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15 réponses de 136 à 150 (sur un total de 831)
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  • #275858
    houmidi59
    Participant

    Le bûcheron : épilogue ou dernier épisode

    Quand le groupe des héros arriva à la ferme, le ciel commençait à se couvrer d’un voile rougeâtre ; le soleil venait de disparaitre derrière la colline.
    Aussitôt, une femme d’un certain âge accourut vers eux :
    _ « Dieu soit loué, vous êtes sains et saufs
    _ Mais oui, maman, s’exclama le plus grands des cinq frères
    Et d’ajouter :
    _Au fait, est –ce que papa est là ?
    _ Non, mais il sera là d’un moment à l’autre
    Puis réalisant que ses fils n’étaient pas seuls, elle dévisagea le groupe :
    _Ah, excuse-moi Ahlam, je ne t’ai pas vu. Comment vas-tu ? Et….
    Mais qui sont les autres ? Je ne les ai jamais vus
    Ahlam fit les présentations :
    _Ce sont des amis à moi
    Le grand frère l’interrompit :
    _ Maman, on a des invités ; le devoir est de les faire entrer, ensuite tu as tous le temps de parler avec eux
    _Tu as raison Jamal
    Puis :
    _Kamal va vite avertir ta sœur pour préparer le salon
    L’interpelé s’exécuta
    Quelques instants après, les invités étaient dans le salon à savourer un bon verre de thé accompagné d’un morceau de harcha beurré.
    C’était l’occasion aussi pour raconter l’aventure à la maman. Celle-ci ne cessait de dire : Oh mon Dieu, oh mon dieu !
    Finalement, elle les réprimanda sévèrement :
    _Vous n’aviez pas à agir ainsi ! Et si ces bandits vous avaient tiré dessus …non, je n’ose penser à ça
    _N’aie craint, mère, la calma Kamal, tu vois bien qu’on a réussi ; et puis on est assez nombreux pour faire fuir un lion
    La mère de Jamal sourit :
    _Enfin, c’est par la bénédiction d’Allah et celles des marabouts que vous êtes là
    Il était environs 9 heures du soir et le père n’était pas toujours rentré.
    La mère les rassura :
    _Je crois que votre papa a des empêchements. C’est sûr, il ne rentrera que demain
    _Tu as raison, ajouta Jamal, ça lui est déjà arrivé de passer la nuit au village
    Puis se retournant vers Ahlam :
    _Demain, tu lui diras bonjour. En attendant, faisons visiter la maison à nos invités
    Jamal était un excellent guide .Bientôt chacun des recoins de la demeure a été connu par tous les visiteurs
    Soudain, Khalil fit signe à son frère de s’approcher de lui :
    _ « Regarde bien cette pièce ! C’est étrange, mais je crois que je l’ai vue quelque part
    Jaber la prit de ses mains et la contempla un moment puis :
    _ J’y suis ! Cette pièce est l’une de celles qu’on a découvertes dans la vieille cabane
    _Mais, s’interrogea Khalil, que peut –elle bien faire ici ?
    Jaber fit la moue :
    _Franchement, aucune idée !
    Aussitôt, Kamal s’approcha d’eux :
    _Je vois que vous aimez vous aussi les œuvres d’art …comme mon père
    _Hein ! s’écrièrent-ils en chœur
    _ Venez, les invita-t-ils, dans la cave mon père en a beaucoup et plus originaux que celle-là
    Nacira et l’oncle Abderrahmane qui avaient tout entendu, suivirent le groupe .En chemin, le vieil homme dit à voix basse :
    _ J’ai l’impression qu’on va mettre la main sur le chef de la bande
    _ Mon Dieu, murmura Nacira tout en tremblant, comment Jamal et ses frères vont-ils apprendre la mauvaise nouvelle ?
    _Du calme, intervint l’oncle Abderrahmane, il se peut qu’il ne soit qu’un intermédiaire
    Dans la cave, les visiteurs s’exclamèrent :
    _Mais, mais…..s’étonna Jaber, ce sont les objets d’art que les autorités sont entrain de chercher. D’ailleurs, les voilà dans cette liste que le chef des gendarmes m’a remise lors de la saisie des objets trouvés dans la cabane
    En effet, cela concordait parfaitement
    Kamal les dévisagea sans rien comprendre .il ne manqua pas de le dévoiler :
    _Les amis, dites –moi ce qui se passe ?
    Alors Abderrahmane lui raconta tout et conclut :
    _ Ces objets d’art ont été volés de plusieurs musées et sites touristiques
    _ Non, c’est faux ; mon père ne ferait pas ça
    Heureusement que Khalil était là .Aussi, remédia-t-il à la situation :
    _Ecoutez mes amis, allons rejoindre les autres .Demain matin, nous saurons tout dès l’arrivée du père de Jamal
    _Tu as raison apostropha ce dernier
    Puis :
    _Allez montez, on dinera puis je vous montrerai vos chambres
    Le lendemain matin, vers huit heures, ils étaient entrain de prendre le petit déjeuner, quand une jeep entra dans la demeure .Le chef des gendarmes en descendit et lança au groupe :
    _Je viens perquisitionner la maison.
    _Vous avez un mandat de perquisition ?
    _ Le voilà
    Puis : Désolé mes amis, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer : les voleurs arrêtés ont tout avoué .Il s’avère que leur chef n’est que…….
    _ ….Le propriétaire de cette ferme
    Le représentant des autorités regarda Khalil avec admiration :
    _ Vous avez aussi réussi à dévoiler l’identité du chef de la bande .Vraiment, je vous félicite.
    Puis, son visage se rembrunit et déclara :
    _ Hélas, je dois vous annoncer qu’il vient de succomber à ses blessures suite à un accident de voiture
    On pense que c’est un accident prémédité. Avant de mourir, votre père nous a tout avoué
    Vraiment, je suis désolé……..

    Fin de cette histoire

    #275850
    houmidi59
    Participant

    Le bûcheron (6 eme épisode)


    L’après midi, les deux frères prirent la direction de la cabane située à l’orée du village. En arrivant, ils constatèrent que l’endroit semblait inhabité depuis un certain temps. Khalil fit le tour de la demeure, tandis que son frère scruta les horizons du haut d’une grosse pierre

    _ « On dirait qu’il n’y a personne, lança Jaber

    _A croire que cette cabane n’a jamais été habitée, ajouta Khalil

    Puis : entrons et visitons les lieux

    Jaber essaya d’ouvrir la porte quand il remarqua qu’elle était cadenassée

    Que faire ? Heureusement qu’il y avait une petite fenêtre de bois .Il était facile d’ôter une planche pour l’ouvrir

    Les deux frères y entrèrent et se trouvèrent dans une grande obscurité. Jaber alluma une allumette .Soudain, à travers la lueur, ils virent des gros sacs encombrés dans toute la demeure.

    Jaber reconnut le sac qu’il avait porté

    _ « Mais, c’est le sac du vieillard

    L’allumette s’éteignit et l’obscurité revint

    Khalil en alluma une autre.

    Quelques instants après, Jaber apporta une lampe à pétrole qu’il avait trouvée près d’un sac

    _Bonne idée, frérot

    Aussitôt, la pièce fut à nouveau éclairée. Les deux frères ouvrirent le sac .Quelle fut leur surprise de voir les différents objets qui s’y trouvaient : des objets rares qui remontaient à des siècles

    _On dirait des œuvres d’art très anciennes, lança Jaber

    _En effet, approuva son frère

    Après un bref silence, il ajouta : on a affaire à des voleurs d’art

    _Il faut avertir les autorités, poursuivit Jaber

    Ainsi, les deux frères se précipitèrent vers le poste de gendarmerie. Aussitôt, ils demandèrent à voir le lieutenant .Ce dernier les reçut sur le champ

    Après lui avoir tout raconté, il fit envoyer une patrouille vers la cabane .Puis, il téléphona aux autorités de la ville la plus proche pour avoir des renforts.

    _Messieurs, je vous félicite .Grâce à vous, on aura mis la main sur le plus gros butin volé depuis des dizaines d’années.

    Les deux frères le regardèrent étonnés

    _Je vais vous expliquer.

    Ainsi, il dit : depuis plusieurs années, une bande de voleurs ne cessent de voler les monuments et les objets d’art dans les sites touristiques. Malheureusement, ils étaient insaisissables. On a beau leur tendre des pièges, en vain.

    Dernièrement, une dépêche est parvenue nous faisant savoir que la bande rodait autour du site historique du mausolée Moulay Bouazza .On n’avait fait monter la garde tout autour et ce 24 heures sur 24.Mais, il semble que les voleurs se sont rendus compte de notre présence .Aussi, ils n’ont rien tenté.

    Quelques instants, deux brigadiers firent irruption dans la salle en tenant chacun un gros sac :

    _ Chef, regardez ce qu’on vient de trouver

    Le lieutenant ouvrit l’un des sacs et en sortit le contenu : des tablettes métalliques .Sur chacune d’elles des versets coraniques gravés en or massif.

    Dans le second sac il y avait, une selle rustique, un fouet et un bracelet en argent

    Le chef dévisagea les objets, puis lança à la cantonade :

    _ « Savez-vous à qui appartenaient ces objets ?

    _Non, répondirent-ils en chœur

    _ Vous ne le croirez jamais, c’est la selle et le fouet du grand chevalier Abou Alfawariss.

    Qui de nous ne connaissait pas ce valeureux guerrier qui combattaient les méchants et défendaient les faibles. On racontait qu’il manipulait si bien le fouet que Zorro était devant lui un piètre jongleur. On dit aussi que la selle était ensorcelée ; celui qui la montait serait invincible.

    Enfin, c’est ce qu’on disait, conclut le chef de la gendarmerie.

    Les deux frères sortirent de la gendarmerie tous fiers d’avoir accompli un devoir envers leur pays :

    _ « Enfin, ta mésaventure s’est bien terminée, fit remarquer Khalil

    _Dieu soit loué ; non seulement, on m’a déculpabilisé, mais je suis devenu un héros

    _Tu sais ajouta-t-il, demain nous serons à la une des journaux

    Khalil fit la moue : Moi, ça ne me plait guère tout cela. Et puis, la bande est toujours en liberté

    _Et alors, s’interrogea Jaber

    _ Ils vont continuer leurs sales besognes et comme tu dois le savoir, notre pays est riche en monuments et objets rares

    _Tu as raison, reprit Jaber .Espérons que les autorités finiront par leur mettre la main dessus

    _Oui, espérons-le

    Puis, ils se hâtèrent de retourner chez Abderrahmane

    A suivre…………..

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant


    ‘’Il ne me reste que de jouir avant de partir là-haut ‘’

    J’ai vu un grand homme sous la poussière enseveli,
    C’est vrai qu’il était ivre de magnifiques décors
    Sur sa tombe s’élève un superbe monument
    Dans une vie antérieure il a du être prophète ou roi.

    En guise d’épitaphe il y avait un testament,
    Un poème en guise de frise sur sa tombe disait :
    «Il ne me reste que de jouir avant de partir là-haut.»

    J’ai vu par ailleurs des têtes d’enfant éclatées,
    La cervelle coulait sur la pierre et la poussière
    Leurs membres cassés comme des buchettes,
    D’écoliers, le sang collant les vêtements aux os…
    On en voit encore les tâches sur l’écran de télé.

    J’ai vu un champion crouler sur le terrain
    Comme un cheval fourbu qui a trop couru,
    Pulvérisé, comme les records qu’il a battus…

    J’ai vu un juge, encore jeune terminer ses jours,
    Alors qu’il tentait de rejoindre les sept cieux.
    Volonté d’avoir, pouvoir, sexe et ors,
    La plaignante de choix avait un beau corps
    Ci-git untel, éteint au travail, en pleines orgies !

    J’ai vu une chair chavirer seule dans l’oubli…
    Le spectre vivant, l’esprit de dame nature,
    S’offrait comme un calice à une rose mure,
    Qui s’effrite dans le vase qui la veut immoler.

    Une femme délaissée, un homme abandonné,
    Un véritable calvaire, faute d’opportunités,
    Des millions d’âmes, damnées,
    Des millions d’âmes, damnées !

    C’est une vie qui n’a de souvenirs que les plis.
    Belle, elle fut ! Du temps, elle garde les morsures !
    Il ne reste des amours que la hotte abandonnée,
    Un résidu excavé par tant de rides et d’années

    J’ai vu des esprits jaillir des décombres,
    Des minarets choir sur une foule abandonnée…
    J’ai vu des hordes armées souiller les sanctuaires,
    Et faire gicler le sang des enfants et des pierres.

    J’ai vu des squelettes émerger des fosses communes,
    En mal d’humus, de nom et de sépultures.
    Pareils à ceux des ombres devenues martyrs,
    Leurs os brillaient comme ceux de César et de Pharaon.

    J’ai vu parmi les défunts, les cendres et les braises,
    Des cicatrices couler des cœurs inassouvis…
    Quand veux-tu de l’oubli sauver ce sourire,
    Quitter ta tombe et me joindre pour partir ?

