Résultats de la recherche sur 'sahara marocain'

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15 réponses de 91 à 105 (sur un total de 142)
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  • #232640
    snp1975
    Membre

    [Documentaire sur la Déportation des Marocains d’Algerie

    Les déportés ont été spoliés, déracinés et torturés.
    Les marocains d’algerie ont été expulsés a cause du problème du sahara.
    Le maroc tôt ou tard doit instaurer une commission d’équité pour ces victimes.

    Visionner ce documentaire qui confirme nos récits:

    [www.dahaya.net]

    Pour lire nos récits:

    [marocains-d-algerie.niceboard.com]

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    Sahara marocain : Bouteflika ne lâche pas le leste

    Le président du Nicaragua, Daniel Ortega(dictateur mondialement connu), vient d’effectuer une visite officielle en Algérie. Il a été reçu avec tous les honneurs et avec<>.

    Cette information serait passée inaperçue pour nous les Marocains puisqu’elle ne nous intéresse pas du tout, s’il n’y avait pas eu un petit détail, (un de plus…).

    Prononçant un toast lors du déjeuner officiel qu’il a offert en l’honneur de son invité, le président algérien, a remercié son convive pour avoir rétabli les relations avec la fantoche république sahraouie…. ???

    Il faut préciser que l’ancien tyran sandiniste a décidé, deux jours à peine après sa reconquête du pouvoir de son pays en janvier dernier de rétablir les «relations diplomatiques avec la prétendue RASD…>>.

    Des relations qui avaient été rompues par son prédécesseur puisqu’il avait considéré qu’il s’agit d’une mascarade ridicule que d’entretenir des relations avec un Etat qui n’existe pas et qui n’avait aucun fondement juridique ou historique.

    En tout cas, que M. Ortega décide, soudain, d’avoir des relations avec un pseudo-Etat…, c’est une décision qui le concerne. Il a certainement ses propres motivations. Mais, que cette décision soit élevée par le chef de l’Etat algérien au rang d’une initiative qui va avoir une grande influence non seulement sur l’affaire du Sahara mais sur la région toute entière, c’est ce qui est choquant de la part du manager d’El-Mouradia .

    Comment la décision du président nicaraguayen peut-elle avoir une influence sur l’évolution de la situation dans la région ?

    L’influence politique d’un Etat sur un autre n’existe que s’il y a un impératif géographique, une dépendance économique, une supériorité militaire ou une domination idéologique.

    Or, il se trouve que, par rapport au Maghreb, le Nicaragua ne peut être classé dans aucune de ces situations.

    Donc,il est clair que le président Algérien ne décourage pas,ne repose pas et ne pense même pas à lâcher le leste pour ne pas contrecarrer notre intégrité territoriale,même en ce moment,que l’affaire est entrée dans une nouvelle phase où ces petits jeux faussement diplomatiques se trouvent hors contexte.

    #202886

    Sujet: Mon Histoire Avec Le Makhzen

    dans le forum Débats
    snp1975
    Membre

    Mon Histoire Avec Le Makhzen

    Act :1

    En quittant l’Algerie en 1998 après 40 ans de vécu et 3 Déportations. En 1963 ( la guerre des sables), en 1975 ( le conflit du sahara occidentale) et 1992 ( à cause de mon militantisme au sein du Front Islamique du Salut).
    J’ai contacté les services de l’ambassade du Maroc à paris afin qu’il m’aide dans mon travail de mémoire concernant les marocains d’algerie.
    J’ai travaillé pendant 2 ans de 2001 à 2003 pour le compte de la DGED ( la Direction Générale de l’étude et de la Documentation.J’ai couvert toutes les marches et les manifs à paris à propos des protestations contre la loi antivoile.
    J’ai même réussi à, passer les mailles du filet pour participer au congrès du Front du Polisario en 2003 à VITRY).
    En sortant du congrès pour remettre les enregistrements au représentant de la DGED.
    Il n’était plus là. Il s’est contenté de relever les plaques d’immatriculation des voitures qui venaient de l’étranger.
    Avant de m’engager avec ce service mon contact de ce service Mohamed M. m’a demandé de lui remettre un rapport détaillé de mon parcours. Pour l’envoyer à ce même service rattaché au palais royale à Rabat et ce afin de me recruter.
    Enfin de compte c’était de la manip . Il m’a proposé de devenir informateur au sein du courant Islamiste marocain. Vu que j’étais entrain de préparer une thèse sur le Front Islamique du Salut(le F I S).
    Jaloux de mon autonomie je l’ai renvoyé dos à dos lui et les services de l’ambassade avec violence verbale.
    A ce moment là il m’a dit de présenter mon projet de mémoire au ministère de la culture.

