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J’ai déçidé de créer ce topic, suite à la réforme votée en février 2004 par le Parlement marocain.
Certes, ça fait bien 5 ans que la réforme a été adopté, mais j’ai pensé que ça serait interessant qu’on commence à en tirer quelques enseignements.En guise de rappel, cette réforme du Code de la famille prévoit entre autres que :
-Les couples doivent adresser leur demande en divorce au près de la Cour de justice, alors qu’avant une simple lettre de répudiation suffisait
–Lors du divorce le parent qui se voit confié la garde juridique de l’enfant, conserve de domicile conjugual
–Assurer l’égalité entre l’homme et la femme pour ce qui concerne l’âge du mariage fixé uniformément, à 18 ans.
–La codification de la polygamie en accord avec les principes de l’Islam.
–Faire de la tutelle (wilaya) un droit de la femme maieure, qu’elle exerce selon son choix et ses intérêts.
–Faire du divorce, en tant que dissolution des liens de mariage, un droit exercé et par l’époux et par l’épouse, selon les conditions légales propres à chacune des parties et sous contrôle judiciaireJe vous passe le lien pour avoir accès au Code marocain de la famille, en vigueur : http://www.justice.gov.ma/MOUDAWANA/Codefamille.pdf
Voici donc mes questions :
– Cette réforme est-elle, selon vous en accord avec les principes de l’Islam?
– A-t-elle véritablement améliorer le statut juridique de la femme, notamment par rapport à l’époux?
– Pensez-vous que cette réforme met en place des mécanismes interessants pour les MRE ?Voilà, j’estime qu’il est de nôtre devoir, de nous informer sur nôtre droit, parce que qu’on soit MRE ou pas, à mon avis on est tous plus ou moins concerné(e)s directement ou indirectement par cette réforme…
Alors à vos claviers ! 😉
Sujet: Les Embouchures
Allah, exalté soit-Il, dit : « Et c’est Lui qui donne libre cours aux deux mers : l’une douce, rafraîchissante, l’autre salée, amère. Et Il assigne entre les deux une zone intermédiaire et un barrage infranchissable. » (Al-Furqan: 53)
La Vérité Scientifique :
Le premier ouvrage qui traita d’océanographie parut au dix-huitième siècle, contenant des informations très primaires. Puis l’océanographie commença à se tailler une place au milieu des autres sciences modernes, suite aux expéditions scientifiques du navire britannique Challenger de 1872 à 1876. Après quoi les expéditions scientifiques maritimes se succédèrent. A la fin du vingtième siècle, les gens redoublèrent d’espoir de prospecter encore plus les océans à l’aide des satellites et des images satellitaires. Après balayage de plusieurs embouchures, les chercheurs se rendirent compte que toutes les zones d’embouchures sont des environnements qui ont des caractéristiques naturelles et biologiques différentes des caractéristiques des fleuves et des mers, et ce, malgré l’instabilité et le contact permanent entre ces différentes eaux, malgré le flux et le reflux de la mer et malgré aussi la crue et la décrue des eaux de fleuves. Tout comme s’il y avait une barrière qui séparait entre la zone d’embouchure d’une part, et le fleuve et la mer d’autre part. barrière qui préserve les spécificités de la zone d’embouchure malgré les facteurs qui favorisent leur mélange tels que le flux et le reflux et tels la crue et la décrue. Et quand l’on essaie de classifier les trois environnements suivant leurs faunes et leurs flores, l’on se rend compte que la zone de l’embouchure a une faune et une flore qui lui sont propre, en ce sens que cette faune et cette flore ne sauraient vivre que dans la zone de l’embouchure qui a ses propres spécificités. En plus de cela, l’on se rend compte que cette zone est interdite à un grand nombre de créatures qui vivent dans la mer ou dans les fleuves, à tel point que ces créatures meurent dès qu’elles entrent dans la zone de l’embouchure, et ce, à cause de l’incompatibilité de leurs caractéristiques.
