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Sujet: l’origine de la femme….!!!!!
des recherches approfondit ont révélés que la femme est a l’origine un ballon..!!!
– a l’age de 20ans, c’est un ballon de foot..22 hommes lui courent après..
-a l’age de 30ans, c’est un ballon de basket..10 hommes lui courent après…
-a l’age de 40 ans, c’est une balle de baseball..1 homme lui court après…
-a l’age de 50 ans, c’est une balle de tennis…2 hommes se la jettent…
-a l’age de 60 ans, c’est une balle de golf….on le jette au trou.. 😉 😆La prière du vendredi est une obligation pour les hommes. Dieu (soubhânahou wa ta’âlâ). « O vous qui avez cru ! Quand on appelle à la Salât du jour du Vendredi, accourez à l’invocation d’Allah et laissez tout négoce. Cela est bien, meilleur pour vous, si vous saviez ! »( Sourate Al-Joumou’a (62) – Verset 9)
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Que ceux qui négligent la prière du Vendredi cessent de le faire, sinon Dieu apposera le scellé sur leurs cœurs et ils finiront par être distraits de Sa pensée. » (Rapporté par Mouslim)
Il (sallallahou alayhi wa salam) a dit également : « La prière du Vendredi est une obligation à tout musulman, hormis quatre personne qui sont :
L’esclave,
La femme,
L’enfant,
Le malade ». (Rapporté par Abou Daoud)
Les mérites du jour de vendrediLe Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Le Jour de Vendredi est de grande importance, le meilleur des jours de la semaine sur terre : c’est le jour où fut créé Adam, le jour où il fut introduit au Paradis, le jour où il en sortit . C’est aussi le jour où finira le monde. » (Rapporté par Mouslim)
Un jour d’une telle importance, mérite d’âtre honoré, comme Dieu (soubhânahou wa ta’âlâ) l’a glorifié. Ce jour-là on doit multiplier les bonnes œuvres et s’abstenir de tout péché.
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Certes ! Le jour du Vendredi renferme un instant de faveur. Si la prière de quelqu’un, demandant des faveurs correspond à cet instant ,Dieu les lui accordera. » (Rapporté par Mouslim)
On rapporte que ce moment se situe entra l’apparition de l’imam et la fin de la prière ou après la prière de l’Asr.
Il est donc fortement recommandé de multiplier les invocations tout au long de la journée du vendredi, pour que nos demandes coïncident avec cet instant.
Que doit-on faire ce jour là ?
1) Faire le ghousl avant d’aller à la prière.
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Le lavage du corps est une obligation à tout pubère le Vendredi. » (Rapporté par Al Boukhârî et Mouslim).
2) Porter des vêtements propres et se parfumer (pour les hommes, une femme ne doit pas se rendre à la mosquée parfumée)
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Tout musulman doit se laver le vendredi, bien s’habiller et se parfumer s’il a du parfum. »
3) Se rendre à la mosquée de bonne heure, avant l’appel à la prière.
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Quiconque se lave le vendredi comme il le fait pour la janaba et se rend à la mosquée à la première heure fait une bonne œuvre de la valeur d’une offrande d’un beau chameaux.
S’il se rend à la deuxième heure, il aurait offert une vache, à la troisième heure, un bélier, à la quatrième une poule, à la cinquième un œuf.
Quand l’imam est dans sa chaire, les anges rentrent pour écouter le prône. » (Rapporté par Al Boukhâri et Mouslim)
4) Accomplir des prières surérogatoires en arrivant à la mosquée.
Comment ce passe la prière du Vendredi ?