    Ce soir, fantasque muse et charmante créature ?
    Ce jour est gravé sur tes yeux de miel et d’azur,
    Pour des nuits interminables de poésies et de joies
    Des siècles de fêtes, de danses et de luxure.

    Ma fée, ma sirène, Lune de jour, Soleil de nuit,
    Souris à la passion d’un être qui n’a rien vu !
    Il ne reste des lieux, du temps et des choses,
    Que la flamme des dieux et l’instant volé !

    Tu m’as dis que pour restaurer les hommes
    Tu attachais les âmes des vivants aux morts,
    L’ancre à la nature pour les faire d’argile,
    Les enfanter sur terre avant de les enterrer,
    Pour empêcher les cieux de les voler.

    Corps vain, mémoire perdue dans le néant,
    Qui l’aspire, crois-y, femme, avant de partir !
    Il ne reste des lieux, du temps et des choses,
    Que la flamme des dieux et l’instant volé !
    Ce jour ou ta nuit est gravé sur tes yeux purs,
    Pour des siècles de fêtes et d’éternité.

    Il n’y a d’espoir que dans la parole de Dieu
    Pense à Lui, prie, fais ton plein de vœux,
    Pousse-moi des ailes, emporte-moi de bonheur,
    Tout le reste n’est que nuages et fumées !

    Si tu sens qui tu es libre, malgré tes chaînes,
    Sache que ton destin est au mien attaché !

    Qu’est ce que tu perds, sable versatile ?
    Croire ou être abusé et induit en erreur ?
    Quand tu n’as qu’un corps et un esprit labile,
    Une présence virtuelle, un leurre versatile !

    Vieilles et livides verdeurs ayant servi la vie,
    Les hanches des branches se déhanchent
    Sans idée préconçue, sans but ni utilité,
    Que le chant inconscient, le refrain dans l’air
    Et la danse stoïque dans l’immobilité !

    Le bambou valse au gré des vents
    Et joue à cache-cache avec l’étoile,
    Sous l’œil à moitié clos de la lune,
    Qui jette un regard doux sur eux !

    Kénitra, les 18-26 Mai 2010

    IDRISSI MY AHMED

    Alaa-eddine
    Participant

    Le journal d’OujdaCity a déjà soulevé une affaire semblable d’un autre hypermarché à Oujda qui lui avait distribué des publicités d’alchool la veille de la fête d’al Adha … malheureusment rien n’est concrètement fait pour empêcher de tels agissement, l’interdiction légale n’est pas claire à ce sujet, et les grandes enseignes profite de cette faille légale pour faire de la pub aux produits alcooliques.

    #275639
    nordest
    Membre

    Wa Aleykoum Salam,

    Bienvenue à vous. Gal3ia est une tribu amazighe située dans le département de Nador. La ville même de Nador se trouve sur son territoire. Nador signifie la vigie. Cette tribu doit son nom aux redoutes du Makhzen construites sur son territoire en face du préside éspagnol Melilla (prononciation locale « Mritch » qui veut dire Mlilt c’est à dire la « Blanche »). Une redoute se dit en thamazight  » thaqel3it » qui vient du mot arabe « elqal3a ». C’est pourquoi on qualifie en langue Amazighe cette tribu par le terme « Iqel3iyen ». Gal3i est le qualificatif en parler marocain dont le pluriel est « Gla3a ».

    Le territoire des Gal3ia a une vingtaine de kilomètres du N. au S., une quarantaine de l’E. à l’O. Elle a sept fractions

    1- Beni-Chiker: (les enfants du Chiker),
    2- Ferkhana (la jeunesse).
    3- Beni Bou-Ghomren (les enfants de celui qui a des coudes),
    4- Beni bou-Gafer (les enfants de celui qui a de l’infertilité),
    5- Beni-Sidal ,
    6- Beni Bou-Ifrour (Les enfants de celui qui a des agneaux),
    7- Mezzouja longue crête de montagne.
    Le préside espagnole  » Melilla » ou « Mritch » est bâti sur l’ancienne ville Romaine Russaddir. Avant qu’elle devienne Romaine, des Hstoriens disent qu’il était un comptoire carthaginois car le mot « Russaddir » est un terme phénicien et non latin. En effet, il est composé par deux mots à savoir  » Russ » et « addir » dont le premier signifie « tête » dans la langue ancinne des phéniciens.

    Juste avant l’arrivée des conquérants arabes le territoire qui s’étend depuis le fleuve Moulouya dont le nom latin Mouloucha jusqu’au confins de la ville de Tétouan (Tittawin) était occupée par la grande tribu Amazighe Ighomaren « Ghomara » dont une partie était de confession chrétienne et sous la tutelle du prince espagnole Julianus. C’est ce dernier qui va aider Tarik Ben Ziyad et les Ghomara à la conquête de l’Andalousie.

    Ghomara est une tribu amazighe de la branche Masmouda « Imesmouden » apparenté à l’autre grande branche amazighe à savoir Iznaguen que les Historiens arabes ont appelé « Senhaja ». A la conquête arabe, le Maroc est essentiellement peuplé par des Senhaja et des Masmouda.

    Revenons à notre tribu des Gal3ia qui n’est ni Senhaja ni Ghoumara càd Masmouda. Elle est issue de l’autre grande branche amazighe à savoir Znata ou plus tôt Iznaten ou « Ijnacen » comme il les a appelés le grand Historien des Berbères Ibn Khaldoun . Les Iznaten ou Ijnacen sont les Amazighes de l’Est. Leurs territoires historiques est plutôt la Libye, la Tunisie et la Numidie orientale càd la partie est et centre de l’Algérie actuelle. La défaite des amazighes Znata devant les troupes arabes les a poussé de plus en plus vers l’ouest. Le pays Ghomara qui s’étendit depuis le fleuve Moulouya s’est rétrécit pour n’occuper que le centre du Rif entre le fleuve Ouringa et Asif Laou qu ‘on appelle actuellement « Oued Laou ». le mot « oued » a tout simplement remplacé le mot « Assif » qui signifie « oued » en dialecte amazighe Ghomari. Pour être plus précis les Amazighes Ghomara occupent actuellement la partie méditerranéenne de la province d’Achaouen (Chefchaouen). Au passage « Achaouen » signifie en berbère « les cornes ». Si un jour vous aurez l’occasion de visiter cette ville vous verrez les deux pics de montagnes qui ont la forme des cornes.

    Le retrait des Amazighes Ghomara a laissé la place aux autres amazighes Zenata qui arrivent de l’Algérie. Les Zénètes ont eu leur période de gloire avec les deux dynasties suivantes : Benou Ziyan fondé par Yaghmoracen qui avait sa capitale à Tilimçane et la dynastie sœur des Benou Mérin qui avait établit d’abord sa capitale à Guercif pour s’installer ensuite à Fés. Ces dynasties sœurs zénètes étaient rivales et cherchaient chacune d’elle à dominer l’autre. C’est pendant cette période que les Amazighes Znata occupaient l région qui s’étend depuis l’est de la ville d’Alger depuis Tipaza en passant par Chlef, Oran, Tilimçane, Oujda, Taza jusqu’aux confins de Fès, le Rif de l’est et central et toute la dahra càd les hauts plateaux de l’Oriental càd depuis Geurcif jusqu’au Ayt Seghrouchen à l’ouest de Figuif en passant par Debdou.

    Ce sont les rivalités entre les Ziyanides de Tilimçane et les Mérinides de Fès qui ont poussés ces dynasties à faire appel vers le 13ème siècle aux tribus arabes Hilalienne et Ma3quil installées dans les régions sahariennes au sud d’Oran pour les aider dans leurs guerres. C’est à ce moment que les premières tribus arabes s’installent dans l’oriental marocain et en particulier dans les plaines d’Angad et les plaines de la dahra.

    Les tribus Znata qui substituaient les tribus ghomara entre la Moulouya et Le fleuve Nekor s’appelait à l’époque Ibettouyen « Bettouya » . Ibn Khaldoun disait que les Ibettouyen était les frères des « Iznassen ».

    Cette tribu mère a été détruite par la dynastie Almohade pour venger l’enlèvement d’un prince almohade par cette tribu. Cette éclatement a donné naissance à des tribus sœurs qui existent au jour d’aujourd’hui à savoir : Ayt Oulichek, Ayt Said, gal3ia, Ayt Touzine, Temsamane. Certaines fractions des Bettouya se sont installés chez les Bekkouya à l’ouest de Hoceima et d’autres se sont installées sur le territoire algérien « Nemours » de côté d’Arzew.

    Fraction DES BENI-CHIKER

    I3azzanen (les chéris, les honorés) entre le Cap Viejo et le Cap des Trois Fourches; sur le bord de la mer. Les habitants sont pêcheurs et agriculteurs, mais surtout pêcheurs,

    Aith-Ségdal (les enfants des prairies artificielles, près de l’Ouad Beni Chiker. Au Sud, le Souk Eth-Thelatha, (Marché du mardi).

    Thak’oul3ith (la petite forteresse)
    Aïth-Fahthal

    Sidi El-Hadj Es-Saïd

    I3abdounen (les adorateurs) de Dieu.
    El-Erbe3 (le mercredi) Grand marché le mercredi.

    FRACTION de Ferkhana.

    Aith-Mousa (les enfants de Moïse).
    Jnad’a(le camp) près de l’Ouad Beni-Chiker, qui porte, à partir de cet endroit, le nom de Ouad Ferkhana

    Ferkhana (les jeunes gens) simple petite crique, appelée pompeusement Mersat Ferkhana (port ou baie de Ferkhana), juste au N. et près de Mliliya.
    El-K’al3â (la forteresse), au sud de Mliliya.
    Nadour (la vigie), port de mer.

    Fraction DES Beni-bou-Gafer

    Tizi (le col) gros bourg au milieu des dunes, à l’ouest de la presqu’île.
    Azîzaten (les chéris)

    Zerroura (la graveleusesuccession de hameaux bâtis sur des terrains accidentés, pierreux.

    H’aninaten (les sensibles) réunion de cinq ou six bourgades assez rapprochées les unes des autres.

    Bajjou (morue), (qui a les orbites des yeux très grandes).

    Thazarint (les belvédères) près de la mer. .
    Oulad El-H’asen (les enfants de H’asen), sur l’ouad Bou-Gafèr. Au sud de ce hameau se trouve le Souk Eth-Thelatha (marché du mardi)

    Tifaçoua (luzerne) près de la mer.

    Bou-H’amza (le père de H’amza) (A) sur l’Oued Bou-Gafer.
    Mersat Bou-Gafer (le port de Bou-Gafer), petite baie

    Beni-Bou-Gheffari (les enfants de celui qui possède des fusils de Tétouan) petit hameau sur le bord de la mer.

    Asammer (endroit ensoleillé) bourg important
    Chemlala pays produisant la meilleure espèce d’oliviers dite Achemlal);

    Teghdamiya (le pacage)

    Mehiyaten (antilopes addax; dont le type est l’addax nasovtaculatus)

    Oulad 3mar (les enfants de 3mar)

    Bouffoua (l’impuissant) non loin dela rive gauche de l’Oued El-Kert, qui commence à s’appeler à cet endroit Ouad Bou-Gafer.

    Ighil Oumedhghar (crête tortueuse)

    Ath-Arî (les enfants d’Ali)

    Ijouaouen (les Zouaoua)

    FRACTION DES BENI-SIDAL

    Aith-Sidhar (en-arabe Beni-Sidal)

    Ya- centre le plus important des Beni-Sidal mosquée, Zaouiya, étudiants.

    FRACTION DES BENI-BOU-IFROUR

    Sidi Bou-Sbar (Celui qui a de la patience). C’est le saint des Beni bou-IFrour, Nombreux pèlerinages à son tombeau.

    Azrghenghen, bourg importante, sur la rive droite de l’Ouad El-Kert.

    Ez-Zaouiya (le séminaire) sur l’Ouad El-Kert.

    El-Asara (la difficulté).

    Souk’ El-Khemis (le marché du jeudi).Marché important.

    Thelalha (mardi) . Grand marché le mardi

    FRACTION DE ME2Z0UJA

    Sidi-Mousa , à l’extrémité septentrionale du lac Bou-Erg.

    Mersat Bou-Erg (le port, ou la baie de Bou-Erg) , petite anse séparée du village précédent par l’étroite langue de sable située entre la sebkha et la mer

    Thaliouin (les Sources) , non loin du Bou-Erg,

    El-joumou3A (le vendredi)

    Bezghenna. Au sud, le Soug El-H’add (le marché du dimanche).

    K’eçbat Selouan (la caserne de Selouane). Le petit Ouad Bou-Erg fournit l’eau nécessaire à la garnison du Makhzen.

