Résultats de la recherche sur 'la tout de suite'

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15 réponses de 601 à 615 (sur un total de 1,549)
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  • #255031

    défoi lé egn la premiere choz kil veule c la boté alor ke dan la tete rien de rien moi en ce ki me concerne le caractere et le coeur est le premier critère ensuite la religion et la boté pour moi c rien du tout sa na ocun sens pour moi

    de toute façon le coeur reflète sa boté a la surface ( c ce kon apel nor) 😉

    #244149

    @touria016 wrote:

    @scania topline wrote:

    @touria016 wrote:

    T’as raison scania. Mais à mon avis, faut tout simplement, rejetter le modèles que les autres croient être le bon et bien rester dans la lignée de la religion.

    merci touria016 mais je prefaire un musilement qui ne pratique pas bien ca religion parceque il est (kassoul fatigué) mieu qu’un musilement qui ne croix a rien just il est musilement parceque il est née comme ca .et c’est acause de ce derniers qu’on a maitenait beaucoup de probleme ;par contre l’autre il viendra le jour ou il vats convaincre ca fatigue .et il faut toujour voir les chose en positive si non ont peu pas vivre dans notre milieu et merci

    C’est vrai. Mais qui plus est, la tendence c’est plus d’être conscient et de ne pas pratiquer que d’être « fatigue », malheureusement.
    La plupart, étaient plus ou moins de bons pratiquants et il suffit qu’ils intègrent des écolèes…fondées sur le modèle occidentalisé, qu’ils comment à fréquenter des « zigzageur(euses), qu’on se retrouve ici.
    Logiquement, c’est plus facile d’inciter un « fatigué » à pratiquer, que qulqu’un qui laisse VOLONTAIREMENT tomber sa religion. Pour le premier, on commencera juste par la phase d’initiation..pour l’autre va d’abord falloir le convaincre que ses manoeuvres sont frauduleuses…pour ensuite commencer à lui expliquer le comment du comment être dans le chemin de sa religion.

    alors pour moi un qui ne pratique pas la religion prceque il est fainiant mieux que un autre qui est musilement par la bouche et se dernier est un proi facile il peu etre convaincu par n’iprte idé surtou nous vivons un un monde tres connu par ses lions feroce. allah yhfad

    #261275
    boudir1
    Membre

    salam

    je le redit une autre fois moi j ai rien instaler,rasure toi que ton mot de passe et ts l bazar et bien ecrit en suite tu t ataque au driver…..

    en tous cas je tai trouver les driver pour un SAGEM F@st 800/840 .

    tu clich sur driver w.a.4.8 pour ts operateur(compatible vista)

    http://www.sagem.com/support/site/modele_fax.php?page=driver

    #259055
    touria016
    Membre

    Pour Scania Tolpine, je vais commencer par un bref témoignage d’une ancienne détenue Mahia Odeh, du centre de détention de Huwarra, en novembre 2004 :

    « La chambre dans laquelle j’étais détenue avait l’air abandonné et le matelas était mouillé et sale ; il n’y avait pas d’eau et quand j’en ai demandé, un des soldats a pissé dans une bouteille et me l’a apportée pour que je boive. La nourriture était horrible ; elle était couverte de mouches, la quantité était insuffisante et il n’y avait ni fruits ni légumes. La ventilation était mauvaise, les fenêtres cassées. Il m’était interdit de sortir, et les toilettes étaient très loin du lieu d’incarcération. »

    Ensuite, voici :

    Le contexte :
    Les problèmes que les Femmes prisonnières palestiniennes subissent datent de longtemps. Ils ont commencé dès le début de l’occupation de la Palestine par les Israéliens. Les prisons israéliennes ont depuis toujours attesté d’arrestations et de tortures des Palestiniennes activistes en résistance à l’occupation. Beaucoup de prisonnières palestiniennes ont été arrêtées à cause de leur parenté avec des personnes « recherchées » par la Sécurité israélienne, et beaucoup sont arrêtées afin d’exercer une pression sur leurs époux en train de subir une interrogation.

