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15 réponses de 586 à 600 (sur un total de 650)
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  • #213962
    fadi
    Membre

    Je pense qu’il est encore tôt de dire que le Maroc est un pays democratique ..
    Certe le Maroc est devenu le pays leader de liberté d’expression dans le monde arabe, c’est déja pas mal comme début, mais pour accueillir cette grande dame comme a dit notre ami Dawy, il faut d’abord changer les mentalités de certains responsables qui se prennent pour des dieux, et nous prennent pour des bestiolles .. 👿
    Le jour ou le citoyen marocain aura une valeur, on pourrait dire que le Maroc est un pays démocratique ..

    #201521

    Sujet: La liberté d’expression

    dans le forum Débats
    Alaa-eddine
    Participant

    Vous avez du remarquer que nous avons pris de nouvelles mesures par rapport aux commentaires postés dans le journal électronique. ils sont dorénavant vérifiés avant leur publication .
    Nous ne voulions pas en arriver là mais voilà, parfois les gens confondent entre liberté d’expression et règlement de compte ou haine ou complexe personnel !

    il faut comprendre que la liberté d’expression engage une responsabilité de ses propos, quand on parle d’une personne on ne se moque pas, et on n’agresse pas. on ne mélange pas les personnes et les actes ou les pensées.

    Aussi, quand on veux exprimer son avis sur une affaire on n’a pas besoin de porter des accusations, jugements sans aucun fondement ou preuve !

    Je parle de tout cela ici car je remarque que les mêmes dérives sont entrain d’atteindre le forum.

    C’est pour cela que je demande à tout le monde de se respecter et de respecter autrui.
    Soyons plus mures et plus responsables, et quand on souhaite apporter des jugements ou des critiques … il faut d’abord s’informer et etre sure de ce qu’on avance.

    Je ne dis pas que la critique n’est pas bonne, mais critiquer tout et n’importe quoi deviens ridicule.

    Un peu de respect et tolérance ne fera de mal à personne.

    #212467

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Anonymous
    Membre

    بسم الله الرحمـان الرحيم
    Mr Mokhtar Bonjour avant tout et Omrak Touila comme on dit en Arabe car on a, Mr KADDOURI Elhoussine et moi, parlé de toi aujourdh’hui vers 13 heures quand il m’a rendu visite. Je lui dit, j’ai laissé tomber Mr Mokhtar ces derniers temps.
    J’ai du m’absenter ces derniers moments car j’étais occupé de l’Organisation d’un Congrès qui me prenait tout mon temps et même après coup je suis tellement fourbu que je ne pouvais me brancher longtemps à Internet.
    J’ai dit à Mr KADDOURI que Mokhtar a beaucoup de choses à dire mais que je ne pouvais le suivre à son rhytme et qu’au moins il a assez d’informations intéressantes à nous apporter. mais on aura tout le temps d’en parler.
    Quand Mr BOUFERRA a voulu connaître ses origines et les origines de Sidi Ali Bouchnafa, on a essayé de lui répondre et d’ouvrir les débats pour l’aider et aider tout une partie de notre jeunesse se trouvant au Pays (surout l’Oriental) et à l’Etranger à se retrouver car après tout ils ne sont pas venus de Nulle Part.
    Je proposerai au Responsables du site de me laisser ouvrir Deux Forums : le 1er consacré aux Populations de l’Oriental et le 2ème aux Idrissides de l’Oriental.
    La personne qui a posé une question sur « Oulad Amar » et s’adressant de l’Irlande a bien fait en s’interposant entre les deux personnes qui veulent nous parler de « être ou ne pas être » pour tout simplement polémiquer. Nous ne sommes pas ici pour parler de « To be or Not to be » à la Shakespeare et arriver à lire ou à dire des choses qui peuvent être désobligeantes et cela à titre gratuit; je pense que toute personne a le droit d’intervenir pour nous apporter des choses intéressentes et qui nous fournira surement des informations qui peuvent répondre à de nombreuses questions que se posent les uns et les autres.
    عن أبي هريرة عن النبي صلعم قال « من كان يؤمن باله و اليوم الآخر فليقل خيرا أو ليصمت » متفق عليه
    La Direction du Site n’a pas eu tord à proposer des censures car il faut respecter el les autres et la qualité des Débats.
    Cordialement votre

    #201516
    fadi
    Membre

    ça commence les bonnes nouvelles, jeunes oujdis, futurs medecins de l’oriental, estimez vous heureux 😉

    Une faculté de médecine pour Oujda, c’est désormais une réalité. Les travaux sont entamés depuis deux mois et l’ouverture de la structure intégrée au campus universitaire est prévue pour la rentrée 2007-2008.
    Avec une capacité d’accueil de 150 étudiants à son ouverture, ce nouveau noyau universitaire pourrait recevoir 1069 étudiants en régime de croisière. A cet effet, plus de 200 enseignants et 180 cadres administratifs et techniques seront engagés.
    Edifié sur une superficie de 5 hectares, ce nouvel établissement universitaire compte un amphithéâtre, des salles de cours et de recherches ainsi que des salles de travaux pratiques et un laboratoire. Un pavillon administratif, une bibliothèque et un centre de formation médicale ainsi qu’une infrastructure sportive sont aussi programmés. De nombreux espaces verts embelliront ces édifices.
    Cette faculté de médecine, ambition de toute une région, intervient à un moment où le secteur sanitaire de l’Oriental est en plein développement après la réalisation du projet d’appui à la gestion du secteur de la santé (PAGSS). Projet qui contribuera à la décentralisation de la formation dans le domaine de la santé et à l’amélioration des services sanitaires. La création d’un CHU est également prévue (http://www.leconomiste.com).
    Cette nouvelle faculté devrait aussi inciter les résponsables à améliorer le plateau technique des centres hospitaliers de la région récemment réaménagés.
    Le projet a nécessité un montant global de 175 millions de DH dont 90 millions serviront à son équipement.

