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Aspartame: attention danger!!!
Attention à l’aspartame (Canderel…) ce sucre n’est pas bon pour la santé… Comme la plupart des filles au régime, j’ai succombé à l’idée qu’un sucre avec autant de pouvoir sucrant pouvait être moins calorique. Je ne sortais pas sans ma boîte Canderel dans le sac… Oui mais voilà, quand on y réfléchit un peu, pour retrouvrer le pouvoir sucrant d’un sucre sans les calories, il faut taper dans les produits chimiques. Et les produits chimiques ne sont pas bon pour notre petit corps… Prendre un sucre roux à la place d’une sucrette, c’est mieux. Le sucre roux est meilleur que le sucre blanc…Si vous voulez vous en persuader, lisez cet article trouvé sur Internet… ça calme!!!
« L’aspartame, méchant, méchant!
par Julie Brière
Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédanés sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur…
À première vue, c’est génial : se sucrer le bec sans subir l’inconvénients des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s’allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits « diète ». Pire, on sait maintenant que la consommation d’aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau…
En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau: en 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau; en 1987, l’incidence était passée à 8,1 % pour ces messieurs, grimpant même à 11,7 % chez les femmes! En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l’apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l’aspartame. Le débat pour son retrait du marché n’a pas cessé depuis.
Additif ou drogue
L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d’Égal, l’aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l’acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l’aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l’aspartame dans un inventaire d’armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d’aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d’armes chimiques…
Des études douteuses
C’est en 1974 que l’aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l’autorisation est abrogée. Ces études n’ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l’aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études « bidons », qui feront pencher la balance du côté de l’aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes… qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d’animaux ont été cachés, que des tumeurs n’ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu’elles ont même été extraites de l’animal qui, lui, a été remis dans l’étude!
En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d’analyser l’ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d’aspartame. Ses observations parlent d’elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l’industrie de l’aspartame, et 100 % d’entre elles concluaient qu’il n’y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l’usage de cet édulcorant. L’aspartame est l’objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d’une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n’est pas prête de lâcher le morceau…
Des effets secondaires troublants
La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès! Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d’éviter l’aspartame. Une étude récente a également démontré que l’aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c’est-à-dire une perte de calcium dans les urines.
Aspartame et gain de poids
Puisque l’aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu’il envoie une dose massive d’insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d’édulcorants comme l’aspartame provoquerait effectivement des « crises » de sucre. L’American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n’en consommaient pas.
Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà « économisé »… Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
Diabétiques, s’abstenir
Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des « vertes et des pas mûres » avec l’aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d’hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu’ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l’erreur ignoraient que l’ingestion d’aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.
Quoi faire?
Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d’un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l’aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d’une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent – dont l’aspartame – au risque de subir des crises d’épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l’aspartame.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l’aspartame s’est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.
Où se cache-t-il?
En 1992, l’aspartame apparaissait dans plus de 4 200 produits alimentaires aux États-Unis : certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses « diète », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré « sans sucre » et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées – ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.
Ressources
Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l’aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes.Par Hamid CHAFIK
DESCRIPTION :
Le Fenouil est une plante bisannuelle ou vivace à racine fusiforme allongée, de la grosseur d’un doigt, ronde et blanchâtre. La tige, qui peut atteindre 2 mètres, est cylindrique, ronde, quelquefois légèrement aplatie, un peu striée, rameuse, jolie, d’un vert gai. Elle porte des feuilles alternes très grandes, à pétiole largement embrassant, découpées d’un grand nombre de segments très fins. Les fleurs, jaunes et petites, visibles de juin à septembre, sont disposées en ombelles à l’extrémité des tiges. Elles donnent des fruits oblongs, à cottes saillantes et égales.
CULTURE ET RÉCOLTE :
Le Fenouil est courant dans les régions chaudes et tempérées d’Europe, il préfère les sols calcaires et secs. On le prophytotherapie par les graines que l’on sème en pleine terre dès leur maturité en octobre. Il se ressème ensuite de lui-même.
Récoltez les racines en septembre dès la première année, lavez-les et coupez-les, faites-les sécher dans des endroits secs et abrités.
Coupez feuilles et tiges d’avril à juin, réunissez-les en bouquets, faites-les sécher à l’ombre. Ramassez les graines au fur et à mesure de leur maturité. Coupez les tiges, faites-les sécher au soleil, battez-les pour séparer les graines, faites-les de nouveau sécher à l’ombre.