    FRACTION des BEN Bou-Ghomren

    Bou-Ghomren, non loin des sources d’un ruisselet, l’Ouad Sidi Mousa, qui a son embouchure à Nador, D’importantes ruines se trouvent sur le territoire de cette tribu . Ils les appellent Ikhraben Iroumyen (ruines chrétiennes). Ce sont peut-être les vestiges d’une vieille cité dont le nom est oublié dans le pays.

    Voilà pour ce soir.

    Wa ssalam

    #275584
    kryss4you
    Membre

    @pouchi wrote:

    Mon ami kryss4you, si tu aime vraiment cette fille comme tu le prétend et bien il faut essayer de lui demander tout cela de façon à ne pas la blessée ni l’accusée et quoi qu’il on soit si c’est la femme de ta vie il va falloir l’aider !!Càd si tu peux l’épouser va y !!!! au lieu de la laisser comme ça …. Bnat Annass Machi Laâba !!!!! 😉

    désolé de ne pas avoir répondu avant…
    en fait moi cette histoire est assez complexe et je ne c par où continuer car cela fait plus de 2 ans bientot 3 que nous sommes ensemble dans nos coeurs et je pense que c’est ce qui nous aide a ne pas nous laisser distancer par toutes ces choses qui nous empeche d’etre heureux.
    je suis ale ra ouja en novembre 2009 lol pendant en plus l’aïde, j’ai donc dormi en dessous du toit où il y avait lesmouton et j’ai passer les fetes avec eux « ma belle famille ».
    le 1er soir j’ai parlé avec son pere et il m’a dit qu’il etait d’accord pour qu’on se mari, sa mere aussi m’a donné sa benediction, et toute la famille etait content qu’un homme aime de cette maniere et de cette force leur fille, et surtout d’avoir fait un courage enorme et une tres belle preuve d’amour.

    et je me demande si elle a pas ete vendue malgré elle…

    ces derniere paroles etaient meme si c’est dans 10 ans c’est avec toi que je me marie et personne d’autres., mais je suiscoincé actuelement parceque si jy vais pour rien la ba et que je peux pas la ramener…
    moi je suis pret a tout pour cette femme, c’est pour elle que je respire depuis 3 ans, je suis meme pret a me couper un bras Ppour me marier avec elle, voir meme a mourir pour elle.

    … mais je suis perdu et ne sait plus par quoi et où et de quelle maniere commencer.
    enfin dans ma tete et mon coeur oui je sais, apres le mettre en aplication sans que ca foire c autre chose

    limite j’en suis devenu atrocement paranoiaque C’est invivable et ingerable de ne pas savoir et de pas pouvoir aller la chercher et arranger les problemes
    moi meme sans elle je ne peuxvivre en continuantcomme ca JE continue a chercher un moyen de gagner vite de ‘argent pour pouvoir y alle car ca fait 2 mois j’ai perdu mon travail a cause d’un accident grave de voiture et là j’en ai retrouvé un mais entretemps il c passé plus de 2 mois avec tous les jours vivre avec ca et croyez moi des atrocités dans ma vie j’en ai vu enpagaile, je suis revenu de la mort à l’age de 7 ans et croyez moi que cette douleur de vivre sans elle est bien plus profonde.
    merci à tous

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    PLAIDOYER POUR ABROGER LES TAXES CRUELLES SUR LES MALADIES

    A CEUX QUI DEVRONT AGIR POUR SAUVER LES MALADES

    Exergue

    Les Taxes de Douane et de TVA, 24 % au total sur pratiquement tous les médicaments et le matériel de soins voué aux malades, sont une véritable ineptie, une fois qu’on en a conscience. C’est une injustice humanitaire, anti citoyenne que de les garder, alors que le Roi fait de l’INDH son chantier de règne et ses des pauvres et des handicapés, son vœu moral et sa passion de souverain, pour les sortir du mépris, de la misère et de l’ingratitude afin des les placer sur le chemin du progrès et de la dignité. Garder ces lois inconscientes et iniques est une arnaque amorale, portée sur le dos des seuls malades. Ce sont des lois canailles, honnies et contreproductives, pour Son prestige. Il est donc naturel de solliciter une grâce de SM le Roi, dont ont sait le pouvoir exécutif et le rôle ascendant dans le Gouvernement. D’autant qu’aucun ministère, pris à lui seul n’est capable de décider et de légiférer ! Il est naturel dès d’attendre du Roi, qu’Il les abroge et fasse un acte de justice, en graciant les malades de payer des taxes sur leurs maladies, pour lever cette prédation partiale, archaïque et embarrassante.

    Citation d’un plaidoyer

    « Célébrer les morts, est-ce utile aux vivants ? La civilisation est-ce de commémorer les morts ou de collectionner leurs faits et actes ? Défendre les malades à qui cela sert-il ? Supporter les malades est si lourd, mais, est-ce tellement ingrat ? Si vous dites encore que soutenir les vieux et les handicapés est une charge onéreuse et improductive, c’est que vous optez pour le meurtre et l’euthanasie ! Les Valeurs humanitaires d’un peuple se développent dans les soins attentifs aux malades et se mesurent dans le courage exercé par tous dans la poursuite de ce deal ». In Mme Student, in « Chronique des gens qui passent…» Sachez qu’avant de naître, que vos enfants sont prédestinés et passibles d’une contravention originelle ! Ils assumeront des charges et des taxes que leurs parents ont laissé sévir, sans en comprendre la gravité et sans réagir !

    APPEL A CELUI QUI SAURA AGIR POUR SAUVER LES MALADES

    Le constat social

    A l’heure où le Parlement rouvre sa session avec un Président prestigieux leader d’un parti progressiste Si RADI, et un médecin et ancien ministre de la Santé ,Si Biadillah, dans la Deuxième Chambre, qui plus est phare du PAM à l’heure ou le gouvernement de SM le Roi, entame la deuxième partie de son exercice, il serait-il utile aux militants des Partis, à tous les cadres responsables du Royaume, aux Conseillers du ROI, qui analysent les événements, les idées et les actes, entre la morosité et les cataclysmes, politiciens , électoraux ou climatiques de se pencher aussi, sur cette autre calamité, que sont les maladies ! Les simples maladies et leurs approches, législatives et économiques ! Médecins et pharmaciens ne suffisent plus ! Ils réclament une réforme ! Avec courage et inventivité, une vraie réforme, sans désistement ni atermoiements. Le Maroc nous regarde !

    Appel ou prière aux absents

    Nous sommes tous concernés ! Est-il socialement productif de continuer à délaisser ce secteur vital, odieusement taxé d’inutilité, au profit d’autres factions plus dynamiques ? Est-il défendable de saborder ainsi sa base, la population de son propre pays ? Là où la souffrance réduit même les plus aisés d’entre les gens, au statut tragique d’assistés, rendant la dignité, donc la citoyenneté, à sa plus basse expression. Les Partis, par voie de fait, se transforment en collèges virtuels où des arrivistes sabordent les concepts de démocratie, en niant au peuple des quartiers leurs bons droits ! Du coup la signification même de représentants, leur crédibilité d’élus se perd !

    Les milieux, ruraux, pauvres ou besogneux, dénigrés au profit d’expédients extatiques et de pétarades de salons, sont ceux qui requièrent le plus l’affection et justifient des Cadres leur temps, leur énergie et leur abnégation, par tous les temps. Ce sacerdoce ne connait pas les vacances ! Les actes de présence, les gestes de solidarité sont la base de la vie en communauté, donc de toute politique. Est-ce abâtardir les cadres et polluer leurs méninges que d’aspirer leur rencontre salvatrice avec les couches qui les ont générés ?

    La logique, la raison, les sentiments, la nécessité, requièrent le courage de ce retour. Le Peuple a besoin de ses fils pour reformer la famille ! Ces immersions dans les rues, les usines et les quartiers, sont synonymes de rencontres entre condisciples et de proximité avec ceux qui remplissent les urnes, voire avec ceux qui avec raison s’en détournent et fuient les suffrages et les scrutins !

    Appel des familles, appel du peuple

    Le service humanitaire, acte altruiste de citoyenneté, est la meilleure audience pour les militants avec leurs électeurs potentiels. Le Peuple, ces simples sujets qui travaillent pour vous instruire, attendent qu’on étanche leur sueur. Ils attendent, non sans crainte d’être déçus et non sans espoir de fierté, un juste retour des sentiments de ces cadres, de ces cigognes, qu’elles refassent leur printemps ! Ils attendent que les programmes des Partis intègrent leurs soucis et leurs justes espoirs. Ils attendent que ces patriotes leur rendent justice et qu’ils lavent la honte des exactions et des abus ! Que les fils et les filles se détachent des innommables amalgames et se différencient de ceux qui les subornent et les trompent ! Que les programmes, leurs volontés écrites, soient aussi réalistes, que vrais et qu’on ne vole plus leurs droits, leurs aspirations et leurs rêves !

    Ils veulent que leurs besoins, les plus simples, soient réalisés. Que les élus ne soient plus que de virtuels pastiches, les uns des autres, bons à placarder les murs de fausses promesses qui restent les témoins balafrés de leurs mensonges !
    Et les chantiers à couvrir sont légions, dans tous les domaines, du travail à l’éducation et de la justice à la santé ! Le premier travail est de leur rendre leur confiance en soi et de régénérer un sang par trop corrompu ! Le premier travail est de retrouver cette fierté légitime, cette richesse que nul adversaire n’avait pervertie. A commencer par chasser toutes les formes de mépris et tous les stigmates de l’humiliation : celles exogènes et celles dues au destin de tout être vivant ! Leur droit à la santé, le droit des personnes malades à être soignées, le droit de ne pas subir d’entraves ni d’être d’un système de soins, les otages muets ! Le droit de ne pas subir de surenchères, ni d’embargo sur leur santé.
    La santé est un droit, un devoir envers les citoyens,

    Que dire de la santé, de l’accès aux soins, du coût des actes et du prix des médicaments, et qui plus est, des taxes que l’Etat prend sur les malades, leur souffrance et leur maladie ? Les maladies représentent deux faces de la responsabilité des gestionnaires que l’on peut réexaminer sous un nouvel angle, plus moderne et plus contemporain. Celui qu’il est d’assurer les besoins communautaires en médications et celui des moyens et règlements d’approche pour l’acquisition des médicaments et des soins. Sachant qu’il ne saurait y avoir de conflit d’intérêt entre les obligations de l’état dans ses deux facettes de régulateur et de commanditaire, ni de schizophrénie entre l’offre des médicaments qu’il organise et leur accessibilité, dont il décrète les coûts, la qualité et les obligations. Or, obligé d’assurer une couverture, il ne doit pas lui être étranger d’en abaisser les coûts pour répondre aux besoins élargis. Et nous connaissons l’impact de la maladie dans la genèse de l’inconfort, du chômage, de la misère, du mécontentement social, dans l’origine des grèves, dans les troubles et dans la révolte et les séditions !

    Il s’agit pour nous, à partir de l’AAMM, qui vous remercie de votre engagement et de votre affable soutien, entre autres associations dynamiques et ONG civiques, d’éclairer l’Etat sur un dol qu’il entretient et de faire prendre conscience à la cascade des décideurs, d’un concept nouveau, celui du DROIT DES MALADES. Nous sommes devant des punitions collectives, perpétrées selon un système organisé et des modes légalisés. Exactions aberrantes, devenues institutionnelles et inconscientes, revers d’un droit naturel, mais ignoré, doublé d’un devoir oublié. Nous ne disons pas dénigré, de par notre immense espoir en notre pays et en nos cadres nationalistes, car ce droit et sa solution sont simples !
    Ce droit légitime et naturel est celui d’être traités, sans arnaques ni surenchères, comme il devient coutumier de le lire, de le voir, de le souffrir et de le déplorer. Droit de refus nouveau et devoir de délation nôtre, doublé d’une violente condamnation face à des prélèvements coutumiers, impropres et inconséquents. Nous dénonçons avec vigueur citoyenne, dans un esprit pédagogique inlassable, ces taxes abusives dans leur concept, qui saignent les malades ! Une aberration, dès qu’il s’agit pour le fisc de frapper les médicaments et de pénaliser les demandeurs de soins ! Dès lors, il nous parait juste de ne pas laisser le malade crouler sous la chape des TAXES DOUANIERES et autre antinomique TVA sur la maladie !

    Reformater les taxes

    La loi qu’il s’agit d’exorciser, l’abcès torpide qu’il s’agit d’inciser est donc cette ostensible et publique tare de l’Etat ! Une infamie, qui aberrante déjà, obère l’accès aux soins ! C’est-à-dire qu’il s’agit pour vous maintenant de faire raisonner le législateur et repenser aux réglementations devenues infâmes. Des us contreproductifs, car ils pèsent sur l’accès aux médicaments et aux soins, des soins que l’état veut élargir pourtant par l’AMO !

