Résultats de la recherche sur 'qui est responsable'
-
Résultats de la recherche
-
بــــــــــاسم وبــــــــــــالله الـــــــــــتـــــــــوفـــــــــــــيـــــــــــــق.
يـــوم بـــعـــد يـــوم وأ طــروحــة الطــامــعــيــن مــن الــنــيــل من وحــدتــنــا الــتــرابـــيـــة تـــتــهــاوى
Monsieur Ban Ki-Moon, le nouveau secretaire général des Nations Unies,enterre difinitivement le plan Baker et plaide pour une solution
négociée entre les parties concernées :Le Maroc et L’Algérie évidemmentAvec raison, le secrétaire général de l’Onu a enterré encore une fois cette histoire du plan Baker, avorté en 2003 pour la bonne raison que la majorité des nations et des peuples, dont notamment le Maroc, y voyaient comme une entourloupette du gouvernement d’Alger mais surtout qu’il n’apportait aucune solution légale au problème, mais bien au contraire le compliquait. S’il favorisait les vues et les calculs algériens, il était porteur de germes conflictuels. Moyennant quoi, il ne pouvait avoir l’aval du Maroc qui, qu’on le veuille ou non, est la partie la plus concernée dans cette affaire. Le deuxième volet de l’intervention du secrétaire général des Nations unies sur ce dossier, concerne la solution définitive à lui trouver. Là encore, il a été plus que clair et limpide, sans concession aucune au double langage ou à la perversité de celui-ci : « J’espère, a-t-il souligné, que le problème sera réglé par voie de dialogue entre les parties concernées. J’espère qu’elles entameront des pourparlers pour un règlement pacifique. »
Ce n’est pas seulement un constat, assorti dira-t-on d’un vœu, mais une invite solennelle – la salle de la conférence, le Sommet panafricain s’y prêtent – aux uns et aux autres, d’une part à abandonner les chimères d’un plan Baker enterré alors qu’il n’avait pas encore vu le jour et, d’autre part, à mettre en œuvre une solution politique négociée. Le langage de M. Ban Ki-moon s’inspire du réalisme et s’inscrit dans une tradition diplomatique qui sont le credo des Nations unies. Il traduit, à vrai dire, la volonté des responsables de l’organisation mondiale d’aller de l’avant en privilégiant une solution légale, définitive et juste pour venir à bout d’un conflit artificiel, monté de toutes pièces, empoisonnant les relations entre le Maroc et l’Algérie, bloquant la construction du Maghreb et paralysant en somme les efforts louables de l’Onu. Il n’y a donc pas de place à la surenchère, en revanche la solution politique préconisée par M. Ban Ki-moon reste la seule voie vers la paix.
والــــســـــلا م.
بــــــــــــــــا ســــــــــــــم الله وبــــــــــــــــــالله التـــــــــــــوفـــــــــــــــــيــــــــــــــــق .
Message fort de la communauté internationale, qui souhaite une solution définitive a la question de notre intégrité territoriale ; fomentée par les gouvernants frères et voisins de notre pays .
Le Sénégal a réitéré un soutien ferme et sans limite et depuis toujours,
à l’intégrité territoriale du Maroc, pour trouver une solution définitive à la question du Sahara, qui a été fomentée il y a un peu plus de 33 ans par les gouvernants d’un pays frère et voisin ; en approuvant la proposition du Maroc pour une large autonomie de notre Sahara.
Cette proposition est considérée par le Sénégal comme une volonté du Maroc, d’innover et non de continuer à faire du surplace, tout en renouvelant son appel à trouver une solution durable à cette question ; au lieu de rester sur la marge et de faire les mêmes rapports de constat de blocage.
En effet, l’approche marocaine a été jugée très positive par plusieurs capitales du monde. Ces dernières sont unanimes à déclarer que le projet d’autonomie est une proposition de nature à faire avancer le dossier du Sahara.
Pendant ce temps, la diplomatie algérienne se heurte au retrait par plusieurs pays de leur reconnaissance de la fantomatique entité, qui a élu domicile sur son propre sol. Ces pays et autres ONG ne cessent de dénoncer les conditions déplorables dans lesquelles vivent les populations des camps de Tindouf ; et le traitement inhumain qui leur est infligé par les forces de sécurité du «Polisario».
La situation dans ces camps a empiré au point d’atteindre des proportions dramatiques au mépris des principes, valeurs et normes consacrés par l’humanité et les religions monothéistes. Plusieurs cas de viols de femmes et d’enfants, d’emprisonnement arbitraire et abusif, de torture ainsi que d’élimination physique, sont rapportés avec des détails qui ne peuvent laisser de doutes quant à leur véracité.
L’abstention massive et écrasante lors du dernier vote aux Nations unies, le 14 décembre dernier, constitue «un message fort de la communauté internationale qui en a assez du surplace et qui souhaite explorer de nouveaux sentiers et faire preuve d’innovation dans la recherche de nouveaux plans de sortie de crise, mutuellement bénéfiques et acceptables par les parties concernées»,ont insisté les responsables sénégalais dont le Président Abdoulaye Wade.وما شاء الله ولا حول ولا قوة إلا بالله
بـــــــــــــاســـــــــــــم الله وبـــــــــــــالله الـــــــــــــتــــــــــــــوفــــــــــيـــــــــــــــــــق.
S O U T I E N I N C O N D I TI O N N E L A NOTRE INTEGRITE TERRITORIALE
Message fort de la communauté internationale qui souhaite une solution définitive a la question de notre intégrité territoriale, fomentée par les gouvernants voisins de notre pays.
