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15 réponses de 301 à 315 (sur un total de 2,790)
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  • #216170

    En réponse à : Presentez vous

    oujdiadu84
    Membre

    salut tout le monde!!!!

    je me présente je nouvelle sur ce site je m’appelle aicha j’ai 20 ans je suis mariée j’habite a avignon dans le sud de la france et je suis une oujdia trés présisement une bni znasen je vient ici pour pouvoir rencontré des oujdiettes que des filles car je suis mariée sa fait toujours plaisire de parler avec des perssonne qui partage la meme ville et culture que nous voila a bientot inchallah. 😛 @manara wrote:

    sbah lkhir 3likom
    j quitté oujda ya tres longtemps
    ya 20 ans de cela

    mariéé deux filles
    oujda hiyya rouhi
    fi dammi we 3aqli

    j’amie donc oujda
    les gens d’oujda
    et comme tout oujdi et toute oujdiyya: karan et la fameuse bakbouka
    griwech fi ramdan 😉 😉

    #278502
    houmidi59
    Participant

    Monsieur Boudhab n’a pas froid au yeux (3)


    Le lendemain matin, monsieur Boudhab s’en alla à sa société sise rue de la prospérité n° 13 .Arrivé sur les lieux, il commença par le dépôt où il trouva le gardien Bouchaïb entrain de griller une cigarette en cachette. Bien entendu, il le réprimanda sévèrement :
    _ » Combien de fois t’ai-je dit de ne pas fumer à l’intérieur ?
    un jour, tu mettras le feu dans toute la société et je ne vais pas l’attendre les bras croisés sans rien faire .
    _ Excusez-moi patron .Si je me suis caché c’est juste pour surveiller un quidam qui rodait plus d’une heure autour du bâtiment
    _ Qu’est-ce que tu dis ?
    Tout heureux d’avoir évité une sanction , il lança d’un ton confiant :
    _ Vous savez , je suis un bon gardien et je veille sur tout qui bouge …
    _ D’accord, d’accord , l’interrompit-il, parle-moi de cet homme
    _En fait, c’est un jeune homme blond de taille moyenne .Il était habillé d’un costume blanc et portait des bésicles de soleil
    _ ça alors, s’écria Boudhab , je ne savais pas que les anges portaient des lunettes solaires
    _Je n’ai pas parlé d’ange patron
    Le directeur sursauta :
    _Dis-moi : est -ce que tu lui as parlé ?
    _Mais , patron , comment pourrais-je lui parler alors que je devrais le surveiller
    Monsieur Boudhab obtempéra :
    _Tu as raison et tu as bien fait , le complimenta-t-il
    Et d’ajouter
    _Raconte-moi ce qu’il a fait au juste !
    Le gardien le regarda étonné :
    _Mais qu’est-ce que tu as n dirait que tu as avalé une chaussette
    _ Pa…patron, est-ce que cet homme vous intéresse ?
    _ Bien sûr qu’il m’intéresse; et puis n’a-t-il pas attiré ton attention sur lui ?
    _Oui patron .Son comportement était louche
    _Comment louche ?
    Le gardien sortit de sa poche un morceau de cigarette qu’il plaça entre ses lèvres ; puis il se mit en devoir de chercher une allumette enfouie dans l’une de ses dix huit poches .
    Boudhab lui tendit un paquet de cigarette tout neuf
    _Tiens et jette-moi ce mégot
    _Merci , mais je voudrais bien une allumette
    Le patron lui tendit un briquet
    _Est-ce que je le garde aussi ?
    Monsieur Boudhab balaya ces propos par un geste de la main
    _Allez, mon brave , parle-moi de cet homme blond que tu as vu roder dans les parages
    Après avoir allumé une cigarette, il en tira une grande bouffée.Aussitôt, il se mit à tousser. Il toisa son patron du regard les larmes aux yeux
    _Sauf , votre respect, monsieur le directeur, votre boite de cigarette n’est que de la mer…
    Le patron ne se fâcha nullement .Cependant il rétorqua calmement en lui tendant un petit flacon:
    _Tiens bois un coup ,ça te soulagera
    Aussitôt , le gardien vida tout le contenu dans son gosier et..il s’écroula sur le sol inanimé
    Monsieur Boudhab ramassa son paquet de cigarette et son briquet , les remit dans sa poche ; puis se dirigea vers l’atelier.
    A l’intérieur , les ouvrières travaillaient énergiquement chacune attablée à sa machine à coudre. De loin , il aperçut Une grosse femme en tablier bleu qui faisait les cents pas .Il la héla :
    _Madame Chakrouni , venez un peu par là
    Cette dernière accourut et dit:
    _Bonjour monsieur le directeur .Vous êtes bien matinal ce matin
    Boudhab jeta un coup d’œil aléatoire autour de lui et dit :
    _Est-ce que tout se déroule bien ?
    _Oui monsieur le directeur et la première livraison est déjà prête pour notre client
    _Comment s’appelle-t-il déjà ?
    _ Monsieur Boulouiz
    Et d’ajouter :
    _ Pour une coïncidence s’en est vraiment une !
    _Comment cela , sursauta monsieur Boudhab
    _ Oh , rien ; je voudrais juste vous signaler qu’un jeune homme blond vous attend dans votre bureau
    Soudain, le visage du directeur se crispa , ses mains tremblèrent et ses yeux lancèrent des étincelles de colère
    _Qui vous a permis de le conduire à mon bureau ?
    _Mais monsieur le directeur il nous a donné une lettre de vous dans laquelle vous lui avez fixé un rendez-vous
    _En êtes-vous sûr ?
    _ Bien sûr monsieur le directeur et je reconnais bien votre signature .Et puis il vient de la part de monsieur Boulouiz.
    Monsieur Boudhab s’écroula sur une chaise devant lui.Aussitôt , l’une des ouvrières lui apporta un verre d’eau qu’il but en petite gorgées
    Puis, il lança à la contremaitre
    _S’il vous plait , parlez-moi de cet homme
    La grosse femme baissa ses yeux ; puis fourra son index dans l’une de ses narines.Bientôt elle essuya le doigt dans son tablier ; puis renouvela l’opération pour l’autre narine.
    Le directeur suivait l’opération sans piper mot
    Aussitôt la bedaine s’exclama :
    _L’homme blanc m’a dit qu’il vous apportait une mauvaise nouvelle
    _Ah bon lâcha le directeur
    Puis :
    _Vous a -t-il dit de quoi il s’agissait ?
    _ Non monsieur le directeur ; mais je crois que c’est une affaire personnelle qui concerne notre client
    Monsieur Boudhab se releva de sa chaise avec peine .il marcha péniblement vers son bureau qu’il atteignit avec difficultés. A travers la vitre, il aperçut sa secrétaire toute seule ; ce qui le rassura pour un moment .Cette dernière accourut vers lui
    _Bonjour monsieur le directeur, je..
    Il l’interrompit vivement
    _Où est monsieur Boulouiz
    _ Je n’ai vu personne, monsieur , croyez-moi
    _Mais madame Chakrouni m’a affirmé qu’un jeune homme blond était entrain de m’attendre dans mon bureau
    _ En tout cas pas ici.D’ailleurs, je suis ici depuis huit heures trente
    _Merci Nabila
    Puis, il accourut vers le dépôt sans se soucier des appels de sa contremaitresse
    Pas de traces du gardien.Il fit quelques pas à l’intérieur : toujours aucune trace de son employé.Soudain, il remarqua une ombre qui se faufilait derrière les cartons .Il y courut à toutes jambes pour l’attraper .Cette dernière fit basculer le contenu de l’un des cartons ; ce qui fait que monsieur Boudhab chuta et la silhouette prit de l’avance et disparut aussitôt derrière la porte sans lui donner la chance de l’identifier.
    Quelques instants après, le directeur atteignit à son tour le grand portail ; mais il ne vit rien de suspect. Il s’apprêtait à rentrer quand il aperçut un jeune homme blond qui discutait avec le gardien .Les deux venaient de sortir d’une maison d’en face .Aussitôt une voiture s’arrêta à quelques pas d’eux .Le conducteur leur ouvrit la portière arrière et les deux hommes y montèrent.Heureusement pour lui, ils ne l’avaient pas vu.Monsieur Boudhab hocha longuement sa tête tout en regardant le véhicule démarrer en trombe
    _ « Tiens, tiens, je ne savais pas que les anges montaient dans des voitures . »