    Act : II
    2006 je monte une association ( l’ A M A) , un forum et un site et un livre en cours sur mon recit de vie ( mémoire d’un Maroqui d’Algerie).
    Le mois de mai je contacte l’ambassade à nouveau pour lui soumettre mon projet. L’attaché culturel me conseille de contacter Mr : ht.du social ( les services de la DGED opère sous cette appellation.
    J’envoie un mail explicatif à ce Mr avec mon numéro de portable.
    Aucune réponse selon la secrétaire c’est lui qui ne veut pas répondre.
    Juste avant le même coup avec Mr ; djamel M. Fonctionnaire au cabinet du ministère des affaires étrangères. Ce dernier m’a contacté après m’avoir observé sur le forum de bladinet.
    Il m’a proposé de plaider ma cause avec son chef. Mais il faut que je lui envoi un support sur ma trajectoire . Depuis il ne répond plus il m’évite.
    Je vous laisse apprécie.

    [marocains-d-algerie.niceboard.c om]

    #202813
    la3youni
    Membre

    salut
    Avec cette grande montée de médiatisation sur le dossier de sahara ,on peut remarquer que les propos apportés par les deux gouvernements sont de plus en plus agressifs vis-a-vis de l’autre. Mais la question à poser c’est de savoir la position de peuple dans tous ça ,je ne parle pas du pb de sahara mais de la relation algéro_marocaine.
    Je pense que nous somme manipulé par nos gouvernements qui essaient de nous faire croire qu’on est des ennemis.
    Pourquoi n’essayant pas de regarder plus loin afin créer notre grand magrheb . je pense que nous avons besoin de l’algérie comme ils ont besoin de nous,on peut devenir vraiment une grande puissance.
    Vous allez me dire que nous on est pour rien, moi je pense que si,car on peut changé les choses si on veut.
    Vous pourriez remarquer l’impact du à la fermeture des frontières sur l’économie de notre région la même chose est constaté de l’autre coté (Maghnia).

    PS:ce n’est pas un sujet politique sur le sahara marocaine

    #202685

    Sujet: CHAINE LOCALE

    dans le forum Oujda
    YAYA
    Membre

    je demande pourquoi ❓ pas penser à crèer ou avoir une chaine locale et regionle de WILLAYAT D’OUJDA comme la chaine de sahara confusionèe avec la une marocaine, 😉

    ratek84
    Participant

    pour moi je pense ke les gouvernements marocains ont commut bcp de fautes graves et mm tres grave
    pourquoi annoncé l’indépendance du maroc en 1956, et pourquoi ne pas réagir jusqu’à 1975
    pourquoi ils ont voulu la divisé avec la mauritanie !!!!!!!
    des faits comme ça ki ont encouragé nos ennemis a demandé leur indépendance.
    mais mm si les gouvernemant ont comut des fautes pareil ca ne ve pa dire ke le peuple marocain va lacher son sahara

    ayman
    Membre

    Oui Fadi c pas nouveau ça ,le Maroc a bcp d’ennemis ! et malheureusement depuis l temps notre terre a été dechirée: le Sahara, Tindouf ,Bechar ,Melilia , c Marocain .
    Ils essayent de nous creer des problemes de Sahara pour qu’on reclame pas les autres villes qui ont été volées !! c aussi la sale politique …

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بـــــــاســــــــم وبــــــــالله الـــــــتـــــــوفــــــــيـــــــــق

    Nouvelles structures pour accompagner la «stratégie régionale» dans les provinces du Sud

    La récente visite du ministre de la diplomatie algérienne au siège des Nations unies, à New York, ne surprend point. Mohamed Bedjaoui persiste et signe en se livrant à des manœuvres dilatoires, en s’immisçant dans des affaires qui ne sont pas les siennes.

