de mal. à en croire tous les documents qui citent les chorfas je pense qu on doit atteindre facilement 2 ou 3 millions de chrifs au maroc
    à rjouter au chrifs d algerie , de tunisie et de lybie puisqu on nous rapporte que des idrissides ont immigré vers la lybie , nous allons alors atteindre 5 ou 6 millions de chrifs au maghreb. ah j ai oublié les cherifs de la mauritanie , pardon!! . supposons que la tribu des aourabas qui avait accueilli moulay idriss etait constituée à elle seule de 1000 hommes sans compter les autres tributs avec des dizaines de milliers d hommes , combien serait le nombre de marocains aujourd hui 200 , 300 millions ???
    2eme probleme: My Idriss a quand meme laissé une descendance donc suposons qu on trouve un vrai idrisside . en quoi serait il différent de ses freres AMAZIGHS? .serait il plus beau ou plus intelligent ou plus honnete ou plus pieux que ma grand mere berbere qui jeunait 6 jours sur 7 et qui refusait de faire du mal meme à une mouche et qui etait pleine de pitié pour ces pauvres betes ( chiens , chats , anes, chevaux ) qui sont tous les jours mal traitées par les descendants des banou hilal et banou salim que nous a si décrit le grand ibn Khadoun.? bref serait il d une maniere ou d une autre SUPERIEUR à nous autres?
    je ne rentrerai pas dans la problematique de la definition des AHLOU AL BAYT. qui sont ils . la source la plus sure selon oum salama epouse du prophete dans le hadith du KISSAA( bernous du prophete) que ce sont ali, fatima, al hassan et al hussayn. et nous disposons queques textes concernants une dizainede petits fils de al hassan et al hussayn. le reste a subi la manipulation des ommeyyades des abbassides et les autres .
    je dois vous dire que dans un livre sur les chorfas , l auteur a voulu integré la famille des al saoud dans la descendance du prophete et heureusement
    qu un historien egyptien l a raisonné en liui rappelant l origine juive des al saoud , d ailleurs vous ne trouverez dans leur famille ni les prenoms de ali ou hussayn ou hassan mais vous truverez des prenoms du genre fahd, bandar, soltan etc… qui sont connus comme etant des prenoms juifs darabie. par contre chez nous les amazighs on ne trouve que lahcen( hassan) alhoucine, ali , brahim etc…
    enfin j aouterai que je connais beaucoup de gens qui possedent la carte de chrif et qui sont medecins pharmaciens universitaires et meme dans le majliss al ilmi mais qui sont méchants et de vrais moutakabbirines .je prefere un alcoolique bon qu un chrif salopard.
    ceci dit je suis democrate et je me donne le droit de refuser que ces salopards ne peuvent pas porter en eux une seule goutte ou meme une molecule de sang de My Idriiss que je respecte pour sa modestie et son amour des amazighs.
    les soit disant chrif doivent combattre le monkar plutot que d etre complaisants ici et la.
    salut

    BOUAYED
    Membre

    @saidi wrote:

    Bonjour à tous

    Je me permet de m’adresser aux internautes qui ridigent en langue arabe. D’abord, merci pour ce que vous nous apportez comme enseignement et surtout la façon avec laquelle vous le faites. J’ai eu l’occasion en tant que RME comme le destin veut qu’on nous nomme ou surnomme de discuter avec pas mal de jeunes marocaines et marocains vivant à l’étranger dont la moyenne d’âge se situe entre 20 et 30 ans de ce forum d’Oujda city. A vrai dire, qu’il ya tellement de choses sur l’internet, qu’il yavait peu, parmis eux qui connaissaient ce site. En insistant quelque peu et en vantant les mérites de ce site surtout pour ceux d’entre eux qui sont originaires d’oujda (quelque uns savent à peine la situer sur une carte de geographie!) j’ai été agréablement surpris que après un certain temps, j’ai été interpellé par certains d’entre eux pour me dire qu’ils sont allés voir , celà leur semblait interessant mais que malheureusement ils regretent beaucoup et souffrent du fait qu’ils n’arrivent pas à suivre certains sujets qui sont rédigés en arabe. Vous avez, je suppose compris où je veux en venir. Tout en sachant que chaque internaute est libre de s’exprimer comme bon lui semble, mais connaissant aussi votre indulgence et votre compréhension, je me permets de vous demander dans la mesure du possible de faire ne fut ce qu’un résumé en français pour décrire l’essentiel de vos messages. Je sais que ce n’est pas chose facile mais avec un peu de bonne volonté, je peux vous assurer que vous ferez plaisir à pas mal de gens. je vous remercie. saidi

    Bismi Allah Arrahmane Arrahim.

    Mr Saidi Bonsoir.

    Merci beaucoup d’avoir faire cette remarque et vous avez raison de le faire.
    Je tiens à vous poster cette réponse avant de faire mes bagages car vos remarques sont fondées à plus d’un titre. Pour les autres personnes, je ne les ai pas oublié mais les réponses à leurs questions posées demandent mure reflexion et réponses adéquates.

    Je me souviens quand je me suis branché la première fois sur ce site pour répondre aux interrogations de Mr Bouferra Laid sur les origines de la Tribu de Ouled Sidi Ali et au fond de moi-même j’ai éprouvé beaucoup de sympathie et de surtout de la fierté pour ces jeunes des nièmes générations vivant à l’Etranger et qui gardent toujours en leurs mémoires le peu qu’il faut de leurs racines. Comme je l’ai déja dit auparavant, personne n’est venue de nulle part.

    Vous avez tout à fait raison qu’il faut se pencher sur votre suggestion et essayer de traduire ce qu’on doit écrire en Arabe, en Français afin de permettre à nos internautes d’outre-mediterranée et d’outre-océan de pouvoir nous lire et comprendre ce qu’on dit.

    On a déja perdu pour cela un de nos Habitué, Mr Mokhtar, que je salue et Mr Foudil occupé par ses matériaux. Par ailleurs, j’ai bien accusé le coup quand Mlle Berkanita a dit « pour le reste, je ne suis pas arabophone).

    Mr Saidi, j’ai bien lu pas mal de vos interventions qui se font dans un esprit sain, courtois et élégant.

    Comme on dit en Arabe Bil Hamma wa Alhamma ma tbaa ma tachra.

    Bien à vous et avec Toute ma Sympathie.