    Un leitmotiv libératoire s’entend ! Reformater les taxes de douane et de TVA ! Ces contraintes contraires que l’état nous impose, sont des pénalités sur les fièvres et les douleurs. Des charges superflues qui représentent entre 25 % (à 42 du prix des laits de bébés) sur les médicaments les plus indispensables, comme ceux de première nécessité ! Sauf exception ! Cette arnaque est vécue comme une entrave au simple droit de se soigner et comme un carcan, un boulet, autant d’exactions punitives, qui datent de l’ère qui précède celle des droits de l’homme !

    Une taxe rétrograde anti humanitaire et un cumul d’indignités

    Ces dissonances, artéfacts fossiles, archaïques, dignes des gestions reptiliennes, sont gravement antisociales. Elles plombent l’accès aux soins. Vous m’excuserez de m’appesantir sur cette punition collective qu’on administre à la Nation ! Elle est indigne du Maroc, contraire aux valeurs préconisées par le ROI Sidi Mohammed VI que dieu le protège. Indigne du Ministre Financier et du grand socialiste USFP, Si Oualaâlou, qui donna ses cours de droit et d’économie au Roi, et que nous avons tant interpellé ! Indigne de son sémillant successeur et nouveau responsable du RNI, Si Salaheddine Mezouar. Indigne des valeurs enseignées par les Partis Nationalistes et du Premier Ministre Me Abbés El Fassi qui rassemble avec Si Abdelouahed Radi, les piliers princeps de la Koutla. Indigne des démocrates, indigne de l’Islam, civilisé antérieur et cautérisé à présent, indigne de notre ouverture moderne. Indigne de notre tolérance, qui doit être une passion envers autrui, et d’abord, envers ceux qui souffrent dans leur chair, dans leur être, dans leur santé et dans leur personne. C’est une antinomie humanitaire que toute personne sensée, dotée d’un minimum de civisme et d’éthique citoyenne, se devrait de condamner, afin que les plus hauts responsables et dignitaires du pays, puissent l’effacer à jamais. Et ce, au nom de ceux qui souffrent, pour la bonne économie de l’Etat, comme par patriotisme.

    Un exemple brillantissime du Roi citoyen

    En effet, l’école de solidarité et de défense des tranches pauvres et des handicapés, exprimée avec ardeur, en temps réel et sur le terrain, par notre Roi Sidi Mohamed, stimule notre énergie civique. Elle nous libère et nous pousse à la franchise, plutôt qu’au laisser-faire ! Elle éveille en nous, médecins, vos amis, admirateurs, militants et concitoyens, une volonté de voir les gouvernants et les réglementations suivre, avec réalisme et dans les actes, la juste passion de SM que Dieu Le garde.

    Un besoin de réformes humanitaires

    Réformer les concepts, c’est donc, pour l’Etat de réviser le cadre même de sa fiscalité sur les soins, à la lumière de clairvoyance de SM le Roi. A commencer par les médicaments et leurs divers intrants. De l’usine au labo et de la pharmacie au bloc ! Les citoyens sauront accepter les mesures de remplacement, les plus légères, sur le timbrage local, fiscal, sur les boisions prises en public dans les café, par solidarité et civisme, « à la santé des malades » ! Sans gêner leur aisances et leur susceptibilité de classe, les plus riches accepteront les taxes sur les produits de confort et de luxe qui viendront remplacer celles de la Douane et de la TVA, lesquelles ne font trinquer que les malades, même ceux des states les plus pauvres ! Il ne faut pas sortir de Saint Cyr pour supprimer les rubriques budgétaires par d’autres mieux adaptées au Maroc nouveau ! C’est une mesure salvatrice et de solvabilité de cet humanisme humanitaire qui est le nôtre et pour lequel nous admirons notre Roi initiateur ! C’est une question de force et de volonté contre les archaïsmes. Une autre forme du Nouveau Pouvoir !

    Un besoin d’évolution démocratique

    Supprimons dès lors les taxes rédhibitoires qui pénalisent l’accès aux soins. Car ces prébendes usuraires sur les souffrances, génèrent de la haine et suscitent la sédition ! Ces pénalités révoltantes sur les fièvres et les douleurs, injustes et inhumaines, surmultiplient les mécontentements populaires ! Comme ces entraves augmentent notre lot d’incapacités et de handicaps, par les retards, sinon par l’empêchement des secours initiaux et dans les prises en charge ! La cherté mine le chemin des soins et barre leur administration.

    En défiscalisant les soins, les médicaments et leurs intrants, c’est le budget de la Santé publique, (en premier, celui des hôpitaux, civils et militaires), qui sera décuplé. Ses médicaments, ses instruments, ses réactifs !
    Car l’investissement dans la Santé doit être vu, au moins, comme celui du Tourisme, pour son développement et ses privilèges, et soutenu comme l’une des priorités, aussi importantes que la fourniture du blé toute l’année, le pain qu’on subventionne, et du lait qu’on importe pour le mois de Ramadan !

    Et tous les malades, du plus dramatique, au plus complexe, du moins grave au plus léger, seront dispensés des frais injustes et superflus ! La Santé s’offrira à un plus grand nombre ! Les Marocains qui n’ont pas d’autres saints auxquels se vouer, seront plus soignés et mieux soignés. Ils seront reconnaissants au Pouvoir Royal qui aura libéré leur santé des contraintes ! Cette OPA, géniale, profitera à l’AMO et à l’INDH qu’elle consolidera par des coûts de médicaments et de soins plus accessibles. Cette réforme, sur nous-mêmes et nos réglementations, est à faire en bloc et d’un seul tenant pour qu’elle soit productive et efficiente.

    Des lois justes et plus honnêtes, sans discrimination entre les pathologies

    En supprimant les taxes décriées, messieurs les Conseillers du Roi, vous rendez justice à l’Etat et vous rendrez sa pureté aux lois en les ré-humanisant. Agissant ainsi et conseillant de la sorte, vous rendrez les lois plus louables, plus amènes, plus convenables, plus en harmonie avec la politique de solidarité imaginée par SM.

    Mesdames et messieurs les Ministres et les Députés, vous les Cadres sains de la Nation, vous les leaders d’opinion et les responsables des Partis, vous qui pouvez avoir l’audience et l’écoute du Souverain, vous êtes des responsables, sensés transmettre les dols de la population à SM. Nous percevons pour le Pouvoir, une gloire de plus, une exaltation de l’admiration et des louanges supplémentaires, un bénéfice en popularité opportun pour tous les acteurs de l’ETAT.
    En plus de la reconnaissance de la part du Peuple, l’effet produira un rejaillissement psychologique sur son imaginaire et un starter sur son enthousiasme rouillant

    ! Un plus en sera l’effet humanitaire, qui confortera notre image au sein des Nations les mieux développées !
    Cette réforme de la fiscalité des soins et des médicaments, sera une option curative du brouhaha généré par toutes les hausses des prix dans les hospices publics et autres indélicatesses ! Une chance, qui, si elle est bien pulsée, sera capable de stimuler, sans doute, cet amour pour la Patrie, qui semble en défection depuis la Marche Verte et qui se vit dans la morosité ambiante et le dégoût navrant de certains, qu’il est temps d’oublier pour développer l’INDH et d’aller voter, au besoin, pour d’autres consciences !

    Dr Idrissi M. Ahmed, Président de l’AAMM, Kénitra

    ASSOCIATION DES AMIS DES MYASTHÉNIQUES DU MAROC
    Kénitra, le 1er MAI 2010, Assistance : 00212-0-661252005, Tel-fax: 00212-0-537376330, aamm25@gmail.com

    #275579
    kryss4you
    Membre

    bonjour,
    je voulais tout d’abord m’excuser pour certains détails mentionnés, je ne pensais pas que cela était risqué de parler d’un quartier (qui est très peuplé de plus) donc les risques d’identification sont infirmes si aucun nom n’est cité… m’enfin bref passons.
    quand je dit « prostitution de famille » c’était dans le sens où les filles sont prostituées malgré elle, par leur père car elle n’ont pas de travail.

    je me fais de + en + de soucis et me pose de plus en plus de question car je me demande si ma chérie n’est pas l’objet de cette affreuse et horrible chose.

    … veuillez m’excuser de vous parler de çà, mais depuis que j’ai cette chose en tête, ce virus m’empêche de dormir et je ne mange même plus.

    merci de votre aide 😥

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Chroniques en saillies à petites foulées

    LA JOURNÉE DE LA TERRE
    LA JOURNÉE DE L’ARBRE
    LE RAMEAU DE PALESTINE
    LES NUAGES VOLCANIQUES

    Depuis les monstrueuses guerres…
    -Y a-t-il un autre mot pour accuser les mondiales ?-
    Qui ont tracé dans le sang et l’humus leurs gésines
    On a prétendu que la terre appartenait
    A ceux qui la travaillent encore, les serfs !

    Seulement, si tu l’entends comme je la vois.
    La terre, du moins ce qui en reste, s’étend,
    Et appartient à ceux qui la prisent, la volent,
    En marchant sur les os de nos parents.

    Depuis, donc la terre et nous avec,
    Semences sans âme, fertiles à foison,
    Appartenons aux gens qui tiennent,
    Maître et esclaves, au même destin attachés.
    Nos chaînes sont les leurs, également.

    La terre est à ceux qui l’épuisent,
    L’embellissent, ma foi et l’empoisonnent !
    Dominent son âme et la ‘’ ferrent ‘’,
    Je le dis ainsi, ‘aimer’, par pudeur,
    Évitant une saillie, un clash vulgaire.

    Tel ce volcan….Venues des glaces d’Islande,
    Des fumées noires s’invitent au désespoir,
    Pour empêcher les rois au deuil d’assister.

    L’Europe et ses avions, Barak et Sarkozy,
    N’iront pas aux funérailles à cause du ciel,
    Ni au panthéon, enterrer les Kaczynski
    Ici, si ce ne sont les sauterelles, les intempéries
    Les barrages qui pissent, c’est la grêle !

    A quoi bon chanter la Journée de la Terre
    Avec un tas de cadavres en dessous,
    Des armées d’ouvriers sous serres.
    Sur cette ferraille qui pollue l’atmosphère,
    Défiant ses otages devenus prisonniers.

    A quoi bon chanter la journée de l’arbre,
    Quand, arraché du temps et des cimes,
    Des terres qu’il retient au bord des abîmes,
    Des forêts et leurs pâtres qu’il anime,
    Le cèdre, arbre de paix, sert de potence
    Pour plier et bruler, encenser le crime ?

    Ô colombe meurtrie, ton rameau grille !
    Insectes prédateurs, ignares, profanateurs
    Ne coupez pas la branche fleurie de l’olivier
    Arrachez l’encens, qu’il brûle en entier !

    Ses branches, étoiles arrogantes,
    Plastronnent à cinquante ou à six,
    Sur la bannière ou le drapeau.

    Tracé dans le sang, sous la peau,
    Le chiffre répété de soixante six,
    Colle la queue du démon
    Aux fameux GI et sinistre Sion !

    Descendu du ciel, Satan effrayé
    Pour votre salaire, vous ses alliés,
    Creusera la terre comme un sablier :
    Son enfer flambe déjà sous vos pieds

    Pentagone, pentagramme,
    Hologrammes, esprit sans âmes,
    Conjuration, vade retro Satanas,
    Diables, matons et sorciers associés !

    Incendiez l’Eden et ses femmes,
    Pour embaumer l’enfer des damés !
    Un peuple, assassiné, sert d’otage,
    Sur ses terres spoliées, il est prisonnier !

    On ne cherche plus d’esclaves
    On assouvit la passion des soldats,
    Leur plaisir de verser du sang,chaud,
    Pour gorger de flammes le démon !

    On naît sur un bateau pourri,
    Qui chavire et craque en tournoyant.
    Il tempête et tangue, nous noyant
    Dans de sombres tourments.

    N’ayant pour quai que la destinée,
    Notre but est de voyager indéfiniment.
    Il n’est pas question d’arrêter le train,
    Et c’est là, notre paradoxal dessein.

    La nuit s’étend sur terre pour en finir les jours.
    Son destin de mort est écrit sur ses pierres.
    Ses monts éviscérées, ses roches, ses galeries
    Ses puits, ses mines éventrées.

    Abattoirs ravagés ivres de chair humaine,
    Que l’on imite sur les champs et les quartiers.
    Ses volcans soufflent fumées et flammes ;
    Ses spasmes assassins, d’Haïti à la Chine,
    Agitent l’océan de tsunamis et cataclysmes !

    On ne cherche plus d’esclaves à faire
    On n’assouvit que le talion des braves :
    Satan, le diable ému par ses démons,
    Assouvit la passion des sergents.

    Ivre de vengeances ataviques,
    Sur Mohammed et Jésus le messie,
    Moïse, Salomon, David et Abram,
    La tribu de Yahvé a perdu son âme !

    Vent, arrête tes bourrasques assassines,
    Écoute les bambous chanter la vie !
    Leurs branches dansent corps à corps.
    Laisse la brise embaumer les filles,
    Et les feuilles, leur apprendre à valser !