    A suivre

    #278501
    houmidi59
    Participant


    Elle se retourna brusquement et ne manqua pas de crier :
    _ Ah, mon Dieu

    Devant elle surgit un jeune homme .Tout blanc comme il était qu’il ressemblait à un ange. D’ailleurs, tout étincelait autour de lui.
    _ Qu’est-ce que tu as Malika? Tu sembles comme surprise !
    Cette dernière balbutia des mots :
    _ je…je..mais la servante m’a dit qu’un vieil homme demandait à me voir
    _ C’est vrai !
    _ Alors ?
    _ C’est simple , je me suis transformé
    _ Est-ce que vous vous moquez de moi ?
    _ Pas du tout. D’ailleurs, les anges sont les derniers à aimer les plaisanteries.
    Malika hésita quelques secondes avant de reprendre avec méfiance:
    _ Vous êtes un ange ?
    _Tu ne me crois pas .D’accord , je vais te le prouver.
    De sa main , il montra des passants :
    _Regardez ces honorables gens : ils ne peuvent me voir
    Demandez-leur qui est avec vous ?
    _ Mais..
    _Allez, Malika ! Faites-moi confiance
    Aussitôt madame Boudhab héla un groupe de passants:
    _S’il vous plait connaissez-vous ce jeune homme ?
    Ces derniers la regardèrent avec surprise.Puis ils chuchotèrent des mots .Cependant, Malika entendit des bribes qui ne faisaient que l’impressionner davantage.Pour l’encourager l’ange lui dit:
    _ Dites-moi qu’est-ce qu’ils disent à propos de moi ?
    L’épouse dévouée baissa son regard et répliqua :
    ils parlent plutôt de moi .On dirait qu’ils se moquent de moi
    _Qu’est-ce qui le prouve ?
    _Ils pensent que je suis folle parce qu’ils me voient seule
    _Ben, vous voyez !
    _ Donc vous êtes un ange!
    Puis :
    _ S’il vous plait que voulez-vous de moi ?
    _ De vous , non ; mais je suis venu pour vous parler de votre époux.
    Soudain, Malika devint pale:
    _J’espère que vous lui apportez de bonnes nouvelles
    _Malheureusement , c’est tout à fait le contraire .
    _Oh, mon Dieu! De quoi s’agit-il ?
    _Je sais que c’est un peu dur pour vous , mais c’est la volonté divine qui le veut
    Bon, je vais être bref : votre mari va mourir dans trois jours
    Madame Boudhab blêmit et manqua de s’évanouir.Aussitôt, l’ange lui fit sentir un doux parfum et elle reprit ses esprit .
    Cependant, elle eut le courage de le supplier :
    _S’il vous plait , faites quelques chose.Mon mari a été toujours bon pour moi
    _On le sait ; mais son heure vient d’arriver
    Après quelques secondes de réflexions, elle reprit:
    _Dites-moi: dois-je l’avertir ?
    _C’est normal , non ? Et peut-être cela l’incitera à faire beaucoup de bien
    Madame Boudhab eut soudain une idée.Aussitôt elle se mit en devoir de l’exécuter:
    _Je vous prie de m’attendre juste deux minutes , le temps de prévenir mon mari
    Puis, elle accourut vers l’intérieur de la villa; tandis que le visiteur s’en alla à son tour sans se retourner derrière lui .Bientôt, il disparut dans des ruelles sombres.
    Pendant ce temps, monsieur Boudhab était entrain de chercher sa femme parmi les invités.Dès qu’il la vit , il la réprimanda sévèrement :
    _ « Mais où étais-tu passé ? Nos invités tiennent beaucoup à te remercier avant de nous quitter
    Cette dernière semblait ne rien écouter :
    _Il faut que je te parle .Viens avec moi : il y a une personne étrange qui prédit une mauvaise chose sur toi
    _Ah, bon ! je peux savoir de quoi il s’agit
    Puis:
    _ fais vite , sinon je vais mourir de curiosité
    Malika cria fort :
    _Non, non pas ça!
    Monsieur Boudhab essaya de la calmer:
    _ D’accord, d’accord, je t’accompagne
    Alors, ils se ruèrent vers le portail .Dehors, il n’y avait personne.Au coin de la rue deux hommes étaient entrain de discuter entre eux .Malika les héla :
    _S’il vous plait avez-vous un jeune homme habillé de blanc près de cette villa ?
    L’un d’eux répondit : non madame .Nous sommes là depuis une quinzaine de minutes et on n’a vu aucune personne qui ressemble à la description de votre homme.
    Elle les quitta après les avoir remercié.
    Puis, elle dit à elle même : il a disparu
    Son mari intervint : Qui a disparu ?
    Malika dit tout haut : mais je parle de l’ange gardien !
    Monsieur Boudhab ramena sa femme vers la chambre .Ensuite, il demanda à la servante d’apporter à madame un verre de lait frais.
    Il s’approcha de sa femme et l’enlaça de ses bras : calme -toi et raconte-moi tout .Du début jusqu’à la fin.
    L’épouse raconta tout et conclut : l’ange m’a dit que dans trois jours , tu vas quitter ce monde
    Aussitôt, monsieur Boudhab se mit à rire .tout en lançant des commentaires qui prouvaient bien qu’il était loin de croire à la prédiction angélique.Il poussa même l’audace jusqu’à se mettre à trembler de tout son corps et crier : aide-moi , je sens que j’ai la chair de poule
    Regarde comme je tremble .Oh, mon dieu je sens que mon heure est arrivée
    Aussitôt, Malika pleura à chaudes larmes
    Une fois de plus , Boudhab lui dit avec tendresse :
    D’accord, je te crois
    Puis , il la laissa seul .

