Résultats de la recherche sur 'recherche famille'

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15 réponses de 76 à 90 (sur un total de 146)
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  • #205705
    Moonlight
    Membre

    Je remaraque qu il ya une touche speciale dans ce forum , que j ai jamais vu ailleurs.

    la participation des membres, de differentes generations, tt en partageant le meme esprit.

    La diversite des opinions que ca soit politiques, culturels… tt en gardant le grand respect.

    Le grand amour pour Oujda lahbiba ,

    w une autre chose c est que meme les nouveaux membres n hesitent pas a s integrer avec nous avant meme de se presenter ou de continuer leur recherche qui peut etre les a menee ici..

    A ce point la nous les oujdis houbala b oujda???? je remarque ca bzaaf. hna wjada on a wahd l attachment kbir pour cette ville . on en est fier a un point z3maa man3reft w safi ,

    had shi li sheft f oujda city , si n importe qui, que ca soit ancien membre ou nouveau , demande conseil ou livre ou n importe quel aide, tel9aa jou9a , tt l monde veut aider wakha ri b des mots…

    l7assoul Allah yaa3tikom sa7aa. oujdacity reste number 1 … serieux wllah jamais cheft shi forum bhal hada , wakha kayn des forums tel9a fihom le3jaab . mais hada fih haja plus importante…le sens de famille…w concret mashi virtuel….

    Big Thanks to Alae PDT_Armataz_02_02

    #205518

    Aucune femme sur terre n’a connu une vie conjugale bienfaisante –comme le signifie cette expression de perfection chez un quiconque être-humain- telle la vie commune avec le Prophète (BP sur lui) qui était une expression vivante du Coran en état, paroles et actes.
    En effet, on rapporte que les mœurs du Prophète avec les femmes n’ont été que bonne société et charme; il cajolait sa famille et les dorlotait, était généreux en dépenses, riait avec eux, jusqu’à faire la course avec `Aïcha, la mère des croyants (A sur elle), dans les prairies, au cours de certains de ses voyages, la courtisant ainsi. Elle disait : « Le Prophète (BP sur lui)- a fait la course avec moi et je l’ai gagnée, ceci avant que je prenne du poids. Et puis, on a refait la course après que j’eus pris du poids et il l’a remportée. Et il m’a dit : «On est quittes». » (Rapporté par Al-Hâfedh Ibn Katîr, qu’Allah ait son âme)

    Il est à noter que le Prophète (BP sur lui) a défini le degré de probité des hommes selon leur comportement et leur société avec les femmes, nous disant : « Le meilleur d’entre vous est le meilleur avec ses proches, et je suis le meilleur avec mes proches. » (Rapporté par At-Tirmidhî). Et cela parce que la superficialité et les apparences des bonnes mœurs s’étiolent quand l’homme sent qu’il a le pouvoir et l’influence, et faiblissent encore plus quand dure sa cohabitation avec celui sur lequel il exerce un pouvoir. C’est pourquoi, si l’être-humain conserve son bon caractère et ses principes dans une société qui a une certaine influence sur lui, dans laquelle il cohabite à long terme et entretient des relations morales et matérielles, alors cet être-humain fait preuve des meilleures mœurs.

    Et comme le Prophète (BP sur lui) était le meilleur vis-à-vis des siens, alors sa relation avec eux devrait être absolument parfaite, en ce qu’elle signifie de bonnes mœurs, de bonnes relations morales et comportementales, notamment aimer ses proches et les gâter, être juste et clément avec eux, et tous les autres aspects de la vie conjugale, dans tous ses états de tous les jours. C’est ce qu’ont montré les livres du Hadith, des Chamâ’él (vertus) et de la Sira, et qu’a transcrit la Sunnah au travers des innombrables hadiths se rapportant au comportement du Prophète (BP sur lui) avec les femmes et comment il les traitait.