    Le nombre total des prisonnières a considérablement augmenté ces deux dernières années ; en avril 2004, quatre-vingt-une femmes étaient emprisonnées, dès 2006 il y avait cent vingt femmes dans les prisons israéliennes. Aujourd’hui, il y a cent vingt-deux femmes incarcérées ou attendant leur procès dans les prisons de Telmond et de Neve Terza.

    Ceci est la première fois en 20 ans que le nombre des prisonnières palestiniennes a atteint un tel chiffre.

    Parmi des femmes actuellement incarcérées dans les prisons israéliennes :
    • trois femmes sont des détenues administratives,
    • dix-sept sont des mères qui totalisent 58 enfants,
    • seize parmi elles avaient moins de 18 ans quand elles furent arrêtées,
    • sept ont 18 ans ou moins : cinq parmi elles ont moins de 18 ans, la plus jeune a 14 ans.

    Trois parmi ces femmes ont été arrêtées pendant leur grossesse et ont été obligées d’accoucher dans l’hôpital de la prison.

    Une de ces femmes, Manal Ghanem, (30 ans), du Camp de réfugiés de Tulkarem, a quatre enfants, et était obligée d’accoucher de son fils Nour dans la prison. On l’a séparée de son fils le 5 novembre 2006. Le fils de Manal est actuellement pris en charge par son père et sa tante Areej ; le père de Nour l’a amené à l’hôpital où les médecins ont trouvé qu’il souffrait d’un manque de vitamines essentielles et de calcium.

    La campagne pour la libération de Manal de la prison de Ramaleh où elle est incarcérée continue.

    Samar Sabih, de Tulkarem, a été arrêtée le 29 septembre 2005. Elle était dans le septième mois de sa grossesse quand elle a été arrêtée ; elle aussi fut obligée d’accoucher de son fils Bara pendant son incarcération.
    Tout comme les autres prisonnières arrêtées pendant leur grossesse, Samar n’a pas reçu la moindre nourriture supplémentaire pendant ses deux derniers mois de grossesse et actuellement n’a pas assez de viande et de légumes pour une femme allaitante. Les autres prisonnières partagent leurs rations avec elle malgré le fait qu’elles n’ont des légumes et des fruits que deux ou trois fois par semaine et en très petite quantité. C’est aussi le cas pour le lait et les produits laitiers. L’époux de Samar est en détention administrative dans une prison israélienne militaire, ce qui fait qu’elle ne peut pas le voir.

    #244148
    touria016
    Membre

    @scania topline wrote:

    @touria016 wrote:

    T’as raison scania. Mais à mon avis, faut tout simplement, rejetter le modèles que les autres croient être le bon et bien rester dans la lignée de la religion.

    merci touria016 mais je prefaire un musilement qui ne pratique pas bien ca religion parceque il est (kassoul fatigué) mieu qu’un musilement qui ne croix a rien just il est musilement parceque il est née comme ca .et c’est acause de ce derniers qu’on a maitenait beaucoup de probleme ;par contre l’autre il viendra le jour ou il vats convaincre ca fatigue .et il faut toujour voir les chose en positive si non ont peu pas vivre dans notre milieu et merci

    C’est vrai. Mais qui plus est, la tendence c’est plus d’être conscient et de ne pas pratiquer que d’être « fatigue », malheureusement.
    La plupart, étaient plus ou moins de bons pratiquants et il suffit qu’ils intègrent des écolèes…fondées sur le modèle occidentalisé, qu’ils comment à fréquenter des « zigzageur(euses), qu’on se retrouve ici.
    Logiquement, c’est plus facile d’inciter un « fatigué » à pratiquer, que qulqu’un qui laisse VOLONTAIREMENT tomber sa religion. Pour le premier, on commencera juste par la phase d’initiation..pour l’autre va d’abord falloir le convaincre que ses manoeuvres sont frauduleuses…pour ensuite commencer à lui expliquer le comment du comment être dans le chemin de sa religion.