USAGES :
Le fenouil ou aneth doux est une plante médicinale de la plus haute Antiquité. Son huile essentielle était alors utilisée contre les parasites du corps. Toute la plante possède une agréable odeur anisée. C’est le fruit qui est utilisé pour ses propriétés sur l’appareil digestif. Riche en huile essentielle, il est antispasmodique et spasmolytique il soigne les spasmes et les douleurs de l’estomac (gastrite) et du côlon (colite). Le fenouil permet d’éviter les fermentations intestinales : il combat la formation des gaz intestinaux et est indiqué dans l’aérophagie. C’est aussi un stimulant de la digestion.
Une étude clinique effectuée en 1990 a montré la très bonne efficacité de l’association menthe-fenouil-millefeuille dans le traitement des troubles de la digestion ballonnements, lourdeurs après le repas. aérophagie, douleurs et nausées dues à une mauvaise digestion. Le fenouil favorise également la montée de lait chez les femmes éprouvant certaines difficultés.
INDICATIONS :
Le fenouil est un excellent remède pour beaucoup de maladie, malaises et douleurs.
La prochaine fois, je vous donnerai quelques recettes à base de fenouil , très facile à préparer et économique ;bien entendu, efficace!As-Salâmu ‘alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh. Bismillâhi r-Rahmâni r-Rahîm. Louange à Allah, Seigneur de l’univers, que le Salut et les Prières d’Allah soient sur le maître des Messagers. Que les prières d’Allah et Son Salut soient sur Muhammad, ainsi que sur ses proches, et tous ses Compagnons. Le jour ou le mensonge est permis chez les mécréants est enfin arrivé, vous vous en doutez chers frères et soeurs nous sommes le 1er avril 2009 et comme chaque année ce jour est l’objet de toutes les farçes et toutes les tromperies garder en réserve. C’est égaement le jour durant lequel celui qui trompe autrui et ment le mieux est aussi celui-ci qui reçoit le plus d’éloges.
Il est clair que bon nombre de musulmans tombent également dans la célébration de ce jour en imitant les pratiques des non-musulmans, hors le poisson d’avril a-t’il une source dans l’Islam et est-il recommandé d’y participer ?! C”est pour répondre aàcette question que je publie cet article publié par le très bon site IslamHouse. Ce long texte est l’oeuvre du frère Louqman Ingar et a été Revu, adapté et ajouté par le frère Abu Hamza Al-Germâny, il explique l’origine de cette pratique et son Jugement dans l’Islam à partir du Qur’an et de la Sunnah.
“Et pourtant il y a bien un jour dans l’année où néophytes et experts partent à la pêche pour « pécher » … un poisson ou « pêcher » du poison !
En effet parmi les coutumes qui résultent de notre élan enthousiaste et insouciant à suivre le modèle de vie non islamique se trouve une coutume très répandue, celle du poisson d’avril. Mentir durant ce jour, tromper quelqu’un ou le ridiculiser sont non seulement autorisés, mais encouragés par ce phénomène de société. Celui qui se montrera le plus rusé, le plus malin ou fera preuve d’imagination féconde et aiguisée sera digne des appréciations les plus élogieuses.
Cette mauvaise plaisanterie cause de nombreux torts à bon nombre de personnes…
Du point de vue de l’éthique, le côté pernicieux et funeste de cet événement n’est pas à démontrer. Par contre son explication historique, tant peu soit-elle authentique, est intimement liée à des antécédents païens et se révèle être tout à fait déplorable pour ceux qui croient à la prophétie de Jésus (sur lui la paix).
L’origine du poisson d’avril :Les historiens ont émis des avis divergents à propos de son origine. Certains historiens disent qu’en France, avant le 17ème siècle, le début de l’année coïncidait avec le mois d’avril. Les Romains avaient l’habitude de vénérer leur déesse Vénus pendant ce mois. La traduction de Vénus en Grecque était Aphrodite et il est possible que l’origine du mot avril vienne de cette nomination grecque (Encyclopédie Britannica 15ème édition vol 8, p 292).
Ainsi, le début du mois d’avril correspondait au premier jour de l’année et à la célébration d’une déesse. Les gens organisaient des festivités dans lesquelles les plaisanteries et les moqueries égayaient l’atmosphère. Les cadeaux que l’on s’offrait prenaient parfois des tournures de moqueries. Et petit à petit le poisson d’avril prit forme.
L’histoire rapporte également une autre version de l’origine de cet événement. Il est dit que le 21 mars était le début du changement de saison. Certaines personnes interprétaient cela comme une moquerie du ciel. Puisque la nature se gausse de nous, alors nous aussi durant cette période on va se moquer les uns les autres ; qu’Allah nous préserve de cette bassesse et de ce mauvais comportement ! (Britannica, vol 1 p 496).