    #201514
    Iznassen
    Membre

    L’émission Studio 2M mais tout simplement la chaine 2M ne fait pas parti de mes télés préférées. Je poste cet article juste pour mettre en exergue le comportement des deux boites « magiques » marocaines vis-àvis de la culture Amazighe. Une culture qu’elles réservent qu’au folklore pour accueillir les touristes européens où leur faire apprécier la cuisine amazighe « couscous », « tajine », « thé à la menthe »….etc

    A. Bouzandag : ma mésaventure avec Studio 2M

    Lahsen Oulhadj

    Une télévision qui fait dans le racisme et l’exclusion, il n’y a plus que les crédules que cela étonne. Quoique nos officiels n’arrêtent pas de ressasser que, enfin, l’amazighité, dans ses différentes expressions, y aura de droit de cité, il faut dire que ce n’est pas le cas. Toujours ce terrible hiatus entre le discours et la réalité, pourrait-on dire.

    Abdellah Bouzandag chanteur du groupe Tafsut Music Band l’a vécu, à ses dépens. Sans se faire d’illusions, il a voulu, comme tous les jeunes du pays, participer à l’émission Studio 2M. C’est son droit le plus absolu. Mais manque de bol, il chante en tamazight. Ce que, comme vous pouvez l’imaginer, est loin d’être du goût des responsables de l’émission. Cela peut même être rédhibitoire, une véritable tare. Il nous raconte sa mésaventure en ces termes.

    « Le 12 juin dernier, je me pointe au lieu de la compétition. En voulant compléter le formulaire http://www.2m.tv/studio2m2006/st2006.pdf , j’ai été surpris d’avoir juste deux choix : chanson arabe ou chanson occidentale. Même pas marocaine ! Il faut le croire. J’ai donc décidé de ne pas cocher ni l’une ni l’autre. Lors de l’entretien, on m’a bien évidemment demandé dans quel genre je veux chanter. Ma réponse a été claire et nette : la chanson amazighe. Les responsables n’en revenaient tout simplement pas. Comme si j’ai commis un crime. Avec leurs mines complètement défaites, ils ont marqué la chanson arabe, malgré mes protestations. »

    « Lors du premier tour, continue-t-il, j’ai interprété ‘’a vava inu va’’, a capella. Et même si je n’en croyais pas mes yeux, j’ai été sélectionné. Au tour suivant, j’ai été interviewé par un de leurs journalistes qui a voulu savoir pour quelle raison je chante en  »chlha ». Incroyable, absurde, n’est-ce pas ? Réponse du berger à la bergère, je lui ai fait toute une réplique, mais en tamazight. Je ne sais pas si cela va être diffusé, mais en tous cas tout a été filmé. Toujours est-il que ce jour-là, pour certainement me froisser, j’ai été le dernier à passer. Le jury était composé entre autres d’Anas Tadili et du chanteur Malek. Je ne sais pas si c’est vraiment sincère, mais celui-ci s’est montré très enthousiaste et a joué toute une partition sur la qualité des participations. Il a même commencé son intervention par un « azul » bien perceptible.»

    « A la fin, conclut A. Bouzandag, et comme je m’y attendais un peu, le résultat était ainsi : huit personnes ont été sélectionnées pour la chanson arabe ( à Agadir, une ville prétendument amazighe !!) et deux pour la chanson occidentale. Je ne figurais pas naturellement parmi elles, car j’ai été tout simplement écarté. Ce que je n’ai pas accepté. J’ai donc voulu protester auprès du jury, mais on ne m’a pas laissé faire. L’un des responsables de l’émission, ayant remarqué mon sentiment d’injustice, m’a avoué qu’en tous les cas je ne pouvais pas passer au 3ème tour parce aucune musique amazighe n’y est programmée. Car, semble-t-il, la liste des chansons à interpréter par les candidats a été déjà bouclée. Aussi surprenant que celui puisse être, ce sont les responsables de l’émission qui décident de tout et effectivement- c’est le cas de le dire- ils ont décidé encore une fois d’exclure la chanson amazighe sur une télévision financée avec l’argent des Amazighs. »

    Groupe Tafsut (printemps) : http://www.tafsut.fr.tc/

    Iznassen
    Membre

    Bloqués depuis peu dans la région de Berkane, les harragas subsahariens survivent grâce à l’aide des habitants. Les rapports entre les deux populations sont particulièrement cordiaux, malgré quelques petits heurts et malentendus quotidiens.