    A- Anas Ibn Malik (A sur lui) illustre l’amour du Prophète (BP sur lui) pour ses épouses, disant :
    1- « Le Prophète (BP sur lui) a dit : « Parmi les choses de la vie terrestre que j’aime, il y a les femmes et les parfums, et la prière est ma consolation. » (Rapporté par Ahmad et d’autres)
    2- `Amr Ibn Al-`Âs (A sur lui) lui demanda : « O Messager d’Allah, qui est le plus cher à ton cœur? Le Prophète répondit : “`Aïcha!” “Et Parmi les hommes?” demanda `Amr. –“Son père. » (Rapporté par At-Tirmidhî)
    B- Quant à ses belles façons aves ses familles et comment il les dorlotait, `Aïcha nous en parle, racontant :
    1- « J’étais en train de jouer avec mes poupées », dit-elle, « avec les filles qui étaient mes amies ; le Prophète (BP sur lui) entra et celles-ci se sauvèrent hors de la maison. Il sortit les rechercher et les ramena. » (Al Boukhâri)
    2- Et elle dit aussi : « Le Prophète Mohammad (BP sur lui) m’avait laissée regarder, dissimulée derrière lui, des jeunes Abyssins qui étaient en train de s’exercer et jouer dans la cour de la mosquée.” Omar (A sur lui) les admonesta mais le Prophète (BP sur lui) lui dit alors : Laisse-les donc! Demeurez en paix les Bani Arfida. » (Al-Boukhari)
    Et dans un autre récit, elle dit : « J’ai vu le Prophète (BP sur lui) debout devant ma chambre, alors que les Abyssins jouaient avec leurs lances, dans la mosquée du Prophète, et lui me couvrait avec son mantelet, afin que je puisse voir leurs jeux, et demeurant ainsi jusqu’à ce que je fusse la première à m’en aller. Imaginez donc (combien cela devait durer) avec une toute jeune fille qui aime s’amuser. »

    3- Et nous avons déjà évoqué le hadith de la course du Prophète (BP sur lui) avec `Aïcha (A sur elle) qui rapporte les jeux du Messager d’Allah avec ses épouses, illustrant sa noble âme, sa grâce, sa gentillesse et son affabilité envers elles, confortant ce que nous connaissons de sa bonne société, de sa clémence et de sa miséricorde.
    4- Un autre exemple des hautes mœurs du Prophète est rapporté par `Aïcha (A sur elle) qui dit : « Je buvais alors que j’avais mes menstrues et je donnais à boire au Prophète qui buvait, posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et je mâchais la viande avec de l’os alors que j’avais mes menstrues, puis la donnais au Prophète qui mettait ses lèvres où j’avais mis les miennes. » (Mouslem)
    Et dans un autre récit rapporté par Abou Dawoûd, Aicha dit : « Je mâchais la viande avec de l’os alors que j’avais mes menstrues, puis la donnais au Prophète qui mettait ses lèvres où j’avais mis les miennes et je buvais alors que j’avais mes menstrues et je donnais à boire au Prophète qui buvait, posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. » (Abou Dawoud)

    #264383

    En réponse à : Avis de recherche

    el kabsi
    Membre

    salam alaikoum BASMALA17
    non, je vais pas me facher oui les jradi aime bien rigoler,mais je t’assure que je n’ai aucun ride en ce moment,du sport,et la belle vie de famille
    QU’ ALLAH TE PROTEGE BASMALA 17

    #262628
    kenzou
    Membre

    Bonjour pikasha
    Je vous remercie pour votre réponse.
    S’installer à Saidia est une bonne solution pour vous dans un premier temps en attendant une alternative plus viable, l’essentiel c’est que votre fils ne doit pas se sentir dépaysé, noius les adultes on peut faire des concessions.
    De ma part je vais faire des recherches aussi et je vous en tiendrai informée.
    C’est très courageux de votre part de décider de rentrer, je vous en félicite et j’espére que cette période de transition se passera dans de bonnes conditions pour vous et votre famille incha’llah. Marhba bik fi bladek.
    A bientôt.

    #205101
    houmidi59
    Participant

    Je m’appelle Abdelhamid.Quand j’étais adolescent, nous habitions un quartier très animé.Aussi, j’avais beaucoup d’amis de mon âge.Deux d’entre eux avaient le même prénom que moi.Alors quand quelqu’un disait :Abdelhamid,on lui répondait souvent:quel Abdelhamid ?
    Bien entendu,la réponse était simple;il suffisait de préciser:ABDELHAMID fils de……ou frère de ……;quelques fois ,on ajoutait à cet interpelé un surnom,comme :Abdelhamid le « poulet » ,ou « le gros » .
    Un jour, nous décidâmes de former une équipe de foot-ball.Or dans la dite équipe se trouvait deux « Abdelhamid ».L’entraineur n’était pas content ,car ça ne lui plaisait pas de confondre toujours entre deux personnes pour un seul prénom.Alors,il décida que l’un de nous devait quitter l’équipe .A ce moment là, mon frère cadet qui était à ma recherche,me voyant dans le groupe , m’appela en criant :Houmidi!Houmidi !
    Alors, l’entraîneur me fixa un moment , puis me dit: »le problème est réglé;dorénavant, tu t’appelles Houmidi »
    Les amis qui voulaient à tout prix commencer le match, approuvèrent l’idée.Aussitôt,ils crièrent: »vive Houmidi! »
    Mon frère apporta la nouvelle toute fraîche à mes parents, mes frères et mes sœurs.Bien entendu, en omettant de leur révéler la source de ce pseudonyme.
    Toute la famille accepta mon nouveau prénom à cœur de joie.
    Depuis, ma famille et une grande partie de mes amis ,surtout ceux de mon ancien quartier m’appellent tout simplement Houmidi.
    Si par hasard , vous voyez ce pseudo quelque part , sachez que c’est moi.Croyez moi, vous n’en trouverez pas deux!
    Pour lui donner une consistance et faire de lui un pseudo hors du commun, j’ai dû ajouter 59, ma date de naissance.