Qu’ils l’aient fait pour suivre les « railleries » de la nature ou pour se venger d’elle, cela reste indéterminé.
On dit aussi que cette tradition trouverait son origine en France, en 1564. La légende veut que jusqu’alors, l’année aurait commencé au 1er avril comme on a vu précédemment, mais le roi de France Charles IX décida, par l’Édit de Roussillon, que l’année débuterait désormais le 1er janvier, marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Mais en fait, l’année civile n’a jamais débuté un 1er avril.
Si l’origine exacte de l’utilisation des poissons reste obscure (peut-être l’ichthus chrétien), la légende veut que plusieurs de ses sujets se rebiffassent à l’idée qu’on leur chamboulât le calendrier, et ils continuèrent à célébrer les environs du 1er avril. Pour se payer leur tête, des congénères profitèrent de l’occasion pour leur remettre de faux cadeaux et leur jouer des tours pendables. Ainsi naquit le poisson, le poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement. Plusieurs usages semblent s’être en fait mélangés, avec celui du carnaval :
· marquer la sortie du signe zodiacal des Poissons, dernier signe de l’hiver
· prolonger la période du carême, où il n’était permis de manger que du poisson,
· confondre le benêt en lui offrant un poisson à une époque de l’année, celle du frai, où la pêche était interdite.
Ces origines prouvent qu’il est regrettable que les musulmans imitent les incrédules et les insouciants… Prenez garde chers musulmans, vous rendrez compte de chaque acte devant Allah !!! Ce qui suit va vous surprendre !
Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui et le frappaient en ce jourUne troisième version est rapportée par l’encyclopédie Larousse qui affirme être l’explication la plus authentique.
Elle mentionne que selon les traditions juives et chrétiennes, le premier avril correspond à la date à laquelle les Romains et les juifs ont fait de Jésus la cible de leurs moqueries et railleries. Cet incident est mentionné dans la bible :
« Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui et le frappaient. Ils lui voilèrent le visage et ils l’interrogeaient en disant, devine qui t’a frappé et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres injures » (Luc 22 ; 63-65).
Les textes bibliques rapportent également que Jésus (sur lui la paix) fut tout d’abord présenté à la cour de justice juive avant d’être transféré au tribunal de Pons Pilate afin d’être jugé. Mais ce dernier l’envoya vers le tribunal d’Hérode qui de nouveau le retourna chez Pilate. Selon le Larousse, le but de ce va-et-vient entre les deux tribunaux était de prendre en dérision notre prophète Jésus (sur lui la paix) et de lui infliger des peines et difficultés. Le premier du mois d’avril commémorerait ainsi cet incident honteux.
Le Larousse met encore plus d’emphase sur l’aspect tragique de cette dernière version en précisant que le mot poisson a été substitué à celui de poison dont la signification reflète la souffrance et la douleur qui entache l’événement. Ainsi, cette coutume était maintenue en souvenir des difficultés subies par Jésus (sur lui la paix).
Mais tel n’est pas l’avis de tout le monde : un autre auteur français a apporté une explication différente et pour le moins originale sur le mot poisson. Selon lui, le mot poison n’a pas sa place dans l’histoire. Poisson est bel et bien le mot utilisé dès le départ. Cependant, il correspondrait aux initiales de 5 mots dont la signification se rapporte à Jésus, fils, messie, Dieu et rançon (Encyclopédie arabe Farid wadjaddi vol 1 p 21,22).
Quoi qu’il en soit, le Larousse défend rigoureusement sa version, témoins à l’appui. Mais ce qu’il y a de plus surprenant dans cette affaire c’est que cette piteuse histoire n’a suscité aucun remous dans les sphères religieuses catholiques !!
Qu’elle n’effleure la sensibilité religieuse de personne c’est une chose, mais que tout le monde s’associe pour célébrer aveuglement et ironiquement cet événement pitoyable qui rappelle l’avilissement d’un Prophète de Dieu, c’est une attitude qui interpelle notre conscience.
Ces faits, au lieu d’être tournés en dérision, auraient dû créer l’indignation et la consternation surtout dans le cœur de ceux qui ont fait de Jésus la figure emblématique la plus sacrée de leur religion.
Une coutume religieuse étrangère à l’IslamIl n’en demeure pas moins que très probablement le poisson d’avril tire son origine d’un événement religieux étranger à l’Islam. Des fêtes vénusiennes en passant par l’imitation des facéties de la nature prétendent-ils et du souvenir des mésaventures de Jésus chez les Romains, quel que soit la vraie version des faits, elle sera néanmoins empreinte d’idolâtrie ou d’impudence ou d’humiliation qui sont des éléments sévèrement réprimandés dans l’Islam et du coup estampille cette coutume du cachet de l’interdiction.