Aspect miraculeux :
Toute masse d’eau peut se nommer mer en arabe. Ainsi, le fleuve est-il une mer à eau douce tandis que l’océan ou la mer est une mer à eau salée. Suivant ce partage, l’on exclu les eaux des zones d’embouchures qui sont un mélange d’eau douce et d’eau salée. L’on ne saurait qualifier ses eaux ni d’eaux salées et ni d’eaux douces. C’est ainsi que l’on arrive à classifier les trois types de masses d’eaux : eaux fluviales, eaux maritimes, et eaux intermédiaires qualifiées par le Coran de barrière qui empêche la salinité des eaux de mers d’affecter les fleuves, tout comme il empêche la douceur des eaux fluviales d’affecter la mer. Ce verset indique aussi que la zone d’embouchure a une faune qui lui est propre, et qu’il n’est pas permis ni à la faune maritime et ni à la faune fluviale de s’aventurer dans l’embouchure. L’évolution historique de l’océanographie prouve qu’il n’y avait aucune information précise concernant les océans 1400 jadis. Mais déjà, le Coran donnait une description minutieuse des zones d’embouchure, expliquant que ces zones constituent un environnement spécifique qui a des caractéristiques naturelles et biologiques différentes des caractéristiques des fleuves et des mers. En plus de cela, le Coran indiqua que malgré le contact permanent entre ces eaux et l’instabilité qui y règne, chaque type de masse d’eau garde constamment ces caractéristiques intactes. D’où viendraient ces informations consignées explicitement dans le Coran si ce n’est de l’Omniscient Lui-même.
Allah exalté soit-Il dit : [ N’avons-Nous pas fait de la terre une couche, et (placé) les montagnes comme des piquets] (An-Naba’: 6-7)
La Vérité Scientifique:
L’on ignorait tout jadis des montagnes excepté le fait qu’elles sont des masses rocheuses élevées au-dessus de la surface de la terre. Cette définition resta de mise jusqu’à ce que Pierre Bouguer signale en 1835 que les forces gravitationnelles enregistrées de la chaîne montagneuse des Andes sont beaucoup inférieures à ce à quoi l’on pourrait s’attendre concernant une si immense masse montagneuse. Raison pour laquelle, Pierre Bouguer affirma la forte probabilité de l’existence d’une plus grande masse de la montagne enfouie sous terre. Ce qui expliquerait le déséquilibre de la gravitation. Au milieu du dix-neuvième siècle, George Everest signala un déséquilibre dans les résultats de mesure de la gravitation des montagnes de l’Himalaya, et ce, en deux endroits. Ne pouvant pas expliquer ce phénomène, Everest lui donna comme nom « L’énigme de l’Inde ».En 1865, George Airy déclara que toutes les chaînes de montagnes sur terre sont des masses flottantes sur une mer de matières fondues sous l’écorce terrestre. Il ajouta ensuite que ces matières fondues sont plus denses que la matière de la montagne. Raison pour laquelle il est irréversible que les montagnes s’enfoncent dans ces matières fondues qui ont une très forte densité, et ce, afin de maintenir leur position. Ainsi, la géologie découvrit-elle petit à petit que l’écorce terrestre est constituée en fait de plaques lithosphériques et que ces grandes montagnes flottent sur une mer de roches molles d’une forte densité. La géologie découvrit aussi que les montagnes ont des racines qui les aident à flotter et à stabiliser les plaques afin qu’elles ne subissent aucun déséquilibre. Le géologue Van Anglin dit à la page 27 de son ouvrage « Géomorphologie », publié en 1948 : « L’on comprend maintenant qu’il est nécessaire que chaque montagne sur terre doit avoir une racine sous terre. » Quant à la fonction de la montagne dans le raffermissement de l’écorce terrestre, elle fut corroborée par le principe de « L’équilibre hydrostatique de la terre » comme cela fut affirmé par le géologue américain Dutton en 1889 qui dit que l’enfoncement des massifs montagneux dans la terre va crescendo avec la hauteur des montagnes. La réalité des plaques lithosphériques qui fut établie en 1969 montre que les montagnes maintiennent l’équilibre de chacune des plaques lithosphériques.