    Wa Sallamou Alaikoum Wa Rahmatou Allah.

    saidi
    Membre

    Bonjour à tous

    Je me permet de m’adresser aux internautes qui ridigent en langue arabe. D’abord, merci pour ce que vous nous apportez comme enseignement et surtout la façon avec laquelle vous le faites. J’ai eu l’occasion en tant que RME comme le destin veut qu’on nous nomme ou surnomme de discuter avec pas mal de jeunes marocaines et marocains vivant à l’étranger dont la moyenne d’âge se situe entre 20 et 30 ans de ce forum d’Oujda city. A vrai dire, qu’il ya tellement de choses sur l’internet, qu’il yavait peu, parmis eux qui connaissaient ce site. En insistant quelque peu et en vantant les mérites de ce site surtout pour ceux d’entre eux qui sont originaires d’oujda (quelque uns savent à peine la situer sur une carte de geographie!) j’ai été agréablement surpris que après un certain temps, j’ai été interpellé par certains d’entre eux pour me dire qu’ils sont allés voir , celà leur semblait interessant mais que malheureusement ils regretent beaucoup et souffrent du fait qu’ils n’arrivent pas à suivre certains sujets qui sont rédigés en arabe. Vous avez, je suppose compris où je veux en venir. Tout en sachant que chaque internaute est libre de s’exprimer comme bon lui semble, mais connaissant aussi votre indulgence et votre compréhension, je me permets de vous demander dans la mesure du possible de faire ne fut ce qu’un résumé en français pour décrire l’essentiel de vos messages. Je sais que ce n’est pas chose facile mais avec un peu de bonne volonté, je peux vous assurer que vous ferez plaisir à pas mal de gens. je vous remercie. saidi

    #211075

    En réponse à : al maghrib gayer annafiaa

    MEHYAWI
    Membre
    scottlies wrote:
    Vous voyez les cousins, Oujda est une des villes marocaines qu’a trop d’argents dans les banques, et que l’état marocaine l’exploitent beaucoup, et automatiquement il faut en prendre soin, par contre on voit des routes ont des trous qu’on desends par des escaliers, ou des quartiers Sombres, parceq’aucune maintenance des lampes, et si vous voulez eclairer v………………………….
    salam wachrak ya scote;oui tu as tts a fais raison car des fois ont se demende si ont ai vraiment marocain car ont rien en comun avec les marocain apart la carte d identite ou pasport lol.
    manara
    Membre

    @sharon wrote:

    Non Fadi,moi j ai pas traite ce que vous vous appele chorfa comme des cons,c etait mon point de vue,et c est l islam que j ai appris,moi j ai aime l islam pour une raison il est diffirent de toute les religions il n ya pas de mediateur entre dieu et l homme tu peux prier directement a dieu c est ca la difference entre la religion juive et chretiene,et tu peux prier n importe ou sans obligation que ta priere sera benis par un saint.
    moi j ai pas traiter ces chorfa comme des cons,ce que je sais les prophetes et parmi eux MOHAMED SAWS avaient des messages au monde d etre loin des legendes un seul dieu et des centaines de prophetes pour une seule raison,la question des chorfas existe que dans les pays de Magreb et les pays chiits,je ne sais pas c est une question de manque de connaissance ou bien c est un jeu politique,tout simplement pour moi je ne crois pas au chorfas et soyez democratique de respecter mon point de vue.
    tu as cite aussi que je defends les interet des juifs,s ils ont raison pourquoi pas?moi ici je ne parle pas dISRAEL,je parle des juifs en general et pas des seioniste comme a cite MANARA,les juifs sont vecu 2000 ans au maroc avant l arrivee de L ISLAM et ils ont toujours defendu les interets du MAROC.
    pour repondre a MANARA la guerre en IRAQ, les USA est une partie et pas le tout dans cette guerre, L IRAQ etait une bombe retarde,avant meme de l arrivee de Les USA ,toujours avait malendendus entre sunits et chiiaa pardon c est une histoire longue a citer a ce forum…..wa salam

    je suis d’accord avec toi que les sunnites et les chiites ont mené des guerres intestines ds cette règion et ce de puis la mort du Prohète sawsa
    et qui a engendré, des divisions, des schismes et des clans
    tu n’as qu’à lire « les schismes dans l’Islam » d’Henri Laoust pour se rendre compte de cette guerre » sunnite /chiite »
    mais là où je ne suis pas d’accord, c’est que ton sauveur est arrivé en Irak au nom de la démocratie
    pour délivrer le peuple irakien, soi disant,de la dictature de Saddam
    ce qu’à fait Saddam ( aux chiites et au kurdes ) n’est pas comparble à ce que fait l’armée américaine
    et comme c la politique d’un envahisseur( ce n’est pas nouveau) ton cher sauveur utilise la méthode: diviser pour regner
    les kurdes par ici
    les alouites par là
    les sunnites de l’autre côté
    et ainsi de suite
    ton cher sauveur cher sharon veut refaire la carte de la région, il
    veut transformer cette regions en ptit pays
    et c lui qui choisit les gouveneurs
    et ça pour avoir le dernier mot
    sur le petrole surtout
    et avoir à lui seul le monopole du nucléaire
    le peuple irakien est à l’agonie et tu parle de democratie et sauveur
    tu es vraiment tétu( excuse moi) on dirait
    t’a déjà vu un envahisseur construire des écoles et des mosquées ou des hopitaux pour le pays qu’il envahit
    on se reveille sharon
    c bien de defendre son pésident mais pas quand c’est un Bush
    sur ce bonne journée

    #216581
    BOUAYED
    Membre

    BISMI ALLAH ARRAHMANE ARRAHIM

    Cher Mr TAYBI Assalamou Alaikoum wa rahmatou Allah.

    Cela fait plaisir de trouver des Chorfas en Belgique et spécialement les déscendants de Sidi Mohamed Ben Ahmed « Gharras Elkhil ». J’aimerais à l’occasion que vous passiez mon Bonjour le plus chaleureux à toute la communauté vivant en Belgique avec tous mes voeux de Bonheur et santé pour ce sacré mois de Ramadan. « Wa Salamou ala Saidina Mohammad wa Ala Aal Saidiana Mohammad ».

    Avant de répondre à votre question, je vous prie de ne pas faire attention à la provocation, il s’agit tout simplement de ce que j’appelle « l’hostilité gratuite » et vous n’êtes pas le seul à en être la victime. D’autres gens compatriotres ou intervenants d’autres pays frères (Algérie, Libye) et même d’Europe ont eu les mêmes interventions toujours sous la couverture de l’anonymat.
    J’ai lu votre première intervention écrite dans un Feançais parfait témoins d’un certain niveau intellectuel et certains même de nos intervenants sont des universitaires doté d’un certain sens « critique » assez poussé et non d’un esprit « de critique » pouvant faire ressusciter Descartes et qui ne sont là que pour foutre la pagaille.

    Je sais qu’ici à Oujda un certain nombre d’Universitaires et Intellectuels (Professions Médicales, Scientifiques, Juristes ou Autres) surtout parmi les Chorfas suivent bien ce qu’on écrit et ce qu’on leurs apportent comme éléments (Les contenus des ouvrages en notre possession, le Coran et les Hadiths) avec beaucoup d’attention.

    En ce qui concerne votre question :
    pour accéder au topic (sujet)
    الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
    il faut procéder de 2 façons :
    + Si le sujet existe dans la page d’Accueil, il faut cliquer sur le sujet (c’est à dire le titre déja cité) puis ensuite cliquer sur Répondre et écrire directement dans la grande case ce que vous voulez écrire sans pour autant écrire le nom du Sujet.
    + Si le sujet n’existe pas dans la page d’accueil, Cliquez sur Forum puis cliquer sur Café Oujdacity, ensuite allez cliquer sur notre sujet et puis sur répondre et continuer comme c’est déja expliqué.
    Vous pouvez si vous le voulez cliquer sur n’importe quel sujet existant dans la page d’Acceuil, déscendre en bas de page jusqu’à la fenêtre « Sélectionner un Forum », cliquer dessus puis aller sur le Forum « Café Oujdacity » puis aller ensuite cliquer sur notre sujet et sur répondre et écrire ce que vous voulez.