    #263781

    En réponse à : Jelloul et les loups

    houmidi59
    Participant

    Le cousin le regarde étonné.Aussi, Jelloul lui explique son plan et les démarches à faire pour le mener à bien.
    En fin de compte, Kebbour trouve l’astuce magnifique quoiqu’elle est un peu audacieuse et invraisemblable .Ainsi, il accepte avec joie d’aider le malade.
    Le lendemain matin, Kebbour part à la recherche de la famille.En suivant les instructions de Jelloul , il commence par l’oncle Bouziane .Ce « gars » ,non seulement il est le plus grand cupide, mais aussi il a toujours le dernier mot avec les autres membres de la famille.
    Cependant, lui même a la trouille devant sa « mégère » .D’ailleurs, il est manipulé par elle comme un ballon entre les pieds de Ronaldiho.(si ce joueur ne vous plait pas , vous êtes libre de mettre un autre qui vous convient).
    Pour cela, il ne lui cache rien de ce qui se passe .Ainsi, le choix de Jelloul n’était pas fait au hasard.
    Kebbour va le voir dans son atelier où il ne travaille que la matinée.Il le trouve entrain de casser la croûte de dix heures :un verre de thé de la veille et « trois » biscuits » .
    Comme le visiteur l’a surpris, il avale aussitôt le contenu du verre d’un trait, et dissimule les gâteau dans sa poche .
    Rassuré, il se retourne vers Kebbour et le salue:
    _ » Bonjour, mon neveu;quel bon vent t’amène! »
    L’interpelé lui répond que c’est plutôt le contraire qui l’a fait venir jusqu’à ici.
    Puis, il le met au courant de l’état de santé de Jelloul et finit par conclure:
    _ » Le pauvre est très mal en point et je ne pense pas qu’il profitera de son « lot » . »
    Surpris, Bouziane s’exclame :
    _ » Quel lot ?Je connais très bien Jelloul et sa vie de chien .Que veux -tu dire par lot ? »
    Kebbour n’attend que la réaction du menuisier pour vider son sac.Il le met donc au parfum des derniers événements :avant de tomber malade, Jelloul a « heurté » le gros lot .Oui, il a gagné à la loterie nationale près de deux cents millions de centimes.
    Cependant, il n’a pas retiré ses gains .Tout simplement, il y a un pépin!

    A suivre…..

    #262880
    imadinho
    Membre

    ok khouya
    je vais faire une petite recherche

    que j’ai constaté ; le film a été accepté au premier lieu pour des causes :

    – l’amitié entre le musulman et le juif
    _ relation de travail
    – et la protection de la famille juive par le pére musulman au cours de l’absence de pére juif.

    ça m’a donné une autre résumé que la fin , je pense que le musulman a bien protégé la famille juive; alors c’est une bonne publicité pour les juifs au monde entier ; pour que les musulmans doivent faire la meme chose .

    c ça ce que je voulais dire

    #262079
    F16
    Membre

    Apparemment tu es tombé sur son charme et a chaque fois tu essaye de lui trouver un prétexte pour te convaincre que c’ est une fille bien. la réponse et dans la première rencontre, rappelle toi, elle t ‘ a mis en garde contre les filles qui font la comédie et qui se présentent comme sérieuses … pour se donner plus de chance pour le mariage.

    En fait elle etait entrain de se parler d’ elle même… tout simplement, elle t’ a mis en garde contre le genre de fille qui a force de rencontrer des mecs , présentent plusieurs profils, …des fois tout a fait contradictoire , prêts à l’ emploi et qui s’ adaptent à la personne en face.
    Par exemple – ce genre de fille- a midi elle a un RDV avec une personne réservée , …pas de problème, elle est capable de parler principe de famille et même faire devant lui la prière et pourquoi pas se présenter avec un habit très reservé ;… la fin de l’ après midi un RDV avec un qui se dit ouvert à la modernité européenne, elle se pressente avec un djine et un tchirt court et avec lambrile en l’ air, …et enfin, le soir un RDV avec un PlayBoy, elle se présente avec une mini-jupe et des cigarettes, une bière à la main, destination les night-club.
    C’ est pour cela que de temps en temps, et avec un manque de concentration, elle ne se contrôle pas et elle s’ exprime avec plus qu’ un profil au même temps : donc un profil contradictoire à son accompagnons, qui surgit, et puis essaye de rectifier à chaque fois. La pertinence de ces réponses pour sortir de ses contradictions, ne montrent pas son intelligence, mais c’ est le reflet de son expérience, …des discours-reponses qui les recherches dans sa base d’ expériences avec tout ce qu’ elle a vécu comme rencontre et discours auparavant
    Au début c’ est un choix de comportement, avec le temps, la personne perd sa personnalité et devient plusieurs personnes au même temps : situation critique , ca devient une sérieuse maladie.