1) L’imam monte sur la chair (minbar) au moment du midi local, puis, il salue les croyants. Quant il s’assoit, le muezzin appelle à la prière comme le fait pour Dhor. A partir de ce moment, il devient interdit de parler ou de s’amuser avec des caillou (ou autres), de déranger les autres… car le discours compense les deux rakats qu’il manque pour accomplir la prière de dhor complète. Il faut donc que la concentration pendant le discours soit la même que pendant la prière. Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Si tu t’adresses à ton ami, même pour lui dire : « Tais-toi » pendant que l’imam prononce son discours tu es fautif. » (Rapporté par Mouslim)
Et aussi : « Celui qui s’amuse avec des cailloux (quand l’imam fait son discours) commet une erreur, celui qui commet une erreur annule sa prière. » ( Rapporté par Abou Daoud)
2) L’appel terminé, l’imam se lève et prononce son discours (khoutba). Il loue Dieu. Le remercie et appelle le salut de Dieu sur Son Prophète et serviteur Mohammed. Habituellement, il fait cette invocation :
« Al hamdoullillahi nahmadouhou wa nasta’înouhou wa nastaghfirouhou wa na’oudou bi-llahi min chouroûri anfousinâ wa min sayyi âti a’mâlinâ
Men yahdihi-llahou fahoûwa-l-mouhtadi wa men youdzlil falan yajidalahou wa liyyan mourchidâ, wa achhadou an lâ ilaha illâ llahou wahdahou lâ charika lahou, wa achhadou anna mouhammadan ‘abdouhou wa rasoulouhou. »
« Yâ ayyouhâ-n-nâsou ittaqoû rabbakoum-l-ladzî khalaqakum min nafsin wâhidatin wa khalaqa minhâ zawjahâ wa batha minhoumâ rijâlan kathîran wa nisâ a wa-t-taqou-llaha al-ladzî tasâa aloûna bihi wa-l arhâm ina-llaha kâna ‘alaykum raqîbâ »
« Yâ ayyouhâ-l-ladzîna amanoû-t-taqoû-llaha haqqa touqâtihi wa lâ tamoûtounna illâ wa antoum mouslimoûn »
« Yâ ayyouhâ-l-ladîna amanoû ittaqoû-llaha wa qoûloû qawlan sadîdan yousslih lakoum a’mâlakoum wa yaghfir lakoum dounoûbakoum wa man youtti’i-llaha wa rasoûlahou faqad fâza fawzan ‘azîman. »
« Louanges à Allah que nous glorifions, dont nous implorons aide et pardon, et nous cherchons refuge auprès de Lui contre le mal qui est en nous et de nos mauvaise actions. Celui qu’Allah guide nul ne peut l’égarer, et celui qu’Allah égare nul ne peut le guider. J’atteste qu’il n’y a de divinité qu’Allah, Le Seul, L’Unique sans associé, et j’atteste que Mohammad est le Serviteur et le Messager d’Allah
Allah dit dans Son Livre:
« O hommes, craignez votre seigneurs qui vous a créé d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement. »
« O les croyants, craignez Allah comme Il doit être craint et ne mourrez qu’en état de pleine soumission. »
« O les croyants, craignez Allah et parlez avec droiture, Allah vous rectifiera vos actions et Il vous pardonnera vos péchés. Et celui qui obéit à Allah et à Son Messager, il réussira, certes, d’une grande réussite. »
3) Puis il exhorte l’auditoire à haute voix, rappelle les recommandations de Dieu et de Son Prophète, leurs promesses et leurs menaces.
4) Ensuite, il s’assoit , marquant une petite pause, puis il se relève pour reprendre son thème de sermon, avec le même entrain. Ayant terminé son prône, sans trop l’allonger, il descend de sa chaire.
5) A ce moment le muezzin annonce la prière.
6) Et l’imam préside une prière de 2 rak’ats (remplaçant celle de Dhor) en récitant à haute voix.
Questions– Si on arrive et que le discours a déjà commencé, doit-on faire la prière surérogatoire de deux rak’ats ?
– La prière du vendredi pour la femmeEst-Il vrai que la prière du vendredi n’est pas obligatoire pour la femme ? Et si la femme prie à la maison, doit-elle alors accomplir deux rak’ats ou quatre ?
Réponse
La prière du vendredi n’est pas obligatoire pour la femme. Toutefois, si elle y assiste et qu’elle l’accomplit, cette prière remplace le dhohr. Mais si elle reste à la maison, qu’elle accomplisse les quatre rakcats du dhohr.Ceux parmi les savants qui ont affirmé le caractère blâmable (karâhah) ou interdit pour la femme d’une grande beauté de faire la prière du vendredi, ou ceux qui ont dit que, dans l’absolu, sa prière est meilleure à la maison, ils l’ont dit quand les rangs des femmes dans la prière n’étaient pas séparés de ceux des hommes. Aujourd’hui qu’il est prévu dans certaines mosquées des salles séparées pour les femmes afin qu’elles apprennent les affaires de leur religion, il n’y pas de mal à ce qu’elles assistent à la prière du vendredi en observant la décence. Dans un hadith, [le Prophète -paix et bénédictions d’Allah sur Lui – dit] : « N’empêchez pas les servantes d’Allah d’aller aux mosquées d’Allah »
Texte Original
Notes :
1. la source en arabe provient du site Haneen. Vous pouvez consulter d’autres réponses du sheikh en arabe sur leur site.