Aspect Miraculeux:
Alors que l’homme pataugeait encore dans une ignorance de la réalité des montagnes qui resta de mise jusqu’au milieu du dix-neuvième siècle, le Saint Coran affirma dans les versets ci-dessus que les montagnes sont des piquets du point de vue de leur forme et de leur fonction. Et de nos jours, la véracité de cette comparaison coranique minutieuse fut démontrée. Etant donné que le piquet est formé d’une part, d’une partie saillante au-dessus de la surface de la terre, et d’autre part d’une partie enfoncée dans l’écorce terrestre et qui a pour fonction de raffermir ce qui est accroché au piquet. De même, les montagnes ont une partie saillante au-dessus de l’écorce terrestre et une autre partie enfoncée dans la terre et dont l’enfoncement va crescendo avec la hauteur de la montagne. Il est utile de noter que la fonction des montagnes est la stabilisation des plaques lithosphériques qu’elles empêchent de connaître un quelconque déséquilibre susceptible d’être occasionné par la couche fondue qui est sous les montagnes. Ainsi, devint-il explicite que cette parole est la parole d’Allah exalté soit-Il qui a créé les montagnes et les univers. Allah exalté soit-Il dit à cet effet: [Ne connaît-Il pas ce qu’Il a créé alors que c’est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur.] (Al-Molk :14)
Sujet: Laisser la Moisson en Epi
Il est dit dans le Saint Coran : [“O toi, Youssef (Joseph), le véridique ! Eclaire- nous au sujet de sept vaches grasses que mangent sept autres très maigres, et sept épis verts et autant d’autres, secs, afin que je retourne aux gens et qu’ils sachent [l’interprétation exacte du rêve]”. Alors [Joseph dit] : “Vous sèmerez pendant sept années consécutives. Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi, sauf le peu que vous consommerez. Viendront ensuite sept années de disette qui consommeront tout ce que vous aurez amassé pour elles sauf le peu que vous aurez réservé [comme semence]. Puis, viendra après cela une année où les gens seront secourus [par la pluie] et iront au pressoir.”] (Youssef : 46-49)
La Vérité Scientifique :
Stocker les grains en épis est un système fondamental de préservation de la production dans des environnements très hostiles. Ces directives englobent l’agriculture, les techniques de stockages et de préservation de la production autrement les techniques de gestion de la production. Le docteur `Abd al-Majîd bel-`Abid et ses collègues de l’Université de Rabat au Maroc, ont fait une étude expérimentale sur des grains de blé conservés en épis. Ces grains restèrent intacts durant deux ans contrairement aux grains battus. Les résultats préliminaires montrèrent que 100% des grains en épis étaient restés en bon état. Sans oublier que le lieu de stockage était un lieu ordinaire qui ne jouissait d’aucune condition climatique spéciale. Dans ce cadre, il apparut que les grains en épis perdirent une grande quantité d’eau et devinrent secs avec le temps. Et ce, contrairement aux grains battus. Autrement dit, l’on se rendit compte que le blé battu était constitué de 20.3% d’eau. Ce qui a un effet néfaste sur sa productivité, sa croissance et sa valeur nutritive. Car l’eau favorise son pourrissement et sa détérioration. Puis les chercheurs comparèrent les facteurs de croissance des grains restés en épis et celles des grains battus. Et ce, durant deux ans. Les résultats furent les suivantes : les grains en épiss’avérèrent plus croissants de 20% du point de vue de la longueur des racines, et de 32% du point de vue de la longueur des tiges. Après quoi, les chercheurs évaluèrent les protéines et les glucides qui restent intacts. Concernant les grains battus, ils perdirent 32% de protéines après deux ans et 20% après un an. Quant aux grains en épis, ils ne perdirent rien du tout.
Aspect Miraculeux :
Il est dit dans le Saint Coran : [Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi…] Ce qui veut dire que préserver les grains en épis est la bonne méthode de préservation des grains à long terme. Il y a deux remarques scientifiques qui ont trait à ce verset :
1- La détermination de la productivité des semences à 15 ans repartis comme suit : sept années de vache grasses pendant lesquelles les gens sèmeront et récolteront sans coup férir, suivis de sept années de vaches maigres qui seront suivis de l’année du retour à la fertilité au bout de laquelle les gens se rendront aux pressoirs. Et les expériences scientifiques ont prouvé que les semences gardent leurs facteurs de productivité et de croissance durant 15 ans au maximum.
2- Le procédé de stockage mentionné dans le Coran en ces termes : [ Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi…] est le procédé qui s’avéra dans l’étude expérimentale comme le procédé le plus fiable. Ainsi, devint-il évident que la meilleure méthode de stockage est la méthode indiquée par le Prophète d’Allah Youssef (salut sur lui), méthode qu’il tint de la révélation divine. Il va de soi que cette méthode était méconnue auparavant notamment chez les anciens égyptiens qui conservaient les grains après battage. Mentionner ainsi la bonne méthode, est l’un des aspects miraculeux de ce verset coranique qui prouve encore une fois de plus la précision et la justesse des informations contenues dans le Coran et partant, la vérité irrévocable que le Coran est une révélation d’Allah.
), alors que vous êtes des mamifères.Alors, je t’ai aucunement, insulté, cher ami ! Donc, attention à ne pas prendre de telles expressions au premier degrès, s’il te plait. 😉