    A croire que le seul dossier dont il est en charge ne concerne que les provinces du Sud du Maroc. Son omission dans son cursus diplomatique du paragraphe 7 de l’article 2 de la Charte des Nations unies, dans lequel il est stipulé que «nul Etat ni groupe d’Etats n’a le droit de s’ingérer ou d’intervenir, directement ou indirectement, sous quelque forme que ce soit ou pour quelque raison que ce soit dans les affaires intérieures ou extérieures des autres Etats», met de facto sa fonction en équation.

    La lecture de la Charte explique également qu’ «il est du devoir d’un Etat de s’abstenir d’exploiter et de déformer les questions de droits de l’Homme pour s’en servir pour s’ingérer dans les affaires intérieures des Etats ou faire naître la méfiance et le désordre au sein ou parmi des Etats ou des groupes d’Etats».

    En la matière, l’Algérie excelle. Si ce n’était les ressources naturelles, tarissables dans la durée et dans la capacité, les relations bilatérales d’Alger avec d’autres capitales seraient autrement.Tout un chacun le sait mais maintient des liens tant qu’il y a des gisements exploitables. Consciente de cette donne, Alger en profite. Aussi, pour faire entendre sa voix dans le concert des nations, cherche-t-elle une voie qui aboutira, sans aucun doute, à une impasse.

    Les multiples tergiversations diplomatiques en sont la preuve irréfutable. Les multiples revers subis ne se comptent plus, alors que la liste du bêtisier diplomatique s’allonge. Rien de plus normal. L’on ne s’étonne même plus des discours (et de leur contexte) des responsables algériens quand il s’agit de la question du Sahara marocain.
    L’Histoire retiendra cette ingérence algérienne dans les affaires marocaines.

    L’Histoire rappelle également que lorsque le Royaume a récupéré ses provinces du Sud, il s’était trouvé devant un vide quasi total en ce qui concerne l’équipement de cette région marocaine et sa dotation en services essentiels à la continuité au développement.

    En l’espèce, pour faire face à ce lourd héritage, le Maroc a dû faire appel à des moyens exceptionnels quant à la reconstruction de cette partie du territoire national depuis sa réintégration à la mère patrie.
    Dès lors, les autorités avaient entrepris un ambitieux programme. Des prérogatives ont été prises de façon à ériger le Sud du pays en un pôle de développement économique de dimension régionale.

    Et conformément aux Hautes instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, énoncées lors de son discours du 6 mars 2002 à Laâyoune, la réalisation de nouvelles structures a été élaborée afin d’accompagner la «stratégie régionale» devant prendre en considération l’intégration de l’informel et la rationalisation des facteurs de production, en passant par l’encouragement de l’initiative privée et l’expansion d’un véritable tissu productif. En la question, l’on relève une dynamique économique relayée tant par le privé national qu’étranger au vu des réalités stables sur le terrain.
    Ainsi se lève une brise nouvelle vers le sud conforté par le projet d’autonomie. Lequel est synonyme de prospérité, stabilité et paix dans une région qui aspire à plus et à mieux.
    والــــســـــلام

    #224962
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بــــــــاســــــــم الله وبـــــــــــالله الــــــــــتـــــــــوفــــــــــــيــــــــــق

    MEME TROP TARD, UN ALGERIEN PARLE VRAI…

    Benchicou souligne les échecs de l’Algérie sur le dossier du Sahara Marocain

    «Le Maroc de Mohammed VI, plus ouvert, plus dynamique
    et plus moderne, marque des points»

    L’ancien directeur du quotidien algérien « Le Matin », Mohamed Benchicou, qui a purgé deux ans d’emprisonnement pour, officiellement, une infraction à la réglementation de change, a estimé, jeudi, que « si le gouvernement de Zapatero défend avec succès la thèse marocaine (sur la question du Sahara marocain) auprès de ses pairs européens, c’est parce qu’il plaide la stabilité d’un Maroc familier des générations d’aujourd’hui, c’est-à-dire un pays plus présent, plus moderne, plus prometteur, plus « lisible » sur le plan démocratique par les opinions occidentales ».