    #256785
    boudir1
    Membre

    BniGuil

    LA CONFEDERATION DES BNIGUIL

    En 1906 les Bni-Guil (partie importante de Bni Maakil) comptaient 3500 tentes 1 . les Bni–Guil sont une société de bon voisinage. Ils établissaient des relations avec les tribus voisines et fréquentaient les marchés lointains au Maroc et d’autres pays voisins. Ils sont connus par leur courage leur hospitalité et offraient la protection aux personnes menacées ou cherchant la notoriété ce qui a permis l’adhésion de plusieurs familles Berbères, Arabes respectant les valeurs de la tribu donnant ainsi la confédération des Bni-Guil. Les travaux de recherches sur les tatouages et de signes des Bni-Guil faites par l’artiste montrent bien le brassage de la culture Arabo-Berbère. Afin de protéger leur immense territoire les BniGuil se subdivisent en deux grands groupes: « Bni-Guil chragua » protégeaient la partie Est du territoire contre les invasions des tribus étrangères et « Bni-Guil lghraba » protégeaient la partie Ouest. Le mariage entre les familles des différentes fractions des Bni-Guil est un facteur principal qui a toujours assuré le maintient des liens familiaux au sein de la Tribu. Il est de coutume chez deux Bni-Guil de parcourir l’arbre généalogique de leur familles respectives pour trouver un parent commun. Ainsi les Bni–Guils se disent toujours cousins.
    Fractionnement des tribus Bni-Guil en 1906 d’après Lt Bauger3

    Avec la tribu Laamour les Oulad Nasser, les Bni-Guil représentent la population nomade de la province de Figuig et maintiennent des liens étroit entre elles . Leur principale source de revenu est l’élevage d’un cheptel varié ( ovins, bovins, caprins et chameaux) avec une dominance des ovins distingués par la race dite Bni-Guil, une des meilleures au monde et qui est adaptée aux conditions des hauts plateaux.

    Cette activité est favorisée par l’ existence d’une vaste étendue de terrain qui est réduite actuellement à ( 1 522 523 ha ),couverte en majeur partie par l’alfa et l’armoise .

    Cet élevage obéit à la transhumance des éleveurs a l intérieur de la province ou d’autres régions riches en pâturage, vers le sud de la province en hiver et vers le nord en été .

    Quant à l’abreuvement du cheptel, il dépend de la saison :

    – 2 fois par semaine de novembre à mars .

    -3 fois par semaine en mars et avril .

    -Chaque jour en été .

    Certaines fractions , les Ouled Brahim et les Ouled Farès possédaient des jardins dans l’oasis de Figuig, d’ autres à Ain chair , Néssissa, Bouarfa et les points d’eau à l’est et au sud de la région.

    La tribu de l’Aamour , possède des liens familiaux avec les Bni–Guil et qui comme eux ont le même mode de vie. Ils sont très attachés à la terre et à leur culture, nomadisent souvent dans leur commune, Abou Lakhal . Certains possèdent encore des jardins près des sources et pratiquent une agriculture, sur des petites parcelles, destinée à l’autoconsommation .

    L’agriculture chez les Bni-Guil est limitée aux céréales et tributaire des pluies. Le couvert végétal a subi une dégradation très poussée ces dernières années suite aux effets de la sécheresse qui a sévi dans la région .Cette situation a entraînée la réduction du nombre du cheptel réduisant ainsi le revenu des individus , facteur provocateur de l’exode vers les villes du pays ou vers l’Europe .