    Arrivé du Cameroun, après un périple à travers le Niger et l’Algérie, Youssef est venu tenter de forcer la lucarne de l’Europe : Melilia. Mais, depuis la destruction du camp de Subsahariens de Gourougou en février 2005, près du préside espagnol, il s’est replié comme beaucoup de ses compagnons d’infortune dans les bois près de Berkane. Refoulé régulièrement à la frontière algérienne par les autorités marocaines, réexpédié illico presto à la frontière marocaine par les autorités algériennes, Youssef se pensait simplement en transit à Berkane. Il y est depuis sept mois, en escale permanente. “Les seuls contacts que nous avions avec la population locale, c’étaient les gendarmes ou des paysans qui nous donnaient à manger quand on retournait tenter notre chance à Melilia”.

    Berkani d’adoption
    Depuis, Youssef est devenu Berkani malgré lui, il descend régulièrement en ville pour mendier et préfère attendre le moment propice pour y tenter de nouveau sa chance car le climat y est plus tolérant : “A Berkane, aucun commerçant ne refuse de nous servir contrairement à Nador” raconte-t-il. Dans ce refus, entrent pour une bonne part les pressions exercées par les autorités sur les commerçants pour qu’ils ne vendent rien aux Subsahariens. Cependant, ces pressions ne semblent pas encore avoir prise à Douar Halouma à quelques kilomètres de Berkane. Sur ce morceau bâti de campagne, sans route goudronnée, où vivent des “immigrés” de Taza et Beni Mellal, Ahmed a appris deux ou trois rudiments d’anglais à force de servir les anglophones d’Afrique noire qui vivent dans un camp, dans la forêt qui surplombe le village en béton.

    Souvent à court d’argent, les Subsahariens survivent aussi grâce à la générosité des villageois. “Ils viennent frapper aux portes des habitants, la nuit, pour qu’on les aide” explique Ahmed. La cohabitation entre les deux communautés se passe sans heurts, même si le commis d’Ahmed s’inquiète de la dernière rumeur qui circule. Un employé de banque aurait été tué par un Subsaharien. “L’homme est tombé dans un canal d’irrigation et s’est noyé”, doit lui expliquer Najib Bachiri, président de l’association Homme et environnement qui assiste les Subsahariens à Berkane. “Il y a de plus en plus de rumeurs de cannibalisme, d’agressions ou de meurtres qui sévissent dans la province de Nador mais elles ne rencontrent pas encore d’écho à Berkane”, estime ce dernier. “Le racisme n’est pas le fait des gens simples et ordinaires dans la région, mais plutôt celui des gens dits ‘cultivés’”, ajoute Najib Bachiri qui a vu une responsable d’association accuser “ces nègres d’avoir mangé les singes de la forêt” (sic). “Depuis que nous sommes plus nombreux, le climat a changé”, constate pour sa part Fabrice, un compatriote de Youssef, totalement désenchanté : “Nous n’avons pas le droit de travailler, juste celui de mendier. Les gens ici sont généreux, mais un jour ils en auront marre de donner”, ajoute-t-il. Les Berkanis se sont habitués à rencontrer les Subsahariens, le mardi jour du souk ou le vendredi, jour de la prière. “A Oujda ou Nador je suis obligé de donner un prénom musulman pour bénéficier de l’aumône. A Berkane, ce n’est pas utile”, explique Fabrice. “Les gens, pour ne pas avoir d’ennui avec les autorités, ne les emploient plus. Alors qu’il y a quelques années, beaucoup travaillaient dans les champs autour de Berkane et les chantiers de construction pour payer leur voyage” raconte Najib Charafi.

    Des commerçants solidaires
    John, un Libérien de 20 ans qui fréquente un camp près de Fezouane, un petit village à une dizaine de kilomètres de Berkane, est l’un des rares à avoir trouvé un emploi dans un hôtel du village. De courte durée : deux jours alors qu’il est au Maroc depuis cinq ans. Descendu au village pour trouver à manger, il attend un compatriote parti en ville : “Il a emprunté une mobylette à un habitant du village”. L’un de leurs points de chute est le snack Chouaïb où le patron est connu pour servir des sandwichs gratuitement. Mais aussi la boulangerie Essalam où Amine a l’habitude de donner une vingtaine de pains aux abir sabil (enfants du voyage, comme il préfère les appeler) qui fréquentent la rue commerçante. “Ils évitent de se regrouper à plus de deux pour ne pas attirer l’attention et font très attention à leur tenue vestimentaire”, raconte Amine. Certains comme Youssef se sont même fait des amis. Ainsi, ce Camerounais est devenu l’avant-centre d’une équipe de quartier de Berkane et fait des merveilles chaque samedi sur le terrain. Chez Fabrice, depuis huit mois à Berkane, l’impression est plus nuancée : “Il arrive que les enfants nous jettent des pierres”, même s’il admet que les rapports avec la majorité de la population de Berkane sont cordiaux comme avec ce coiffeur qui lui coupe gratuitement les cheveux. Certains migrants laissent même en dépôt leur argent liquide chez certains commerçants de confiance pour ne pas se le faire voler S. Youssef et Fabrice attendent la Coupe du monde pour tenter un nouveau passage, comptant sur un relâchement des policiers marocains et espagnols distraits par les matchs de foot. Najib Charafi ne semble pas trop y croire : “La forteresse Europe a décrété que la tolérance n’avait qu’une seule couleur : elle est blonde aux yeux bleus” constate très philosophe ce dernier. En attendant, Berkane, la “noire” en Berbère, découvre la cohabitation avec une nouvelle population bien partie pour rester au Maroc…