    Bien à vous
    Wa sallamou Alaikoum wa rahmatou Allah

    #214904

    En réponse à : C HALAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

    Alaa-eddine
    Participant

    les trois reseaux français marchent au maroc 🙂 mais il faut activer une option et c’est gratuit pour les trois je pense.
    mais il faut faire attention, quand t’es l’étranger et que quelqu’un t’appel, tu paye une partie du coup de la communication.

    le plus simple serai d’acheter une carte sim au maroc, ca coute trois fois rien là bas 🙂

    bonnes vacances 😉

    BOUAYED
    Membre

    بسم الله الرحمان الرحيم و الصلاة و السلام على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Libre à vous de ne pas dire bonjour puisque vous n’avez même voulu écrire BISMI ALLAH ARRAHMANE ARRAHIM ou tout Simplement ASSALOUM ALAIKOUM en terme latins si vous aviez voulu le faire et vous ne l’avez pas fait. Je ne vais pas vous insulter gratuitement comme vous le faites ni vous dire de choses vilaines puisqu’en vous citant les Hadiths de notre Bien Aimé Prophete Mohammmad صلعم (et non n’importes lesquelles : il faut voir les références) et pas encore les citations de notre Dieu ALLAH tout puissant أخدتك العزة ووليت مستكبرا vous avez de airs hautains et comme bien vous semble.
    Vous entrez dans ce topic avec Arroganceكما يقولون بالعربية الدارجة بصباطكم comme quelqu’un qui veut foutre la pagaille avec une hostilité inouie, pas comme un Invité respectueux et respectable mais avec des propos insultants et pleins de mépris et c’est vous qui avez commencé و البادئ أظلم et on peut vous citer et on peut le voir; vous avez dit :
    « *Je suis étonné qu’il y ait encore des gens qui nous parlent des Chorfas… »
    « *Etre Idrisside ne veut pas dire forcément déscendant d’Idriss… »
    « d’Ailleurs, il serait stupide de croire que Idriss à lui seul a laissé autant de déscendants sachant qu’il a été tué peu de temps après son arrivée au Maroc… »
    « *Il faut savoir aussi que quand CET Idriss est arrivé au Maroc, personne ne lui a demandé sa carte d’Idendité ou son ADN pour savoir s’il était vraiment déscendant d’Ali et Fatima… »
    « *Y’a-t-il des Chorfas chez les Béni Znassen? Beaucoup le prétendent et certains ont obtenu le Dahir pour ne pas payer d’impôt… »
    Comment vous appelez ça si ce n’est pas de l’Insolence, de l’hostilité gratuite; des propos que n’importe qui, qui le lit , vous dit que si ignoble, malsain et misérable. Je n’aime pas être à votre place quand des gens Chorfas Idrissides ou autres , Arabes ou non et même chez les Beni Znassen le lisent; ils ne vous pointeront pas seulement du doigt, ne feront pas seulement des serments reclamant au Bon Dieu que Justice soit faite mais ils vous maudiront jusqu’à la fin de vos jours. et Pourqu’oi ?
    Vous êtes allé plus non seulement en insultant et en méprisant les Idrissides, les Chorfas que vouliez ou non sont Ahl Albait mais aussi les Arabes et vous avez terminé même avec l’Islam…

    La suite Inchaa ALLAH après la Prière du Fajr de ce Vendredi Jour Sacré des Musulmans

    Anonymous
    Membre

    Bonjour à vous tous,
    Je suis très étonné qu’il y ait encore des gens qui nous parlent de chorfas alors que le bon dieu a indiqué qu’il n’y a pas de différence entre un a’ajami et un arabe que par la foi.
    Etre Idrisside ne veut pas dire forcémement être descendant d’Idriss. Cela veut dire être partisan d’Idriss. D’ailleurs, il serait stupide de croire que Idriss à lui tout seul a laissé autant de descendants sachant qu’il a été tué peu de temps après son arrivée au Maroc et que la seule femme qu’on lui connait est Kenza. Il faut savoir aussi que quand cet Idriss est arrivé au Maroc personne ne lui a demandé sa carte d’identité ou son ADN pour savoir s’il était vraiment descendant d’ Ali et Fatima. Si les Aouraba l’ont choisi à l’époque, c’était pour contrer les Fatimides qui avaient élu domicile en Tunisie. Les Aouraba étaient Zénètes et avaient besoin d’un descendant chérifien pour contrer leur cousins Masmouda qui avaient soutenu les Fatimides et du même coup s’opposer aux Ommeyades qui venaient de s’installer en Andalousie. Le royaume des Idrissides à l’époque était le plus petit du Maroc en comparaison avec celui des Maghrawas à l’Est, des Berghwatas à l’Ouest et des Beni Saleh (ou Imarat Nekkour) dans le Rif. Si les Marocains ont donné autant d’importance à ce miniscule Etat, c’est parce qu’il représente la chose la plus chère aux Marocains : l’Indépendance vis-vis du calif de Baghdad et celui de Courdoue.
    Quant aux Beni Znassen, il y a à peine un siècle on disait At Znaten. Ce sont les Zénètes auxquels appartiennent les Maghrawas, les Meknassas et bien d’autres. Y-t-il des chorfas chez les Beni Znassen ? Beaucoup le prétendent et certains avaient obtenu le dahir pour ne pas payer d’impot. Du temps du colonialisme, ils étaient épargnés de ce qu’on appelle El Korfi (la corvée). Doit-on être fier de cela. De grâce, arrêtons cette mascarade. Ceux qui s’estiment chorfas et originaires d’Orient doivent se poser d’abord la question : pourquoi se sont-ils retrouvés au Maroc ? Ils doivent d’abord remercier ce pays et ses habitants de les avoir accueilli au lieu de rêver de cet Orient qui les a chassé.
    J’attends des réactions et suis prêt à répondre.
    Je n’ai pas à cacher mon nom : Je suis Hassani Nassreddine originaire des Bssaras des At Ali Oummas des At Znaten.

    PS. A l’attention de Monsieur Bouayad.
    Si vous enlevez le Bou de votre nom, vous vous retrouverez avec Ayad ou plus exactement Ayed qui veut dire chez les Beni znassen le poète épique ( a cha’ir al malhami). Le pluriel est Iyaden. L’autre dérivé de ce nom c’est Aïd ou BelAïd. Chez les Beni mimoun, il y a un fraction qui porte le nom des Iyaden et ils ne sont pas les seuls chez les Beni Znassen.

    Merci à vous tous.