    A suivre

    #262974

    En réponse à : lycée abdelmoumen d’Oujda

    Bonsoir mes amis,
    Je saisis l’occasion de la fin de l’année 2010 pour souhaiter à tous les lecteurs et spécialement à ceux qui s’intéressent au Lycée Abdelmoumen santé et bonheur.Je salue tout particulièrement mes deux amis dont le souvenir m’est très cher et dont j’ai retrouvé la trace sur ce forum,je veux parler de Abdelmoumni Driss de Bendali Yahya.Ces deux amis ont été mes camarades de classe durant tout le second cycle au Lycée Abdelmoumen et nous avons passé le Bac ensemble en Juin 1965.Quelle époque glorieuse !Quelle camarederie ! quels professeurs d’exception ! Pour paraphraser le poète je dirais :
    لحظة لا يأتي الزمان بمثلها
    إن الزمان بمثلها لبخيل

    #206721
    houmidi59
    Participant


    Episode I : la fête et l’inconnu

    Dans la demeure de Boudhab, il y avait une grande réception en l’honneur des amis et des connaissances de la famille. En fait, on fêtait dix années de mariage. Aussi, on est venu pour présenter les meilleurs vœux au couple. Ce dernier, bras dessous et bras dessus, allait de table en table en souhaitant la bienvenue aux uns et remerciant les autres .Tandis que des chuchotements d’admiration et peut-être bien de jalousie marquaient leur passage.
    Les amis de monsieur Boudhab étaient nombreux et la plupart étaient des célébrités. Il y avait le professeur Mahraz connus par ses nombreuses recherches et ses inventions dans le domaine de l’agriculture notamment la pomme de mer et le chou-rose .Etait présent aussi, le médecin Fanidi spécialiste dans tous les voies entre autres : urinaires, sanguinaires, publiques et secondaires…sans pourtant oublier la voie lactée et la voie orale. Cependant, son seul vrai exploit : la guérison d’une brebis galeuse en la transformant agneau doux.
    Le monde de la littérature était aussi présent : Abou Kassid , le célèbre poète connu par ses mille vers, Tartari , l’écrivain et le romancier dont les œuvres ont été traduites dans toutes les langues y compris l’espéranto et le yiddish, le grand chroniqueur Lafhamat qui abordait tous les sujets sans pourtant atteindre la marge d’ un seul .
    Les acteurs ne manquaient pas.Aussi, on remarqua la présence de l’acteur Français John Aimard, le Chinois Jess Wi Ching Wa ,l’Egyptienne Amal Hayaty , l’Américain Brave Type , la Sénégalaise Mamati et bien entendu le talentueux marocain Taleb Maachou.

    Dans le monde artistique : la belle chanteuse Kachira connue par sa chanson romantique avis de recherche à vie dans laquelle elle disait
    Je te cherche
    tu te caches
    viens vite !
    Sinon, je me fâche
    Grâce à cette chanson, elle a eu l’oscar de l’année et deux lascars aux trousses.
    Il y avait le célèbre prestidigitateur à la main souple. Actuellement, il est l’assistant d’un dentiste, pour ne pas dire : arracheur de dents.
    Pour finir, la célèbre voyante qui prétend voit tout .D’ailleurs dès que vous lui parlez, elle vous dit : je vois, je vois
    Chose surprenante, l’inspecteur Boukal était parmi les convives. Il n’était pas en mission ; mais il se trouve que sa femme est la cousine de madame Boudhab et comme elle était un cordon bleu de la cuisine marocaine, on n’avait pensé que son aide ne serait pas de refus. D’ailleurs, elle avait préparé presque tous les plats de la fête , exceptes ceux qui contenaient du sucre ou du sel. Pour vous dire combien sa présence était nécessaire
    Donc tout se déroulait bien et à merveille. Ah, j »ai oublié de vous dire qu’on se trouvé dans le superbe jardin de la villa et qu’il y avait à peu près une vingtaine de tables couvertes par des parasols excentriques; ce qui donnait à l’endroit une atmosphère de carnaval.
    On était heureux comme un bébé. Aussi, on s’amusait comme des fous, on riait comme des bossus, on mangeait comme des affamés et on buvait comme des trous.
    Madame Boudhab était vraiment ravissante ce jour. Elle s’était habillée comme une reine .Avec sa taille de guêpe, elle donnait l’impression à son entourage qu’elle était loin d’avoir ses trente ans. Elle se déplaçait d’un pas souple et léger entre les convives, tout comme un papillon d’une rose à l’autre .Vraiment, elle était l’héroïne de la fête
    Son mari, lui était quelqu’un qu’on voudrait bien avoir son poids s’il était en or. Il avait mis son costume à rayures qui lui donnait l’impression d’un zèbre femelle enceinte de dix mois. Cependant, il se déplaçait comme un taureau .Heureusement que sa demie le maintenait en laisse, sinon il aurait bien fait des malheurs .Non, rassurez-vous:il n’avait pas bu d’alcool ; mais le Malheureux a sifflé par ignorance, voire insouciance une bouteille de sirop .Notez qu’il était enrhumé et son médecin traitant lui avait prescrit deux cuillerées trois fois par jour; et lui intelligent comme il était il avait pensé prendre les trois doses en un seul coup. Comme ça, son seul souci serait l’accueil de ses invités. Alors, il a vidé le contenu d’un seul trait .Quand sa femme l’avait trouvé, il était entrain de fou de rire. Bien entendu, il était trop tard pour l’emmener aux urgences et puis les invités étaient déjà dans la demeure.
    L’épouse dévouée lui a fait boire du café noir .Ainsi, le débauché s’est à moitié dessaoulé.
    Hormis ce cas d’ivresse accidentelle, monsieur Boudhab était un riche homme d’affaires ; quelqu’un de sérieux, de serviable et de brave. Malgré sa corpulence, il était aussi doux qu’un agneau et ne tuait pas une mouche même si elle mettait ses pattes dans son assiette. Tout simplement, il l’écrasait entre deux bouchées de pain sans s’apercevoir de sa présence.
    A un moment, une des servantes s’approcha du couple et chuchota à l’oreille de madame qu’un vieil homme demandait à la voir. Celle-ci par un geste lui fit savoir de dire à l’intrus que c’était à lui de se faire voir ailleurs. La servante obtempéra, mais revint aussitôt :
    ا_ Qu’est-ce qu’il y a encore? Tu ne vois pas que je suis occupée
    _ Mais madame, le monsieur insiste pour vous parler
    Madame Boudhab réfléchit quelques secondes. Puis :
    _ A -t-il dit son nom ?
    _ Oui madame; il s’appelle Maazouz
    _ Ce nom ne me dit rien qui vaille
    Bon , dis-lui que j’arrive !
    Pendant ce temps, monsieur Boudhab se rua vers quelques uns de ses anciens amis .Ces derniers l’accueillirent à bras ouverts.
    Quant à madame Boudhab, elle s’approcha du seuil de la porte. Elle ne vit personne. Elle regarda aux alentours : une voiture qui démarrait attira son attention, puis les miaulements de deux chats qui se disputaient une proie (sûrement une tête de poulet).A part cela, rien d’anormal. Elle s’apprêtait à rebrousser chemin quand elle entendit comme un chuchotement :
    _ Malika! je suis là .Ne t’en vas pas
    Elle se retourna brusquement et ne manqua pas de crier :
    Ah, mon Dieu

    A suivre dans trois jours

    #278500

    En réponse à : Souvenirs de correspondance

    houmidi59
    Participant

    Souvenirs de correspondance (fin)