    Hassan Hamdani
    Source: TelQuel

    #201508

    Sujet: Les enfants de la misere

    dans le forum Débats
    ahmed
    Membre

    Marrakech : les enfants de la misère envahissent les rues
    LE MONDE | 10.06.06 | 15h00 • Mis à jour le 10.06.06 | 15h00
    MARRAKECH ENVOYÉE SPÉCIALE

    lle a trois mois et boit son biberon toute seule, couchée dans son lit à barreau. On a coincé le flacon entre les pattes d’un ours en peluche posé sur sa poitrine. Comment faire autrement ? Il n’y a dans cet orphelinat, cet après-midi-là, que trois assistantes maternelles pour 72 nourrissons. Les jeunes femmes travaillent dix-huit heures par jour et, malgré leur fatigue, se montrent efficaces et patientes.

    Mouna est l’une des rares petites filles recueillies par cette crèche de la Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, à Marrakech. On compte en moyenne dans l’établissement une fille pour neuf garçons. On n’abandonne pas une petite fille, au Maroc. C’est une denrée précieuse. Une fille, c’est utile et c’est docile. On pourra toujours la faire travailler comme « petite bonne ».

    Les garçons, eux, sont légion. Amine, quatre mois, a été retrouvé en pleine rue, enfermé dans un sac plastique, au bord de l’asphyxie. Fouad, six ans, a été « oublié » par sa mère, il y a six mois, sur la place Jemma El Fna, au milieu des touristes et des charmeurs de serpents. Quant à Soukaïna, deux ans, elle a été vendue à deux reprises par sa mère, pour 500 dirhams (50 euros).

    Au Maroc, les enfants de la misère ne se comptent plus. Le pouvoir est conscient du problème. Il a décrété le 12 juin « journée nationale de lutte contre le travail des enfants ». Mais par quel bout aborder un dossier aussi vaste ? Enfants non scolarisés. Enfants « sniffeurs » de colle. Enfants exploités sexuellement…

    Combien sont-ils à travailler, entre sept et quinze ans ? Il est difficile de le savoir, 90 % des petits marocains entrent dans le cycle primaire, mais plus de la moitié abandonnent l’école avant le secondaire. Environ 600 000 jeunes de moins de 18 ans sont hors du système scolaire (sur une population de 30 millions). Les uns atterrissent dans la rue ou dans des ateliers d’artisanat, les autres dans des familles bourgeoises, comme petites domestiques.

    A Marrakech, – première destination touristique du Maroc – on parle davantage du problème des enfants dans la rue que des enfants des rues. Ici, à l’inverse de Casablanca, les jeunes en situation précaire disposent, la plupart du temps, d’un semblant de famille – une mère célibataire et analphabète le plus souvent – et d’un toit. Mais, à l’exode rural, au chômage, à l’éclatement familial en augmentation vertigineuse, s’ajoutent les problèmes liés au tourisme. La mendicité est le premier d’entre eux, bien plus que la pédérastie, dénoncée par les médias.

    En ce début de matinée, les touristes sont rares sur la place Jemma El Fna. Les enfants-mendiants aussi. Ils n’arriveront que vers 14 heures, après avoir dormi. Tandis que leurs mères dessineront des arabesques au henné sur la paume des passantes, ils vendront des Kleenex, des sacs plastiques, ou se contenteront de tendre la main. Quand ils iront se coucher, vers minuit, ils auront récolté quelque 200 dirhams, soit 6 000 dirhams mensuels, alors que le smic est à 2 000 dirhams.

    « C’est dur, dans ces conditions, de convaincre les mères d’envoyer leurs enfants à l’école. Elles me disent toutes : « mais avec quoi vais-je les nourrir s’ils cessent de me rapporter de l’argent ? L’urgence, ce n’est pas de mettre mon fils à l’école, c’est de me trouver un travail ! » », raconte Karima M’kika, jeune fondatrice et directrice d’Al Karam, association qui se consacre aux enfants en détresse.

    Pour comprendre le problème des enfants au travail, il faut « dépasser les clichés que l’on a en Occident », souligne Fouad Chafiqi, universitaire spécialiste des sciences de l’éducation et consultant de l’Unicef. Beaucoup de ruraux voient « comme une bénédiction », explique-t-il, le fait que leurs fils et filles soient engagés comme apprentis ou « petites bonnes » peu après leur arrivée à Marrakech. De leur côté, les employeurs ne sont pas loin de penser qu’ils « font le bien » en sauvant ces enfants du vagabondage.

    Au fin fond de la médina, du côté du souk des tanneurs, Khalid, jeune éducateur de rue employé par Al Karam, semble découragé. « La sensibilisation et l’éducation ne suffisent pas. La vraie solution est économique. Il faudrait des programmes de réinsertion sociale », soupire-t-il. Khalid s’inquiète d’un phénomène en plein essor : « les parents fugueurs ». De plus en plus de mères viennent lui dire : « Je n’en peux plus. Débrouillez-vous avec mes enfants, moi, je renonce ! » Et elles partent pour une autre ville.