    #201566
    slimane
    Membre

    Le scandale Soumère
    La justice marocaine a-t-elle cédé aux pressions dans l’affaire Soumère ? A-t-elle fait preuve d’une coupable indulgence à l’égard du directeur du théâtre Mogador à Paris et résident Marrakchi depuis 30 ans ? Les dirigeants de l’association « Touche pas à mon enfant » le pensent. Après analyse des éléments du dossier, on comprend la position de cette association qui fait un effort formidable pour protéger les enfants de Marrakech contre les prédateurs sexuels. Le témoignage du mineur qui accable Soumère a été ignoré par le juge. Les circonstances de l’arrestation affaiblissent la défense de l’accusé. Celle-ci, comme le montre notre enquête, recèle des contradictions rédhibitoires. En l’occurrence, l’instruction semble avoir effectué son travail correctement. Les acteurs de la société civile qui militent contre le phénomène de la pédophilie à Marrakech reconnaissent que la police est de plus en plus efficace et diligente dans son travail. C’est pour cela que les manquements de la justice dans cette affaire sont une tragédie. Ils risquent de décourager une dynamique positive où le travail de la société civile rencontre l’efficience des pouvoirs publics. Si le verdict exhale une odeur de mansuétude coupable, il est aussi problématique car il retient le chef d’accusation d’homosexualité. C’est un avis sans doute minoritaire au sein de notre société, mais il faut absolument le défendre. L’homosexualité ne doit pas être criminalisée. Les relations sexuelles entre adultes consentants ne regardent pas la société. Et bien sûr, on ne le répétera jamais assez, l’homosexualité n’est pas la pédophilie. Enfin, il est intolérable qu’un individu influent puisse, dans ce genre d’affaire en particulier, échapper à la loi. S’il est hors de question de condamner M. Soumère, notre enquête permet de mettre le doigt sur une justice dysfonctionnelle. Hélas, ses dysfonctionnements suggèrent le pire dans cette affaire.
    Il y a deux mois, l’annonce de l’arrestation du directeur du théâtre parisien Mogador a fait l’effet d’une bombe. Les associations de défense de droits des enfants ont salué le travail de la police marrakchie. D’autant que l’année en cours a connu une recrudescence des arrestations au sein des touristes pédophiles. Rien que pour 2006, un Belge, trois Allemands et un Hollandais ont été traduits en justice pour pédophilie. Et si d’habitude, la justice était clémente dans ce genre d’affaires, les dernières condamnations, nettement plus lourdes, suggéraient un changement d’attitude de la part des tribunaux. Les médias ont multiplié ces derniers mois les reportages dédiés au tourisme sexuel : M6, France 2 mais également 2M qui a même réservé une émission de son « Grand angle » au phénomène.

    Gros poisson
    L’affaire Jack-Henri Soumère est donc arrivée dans ce contexte bien particulier. L’homme, qui possède une ville au cœur de Gueliz et fréquente la ville ocre depuis 32 ans, est non seulement riche mais également très influent. Il possède un carnet d’adresses impressionnant dans lequel on trouve des artistes, des producteurs, des hommes d’affaires et des politiciens (maires, conseillers régionaux…). A 60 ans, Soumère est directeur de trois théâtres français, dont le célèbre Mogador à Paris avec à son palmarès des centaines de spectacles et près d’un million et demi de spectateurs par an. Il a produit plusieurs artistes dont Nicoletta et la célèbre Dalida. En 2003, il a été élevé au grade de Chevalier dans l’Ordre national de la légion d’honneur. Soumère présentait donc le portrait type du gros poisson attrapé par la police judiciaire de Marrakech au terme d’une filature de plusieurs jours. Et c’est dans la soirée du 24 avril dernier, alors qu’il venait de recevoir un jeune homme et un adolescent, que les policiers vont opérer leur descente. Selon le procès verbal de la police, la perquisition a été décidée suite à des informations faisant état de jeunes hommes et d’adolescents qui fréquentaient le domicile de Soumère. En cette soirée du 24 avril, Jack-Henri Soumère va les recevoir vêtu uniquement d’une « foukiya » (robe d’intérieur marocaine). La moisson sera, elle, de taille : un godemiché noir en plastique, un morceau de hachisch, de la crème et des huiles, des préservatifs, des photos et des images pornographiques dans l’ordinateur et les portables de Soumère. Mais Soumère n’a pas été pris en flagrant délit d’acte sexuel. Les déclarations de l’adulte et du jeune mineur sont accablantes. L’adulte, qui s’avèrera être un rabatteur, va avouer qu’il avait ramené le mineur pour avoir une relation sexuelle avec le sexagénaire et que c’est bien Soumère qui lui avait demandé de le faire. L’adolescent dira aux policiers qu’il avait connu Soumère grâce à Internet, sur le site gay cyberman.com. Ce dernier lui a appris qu’il travaillait dans les arts dramatiques. Le mineur a également déclaré qu’il avait déjà rendu visite à Soumère chez lui deux jours auparavant et que le rabatteur en question lui avait proposé d’avoir une relation sexuelle avec le Français pour 300 à 400 Dhs. Concernant la soirée du 24 avril, il avouera être venu pour des relations sexuelles et que Soumère lui avait demandé de l’accompagner dans sa chambre à coucher. Il expliquera qu’au moment où la police est arrivée, il était en train de « prendre le temps de se décrisper, pour se préparer à passer à l’action ».

    Homo ou pédophile ?
    Pour sa part, Soumère nie en bloc les accusations d’incitation d’un mineur à la prostitution. Il avouera son homosexualité mais persistera à dire que le mineur est venu chez lui parce qu’il cherchait du travail. Il soutiendra même que l’enfant lui a présenté sa carte d’identité nationale qui indiquait l’âge de 21 ans ! Peine perdue : le juge d’instruction l’inculpe « d’homosexualité, incitation à la prostitution d’un mineur de moins de 18 ans, détention et consommation de résine de cannabis, aménagement d’une résidence pour la prostitution et détention d’objets et d’images pornographiques ». Il est placé en garde à vue. Il passera 22 jours de détention avant d’être remis en liberté, pour des raisons de santé, avec l’obligation de rester sur le territoire marocain. Il commence alors à multiplier les actions pour promouvoir sa cause. Tout d’abord il envoie un e-mail à ses amis français se plaignant d’être l’objet d’un coup monté. « Je vous assure être innocent. Seule l’homosexualité est un délit passible d’un an de prison (mon chef d’inculpation) », écrit-il dans le courrier alors qu’il était également inculpé d’incitation d’un mineur de moins de 18 ans à la prostitution. Il multiplie les entretiens avec « Le Parisien », il parle de machination, de coup monté sans pour autant argumenter ses allégations. Il dit avoir vu les papiers du mineur alors qu’un jeune de 16 ans ne possède pas de CIN. Il soutient enfin qu’il est poursuivi pour son homosexualité. Ce qui lui a permis de mettre en place un comité de soutien qui affichait sur sa page d’accueil un nombre impressionnant de personnalités françaises acquises à sa cause. Le comité reprenait la rengaine de Soumère alors que le procès était encore en cours : le crime de Soumère est d’être homo, un délit dans un pays comme le Maroc. La deuxième chaîne lui offre également une tribune, dans son J.T. A une semaine du verdict, Soumère, plein d’émotions, clamera son innocence sur 2M, sans parler, cette fois, de son homosexualité.
    Au tribunal, le procès va durer plus de quatre heures. Soumère est défendu de bâtonnier des avocats de Marrakech. Le mineur est convoqué pour témoigner. Mais, curieusement, le juge décide de ne pas prendre son témoignage en considération. « Les protocoles liés aux droits des enfants et qui sont ratifiés par le Maroc insistent sur l’importance du témoignage des mineurs, surtout dans les dossiers de l’exploitation sexuelle. L’inculpation se base essentiellement sur les propos de l’adolescent. Ecarter le témoignage du mineur veut tout simplement dire qu’il n’y a plus d’accusation », tranche maître Errachidi, membre de l’AMDH et avocat de « Touche pas à mon enfant ».