    Sous le ciel bouillonnant de nuages
    Où rugissent et grondent les tonnerres
    Apeurée, la branche serpente sur la roche
    Cristalline, qui lui sert de butée.

    Les succubes obéissent en silence
    Aux ordres de leurs mentors particuliers.
    Les verts s’assassinent entre frères,
    Le dôme a éteint ses appels aux prières.
    Il ne reste que le mur pour pleurer,
    Et offrir la repentance aux meurtriers.

    A coté des victimes étalées par milliers
    Des souffles viennent du ventre de la sphère.
    Ce sont de jeunes martyrs, des vengeurs,
    Qui éclatent de courage face à la haine

    Boucherie et fosses de damnés,
    Des corps coupés, mêlant leurs membres,
    Dans le ciment calcaire de leurs sangs,
    Gisent en attendant la résurrection.

    Camps de souffrance, prisonniers avilis,
    Le Démon, devenu riche et prospère,
    A établi sur terre son gouvernement,
    Son PC offense la puissance des cieux.

    Il ne reste du mur d’à coté, pour crier,
    Que les yeux des trous gras et poudreux
    Pour recueillir les talismans poussiéreux
    Des visages ravagés des petits vieux.

    La condition humaine n’est pas fameuse,
    Comment vit celui qui n’a rien à espérer ?
    Ni terre, ni libertés, ni force pour s’assumer…
    Face à l’injustice, il ne reste que la déprime,
    La haine stérile ou la force du mépris !

    La condition humaine n’est pas flatteuse,
    Comme la portent les malades les pauvres.
    L’handicapé qui manque de moyens,
    Et d’aide pour comprendre et espérer.

    L’homme, cet être aux destinées vaines,
    Fragile, futile, furtif et labile,
    Victime de naissance, esclave et maître,
    Inhibé par ses peurs, affligeantes certitudes,
    Pavane bercé de sordides crédulités.

    Ses chants d’espoir, l’amertume même,
    Il en délire et crie pour s’en libérer !

    Reprochez-moi, lecteur, de voir rouge,
    Quand la colère noire veut m’emporter !
    Même, si je perds la bataille, compère ose
    Continuer le combat, sans bride lâcher !

    Image du boulevard de la capitale.
    Le lierre grimpe et ses fleurs volubiles,
    Couvrent les troncs nus des palmiers,
    Quand des scies assassines se ruent
    Sur les branches qu’ils font raser.

    Dans ton oasis, Arbre encore dressé,
    Devant les murs blanchis de ton hôte,
    Étend tes boules devant ses portes,
    Et que tes libertés l’arrosent de volupté !

    DR IDRISSI MY AHMED

    Kénitra, le 24 Avril 2010

    #206430
    nediha_gawriya
    Participant

    Bonjour,

    J’ai Appris avec la grande tristesse la tentative de vol commis en vers le foyer de Mr Houssine ALkaddouri directeur de journal OujdaCity.

    Bien que cette affaire reste encore « sous l’ombre » MAIS n’empêche que le taux des agressions et des vols à Oujda à atteint un niveau EXTRÊMEMENT alarment.
    Que doit-on faire pour se protéger ? acheter des armes ? Car à mon avis c’est la Ultime solution, vue que notre chère sureté Nationale est absente..je n’y comprends rien….en congés peut être…

    En plus de ça… comme dit dans l’article c’est bien de  » renouveler » la ville par contre ils ont Oublier que la facteur majeur dans une Ville est LA sureté de ses habitants! alors je me demande bien quels sont les projets et surtout les plans à mettre en œuvre pour remédier à ce problème à ce phénomène qui empêche les gens de vivre tranquillement, une vie normale quoi!

    je l’ai dis et je le redis la monté des étrangers à Oujda implique l’augmentation des agressions! car ces criminels sont des arrivistes qui pourrissent notre chère ville bien aimé!

    #275356

    En réponse à : aider la nouvelle hihi

    nass
    Membre

    tu nous excuseras KAWTAR, mais ces derniers jours nous manquons d’inspirations.. PDT_Armataz_02_01
    et puis comme tu dois le remarquer c’est rare que tu croises un des membres..!il faut juste être patiente…
    n’empêche que je te souhaite la bienvenue, eu que tu passe de bons moments parmi nous .. 😉

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Ecrire tout un livre pour dire que je ne veux pas publier ?

    Bonsoir, tu m’as écrit ce 12 mars 2010 : « My Ahmed, Bravo. A quand la publication de tes écrits ? ». Cher ami, veux-tu une réponse longue ou courte ? Dois-je t’écrire tout un livre pour te dire que je ne suis pas tenté de publier ?

    Ecrire est une chose, mais publier, c’est pour qui, c’est pour quoi ? Ici au Maroc d’abord écrire en français, pour un lectorat réduit est un défi au bon sens commercial de la chose ! Mais ça se défend pour les professionnels qui ont un nom sur les étalages de la culture. Les écrivains qui ont un label qui les distingue, les introduit et les avantage auprès des critiques, pour les consacrer chez les éditeurs. Voire de l’oligarchie francophone, ‘’lisante‘’ et luisante, seyante et sémillante, commerçante et bien pensante, sise sur l’axe cérébrospinal des deux capitales utiles ! Le reste, lisant et écrivant plus l’arabe, lit autre chose sur les cartes, son destin suspendu et son utilité discutable !

    Ecrire pour parler des amours de ma grand-mère, de mes jeux naïfs de mon enfance, passée près des palais, rythmer dans un poème le vol nuptial des papillons, sous le chant des cigognes et les râles des grillons, parler aux roches volcaniques de la couleur du vent qui les fait fantasmer avant leur éruption? Inventer pour le plaisir d’en sortir ou de faire peur, une évasion de terroristes ! Ou celle qui fera un film rocambolesque de mercenaires ou d’intégristes échappés aux fers des chez les matons ! Avorter des crimes des rescapés, éventer des révolutions châtrées dans l’un des pays chauds ? Vendre de l’exotisme, chargé de doutes à la xénophobie avérée ? Faire palpiter le lecteur en espérant passer un jour son œuvre au cinéma ? Ou simplement des errances politiques des partis et des hommes de mon pays et comment dicter aux décideurs mes stupides conseils et autres suggestions ! Ça c’est bien moi en fait ! Mais ça fait l’objet de lettres particulières ou de rares articles sur les journaux, pris à témoins ! Et non pas d’éditions !

    Ecrire pour éclairer, pour se définir et pour s’identifier. Ecrire des balivernes plaisantes sur soi, des contes pour adultes, en guise de passe temps ! Ecrire pour militer et défendre. Ecrire pour former et informer ! Pour écrire il faut un but, une raison de plus pour publier ! D’ailleurs, qui voudrait me publier quand je taquine les colons et médis des ses alter ego ! Ce n’est pas aux frais de l’ambassade ou de l’état, que des mots perceptibles comme blessants, pourraient voir le jour ! Admettre des actes répréhensibles, ou leur simple allusion, la critique et la mise au point, vous fâche déjà un homme. Il faudrait que les ‘’ bienfaiteurs‘’ soient masochistes pour accepter la diffusion de ce qui les indispose et blesse ! La transparence n’a pas cette couleur la reconnaissance des faiblesses passées non plus !

    Nos livres n’intéressent pas la vieille métropole ni les pays qu’elle a connus, même quand ils lui restent ombiliqués ou confédérés ! Les amateurs de votre belle langue, qui lui restent entichés, n’ont qu’à ce taire sur le plan de l’esprit ou de l’écrit ! Les écrits de ces ‘’ provinciaux ‘’ d’une autre nature, sont imbibés des relents d’un terroir qui semble plus étranger que jamais ! Notre français emphatique, imagé ou prolixe, date de votre dix huitième siècle ! Vous parlez autrement et vous lisez autre chose !

    Ecrire pour une minorité, une élite, publier à fonds perdus, juste pour timbrer les colis de votre livre dédicacé que vous vous devez d’adresser à des gens qui ne l’auraient jamais acheté. Mieux vaut chercher leurs emails pour les aviser, si ce n’est les importuner un peu, pour récolter en retour, quelques mots condescendants, si ce n’est rien du tout ! Car les gens sont braqués sur la parabole.

    Leur temps, ne suffit pas pour étancher cette soif immense de connaître le monde. Là, c’est un monde d’images qui les attire, les révolte contre les leurs, les invite puis les dissuade, et les interpelle constamment. Une relation d’amours pervers, chargée de symboles, de rancœurs violentes, de dépit et d’attirances ! Un monde, à peu de frais, qui si proche, n’est guère soumis à la quête des visas.

    Ces murailles en papiers, qui freinent l’émigration et que ne peuvent franchir que les plus motivés. Ce, au bout de parcours marathoniens, des aventures souvent mortelles ! De vrais chemins de croix pour les survivants qui espèrent vider cette patrie, cette poubelle l’Afrique. La marâtre arriérée qui les assume si mal et qu’ils répudient, même en y restant chevillés, surveillés par des mâtons.

    Si ce sont nos pays, ce ne sont plus nos terres ! Nos drapeaux, nos symboles, nos hymnes, nos frontières, ne collent pas aux limites de nos tribus ! La notion historique et large de Nation, s’est perdue dans les âges et dans l’entrechoc des religions et des civilisations, au profit de barrières et des douanes, qui ligotent les gens et assiègent les hommes !

    Pas bouger !! Un exode qui les déboutent et dissuadent l’Afrique de son virtuel paradis européen ! Chemin faisant, dans ma réflexion, sur le livre, la connaissance et la curiosité, je me retrouve en train de rouvrir le sujet galvaudé de la majorité des romans marocains ! L’exode économique. La quête stérile du Graal et ses tristes déboires. Cette volonté instinctive de quitter les lieux pour un motif vital, la recherche du travail, n’importe lequel est débouté ! A raison ?! Pour protéger l’espace, le sanctuaire privé des dieux, l’intimité des idoles et maîtres européens !

    Je disais donc, question ouverture sur les cultures, voilà donc un monde, parabolique, mais qui a tué le livre. Ecrans dans les deux sens, la télévision est suivie par des milliards d’individus. Un outil, mais aussi une attache passionnelle. Ce média universel, axe cérébral de la globalisation, qui reste néanmoins attractif et intéressant. Seulement sa profusion ahurissante dépasse l’imaginaire. Et cette occupation tue le temps de la lecture au point de se demander pourquoi écrire si l’on peut créer des images qui parlent ! Et là, Youtube répond à ma question !

    Les gens d’ici ont des difficultés avec l’épicier, la quête de nourriture et de médicaments, s’ils connaissent parfois le marchand de journaux, ils ont perdu l’adresse des libraires ! On vient d’en tuer un de ces ultimes résistants à Casa. Adieu, Jacob Chriki, tu me rappelles mes libraires du Mellah de Fès. Tous partis ! Qui en Israël ou Palestine, qui au Canada ou en France, qui chez le bon Dieu, Yahvé le père, à la bonne adresse, maintenant !

    Crime pour de vrai, dans une affaire banale et crasse. Celle d’un pommé, armé d’une barre de fer ou d’un couteau, peu importe ! Drogué ou pas, vol et non dérive raciste extrême. C’est le principal, rassure-t-on. Personnellement, je ne sais pas si la peine de mort se justifie encore dans de pareils cas ! Mais, il doit y avoir un salaire pour le crime.

    Là je serais, au conditionnel, pour appliquer la loi divine plus que le pardon humaniste ! La vengeance sociale impartiale pour l’exemple dissuasif et le châtiment ? Le ‘’talion’’, la justice. En un mot ‘’équitable’’, à hauteur de la biblique mesure du ‘’dent pour dent, œil pour œil’’ ! Et le pardon et la résipiscence, les remords et l’excuse, le regret et le pardon, qu’est-ce qu’on en fait, Docteur ! Seul celui qui a été tué ou Dieu, pourraient le faire ! J’ai horreur d’en parler !

    Toi, par exemple cher ami, que retiens-tu face aux criminels, aux monstres, qui gomment des vies comme ça. Que ce soit sous forme artisanale à l’unité, en série ou industrielle ! Je suis contre toutes les formes de guerre, contre la peine de mort, mais je suis déchiré devant des horreurs pareilles ! Au point d’invoquer d’autres consciences que la mienne, pour ne pas dériver dans mon jugement !

    Mais l’amalgame, le doute soufflé, à demi mot, pour qui veut tancer est vite fait. On incriminera la religion ou le terrorisme, le racisme, l’antisémitisme, pour instrumentaliser, sans dignité ni respect, l’épouvantable assassinat ! Ailleurs, quand c’est quinze mercenaires qui gomment un Hamas, les agents sortent avec des décorations et beaucoup d’argent, certainement. Un autre nom, une cachette, un boulot tranquille ou un autre passe, le temps qu’on tourne la page et qu’on efface de la mémoire l’événement !

    Ceci est un exemple où donner son avis, vous classe dans un registre de façon rigide et définitive, ou dans un autre où on se complait à vous flatter. On vous chasse ou on vous considère, selon l’audience et les partis pris !