    Soumis aux pressions internationales pour réduire les dépenses publiques, le pouvoir marocain semble hésiter sur la conduite à tenir. On lui reproche souvent de privilégier les apparences. Les initiatives, il est vrai, ne manquent pas : coup d’envoi, en juin 2005, d’un ambitieux programme, « Le Maroc digne de ses enfants » ; préparation d’une loi réglementant le travail domestique ; signature, le 6 mai, d’un accord de partenariat entre l’Unicef et la willaya de Marrakech, etc.

    Sur le terrain, se plaignent de ne pas obtenir de budget dès qu’elles s’écartent du « spectaculaire ». « Un « généreux donateur » est venu proposé un centre exclusivement consacré aux enfants abusés sexuellement !, raconte, d’un air las, la responsable d’une association d’aide à l’enfance. Nous manquons d’éducateurs et de travailleurs sociaux. Personne ne veut prendre en charge leurs salaires. Or nos urgences sont là, dans l’invisible. »

    Florence Beaugé
    Article paru dans l’édition du 11.06.06

    Alain
    Membre

    ANALYSE DES BESOINS

    Le créateur d’association (ou de société) a toujours une idée derrière la tête, même si cette idée n’est pas totalement définie et aboutie.
    A ce stade, on peut dire qu’il a une INTUITION.
    Il pense que….on lui a dit que…. Il croit que…. Il entendu dire que…. Et notre créateur se met à y penser de plus en plus fort, de plus en plus souvent. Il en parle autour de lui, il demande des avis, des conseils…. en fait, il commence à faire une étude de besoin.

    Cette étude a pour but de valider l’intuition de départ.

    Valider = (vérification que le projet est réaliste et qu’il y a cohérence entre le porteur et les caractéristiques et contraintes de ce projet)

    Elle peut confirmer, affiner ou infirmer ce que l’on pansait avant la réalisation de cette étude

    Par commodité et pour ceux qui souhaite créer une société, on parlera d’étude de marché

    L’appellation « étude de marché » peut intimider le créateur qui peut avoir peur d’être incompétent pour cet exercice. En fait, même s’il y a un peu de technique, une étude de marché reste avant tout une affaire de bon sens.
    Sans avoir des notions très pointues en marketing, il va falloir (au risque sinon de ne pas vendre plus tard suffisamment et de déposer son bilan) se poser les questions suivantes et mettre en regard une démarche permettant de trouver et de justifier sérieusement, à chaque fois, la réponse :

    QUOI ? et POURQUOI ?
    Qu’est-ce que l’on va vendre ?
    Pourquoi cela précisément et pas autre chose ? Comment être sûr de ce que l’on avance ?
    Pas d’affirmation sans justification

    A QUI ?
    Quels clients ?
    Pourquoi ceux-là? Qu’est-ce qui permet concrètement d’affirmer cela ?

    COMMENT ?
    Quel mode de fonctionnement et de vente ?
    Pourquoi de cette façon et pas d’une autre ? Qu’est-ce qui permet de justifier cela ?

    COMBIEN ?
    Quel niveau prévisionnel de ventes ?
    Qu’est-ce qui permet d’avancer un tel chiffre d’affaires prévisionnel ?
    Qu’est-ce qui permet de prouver qu’il est réaliste et sera atteint ?

    OU ?
    A quel endroit ?
    implantation, emplacement
    Comment justifier que cet endroit est le bon, en particulier dans le cas d’une clientèle localisée ?

    A toutes ces questions qui sont évidentes, il convient de trouver, grâce en grande partie au bon sens appliqué sur le terrain, des réponses pertinentes qui soient étayées par des recherches documentaires, des observations, des constatations, des investigations et des avis de personnes neutres ayant les compétences nécessaires sur le sujet qui leur est posé.

    OBJECTIFS DE L’ETUDE DE MARCHE
    • vérifier que les clients escomptés existent réellement (qu’il y a des besoins identifiés à satisfaire, qu’actuellement ces besoins ne sont pas ou mal satisfaits, que ces futurs clients sont suffisamment nombreux, que l’on peut les atteindre sans difficulté et qu’ils ont un pouvoir d’achat suffisant),
    • mesurer les potentialités de cette demande (futurs clients) en hypothèse de chiffre d’affaires tant en montant qu’en délai de réalisation,
    • définir avec précision le produit (ou gamme de produits) ou le service proposé (prestations),
    • fixer le prix du produit ou service (ou type de gamme des articles proposés),
    • choisir les moyens les plus performants pour réaliser le chiffre d’affaires : mode de vente, techniques commerciales appropriées, communication, distribution.

    PRINCIPES DE L’ETUDE DE MARCHE

    Dans de nombreux cas, il est possible de réaliser soi-même l’étude.

    Même en la confiant à un tiers, par exemple à une Junior Entreprise (association d’étudiants des grandes écoles de commerce) qui pratique des prix attractifs ou à des professionnels du marketing, il faut obligatoirement y participer pour être en prise avec l’information de terrain : c’est capital.

    Mener la démarche pas à pas avec objectivité, prudence et …pessimisme !

    Rencontrer des clients potentiels chaque fois que cela est possible.