    #204506
    houmidi59
    Participant

    Nous avions une équipe de foot-ball assez extraordinaire.Je me souviens qu’aucun de nous n’avait de survêtement de sport , et rare ceux qui avaient des souliers.
    Nous avions à peu près le même âge ; le plus grand de nous ne dépassait pas quinze ans . Notre entraineur lui, avait au moins dix ans de plus que notre cadet .C’était un individu qui mentait comme il respirait .Il ne cessait de nous raconter ses prouesses :ses bagarres au cinéma , ses aventures avec les filles , et ses exploits de foot-ball .Nous l’écoutions assez souvent avec avec intérêt et admiration. Moi même , je me demandais comment tissait-il ses histoire sans s’interrompre .
    Au fait, il n’était entraineur que par le nom.Nous étions libres de nous dégourdir les jambes sur des boîtes de conserve avant le match.
    Toujours au dernier moment, notre chef « concluait » des matchs avec d’autres équipes venues d’autres quartiers .Il était toujours obligé d’aller à notre recherche.Il finit par trouver les uns chez eux , les autres éparpillés partout dans une « halka » de la vieille ville , près des chemins de fer, au creux de l’oued ou même au cinéma (Vox).
    Bien entendu, il ne cessait de râler tout en ponctuant ses gestes par des avertissements et des expulsions aux personnes introuvables.
    Il lui était même arrivé de ne trouver aucun de nous , alors là, il était fou de rage.
    A vrai dire , quelques fois, on se déplaçait de notre propre initiative pour jouer dans d’autres quartiers .On revenait toujourd vainqueurs , mais notre entraineur ne l’entendait pas de cette oreille .Pour lui, à part les rencontres organisées par lui , ce n’était que de la rigolade et rien du tout .Aussi, regrettait-il les matchs (reportés à la saint glinglin)que nous aurions dû jouer et même y gagner quelques sous.
    Au fait, le vainqueur de chaque rencontre gagnait une petite somme d’argent .Ce gain suffisait à peine pour acheter une bouteille de limonade qu’on trinquait ensemble.
    je me souviens que chaque joueur misait dix centimes avant chaque jeu ;et même on avait doublé la mise dans certaines rencontres , ce qui était un risque à courir pour les deux équipes .
    A la bonne franquette les amis , cela finissait toujours par une véritables bataille (coups de points, de bâtons , de cailloux ….etc)menée par les vaincus .
    Il nous était arrivé des situations de ce genre .
    Comme je l’avais dit , parfois on jouait dans d’autres quartiers , et bien entendu, on gagnait les matchs .Les perdants ne nous laissaient jamais quitter leurs territoires sans nous « arroser » de pierres et même nous dépouiller de nos biens .
    Pourtant, nous nous battions comme des lions , prêts à défendre notre prestige et notre gloire .D’ailleurs après cela , nous nous étions faits accompagnés par quelques gars robustes de notre quartier .Ils avaient toujours droit à la moitié de notre gain.
    Je ne vous avais pas parlé de notre entraineur :lui était du genre froussard .Quand il sentait le roussi , il prenait la poudre d’escampette en plein match avec notre enjeu .Néanmoins, cela ne l’empêchait pas d’être pris quelques fois dans le guêpier .Le pauvre ! pas la peine de vous dire que la bagarre n’était pas son fort :maintes fois il s’est fait casser la gueule et tabassé le portrait.
    Bien entendu, il prétexait sa défaite par le grand nombre de ses adversaires .
    _ »Imaginez six contre un , disait-il , même django avec son pistolet n’aurait pas mieux fait « .
    Sans se faire prier, il nous racontait ses mésaventures .Acroire une des aventures d’Hercule !
    Bref, c’était le bon vieux temps.
    A présent , la plupart de ces joueurs sont pères de famille y compris l’ex-entraineur et le narrateur aussi .(je ne rate pas celle-là.)

    NOUVELLE PUBLIEE DANS LE MATIN N°7573 DU 13 OCTOBRE 1991

    #204405

    Sujet: Dar Sebti

    dans le forum Oujda
    Moonlight
    Membre

    Dar Sebti (La Maison de Sebti) du fait que la famille propriétaire est originaire de la ville de SEBTA = CEUTA.Cette belle maison créée en 1932 par Si Abdelhadi Sebti qui était au 1/4 du 20 ème siècle l’un des grands commerçants d’Oujda et du Maroc,se situe parallèlement aux remparts Mérinides qui sont cachés par le premier Parc d’Oujda de 1910 juste entre Bab El-Gharbi et l’arrière Kasbah.Si Abdelhadi Sebti jouissait de la double nationalité:Maroco-Anglaise…et c’est pour celà qu’il a joué un rôle décisif dans la création du MCO (MOULOUDIA d’OUJDA ) en 1946.Après le départ des SABTI….leur belle maison a dépendu du Ministère de la Jeunesse et des Sports…puis de la Mère des Ministères: l’Intérieur De nos jours elle n’est qu’une salle des fêtes….pour les noces et pour les rencontres officielles ou culturelles
    c’est le siège aussi du Centre d’Études et de Recherches sur la Musique Gharnati.
    En face de ce palais, s’étend le parc Lalla Meriem aménagé pour la détente et abritant un musée. Ce parc est également le siège du Syndicat d’Initiative et du Tourisme de l’Oriental

    jaouad1
    Membre

    J’ai fais des recherches sur la région, on m’a dit que jusement aujourd’hui il y a eu un accident le même qui m’est arrivé sauf que je suis sorti du côté à droite et lui il est sorti du côté gauche, et selon un ingénieurde la région il parrait qu’il y a une grande pierre d’aimant (MOGHNATISS), qui attire les voitures, et je pense effectivement qu’il y a un grand champs magnétique dans la région, car j’ai ressentis la voiture attirée toute seule.

