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Sujet: Mon Histoire Avec Le Makhzen
Mon Histoire Avec Le Makhzen
Act :1
En quittant l’Algerie en 1998 après 40 ans de vécu et 3 Déportations. En 1963 ( la guerre des sables), en 1975 ( le conflit du sahara occidentale) et 1992 ( à cause de mon militantisme au sein du Front Islamique du Salut).
J’ai contacté les services de l’ambassade du Maroc à paris afin qu’il m’aide dans mon travail de mémoire concernant les marocains d’algerie.
J’ai travaillé pendant 2 ans de 2001 à 2003 pour le compte de la DGED ( la Direction Générale de l’étude et de la Documentation.J’ai couvert toutes les marches et les manifs à paris à propos des protestations contre la loi antivoile.
J’ai même réussi à, passer les mailles du filet pour participer au congrès du Front du Polisario en 2003 à VITRY).
En sortant du congrès pour remettre les enregistrements au représentant de la DGED.
Il n’était plus là. Il s’est contenté de relever les plaques d’immatriculation des voitures qui venaient de l’étranger.
Avant de m’engager avec ce service mon contact de ce service Mohamed M. m’a demandé de lui remettre un rapport détaillé de mon parcours. Pour l’envoyer à ce même service rattaché au palais royale à Rabat et ce afin de me recruter.
Enfin de compte c’était de la manip . Il m’a proposé de devenir informateur au sein du courant Islamiste marocain. Vu que j’étais entrain de préparer une thèse sur le Front Islamique du Salut(le F I S).
Jaloux de mon autonomie je l’ai renvoyé dos à dos lui et les services de l’ambassade avec violence verbale.
A ce moment là il m’a dit de présenter mon projet de mémoire au ministère de la culture.Act : II
2006 je monte une association ( l’ A M A) , un forum et un site et un livre en cours sur mon recit de vie ( mémoire d’un Maroqui d’Algerie).
Le mois de mai je contacte l’ambassade à nouveau pour lui soumettre mon projet. L’attaché culturel me conseille de contacter Mr : ht.du social ( les services de la DGED opère sous cette appellation.
J’envoie un mail explicatif à ce Mr avec mon numéro de portable.
Aucune réponse selon la secrétaire c’est lui qui ne veut pas répondre.
Juste avant le même coup avec Mr ; djamel M. Fonctionnaire au cabinet du ministère des affaires étrangères. Ce dernier m’a contacté après m’avoir observé sur le forum de bladinet.
Il m’a proposé de plaider ma cause avec son chef. Mais il faut que je lui envoi un support sur ma trajectoire . Depuis il ne répond plus il m’évite.
Je vous laisse apprécie.[marocains-d-algerie.niceboard.c om]
salut
Avec cette grande montée de médiatisation sur le dossier de sahara ,on peut remarquer que les propos apportés par les deux gouvernements sont de plus en plus agressifs vis-a-vis de l’autre. Mais la question à poser c’est de savoir la position de peuple dans tous ça ,je ne parle pas du pb de sahara mais de la relation algéro_marocaine.
Je pense que nous somme manipulé par nos gouvernements qui essaient de nous faire croire qu’on est des ennemis.
Pourquoi n’essayant pas de regarder plus loin afin créer notre grand magrheb . je pense que nous avons besoin de l’algérie comme ils ont besoin de nous,on peut devenir vraiment une grande puissance.
Vous allez me dire que nous on est pour rien, moi je pense que si,car on peut changé les choses si on veut.
Vous pourriez remarquer l’impact du à la fermeture des frontières sur l’économie de notre région la même chose est constaté de l’autre coté (Maghnia).PS:ce n’est pas un sujet politique sur le sahara marocaine
Sujet: CHAINE LOCALE
je demande pourquoi ❓ pas penser à crèer ou avoir une chaine locale et regionle de WILLAYAT D’OUJDA comme la chaine de sahara confusionèe avec la une marocaine, 😉
بـــــــــــا سم الله وبـــــــــالله الــــــــــتــــــــــوفــــــــــق
الــــجــــزائـــــر الـــــــرســـــــمــــــيـــــــة تـــــقــــارن الــــــصــــحـــــراء الــــمـــــغــــربــــيــــة بـــــفـــــــلـــــــســـــطـــــيــــــن
الـــــــــــــــــــــــــمـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــحـــــــــــــــــــــــــــــــــــــتـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــلــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــة
L’ambassadeur, représentant du Royaume du Maroc auprès de l’Office des Nations unies à Genève, Mohamed Loulichki, a dénoncé mercredi « les amalgames et les contrevérités » contenus dans la déclaration faite par le ministre algérien des Relations avec le Parlement au nom de son pays devant la 4e session du Conseil des droits de l’homme.
Usant du droit de réponse, M. Loulichki a relevé que « l’amalgame entre la question palestinienne et la question du Sahara est indécent et insultant pour le peuple marocain et pour l’ensemble des peuples du Maghreb qui ont mélangé leur sang dans la lutte pour l’indépendance des pays de la région ».
Relevant que « l’Algérie parle de retard dans la mise en œuvre du plan pour le règlement de la question » du Sahara, M. Loulichki a fait remarquer que « c’est plutôt ce pays qui a tout fait, depuis 1975, pour contrecarrer les droits légitimes du Maroc de recouvrer ses provinces du Sud ». Et c’est encore l’Algérie qui « s’évertue à créer un différend artificiel à des fins hégémoniques dans la région », a-t-il expliqué avant de rappeler que « la seule contribution de l’Algérie a été le projet de partition officielle proposé par le Président algérien à l’ex-envoyé spécial du secrétaire général de l’Onu, James Baker ».