    Le show Soumère
    Plus encore, l’AMDH et l’association « Touche pas à mon enfant » se sont vu interdire le droit de se constituer partie civile, à cause du refus affiché par les parents de l’enfant. Soumère répétera devant la Cour les mêmes propos qu’il a tenus à la presse. « Oui, je suis homosexuel. Non, je ne suis pas un pédophile. Je n’aime pas les enfants. J’ai toujours fait la guerre contre ça », lance-t-il au juge. Il reviendra sur la théorie du complot en disant qu’il ne sait pas qui est derrière cette affaire, « mais cette histoire n’est pas normale ». Il niera même consommer du cannabis, même si la police en a trouvé dans sa maison. Idem pour le matériel pornographique. « Soumère a été ménagé par la Cour. On ne lui posait pas de questions gênantes. On n’essayait pas de le confondre. Le comble, c’est qu’à la sortie du tribunal, il est venu nous dire qu’il allait créer une association pour lutter contre la pédophilie et collaborer avec notre ONG ! », s’exclame un membre de l’association « Touche pas à mon enfant ». Le tribunal a rendu son verdict : quatre mois de prison avec sursis et 5000 Dhs d’amende pour les charges d’homosexualité et de détention de cannabis. La Cour l’a disculpé de la charge d’incitation d’un mineur à la prostitution. « Je suis atterré par cette décision juridique. Nous nous sommes portés partie civile parce que nous pensons que c’est un cas d’abus sur un mineur, pas parce qu’il est homosexuel. Enfin, la Cour a snobé la Convention de l’Onu sur les droits de l’enfant, contre la prostitution et la pornographie. Quel est donc le message qu’on veut passer aux pédocriminels ? », se révolte Mme Anouar, présidente de « Touche pas à mon enfant ». Contacté par téléphone, le mineur qui a peur de parler à la presse nous a toutefois répété que Soumère lui a effectivement proposé de pratiquer un acte sexuel pour de l’argent… Des propos que le juge n’a pas pris en compte. Mustapha Dahali, le rabatteur, a pour sa part été condamné à quatre mois de prison ferme et 5.000 dirhams d’amende ! Le lendemain du procès, Soumère est rentré en France. Il publie immédiatement sur son site (http://www.soumere.com) un message de remerciements aux membres du comité de soutien tout en leur annonçant qu’il allait prendre quelques jours de repos pour retrouver ses forces. Marrakech, la ville ocre qui catalyse l’espoir de 2010 et ses 10 millions de touristes, elle, a peur pour ses enfants devant une justice à géométrie variable…

    BOUAYED
    Membre

    @Anonymous wrote:

    franchement, mais qu’est ce qu’on s’en fous des idrissides ou pas idrissides, qu’est ce que ça pourrait nous ajouté de connaitre ces origines franchement, quand j’entends ( sidi et moulay et lalla ) c’est de l’hironie, mais il n y a plus de nobles ça nous avance a rien de savoir d’ou je viens vu que le maroc est melangé juifs arabes espagnoles amazigh africains, toutes ces ethnies en fait le marocain maintenant, que je viens de idrisse al awal ou du dinausaure le nième ne m’avance a rien.

    بسم الله الرحمـن الرحيم
    Mr le Directeur du Site, vous ferez bien de faire fonctionner la censure pour faire de ce site et je l’espère bien un moyen de communication constructif et agréable. Il faut pousser les gens à s’inscrire et comme cela et en signant l’engagement qu’il doivent faire ou sourtout ne pas faire avec honneur et responsabilité. Comme cela chacun meserurera bien ces interventions qui doivent se faire dans le respect de soi-mêmr et le respect d’autrui. On n’a pas le droit de faire tout ce qu’on veut. J’ai vu des gens se faire expulser des forums pour moins de rien.
    Je crois qu’il faut ne pas laisser les interventions passer sans que vous vous assuriez qu’il ne porte atteinte à quiconque et que cela ne se répercute sur votre site et vous faire porter la responsabilité pour rien. Quand on publie dand les journaux écrits les directions de ses publications demandent toujours aux intervenants une photocopie de leurs cartes nationales et se font le droit de publier ou de ne pas le faire. pour l’internet c’est un autre monde mais c’est à vous de mener le bal pour ce qui le bien pour votre magnifique site que nous voulons être toujours de l’avant.
    Il faut y penser car j’ai vu des gens aussi toucher à des sujets qui ne ne peuvent que créer des problèmes gratuits dont vous en avez besoin.
    Bon Courage

    A Mr l’ANONYMOUS maintenant et je n’aime pas celui qui se cache derrière le mot Invité; que voulez vous que je vous dise. Je ne vais pas vous insulter ni vous tutoyer avec la manière et la façon de nos flics et qui ne le font qu’avec certains délinquants; ils savent bien se comporter comme même avec les honnetes gens.
    Vous vous passez pour un INVITE alors que vous ne l’êtes aucunement.
    Vous vous croyez invité dans ce topic et vous vous permettez de nous casser les pieds gratuitement. Quand on est invité chez quelqu’un, on respecte son hôte. Un peu de Classe, de Finesse et de Délicatesse SVP.
    Si vous avez quelque chose à dire de constructif; allez مــرحــبــا sinon rien ne vous oblige.
    أكرر ما قلته سابقا , عن أبي هريرة عن النبي صلعم أنه قال  » من كان يؤمن بالله و اليوم الآخر فليقل خيرا أو يصمت » متفق عليه
    Cela pour des Gens qui sont Croyants sinon il faudra peut être utiliser un autre language.

    Mr Ahmed, j’essayerais d’apporter une réponse à votre question un peu plus tard si vous le permettez car votre question est importante mais que voulez-vous qu’on fasse avec les spywares. Je ne vous oblierez pas.

    Pour pouvoir répondre à Mr FADI, je suis obliger de commencer.
    قال أحمد بن محمد بن عبد الله المكي قال الشيخ ابن فرحون أول ذرياتهم بنو جرمون أهل فاس و من فرقة بإزاء فجيج و منهم فرقة في مدينة تلمسان فجدهم اسمه سيدي أحمد بن محمد بن عبد الله بن يوسف بن غيسى بن موسى بن عمران بن يحيى بنعبد الله بن أحمد بن إدريس بن إدريس.
    أما السقفيون فجدهم بني دارا , فيهم فرقة في فجيج و فرقة في جبل بني زناسن من جهة المغرب فجدهم سيدي ابراهيم بن أحمد بن عمر بن مسعود بن عثمان بن اسماعيل بن عبدد الله بن يوسف بن عيسى بن موسى بن عمر بن يحيى بن عبد الله بن ادريس بن ادريس.
    يتبع
    و السلام عليكم و رحمة الله

    #201514
    Iznassen
    Membre

    L’émission Studio 2M mais tout simplement la chaine 2M ne fait pas parti de mes télés préférées. Je poste cet article juste pour mettre en exergue le comportement des deux boites « magiques » marocaines vis-àvis de la culture Amazighe. Une culture qu’elles réservent qu’au folklore pour accueillir les touristes européens où leur faire apprécier la cuisine amazighe « couscous », « tajine », « thé à la menthe »….etc

    A. Bouzandag : ma mésaventure avec Studio 2M

    Lahsen Oulhadj

    Une télévision qui fait dans le racisme et l’exclusion, il n’y a plus que les crédules que cela étonne. Quoique nos officiels n’arrêtent pas de ressasser que, enfin, l’amazighité, dans ses différentes expressions, y aura de droit de cité, il faut dire que ce n’est pas le cas. Toujours ce terrible hiatus entre le discours et la réalité, pourrait-on dire.