    Dans une chronique hebdomadaire publiée par le quotidien algérien « Le Soir d’Algérie », qui lui a ouvert son espace après la disparition de son journal, Mohamed Benchicou dresse un tableau sans concession sur les échecs de l’Algérie, notamment sur le dossier du Sahara, en considérant que le Maroc avait su « retourner à son avantage la situation ».

    Benchicou affirme que le rêve des dirigeants algériens, au cours de ces dernières années, était « porteur d’amères désillusions, liées à un monde ancien qui s’écroule sous nos yeux et dont l’Algérie n’a pas su mesurer l’ampleur », évoquant « la mort d’un chimérique traité d’amitié avec la France, rêve à jamais emporté par Chirac dans sa retraite, la cuisante défaite diplomatique sur le dossier du Sahara, l’incroyable aggravation du malaise social et du chômage qui frappe les jeunes ».

    Pour l’ancien directeur du journal « Le Matin », « l’Algérie n’arrive pas à réaliser son déphasage, notamment par rapport au discours nouveau en vogue, notamment en France, dans le contexte des prochaines élections, et avec le départ de Jacques Chirac ».

    « Ce discours d’une nouvelle génération, poursuit la même source, le régime algérien, déphasé, ne le comprend pas, mais le Roi Mohammed VI, lui, a su habilement le capter pour l’utiliser à son tour, se faire écouter, améliorer l’image du Maroc et à retourner à son avantage la situation diplomatique sur le Sahara ».

    Benchicou ajoute que « le ralliement de l’Espagne aux thèses marocaines est à ce point un échec consommé pour Alger ». Mohamed Benchicou déclare, par ailleurs, ne pas partager l’analyse d’Abdelaziz Rehabi, ancien diplomate algérien limogé, il y a quelques années, de ses fonctions de ministre de la Communication, aujourd’hui converti dans les affaires, quand il parle d' »une stratégie visant à isoler l’Algérie ».

    L’auteur de l’article estime, à ce titre, que « le régime algérien s’est isolé de ses propres mains, par son autisme, son immobilisme, son obsolescence, son autoritarisme ».
    « Nous ne sommes plus dans la diplomatie de Boumédienne.

    Un monde s’est écroulé », assène Benchicou, en soulignant que « dans le nouveau monde, le Maroc de Mohammed VI, plus ouvert, plus dynamique, plus moderne, peut-être même plus démocratique, marque des points ».
    Et de relever que « dans un Maghreb où la Mauritanie offre un exemple édifiant avec un second tour des élections présidentielles, l’Algérie jure par son archaïsme ».

    الحمد لله رب العالمين

    #202496
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بـــــــــــا سم الله وبـــــــــالله الــــــــــتــــــــــوفــــــــــق

    الــــجــــزائـــــر الـــــــرســـــــمــــــيـــــــة تـــــقــــارن الــــــصــــحـــــراء الــــمـــــغــــربــــيــــة بـــــفـــــــلـــــــســـــطـــــيــــــن

    الـــــــــــــــــــــــــمـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــحـــــــــــــــــــــــــــــــــــــتـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــلــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــة

    L’ambassadeur, représentant du Royaume du Maroc auprès de l’Office des Nations unies à Genève, Mohamed Loulichki, a dénoncé mercredi « les amalgames et les contrevérités » contenus dans la déclaration faite par le ministre algérien des Relations avec le Parlement au nom de son pays devant la 4e session du Conseil des droits de l’homme.

    Usant du droit de réponse, M. Loulichki a relevé que « l’amalgame entre la question palestinienne et la question du Sahara est indécent et insultant pour le peuple marocain et pour l’ensemble des peuples du Maghreb qui ont mélangé leur sang dans la lutte pour l’indépendance des pays de la région ».

    Relevant que « l’Algérie parle de retard dans la mise en œuvre du plan pour le règlement de la question » du Sahara, M. Loulichki a fait remarquer que « c’est plutôt ce pays qui a tout fait, depuis 1975, pour contrecarrer les droits légitimes du Maroc de recouvrer ses provinces du Sud ». Et c’est encore l’Algérie qui « s’évertue à créer un différend artificiel à des fins hégémoniques dans la région », a-t-il expliqué avant de rappeler que « la seule contribution de l’Algérie a été le projet de partition officielle proposé par le Président algérien à l’ex-envoyé spécial du secrétaire général de l’Onu, James Baker ».