    #259411
    houmidi59
    Participant

    Tu sais Norane que tu es la seule personne au forum qui fasse moins de fautes dans ses écrits ….et moi je suis le seul qui n’en fasse point.Sais tu pourquoi ?
    Tout simplement, quand je poste une réponse ou j’écris un sujet , je les passe au cible fin.D’abord , je révise le contenu jusqu’à 5 fois , ensuite :les mots ou j’ai un doute, ne serait ce qu’un tout petit doute, je les cherche dans le dictionnaire.Enfin, j’ai recours à la prévisualisation en dernier pour avoir un aperçu de l’apparition de mon article et l’envoyer .
    Pour le style , je n’ai pas à me plaindre .comme je lis beaucoup, j’ai un bagage linguistique très riche que j’utilise en toutes circonstances.

    BIEN ENTENDU, JE N’AI JAMAIS EU RECOURS AU BROUILLON POUR ECRIRE UN SUJET: IL SUFFIT QUE JE COMMENCE. ALORS C’EST PARTI, COMME LE CAS MAINTENANT.
    TOI AUSSI NORANE , TU AS UN BON STYLE D’ECRITURE.DE MEME POUR TOURIA.SEULEMENT CETTE DERNIERE COMMET BEAUCOUP DE FAUTES D’INATTENTION.
    A+ ET NE M’EN VEUILLEZ PAS POUR CETTE INTERVENTION.

    #259633

    En réponse à : RAPIDO TEST :vrai ou faux ?

    houmidi59
    Participant

    A Boudir 1 :
    PRIMO :je te remercie avec une certaine réserve pour avoir répondu au test proposé.Je dis certaine réserve parce que ta façon de critiquer ne m’a pas du tout plu.D’abord , d’après ton actif en messagerie tu n’as même pas dépassé 80 messages ,ca qui veut dire que t’es nouveau dans le forum.Aussi tu dois avant tout, explorer les rubriques du forum ; alors tu constateras que je suis le SEUL à fournir le forum de ce genre de test.
    Ensuite,tu manques d’imagination (A sa7bi) :tu as fait tout une reproduction du test que j’ai proposé pour rien .Si tu avais un mg de jugeote , tu aurais éffacé les réponses fausses et laisser les bonnes ;ainsi tu aurais répondu au test sans avoir écrit un seul mot.Dailleurs beaucoup d’amis le font, car c’est pratique.De cette façon tu peux répondre à une vingtaine de questions et plus encore.
    Enfin, si tu as l’intention de t’instruire tu as frappé à la bonne porte, sinon tu t’es trompé d’adresse ,alors va falloir trouver une autre rubrique que celle-là.

    Pour revenir aux réponses que tu as écrites :tu as 7 bonnes réponses sur 10.

    #259375
    touria016
    Membre

    @norane wrote:

    Ouiii je peux 😆
    Nt3ellem menha

    Peux-tu jouer 2 match de foot de suite ??

    La question, c’était « peux-tu apprendre cette formule » mais plutot peut me dire à quoi c’est égal ? Pas grave 😉

    Oui, je peux d’ailleurs je l’ai déjà fait : ana realiya machi barçaouya 😆

    Peux-tu rester une journée sans intervenir sur le meilleur forum au monde : le forum OC ?

    #259374
    oualid23
    Participant

    @norane wrote:

    Ouiii je peux 😆
    Nt3ellem menha

    Peux-tu jouer 2 match de foot de suite ??

    avant oui mais maintenant je peux pas mchatli liya9a el badania rani nekber
    peux tu regarder un match jusqu’à la fin même si ton équipe est menée au score genre maroc algerie en 2004

    #259373
    norane
    Participant

    Ouiii je peux 😆
    Nt3ellem menha

    Peux-tu jouer 2 match de foot de suite ??