    Et quand j’ai cherché des informations sur la région, j’ai su que des cables de haute tension éléctriques passent par la région de Bourdim Naima, et scientifiquement ces cables peuvent créer un grand champs magnétique qui peut faire des problèmes et des accidents.

    Vous pouvez voir ces accidents sur youtube sur le lien suivant:

    http://www.youtube.com/watch?v=uF9lfhAS_54

    CHERS AMIS CES ACCIDENTS PEUVENT ARRIVER A NOUS OU A DES PERSONNES DE LA FAMILLE, ESSAYONS DE TROUVER UNE SOLUTION POUR CELA, ET SI VOUS AVEZ DES INFORMATIONS SUR LE NOMBRE DES ACCIDENTS QUI ARRIVENT LA BAS COMMUNIQUEZ LES; TOUTES VOS INFORMATIONS AIDERONS DES VIES ET DES FAMILLES.
    MERCI

    #204130
    tima
    Membre

    Les hommes ont-ils peur du mariage ?

    Les femmes rêvent souvent de robes blanches et d’enfants alors que les hommes ne voient dans tout ça que la corde au cou. Vivre ensemble, se marier, avoir un bébé… autant de preuves d’amour et d’engagements que les hommes ont du mal à prendre. Vrai ou faux ? Et si c’est vrai… qu’est-ce qui leur fait peur, à la fin ?

    Vérité ou légende ? L’homo maroquinus est-il sujet à un refroidissement de ses gènes ? On a vérifié les statistiques : moins de mariages et plus de divorces. Nous sommes allés vérifier sur place auprès de ces messieurs. La partie immergée du fléau confirme la tendance sociale : le modèle “mâle” du mariage s’effondre, du moins prend un virage à 360° ! A quarante ans, Fayçal, biceps gonflés à bloc et dernier édito de Marianne en tête, lorgne sans cesse les femmes et soupire de ne pas avoir -encore- trouvé chaussure à ses pieds. Avec trois fiançailles rompues en poche et une multitude d’amourettes, Fayçal résume l’air du temps : “J’ai peur du mariage ! Malgré toutes les rencontres faites jusque-là, je n’ai jamais fait le dernier pas.” Blondes aux yeux de mer, brunes d’Arabie aux yeux de jais, taille mannequin, taille rondelette, universitaire travailleuse ou oisive glamour, Fayçal aura tout aimé. Sans comprendre pourquoi, un beau jour, ses engagements sentimentaux se dégonflent pour des raisons mystérieuses… Blocage psychologique ? Mode sociale pour faire in ? Un autre homme, Ahmed, la trentaine bétonnée de principes, voit l’affaire autrement : “C’est un choix ! Je ne suis ni angoissé ni torturé par l’idée du mariage. Je n’en veux pas par conviction personnelle. Capito ?” Les hommes sont-ils devenus allergiques aux rites de la fertilité matrimoniale ? Pour Nawal, trente-cinq ans et quelques ex qui ont filé à l’anglaise : “On ne sait plus comment aimer les hommes, ni ce qu’ils attendent finalement de leurs moitiés. Je crois qu’ils sont eux-mêmes un peu perdus !”.

