brigand

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  • en réponse à : Pourquoi un mariage est si cher à Oujda??!! #275266
    brigand
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    On est toujours dans l’ancienne mentalité qui consiste à faire étalage de ses biens. Pourquoi tant de gaspillage? C’est de l’hybris. Et Dieu nous à dit de ne pas être un gaspilleur ni un avide ou avare, au milieu. Et sincèrement, ces nouvelles habitudes à fêter les mariages n’ont aucune relation avec notre religion.

    en réponse à : Pourquoi un mariage est si cher à Oujda??!! #275263
    brigand
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    C’est sûr, je suis totalement d’accord avec vous. Mais, cela n’est pas le cas de tous les habitants d’Oujda. Mon ami sa sœur s’est mariée avec un oujdi sans dote parce que l’important c’est l’après mariage. Et moi, je me suis marié avec une femme de Kenitra, mon ami avec une femme de Meknès et un autre avec une Rbattia. Ces décisions sont prises parce qu’on a aimé des filles de ces Bled et non pas pour une autre raison. Elles n’ont rien à voir avec la féminité ou la dote. C’est juste qu’on est sorti un peu jeune d’Oujda, qu’on est devenu indépendant financièrement en dehors d’Oujda. Et malheureusement, khobz dar yaklou l barrani. LoL. Tous les cadres Oujdis sont pris par d’autres filles que celles d’Oujda. N’oublions pas que les femmes des autres villes adorent les Oujdis pour leur sérieux. PDT_Armataz_02_02

    brigand
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    bal3ott : chi wahad li yaddi l nass hwayajhom o igol maditch : menteur
    tradgui ; chaffar
    lamba : bolla, ampoule
    3agoun : mkallakh
    chikoula ; choklatt chocolat
    ditha : khditha
    stanna: 3ayan, attends

    en réponse à : ALFARABI établissement publique ou privé #275204
    brigand
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    Pour les faits que nous avons racontés, ils se sont déroulés à l’hopital Al FARABI d’OUJDA

    en réponse à : ALFARABI établissement publique ou privé #275203
    brigand
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    Votre cher Hôpital qui se trouve entre et le domaine public et le domaine privé est devenu une entreprise familiale. Je me permets de le nommer Hôtel et non pas Hôpital. Ce lieu déborde de fraudes et d’arnaques qui se promènent le long de ses couloirs de la mort. Osons dire qu’il y a un disfonctionnement et ne maquillons pas la réalité parce qu’on y travaille.
    Je me permets de réponde à Monsieur Hassani qui semble travailler dans cet endroit :