    Abdellah Bouzandag chanteur du groupe Tafsut Music Band l’a vécu, à ses dépens. Sans se faire d’illusions, il a voulu, comme tous les jeunes du pays, participer à l’émission Studio 2M. C’est son droit le plus absolu. Mais manque de bol, il chante en tamazight. Ce que, comme vous pouvez l’imaginer, est loin d’être du goût des responsables de l’émission. Cela peut même être rédhibitoire, une véritable tare. Il nous raconte sa mésaventure en ces termes.

    « Le 12 juin dernier, je me pointe au lieu de la compétition. En voulant compléter le formulaire http://www.2m.tv/studio2m2006/st2006.pdf , j’ai été surpris d’avoir juste deux choix : chanson arabe ou chanson occidentale. Même pas marocaine ! Il faut le croire. J’ai donc décidé de ne pas cocher ni l’une ni l’autre. Lors de l’entretien, on m’a bien évidemment demandé dans quel genre je veux chanter. Ma réponse a été claire et nette : la chanson amazighe. Les responsables n’en revenaient tout simplement pas. Comme si j’ai commis un crime. Avec leurs mines complètement défaites, ils ont marqué la chanson arabe, malgré mes protestations. »

    « Lors du premier tour, continue-t-il, j’ai interprété ‘’a vava inu va’’, a capella. Et même si je n’en croyais pas mes yeux, j’ai été sélectionné. Au tour suivant, j’ai été interviewé par un de leurs journalistes qui a voulu savoir pour quelle raison je chante en  »chlha ». Incroyable, absurde, n’est-ce pas ? Réponse du berger à la bergère, je lui ai fait toute une réplique, mais en tamazight. Je ne sais pas si cela va être diffusé, mais en tous cas tout a été filmé. Toujours est-il que ce jour-là, pour certainement me froisser, j’ai été le dernier à passer. Le jury était composé entre autres d’Anas Tadili et du chanteur Malek. Je ne sais pas si c’est vraiment sincère, mais celui-ci s’est montré très enthousiaste et a joué toute une partition sur la qualité des participations. Il a même commencé son intervention par un « azul » bien perceptible.»

    « A la fin, conclut A. Bouzandag, et comme je m’y attendais un peu, le résultat était ainsi : huit personnes ont été sélectionnées pour la chanson arabe ( à Agadir, une ville prétendument amazighe !!) et deux pour la chanson occidentale. Je ne figurais pas naturellement parmi elles, car j’ai été tout simplement écarté. Ce que je n’ai pas accepté. J’ai donc voulu protester auprès du jury, mais on ne m’a pas laissé faire. L’un des responsables de l’émission, ayant remarqué mon sentiment d’injustice, m’a avoué qu’en tous les cas je ne pouvais pas passer au 3ème tour parce aucune musique amazighe n’y est programmée. Car, semble-t-il, la liste des chansons à interpréter par les candidats a été déjà bouclée. Aussi surprenant que celui puisse être, ce sont les responsables de l’émission qui décident de tout et effectivement- c’est le cas de le dire- ils ont décidé encore une fois d’exclure la chanson amazighe sur une télévision financée avec l’argent des Amazighs. »

    Groupe Tafsut (printemps) : http://www.tafsut.fr.tc/

    #201508

    Sujet: Les enfants de la misere

    dans le forum Débats
    ahmed
    Membre

    Marrakech : les enfants de la misère envahissent les rues
    LE MONDE | 10.06.06 | 15h00 • Mis à jour le 10.06.06 | 15h00
    MARRAKECH ENVOYÉE SPÉCIALE

    lle a trois mois et boit son biberon toute seule, couchée dans son lit à barreau. On a coincé le flacon entre les pattes d’un ours en peluche posé sur sa poitrine. Comment faire autrement ? Il n’y a dans cet orphelinat, cet après-midi-là, que trois assistantes maternelles pour 72 nourrissons. Les jeunes femmes travaillent dix-huit heures par jour et, malgré leur fatigue, se montrent efficaces et patientes.

    Mouna est l’une des rares petites filles recueillies par cette crèche de la Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, à Marrakech. On compte en moyenne dans l’établissement une fille pour neuf garçons. On n’abandonne pas une petite fille, au Maroc. C’est une denrée précieuse. Une fille, c’est utile et c’est docile. On pourra toujours la faire travailler comme « petite bonne ».

    Les garçons, eux, sont légion. Amine, quatre mois, a été retrouvé en pleine rue, enfermé dans un sac plastique, au bord de l’asphyxie. Fouad, six ans, a été « oublié » par sa mère, il y a six mois, sur la place Jemma El Fna, au milieu des touristes et des charmeurs de serpents. Quant à Soukaïna, deux ans, elle a été vendue à deux reprises par sa mère, pour 500 dirhams (50 euros).

    Au Maroc, les enfants de la misère ne se comptent plus. Le pouvoir est conscient du problème. Il a décrété le 12 juin « journée nationale de lutte contre le travail des enfants ». Mais par quel bout aborder un dossier aussi vaste ? Enfants non scolarisés. Enfants « sniffeurs » de colle. Enfants exploités sexuellement…

    Combien sont-ils à travailler, entre sept et quinze ans ? Il est difficile de le savoir, 90 % des petits marocains entrent dans le cycle primaire, mais plus de la moitié abandonnent l’école avant le secondaire. Environ 600 000 jeunes de moins de 18 ans sont hors du système scolaire (sur une population de 30 millions). Les uns atterrissent dans la rue ou dans des ateliers d’artisanat, les autres dans des familles bourgeoises, comme petites domestiques.

    A Marrakech, – première destination touristique du Maroc – on parle davantage du problème des enfants dans la rue que des enfants des rues. Ici, à l’inverse de Casablanca, les jeunes en situation précaire disposent, la plupart du temps, d’un semblant de famille – une mère célibataire et analphabète le plus souvent – et d’un toit. Mais, à l’exode rural, au chômage, à l’éclatement familial en augmentation vertigineuse, s’ajoutent les problèmes liés au tourisme. La mendicité est le premier d’entre eux, bien plus que la pédérastie, dénoncée par les médias.

    En ce début de matinée, les touristes sont rares sur la place Jemma El Fna. Les enfants-mendiants aussi. Ils n’arriveront que vers 14 heures, après avoir dormi. Tandis que leurs mères dessineront des arabesques au henné sur la paume des passantes, ils vendront des Kleenex, des sacs plastiques, ou se contenteront de tendre la main. Quand ils iront se coucher, vers minuit, ils auront récolté quelque 200 dirhams, soit 6 000 dirhams mensuels, alors que le smic est à 2 000 dirhams.