    Montrer à des futurs clients ce que l’on souhaite vendre (quand c’est possible : prototype, maquette, produit réalisé, plaquette illustrée présentant ses prestations, etc..) : attention de ne pas oublier de protéger son idée, si besoin.

    Rester critique sur les informations disponibles qui peuvent être à une échelle trop grande et donc pas pertinentes pour un projet de taille modeste ou trop générales par rapport à une spécialité.

    Vérifier toujours la « fraîcheur » des informations recueillies.

    Recouper plusieurs sources d’informations sur le même sujet.

    Actualiser en permanence les connaissances du marché visé.

    Rencontrer le plus possible de personnes ayant des connaissances précieuses par rapport au projet (en ayant préparé les bonnes questions) : responsable d’organisme professionnel, assistant technique de la Chambre de Commerce, ou de la Chambre de Métiers, ou de la Chambre d’Agriculture, autres experts (dans les services économiques de Collectivités Territoriales, futurs fournisseurs, concurrents, etc.).

    Conduire une approche macro-économique de l’activité envisagée : statistiques nationales, tendance globale du marché, etc.

    Associations ou sociétés commerciales, les raisonnements restent les mêmes. Seules les finalités changent.

    (à suivre)

    Iznassen
    Membre

    Privés de Mondial, les Algériens au bord de la dépression collective

    ALGER (AP) – Les Algériens, passionnés de football, sont au bord de la dépression collective à l’idée de ne pas pouvoir suivre la Coupe du monde de football sur le petit écran.

    Et, pour cause, les chaînes de télévision françaises diffusées sur le bouquet TPS sont désormais cryptées. Et ils ne peuvent donc plus les regarder.

    « Ce sont des criminels, ils ont attendu la Coupe du monde pour verrouiller les TPS », se révolte Djamal Laskri, 28 ans, chômeur de longue durée, rencontré au quartier populaire de Bab El Oued.

    Grosse désillusion aussi pour son copain Adel Acherir qui pensait « s’arracher » aux tourments de son quotidien, le temps d’une Coupe du monde (9 juin-9 juillet). « C’est vraiment frustrant, je pensais passer un mois tranquille devant la télé à suivre les exploits de Zidane, Ronaldhino, Chevtchenko », lâche-t-il sur un ton triste. Il a encore un ultime espoir: que les « hackers » puissent trouver le code qui permet de déverrouiller les TPS.

    Comble de désespoir, même les chaînes satellitaires arabes ne diffuseront pas les matchs de la Coupe du monde, l’exclusivité étant acquise par le milliardaire saoudien Cheikh Salah Abdellah Kamal, propriétaire d’ART (Arab Radio and Television).

    Et, pour voir les matchs sur ART, les Algériens doivent acheter une carte qui coûte l’équivalent de 100 dollars. Autant dire une fortune, surtout pour les jeunes, en proie au chômage.

    « Pourquoi il nous prive de Coupe du monde, pourtant c’est un musulman et c’est un milliardaire », se lamente de son côté Farid Ait Lamara, tenancier d’une Pizzeria à la rue Didouche à Alger, qui ne croit désormais plus à la « solidarité » entre bons musulmans.

    Face au verrouillage, les regards se braquent en effet sur les « hackers » qui deviennent par la force des choses des acteurs clés. Eux-mêmes, qui ont jusque-là réussi à « craquer les codes », s’avouent vaincus devant le nouveau système de verrouillage.

    « Si TPS a changé de système, le bouquet ne pourra plus être piraté, même pas pour dix minutes. Regardez ce qui s’est passé avec Canal-Plus, c’est l’écran noir dès qu’il sont passés au mode anti-piratage et cela dure depuis deux ans », commente Nazim Adli, ingénieur informaticien, qui tient un magasin de matériel informatique sur les hauteurs d’Alger, qui s’est fait aussi une spécialité dans « le flashage de démodulateurs numérique ».

    Merzak Abedelkamal, journaliste sportif, porte ses espoirs sur les chaînes allemandes. « Elles vont passer les matches, j’ai vérifié les programmes. Vendredi, c’est la ZDF qui diffusera le match d’ouverture Allemagne/Costa Rica », assure t-il devant ses camarades de rédaction, la mine enthousiaste.

    Souhila Demri, étudiante en architecture, refuse de croire que TF1, qui est diffusé sur l’analogique, puisse être cryptée. « C’est une chaîne généraliste de service public, elle ne peut pas être cryptée ».

    Pourtant, le directeur de l’information de TF1, Charles Villeneuve, est on ne peut plus clair là dessus: « les matches sur l’analogique seront cryptés », a-t-il déclaré à « Liberté ».

    Le problème prend aujourd’hui l’allure d’une affaire d’Etat en Algérie et les politiques s’en mêlent. Le Premier ministre Abdelaziz Belkhadem a dépêché lundi son ministre de la communication et le directeur de la télévision au Caire, où se tient la réunion des responsables de la télévision arabes.

    Objectif: convaincre le milliardaire saoudien Cheikh Salah Abdellah Kamal de rétrocéder les droits de diffusion des matches à l’Algérie. « Nous avons soumis, face à l’obstination de la partie détentrice des droits de retransmission, plusieurs propositions et nous attendons une réponse », a indiqué mardi Haraoui Habib Chawki, le directeur de la télévision algérienne, qui s’est dit prêt pour « des négociations liées à l’aspect financier en cas d’accord de principe de la part du groupe.