Source : http://www.islamophile.org
– Que faire si on arrive pendant la prière ?
D’après Mâlik, Ash-Shâfi’î et Ahmad, celui qui n’a pu se joindre à la prière du vendredi en ayant au moins 1 rak’at, celui-là doit ensuite accomplir 4 rak’ats lorsqu’il les remplacera après les salams de l’imam.
Aboû Hanîa est de l’avis que dès qu’on se joint à une partie de la prière du vendredi (même dans la dernière position assise), on ne remplacera après les salams que ceux des rak’ats manqués.
– La Khouba peut-elle être faite en français ou une autre langue que l’arabe ?
Cette question revient à demander si, lorsque le Prophète (sur lui la paix) faisait la khoutba devant ses Compagnons, est-ce qu’il utilisait l’arabe parce qu’il faut n’utiliser qu’elle (amr ta’abbudî), ou bien est-ce qu’il l’utilisait uniquement parce que ceux qui écoutaient son discours comprenaient l’arabe ?
Aboû Hanîfa est du second avis (en ce qui concerne la khutba, pas en ce qui concerne la salât, qui, elle, doit toujours être faite en arabe).
L’Académie de Fiqh Islamique (sous l’égide de la Rabita) a donné un avis autorisant le fait de faire la khoutba dans la langue du pays, recommandant toutefois de garder en arabe le début du khoutba (la formule traditionnelle « Louanges à Dieu… »), ainsi que les versets coraniques qui y seront récités.
Cheykh Khâlid Saïfullâh est d’avis qu’il est mieux de faire la khoutba en arabe. Cependant, ajoute-t-il, il ne faut pas critiquer ceux qui choisissent de faire la khoutba dans la langue du pays, ni dire qu’il s’agit d’une bid’a (Jadîd fiqhî massaïl, p. 161-166)
Sujet: le collier très beau à lire
Le collier…

Il était une fois un homme pieux qui se trouvait à La Mecque. Il n’avait plus d’argent, il souffrait de la faim, il était presque sur le point de mourir. Pendant qu’il marchait dans une des ruelles de La Mecque, il trouva un collier de valeur, très précieux. Il prit donc le bijou et se rendit à la sainte Mosquée.
Là, il trouva un homme qui cherchait le collier. Ce dernier lui décrivit le bijou sans se tromper ; l’homme pieux lui donna donc le collier en espérant recevoir quelque chose en retour mais le propriétaire prit le bijou et partit sans rien lui donner… L’homme pieux fit cette invocation :
« Ô mon Dieu, j’ai renoncé à ce collier pour Toi,
remplace-le moi par quelque chose de meilleur. »
Plus tard, l’homme partit en direction de la mer, il monta dans une barque mais un ouragan se déchaîna et l’embarcation fut détruite. L’homme pieux s’accrocha à un morceau de bois, il flottait ainsi à la surface de l’eau, le vent le faisait dériver jusqu’à ce qu’il atteignit une île. Là, il trouva une mosquée où des gens priaient, il pria donc puis se mit à lire le Coran. Les gens de l’île lui dire :
« Tu lis le Coran ? »
Il répondit : « Oui »
Ils dirent : « Enseigne le Coran à nos enfants, s’il te plait »
Il commença donc à leur enseigner et recevait un salaire pour cela. Lorsque les gens virent qu’il savait également écrire, ils lui demandèrent d’apprendre l’écriture à leurs enfants, ce qu’il fit et il en fut rémunéré.