    Comme promis, j’ai écrit une lettre à mon correspondant André .Bien entendu, je me souviens vaguement de son contenu. Cependant, ce dont je suis sûr c’est que la question d’âge n’était pas un obstacle pour moi et puis j’étais enthousiasmé de correspondre avec une personne plus âgée que moi pour profiter de ses expériences.
    Deux semaines après, j’ai reçu une lettre de l’ex consul. Je l’ai lue : merci de m’accepter comme votre ami
    Puis, il y avait une carte visite .Je l’ai lue aussi : le nom et le prénom de mon ami, sa fonction et son adresse
    Sur le dos deux phrases écrites à la main: je t’invite à un déjeuner spécial au resautant Terminus de la gare de Rabat ville .
    Bien entendu, en fixant la date et l’heure.
    Le jour convenu, j’ai pris le bus pour aller au centre ville .Je l’ai aperçu au restaurant .Il était entrain de siroter un café .Dès qu’il me vit, il me serra la main tout en me disant :
    _ « Merci d’être venu
    _ Oui, répliquai-je ; je suis toujours ponctuel
    _ Je sais , conclut-il »
    Puis , nous nous sommes mis à table. Aussitôt, le garçon s’est approché de notre table et nous a donné chacun un petit livret .(le menu).je l’ai feuilleté un certain moment sans savoir quoi choisir .Pour ne rien vous cacher : il y avait tellement de mets succulents que j’étais désorienté .Aussi, j’ai fixé mon interlocuteur :
    _ « Vous savez, lui ai -je dit, c’est la première fois que je rentre dans un restaurant
    Lui en bon compagnon me répond :
    _ « C’est tout à fait naturel mon cher puisque vous habitez chez vos parents .Moi même , je préfère préparer mes repas à la maison ; mais il m’arrive de prendre mes déjeuners dehors surtout pour les rendez- vous d’affaires ou personnels
    Puis:
    _ Je vais choisir pour vous
    _ Non, ça va je vais essayer : bon ! comme hors d’œuvre , je voudrais une salade variée ; pour le menu principal: de la soupe aux poissons et un civet de lapins au petits pois .Pour ce qui est du dessert : un jus d’orange et pour finir une crème au citron
    _ Voilà qui est bien parlé , a -t-il approuvé
    Moi aussi , je vais faire comme vous , mais j’ajoute aussi : une bouteille de brandy
    J’espère que cela ne vous dérange pas
    _ Pas du tout. »
    Le déjeuner s’est bien déroulé durant lequel on a parlé de beaucoup de choses.
    Enfin, après l’avoir chaleureusement remercié, je l’ai quitté .
    C’était la seule rencontre et la dernière avec André .Quelques mois plus tard, j’ai reçu une lettre de lui postée du Pérou (si ma mémoire est toujours bonne)
    Je crois que je ne lui avais pas répondu .Ainsi s’est terminé cette liaison amicale. D’ailleurs, j’avais d’autres « chattes à fouetter »
    La seconde personne est une jeune fille de l’ile Maurice. Elle ne parlait pas bien le français .Cependant au fil des jours et mois, son vocabulaire s’est beaucoup amélioré. Elle me disait toujours que je la faisais mourir de rire avec mes expressions. Pour ne rien vous cacher, je lui racontais tout de ma vie personnelle.
    Un jour, je lui ai parlé d’une certaine Rahima que je fréquentais .Pas la peine de vous dire qu’elle était mécontente et furieuse à la fois. Pas de doute, elle était amoureuse de moi. Bien entendu, elle me l’a dit dans une de ses lettres
    J’ai toujours ses lettres que j’ai confectionnées en un album
    Il m’arrive de les lire .Alors, je me dis : quel con j’ai été.
    Après trois ans de correspondance, elle m’a dit dans l’une de ses lettres qu’elle voudrait me rencontrer en France .Ses parents voulaient l’envoyer là-bas pour continuer ses études en médecine. Pendant ce temps là, moi aussi, je m’apprêtais à m’inscrire au CFI.
    Malheureusement, tout son projet est tombé à l’eau.
    Comme qui dirait le hasard ne jouait pas en sa faveur.
    Des personnes très proches d’elles ont demandé sa main auprès de son père. Ce dernier a accepté sans hésiter. Ma correspondante (elle s’appelle Shahinaz) a du expliquer à son père qu’elle était amoureuse de moi .Cela n’a fait que mettre le paternel en colère .Alors tout simplement, il lui a dit: c’est fini tu ne continueras pas tes études en France, mais tu iras rejoindre ton futur époux en Australie
    Ainsi , cette liaison s’est achevée avec un rêve qu’on ne peut qualifier que de chimère
    Je lui avais envoyé une lettre de vœux .Je n’ai jamais eu de réponse en retour à la mienne.


    Fin de la première partie

    #278499

    En réponse à : Souvenirs de correspondance

    houmidi59
    Participant


    Pendant ce temps là, mon fidèle ami ne m’a pas caché ses soupçons et ses craintes :
    _ « Dis-moi Houmidi , est-ce que tu as une photo de ton correspondant ?
    _ Non, mais je t’ai expliqué que…..
    _ Je sais , mais tout de même tu as une idée sur lui…. »
    Je n’ai pas eu le temps pour lui répondre .Aussitôt, une personne distinguée est entrée avec un sourire et des yeux qui brillaient de joie :
    _ « Bonsoir , nous apostropha-t-il, je ne m’attendais pas à votre visite .
    Puis : Abdelhamid vous semblez surpris .Quelque chose ne va pas ?
    _ Non, non, mais …
    Il a souri puis il m’a dit :
    _ Vous ne vous attendiez pas à un correspondant aussi âgé que moi
    Asseyez-vous , je vais tout vous expliquer
    Bientôt , il dit : Je m’appelle André .J’ai quarante deux ans et je suis encore célibataire .Quand vous m’avez écrit votre première lettre , j’étais à Tunis en tant que consul de mon pays .Comme mon mandat vient de s’achever , j’ai décidé de m’installer au Maroc pour mener mes propres affaires.
    _ Quels genres d’affaires lui dis-je , si n’est pas indiscret de ma part ,
    _ Pas du tout.Je réalise des expositions canines
    Nous l’avons regardé avec surprise. Il l’a constaté .Aussi , il nous dit :0
    Suivez-moi .Je vais vous montrer
    Il nous a conduit vers un jardin assez spacieux et bien entretenu.
    Tout au fond, il y avait un espace clôturé et dans lequel il y avait une dizaine de chiens de race
    _Voilà , ma nichée expliqua-t-il .Avec ses chiens , je participe aux courses , j’organise des rencontres entre les propriétaires et puis c’est une occasion pour acheter d’autres chiens.
    _Vous savez conclut -il cela nous donne d’autres races de chien plus évolués.
    Aussitôt, je me suis approché d’un chien qui ressemblait de près à un slougui, mais il avait quelque chose de différent à notre brave chien
    Monsieur Andrée est intervenu _c’est un dalmatien
    Brusquement , j’ai dit :0
    mais de quoi vivez-vous ?
    Mon correspondant m’a regardé d’un ton admirateur .Sans la moindre gène, il me dit tout simplement :0
    dans mon pays, je suis conte et j’ai un château en mon nom .J’ai aussi des rentes des fermes que je possède
    _ Donc, vous êtes un homme très riche
    _ Pas tout à fait , mais disons que j’appartiens à la catégorie des Nobles. »
    Nous sommes revenus au salon. Aussitôt, notre hôte cria à la cantonade : Driss, viens un peu par là
    Celui qui nous avait accueilli au début entra
    André nous apostropha : vous avez sûrement fait la connaissance de mon employé
    Puis à ce dernier : veux-tu bien apporter quelque chose à boire pour nos deux invités ?
    _ Et pour vous monsieur ?
    _ Ma petite bouteille de gin. »
    Et il disparut pour quelques instants.
    Mon ami qui n’avait pas pipé mot me dit enfin :
    _ « Houmidi , j’espère qu’il ne nous apportera pas de vin ou de champagne !
    _ Non , le rassurai-je .Heureusement que Driss est marocain et il doit bien savoir le genre de boissons que nous buvons. »
    Juste après, ce dernier entra un grand plateau à la main qu’il déposa sur une grande table .Il remit une bouteille ronde qui contient un liquide jaunâtre à monsieur Andrée
    Puis, il nous montra les différentes boissons et nous invita à nous en servir
    Dans le plateau, il y avait des bouteilles de limonade dont le nom m’est familier .La main de mon ami se posa sur une bouteille assez étrange et en but une grande gorgée .Aussitôt, il me dit : Houmidi , j’ai la tête qui tourne et je crois que je vais vomir
    Je me retournai brusquement vers mon correspondant.Celui -ci venait de réaliser la situation:
    _ « N’ayez aucune crainte Abdelhamid , votre ami vient de goutter un peu de martini
    Puis il apostropha sévèrement Driss : cette bouteille qu’est ce qu’elle a à se trouver parmi ces boissons ?
    L’employé hésita avant de dire : Je voulais…tester vos hôtes
    _ Mais ce n’est pas une façon de le faire ainsi
    Puis :
    _ va remettre cette bouteille au frigo
    Quand l’employé a disparu de notre vue, mon correspondant nous dit : franchement mes amis je ne crois rien aux dire de Driss.
    A présent, je sais pourquoi ma réserve de martini s’épuise de jour en jour
    Après quoi, André proposa à mon ami une autre boisson gazeuse qui lui a fait vite reprendre ses esprits.
    _ Alors, ça va mieux, lui dit-il
    _ Oui, monsieur .A présent , je me sens assez bien
    C’était l’occasion de prendre congé de notre hôte
    En le quittant, je lui ai promis de lui écrire une lettre dans laquelle je lui révèlerai ce que je pensai de cette première rencontre
    _ D’accord, a-t-il approuvé
    _ Quant à moi , conclut-il, je vais vous préparer une bonne surprise
    Merci pour votre visite et à la semaine prochaine incha Allah »