    Ecrire et réagir, c’est souvent faire face à une démoniaque distorsion des événements et de la vérité. C’est donner son avis pour essayer de comprendre une trame opaque, les tenants et aboutissants d’un événement, d’une propagande. La réalité est dribblée dans les périphrases de discours programmés, dans des réactions de défense préétablies, pour justifier l’indicible, endoctriner les plus récalcitrants, désinformer ceux qui sont neutres, ou des mesures lénifiantes pour congratuler la tribu ou le clan !

    Ecrire, plus sobrement, c’est la recherche des mots et des actions susceptibles de faire resurgir la vérité, c’est clarifier son opinion.

    Ecrire est une artillerie offensive ou offensante. Une arme psychologique, dialectique, rhétorique, qui cherche à persuader ou contraindre, à confondre ou défendre, à humilier ou glorifier ! Ecrire, c’est aussi souder son opinion, sa compréhension des choses avec celle d’autrui. Publier, c’est tenter de les partager avec le plus grand nombre. C’est une recherche d’harmonie, de reconnaissance ou de soutien. C’est une façon de mesurer vos opinions, de leur donner un corps en les comparant à ce qui est admis de tous !

    Ce n’est pas un mystère au Ministère de la Culture, où maintenant à la place d’une actrice, poussée comme une héroïne sur le théâtre de notre composite gouvernement, nous avons un philosophe ! Pire que le sport, ce domaine que l’on a raté dans tous les championnats, son département, polyglotte à peine, ne dispose que de peu de moyens, pour conjurer la situation.

    Chez nous, la Culture ne nourrit pas son homme. Beaucoup de peintres y auraient du faire dans le bâtiment. Question de subsister, tant leurs huiles n’ont pas fait d’eux de gros légumes. Bien des acteurs, débarqués des planches, crèvent la dalle avant d’y plonger dessous ! Ou de recevoir anté mortem, par charité, des soins hospitaliers, en guise d’ultime reconnaissance, avant leur dernier sacrement !

    Penses-tu que ces mots seront lus ? Et sur quel journal fais-tu le pari pour les publier demain ? Toutes fermées ou presque ! Je ne parle pas des grosses gueules ! Faut-il dire et te préciser qu’il n’y a presque plus de salles de cinéma au Maroc ? Antan, certaines servaient de scènes et de tréteaux à ces troupes apocalyptiques !

    Ecrire, serait-il devenu une faute après avoir été un crime ? Faute de doctorat et de magistère, peu de gens de chez nous, osent écrire et bien moins encore s’aventurent à éditer ! Publier est une gageure ! Car, n’étant pas un acte d’indifférence, mais d’engagement solitaire. Un acte suspect de lutte ou de pertinence. Ecrire peut être interprété comme une offense ou une caricature. Oser être c’est publier. Publier pour devenir soi-même ! A condition de mesurer son courage face aux risques. Le courage de ne pas rester, muet, quand rien ne vous oblige au silence ! Ecrire quand on a la chance de vivre, de vivre encore, publier quand on a la chance d’écrire et de savoir écrire et la perception, l’intuition, des choses utiles à dire. Je dis ça pour parler et réfléchir à ce que je viens de dire !

    En dehors du fait de vouloir parler de soi et de ses expériences, parce que le livre, c’est vous, et ce du fait qu’il porte votre nom, il donc le risque de produire des banalités. A une dame, médecin versée dans la communication et devenue éditrice de son état, qui me traitait de Victor Hugo, en plaisantant je suppose, ce que j’ai quand même gardé comme un réel compliment, je disais ‘’ je ne veux pas écrire de choses qui ne seraient pas utiles pour l’humanité. Un peu prétentieux mais c’est la seule chose inutile que je neveux pas courir ! Ecrire, oui si on a des choses importantes à dire…Autrement écrire pour soi, son journal, ses poèmes, sa prose de tiroir ! Au lieu de tuer des arbres et de crever ses yeux pour rien ! Le même défi que tu te tiens pour terminer mon texte, cette chose !

    C’est pour qui, finalement, c’est pour quoi qu’on écrit et qu’on se doit de publier ? Ou contre qui ? Ça dépend d’abord des compétences de l’écrivain, de sa valeur et de sa vanité ! Ça dépend des sujets qu’il fricote. Des cohortes d’où il sort ! Ses écrits seront bannis ou honnis, censurés ou acceptés, utiles, odieux ou stériles ? Et puis, le thème doit varier avec les préoccupations du moment et des lieux où il réside. Encore que ‘’la mode’’ écrire n’est pas suivie chez nous ! Quand vous avez une grande partie de la population qui est analphabète dans nos cinq langues ! Nos gens ont peu de moyens, en fait, pour s’offrir des livres.

    Ecrire devient, s’il ne l’était, comme nos urnes un motif suspect, vidé de son contenu, de son utilité ! Les gens, minimisés, oubliés, outrés ou abusés durant des siècles, se méfient des nouveaux prophètes et des parvenus ! Les plus motivés ne bougent pas ! Les plus conscients refusent d’aller aux urnes qui ont si souvent été manipulées. ils se méfient des nantis comme des opportunistes, qui demain vont encore les oublier. Elire ou élever au dessus de soi, Ces deux verbes sont presque voisins, peut devenir dangereux. Les électeurs retirent rarement leurs cartes. Ils se retirent avec dignité du struggle qu’ils considèrent encore soumis aux lois de la fausseté et des tripatouillages permissifs !

    Avec ce que je viens de dire, écrire est un dialogue, différé, autant qu’un déballage ou un aveu ! Une auto confession que l’on veut partager. Que font les écrivains, pour répondre à leurs ‘’ouailles’’, à leur lectorat ? Que font-ils des critiques ou des louanges, pour que ces avis et ces compliments ne restent pas vains ? Ils écrivent d’autres livres en réponse ! Ecrire est un jeu accompli qui se suffit à lui même ? Une analyse, une confidence aux schizophrènes qui nous habitent ! Ces parties de soi, qui dorment en nous, symbolisés par le Ça et le Surmoi ! Espoirs ou défis, écrire est un désir, une plainte ressassée, contenue. Publier est un désir, muet, caché et inhibé, mais une vraie et belle action quand ça a la chance d’avoir lieu.

    D’abord les romans me rebutent. Je déteste les longueurs, en faire c’est autre chose ! Punissez-moi ! Je suis simplement paradoxal ! A contrario, écrire des nouvelles, me serait-il plus aisé ? Je me le demande ! Vu mes contraintes professionnelles et obligations sociales et/ou vitales ? Vous y adhérez ! Des nouvelles courtes, ça m’irait. Et puis, j’accuse mes engagements multiples, qui me laissent peu de temps pour ouvrir les romans, les livres ou pour en faire !

    Je digère mon temps de façon sauvage ! Le résultat comptable est ruineux ! Je ne sais pas ce que je fais…Oui certes, je travaille et je sors peu de mon cabinet, du moins de son ordinateur ! Je ne suis pas ce que je suis ! Je ne me suis pas encore découvert. La vie et sa suite, je ne sais pas…C’est venu pour partir ! Ça vient comme ça ! Peut-être en moins amusant, du fait des péripéties de la santé péripatéticienne, (je parle de la mienne de santé pas de la publique) et des contraintes diverses, sinon communes à tout homme !

    Ensuite, les romans d’inspiration sociologique, judicaire, policière, avec leurs sous-bassements sexuels, leurs fondements bassement matérialistes, m’inquiètent sur mes capacités. Je me crois incapable de créer ce monde et de gérer ce climat ! Régurgiter aux lecteurs les tensions psychologiques, qu’ils ont lues ou vues ailleurs; relater des scandales aguichants, pour forcer l’envie de lire et pousser la vente ? Je fais allusions aux macabres affaires judiciaires qui fleurissent sur les pages des quotidiens et qui ne laissent pas neutres ! La pulsion de savoir, de connaître, la curiosité, font de nous des voyeuristes en puissance. Ne serait-ce qu’à compulser des pages ou de tourner des feuilles ou des images ! Etudier des humeurs ou le profil d’un assassin, son propre héros, tenter de le tuer ou l’emprisonner à la fin du livre ou de la série, parce qu’il est devenu quasiment vivant, parce qu’il est devenu obsédant ? Elucider des crimes déjà féconds dans le cerveau qui les imagine ? Ce sont quelques questions qui me viennent en tête !

    Toute une gymnastique, que ces péripéties et suspens que chacun aime parfois voir dans un film, n’est pas à la portée du médecin ! Je connais un lettré qui a versé dans le livre noir. J’ai connu de nom, sans le connaître un commissaire qui s’est versé avec engouement sur ce genre de polars !

    Se mettre, psychologiquement à sa place du protagoniste, dans le rôle du méchant ou du héros…Assis sur sa chaise, s’exercer au vol, au viol ou verser dans le crime, imaginaire à deux pas des phantasmes, pour ‘’déguster’’, ressentir des sensations fortes, à l’ombre de ses virtuels malfrats et personnages de création… Et pour les décrire, se mettre dans la peau de la victime ou à la place de l’assassin ? Pour le servir et l’asservir ? Pour le faire vivre dans un roman, au départ tout juste alimentaire ! Ecrire pendant des décennies afin de conquérir une renommée, pour se faire un nom de vivant, grâce des spectres subliminaux ? C’est grisant certes, de vivre la célébrité, grâce à des fantômes qui n’ont jamais existé !

    Autre façon d’écrire, c’est lorsqu’on s’intéresse à ce qui s’agite autour de nous ! Le journal et la télé, qui comme de véritables hôtes vivant chez nous, nous prennent trop de place, au dépens de notre vie, de notre temps. Ces émissions de télé nous dirigent et influencent sans nous le dire, nos humeurs, nos achats et nos comportements ! Du coup les infos nous donnent du grain à moudre. De la réflexion et des idées d’écriture, pour peu qu’on se laisse aller. J’ai déjà parlé de la propagande de l’intox, publicitaire, alimentaire ou autre, qui nous influence et nous détermine en conditionnant en influençant nos achats, nos jugements et nos comportements !

    Ecrire donc, en retour et se centrer sur les informations du monde où nous vivons est déjà un gisement inépuisable de sujets. Sauf que cette matière abonde déjà. Sur la presse elle même ! J’ai l’impression, pour ma part, qu’écrire dans ce registre, saturé déjà, serait inutile et improductif ! Inutile de parler des choses dont on a ras-le-bol ! Par ailleurs, faire dans l’événementiel, écrire pour fantasmer sur les mondanités, inaccessibles, louer la brillance des parvenus et leur ‘’bling bling’’, ce n’est pas pour moi !

    Je ne peux pas faire dan les essais, non plus, sur quoi que ce soit, n’ayant pas le temps de faire des recherches ni d’aller aux profondeurs des choses…Non pas que ce soit un tort ni un manque d’intérêt de ma part, mais ce serait un défaut de spécificité, un manquement  »cultivé », voire choisi, pour étendre une vision la plus large possible, au lieu d’un simple accès fenêtré. Une paresse ? Une paralysie de la concentration ? Seulement, pour être vraie et objective, toute vision doit être à la fois totale et profonde. Et là, ça creuse et défie mes limites. Je ne regarde pas à travers une lucarne ni à travers le créneau d’une meurtrière !

    Je pense que mon tort, tel que déformé par la vision généraliste qu’on colle à mon métier, effaré par l’entreprise immense de celui-ci, que je préfère côté information, fureter le plus largement possible, pour m’aviser d’abord, afin de ne pas passer à côté de ce qui est important, quitte à m’y entendre après pour approfondir le sujet.

    Dès lors, réagir ou ‘’vrombir avec les évènements’’, me semble plus vivant et assez opportun, interactif comme on dit depuis. Et c’est là finalement, j’investi mon écriture, il me semble ! Une sorte d’engagement, ‘’à fonds perdus’’, inefficace, mais qui ne rapporte rien. Si ce n’est pas lucratif, n’est-ce pas simplement ou malheureusement ludique ? Or, ne me censurant que peu, j’assume ma part de libertés et mes parts de perte et de risques, à jaser, critiquer, louer ou maudire !

    Un avis est une expression de vie et d’existence ! Un acte relatif mais bénéfique, même s’il est infime et ténu dans le village global. L’expression est une participation civique, à ce qui est universel ou communautaire. Une manifestation d’une certaine citoyenneté de base. C’est élémentaire, mais il faut pouvoir le faire ! Autrement, sur le plan social, c’est vivre en objet, en commensale.

    C’est ce qui donne l’impression de ’’batailler’’ parfois, en ne donnant son opinion. Les forums qu’il m’a été donné de parcourir, sont férus d’animosité première ! La critique et la chasse à autrui, au nouveau intimidé, confond rancune e réserves ! Certains forums comme dans certains groupes sociaux, sont fermés aux opinions, non grata, préférant brasser dans les idées partagées, dans le calme des redondances conservatrices et stagnantes !