Les habitants de l’île dirent à l’homme pieux :
« Il y a ici une orpheline dont le père, qui est décédé, était un homme de bien. Voudrais-tu l’épouser ? »
Il répondit : « D’accord. »
Il se maria donc et trouva que sa femme portait le même collier que celui qu’il avait trouvé à La Mecque ! Il lui demanda alors :
« Quelle est l’histoire de ce bijou ? »
Elle lui raconta que son père, un jour, perdit ce collier à La Mecque et qu’un homme le lui avait rendu. Son père, depuis ce jour, invoquait Dieu, dans la prosternation, de donner à sa fille un époux comme cet homme qui lui avait rendu le collier. L’homme pieux dit alors à sa femme :
« Je suis cet homme… »
Leçons à tirer de cette histoire :
L’homme pieux a résisté à la tentation de garder le collier pour lui alors qu’il avait très faim et avait besoin d’argent. L’épreuve était difficile mais il a tenu bon et Dieu Le Généreux Qui donne sans compter, lui a accordé plusieurs récompenses, à savoir : le meilleur travail possible c’est-à-dire enseigner le Coran, un endroit pour vivre et une épouse.
. : SoubhanAllah : .
Il ne faut pas désespérer du secours divin, même dans les situations les plus difficiles. Regarde cet homme, il a failli mourir de faim puis de noyade mais Dieu l’a sauvé de tous ces dangers.
. : al hamdoulillah : .
Le fait d’apprendre et de savoir faire quelque chose permet de trouver un travail. Cet homme savait lire et écrire, et cela lui a permis de travailler dans l’île. Chacun de nous est bon dans quelque chose, à nous de trouver dans quoi afin de développer le ou les dons que Dieu nous donne afin de participer au bien de tous.
Dieu Le Très Haut aime les patients et les pieux et répond à leurs invocations. Ainsi, lorsque l’homme pieux ne reçut rien pour avoir rendu le collier, il ne s’est pas énervé contre le propriétaire du bijou, au contraire, il a patienté et a invoqué Dieu. Allah, Le Généreux par excellence, a répondu à sa demande avec une générosité incroyable, digne de Sa Majesté. D’ailleurs la réponse de Dieu à l’invocation de l’homme pieux est un très grand miracle qui nous enseigne qu’il ne faut jamais désespérer de la miséricorde et des bienfaits de notre Créateur Unique et Tout Puissant Qui fait ce qu’Il veut, comme Il le veut et quand Il le veut car Il est capable de tout et que rien ne Lui est impossible. Louange à Lui pour l’éternité.
Que Dieu vous guide sur le droit chemin, ainsi que vos familles, qu’Il vous facilite le jeûne du mois de Ramadan, qu’Il vous aime, vous protège et qu’Il vous accorde le meilleur ici-bas et dans l’au-delà.
Amine…
Sujet: Houria présentation
Mariée mère de 4 enfants !
Femme au foyer!
Aime la cuisine et pâtisserie !
Aime discuter partager ce qui est Religion!
Informatique aussi !
J’ai trouvé votre forum par hasard en cherchant sur le net!
Très intéressant et bonne continuation!
J’espère être la bienvenue !
Pour la suppression de mes postes il fallait l’écrire par mp!
Merci quand même pour votre accueil!!Sujet: Mohammed L’humble

Il était étonnant en ce domaine; sa modestie était une modestie de celui qui a connu Son Seigneur par crainte révérentielle, qui ressent de la pudeur vis-à-vis de Lui et qui Le respecte comme Il mérite d’être respecté, qui connaît, aussi, l’insignifiance de la distinction, des biens et des titres; cela étant, son âme s’est dirigée vers Allah et a émigré vers l’autre monde; rien de ce qui plaît aux habitants de cette terre, ne lui plaît, et il était devenu un véritable serviteur de son Seigneur; il faisait preuve de modestie avec les croyants, il s’arrêtait pour discuter avec une vieille, visitait le malade, faisait preuve de charité envers le pauvre, réconfortait les faibles, jouait avec les enfants, plaisantait avec ses épouses, discourait avec sa communauté; il s’asseyait par terre, dormait sur le sol, utilisait le sable comme matelas et la natte de joncs tressés comme oreiller. Il était satisfait de son Seigneur, et n’a jamais aspiré à une gloire, à un rang social ou politique, une prétention terrestre ou une revendication humaine; il parlait aux gens avec douceur, discutait avec l’étranger poliment, se familiarisait avec les gens et accueillait ses compagnons avec un visage souriant en disant:« Je ne suis qu’un serviteur qui mange comme mange un serviteur et s’asseye comme s’asseye un serviteur ».
Rapporté par Ibn Abï ‘Açem
dans le Zuhd (I6)
et Ibn Sa’d dans les Tabaqât (1/371).