    A suivre

    #206718
    houmidi59
    Participant


    Quand j’avais l’âge de dix huit ans , ou un peu moins , j’aimais beaucoup la correspondance.Aussi, j’avais beaucoup d’ami(e)s à travers les pays du monde;notamment en France ,en Belgique , en Italie et en Suisse.Chaque jour, je répondais à une dizaine de lettres ; mais c’était peu à celles que je recevais : pas moins de trente lettres par semaine.A tel point que j’avais lié une solide amitié avec le facteur.Au fil des jours , je lui avais refilé quelques adresses auxquelles je ne pouvais répondre.Le distributeur du courrier était très reconnaissant .Ainsi pour me montrer sa gratitude, il tenait à me remettre les lettres de main en main.D’ailleurs cela tombait bien et m’arrangeait beaucoup.Figurez-vous que l’un de mes frangins , lisait certaines de mes lettres en cachette .Cependant ce qui était intolérable de sa part : il lui arrivait de les donner à ses amis en échange de quelques pièces de monnaie .
    Ce qui était magnifique dans la correspondance c’était surtout la connaissance de l’autre ,de sa vie de sa culture et du patrimoine de son pays .Ces différentes liaisons m’avaient permis de corriger certaines idées et opinions de mes correspondants sur notre pays .
    Je me souviens d’une correspondante canadienne qui croyait que le Maroc se situait dans la savane et qui était habité par les pygmées.Un australien m’avait demandé comment étaient nos constructions et quel était notre mode de vie.Ce citoyen du pays du kangourou avait vu un reportage sur l’Afrique et il avait cru que le Maroc se trouvait là quelque part avec ses chasseurs presque nus qui abattaient les animaux avec leurs lances , mangeaient de la viande crue et habitaient dans des cabanes faites d’herbes sèches.
    Pour vous dire que dans le temps , on nous prenait pour des sauvages.
    La correspondance m’avait permis de faire visiter mon pays à mes correspondants .Beaucoup d’entre eux étaient venus me rendre visite à Oujda .C’était l’occasion de leur montrer l’hospitalité marocaine et la bravoure du peuple marocain.
    Malheureusement,je n’ai pas eu le loisir de traverser les frontières de mon pays pour visiter les pays de mes correspondants.Il n’était pas question d’argent puisque certains de mes amis m’assuraient le prix du voyage : aller et retour.
    Ceux de mon âge vous diront qu’il était presque impossible d’avoir son passeport .Vous auriez plus de chance de remporter la médaille d’argent aux jeux méditerranéens que d’avoir votre passeport.En plus , les frais du dossier étaient exorbitants.
    Cependant, grâce aux photos et aux cartes postales , je me suis vite fait une idées sur l’étranger.
    Beaucoup de correspondants avaient marqué un peu ma vie .En fait , , je m’en souviens de deux : un correspondant Belge et une correspondante des iles Maurice
    Pour le premier , je venais juste de faire sa connaissance,quand il m’annonça qu’il allait s’installer à Rabat .Bien entendu , moi aussi , ma famille venait de déménager vers la capitale .
    Quelques jours plus tard, un de mes amis d’enfance vint me rendre visite .En parlant de notre passe temps favoris , je lui ai montré la dernière lettre de mon ami belge.Aussitôt ,il m’a dit :
    _ »et si on lui rend visite ?
    _ mais t’es un peu fou , lui ai -je dit , cela fait seulement un mois que je correspond avec lui
    _ Et alors , ? Quel mal y a-t-il à cela ?
    Bien entendu, après une demie heures de discussion, j’ai cédé à sa proposition.Alors, on avait décidé de lui rendre visite dans trois jours après l’avoir averti de notre arrivée par courrier.
    En effet, nous avons pris le bus pour Temara .En ce temps là , cette grande ville n’était qu’un simple centre d’estivation. pour les hommes riches .Il y avaient beaucoup de villa qui faisaient face à la mer.C’était là qu’on devait chercher mon correspondant.Cela nous avait pris presque deux heures de recherche.Quand nous avons frappé à sa porte , il était presque deux heures de l’après midi : l’heure de la sieste.
    Quelques minutes sont passé quand la porte a été ouverte : un homme qui était loin d’être un européen nous apostropha :
    _ » Bonsoir , que puis-je faire pour vous ?
    Et moi :
    _ je voudrais parler à monsieur André
    _ Est ce que vous avez un rendez-vous ?
    J’ai hésité un peu :
    _ non…mais je suis l’un de ses correspondants
    Aussitôt , le chauve a souri :
    _ Ah, vous êtes Abdelhamid , son nouvel ami ami oujdi
    J’acquiesçai d’un hochement de tête.
    Puis :
    _ veuillez bien entrer dans le salon
    Soudain , mon ami me chuchota dans l’oreille :
    _ « Houmidi , qu’est-ce que tu fais ? Tu ne penses pas que…
    Malheureusement, l’hôte nous avait entendu.Alors, il lui dit :
    _ » Tu peux attendre ton ami sur le seuil de la porte , si tu veux
    _ Non, non, je vais entrer
    _ D’accord
    Donc, nous sommes entrés dans un superbe living room.L’homme sans cheveux nous pria d’attendre quelques instants le temps de réveiller monsieur André.