    #261046
    compitieux
    Membre

    salam
    ma bouche bée, rien à dire, impressionnant? non! cela ne serait pas juste
    j’ai siroté ces quelques paragraphes, main sous le menton, yeux émerveillés par la beauté du style, mais surtout par la lucidité du contenu, mon attitude peut s’avérer caustique mais je te jure que non
    j’ai adoré
    tes images sont tellement … attends je cherche le bon mot … je dirai qu’elles sont tellement marquantes
    j’attends la suite (je suis quelqu’un de capricieux, je l’exige)
    hein!

    #256785
    boudir1
    Membre

    BniGuil

    LA CONFEDERATION DES BNIGUIL

    En 1906 les Bni-Guil (partie importante de Bni Maakil) comptaient 3500 tentes 1 . les Bni–Guil sont une société de bon voisinage. Ils établissaient des relations avec les tribus voisines et fréquentaient les marchés lointains au Maroc et d’autres pays voisins. Ils sont connus par leur courage leur hospitalité et offraient la protection aux personnes menacées ou cherchant la notoriété ce qui a permis l’adhésion de plusieurs familles Berbères, Arabes respectant les valeurs de la tribu donnant ainsi la confédération des Bni-Guil. Les travaux de recherches sur les tatouages et de signes des Bni-Guil faites par l’artiste montrent bien le brassage de la culture Arabo-Berbère. Afin de protéger leur immense territoire les BniGuil se subdivisent en deux grands groupes: « Bni-Guil chragua » protégeaient la partie Est du territoire contre les invasions des tribus étrangères et « Bni-Guil lghraba » protégeaient la partie Ouest. Le mariage entre les familles des différentes fractions des Bni-Guil est un facteur principal qui a toujours assuré le maintient des liens familiaux au sein de la Tribu. Il est de coutume chez deux Bni-Guil de parcourir l’arbre généalogique de leur familles respectives pour trouver un parent commun. Ainsi les Bni–Guils se disent toujours cousins.
    Fractionnement des tribus Bni-Guil en 1906 d’après Lt Bauger3

    Avec la tribu Laamour les Oulad Nasser, les Bni-Guil représentent la population nomade de la province de Figuig et maintiennent des liens étroit entre elles . Leur principale source de revenu est l’élevage d’un cheptel varié ( ovins, bovins, caprins et chameaux) avec une dominance des ovins distingués par la race dite Bni-Guil, une des meilleures au monde et qui est adaptée aux conditions des hauts plateaux.

    Cette activité est favorisée par l’ existence d’une vaste étendue de terrain qui est réduite actuellement à ( 1 522 523 ha ),couverte en majeur partie par l’alfa et l’armoise .

    Cet élevage obéit à la transhumance des éleveurs a l intérieur de la province ou d’autres régions riches en pâturage, vers le sud de la province en hiver et vers le nord en été .

    Quant à l’abreuvement du cheptel, il dépend de la saison :

    – 2 fois par semaine de novembre à mars .

    -3 fois par semaine en mars et avril .

    -Chaque jour en été .

    Certaines fractions , les Ouled Brahim et les Ouled Farès possédaient des jardins dans l’oasis de Figuig, d’ autres à Ain chair , Néssissa, Bouarfa et les points d’eau à l’est et au sud de la région.

    La tribu de l’Aamour , possède des liens familiaux avec les Bni–Guil et qui comme eux ont le même mode de vie. Ils sont très attachés à la terre et à leur culture, nomadisent souvent dans leur commune, Abou Lakhal . Certains possèdent encore des jardins près des sources et pratiquent une agriculture, sur des petites parcelles, destinée à l’autoconsommation .

    L’agriculture chez les Bni-Guil est limitée aux céréales et tributaire des pluies. Le couvert végétal a subi une dégradation très poussée ces dernières années suite aux effets de la sécheresse qui a sévi dans la région .Cette situation a entraînée la réduction du nombre du cheptel réduisant ainsi le revenu des individus , facteur provocateur de l’exode vers les villes du pays ou vers l’Europe .