    Vous : « Il est clair que tes remarques ont du bon sens, mais la faute n’est pas exclusivement celle des infirmières et des médecins »
    Nous : « J’en conviens, mais vous devez organiser votre travail et régler le problème de vos absences qui reviennent aux heures supplémentaires dans les hôpitaux privés »
    Vous : « quand tu vois que dans une chambre tu as 40 visiteurs pour les 6à 8 malades qui malheureusement se trouvent dans la même chambre. »
    Nous : « Nous avons 40 visiteurs qui viennent voir 8 malades dans une cellule de prisonnier en considérant la superficie de vos chambres de soin. Si on divise 40 sur 8 malades, on trouve 5 visiteurs pour 1 malade. Alors, n’augmentons pas les chiffres. Si on donne à chaque malade une chambre comme on fait pour les êtres humains, on n’aura pas de problèmes de ce côté-là. Ainsi, aurons-nous seulement 5 visiteurs voir 6 ou 7 dans une chambre avec leur proche malade. »
    Vous : « IL faut que le peuple s’éduque et respecte certaines consignes s’il veut qu’on agisse avec lui avec respect. »
    Nous : « Est-ce que le peuple marocain et plus précisément le citoyen oujdi n’est pas éduqué ? Une réponse que je laisse aux Oujdis et Oujdiates. Je veux juste dire que le citoyen Oujdi est le plus éduqué et respecté au Maroc. Il suffit de dire que tu es un Oujdi dans n’importe quelle région du Maroc pour qu’on vous accueille chaleureusement et qu’on vous énumère les qualités de ce citoyen qui cachent les poussières de quelques impulsions affectives vis-à-vis de leurs proches que l’on pourrait voir comme une « mauvaise éducation » d’après vous. Mais de loin, répondre à ces actes bénins par vos « certaines consignes » applicables à tort et à travers me semble une aberration. Je crois que le personnel de la santé ne pourra pas ressentir ce que ressent un malade démuni, parce que le premier appartient à ce corps médical et le deuxième « Ma3andou ri Lah capable de guérir toutes les maladies». Ma conclusion, si une personne agit d’une façon ou d’une autre, il faut le comprendre parce qu’il est malade ou son proche, il l’est. Ceci dit, il faut être patient et non pas lui rendre « Sa33 Sa33ayn ». Vous, vous êtes des docteurs, vous avez fait des études, mais lui, peut être, la vie a été dure avec lui et n’a jamais su ce que c’est que lire ou écrire pour qu’il comprenne vos consignes.
    Vous : « nous souffrons tous de ces manquements, mais il faut montrer et démontrer au quotidien et sans relâche que nous avons changé. »
    Nous : « Absolument d’accord avec vous Monsieur, mais ce n’est pas une raison de renoncer au changement si les autres ne changent pas à notre vitesse. Chacun selon ses capacités et adaptations au changement. »
    Vous : « Je suis allé il y’a pau à Oujda et quand tu vois que cette ville change à vitesse grand » V » mais que sa population ne modifie pas certains de ses comportements comme par exemple le respect des règles de conduite. »
    Nous : « Vous avez tout à fait tort. Essayer de conduire dans d’autres villes. Certes, les rues d’Oujda sont un peu négligées mais la conduite reste bonne. Malgré le désordre qui règne dans quelques points noirs : Bâb Sidi abdelwahad, Café el badaoui… rares sont les accidents. Venez conduire à Casa, à Marrakech, et surtout à Meknès et vous verrez que c’est une calamité. Je vous conseille dans cette dernière ville de bien surveiller où vous allez parce que le Racing de la part des chauffeurs se déroule durant toute l’année ».
    Nous : « Pour détendre un peu l’atmosphère, je me rappelle que je me suis cassé le pied en 2005. Je présentais 3 fractures. Je suis allé en urgence. Je devais payer une somme d’argent pour entrer d’abord. On prend un petit bout de papier à travers une fenêtre derrière laquelle se trouve un infirmier. Il y avait beaucoup de gens. Ils ont vu ma situation et ils m’ont cédé leurs places. Merci encore pour eux. Heureux d’avoir pu enfin entrer au couloir des urgences, je me trouve en face d’une autre file d’attente. Enfin encore, j’ai pu voir un docteur urgentiste. C’est un médecin généraliste. Il me demande ce j’ai, il ne regarde pas ma jambe, il prend un moment de réflexion, il me demande 50 dirhams pour me faire un Certificat de maladie de 3jours. Il m’a dit : « Tu n’as rien, tu prends ce médicament et tout ira bien inchallah ». Une fois dehors, je regardai l’ordonnance et mon étonnement fut grand. Il y avait marqué « Doliprane ». « Encore aux urgences, mes voisins ont failli mourir à cause du Gaz. C’était 00H et quelques minutes. J’ai appelé l’ambulance au 15. Personne ne veut venir. On a pris un taxi. Merci Monsieur « le taxieur ». Le seul point en commun c’est la couleur. Une fois aux urgences, l’agent de sécurité croit faire le travaille de la Police et fait son interrogatoire, les infirmiers ne sont pas là, les docteurs chez eux. Un docteur « lah itawal lih f la3mar » leurs à donner de l’oxygène, et il m’a demandé, ensuite, d’aller chercher une « piqûre », plutôt deux. Où sont les médicaments. Cela est le cas des urgences, Dieu seul sait ce qui se passe au-delà. ». J’ai raconté cela à un voyageur que j’ai rencontré en train et qu’il prétend être en 2ième année de médecine. Il est de Tétouan et habite à Taza. Il m’a dit : « Wa l wizara makatjiblnach dwa, wach ana l kholsa dyali radi tamchi ri f l marda, chhal kadni nsallak men wahad, ga3 ila kan chi hadd ta3arfou walla men la famille tsalkou, bassah wahad akhor, radi tkhallih imoutt ». Ila sallakt ibad lah, kifach radi ndir labass, 2 villatt o la ferme. ». Ce mec là est encore étudiant en medecine, lorsqu’il sera médecin, lah yaj3al salama o safi. Je pense que Had tabba nta3 lyoum fihom rahma ala hada. Je voulais savoir comment faire fortune, il m’a dit : « J’aurai mon diplôme. Je dois travailler quelques heures à l’hôpital public, là mon salaire MADMOUNE. Pour les autres heures, je ferai des interventions dans un hôpital privé pour gagner plus. », il continue « ila ja 3andi chi had f public bach idir 3amalya, had l 3amalya radi takhod l wakt bezzaf bach dirha, alors radi idi3lya l wakt o ana kholsa dyali madmouna f public, bach ndir labass, radi ngollo aji l privé parce que le matériel hssan tamma et il y a des outils qui ne sont pas disponibles f public, comme ça radi iji l privé, o ndirlou 3amalya tamma o nasdak khadi men public o privé. » Wa sir lahla yaja3lak tanjah f chi médecine bach tbi3 o tachri f nass.
    Cordialement. Sans rancune.

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