    « C’est dur, dans ces conditions, de convaincre les mères d’envoyer leurs enfants à l’école. Elles me disent toutes : « mais avec quoi vais-je les nourrir s’ils cessent de me rapporter de l’argent ? L’urgence, ce n’est pas de mettre mon fils à l’école, c’est de me trouver un travail ! » », raconte Karima M’kika, jeune fondatrice et directrice d’Al Karam, association qui se consacre aux enfants en détresse.

    Pour comprendre le problème des enfants au travail, il faut « dépasser les clichés que l’on a en Occident », souligne Fouad Chafiqi, universitaire spécialiste des sciences de l’éducation et consultant de l’Unicef. Beaucoup de ruraux voient « comme une bénédiction », explique-t-il, le fait que leurs fils et filles soient engagés comme apprentis ou « petites bonnes » peu après leur arrivée à Marrakech. De leur côté, les employeurs ne sont pas loin de penser qu’ils « font le bien » en sauvant ces enfants du vagabondage.

    Au fin fond de la médina, du côté du souk des tanneurs, Khalid, jeune éducateur de rue employé par Al Karam, semble découragé. « La sensibilisation et l’éducation ne suffisent pas. La vraie solution est économique. Il faudrait des programmes de réinsertion sociale », soupire-t-il. Khalid s’inquiète d’un phénomène en plein essor : « les parents fugueurs ». De plus en plus de mères viennent lui dire : « Je n’en peux plus. Débrouillez-vous avec mes enfants, moi, je renonce ! » Et elles partent pour une autre ville.

    Soumis aux pressions internationales pour réduire les dépenses publiques, le pouvoir marocain semble hésiter sur la conduite à tenir. On lui reproche souvent de privilégier les apparences. Les initiatives, il est vrai, ne manquent pas : coup d’envoi, en juin 2005, d’un ambitieux programme, « Le Maroc digne de ses enfants » ; préparation d’une loi réglementant le travail domestique ; signature, le 6 mai, d’un accord de partenariat entre l’Unicef et la willaya de Marrakech, etc.

    Sur le terrain, se plaignent de ne pas obtenir de budget dès qu’elles s’écartent du « spectaculaire ». « Un « généreux donateur » est venu proposé un centre exclusivement consacré aux enfants abusés sexuellement !, raconte, d’un air las, la responsable d’une association d’aide à l’enfance. Nous manquons d’éducateurs et de travailleurs sociaux. Personne ne veut prendre en charge leurs salaires. Or nos urgences sont là, dans l’invisible. »

    Florence Beaugé
    Article paru dans l’édition du 11.06.06

    #213329

    En réponse à : Un Maroc Laïc ..

    Iznassen
    Membre

    La laïcité, un choix nécessaire pour la construction d’un Etat démocratique au Maroc ou La nécessité de constitutionnaliser le principe de la laïcité

    Moha AREHAL

    Cet article se propose de donner des réponses à des questions largement posées chaque fois que le débat sur la laïcité est ouvert, soit entre les Amazighs ou avec d’autres mouvances de la société. Il s’agit entre autres des questions suivantes :

    Qu’est-ce que la laïcité ?
    Pourquoi la laïcité dans la constitution marocaine ?
    Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?

    Préambule

    La charte amazighe pour la révision du texte de la constitution, dans ses objectifs, met l’accent sur le principe de la laïcité comme un atout pour la construction d’un Etat de droit. Ce principe est loin d’être accepté par tout le monde.

    .

    En 1914, un décret légalise « les coutumes » dans les territoires dits « berbères » sans aucune réaction des oulémas ou des salafistes, dont le leader à l’époque était vizir de la justice « Ya hsra ». Ce n’est qu’en 1930, suite à la promulgation du Dahir organisant les tribunaux dans les territoires dits « berbères », que la machine arabo-islamiste a commencé son travail d’acharnement contre les Amazighs. Cette politique, non-déclarée d’ailleurs, a été encouragée par les autorités coloniales françaises. Aucune école « berbère » de l’époque française n’a enseigné la culture amazighe, contrairement aux écoles franco-arabes et franco-musulmanes qui ont fait de l’arabo-islamisme le cursus des « indigènes évolués », ceux devenus « nationalistes ».

    La constitution marocaine de 1962, bien qu’elle soit inspirée, Ya hsra, de la constitution française de 1958, a fait de l’islam la religion de l’Etat, et des Marocains des musulmans par défaut.

    Au Maroc, l’enfant est né, de facto, musulman. Le code de la famille est basé sur la chariâ humaine, qui conditionnait la vie des habitants de l’Arabie au temps du prophète, il y a plus de 15 siècles, alors que les Arabes de l’époque enterraient vivants les bébés de sexe féminin. Ces même principes ont été repris dans le code de la famille marocain. Le Ramadan est une obligation par force de la Loi, le jeûne doit être observé en public. La liberté de croyance n’a pas de cité dans notre pays. L’islam fait partie des trois lignes rouges à ne pas franchir au Maroc, on peut parler de tout sauf de la religion musulmane. Choisir sa religion au Maroc est considéré comme un crime. La changer par une autre, c’est encore pire. Droits de l’Homme ?

    Qu’est-ce que la laïcité ?

    Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’idée même de laïcité est presque impensable en Europe : Le pouvoir politique, qui est supposé émaner de Dieu, ne peut se passer de l’appui du clergé, même si à partir du XVIe siècle, les rois de France et d’ailleurs ont cherché à développer l’autonomie du pouvoir temporel. Les philosophes du XVIIIe siècle, en remettant en question les fondements de la société au nom de l’esprit critique, contribuèrent à ébranler les liens qui unissent la religion, l’Etat et la société.

    Au XIXe siècle, l’héritage de la Révolution française conduit à l’affirmation d’une société laïque dans laquelle la religion devient une affaire purement privée, disjointe de l’autorité politique. Le courant anticlérical, porté par les idées rationalistes et positivistes de la seconde moitié du XIXe siècle, conduit même à une pratique militante de la laïcité, dont la France constitue le meilleur exemple. Cette pratique s’illustre tout particulièrement dans l’institution de l’école laïque par laquelle les fondateurs de la IIIe République entendent affranchir le système d’éducation de la tutelle du clergé.

    Après la lutte acharnée, le combat en faveur de la laïcité aboutit en 1905 à la loi de séparation des églises et de l’État, à l’exception des colonies. Au lendemain de ce triomphe, l’apaisement du conflit place la France dans la situation de la plupart des grands pays de démocratie libérale. La pratique de la laïcité s’accorde aux principes fondamentaux du droit : égalité des cultes, liberté religieuse et séparation complète des domaines spirituel et temporel, ce qui implique le caractère non confessionnel de l’Etat et son incompétence dans le domaine religieux. Si elle a cessé d’être un enjeu aussi crucial qu’au siècle dernier, la laïcité continue toutefois de susciter des polémiques, notamment dans le domaine scolaire. L’immigration de populations de cultures différentes notamment nord-africaine, souvent mal attachées à leurs cultures d’origine (ne sont-ils pas arabes pour la France ?), pose ainsi une question délicate : Comment concilier la citoyenneté avec la fidélité à des croyances ? Si les démocraties garantissent l’exercice de tout culte dans la sphère privée, elles observent toutefois des attitudes différentes, suivant leur histoire et leur conception de la citoyenneté, devant l’ostentation d’insignes religieux dans les espaces publics ou le prosélytisme de certains groupes extrémistes. Alors, que savons-nous sur les Amazighs et la laïcité ? Comment peut-on expliquer l’existence d’un droit positif, Azerf, dans nos sociétés pré-coloniales aux cotés des institutions religieuses ? Azerf que la tradition juridique coloniale a réduit en « coutumes » ?