    En attendant l’issue de ces négociations de dernière minute, certains ont déjà pris les devants. Des gérants de cafés ont déjà acquis des cartes TPS pour l’équivalent de 420 dollars ou des cartes ART pour 100 dollars pour des diffusions de matches collectives. AP

    Ali
    Membre

    slt tt le monde sa me fait un grand plaisir de lire vous avis .
    je pense monsieur alain et tout a fait claire .

    et monsieur taourirti il s’est meme pas de quoi je parlle?
    s’est pas evident de convincre des investisseur d’investire a oujda.
    faut avoir une bonne formation pour sa

    c seulement pour etre claire :

    L’association espoire oujda : c’est une association pour but de faire venir des invesstisseur etranger au maroc .
    au titre de Développeur économique, qui correspond aux nouvelles réalités et de s’ajuster à la diversité des fonctions attribuées aux différents acteurs.

    Le paysage économique des régions d’oujda, y compris celui de la Métropole, s’est grandement transformé au fil des ans. La présence de professionnels de plus en plus expérimentés et aguerris aux réalités quotidiennes de l’économie, sur le terrain, n’y est pas étrangère. À l’aube du XXIe siècle, dans le contexte de mondialisation et de globalisation, dans la perspective de la nouvelle économie du savoir et de la diversification économique des régions ressources, notamment, la region oriental se doit de posséder de solides réseaux de professionnels en développement économique. Ce réseau doit être basé sur un partenariat efficace entre les organisations, une synergie de connaissances et de compétences et une qualité de services offerts, y compris une formation supérieure.On a alors opté pour la convergence des compétences et des professionnels en développement économique.
    Au cours de ses mois, ce sont ces valeurs et ces notions qui ont prévalu à la création de l’AEO (associaton espoir oujda). On a alors opté pour la convergence des compétences et des professionnels en développement économique. Voilà donc la réunion de ses forces vives et avec une fusion des responsable de notre region qui permettra dorénavant d’assumer un véritable leadership en matière de soutien au développement local et régional et d’atteindre une reconnaissance de la profession dans tous les milieux, Avec la création des Centres locaux de développement a l’etrangers pour connaitre notre region la bien aimée L’AEO a choisi de relever le défi du développement économique et de devenir la ressource principale en matière de formation des professionnels oeuvrant dans ces organisations.
    et pour eclaircir notre association est pour tout le monde on est contre la marginalisation .
    c’est pour le bien de notre region

    #201482
    Iznassen
    Membre

    La demande d’un visa Schengen relève du parcours du combattant. Queues interminables, nuits blanches et stress sont le calvaire pour les personnes désirant se rendre en Europe. Pour en finir avec ces situations «humiliantes», les services consulaires innovent. Après l’Espagne (cf. -www.leconomiste.com), c’est au tour de la France de mettre en place une nouvelle organisation du service des visas.
    Désormais, il faudra passer par l’internet -histoire d’être à la page- pour effectuer sa demande. Ainsi, il faudra prendre rendez-vous via le site web du consulat -www.consulfrance-ma.org.

    Le nouveau système concerne les demandes de visas touristiques dont les candidatures constituent environ 60% des dossiers présentés au consulat. En clair, les intéressés devront choisir sur le site Internet une date de rendez-vous parmi celles proposées. Mais attention! Le visa pour la France n’est plus une affaire de deux jours. La demande doit être faite longtemps à l’avance. Gilles Bienvenu, consul général, explique qu’il s’agit de «rompre avec cette habitude de dépôt de dossier au dernier moment». Avec le risque d’un dossier traité «à la va-vite» et refusé pour «mauvaise évaluation». La procédure d’obtention de visa a été repensée en préparation à la saison estivale où le nombre de demandes passe du simple au double, soit environ 400 candidatures quotidiennes à 800. Un rush qui se répercute par des files d’attente sans fin.

    La nouvelle formule de rendez-vous devrait être opérationnelle dès la fin du mois de juin. Sa mise en place n’attend que l’installation du logiciel de gestion électronique.

    La question se pose cependant quant à l’adaptabilité d’un tel système à la population marocaine. Celle-ci connaît toujours une faible connectivité et des connaissances en informatique encore réduites. Mais pour les responsables français, «il n’est plus question de recevoir des gens comme cela». Ils expliquent que des solutions spécifiques pourront être trouvées pour des cas particuliers.
    A signaler que certaines catégories de dossiers continueront à bénéficier de traitement de faveur et de procédure facilitée. Il s’agit notamment des chefs d’entreprises, des membres d’organismes rattachés à la Chambre de commerce ainsi que les candidatures à l’obtention de visas long séjour, pour études notamment.

    Pour le moment, la présence physique n’est pas exigée notamment pour les personnes représentées par un courtier dûment habilité, pour les voyages de groupes ou pour les demandes familiales.
    Cela risque de changer avec l’instauration prochaine des visas biométriques dans tous les consulats des Etats de l’espace Schengen.