    Je disais qu’affirmer son opinion, vouloir la discuter, la publier, la confronter est un exercice paradoxal ! Parce que autrui et son avis restent parfois indifférents, hermétiques ou suffisants ! Parfois on a affaire aux professionnels des lettres, des armes et des lois, des partis ou de leurs milices, jaloux de leur entité et de leur exaction, riches en complexes, qui vous reversent des salves dès que vous percez du nez ! Avec leurs travers perceptibles d’entrée, ils conjuguent le mépris avec l’arrogance, analysent votre personne avant vos phrases. Sans mesurer ni le lexique ni les idées, ils vous font un procès sur votre existence.

    Les gauchos, les ‘’imprécrators’’, militants prédateurs, sévissant sur les forums du Net, vous font déjà un PV d’intention, parce que vous vous appeler Untel ! Avec une particule, Dr, ‘’De’’ ou ‘’My’’ collée par habitude à votre nickname ! Vous devenez subitement, l’image et l’emblème de l’aristocratie stipendiée ! Un ersatz, un zombi, un avatar de la regrettable histoire, qu’on leur a appris à détester. Ils détestent en vous l’extraction, la fidélité atavique à votre pays, à votre famille à vos valeurs à votre religion !

    Vous n’avez pas à exhiber votre prénom usuel et familier ! Votre origine, les snobe et les irrite ! Ils vous conspuent avant de lire vos idées ! Et cette malheureuse méprise, excipée comme un militantisme clanique de base, comme une affiche de leur antimonarchisme primaire, est supposée vous dissuader de parler sur les forums tribaux, devenus malsains et triviaux, vous forcer à abandonner les débats, ou simplement vous trainer comme un malpropre dans la poussière pour vous faire quitter l’arène où ils se complaisent ! C’est plus que le nom qui les inspire, une supposée bourgeoise de votre ville d’origine, qu’ils détestent, synonyme pour eux d’une aristocratie, d’une classe honnie ! Peut-être une réminiscence de l’agneau de la fable dont ils veulent bien être, les loups !

    Ou simplement parce qu’une idée, parmi tout le fatras de huit pages, (qui vous aura couté votre temps et vos yeux), détachées de son contexte, est discutable et qu’elle les aurait exaspérés ! Mal émise ou qu’il manque une virgule pour entrer dans leur cerveau !
    Alors, si cet emportement antipathique est le révélateur, ludique et virtuel, d’une dissidence qui dit ouvertement son nom, qu’en serait-il devant des livres et des pages en réel papier ? A quoi bon écrire me dirais-tu, si c’est pour perdre des clients et me faire des ennemis à cause de propos fâcheux !

    Seulement le journaliste, l’homme politique, le militant, monsieur tout le monde, s’il tient à la liberté, doit pouvoir oser ses libertés sans lâcheté ni pusillanimité ! Savoir jouer sa quiétude, ses intérêts, accepter de blesser son orgueil, afin de dire ce qu’il pense, pas forcément pour blesser, mais juste pour communiquer, donner ton impression, dire ses propos, s’affirmer ainsi pour exister !

    Autrui, n’est pas votre ego ni votre égal ! Il est différent ! Autrui est volontiers une muraille en ciment. Sûr de ses principes et convictions. Ses certitudes lui vont comme un cuir de pachyderme. Au total, autrui comme vous est souvent subjectif ! Essayez de parler à un cadre ou à l’un de ses sbires, à un juge ou au préposé au commissariat ! Je donne cette image pour percevoir l’animosité première le doute et la décontenance qu’on vous oppose en premier ! C’est tout comme vous par rapport à cet Autrui qu’on critique et qu’on charge depuis le début ! Vous êtes dangereux pour lui, vous voulez tromper l’Etat, prendre plus que de droit, lui ôter ses droits…Passons, pour avancer malgré les terroristes du verbe !

    Pourquoi autrui résiste-t-il ? Parce qu’il se méfie, parce qu’il a peur ! Peur de l’étranger que représente chacun pour lui ! Pourquoi on ne veut pas enlever ce masque et laisser percevoir le fond de sympathie première ? De peur d’être trompé et abusé ! Cet instinct est le propre de l’être vivant ! On ne se découvre pas ses défenses devant l’inconnu, assimilé à l’ennemi et au prédateur. Parce que le temps et l’expérience sont les meilleurs révélateurs pour corriger les opinions, pour peu qu’on accepte de le faire ! Mais cette étape de prise de confiance, nécessite le temps de connaître l’autre et de découvrir ses intentions.

    Alors que faire devant les inopportuns, les méfiants, les adversaires vulnérants, qui ne ménagent pas autrui et qui l’empêchent de s’exprimer ! Tenir, oser se mouiller, accepter d’être critiqué injurié, déçu puis repartir ! J’ai eu l’occasion sur le forum de présenter des excuses à des visiteurs qui s’étaient inscrits pour se moquer et plaisanter, apparemment, alors que ce n’était pas le lieu, ou que j’avais mal jugé de leurs intentions, sur le vu une simple erreur, portée sur leur âge ! Et ça m’est arrivé d’être refoulé du fait de mon métier d’autres forums, ou pour des propos d’emblée considérés comme contradicteurs. Faut-il persévérer, s’entêter tenir ? Tout dépend du temps et de l’épaisseur du derme qu’on appelle fierté d’un côté et tolérance de l’autre !

    Faut-il écrire ? Oui, ne serait-ce que pour dénigrer ! Ce qui nous semble illogique ou irrégulier, évidemment. Dussions-nous nous tromper, on ne doit pas censurer nos opinions ni nos questions. Évidemment il y a la manière ! La politesse, la psychologie ou la diplomatie, pour ne pas blesser inutilement, ceux auxquels nous nous adressons ! Des gens qui pensent autrement, qui potentiellement nous écoutent, avec des dispositions diverses allant de l’intolérance à l’opposition !

    Que ce soit dans l’écrit ou dan l’oralité, rien n’empêche de se rattraper humblement, loyalement et sans hypocrisie, si on a commis une faute à l’adresse d’autrui ! Faut-il encore qu’il vous pardonne ! Faut-il encore sentir cette force du caractère, cette joie et ses effluves qui résultent de la grandeur d’âme ! Retrouver cette sérénité et cette chaleur qui vous enveloppent est un réel plaisir quand la controverse et l’altercation sont apaisées. Et là vous avez gagné l’un l’autre l’estime et dignement vous êtes comme amis, chacun ayant échangé les propos qu’il jugeait libres et bons !

    Ecrire de façon avenante, policée première, est de bonne facture. Seulement les lecteurs n’aiment pas les propos arrondis et lénifiants ! Il leur manque le côté bagarreur, ‘’disputatif’’, le côté excitant et trash ! Ecrire avec correction, pudiquement ? Non pas par crainte, mais par prophylaxie des entêtements inutiles et de la faillite, de la fermeture du dialogue ! Cependant, il faut verbaliser le mécontentement. Le bonheur et la joie se communiquent et se partagent, parfois. Dès lors, pourquoi taire leur contraire, le mécontentement et dire zut virilement ? Si ça ne va pas, il faut le dire ! L’homme a un parler, une langue, un verbe écrit ou oral, une conscience de son individualité et de ses libertés, asservie à sa personnalité. Il faut qu’il se libère, mais intelligemment. Il y a une dose de sel et d’épices dont il ne faut pas se départir.

    Ces dispositions étant signalées, dans nos réflexions et dans nos écrits, dans la réception de l’information d’où qu’elle provienne, l’acception doit être relativisée ! Ne pas tout accepter, discuter, comme accepter le fait que l’on doute de nos assertions ! Ainsi, question de vérités, le doute s’impose. Il faut rester circonspect. Faut-il douter de tout à en tomber malade ? La croyance, la confiance sont des états de repos et de paix. Le doute automatique, la méfiance créent l’inquiétude, la tension et le manque de repos ! Et là, c’est la pathologie !

    Seulement entre les vérités, la vérité et la réalité, il y un prisme déformant ! Et chacun voit à travers son propre prisme et son degré particulier de culture de compréhension ! Un mot ne signifie pas la même chose chez tout le monde ! C’est le premier écueil du dialogue. Allez traduire, allez penser dans une langue et vous exprimer dans une autre. Ce qui m’arrive étant né et formé, comme la plupart de mes concitoyens entre plusieurs langues et deux rives de civilisations ! D’un autre côté, l’information et l’intoxication, on en use et abuse ! L’enseignement, l’éducation, les us socio-familiaux, les préceptes religieux, les convictions et les crédos les plus fermes, les convoitises, ne sont pas à l’abri des manipulations et des influences.

    Le lavage de cerveau, son formatage, la remise à neuf n’est pas disponible pour notre usage ! Même si les vérités, les informations, les pratiques sont scientifiques, parfois ces connaissances ex cathedra, se révèlent être erronées ! La crédulité serait d’admettre que nos méthodes médicales, nos traitements, soient précis et qu’ils soient définitivement et perpétuellement justes et avérés ! Hélas, ou tant mieux, ces vérités d’un moment, ces techniques, ces médicaments nouveaux, sont sujets à caution. Il n’y a nul crime de révisionnisme à critiquer les anciennes méthodes de thérapie, au profit des données récentes et des pratiques nouvelles.

    Je ne veux pas parler de la chienne politique, telle qu’on la pratique de visu, de ses errances et de ses a priori, avec son côté mordant et son cynisme hypocrite, je ne veux pas parler des dogmes, du droit ni des droits, des lettres ou de la littérature et de ses fictions, mais de la médecine !

    Je ne sors que le cas de la grippe et de ses monumentales et cochonnes perversions ! Vous avez vu comment les plus ‘’hautes sommités’’ de l’OMS se sont trompés, ont trompé dans une OPA ignoble. Comment des milliards d’individus ont été trompés et leurs gouvernants abusés. On a parlé de virologues de renom, de leur mèche avec les industriels des grands laboratoires de médicaments !

    Comme hier, cette sortie à l’ONU du Secrétaire d’Etat américain sur le charbon ! ‘’Les images d’un Colin Powell agitant une fiole pleine du mortel bacille a fait le tour du monde’’. Ou ladite menace nucléaire de Saddam Hussein et de ses ADM. Des affaires manigancées, instrumentalisées pour entreprendre avec la bénédiction de l’ONU une guerre économique, mondialisée au frais des pays alliés galvanisés pour en payer la facture ! Des frappes chirurgicales ! Mon œil, dans ce travers, seul Chirac aura été un homme !

    Le but sordide était et reste, d’enrichir les promoteurs industriels américains, sous prétexte d’exportation de démocratie dans le même package. De liquider en passant un autocrate, félon puis leader, un somptueux tyran, devenu un triste assassin. On a trompé et abusé le monde entier, après l’affaire des Twins. Des articles contradictoires nous poussent à nous poser des questions sur les dirigeants du monde, sans savoir vers où on va et à quels saints il faut se vouer !

    Les States des Bush, ont embarqué bien des jeunes, liquidé toutes traces de cette civilisation. Au nom de quoi en fait et pour protéger quels affreux partenaires et frondeurs assassins ? Et nous avons vu en retour la grande déflagration monétaire et la faillite des banques en 2009 ! Qu’est-ce qui nous attend et qui nous viendra encore demain de l’oncle Sam et de ses virulent protégés ? Des Hiroshima racistes ? En tout cas la santé physique de la terre, son climat, son exploitation la détériorent à vue d’homme. L’habitacle est sujet à bien des violences, où la pollution de l’atmosphère, des rivières et des océans, du ciel et de ses couches, est cause par les grandes puissances ! Des exemples à suivre !!

    Explorer les informations et les dires, c’est aller pour les journalistes du moins, les politiques et financiers d’entre eux, devant des vérités pas toujours bonnes à dire ni à entendre.

    Ainsi, en allant au fond choses qui nous concernent tous, que reste-t-il dans chaque cas à découvrir ? Des ‘’entités remarquables’’ à élucider ! Faire le procès des monstres qui nous mentent et qui nous dirigent ? Faire à chaque fois, avec effarement la démonstration de la tromperie ? Et après ?

    Pour ce qui nous touche à notre petite dimension, que dire de ces médicaments qui manquent et qu’une fois rentrés sur le marché, ils doublent presque de prix ? Et quand on sait que cela concerne une population fragile et des produits incontournables, les mots tels que exploitation des souffrances, celles d’otages obligés et de chantages, nous viennent immédiatement à l’esprit. Nous n’avons pas cessé de parler de souveraineté de notre pays, à nos dirigeants, de disponibilité des médicaments cruciaux ! On ne nous écoute pas on crie pour rien, on se fâche. Forcément impliqués dans de couteux et importants projets, ils ne sont plus là ! Ils n’ont prévu personne pour s’occuper de nos cas ! Elémentaires !