Lorsqu’un homme le vit un jour et qu’il se mit à trembler à sa vue, il lui répondit:
«Calme-toi, je ne suis que le fils d’une femme qui mangeait de la viande séchée à la Mecque».
Rapporté par Ibn Mâdja (3312)
et El-Hâkem (4366) d’après Ibn Mass’ûd.
Voir El-Kâmel d’Ibn ‘Adiyy (6286).
Il abhorrait les louanges et interdisait qu’on exagère dans le respect qui lui est dû; il disait:
« N’exagérez pas dans votre vénération à mon égard comme l’ont fait les chrétiens avec Jésus fils de Marie; je ne suis que le serviteur de Dieu et son Messager; dites: le serviteur de Dieu et son Messager ».
Rapporté par El-Bukhâri (3445) d’après Ibn ‘Abbâs.
Il interdisait, aussi, qu’on se levât pour lui et qu’on se mette debout derrière lui; il s’asseyait là où il trouvait de la place et se mêlait aux gens comme s’il faisait partie d’eux; il répondait aux invitations et disait:
« Si j’étais invité à un repas fait de pieds de moutons, je répondrais à l’invitation, et si on m’offrait un bouclier j’accepterai ».
Rapporté par El-Bukhâri (2568, 5178).
II aimait les pauvres et disait à ce sujet:
« Mon Dieu, fais-moi vivre pauvre et fais-moi mourir pauvre et ressuscite-moi parmi les pauvres ».
Rapporté par Ettermidhi (2352)
d’après Anas et Ibn Mâdja (4126)
et El-Hâkem (7911) d’après Abî Sa »id El-Khudhri.
Il interdisait l’orgueil, mettait en garde contre lui et flétrissait ceux qui en faisaient preuve en disant:
« Les orgueilleux seront ressuscités le Jour de la Résurrection sous la forme de petites fourmis et l’avilissement les entourera de tous côtés ».
Rapporté par Ahmed (6639) et Ettermidhî (2492).
Voit Kachf El-Khafâ (3236).
Il a rapporté, aussi, de la part de son Seigneur ceci:
« L’orgueil est Mon voile et la puissance Mon manteau; celui qui Me conteste l’un d’eux, Je le jette dans le feu ».
Rapporté par Muslim (2620) et Abû Dâoud (4090).
Il était – que la paix et le salut soient sur lui – aimé des coeurs et des âmes; la servante le prenait par la main et marchait avec lui dans la rue, il rendait visite à Umm Aymen alors qu’elle était esclave; et lorsque la délégation de ‘Amer Ibn Sa’sa’a le loua en lui disant: Tu es le meilleur d’entre nous et tu es notre maître et le fils de notre maître». Il leur répondit:
« O gens! Dites ce que vous pensez, vous-mêmes, et ne laissez pas le Diable vous suggérer quoi que ce soit ! ».
Rapporté par Ahmed (15876)
et Abû Dâoud (4806).
Bien plus, il s’est mis en colère lorsqu’un homme lui dit: «Ce que Dieu veut et ce que toi, tu veux». Et lui répondit:
«Malheur à toi! Tu m’as rendu l’égal de Dieu? Dis seulement: ce que Dieu veut.».
Rapporté par Ahmed (1842, 2557)
et Ennisâï dans les Sunen El-Kubra (10825)
d’après Ibn ‘Abbâs.
Il portait, lui-même, les provisions de sa famille, réparait ses chaussures, rapiéçait ses vêtements, balayait sa maison, faisait traire sa brebis, découpait la viande avec ses épouses, servait ses hôtes, plaisantait avec ses invités, demandait de leurs nouvelles, se relayait pour monter sa monture avec son compagnon, portait de la laine, mangeait de l’orge, et il lui arrivait peut-être même de marcher pieds nus, dormait dans la mosquée, montait sur son âne et des fois montait en croupe, il aidait le faible et demandait des nouvelles de l’escadron qui l’accompagnait en aidant ceux qui avaient besoin d’aide et en accompagnant celui qui était esseulé.
Qu’Allah lui accorde Ses bénédictions tant que les langues le mentionnent, que les escortes répandent ses nouvelles et que les djinns et les humains rapportent son récit.

http://aslama.com/prophete/personnalite/humble-compatissant.php
