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Bonjour, je suis nouveau sur le forum. Je ne connais rien ou presque de l’histoire du Maroc. Je suis illustrateur. Je dois représenter des guerriers idrissides du temps où les Omeyyades tentaient de s’approprier leurs terres. Quelqun peut-il m’aider, je ne trouve aucune illustration sur le net ?
Merci …
باسم الله الرحمان الرحيم ,الحمد لله رب العالمين والصلاة والسلام علي أشرف المرسلين
أمــــــــــا بـــــــــــــــــــعـــــــــــــــــــــد :
فرغم كيد الكئدين وحقد الحاقدين وطمع الطامعين من نيل وحدتنا الترابية وابعادنا من بيئتنا ومحيطنا وجذورنا المتجدرة في أعماق أعماق قارتنا, بفضل تاريخنا المجيد وتضحية ونضال أجدادنا الأماجد رغم كل ما يقوم به هؤلائك وأولائك كما قلت ,فانا قارتنا وأبناء قارتنا لم ولن يتخلوا عنا ولن ينسوا أبدا فضل بلدنا في جميع الميادين والماجلات علي كل بلدان هذه القارة السالمة تقريبا .
والليل علي ما أقول مرة أخري يوجد في القال الآتي الذي صدر بعد ختام اللقاء الوطني للشباب الذي أنعقد مؤخرا في العيون عامة الساقية الحمراء وواد الذهب .والسلام عليكم ورحمة الل تعالي وبركاته.Le Royaume est toujours l’un des piliers forts du continent
La question du retour du Maroc à la famille africaine resurgit à l’occasion de la tenue à Laâyoune de la rencontre nationale de la jeunesse où des jeunes originaires de 29 pays africains ont appelé le président de la commission de l’Union africaine (UA) à favoriser toutes les actions qui peuvent permettre au Maroc de retrouver sa place au sein de l’AU.
«Conscients du rôle que joue le Maroc dans la promotion d’une solidarité active entre les peuples et les Etats de la région, nous demandons au président de la commission de l’Union africaine de favoriser toutes les actions qui peuvent permettre au Royaume de retrouver sa place au sein de l’AU dont il est membre fondateur et ce, dans le respect de ses choix fondamentaux», a souligné Ba Bassirou, secrétaire général de la Confédération des étudiants et stagiaires africains étrangers au Maroc (CESAM), cité par l’agence de presse MAP.
L’appel des jeunes africains rejoint la revendication de leurs pays qui jugent impensable que le Maroc continue à être absent de l’Union africaine au moment où le continent a besoin de tous ses membres pour faire face aux défis posés par la mondialisation. Tous sont unanimes à insister sur le fait que le Polisario n’a plus aucun argument à faire valoir. La «rasd» n’a aucune existence légale puisqu’elle a frauduleusement été admise au sein de l’OUA par l’ancien secrétaire général de l’Organisation, Edem Kodjo, lors de la conférence ministérielle de l’OUA tenue en novembre 1984 à Addis Abeba. Celle-ci avait intégré en son sein une entité n’ayant aucun attribut d’un Etat souverain et indépendant.
La forfaiture de M. Kodjo commise à l’instigation de ses commanditaires et des fossoyeurs de la légalité, est un complot ourdi non seulement contre le Maroc, pays fondateur de l’Organisation, mais contre toute l’Afrique. Lors de la création de l’Union africaine qui a pris le relais de l’OUA en 2001, le Maroc avait affirmé que celle-ci répétait «l’erreur originelle commise par l’OUA en permettant à cette entité fantoche de signer l’acte constitutif et de le ratifier par la suite». Une entité ne jouissant ni de légitimité, ni de souveraineté, ni des éléments constitutifs d’un Etat.
Pourtant, un article de la Charte africaine précise qu’aucun n’a le droit d’amputer un Etat en Afrique de son prolongement naturel. C’est-à-dire de son Sahara. Sachant que l’Algérie, le Mali, la Libye, le Niger, le Soudan, le Tchad, l’Egypte, etc., ont leur Sahara. Faut-il rappeler qu’en septembre 1961 à Belgrade, à la conférence constitutive du mouvement des pays non-alignés, il a été voté à l’unanimité une résolution importante en faveur du Maroc sur son Sahara. Cette même conférence a adopté en faveur de l’Algérie, une résolution réclamant le retour du Sahara algérien au territoire de l’Algérie.
Aujourd’hui, des voix en Afrique et à travers le monde s’élèvent pour dénoncer la mascarade et demander le retour du Maroc à l’UA, pays fondateur qui n’a jamais renié ses engagements envers le continent ou ménagé son soutien moral et matériel aux mouvements de libération africains. La tenue de la conférence de Casablanca et la rencontre des mouvements nationalistes des colonies portugaises du 18 au 20 avril 1961 dans la même ville en sont l’illustration. L’appel de la jeunesse africaine lancé à partir de Laâyoune consolide les liens historiques et fraternels entre le Royaume du Maroc et les pays de l’Afrique.
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Appel au S.G de l’ONU
Les participants à la rencontre nationale de la jeunesse tenue à Laâyoune ont adressé un appel au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, dans lequel ils dénoncent vigoureusement l’état de siège imposé aux séquestrés des camps de Tindouf et de Lahmada, au sud de l’Algérie.Dans une déclaration publiée au terme des travaux de cette rencontre, tenue sous le thème « La jeunesse marocaine au service de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) », les participants condamnent fermement les opérations d’enlèvement de jeunes et de ceux qui osent s’opposer à la politique de mercenariat exercée par le « Polisario » dans les camps de Tindouf. Ils appellent le secrétaire général de l’Onu à intervenir d’urgence pour mettre fin aux violations des droits de l’homme et des enfants dans les camps de Tindouf et à la déportation des fils des séquestrés dans ces camps vers d’autres pays à des fins d’endoctrinement.
El Mahjoub Rouane
Sujet: l’Handicap au maroc
Il n’existe a l’heure actuelle aucune assistance à domicile des
personnes handicapées, par contre plusieurs centres gérés par des associations de et pour personnes handicapées, travaillent au quotidien auprès des PSH.La plupart des Enfants déficients mentaux sont pris en charge par leurs
familles, essentiellement les mères. Au Maroc, il n’existe aucun cursus
de formation pour les psychomotriciens par exemples. c’est vous dire
l’extrême vulnérabilité de la situation des enfants en situation de
handicap.Par ailleurs, la question de l’intégration pose un vrai problème, des
efforts notables doivent être encore fournis pour faciliter cette
intégration, pour l’heure c’est au niveau de la loi que les obstacles a cette
intégration demeurent, pour exemple une loi sur les accessibilités
votée en 2003 instaure le principe de l’accessibilité pour les nouveaux
bâtiments (construits a partir de 2003), mais n’impose pas le réaménagement des anciens bâtiments!.En outre les classes intégrées, bien qu’en nombre réduit, existent dans
certaines grandes villes entre l’axe Tanger-Casablanca, mais dans la
majorité des autres villes, les familles doivent compter sur leurs
propres moyens.Une enquête sur la situation décrite plus haut est disponible sur le
lien suivant: http://www.sefsas.gov.ma/htm/enquete.htmdu site tanmia .