    Les minorités, les maladies rares et orphelines, leur traitement, leur prise en charge, sont la face cachée de ceux qui doivent cacher la leur ! Et les intempéries politiques qu’on nous assène du voisinage, celles du climat qu’il faut affronter, les pluies qui abattent les minarets à leur tour, les pluies qui rasent les villages, les barrages qui risquent de céder sous le déluge, la population ruinée, à la merci de la famine et des maladies, que l’on secoure du mieux que l’on sait faire. Voilà l’autre face du programme urgent, qui occupe les nôtres de cadres, des officiels que l’on critique, quand ils ne peuvent pas nous aider !

    Nous râlons, nous, qui restons couverts et au chaud, sans rien donner de nos biens, de nos sous, à titre de solidarité avec les victimes ! Dans toutes les contrées du monde, là où les infrastructures sont relativement fragiles, destructions et épidémies, chômage et misères plus profonde encore, emportent des milliers de personnes chaque année ! En plus des maladies graves, qu’il est inutile de citer ici ! L’humanité saigne ! Vivement qu’on enseigne le ‘’civisme universel’’, le devoir de solidarité international, dans les écoles au même titre que la culture et les fondements de la morale et du civisme local !

    En ce qui me concerne donc, cher ami Henri, comme tu t’en est aperçu dans cette dissertation, c’est cas par cas que je donne mon opinion. Ça ne vaut pas la peine d’en faire des tartes ni des livres. Un poème par ci, un texto comme celui-ci par là, pour m’expliquer, au fur et mesure que les événements m’interpellent ou que la muse accepte de ‘’glousser’’ des semblants de poèmes avec moi !

    Merci l’ami de tant de sympathie et d’encouragements. Je m’excuse, si pour exprimer mes idées, à propos de l’écriture, j’ai dérapé ou fait dans l’amalgame, en interpelant des évènements, discutables et récents, qui non résolus à ce jour, suscitent intérêts, contradictions et passions !

    Dr Idrissi My Ahmed

    #273560

    @touria016 wrote:

    @ farida : contrairement à ce que tu penses l’islam ne prône pas la haine mais bien le DIALOGUE INTERRELIGIEUX. PDT_Armataz_02_02 Personellement, ça m’empêche pas d’avoir des ami(e)s chrétiennes, voire même athées..et de m’entendre très bien avec eux : ceus sont des gens très respectueux magrès qu’ils ne pratiquent pas, eux au moins, ils prennent la peine d’écouter, de réfléchir, de comprendre au lieu de foncer tête comme des idiots sur les préjugés qu’on véhicule actuelement !! alors, arrête de voir partout de la haine anti non musulman, tu fais pitié. A croire que tu as juste pris pour prétexte ce sujet, qui à la base est fait pour alerter les jeuneurs de la connerie de certains.., pour déverser ta haine, et ce sans AUCUN fondement reçevable, c’est graaave ! Alors, on va essayer de te raisonner une dernière fois, autrement, je pense que la seule solution qui te resterait, c’est d’aller consulter :

    Le Coran, de par son intemporalité et son universalité, a posé les bases d’un dialogue qui s’adresse à toutes les créatures. La Parole divine respecte les spécificités de chacun, en appelant à la reconnaissance mutuelle et en oeuvrant par la sagesse, la douceur et la preuve argumentative, sans renier l’autre ni le mépriser et en mettant en avant l’amour du croyant pour toutes les créatures.
    Le Livre Saint adopte une pédagogie éducative d’une richesse que le monde moderne découvre aujourd’hui avec stupeur. Cette science comprend entre autres modes, l’exhortation (al-maw‘iza), la controverse (al-hijâj), la discussion (al-jidâl) et la concertation intime (al-munâjât).
    Dieu dialogue avec toutes Ses créatures :
    · Dieu, dans le Coran, dialogue avec Ses Anges, Iblîs et avec Ses Prophètes qu’Il enseigne par le biais de la révélation indirecte, au moyen de l’Ange, ou directe, comme Il a procédé avec le Prophète Ibrahîm (Que Dieu l’agrée).
    · Dieu dialogue aussi avec les hommes, qu’il s’agisse des musulmans, des gens du Livre, des athées ou des païens.
    Cet enseignement coranique est relayé par l’exemple de notre Prophète bien aimé (psl) qui illustre au mieux les différents types de dialogues et les qualités de comportement à adopter envers chaque interlocuteur : musulman ET non musulman.
    Parmi les hommes que Dieu a créés, certains ont pu atteindre un degré de pureté élevé, tel qu’Omar Ibn Al-Khattâb qui était « parmi les gens à qui Dieu parle (qu’Il inspire) ( Muhaddathîn ) »[1].
    Dieu a ainsi communiqué de manière subtile, par le souffle de l’Inspiration en leur cœur.
    La parole et la noblesse du comportement sont les bases d’une relation de qualité entre le musulman et les autres créatures de Dieu. Le Coran et la Sunna sont riches d’exhortations au bon comportement envers toutes les créatures de l’univers.
    Il s’agit, en particulier, des convenances que les fidèles musulmans se doivent de respecter entre eux ou lorsqu’ils se confient au Messager.
    Il s’agit également du bon caractère à adopter envers les non musulmans : les gens du Livre, les athées et les païens.
    En effet, le dialogue avec les autres religions obéit selon le Coran, aux règles de bonnes convenances. Il met l’accent sur les valeurs universelles communes qui constituent le terrain d’entente par excellence afin de permettre une compréhension mutuelle entre les belligérants sans « complexe de supériorité ni complexe d’infériorité ».

    Tout ça pour dire que l’Islam est une religion d’entente, de dialogue et d’échange, loin de tout idée passionnée de « choc civilisationnel » comme tu le prétend…J’espère que cette fois, tu as bien compris autrement, les haineux comme oi n’ont pas leur place ici

    touria06:
    Bonjour

    ce qui m’intrigue dans votre intervention « sans references du hadith ou verset » c que vous etes en contradiction avec le coran quand il dit :
    (لاَّ يَتَّخِذِ الْمُؤْمِنُونَ الْكَافِرِينَ أَوْلِيَاء مِن دُوْنِ الْمُؤْمِنِينَ وَمَن يَفْعَلْ ذَلِكَ فَلَيْسَ مِنَ اللّهِ فِي شَيْءٍ إِلاَّ أَن تَتَّقُواْ مِنْهُمْ تُقَاةً وَيُحَذِّرُكُمُ اللّهُ نَفْسَهُ وَإِلَى اللّهِ الْمَصِيرُ )
    ( يا أيها الذين آمنوا لا تتخذوا اليهود والنصارى أولياء بعضهم أولياء بعض ومن يتولهم منكم فإنه منهم )
    ( والذين كفروا بعضهم أولياء بعض إلا تفعلوه تكن فتنة في الأرض وفساد كبير )
    أي من خاف في بعض البلدان والأوقات من شرهم فله أن يتقيهم بظاهره لا بباطنه ونيته كما قال البخاري عن أبي الدرداء أنه قال :إنا لنكشر في وجوه أقوام وقلوبنا تلعنهم.

    Je vous demande de bien vouloir chercher dans sahih al boukhari et sahih mouslim l’explication des versets pourque notre débat soit à la hauteur.

    #273553
    touria016
    Membre

    @ farida : contrairement à ce que tu penses l’islam ne prône pas la haine mais bien le DIALOGUE INTERRELIGIEUX. PDT_Armataz_02_02 Personellement, ça m’empêche pas d’avoir des ami(e)s chrétiennes, voire même athées..et de m’entendre très bien avec eux : ceus sont des gens très respectueux magrès qu’ils ne pratiquent pas, eux au moins, ils prennent la peine d’écouter, de réfléchir, de comprendre au lieu de foncer tête comme des idiots sur les préjugés qu’on véhicule actuelement !! alors, arrête de voir partout de la haine anti non musulman, tu fais pitié. A croire que tu as juste pris pour prétexte ce sujet, qui à la base est fait pour alerter les jeuneurs de la connerie de certains.., pour déverser ta haine, et ce sans AUCUN fondement reçevable, c’est graaave ! Alors, on va essayer de te raisonner une dernière fois, autrement, je pense que la seule solution qui te resterait, c’est d’aller consulter :

    Le Coran, de par son intemporalité et son universalité, a posé les bases d’un dialogue qui s’adresse à toutes les créatures. La Parole divine respecte les spécificités de chacun, en appelant à la reconnaissance mutuelle et en oeuvrant par la sagesse, la douceur et la preuve argumentative, sans renier l’autre ni le mépriser et en mettant en avant l’amour du croyant pour toutes les créatures.
    Le Livre Saint adopte une pédagogie éducative d’une richesse que le monde moderne découvre aujourd’hui avec stupeur. Cette science comprend entre autres modes, l’exhortation (al-maw‘iza), la controverse (al-hijâj), la discussion (al-jidâl) et la concertation intime (al-munâjât).
    Dieu dialogue avec toutes Ses créatures :
    · Dieu, dans le Coran, dialogue avec Ses Anges, Iblîs et avec Ses Prophètes qu’Il enseigne par le biais de la révélation indirecte, au moyen de l’Ange, ou directe, comme Il a procédé avec le Prophète Ibrahîm (Que Dieu l’agrée).
    · Dieu dialogue aussi avec les hommes, qu’il s’agisse des musulmans, des gens du Livre, des athées ou des païens.
    Cet enseignement coranique est relayé par l’exemple de notre Prophète bien aimé (psl) qui illustre au mieux les différents types de dialogues et les qualités de comportement à adopter envers chaque interlocuteur : musulman ET non musulman.
    Parmi les hommes que Dieu a créés, certains ont pu atteindre un degré de pureté élevé, tel qu’Omar Ibn Al-Khattâb qui était « parmi les gens à qui Dieu parle (qu’Il inspire) ( Muhaddathîn ) »[1].
    Dieu a ainsi communiqué de manière subtile, par le souffle de l’Inspiration en leur cœur.
    La parole et la noblesse du comportement sont les bases d’une relation de qualité entre le musulman et les autres créatures de Dieu. Le Coran et la Sunna sont riches d’exhortations au bon comportement envers toutes les créatures de l’univers.
    Il s’agit, en particulier, des convenances que les fidèles musulmans se doivent de respecter entre eux ou lorsqu’ils se confient au Messager.
    Il s’agit également du bon caractère à adopter envers les non musulmans : les gens du Livre, les athées et les païens.
    En effet, le dialogue avec les autres religions obéit selon le Coran, aux règles de bonnes convenances. Il met l’accent sur les valeurs universelles communes qui constituent le terrain d’entente par excellence afin de permettre une compréhension mutuelle entre les belligérants sans « complexe de supériorité ni complexe d’infériorité ».

    Tout ça pour dire que l’Islam est une religion d’entente, de dialogue et d’échange, loin de tout idée passionnée de « choc civilisationnel » comme tu le prétend…J’espère que cette fois, tu as bien compris autrement, les haineux comme oi n’ont pas leur place ici

    #273548
    Alaa-eddine
    Participant

    Si je voulais interdire les internaute de parler je t’aurais tout simplement banni du forum et supprimé tes messages, ca me coute deux clics !

    Concernant ma tolérance envers les autres religions ou les athé ce n’est pas une personne comme toi qui va me le témoigner, je vie dans un pays laic et je n’ai jamais eu le moindre problème.
    Un chretiens, un juif, ou un athé qui se respecte ne viendra jamais cracher dans ta religion ! et l’immense majorité des gens sont comme ça …. malheureusement il y a une minorité de cons qui prennent du plaisir à allumer le feu et excusez moi de vous dire que vous en faites partie.

    Je n’ai absolument aucune haine envers les non musulmans, par contre ! j’en ai plus que raz le c*** des islamophobes, laissez nous en paix on vous a rien demandé, on est tous majeur et vacciné, et si on se trompe en étant musulmans bein c pour notre pomme, ça ne vous fera aucun mal.

    Au passage, les analphabetes ne sont pas moins intelligents que toi et moi … entre analphabete et ignorant il y a une grande nuance….
    ton arrogance t’aveugle, t’as lu deux sites et une vidéo youtube et tu viens déjà nous donner des leçons alors que t’as même pas su lire un message en anglais …

    Si tu n’es pas convaincue par l’islam (si tu es vraiment musulmane comme tu prétend) bein personne ne t’empêche d’aller vers une autre religion, on s’en fout . maintenant quelque soit la religion si tu prend juste des petits extraits de textes tu pourra toujours trouver de la haine et de l’ignorance si tu interprète à ta manière …. la même chose s’applique aux lois humaine, aux livres de litterature, aux hymnes nationaux, au personnes …. si tu juge les choses à en les regardant à travers la serrure de la porte le problème ne viens pas de la porte mais de toi qui refuse de l’ouvrire.

    l’arrogance est ton problème, l’ignorance est ta prison …. quand tu aura changer on pourra discuter des religions toutes les religions, mais si c pour venir me dire que tel ou tel religion diffuse la haine non merci.
    et ca sera ma dernière réponse pour toi.

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