En résumé trois facteurs d’interdiction se dégagent de cette pratique :
1) Prohibition du mensonge et de la tromperie dans l’Islam.
Notre Bien-aimé le Prophète Muhammad (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) nous en a mis en garde :
« Malheur à celui qui parle et ment pour faire rire les gens, malheur à lui, malheur et destruction à lui » (Authentique, rapporté par Abou Daoud vol 2 p 233)
Notre Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) a dit également :
« Trois signes sont révélateurs d’un hypocrite : lorsqu’il parle il ment… » (Rapporté par Boukhâry et Mouslim)
Le mensonge est en faîte une grande trahison envers l’autre.
2) Interdiction de la malveillance :
Il est rapporté du Messager d’Allah (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) que « le (vrai) musulman est celui dont les autres sont protégées (des méfaits) de sa langue et de sa main » (Rapporté par Boukhâri et Mouslim)
3) Qu’un musulman juge de lui même ! Une coutume dont l’origine prend sa source dans l’idolâtrie ou l’indécence ou rabaisse un Prophète de Dieu mérite-t-elle notre adhésion ?
Le problème est que beaucoup de musulmans croient à tort que l’on peut mentir si cela est fait par plaisanterie !! Ceci est faux, car cela contredit en effet la parole du prophète : « Je plaisante, mais je ne dis que la vérité » (Rapporté par Tabarâny et authentifié par Al-Albâny dans sahih al-jami3)
Et le hadith rapporté par Abou Hourayra qui raconte : « les compagnons interpellèrent le prophète en disant : « tu nous taquines ô Messager d’Allah ! » Il répondit (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) : « (oui), mais je ne dis que la vérité » (Rapporté par Attarmidhy et authentifié par Al-Haythamy)
Ces deux hadiths prouvent que le musulman peut plaisanter mais sans outrepasser les limites par le mensonge et tromperie.
Aussi le poisson d’avril est d’autant plus détestable qu’il n’est réussi chez le plaisantin que si la personne visée par cette prétendue plaisanterie se trouve dans un état d’angoisse ou d’anxiété. Plus la personne a peur et plus la plaisanterie est réussie !!! Les plaisantins n’hésitent pas à faire croire à une mort ou à une chose de très grave notamment entre les amis ! Mais où est l’amitié dans tout cela ! L’islam interdit de faire peur à autrui pour rire et s’esclaffer !! Justement, des compagnons du Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) plaisantèrent avec une personne endormie qui prit peur en se réveillant ; regardez la réponse claire du prophète de la miséricorde : « Il n’appartient pas (il est interdit) au musulman de faire peur au musulman. » (Rapporté par Abou Dawoud et Ahmad et authentifié par Al-Albâny dans sahih al-jami3)
Que chaque musulman médite ces hadiths et cesse son entêtement dans le faux.
Fatwa d’un grand savant à ce sujetQuestion posée à Cheikh Al-Fawzan (membre du Comité des grands savants du Royaume d’Arabie Saoudite), qu’Allah le préserve : Il est répandu de célébrer dans les pays non musulmans ce que l’on appelle le poisson d’avril, le 1er jour du mois d’avril. Certains musulmans qui imitent les non-musulmans estiment qu’il est permis de mentir ce jour-là. Que pensez-vous de cette croyance et de cette imitation ?
Réponse : Louange à Allah,
Le mensonge est absolument interdit en tout temps. Et il n’est pas permis d’imiter les incrédules en cela et de s’assimiler à eux dans ce domaine ou dans un autre, compte tenu des propos du Prophète (que la prière et le salut d’Allah soient sur lui) : « Quiconque s’assimile à un peuple en fait partie ».
Extrait des Fatwas de Cheikh Salih al-Fawzan
Publié dans la revue Ash-Shaqaiq, n° 32 du mois de safar.
On ne devrait pas prendre cette pratique avec légèreté et se laisser piéger dans le filet des coutumes illicites. En réfléchissant quelque peu sur l’origine et la réalité du poisson d’avril on comprendra, Incha Allah, l’importance de ne pas aller à la pêche ce jour-là ou plutôt au péché ce jour-là !!
Auteur : Louqman Ingar
Revu, adapté et ajouté : Abu Hamza Al-Germâny
Publié par Le bureau de prêche de Rabwah (Riyadh)