    #204800
    nizarovicia
    Membre

    tout d’abord je vous explique la raison pour laquelle j’ai créer ce sujet de discution! tout d’abord parceque je l’ai vécu en temp réel quand j’ai rencontré une fille ateinte de cette maladie et qui souffre actuelement! « pour savoir son histoire vous pouvez lire « Rencontre avec une schizophrène , il y’a 4 chapitres c’est sur « café oujdacity même ». deuxiemement car j’ai un ami qui m’est vraiment important car c’était mon ami intime dans l’enfance est qui est atteint aussi de cette maladie et c’est domage que seulement aprés 5ans de souffrance que ses parentsont su qu’il est ateint de schizophrènie!!.

    iwa rah l’article twil sabrou m3ana we 9raweh ghadi yacherahelkom bezaf dyal lehwayej li kanou jayinkom bizzare!!
    ngolkom haja oukhra « al mardi nafssani machi hbil wa inama marid nafssani » donc je vous ai donné cet article pour vous expliquer le tout sur cette maladie et vous corriger les fausses idées.

    bonne lecture:

    Sortir la schizophrénie de l’ombre:

    que cache réellement ce nom inquiétant ? Cette maladie qui touche plus de 1 % de la population se manifeste par une modification de la personnalité, et la perte du contact avec la réalité. Quelles sont les causes ? Les personnes touchées sont-elles dangereuses ? je vous fait le point sur un problème difficile à vivre pour les malades mais aussi pour leurs proches.

    Reconnaître les signes:

    La schizophrénie débute généralement à l’adolescence. Elle se traduit par divers signes : bouleversement de la personnalité, réaction inappropriées, mutisme, impulsions soudaines et irraisonnées… Le plus souvent, des signes avant coureurs permettent de déceler le trouble avant qu’il ne s’installe. Découvrez les symptômes de cette maladie.

    Il n’y a pas une, mais des schizophrénies, dont les caractères communs sont :

    . L’âge de début, entre 15 et 35 ans ;
    . La diminution de l’élan vital ;
    . La dissociation mentale ou la discordance : c’est une rupture de l’unité psychique de la personne, qui aboutit à un bouleversement de la personnalité, à des réactions totalement inappropriées et à une indifférence devant des éléments porteurs d’une charge émotionnelle ;
    . Une inhibition de l’activité mentale (perte d’intérêt) qui favorise un repli sur soi, avec apparition de fantasmes délirants ou hallucinatoires.

    La schizophrénie peut débuter de manière très différente d’une personne à l’autre. Dans de nombreux cas, la mise en place est progressive et la schizophrénie est précédée par des « états schizoïdes » qui permettent encore à l’individu de mener une vie quasi normale. Il apparaît songeur, renfermé et sujet à des impulsions irraisonnées. Il décroche sur le plan scolaire et reconnaît lui-même avoir de plus en plus de difficulté à se concentrer. L’entourage essaie souvent de minimiser le caractère pathologique de ces comportements. Les troubles affectifs qui les accompagnent sont souvent attribués à une « crise d’adolescence ».

    Le caractère semble changer : le jeune est morose, froid, indifférent, il n’a plus d’élans affectifs, il s’isole de plus en plus et abandonne ses investissements extérieurs, fuit la compagnie de ses camarades et se montre irascible, hostile. Ses bizarreries deviennent plus nombreuses, son regard se dérobe. Il sourit sans raison ou esquisse des mouvements dont on ne perçoit pas la cause. Sa sexualité est souvent perturbée.

    Il arrive que l’adolescent lutte instinctivement contre la dépersonnalisation qui le menace, et qu’il s’attache alors à une idée, un concept religieux, un idéal politique ou un système philosophique, autour duquel il tente de se « rassembler ». Mais il apporte dans cette foi une confusion d’esprit ou un rationalisme systématique jusqu’à l’absurde qui révèle la profondeur du trouble mental.