    L’Algérie, a-t-il dit, parle des brouillages des repères par le Maroc. « Est-ce le Maroc qui brouille ces repères en s’engageant concrètement et résolument dans la recherche d’une solution politique définitive et consensuelle ou est-ce plutôt l’Algérie, qui se comporte, tantôt, en partie directe pour combattre toute solution qui ne satisfait pas ses prétentions et ses desseins, tantôt, se rétracte dans un prétendu statut d’observateur pour fuir ses responsabilités internationales », s’est interrogé le diplomate marocain.

    Notant que « l’Algérie parle de retard dans la mise en œuvre du plan de paix », M. Loulichki s’est demandé s’il y a lieu « de parler de la mise en œuvre d’un plan mort-né car ne bénéficiant pas de l’appui de toutes les parties », précisant que « c’est parce que ce plan n’est pas considéré comme une proposition viable que le Conseil de sécurité a appelé le Maroc et l’Algérie à sortir de l’impasse et à progresser vers une solution politique ».

    « Le Maroc a eu le courage de prendre l’initiative d’une solution d’autonomie, fruit d’une concertation entre toutes les composantes de la population de ses provinces du Sud », a rappelé l’ambassadeur, formant l’espoir que « l’Algérie aura aussi le courage de s’associer à cette dynamique de paix salutaire pour les peuples de la région afin qu’ils puissent s’atteler à la construction du Maghreb ».

    Il a par ailleurs souligné que c’est « l’Algérie qui fait une fixation sur le Maroc et son droit à parachever son intégrité territoriale et c’est encore elle qui s’investit diplomatiquement, financièrement et militairement pour bloquer toute solution, tout en se réclamant du statut d’observateur ».

    De même que « tout en reconnaissant que la question du Sahara relève de la quatrième Commission et du Conseil de sécurité, l’Algérie se contredit en réservant à cette question des paragraphes substantiels dans sa déclaration devant le Conseil des droits de l’Homme », a fait encore remarquer le diplomate marocain.

    اللـــــــــــــــــهـــــــــــــــم ان هـــــــــــــذا مـــــــــــــــنـــــــــــــكـــــــــر

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بــــــــــــاســــــــــــم الله وبـــــــــالله التـــــــــوفـــــــــــيـــــــــــــق

    Pour Dawy : A ce que je pense toi aussi ,tu n’est pas un descendant de
    Molière; et si tu es de l’autre côté et ça te choque ce que je copie et je colle… lis ce qui suit ,pour te faire encore une idée de ce qui t’attends ou bien toi, tu a pris toute les mesures qui s’imposent si un jour… c’est ça mon ami :

    Algérie Espagne : de l’eau dans le gaz

    Le pouvoir algérien veut sanctionner le gouvernement espagnol pour son soutien au projet d’autonomie en augmentant le prix du gaz naturel qu’Alger exporte vers l’Espagne.

    Les rois d’Espagne, Juan Carlos 1er et Sofia ont entamé, hier mardi 13 mars, une visite d’Etat en Algérie. Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, qui a accueilli les Souverains espagnols à l’aéroport d’Alger, affichait un air de satisfaction remarquable. Celui de quelqu’un qui voit son rêve s’accomplir, enfin, après une très longue attente.

    En effet, cela fait des années que le président algérien demandait cette visite d’Etat des rois d’Espagne à son pays. Ce fut le cas sous le gouvernement de José Maria Aznar. Mais, ce dernier, dont il vient de faire l’éloge dans un entretien au quotidien espagnol El Pais, n’avait pas réussi à convaincre le Souverain espagnol de faire le déplacement à Alger.