Le Sénégal a réitéré un soutien ferme et sans limite et depuis toujours,
à l’intégrité territoriale du Maroc pour trouver une solution définitive à la question du Sahara qui a été fomentée il y a un peu plus de 33 ans par les gouvernants voisins . En approuvant la proposition du Maroc pour une large autonomie de notre Sahara
Cette proposition est considérée par le Sénégal comme une volonté du Maroc d’innover et non de continuer à faire du surplace, tout en renouvelant son appel à trouver une solution durable à cette question, au lieu de rester sur la marge et de faire les mêmes rapports de constat de blocage.En effet, l’approche marocaine a été jugée très positive par plusieurs capitales du monde. Ces dernières sont unanimes à déclarer que le projet d’autonomie est une proposition de nature à faire avancer le dossier du Sahara.
Pendant ce temps, la diplomatie algérienne se heurte au retrait par plusieurs pays de leur reconnaissance de la fantomatique entité qui a élu domicile sur son propre sol. Ces pays et autres ONG ne cessent de dénoncer les conditions déplorables dans lesquelles vivent les populations des camps de Tindouf et le traitement inhumain qui leur est infligé par les forces de sécurité du «Polisario».
La situation dans ces camps a empiré au point d’atteindre des proportions dramatiques au mépris des principes, valeurs et normes consacrés par l’humanité et les religions monothéistes. Plusieurs cas de viols de femmes et d’enfants, d’emprisonnement arbitraire et abusif, de torture ainsi que d’élimination physique, sont rapportés avec des détails qui ne peuvent laisser de doutes quant à leur véracité.
L’abstention massive et écrasante lors du dernier vote aux Nations unies, le 14 décembre dernier, constitue «un message fort de la communauté internationale qui en a assez du surplace et qui souhaite explorer de nouveaux sentiers et faire preuve d’innovation dans la recherche de nouveaux plans de sortie de crise, mutuellement bénéfiques et acceptables par les parties concernées»,ont insisté les responsables sénégalais dont le Président Abdoulaye Wade.
والسلام .
je propose cette fois une discussion sur des problèmes que tout le monde accepte mais personnes ne réagie, si notre discussion ne change pas la réalité au moins il va aboutir a une conscience de notre monde réel des faits et des contres faits. Je veux pas discuter en générale le problème du commerce clandestin avec les voisins, mais plus précisément le commerce des drogues avec les voisins.
Je propose avant le développement de mes idées certaines questions que j aimerais bien savoir votre points de vu.ma première question, d’où vient cette drogue qui est l’objet de ce marché noir florissant a Oujda. est ce qu elle l objet d un commerce clandestin avec les voisins. Est ce que la sécurité n est plus capables d arrêté ce commerce des drogues, ou est ce qu elle n est plus capable de faire respecter l ordre publique. est ce que la loi est applicable seulement sur les consommateur et nie complètement les vendeurs ou est ce qu il est resté des lignes sur des livres de droits. est ce que le marché des drogues (du vin, du hachich et du chira du karkoubi) a Oujda est bien illicite. de telle sorte qu on le considère comme fait normale et qu on doit l accepter malgré nous.
est ce que le marché organisé qui est autorisé (dans des hôtels et des boites de nuit) par l états respect la loi comme il le faut. Ou est ce qu il est le premier fournisseur du marché noir ou informelle, est ce que la catégorie des consommateurs dans le marché organisé est assez serrée pour visé la catégorie pauvre et des mineurs afin d élargir la base de la consommation.
Est ce que la probabilité de détection d’une organisation criminelle (vente du vin du drogue dans un marché informel ou autorisé) dépend de sa part de marché d un coté et de sa relation avec les responsables de la sécurité d un autre coté.
Est ce que les négociations entre les criminels et les responsables de lutte contre la drogue est trop rentable pour qu’il n’y soit jamais renonce volontairement.
Est ce que ce trafic est une énorme source de corruption, d’offres que l’on ne peut pas refuser, et qui procure plus de protection en premier lieu des vendeurs autorisés qui ne respectent pas la loi et en deuxième lieu les vendeurs du marché informel qui sont capable de détourner la loi au détriment de la population.
Est ce que les trafiquants disposent aussi bien des sources de financement nécessaires pour acheter tous ceux prêts a se vendre, en commencant par la sécurité des frontière en passant par la gendarmerie jusqu a la brigade criminelle. Il suffit d y aller a souk el felah ou souk loghzel pour constaté l échec de cette sécurité.
Est ce que le salaire des agents de sécurité est tellement misérable au point qu ils seront capable d accepter ce qui est offert par les criminels, et donc de laisser fermer leurs yeux sous le regard d’une population qui craint le pire..
Est ce que une politique répressive plus sévère encourage l apparition des nouveaux criminels en place et de ce fait à laisser pénétrer d’autres organisations sur le marché du drogue. Autrement dit, est ce que la répression diminue les quantités produites par chaque groupe criminel, et en même temps incite la création de nouvelles organisations criminels.
est ce qu il y a un marché bien organisé qui détermine la relation de l offre et de la demande des drogues et de ce fait, la quantité et le prix des drogues transigées sont indépendants du niveau de répression de la sécurité publique.
Est ce qu on a une politiques publiques efficace qui est capable de mener une lutter contre les vendeurs de drogue et ne se réduit pas seulement la tache a baisser la consommation par des politique plus sévère envers les consommateurs que souvent terminent leur voyage derrière les barreaux après avoir commis l’irréparable.
En réalité est ce que la responsabilité incombe sur les consommateurs, ou bien sur les vendeurs et les agents de sécurité, Est ce qu on peut considérer ce problème persistant comme un échec de la sécurité dans notre région. Je pense que oui.