    A suivre…….

    HOUMIDI le : 15 décembre 2010

    #215360

    En réponse à : recrutement chez SQLI

    Xpilot
    Membre

    Bonsoir cher frères et sœurs,
    je ai déjà travaillé a SQLi oujda , franchement lorsque faire intégré ds gents non compétent a des secteur sensé exploité par les gens capable a ce poste a couter sqli une chute bien exponentiel , voila une article extraite de magazine la vie Économique==>

    bonne lecture

    La crise économique, bien que dépassée dans certains secteurs, continue de produire des effets à retardement. C’est, entre autres, le cas pour le français SQLI qui a été un des pionniers de l’offshoring au Maroc. Installée depuis 2004 à Rabat, la société française avait ouvert en mars 2008 un deuxième centre à Casanearshore qu’elle s’apprête justement à fermer. Le management de SQLI, qui l’a annoncé au personnel début septembre, a justifié la décision par le souci de la maison mère « Paris » de se recentrer sur son cœur de métier qui est l’offshoring, sa filiale de Casanearshore étant davantage spécialisée dans le développement de technologies dites «open source». Il faut dire que SQLI a également décidé de fermer d’autres centres dans le monde y compris en France,Canada, comme celui de Poitiers et Lyon par exemple. Il reste à savoir ce qu’il adviendra du projet de campus technologique programmé par l’opérateur dans la future technopole d’Oujda qui est mal géré par RR est piloté jusqu’à maintenant par RF.

    Xpilot de oujda.

    #278104

    En réponse à : seulment aux berkanais

    @compitieux wrote:

    salam
    de quoi te mêles-tu oujdi khoroto? pourquoi pollues-tu le sujet avec tes balivernes?
    pourquoi veux-tu faire le clown là où personne ne t’a sonné?
    pourquoi une blague 7amda à deux sous?
    et dire (brakna wlad leblad drayfin o nya)
    mais, le ridicule ne tue pas …

    premierement parce que j’ai lu des interventions de tachfine que je salues par l’occasion pour son education, fair play et son bon esprit. et je croyais le connaitre et c’est la raison pour laquelle j’ai place cette noukta. je voulais voire sa reaction pour savoir plus. Donc il n’etait pas malplace et secondo merci de me prendre pour khoroto.

    je n’ai pas fait le clown comme tu l’as pris. si tu as relis mon message, tu aurais pu comprendre que placer une telle blagues comme ca, n’as ni sense ni 3abbou rih mais dommage tu l’as pris comme insulte. fait des recherches sur le forum et tu verras que je n’ai jamais place de blagues ni sur brakna ni sur n’importe qui/quoi. tu as raison le ridicule ne tues pas et je trouve ca dommage.

    ce que j’ai dit sur berkane, je l’ai dit avec le coeur. j’aime la facon dont beaucoup de ces gens parlent et reagissent. et pour tes infos mes origines sont de labas.

    sinon je peux commencer a salir le forum par des insultes a droite et a gauche et te dire des choses plus pire mais je ne suis pas comme ca. l’insulte ne meneras a rien crois moi.

    et un conseil ne laisses pas l’emotion jouer un grand role dans ta vie!! la vie n’est pas seuelement noir ou blanc. et si tu as toute cette haine envers oujda, n’oublies pas que tu es dans un forum oujdi.


    @@ tachfine:

    pour mieux se comprendre, tu es abdelaziz de oued nachaf entre 2002 en 2004?

    #278103

    En réponse à : seulment aux berkanais

    compitieux
    Membre

    salam
    de quoi te mêles-tu oujdi khoroto? pourquoi pollues-tu le sujet avec tes balivernes?
    pourquoi veux-tu faire le clown là où personne ne t’a sonné?
    pourquoi une blague 7amda à deux sous?
    et dire (brakna wlad leblad drayfin o nya)
    mais, le ridicule ne tue pas …

    #206709
    houmidi59
    Participant

    Le rêve des pauvres est d’avoir beaucoup d’argent pour le dépenser selon leurs désirs et souhaits: acheter une villa avec une piscine munie d’eau chaude et froide pour en profiter toute l’année , avoir une voiture luxueuse avec un tableau sophistiqué et commandé par un ordinateur à distance, voyager en avion ….bref se satisfaire.
    Le cauchemar des riches c’est l’idée de perdre cet argent par n’importe quel moyen : vol, agression , perte ou tout simplement une affaire qui tourne mal
    Comme quoi l’argent est le soucis de tout le monde : les riches et les pauvres.
    Après cette petite introduction à la choucroute, je vais vous raconter une petite histoire amusante

    C’était un vagabond qui frappait chez les gens en demandant l’aumône. Le jour , il errait dans les rues et la nuit, il retournait à sa petite cabane pour manger ce qu’il avait ramassé .Maintes fois, on allait lui rendre visite .Lui en bon hôte , partageait avec nous son diner .Il était très heureux de sa vie de nomade. Quand nous le quittions, il s’endormait aussitôt. La preuve qu’il était très fatigué après une rude journée de marche. Le lendemain de bonne heure, il se réveillait et entamait sa promenade par visiter les épiceries et les cafés pour prendre son petit déjeuner. Après quoi, il se dirigeait vers les quartiers populaires. A chaque porte il frappait de légers coups. Quand, on lui ouvrait la porte, il disait toujours : bonjour madame (ou monsieur).Avez-vous besoin de mes services ? Je peux vous être très utile
    Accoutumé par ses visites, on souriait souvent avant de lui demander d’attendre quelques instants pour revenir ensuite avec du pain, le reste du diner, des fruits et des fois des habits.
    Le vagabond les fourrait dans une sacoche accrochée à son dos ; puis il poursuivait sa tournée vers la seconde maison et ainsi de suite jusqu’à la tombée de la nuit.
    Il lui arrivait quelques fois que des femmes qui se trouvaient seules à la maison de lui demander de faire des courses ou de faire quelques réparations mondaines. Il s’acquittait de ces taches honorablement.
    Un jour notre vagabond décida de jouer à la loterie .Il avait vu beaucoup de gens remplir des cases par des numéros .Alors, il s’est dit : et si je tente ma chance moi aussi
    Donc, il entra dans petite agence .Aussitôt , le caissier s’approcha de lui et voulut le mettre dehors.Sans rien vous cacher , ses habits sentaient la moisissure et le dégout .D’ailleurs, les habitués de lieux ont vite fini par déguerpir .Le vagabond , sortit de sa poche trois billets verts et les tendit au caissier : je voudrais tenter ma chance dit-il tout simplement
    L’employé lui montra les formulaires et lui donna un stylo
    Notre vagabond a rempli les cases à la hâte tout en rêvant de la fortune.
    Puis , il retourna directement chez lui. Ce jour là, il était resté chez lui.
    Deux jours après, il passa près de l’agence. Quelle fut sa surprise de voir étalé sur la vitrines les mêmes numéros qu’ils avait cochés
    J’ai gagné , j’ai gagné cria-t-il à la cantonade
    Les passants le regardaient avec pitié
    Le pauvre dit l’un d’eux à son compagnon : ça y est notre bonheur a perdu les boules
    Le vagabond décida de retirer son lot à l’agence ; mais là-bas on lui fit savoir qu’il devait aller à Casablanca pour avoir ses gains .Tout simplement , il venait de gagner la somme de cents millions de centimes
    De quoi faire perdre la raison d’un homme normal!
    Donc, pour la première fois il constata qu’il était répugnant avec ses habits graisseux .Puis, il se rappela qu’il ne s’était pas lavé , il y a des mois .
    Alors, il décida d’acheter quelques vêtements neufs avec ses économies. Il alla ensuite au bain .
    Il dut rester presque quatre heures pour devenir propre .Ensuite, il s’habilla de ses nouveaux habits .Pour finir, il fit un saut chez le coiffeur pour se donner une autre allure .Ce soir , il nous avait dit : les enfants , je vais prendre le train pour Casa .Là-bas une grande fortune m’attend
    Puis , il ajouta : à chacun de vous , je vais vous donner beaucoup d’argent pour remplir vos poches
    Nous le quittâmes sans vraiment le croire .
    Avant de prendre le train, le vagabond mit tous ses frusques dans une grande bassine en métal ; il y versa un litre d’essence ; puis alluma une allumette qu’il jeta au tas avant de dire : Adieu la pauvreté, adieu la saleté, adieu le vagabondage
    Petit à petit les habits se consumaient pour devenir un tas de cendre. Il assista à la scène jusqu’à la fin sans cesser de sourire avec une ironie qui en disait long sur ses principes.
    Après quoi, il se dirigea vers la gare.
    Durant tout le voyage , notre vagabond avait imaginé mille et un projet .Quand le train arriva à destination, il prit un taxi en lui disant : s’il vous plait emmenez-moi vite à cette adresse
    Le taxi s’arrêta devant un grand immeuble qui semblait aussi désert qu’une école après six heures.Il y entra en se précipitant vers l’un des guichets: monsieur , dit-il à un employé je viens de gagner 100 millions
    Félicitations rétorqua ce dernier.Alors, donnez-moi votre reçu pour que je puisse vérifier
    Le vagabond obtempéra ; puis il se mit en devoir de fouiller ses poches .Soudain, il cria : Ah , non ; ce n’est pas vrai !
    Hélas , il venait de se rappeler que le billet gagnant avait tout simplement été brulé avec ses anciens habits de vagabond
    A vous de deviner la fin