    Homme d’Etat expérimenté et doué d’une grande finesse diplomatique, SM Juan Carlos 1er savait que le fait d’envisager une telle visite en Algérie en pleine crise avec le Maroc n’était pas dans l’intérêt de l’avenir des relations de l’Espagne avec ses voisins du sud. La demande d’Aznar fut rejetée. Et enfin, quand il a commencé à désespérer, il a fini par en faire une condition préalable à toute coopération avec le royaume d’Espagne. Un message allant dans ce sens a été transmis aux autorités espagnoles par le ministre algérien des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, en novembre de l’année dernière.

    Mais, ce n’est que trois ans après la normalisation des relations avec le Maroc que le chef de l’Etat espagnol a accepté l’invitation algérienne. Et la visite a été programmée au lendemain de la réunion à Rabat de la Haute commission mixte maroco-espagnole dont les travaux ont été couronnés de succès et qui a été marquée par l’annonce du soutien du gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero au projet de l’autonomie comme une voie de solution pour le conflit du Sahara.

    Un soutien qui a été très mal apprécié par le pouvoir algérien qui est allé jusqu’à vouloir «sanctionner» le gouvernement espagnol en décidant d’augmenter les prix du gaz naturel qu’Alger exporte vers l’Espagne à travers le gazoduc du détroit et qui transite par le Maroc. Dans un article intitulé « Madrid paie son alignement sur le Maroc » publié dans son édition d’hier mardi, le quotidien algérien El Watan a indiqué que : «Si la politique algérienne en matière de prix du gaz était jusque-là imbriquée, à tort ou à raison, à ses rapports, voire ses proximités avec certains puissants pays d’Europe, sans qu’elle n’en tire forcément une plus-value politique, la démarche va apparemment changer».

    L’auteur de l’article ajoute par ailleurs que : «au-delà des 150 millions de dollars supplémentaires qu’elle engrangera en augmentant d’un seul dollar le prix de son gaz, l’Algérie dispose d’un instrument aussi puissant que le pétrole pour « punir » économiquement ceux qui la contrarient diplomatiquement». Le message est clair : du chantage au gaz.

    Mais, le gouvernement espagnol ne cédera pas au chantage. Le jour où il devait arriver en Algérie, le chef de la diplomatie espagnole, Miguel Angel Moratinos, a publié une «tribune libre» sur les colonnes du quotidien espagnol El Pais où il a réitéré la position de son gouvernement sur la question du Sahara. «Le Maroc a mis sur la table un élément nouveau, d’un intérêt indubitable, et considère que cela pourrait générer une nouvelle dynamique de dialogue pour sortir de l’impasse actuelle», a dit M. Moratinos.

    Le chef de la diplomatie espagnole a aussi envoyé un message clair aux Algériens en soulignant que la recherche d’une solution acceptée par les deux parties est de nature à «aider les pays du Maghreb à refermer la plaie ouverte il y a trente ans et qui empêche la naissance de ce Maghreb uni et prospère».

    Moratinos rappelle ainsi que le règlement définitif de l’affaire du Sahara sert aussi bien les intérêts d’Alger que ceux des autres pays maghrébins. Mais le pouvoir algérien ne semble pas être intéressé par la stabilité de la région.

    Dans un entretien accordé (par écrit) au quotidien El Pais, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a non seulement rejeté le projet d’autonomie au Sahara marocain, mais il est même allé jusqu’à menacer le Maroc de la reprise des armes par le Polisario. «C’est une hypothèse qui, à mon avis, ne devrait pas être exclue», a-t-il répondu au journaliste qui l’interrogeait sur une éventuelle reprise des hostilités entre le Maroc et la bande à Abdelaziz El-Marrakchi.
    والــــــــــســــــــــــــلام

    #223528
    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    بــــــــــــــاســــــــــــــم الله وبــــــــــــــــالله الــــــــــــتــــــــــــوفــــــــــــــيــــــــــــق

    L’ALGERIE OFFICIELLE ET NOTRE INTEGRITE TERRITORIALE ???

