Résultats de la recherche sur 'mariage'
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Salut Tout le Monde,
Savez vous que le mariage est à Oujda est parmi les plus chers au Maroc, ce que veut dire moins d’engagement ou dans le cas positif un vrai début cassé pour le nouveau couple 🙂
A Rabat, ou à Fes par exemple, la dote est toujours moins couteuse qu’à Oujda, et encore plus on fait une seule fête, en général c’est la femme qui organise la fête, l’homme quand à lui il achète l’ameublement (ce qui est tout à fait logique), et tout calcul fait, pour un couple de cadre à Oujda le mariage coutera pour l’homme vers les 80000 dhs, alors qu’à rabat ou fes, il ne dépassera pas 50000 dhs (sans oublier le grand féminisme de la femme 🙂 lol je rigole);
J’évoque ce sujet car sur une clique oujdie de 10 amis, avec un age moyen de 29 ans, (ingénieurs et médecins), 5 ont pris une fassia, 2 une casaouia, 1 une merrakchia, et un autre cherche aussi une qui soit pas de la région d oujda, et je reste moi et un autre ami (lui il est très triste depuis 6 mois, sa famille a refusé d’accepter une fille de casa);
Bon c’était juste une petite remarque, pour que nos filles d’Oujda présente un bon cahier de charge, sinon les meilleurs cadres de notre chère ville ont tendance à préférer autre option 🙂
alors plus de féminisme et moins de couts (laissons les grandes dépenses aux « Immigrés » « facancia », ils ont assez d’argent pour l’été, et beaucoup moins d’argent pour le reste de l’année 😉 ) lli bghah ga3 khallah ga3
On change beaucoup d’idée reçues quand on côtoie les gens et pas les idées
Personnellement j’ai trop changé, et je vois les différentes régions du Maroc autrement
Y a des vrais musulmans partout, et le grand chemin de la vérité commence par l’autocritiqueSalutations!
salutations!
Ceci est un article que j’ai trouvé sur yahoo.fr et dont la lecture fut fort plaisante:
Tout ce qui touche à la charia fait polémique, sauf peut-être la finance islamique qui pourrait bien aider à remplir les caisses françaises.
1 000 milliards de dollars en 2010, c’est l’encours prévu par les économistes pour la finance islamique. Un chiffre en constante progression depuis de nombreuses années. De 2003 à 2007, il a enregistré une hausse de 15 %. Des résultats qui peuvent surprendre dans un contexte mondial où la finance est tellement décriée depuis la crise des subprimes. Si ce n’est que la finance islamique se base sur des règles éthiques et religieuses : interdiction des intérêts, de l’incertitude et de la spéculation, partage des profits. Ce qui fait dire à certain que ce concept inhérent au Coran est une des solutions pour moraliser la finance conventionnelle. Mais derrière ce vœu pieux, il y a surtout une volonté d’attirer les pétrodollars, et parmi ces nouveaux partisans de la charia, la France n’est pas en reste.
Le porte-drapeau de cette nouvelle cause n’est ni plus ni moins notre ministre de l’Économie, Christine Lagarde, qui lors d’un colloque en 2009 a annoncé que « les banques qui souhaiteraient réaliser des opérations conformes aux dispositions de la charia, le territoire français est évidemment prêt à les accueillir… Considérez le territoire français comme une terre d’accueil ».Terre d’accueil, qui pour l’instant est plutôt la City de Londres, et ce depuis une dizaine d’années. La France déroule donc le tapis rouge pour rattraper son retard. Il faut dire que l’enjeu est de taille : 120 milliards d’euros à l’horizon 2020. Une véritable bouffée d’oxygène pour l’état des finances publiques. Aujourd’hui, seuls les investisseurs institutionnels profitent de ce nouveau concept, dans l’Hexagone, par l’intermédiaire de fonds d’investissement « islamo-compatibles ». Les particuliers devront patienter encore un peu. En attendant, certains s’impatientent, et pas seulement les personnes de confession musulmane.
Comme Charles Garreau, 54 ans, entrepreneur qui voit d’un bon œil l’arrivée de la finance islamique, « Contrairement à ce que l’on croit, dit-il, ce n’est pas une finance éthique. Le principe fondateur de la finance islamique, c’est le partage des risques. En clair, un investisseur qui investit dans une boîte, prend autant de risque que le porteur de projet, contrairement au système classique. » Un concept beaucoup plus sain que la finance conventionnelle, selon lui : « Vous contractez un prêt auprès de votre banquier afin de financer votre activité commerciale. Si votre boîte par la suite fait faillite, vous serez toujours redevable. Or, en théorie, votre banque est un partenaire pour le pire et le meilleur… surtout pour le meilleur en l’occurrence ».
Cet aspect participatif intéresse aussi les primo-accédants, « J’ai vécu de nombreuses années à Dubaï, raconte Xavier Ducros, 38 ans, trader. J’ai travaillé sur la finance islamique, où, l’accession à la propriété est le fruit d’un partenariat entre la banque et le client. La banque achète le bien, le revend au client, avec une plus-value. On détermine une durée de remboursement sur plusieurs années. Le client détiendra la pleine propriété uniquement lorsque la somme totale sera remboursée. Pendant ce temps, le bien sera en copropriété. » Un mécanisme qu’il souhaite utiliser pour l’acquisition de sa résidence principale : « Si aujourd’hui j’achète un appartement, je devrais passer par la finance classique. Ce qui, pour ma part, représente trop de risque. Car, la banque me prête sans tenir compte de la suite des événements. Or, dans la finance islamique, en tant que copropriétaires, nous sommes solidaires. Un peu comme dans un mariage ou un pacs ».
De toute évidence, l’argent halal a le vent poupe. Deux universités en France, Strasbourg et Dauphine, enseignent les us et coutumes de cette finance si particulière. Hervé de Charrette, ancien ministre des Affaires étrangères, court les médias afin de promouvoir ce concept, et les banques françaises pressent le gouvernement d’agir au plus vite pour mettre en conformité la législation française et la charia… Une fois n’est pas coutume un sujet issu de l’islam semble recueillir l’unanimité.