    Un tiers des schizophrènes ne passent pas par les phases préliminaires et s’installent rapidement dans leur délire. Dès lors, ces malades sont plongés dans une indifférence absolue. Ils éprouvent parfois l’impression d’être dédoublés.
    Une fois la maladie installée, le schizophrène ne parvient même plus à vérifier sa propre réalité. Il sourit à des sujets graves, n’achève pas ses gestes ou les rend mécaniques comme ceux d’une marionnette. Il croit qu’on lui dérobe sa pensée, qu’il entend des voix ou toute autre manifestation délirante. Le plus souvent, il ne peut, pas mettre en doute son délire qui peut parfois le conduire à effectuer des actes absurdes.

    Quelles sont les causes ?
    La cause est actuellement inconnue. Cependant, il existe des familles dans lesquelles ce trouble est plus fréquent, ce qui met vraisemblablement en jeu un facteur génétique. Des facteurs environnementaux, viraux et biologiques sont aussi probablement en cause. L’origine du trouble serait donc multifactorielle.

    Quels sont les traitements ?
    Il est souvent nécessaire d’hospitaliser ces personnes, parfois en urgence, en particulier au début de la maladie. Les médicaments neuroleptiques peuvent atténuer les symptômes. Une psychothérapie et un suivi dans une structure de soins permettent également d’aider le schizophrène.

    Reconnaître la schizophrénie
    Comme de nombreux troubles mentaux, la schizophrénie est une maladie difficile à identifier. C’est souvent à l’entourage de reconnaître le trouble et d’en parler. Mais de nombreuses idées reçues circulent sur les signes et les manifestations de ce problème. Doctissimo fait le point sur les symptômes d’une maladie très étudiée mais encore mal connue.

    La schizophrénie est un trouble qui touche l’organisation de la pensée. Ses manifestations sont très diverses. Les principaux symptômes sont les suivants :

    Des troubles de la pensée : Les pensées sont désorganisées, incohérentes, inadaptées, accélérés ou ralenties… Le malade ne parvient pas à hiérarchiser l’information et synthétiser ce qu’il veut dire.

    Des délires : Les idées délirantes sont le fait que la personne croit des choses fausses. Cela peut revêtir différents aspects : croire que l’on est la réincarnation d’une personne célèbre, que l’on parle aux extraterrestres, que l’on est victime d’un complot… Il est extrêmement difficile de convaincre le schizophrène que ses idées sont fausses.

    Des hallucinations : Il existe principalement des hallucinations auditives (entendre des voix ou des sons inexistants). Elles sont présentes chez 2/3 des patients. Mais il peut également y avoir des fausses perceptions au niveau sensoriel (impression d’être touché quand il n’y a personne par exemple), visuel, olfactif ou gustatif.

    Des émotions négatives : On rencontre souvent une perte d’intérêt, un manque de volonté, une absence de motivation… Le malade se referme sur lui-même. Il peut y avoir également des émotions qui surviennent de manière inappropriée (rire sans aucune raison ou lors d’un événement dramatique par exemple).

    Des troubles du comportement : Le malade peut avoir des moments d’agitation aiguë ou au contraire des états de stupeur. Il va avoir des attitudes ou des mouvements souvent exagérés. Dans les cas de crises aiguës, des agressions mineures et des actes violents peuvent survenir, mais restent rares. Des automutilations peuvent également survenir et le risque de crise suicidaire existe.

    Tous les malades n’expriment pas tous ces symptômes, et l’intensité varie selon les personnes. C’est d’ailleurs pourquoi on parle de schizophrénies au pluriel.

    De nombreuses idées fausses
    De nombreuses idées reçues circulent sur la schizophrénie. Ainsi, on croit souvent que les malades souffrent tous d’un dédoublement de la personnalité. Or ce n’est généralement pas le cas. Il est également courant de penser que le schizophrène est violent et peut devenir dangereux pour son entourage. Pourtant, les problèmes d’agressivité surviennent rarement, et uniquement lors de crises aiguës. En outre, il est important de ne pas oublier que la schizophrénie reste une maladie, qui nécessite à ce titre une prise en charge médicale, et que la seule volonté du patient ou son changement d’environnement ne suffiront pas à résoudre les troubles.