    :
    Le dossier du Sahara est une affaire algéro-marocaine. C’est aujourd’hui une évidence comme il l’était pour toujours d’ailleurs, y compris pour ceux qui, dans le passé, adoptaient la position paradoxale de l’Algérie, à savoir défendre les principes de l’autodétermination des peuples Mais c’est une évidence qui nécessite d’être rappelée car souvent oubliée., outre le rôle de l’Algérie, a mis en évidence d’autres aspects importants., ou que l’on s’y intéresse par la dimension historique, que l’on s’intéresse à sa dimension politique ou à son aspect militaire, on finit toujours par aboutir à l’Algérie.
    L’Algérie pour un pays qui s’intéresse seulement aux principes fondateurs du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est plutôt le principal acteur du blocage de l’application de ce principe dans nos régions du Sud.
    Elle n’a cessé de faire cela depuis que le dossier est devant l’instance onusienne. Elle l’a fait, il y a à peine quelques jours, devant la 4ème commission de l’assemblée générale.
    Devant cette instance, l’Algérie et le Polisario, mais c’est surtout la première qui agissait, rejetaient la nomination du représentant personnel du secrétaire général de l’ONU.
    C’est encore l’Algérie qui, présentant un mémorandum à la commission de décolonisation, qualifie le Maroc de force coloniale, ce que même le chef du Polisario Abdelaziz n’a jamais fait.
    Le second aspect c’est qu’au Maroc, il n’y a aucun tabou sur ce dossier. Tout peut être débattu, susciter polémique et même controverse, contrairement à ce que certains prétendent ailleurs.
    Et l’unanimité que suscite la défense de l’intégrité territoriale du Maroc, la défense de la marocanité du Sahara, n’est ni le produit d’un tabou, ni le résultat d’un diktat d’en haut. C’est le résultat d’un engagement total et populaire en particulier au sein des populations du Sahara.
    Cette unanimité n’empêche pas le débat sur la manière de défendre nos droits et même les critiques sur cela.
    Ce n’est pas le cas hostilité d’Alger vis-à-vis de l’intégrité territoriale de notre pays, qui n’a aucun prolongement au sein du peuple algérien. Elle n’est que le fait du pouvoir algérien et d’une frange en particulier celle de la bande des généraux et leur pion Bouteflika
    Ce constat ne mène pas cependant à avoir la même position sur le sens de l’actuelle stratégie algérienne. C’est l’autre aspect important du débat. L’équipe à M. Bouteflika prépare-t-elle la guerre? Où s’agit-il de simples manœuvres?
    Il y a, en la matière, deux attitudes celle, qui est de la main tendue à l’Algérie. Une attitude qui défend sereinement la paix et estime que la raison finira par triompher à Alger.
    L’autre attitude est celle qui juge que, même si les achats d’armement relève de la liberté des Etats, et entrepris par l’Algérie, ils sont à un titre ou à un autre destinés au Maroc. Et de ce fait, la vigilance est de mise.
    Mais qu’il s’agisse de l’attitude de la main tendue ou de la vigilance, à aucun moment, il n’y a eu de discours belliqueux de va-t-en-guerre.
    Cela aussi, constitue une différence entre l’attitude du Maroc et des Marocains et celle de l’Algérie officielle.

    والسلام علي من استمع القول وعرف أحسنه

    Yamouni Abdelaziz
    Participant

    باسم الله الرحمن الرحيم ,والصلاة والسلام علي أشرف المرسلين , وعلي آله وصحبه أجمعين

    قــل قـــد جــــاء الــحــق وزهــق الــبــاطــل ان الــبـــاطـــل كـــان زهـــــــــوقـــــــا
    صدق الله العظيم

    31 ANS DEJA QUE LE DERNIER SOLDAT ESPAGNOL QUITTAIT LE SAHARA

    Trente et un ans déjà que le dernier soldat espagnol, affilié au corps d’armée coloniale qu’on appelait le « Tercio », quittait le territoire marocain au Sahara. Après des décennies d’occupation, le drapeau marocain s’était mis à flotter au-dessus d’une battisse qui servait de l’état major du gouverneur général de l’occupation,et qui se trouvait exactement au lieu dit :Souk Ezzaj l’un des rares bâtiments – consistant souvent en de simples baraquements – que l’Espagne franquiste avait « légués» au Maroc.

    A l’ex-Villa Cisneros, rebaptisée Dakhla, un ferry avait embarqué l’essentiel des troupes et , seul avec quelques autres, était resté un colonel, chargé de passer le relais à notre vaillante armée .

