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L’origine de l’expression « Ladies first » « les femmes d’abord » très répétée par les mecs surtout quand ils veulent exprimer leur respect pour la femme , et les femmes l’aiment bien alors si vous voulez savoir son origine lisez la suite

IL y a bien longtemps en Italie en 18éme siècle ,c’est l’histoire d’un garçon riche et d’une fille d’une famille pauvre qui se sont aimés à la folie mais leurs familles se sont opposés à leur union alors ils ont décidés de se suicider en se jetant de la montagne…
Quand ils sont arrivés au sommet chacun voulait se jeter le premier mais le garçon insiste pour passer le premier la fille accepte.
le garçon se suicide mais la fille n’ a pas pu se lancer quand elle a vu le pauvre mort , elle rentra chez elle et après un certain temps elle s’est mariée et eu pleins d’enfants
et depuis on ne peut plus faire confiance aux femmes alors on dit « ladies first »….

Sujet: Les Ouled Bakhti/Bakhta
Bonsoir a tous,
J’ai vu dans le pdf sur jerada qu’une partie de la population descendait des ouled bakhti (labkhata) et étaient d’origine berbère…
Avez vous des informations a leur sujet?? je sais que je suis originaire de cette tribu mais je n’en connais pas grand chose.J’ai vu qu’il y avait une localité dans les beni-znassen près de tafoghalt qui se nomme oulad bakhti ou oulad bakhta…viendraient-il des beni-znassen?
J’ai egalement vu qu’il y avait beaucoup de douars dans l’ouest de l’algérie qui portent un nom avec bakhta,bakhti,bkhata.
Je me demandais l’orgine exacte de cette tribu,et d’ou elle vient…
Si vous en connaissez plus que moi merci bcp!!
Sujet: lograda
bonjour
qui connait le nom de famille lograda au maroc et ses originesHier(21.02.2009), sur la chaine franco-allemande ARTE, un documentaire qui se déroule à Mengoub près de Bouaarfa été diffusé.
Voilà le synopsis, disponible sur le site de la chaine:
Deux Marocains tentent un pari fou : créer, en plein désert, une pépinière pour empêcher les jeunes paysans de leur région de céder aux mirages de l’émigration.
C’est l’histoire d’une rencontre entre deux Marocains, tous deux originaires de Bouarfa, une petite ville du sud-est du pays. Mostafa « le vieux » est depuis trente ans installé en France, dans une cité d’Évry, et revient pour les vacances ; Mostafa « le jeune », lui, s’est fait paysan dans le désert du Mengoub. Là où la misère grandit au rythme du sable, qui avance et dessèche les cultures, où faute de pouvoir gagner leur pain, les hommes ne trouvent plus à se marier et où les jeunes ne rêvent que d’une chose : partir. « El Mostafa » signifie « l’élu » en arabe. Mais l’aîné des Mostafa, sous son allure joviale, cache une fêlure : il y a quelques années, il a tenté de vivre dans un village de l’Essonne en reprenant le seul café du coin. Le racisme ordinaire a fini par l’en faire partir. Depuis, il considère son intégration en France comme un échec.
Une barrière verte contre le sable
Le cadet, lui, est revenu de ses rêves d’exil après quelques années de galère hors du Maroc. Ancien soudeur, il a finalement choisi son désert natal pour bâtir une maison, créer une ferme, fonder un foyer (après trente-six demandes en mariage infructueuses !). Il s’efforce aussi de montrer aux fils des fellahs très pauvres de la région que l’on peut s’en sortir sans émigrer, même avec très peu de moyens. « Il y a quelque chose de plus grand que l’argent, c’est l’espoir », aime à répéter à ses ouailles celui qui est devenu l’imam et l’homme- orchestre de sa communauté villageoise, dans la petite mosquée qu’il a construite au bout de son terrain. C’est lui qui a eu l’idée de la pépinière : dresser une barrière verte contre le sable qui avance. Et c’est Mostafa le vieux qui, avec son association Solidamoun, a trouvé les fonds pour financer cette utopie. Depuis, l’un en première ligne, l’autre en renfort, ils se battent contre le vent, le sable, le gel, les invasions de criquets. Et une petite école a fleuri à côté de la mosquée, pour les enfants du village. Cinéaste familier des chemins détournés, Laurent Chevallier (Djembéfola, Circus baobab, La vie sans Brahim…) raconte comment les deux Mostafa, le déraciné et le paysan, ont fait reverdir le désert.Il est possible de le voir ici: http://www.arte.tv/fr/programmes/242,date=21/2/2009.html
Je vous le recommande fortement.
Sujet: AGENCE IMMOBILIERE A OUJDA.
Voila je voudrais avoir votre avis mes chers Oujdis , je suis originaire d’Oujda et j’ai pour projet de créer une agence immobilière à OUJDA avec tout le sérieux que cela demande et avec une stratégie marketing comme ici en France.
Qu’en pensez-vous ?Sujet: AGENCE IMMOBILIERE A OUJDA
Voila je voudrais avoir votre avis mes chers Oujdis , je suis originaire d’Oujda et j’ai pour projet de créer une agence immobilière à OUJDA avec tout le sérieux que cela demande et avec une stratégie marketing comme ici en France.
Qu’en pensez-vous ?


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