    ECOUTER VOS PROCHES OU VOS AMIS ATEINTs DE CETTE MALADIE:

    Quelques conseils pour l’entourage
    Quelle attitude adopter avec une personne schizophrène ? Comment gérer la prise des médicaments ? Que faire en cas de crise ? Autant de questions auxquelles les proches des malades sont régulièrement confrontés. Doctissimo vous aide au quotidien.

    La famille et l’entourage représentent souvent le principal soutien des personnes schizophrènes. Ils jouent un rôle important pour aider le patient dans sa vie quotidienne. Mais ils doivent aussi savoir repérer les signes avant-coureurs d’une rechute et pouvoir faire face à des épisodes aigus.

    Créer un environnement stable
    L’attitude à adopter dépend du stade de la maladie et de l’état d’angoisse ou d’agitation de la personne. Lors des poussées, il est important d’assurer l’environnement le plus stable possible au schizophrène. Les disputes ou conversations trop animées doivent être évitées en sa présence. Au contraire il faut s’adresser à lui calmement et avec des mots simples, des phrases courtes, en expliquant simplement ce que l’on fait ou ce que l’on va faire.

    Il est indispensable d’essayer d’établir quelques règles concernant par exemple l’hygiène ou les cigarettes, et d’essayer de rythmer la journée par des activités routinières (toilette, repas, promenades…).

    Discuter sans imposer
    Ces règles faciliteront la vie en famille et aideront le malade à se structurer. Si ces consignes ne sont pas respectées, il faut les rappeler et essayer de discuter avec la personne de la manière dont elle préférerait que les choses soient organisées, sans le critiquer, ni lui donner le sentiment de lui imposer des actes. La préférence doit être donnée aux encouragements, plutôt qu’aux remontrances. Enfin il faut éviter des sollicitations excessives, par exemple, ne pas insister pour un repas au restaurant ou avec des invités, et lui laisser toujours une possibilité de se retirer au calme. Progressivement il sera possible d’encourager la participation aux activités quotidiennes de la maison ou aux loisirs et d’aider la personne à retrouver une certaine autonomie.

    A ce stade la vigilance s’impose encore. Il faut lui exposer clairement les risques de l’alcool, de la drogue et de la conduite automobile sous traitement et repérer des signes de dégradation qui pourraient suivre un abandon du traitement.

    Rester à l’écoute
    L’entourage joue un rôle important dans le respect des prescriptions et des rendez-vous médicaux. Si une autre personne, au domicile, prend un traitement, il peut être utile d’instaurer un moment en commun pour la prise des médicaments, afin de diminuer les risques d’oubli ou de négligence. Il est essentiel de rester toujours à l’écoute des plaintes de la personne schizophrène, de ne pas nier ni minimiser ses peurs ou ses doléances. Les effets secondaires des médicaments peuvent être pénibles. Certains sont transitoires, disparaissant après quelques jours de traitement, d’autres peuvent être corrigés par des médicaments ou doivent conduire à modifier le traitement. Enfin s’il faut s’efforcer de convaincre le malade de prendre ses médicaments, il ne sert à rien de le lui ressasser et il ne faut surtout pas essayer de l’obliger à les prendre, ni lui administrer à son insu.

    Que faire en cas de crise ?
    Lors d’un épisode aigu, le schizophrène est souvent agité, angoissé, en proie à des hallucinations ou à des idées délirantes. Il faut tout faire pour éviter de l’effrayer davantage. Ainsi est-il préférable d’être seul auprès de lui, même si des personnes sont dans une pièce voisine, et d’essayer de le rassurer en lui parlant doucement de la manière la plus normale possible. Mieux vaut ne pas le toucher, le fixer des yeux ou être trop proche de lui, ni barrer les issues, pour éviter qu’il ne se sente menacé et pour vous protéger vous-même. Il faut lui témoigner de l’empathie en lui demandant ce qui ne va pas ou en commentant ce qu’il ressent (« Tu as peur ? »), sans multiplier les questions ou lui faire de discours. Les formules les plus simples, répétées de manière identique, risquent moins de le déstabiliser. Il faut tenter ensuite de le convaincre d’aller à l’hôpital ou dans un centre d’accueil et de crises (ouvert 24 h sur 24), ce qui n’est pas toujours facile. Tout sera plus simple si vous vous êtes renseigné auparavant auprès des médecins sur la conduite à tenir et les structures d’accueil proches de chez vous.