    La décolonisation était définitivement achevée en ce mois de février 1976. Laâyoune, Smara, Boujdour, Dakhla comme aussi les profondes localités du Sahara renouaient avec leur passé marocain et retrouvaient leur raison d’être, après une longue nuit coloniale.

    Il faut replonger dans l’ambiance fiévreuse de cette époque pour mesurer la charge émotionnelle de ce retour en forme de justice rendue a notre pays. Pourtant, l’animosité du gouvernement algérien ne s’accommodait guère de cet apurement d’un conflit ayant opposé le Maroc et l’Espagne des décennies durant et mobilisé la diplomatie des deux pays et qui a connu son couronnement lors de l’accord de Madrid signé le 14 novembre 1975, en vertu duquel l’Espagne rétrocédait le Sahara à son ayant droit, le Maroc.

    Cet accord tripartite signé sous l’égide des Nations unies, entériné par l’Assemblée générale fin décembre de la même année, stipulant que l’armée espagnole évacuerait le territoire au plus tard fin février, avait – a toujours d’ailleurs – valeur juridique irréfragable.

    Croyant le contourner, et d’une certaine manière le piétiner, le gouvernement algérien a choisi de créer à la même date – celle du départ des soldats espagnols – la fantomatique<< rasd>>. Pis encore : il avait lancé des agressions contre notre pays, notamment à Amgalla, rappelant celle lancée en 1963 contre Figuig et les petites villes situées aux frontières du Sud-est.

    Cette agression que l’Algérie de feu Boumediene assuma à l’époque, parce qu’elle était délibérément planifiée et exhalait un parfum de rancoeur, avait entraîné le 7 mars 1976 – il y a donc trente et un ans – la rupture des relations diplomatiques entre nos deux pays.
    La mascarade des festivités organisée à Tifariti actuellement , agrémentée de communiqués triomphalistes, s’accompagne aussi d’une surprise : Alger entend relancer le plan Baker 2003… ! qui est enterré définitivement Ses diplomates, désarmés face au succès du projet d’autonomie et n’ayant rien d’autre à proposer, n’en démordent décidément guère.

    On exhume un texte ainsi, relégué déjà aux calendes grecques par les mêmes Nations unies qui en avait appelé à une solution négociée. والـــــــــــــــســــــــــــــــــلا م
    [/b]

    fadi
    Membre

    @Yamouni Abdelaziz wrote:

    Pour le Monsieur qui dit qu’il faut attendre pour voir ce qu’il y aura de cette proposition du maroc. T’a oublié que nous sommes labà et nous y resterons for ever,ce dont tu entends parler ce n’est que du protocole et de la routine administrative.L’important est déjà acquis depuis le 6 Novembre 1975, monsieur tu n’a qu’à faire un saut labà pour voir comment ça ce passe there,la province du sahara Lâayoune n’a rien à envier a notre chère
    et belle Oujda .
    Nos frères de l’est perdure le problème,uniquement et dans le seul but
    pour qu’ils ne nous laissent pas de temps à leur réclamer
    ce qui nous appartient,c’est-à-dire le littoral qui rallonge Béchar a Tindouf
    c’est ça toute l’histoire .Mais qu’ils se rassurent bien… c’est presque fait.

    Il faut se méfier de ces nouveaux jeux d’auto-determination des territoires ..

    Qui sait une fois l’autodetermination en poche, nos chers compatriotes sahraouis reclameront un Etat indépendant !!

    J’ai des camarades de Laayoune .. Ils ne cessent pas de nous répéter que le Sahara n’est pas Marocain .. C’est pas des salades que je raconte Monsieur Yamouni ..

    ratek84
    Participant

    Pour Mr Hafid je pense pas que tout les algériens sont pour la séparation du sahara du territoire marocain, par exemple Hizb Al OUMMAL présider par LUIZA HANNOUN a tjrs di que le sahara est marocain
    et pour Mr Oujdi.net je suis avec toi il faut que nous partis politique réclame notre droit dans une partie du sahara de l’ouest algérien et même de quelque ville dans le nord-ouest
    Fi amani lah

15 réponses de 91 à 105 (sur un total de 142)
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