    Les théoriciens de la modernité
    Etre moderne, c’est ne plus se marier sous les auspices des parents. C’est leur permettre de dire “oui” (et plus rarement) “non” à un fait établi et un lien déjà là. C’est choisir sa campagne au gré des déambulations sentimentales, avec plus de liberté et de manœuvre. Un itinéraire qui démystifie l’amour, l’éros et sépare dans le mot nikah ses deux acceptions linguistiques : acte de mariage et acte sexuel. “Lors de mes premières aventures amoureuses, se souvient Fouad, je me comportais comme si j’allais me marier à chaque fois avec mes conquêtes. C’était inévitable dans ma tête. Au fil des ans, j’ai appris à dissocier la relation amoureuse de l’objectif mariage.” Les sentiments, la sexualité des hommes, autrefois dépendant du lit conjugal, ne sont plus des institutions. Ce que résume Adil, la quarantaine : “Je ne veux pas me marier pour le sexe. Si dans les campagnes, il faut se marier pour faire l’amour, dans les grandes villes, la tendance est d’abandonner cette vision des choses.” Décryptage : L’homo maroquinus regarde un peu plus loin que le bout de son nez devant la devanture féminine. Il s’intéresse de plus en plus à la cavité cérébrale des femmes, à leurs projets professionnels et carrières, leurs idées du couple et de la vie. Le mariage lui-même demande un gros investissement de personne, de temps et d’argent et certains le placent en seconde ou troisième position dans leurs objectifs vitaux. C’est le cas des hommes qui intellectualisent l’existence et préfèrent vivre selon des principes idéalisés : “A quoi bon se marier se demande Tahar, la quarantaine ? Pour l’amour ? Il disparaît au bout de quelques années ! Pour le partage ? Je n’aime pas cette forme d’exclusivité où l’on se dit faussement : je suis à toi et toi tu es à moi ! Pour les enfants ? Je n’en veux pas, du moins pas pour les élever selon nos traditions ! Alors, je préfère rester seul. J’aime la solitude, finalement.” Un autre intello explique sa hantise du mariage par l’impossibilité de tisser un lien amoureux vrai dans notre société : “Je n’ai jamais rencontré de femme qui sied à ma mentalité et mes idées sur la vie. Se marier chez nous, c’est épouser la belle-mère et toute l’escorte qui veille à la tradition.” Quant à Abderrahim, quarante-cinq ans et pas de mariage en vue : “Je refuse d’être instrumentalisé par notre culture. Je me suis fiancé, il y a une dizaine d’années. L’achat d’un appartement est devenu une condition sine qua non pour vivre ensemble. Le comble, c’est que le grand-père de ma fiancée nous a proposé de nous acheter un appartement que nous payerions petit à petit. Et bien, la belle famille est intervenue pour confisquer l’appartement en question et le garder pour elle. Vous parler d’une vie construite à deux ?”

    Les freins économiques
    Où en sommes-nous des valeurs matrimoniales au Maroc ? Confronté à une vie sentimentale et sexuelle plus riche, l’homme accepte plus facilement le concubinage ou la relation suivie sans lendemain matrimoniale. Une réalité qui explique pourquoi les hommes sont moins empressés de fonder un foyer. Pour Samir, trente-quatre ans, “l’homme est plus libre sur le plan de la conception matrimoniale. Peut-être pas dans d’autres domaines de la vie à deux, mais il est plus affranchi lorsqu’il s’agit de projet intime et de lien avec l’autre.” Pour Rajae, la trentaine, “même libérée, la femme a besoin d’un homme qui la protège. Une sorte de père. C’est une constance malgré les bouleversements socio-économiques que nous vivons.” Soit. L’homme a aussi besoin de mamelles maternelles. S’y rajoute la hantise du pourvoyeur de fonds qui surfe seul avec les exigences financières du couple. Un sujet que bien des hommes évoquent comme un frein majeur à leur épanouissement matrimonial. Pour Mohamed, trente-cinq ans : “Les choses ont beaucoup changé lorsqu’il s’agit d’argent au sein du couple. Mais quoi que l’on dise, c’est le mari qui reste la pierre angulaire de l’édifice financier.” Et d’ajouter que “le mariage reste une symphonie qui se joue à une seule main !”

    Le problème de l’argent, un dilemme dans notre culture dans la majorité
    des cas ? Dans l’exemple de Abdelhak, trente ans : “Même avec son salaire, ma fiancée ne voulait rien entendre. J’étais l’homme dans le sens sonnant et trébuchant du terme”. Les salaires modestes, les risques de chômage et les difficultés matérielles liées à la préparation du mariage stoppent net toute envie d’envol individuel. La cérémonie est jugée trop chère. Le nid du couple doit être préparé avant terme. La prise en charge (partielle ou totale) de la belle dulcinée doit être visible. L’homme doit aussi apprendre à se confectionner une image d’être aisé ou riche à faire valoir hypocritement devant les autres. Et aussi une image d’homme-père-surhumain-infaillible à créer de facto pour compenser le vide phallique de sa promise. Azeddine, quarante-deux ans : “C’est cher payé ! Ce qu’on demande à l’homme est inhumain. Un homme, c’est pas un tiroir à rêves.”