    Pourquoi la laïcité?

    Le développement spectaculaire de nouvelles sectes musulmanes et le caractère transfrontalier de leurs structurations, nous interpelle pour protéger notre pays par un arsenal juridique approprié, qui permet à l’Etat et au citoyen de vivre leur religion et leur vie sociale en toute tranquillité.

    Le crime perpétré contre la nation le 16 mai 2003 à Casablanca est la suite naturelle de la politique religieuse suivie par l’Etat depuis des décennies. En fait, pour contrecarrer les idées gauchistes et des panarabistes, les services de l’État, services secrets et non secrets, ont nourri une nouvelle idéologie aussi étrangère à notre histoire que celle qu’ils voulaient combattre : le wahabisme, idéologie terroriste gérée et financée de l’extérieur par les barons du pétrole.

    Ce n’est qu’à partir de cette date que les Marocains ont vu le danger que représente cette idéologie au Maroc. Les islamistes ont créé des mosquées un peu partout, tout endroit libre est une mosquée potentielle. Les pancartes se sont multipliées sur toutes les artères des villes et villages pour demander des dons aux bienfaisants pour construire une mosquée. Les associations d’islamistes n’ont délaissé aucun domaine, elles occupent tout le champ social et se substituent à l’État. Pourquoi ne pas faire des collectes pour construire des hôpitaux, des crèches, des internats, des maisons du peuple, des écoles, des maisons de cultures et autres infrastructures sociales ? Sidi Rbbi reconnaîtra sûrement les siens.

    Depuis son émergence sur la scène politique et sociale, le mouvement amazigh a fait de la laïcité un principe fondamental pour un Etat de droit et de démocratie. Cependant des âmes mal-intentionnées, panarabistes et soit disant gauchistes ont mis ce mouvement dans leur point de mire. Le mouvement est ainsi qualifié de francophile et de sioniste, qui vise à diviser la nation. Étrange gaucherie à la sauce marocaine…

    Le régime marocain, qui par bonne ou mauvaise foi a favorisé le développement de la religiosité dans le pays, s’est trouvé face à sa propre création, le 16 mai 2003, alors que le Maroc était considéré comme une exception dans le monde musulman. Les officiels ont compris que ce mouvement doit être contrôlé. Des voix démocratiques et le mouvement amazigh ont demandé de déclarer le caractère laïc de l’Etat marocain dans le texte constitutionnel. Sans cette décision, aucune force ne peut actuellement combattre l’offensive régressive menée par les porteurs du discours anti démocratique et anti-moderniste.

    Les personnalités amazighes qui n’ont cessé de revendiquer ce principe pour le véritable éveil démocratique dans notre pays n’ont jamais été entendues. Lors de la révision constitutionnelle de 1996, le mouvement amazigh a fait savoir que ce principe est important si le Maroc veut se démocratiser. Sauf que toutes les propositions du mouvement sont restées sans réponses !

    Actuellement, et en vue de la révision attendue par tous, le mouvement amazigh revient à la charge avec des propositions qui permettront au Maroc de se concilier avec lui-même. La proposition de la laïcité n’est pas nouvelle ou importée de l’extérieur. En fait, chez les tribus amazighes, le spirituel et le profane sont séparés. L’amghar ou l’amqran sont élus pour gérer les choses d’ici bas, le culte est assuré par ceux qui gèrent l’au-delà. A chacun son métier et son rôle.

    Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?

    Cette question peut paraître énigmatique. L’analyse du mariage entre l’Etat et la religion est due à l’usage de la légitimité religieuse dans un pays caractérisé par la supposée dominance du religieux dans la vie des gens. Les zawiya et les saints sont omniprésent sur tout le territoire marocain. Cependant, la religion dans les tribus n’a jamais été un fait de société mais plutôt une affaire personnelle entre l’être humaine et son dieu. L’imam de la mosquée était toujours étranger à la tribu, il ne siège jamais dans l’assemblée annuelle, il exerce ces fonctions d’imam dans un cadre contractuel connu sous le nom de Chart. A vrai dire, c’est un fonctionnaire de la tribu. En cas de désaccord, la tribu peut recruter un autre imam selon d’autres conditions. Les zawiya et les saints marquent bien la séparation des sphères.

    Cet état de fait démontre que la société marocaine était toujours une société laïque.

    Ces vérités nous conduisent à proposer l’adoption du principe de la laïcité dans la constitution marocaine. Ces mêmes vérités historiques et sociales ont été à l’origine de l’intégration de la constitutionnalisation de la laïcité comme l’une des revendications de la charte amazighe sur la révision de la constitution.

    La constitutionnalisation de la laïcité doit donner aux citoyens marocains les droits suivants :

    Liberté de croyance : le citoyen a le droit inaliénable de choisir sa religion.

    Le citoyen a le total droit d’exercer sa religiosité comme il le veut en toute liberté.

    Innocence des nouveau-nés : les nouveau-nés naissent innocents et sans religion. Leurs parents ont le droit absolu de leur choisir le prénom de leur choix, en toute liberté.

    Egalité des citoyens, quelles que soient leurs croyances, devant la loi, y compris pour l’héritage. La constitution n’est-elle pas le Coran suprême de la citoyenneté ?

    L’Etat, étant un percepteur des impôts payés par les citoyens, s’interdit le financement ou la construction d’édifices religieux de toute nature. Il garde seulement le droit de contrôle sur les groupements religieux et sectes pour éviter tout débordement. La France et l’Espagne nous ont bien laissé une administration des Habous, bien modernisés et suffisamment riche (merci nos ancêtres) pour rendre aux édifices religieux ce qui leur appartient.
    Ces droits doivent se traduire dans la législation marocaine par le changement, l’amendement ou l’abrogation pure et simple des textes qui sont en contradiction avec ces droits

    al-mansi
    Membre

    Fadi,
    je te remercie pour ta participation.
    certes, on ne voit pas les choses de la même façon.

    sinon, bien vu, effectivement le visa n’est pas nécessaire pour les ressortissants du nord marocain pour entrer à Mellilia et Sebta, si par exemple t’as une carte d’identité avec l’adresse à Nador tu peux entrer à Mellilia SANS visa, et ça tu peux le vérifier dès demain…c’est une politique coloniale très ancienne, le colonialisme a toujours besoin d’être accepté pour durer….donc ça ne m’étonnes pas que la même logique sera appliquée à la ville Fadesa.

    je tire un peu sur les coins comme on dit, sinon parlons un peu autrement, malheureusement la réalité des choses est la suivante : FADESA est une propriété privée espagnole de 7Km², donc même avec un visa tu ne pourras pas y entrer sans l’accord de Fadesa.

    comprens-tu ?

    N.B : le tutoiement n’est pas un manque de respect.

15 réponses de 151 à 165 (sur un total de 175)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'carte maroc'