    Houmidi59: 8/12/2010

    #278101

    En réponse à : seulment aux berkanais

    compitieux
    Membre

    salam
    plus précisément les deux salles de cinémas zagzel et al2andalouss, mes yeux se remplissaient de larmes chaque fois que je passais à côté
    une fragrance de souvenirs émane de chaque coin … de chaque centimètre carré de la ville, de wartass à bouhdila, de bni mehdi à sidi slimane
    il m’arrive de là où je suis, de fermer mes yeux pour imaginer la ville … de me balader dans chaque quartier, de longer chaque ruelle, de retrouver chaque visage, ô comme tu me manques berkane.

    #206702
    houmidi59
    Participant

    Le code de la route a été établi pour être respecté par tout le monde : les conducteurs, les piétons et les hommes de la loi .Malheureusement, pour chacune des trois catégories, il y a toujours des exceptions.
    Certains conducteurs connus sous le nom de chauffards du dimanche croient que tout leur est permis, pour la simple raison qu’ils sont pressés ou ont des engagements urgents qu’il ne faut en aucun cas reporter.
    Il y a aussi les piétons qui traversent la chaussée sans passer par le passage qui leur est destiné et qui en plus croient que les feux tricolores sont faits uniquement pour les véhicules
    Quant aux hommes de la loi .Ici il est question de policiers et de gendarmes .Plusieurs d’entre eux réprimandent le fautif à leurs façons .Ce qui arrange d’un côté le conducteur et remplit la poche des seconds au lieu des caisses de l’Etat.


    Revenons au conducteurs et spécialement ceux à deux roues : les vélos et les motos tous genres. Ah, ceux –là sont vraiment uniques dans leur cas. Plus de 95% ne respectent pas le code de la route .On peut dire qu’ils ne distinguent plus entre les trois couleurs qui régissent la circulation. Ils sont loin d’être des Daltoniens, puisqu’ils distinguent bien la couleur verte. Comme quoi si les optimistes voient la vie en roses, nos motocyclistes et nos cyclistes voient leur parcours en vert.
    Moi aussi , j’ai une moto que j’utilise dans mes déplacements en ville .Il s’avère que c’est un moyen économique et pratique surtout dans les grandes agglomérations. Cependant, son conducteur demeure vulnérable face aux accidents de la circulation. Pour cela, il faut se munir d’un casque pour se protéger d’une chute brusque ou un heurt violent .Aussi, il ne faut jamais rouler entre les voitures pour éviter d’être serré par elles.
    Je vais vous raconter un fait divers que j’ai moi-même vécu
    Un jour , je roule tranquillement sur ma moto.Arrivé à un carrefour , je ralentis ; d’ailleurs , le feu rouge s’affiche aussitôt .Donc, plusieurs voitures se sont arrêtées .Moi, j’ai pris le côté droit tout en guettant le changement du rouge au vert.Soudain, j’entends un klaxon strident .Je me retourne : derrière moi un motard qui me fait signe de m’écarter de son chemin.Moi bonne âme , je lui montre du doigt que le feu est toujours rouge.Ce ,n’est pas une réponse à lui dire .Aussitôt, il appuie sur l’accélérateur en faisant crier son moteur à deux cylindres , prêt à me foncer dessus .Dans de telles situations, le mieux est d’obtempérer ; mais , les amis, je suis un peu coincé et je ne peux même pas bouger …sauf pour griller le feu rouge .Et ça , je ne le ferai jamais.Alors, l’homme à la moto descend de son engin et m’attrape pour me « corriger » à sa façon.Quand, soudain, deux policiers surgissent et l’un d’eux crie à l’agresseur :
    _ « Hé, vous, qu’est-ce que vous faites ? Lâchez cet homme tout de suite
    Le barbu obéit tout en me poussant ; ce qui me fait tomber sur ma propre moto.Heureusement que mon casque a paré le coup de chute .Ce qui a fait que je me suis vite relevé.Le second agent s’approche de moi et m’apostrophe :
    _ »rien de grave, monsieur ?
    _ Merci lui dis-je, ça va . Tout va bien
    Puis :
    _ Qu’est ce qu’il y a au juste ?
    _ Il me barre le passage , hurle le motard , tout en manifestant sa colère
    _ Ah, bon, réplique le policier .Monsieur a l’intention de griller un feu rouge
    _ Mais…mais , bêle le malotru
    Le policier reprend :
    _ Tu n’as pas de chance , mon gars, parce qu’on a tout vu.
    Braves policiers , un moment , j’ai pensé les embrasser.
    Puis , le policier demande à voir nos papiers .Je les lui remet fièrement , tandis que mon agresseur semble chercher dans ses poches , mais en vain
    Finalement, on saisit son engin et on lui colle une amende
    Quant à moi , je quitte les deux agents après les avoir remercié .Puis, au lieu de faire mes courses, je décide de boire un café.Justement , mes amis sont là.Cela m’a permis d’oublier l’incident.