    De 35 à 60 euros

    L’automne prochain sera chaud avec la flambée des tarifs des visas Schengen. De 35 euros (385 DH) à 60 euros (660 DH). L’augmentation est justifiée par l’instauration prochaine des visas biométriques dont la réalisation nécessite des équipements et outils de travail plus coûteux.
    La mesure concerne tous les pays de l’ensemble Schengen et devait entrer en vigueur dès cet été.

    L’échéance a aujourd’hui été repoussée au début de l’année 2007.
    Parmi les majeures conséquences de ce changement, la nécessité de la présence physique du postulant qui devra déposer ses empreintes digitales (comme pour les visas US). Des mesures encore plus compliquées qui porteront peut-être à la hausse le taux de refus des visas déjà assez important. Au consulat français, il est de 38% environ.

    Ichrak Moubsit
    Source : L’Economiste

    communiqué arabe

    #213328

    En réponse à : Un Maroc Laïc ..

    Alain
    Membre

    Bonjour à tous

    La laïcté, c’est comme la démocratie, ce n’est pas l’idéal, mais c’est ce qu’il y a de moins pire.

    Les religions ont tout a gagner de la laïcité et rien à perdre.
    Dans un système laïque, il n’y a que l’action de l’Etat qui sera critiqué si l’Etat ne fait pas son boulot.
    Par contre, si il y a confusion des genres, ce sont les 2 institutions qui sont rendues responsables de la situation.

    On peut d’ailleurs constater que le développement religieux se fait pratiquement toujours par opposition au système politique en place.

    Les religions ne perdurent pas parce que l’Etat les soutient, mais se développent si elles apportent des réponses cohérentes aux individus. Il n’y a qu’à observer comment l’église catholique plonge dans les âbimes alors qu’elle est soutnue par l’Etat français.

    Quand à la fonction royale, il n’y a pas contradiction. Le Roi peut très bien continuer à être l’autorité religieuse et en même temps être un roi démocratique qui laisse parler son peuple à travers les élus.

    Paradoxalement, actuellement en Europe les démocraties les plus efficaces sont les royautés démocratiques comme l’Espagne, la Suède, le Dannemarck, et même l’Engleterre (même si son système social est déficient).

    NB : Je reste bien sûr sur le plan théorique en évidant soigneusement de parler des « éventuelles corruptions » qui n’existent que dans la têtes de ceux qui y pensent 😳

    MOHAMMED
    Membre

    Mr ahmed le peuple et bien responsable de sont gouvernement c est le peuple américains qui a élu bosh et c est lui qui la relu même après l invasion de l Iraq et même avec les mensonges que boush a avances les mouvement américains anti guerre en Iraq se sont organise pas parce que il y a des victimes iraquiennes mais c est parce qu les soldats américaines tombent chaque jours.
    On n est pas censé ignore se qui se passe dans le monde quand on est citoyen américains

    #207236

    En réponse à : Bienvenu au forum Oujdacity

    saidi
    Membre

    Bonjour à tous, c’est à travers la lecture de vos interventions sur le site que je me suis posé la question suivante: pourquoi ne pas soumettre un sujet bien précis, le debattre tout en restant dans ce sujet sans s’égarer vers des futilités qu’on doit laisser pour les gens qui ont envie de de fantasmer dans ce sens: par exemple, pour être concret, prenons un sujet, etudions le à fond avec des arguments solides et credibles et essayer de le terminer dans la mesure du possible ne fut-ce que arriver à ce qu’il arrive aux oreilles des responsables pour leur demander enfin de nous repondre en les interpellant d’une manière sérieuse: pour celà, je vous propose un premier sujet ( il en existe beaucoup d’autres) le prix du voyage , les conditions et le sérieux qui entoure ces voyages que beaucoup de marocains residant à l’étranger souhaitent réaliser et qui éprouvent beaucoup de difficultés: je vais ouvrir le débat si vous le permettez:
    1. pourquoi le prix d’un vol par avion que ce soit de bruxelles de paris ou d’amsterdam pour ne pas citer les canadiens et les residants aux etats unis qui veulent debarquer à Oujda reste un calvaire economique pour beaucoup? la parole est à vous, amitiés et à bientôt j’espère
    saidi

    #212839

    En réponse à : 1er mai à la couleur amazighe

    Iznassen
    Membre

    MOUVEMENT CULTUREL AMAZIGH – Imteghren(errachidiya) 01 Mai 2006

    A l’occasion de la journée internationale du travail le 1 mai 2006,une marche grandiose du Mouvement Culturel Amazigh, militant, autonome et indépendant a sillonné les rues de la ville d’Imteghren (Errachidia SUD-EST du Maroc) pendant plus de 2 heures(de 16 a 18h30).

    Les manifestants et les manifestantes ont scandé des slogans qui réclament l’officialisation de la langue tamazight, tels « tamazight nationale, elle sera officielle ». Bien qu’encerclés par un arsenal important des forces d’oppression, les jeunes amazighs du SUD-EST fustigent le pouvoir marocain et l’accusent d’avoir été responsable des malheurs qui frappent la société amazighe.

    Les marcheurs ont également dénoncé l’institut royale pour l’amazighité car cette institution étatique vise à asphyxier l’action du vrai Mouvement Amazigh qui est par essence autonome, démocratique et militant, qui voit la vie de Tamazight et son développement en dehors de l’arabo-islamisme « IRCAM makhzenien est récupération et déshonneur ».

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