L’Algérie, a-t-il dit, parle des brouillages des repères par le Maroc. « Est-ce le Maroc qui brouille ces repères en s’engageant concrètement et résolument dans la recherche d’une solution politique définitive et consensuelle ou est-ce plutôt l’Algérie, qui se comporte, tantôt, en partie directe pour combattre toute solution qui ne satisfait pas ses prétentions et ses desseins, tantôt, se rétracte dans un prétendu statut d’observateur pour fuir ses responsabilités internationales », s’est interrogé le diplomate marocain.
Notant que « l’Algérie parle de retard dans la mise en œuvre du plan de paix », M. Loulichki s’est demandé s’il y a lieu « de parler de la mise en œuvre d’un plan mort-né car ne bénéficiant pas de l’appui de toutes les parties », précisant que « c’est parce que ce plan n’est pas considéré comme une proposition viable que le Conseil de sécurité a appelé le Maroc et l’Algérie à sortir de l’impasse et à progresser vers une solution politique ».
« Le Maroc a eu le courage de prendre l’initiative d’une solution d’autonomie, fruit d’une concertation entre toutes les composantes de la population de ses provinces du Sud », a rappelé l’ambassadeur, formant l’espoir que « l’Algérie aura aussi le courage de s’associer à cette dynamique de paix salutaire pour les peuples de la région afin qu’ils puissent s’atteler à la construction du Maghreb ».
Il a par ailleurs souligné que c’est « l’Algérie qui fait une fixation sur le Maroc et son droit à parachever son intégrité territoriale et c’est encore elle qui s’investit diplomatiquement, financièrement et militairement pour bloquer toute solution, tout en se réclamant du statut d’observateur ».
De même que « tout en reconnaissant que la question du Sahara relève de la quatrième Commission et du Conseil de sécurité, l’Algérie se contredit en réservant à cette question des paragraphes substantiels dans sa déclaration devant le Conseil des droits de l’Homme », a fait encore remarquer le diplomate marocain.
اللـــــــــــــــــهـــــــــــــــم ان هـــــــــــــذا مـــــــــــــــنـــــــــــــكـــــــــر
باسم الله الرحمن الرحيم ,والصلاة والسلام علي أشرف المرسلين , وعلي آله وصحبه أجمعين
قــل قـــد جــــاء الــحــق وزهــق الــبــاطــل ان الــبـــاطـــل كـــان زهـــــــــوقـــــــا
صدق الله العظيم31 ANS DEJA QUE LE DERNIER SOLDAT ESPAGNOL QUITTAIT LE SAHARA
Trente et un ans déjà que le dernier soldat espagnol, affilié au corps d’armée coloniale qu’on appelait le « Tercio », quittait le territoire marocain au Sahara. Après des décennies d’occupation, le drapeau marocain s’était mis à flotter au-dessus d’une battisse qui servait de l’état major du gouverneur général de l’occupation,et qui se trouvait exactement au lieu dit :Souk Ezzaj l’un des rares bâtiments – consistant souvent en de simples baraquements – que l’Espagne franquiste avait « légués» au Maroc.
A l’ex-Villa Cisneros, rebaptisée Dakhla, un ferry avait embarqué l’essentiel des troupes et , seul avec quelques autres, était resté un colonel, chargé de passer le relais à notre vaillante armée .
La décolonisation était définitivement achevée en ce mois de février 1976. Laâyoune, Smara, Boujdour, Dakhla comme aussi les profondes localités du Sahara renouaient avec leur passé marocain et retrouvaient leur raison d’être, après une longue nuit coloniale.
Il faut replonger dans l’ambiance fiévreuse de cette époque pour mesurer la charge émotionnelle de ce retour en forme de justice rendue a notre pays. Pourtant, l’animosité du gouvernement algérien ne s’accommodait guère de cet apurement d’un conflit ayant opposé le Maroc et l’Espagne des décennies durant et mobilisé la diplomatie des deux pays et qui a connu son couronnement lors de l’accord de Madrid signé le 14 novembre 1975, en vertu duquel l’Espagne rétrocédait le Sahara à son ayant droit, le Maroc.
Cet accord tripartite signé sous l’égide des Nations unies, entériné par l’Assemblée générale fin décembre de la même année, stipulant que l’armée espagnole évacuerait le territoire au plus tard fin février, avait – a toujours d’ailleurs – valeur juridique irréfragable.
Croyant le contourner, et d’une certaine manière le piétiner, le gouvernement algérien a choisi de créer à la même date – celle du départ des soldats espagnols – la fantomatique<< rasd>>. Pis encore : il avait lancé des agressions contre notre pays, notamment à Amgalla, rappelant celle lancée en 1963 contre Figuig et les petites villes situées aux frontières du Sud-est.
Cette agression que l’Algérie de feu Boumediene assuma à l’époque, parce qu’elle était délibérément planifiée et exhalait un parfum de rancoeur, avait entraîné le 7 mars 1976 – il y a donc trente et un ans – la rupture des relations diplomatiques entre nos deux pays.
La mascarade des festivités organisée à Tifariti actuellement , agrémentée de communiqués triomphalistes, s’accompagne aussi d’une surprise : Alger entend relancer le plan Baker 2003… ! qui est enterré définitivement Ses diplomates, désarmés face au succès du projet d’autonomie et n’ayant rien d’autre à proposer, n’en démordent décidément guère.On exhume un texte ainsi, relégué déjà aux calendes grecques par les mêmes Nations unies qui en avait appelé à une solution négociée. والـــــــــــــــســــــــــــــــــلا م
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