    Abdelhamid
    Oujda : 4 décembre 2010

    #206693
    houmidi59
    Participant

    Je traverse la rue tranquillement ;quand une voiture me heurte à mort.Aussitôt, je perds connaissance et je sombre dans le vide.Je crois que je viens tout simplement de quitter notre monde vers un autre .En ouvrant mes yeux , je ne vois que du brouillard .Bientôt, j’aperçois des ombres .Je réalise que ce sont des êtres humains .Malheureusement, il semble qu’ils ne se soucient guère de ma présence.J’écarquille mes yeux dans le but de reconnaitre l’un d’eux .Mais, en vain.
    Je me relève et commence à marcher .Je parcours ainsi des centaines de pas.Le brouillard commence à se dissiper .Bientôt, j’aperçois une voiture de loin .Aussitôt, je me dis : mais c’est la voiture qui m’a renversé !
    Je m’approche du véhicule .Le conducteur est à l’intérieur .Il dort à poing fermé.Je tape sur la vitre de la voiture pour manifester ma présence.Le dormeur sursaute .Il me regarde d’un air étonné
    _ »Qu’est ce que vous voulez ? Me dit -il en guise de salut
    Je lui répond poliment :
    _ vous venez , il y a juste dix minutes de me renverser avec votre voiture…
    Il m’interrompt net :
    _ Etes-vous devenu fou? Hurle-t-il, je suis accroupi là depuis des mois et des mois
    _ Hein rétorqué-je
    Le conducteur se relève .Il sort de sa voiture ; puis, il me dévisage longuement avant de dire :
    _ Vous , je ne vous connais pas
    Puis:
    _ c’est sûr , vous venez d’un autre monde
    _ Quoi ! m’exclamé-je.S’il vous plait , ou sommes nous ?
    Il sourit :
    _ Mais vous êtes dans l’Antichambre
    Je répète comme un élève et avec un ton plus exclamatif que le sien : l’antichambre!
    Comme je n’ai rien compris , j’ajoute :
    _ C’est quoi cette antichambre ?
    Il me foudroie de son regard .C’est alors que je constate que ses yeux sont rouges .On dirait qu’il n’apprécie pas ma présence .Cependant, il me dit : écoutez , vous êtes quelqu’un de curieux et de bavard et moi je n’ai pas de temps à perdre avec vous.Si vous voulez tout savoir , suivez cette voie.
    Et il désigne de son index un point obscur dans le néant
    Il ajoute : allez tout droit jusqu’à ce que vous trouvez une pancarte entre deux chemins ; et là à vous de voir
    Je veux répliquer , mais il ne me laisse pas cette oportunité.Alors, il s’enferme dans son véhicule et s’endort à nouveau
    Je suis son conseil.Ainsi , je marche plusieurs centaines de mètres.En chemin, j’ai croisé beaucoup de gens.Aucun d’eux ne fait attention à moi.On dirait qu’ils ne voient pas et n’entendent rien .Ce sont sûrement des zombis !
    J’ai beau les appeler, ils continuent de marcher comme moi .J’ai remarqué aussi qu’ils ne se parlent pas entre eux et que leur tête n’a pas de cheveux.En somme ce sont des chauves.Je continue mon chemin et à chaque fois je dépasse plusieurs groupe
    Enfin , j’arrive à un croisement de chemin.Juste au milieu, il y a une pancarte comme me l’a indiqué le conducteur .Je m’approche pour lire ce qu’il y a écrit.Voyez-vous , il y a toujours du brouillard autour de nous.Je lis : paradis d’un côté et enfer de l’autre côté
    Bien entendu, j’opte pour le premier chemin ; tandis que derrière moi, des groupes de marcheurs se dirigent vers l’autre chemin .Aussi, je constate avec surprise que je suis le seul à avoir opté pour cette direction
    Juste après une centaine de mètres, je me vois dans un autre monde .Soudain, le brouillard s’évapore et une lumière intense inonde tout mon entourage .A un moment, je ferme mes yeux ; puis mes yeux se sont vite habitués au flot de lumière .
    Cette fois , je vois de la verdure : des arbres garnis de fruits , des fleurs éparpillées partout .Il y a même quelques papillons qui voltigent là et là.Derrière moi, de l’eau coule et des chants parviennent jusqu’à mon oreille.
    C’est le printemps, me suis-je dit.Puis, je réalise que quand là-bas dans mon ancien monde , j’ai laissé l’hiver.
    Donc, je cherche de mon regard une présence humaine ; quand , j’aperçois un vieil homme .Il ne semble pas me voir.Tout simplement, il est en phase de méditation.Je m’approche quand même de lui et lui dit poliment:
    _ » excusez-moi grand-père , je voudrais juste savoir ou nous sommes!
    Après une vingtaine de secondes , le Vieux ouvre ses yeux , me regarde et répond :
    _ N’as tu pas lu la pancarte mon , mon fils
    _ Si , je dis du tac au tac
    _ Alors, poursuit-il, pourquoi poses-tu cette question ?
    Je n’arrive pas à comprendre .Aussi, je fais savoir au vieil homme que je viens juste de mourir et que je m’aperçois que je me trouve dans un autre monde
    _ Non, explique-t-il , tu n’es pas mort ; tu viens juste de passer du monde des mortels à celui des immortels
    Puis:
    _ toi, tu es quelqu’un de bien ; c’est pour cela que tu as choisi le bon chemin
    Je le regarde étourdi .Il me tape l’épaule avec affection: quelque chose ne va pas mon fils ?
    Après un bref silence , je lui fais savoir qu’au croisement des deux chemins , j’ai vu une grande partie des gens prendre l’autre chemin.
    Il sourit et me dit :
    _ » mon fils ceux qui prennent ce chemin sont les mauvais
    _ Mais, répliqué-je, pourquoi n’ont-ils pas pris ce chemin? Il n’est sûrement pas gardé.D’ailleurs personne ne vous barre le passage
    _ Ecoute mon fils , reprend le vieillard, ces gens que tu as vus ne peuvent prendre ce chemin parce que tout simplement ils ne le voient pas .Pour eux, il n’existe qu’un seul chemin.Tandis que pour toi, il en existe deux .Tu n’as qu’à choisir .C’est évident pour tout ceux qui font du bien dans leur vie antérieure
    Toi, mon fils tu es quelqu’un de bien : tu as bien rempli ta mission : envers ton Créateur et tes semblables
    _ Alors, je m’exclame, c’est facile de trouver le paradis
    _ Ben oui, sourit-il de nouveau ; mais…
    Je poursuis sa réflexion:
    _ … les gens ne veulent pas
    _ Tu as bien saisi , approuve mon interlocuteur
    Puis, :
    _ viens je vais te faire visiter le paradis
    Il réalise aussitôt ma stupeur
    _ On n’est pas encore au paradis .Tiens, voilà de belles hôtesses qui vont t’assister et prendre bien soin de toi .
    Aussitôt, des anges vêtus de blanc s’approchent de moi et me secouent tendrement
    _ » Réveillez-vous monsieur .Vous avez beaucoup dormi
    J’écarquille mes yeux : deux ravissantes infirmières sont à mon chevet avec leur sourire innocent.Dieu merci dit l’une d’elles , vous revenez à la vie après presque vingt heures de coma. »
    Et , elle appelle le médecin:
    _ Professeur ! Vous avez réussi. »


    Abdelhamid



    Oujda le 26 novembre 2010

15 réponses de 301 à 315 (sur un total de 2,790)
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