    Lorsque la peur est profonde…
    Pour d’autres hommes, toute décision, dans la vie, est difficile. S’engager est pour eux un supplice qui cache un profond malaise. Ce sont les hypocondriaques irascibles de l’hésitation et du déséquilibre sentimental. Certains ont vécu une histoire d’amour dont ils gardent un souvenir amer sur certains points. Ceux-là craignent peut-être de revivre ces moments déplaisants. Certains ne sont pas mûrs pour se lancer dans une difficile aventure. Des vagues de crise d’identité balaient la psyché masculine et la désarçonnent. Des problèmes sexuels naissent des avatars de l’urbanité cahotante. La régression des hommes est recherchée vers un nirvana inaccessible que décuple l’agression permanente des images télévisuelles. Une soupe moderne constipante que certains érigent en philosophie de vie pour mieux s’adapter à leur condition de célibataires endurcis.

    D’autres vivent mal cette attente éternelle et ont parfois de bonnes raisons de désespérer. Amal sort d’une cure chez un psychologue. C’est son fiancé qui doit prendre sa place, mais ce dernier a fui le psychologue, le projet de mariage et la relation qu’il entretient avec Amal depuis deux ans. “Je ne sais pas pourquoi il a peur de me toucher. Nous n’avons que des relations éphémères et je suis la plus demandeuse des deux.” Le mariage est parfois angoissant pour les hommes parce qu’ils ont peur de dévoiler certaines vérités intimes: homosexualité refoulée, problèmes d’érection, instabilité émotionnelle qui remontent à la surface à l’heure du choix décisif. Rachid, trente-sept ans : “Je n’ai jamais pu garder un lien et mener à bien un projet matrimonial. Après quelques mois paradisiaques, commencent les malentendus, l’escalade, la rupture qui se dessine au loin. Je ne sais pas gérer ce qui m’arrive.” Les mariages heureux sont bâtis sur la confiance et l’amour inconditionnel. Deux choses qui ne peuvent cœxister avec la peur. La peur endommage le mariage parce qu’elle rend défensifs. Pour Salah, hyper timide à quarante ans : “Nous détestons admettre nos faiblesses ou nos fautes. La peur que ma conjointe s’aperçoive de mes faiblesses me place sur la défensive.” De même, l’insécurité déstabilise l’homme et mène aux luttes de pouvoir. “Afin de prouver ma compétence, confesse Salah, j’ai toujours agi en dictateur. Le résultat est qu’à chaque relation, j’entretiens un état de conflit perpétuel qui provoque mes ruptures.”

    Le rôle conciliateur de la femme
    Le dédale civilisationnel brouille et redistribue les valeurs de la vie à deux. Entrechoc des genres qui se repositionnent au coude à coude pour tracer leurs nouvelles frontières. Vécus des hommes qui explosent en une myriade d’expériences sexuelles et redéfinissent la vie. Nouveaux styles de vie célibattante qui s’imposent avec leurs libertés et leurs contraintes. Fini le mythe de Platon où chacun quête sa douce moitié ? Bientôt, un monde sans pères ni mères et des enfants conçus sans sexe ? Pas si sûr et en attendant l’humanité du troisième type, restons zen et pratique. L’amour sans concession est celui qui se vit pleinement. Sans (trop de) calcul et dans la seule perspective de construire quelque chose à deux. Les angoisses sont souvent partagées mais la femme doit ici jouer un rôle de réconciliation et les tempérer via la communication

    et une montagne de compréhension. Selon Jamal, trente-sept ans : “C’est ma femme actuelle qui m’a aidé à résoudre mes dilemmes internes et d’aller de l’avant.” Leur couple n’en est sorti que plus renforcé.

    En périodes de crises sociales, de bouleversements dans les repères et objectifs, les hommes ont besoin de mains tendues pour dépasser les obstacles moraux et financiers et aller de l’avant dans le couple. Les notions principales de liberté, d’espace de vie, de partage des responsabilités, de participation active au foyer, d’investissements pécuniaires restent des notions modelables. La fête de mariage, les valeurs de l’éducation à transmettre aux enfants, les choix liés à la tradition sont aussi malléables. Il ne s’agit pas de savoir comment chacun a envie de vivre, mais comment l’homme peut dealer avec la lourde responsabilité sociale d’être définitivement avec l’autre – même si cet autre est adoré.

    #250408

    En réponse à : NASS BOUDIR

    battaime
    Membre

    NOM DE FAMILLE SABANI BOUFELJA YASKOUNE FIY TINISE HDA ZEYTOUN NTA3 TINISE MIN FADLIKOM HADIY MOUDA WANA NBHATE 3ALA TELEPHONE

    #203814
    siamdu20eme
    Membre

    Je recherche la famille Bachir sur Oujda et Saidia c’est ma famille paternelle si vous connaissez ou bien si vous même fétes parti de la famille Bachir contacter moi svp

    Merci

15 réponses de 76 à 90 (sur un total de 146)
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