    A qui demander de l’aide en cas de crise ?
    Cependant il n’existe pas de recette miracle face à ces crises, très impressionnantes pour l’entourage, qui se trouve souvent particulièrement seul dans ces moments. Obtenir la visite d’un psychiatre à domicile est, en règle générale, impossible. Les pompiers, voire le SAMU, accepteront rarement de se déplacer pour ces personnes agitées. Le médecin traitant ou une autre personne avec qui le malade a une relation de confiance pourront être d’une aide précieuse. Mais la police est parfois le seul recours lorsque aucune communication n’est possible et que la personne est violente. C’est une solution traumatisante, à n’utiliser que dans les cas extrêmes. Eventuellement il faudra réaliser une hospitalisation à la demande d’un tiers (si le malade a besoin de soins et n’est pas en état de donner son consentement) ou une hospitalisation d’office ( en cas de danger pour l’ordre public ou les personnes). Les services dits « de secteur psychiatrique », c’est-à-dire accueillant principalement les patients habitant dans un secteur géographique donné, sont susceptibles de recevoir à tout moment ces patients en crise.

    Déceler les signes de récidive
    Des modifications du comportement doivent alerter sur la possibilité d’une récidive et conduire à demander rapidement un avis médical. Il s’agit souvent des mêmes signes qui ont marqué le début de la maladie : repli sur soi, insomnie, hallucinations, pensée incohérente, laissé-aller… Il est important de veiller à ces signes et d’expliquer au malade qu’ils doivent le conduire à consulter rapidement pour adapter le traitement.

    D’une manière générale, c’est par le fruit de sa propre expérience, en tâtonnant et en s’adaptant constamment à l’état de la personne schizophrène, que l’on finit par trouver l’attitude la plus adaptée. Cependant il est important de pouvoir bénéficier de l’expérience d’autres soignants et on peut regretter, à ce propos, le manque de soutien et de formation pour les familles.

    khokom fe lah nizar

    alakhotes harakom 3raftou wachta hiya cette maladie!! li ya3raf chi had mrid biha Y3awnou!!!

    #260704
    houmidi59
    Participant

    SUITE et FIN :

    Soudain la mère se réveilla en murmurant des mots incompréhensibles à la cantonade.Elle donna une raclée à son mari, histoire de le le réveiller et pinça le nez de son fils pour la même raison .Les deux bonhommes sursautèrent et s’embrassèrent .La boulotte leur lança qu’il était temps de mettre quelque chose sous la dent .Après quoi, elle sortit de son sac un gros poulet rôti. Elle arracha les deux ailes qu’elle donna à ses deux enfants .Elle jeta une cuisse minuscule à son mari et me tendit la seconde.
    Après un court instant, elle attaqua son frichti.
    En moins de temps qu’il n’en faut à Aouita (Vous pouvez toujours remplacer ce célèbre athlète par un autre de votre choix à la condition qu’il soit moins lent que la célèbre tortue) pour parcourir les mille cinq cents mètres , le poulet fut dévoré et ses os broyés.La boulimique ponctua ses gestes par d’horribles rots jusqu’à Fes.
    Enfin, la famille et les deux ronfleurs quittèrent le compartiment.J’ouvris la fenêtre pour laisser s’échapper les odeurs indésirables , puis je m’allongeai sur la banquette et sombrai dans le sommeil du juste.
    Une demi heure plus tard, le train reprit sa route vers Oujda.

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    #260915
    Cerise
    Participant

    😯 je cours lire la suite

    😆 😆 wa film hindi hadchi a sadi9i

15 réponses de 601 à 615 (sur un total de 1,549)
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