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Sujet: Le Nouveau Désordre Mondial
Voici un document de Roger Garoudi qui raconte l’histoire du sionnisme face à l’islam, en gros vous ne verrez jamais ce document a la télévison.Je vous laisse juger, le document parle de lui méme!!
Voici la 1ére partie
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La médiathèque de la ville d’Oujda
La médiathèque de la ville d’Oujda est l’aboutissement d’un projet commun : pour la promotion du réseau de lecture publique marocain initié par Le Ministère de la Culture en partenariat avec le Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France au Maroc et la commune urbaine de la ville d’Oujda.
La médiathèque est riche d’une collection bilingue (arabe/français) de 10 000 livres et d’un fonds audiovisuel de 1 000 CD, DVD et CD-rom. Elle offre également des espaces de consultation bien équipés pour permettre au plus large public de se former, de s’informer mais aussi de se détendre dans un cadre accueillant et chaleureux.Des bibliothèques satellites graviteront autour de la médiathèque de la ville D’Oujda à « Ain sfaae, Aklim… », aux collections plus modestes, elles proposent toutefois aux populations rurales et périurbaines concernées un service de grande qualité grâce à l’implication de leur « tête de réseau » (prêt, échange de collections, programme commun d’animations) et au soutien apporté par la direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture.
La médiathèque proposer des collections riches et diverses pour « donner à tous libre accès aux trésors de la pensée et de l’imagination de l’Homme », c’est l’ambition qu’elle se donne en collaboration avec les autres médiathèques du réseau et les bibliothèques satellites, s’inspirant du manifeste de l’UNESCO. Elles invitent en effet les publics de tous âges, sexes et catégories socioprofessionnelles, à venir trouver dans un cadre accueillant les documents les plus variés. D’un roman policier à un site Internet spécialisé en gastronomie, d’un disque de contes pour enfant à un documentaire sur les maladies infectieuses : tous les supports sont disponibles dans les collections du réseau de lecture publique.Promouvoir le livre et l’information, c’est aussi en faciliter l’accès. La médiathèque est donc ouverte à tous gratuitement. Les collections sont en libre accès pour qu’un utilisateur puisse, seul ou avec l’aide d’un bibliothécaire, trouver le document qui l’intéresse et l’emprunter après s’être inscrit. L’ensemble du fonds documentaire du réseau est également recensé dans un catalogue collectif informatisé, interrogeable via l’Internet ou sur place. Les espaces de consultation de la médiathèque a été conçus pour s’adapter aux besoins et aux pratiques de chaque public (tout-petits, enfants, jeunes, adultes).
Car, au-delà de leur vocation traditionnelle de mise à disposition et de prêt de documents, ces médiathèques et bibliothèques sont également des espaces de vie culturelle qui invitent aux plaisirs de la découverte et de la connaissance : des animations (rencontres, lectures, expositions, débats, ateliers…) y sont organisées régulièrement par les équipes en place ou les associations culturelles locales à l’attention du plus large public.La médiathèque de la ville d’Oujda travaille dans l’ensemble d’un réseau de 10 médiathèque réparties dans les villes suivantes : Oujda, Taza, Mekhnès, Al Jadida, Sala aljadida, Khribga, Beni mellal, Larache, Ouarzazate, Tiznit.
Le travail en coopération mené par les médiathécaires du réseau s’illustre d’abord par la création d’un catalogue commun recensant l’ensemble des collections du réseau lecture publique. Géré par la Direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture, ce catalogue est consultable via Internet et permet aux utilisateurs d’interroger aussi bien le fonds de la médiathèque de leur province que celui des autres médiathèques du réseau.
Son élaboration a nécessité en amont l’adoption de procédures communes (plan de classement, manuel de catalogage notamment), diffusées par l’association des médiathécaires du réseau de lecture publique créée en 2006.La médiathèque de la ville d’Oujda : Mohamed Ben Amarra
Les partenaires pour la création la médiathèque :
• Ministère de la Culture
• La commune urbaine de la ville d’Oujda
• L’ambassade de FranceCaractéristiques de la médiathèque :
o La surface : 320 m2
o Les espaces : la médiathèque contient trois espaces de lecture ; espace adulte, jeunesse et enfance. Il y’aura une salle de traitement du fond et un bureau du responsable ainsi que des toilettes.Fonds documentaire :
• La dotation totale du fonds documentaire imprimé est de 10 000 titres.
• Le fonds documentaire audiovisuel atteindra 1000 titres
• La répartition du fonds est la suivante :
o 1/3 de livres pour les enfants, 1/3 pour la jeunesse, 1/3 pour les adultes.
o 50% de livres en arabe et 50% en français.Budget alloué à la création de la médiathèque (en dhs) :
Collections imprimées : 946 374
Fonds audiovisuel : 46 066
Mobilier de bibliothèque : 765 824
Equipement informatique : 177 275
Equipement audiovisuel : 50 736
Total : 275 986 1Toutes les fonctions de la médiathèque sont informatisées :
o la gestion du fonds documentaire
o Les transactions prêt/retour
o La gestion des utilisateurs
o Les statistiques.Fonctions de la médiathèque :
o Accueil et orientation du public
o Accès aux fonds documentaires imprimés et audiovisuels
o Recherche dans le catalogue collectif
o Prêt des documents
o Accès à l’Internet
o Animation autour du livre et de la lecture.note : pour plus d’information sur le le réseau de lecture publique marocain Veuillez consulter :
tu est marocain parce que…
– Tu es surpris et remercie le ciel à chaque fois qu’en voiture tu arrives à
destination sain et sauf.– Tu traverse la route en Superman, en plein feu vert, tout doucement,
langoureusement, en fixant droit dans les yeux l’automobiliste genre : « si
tu veux bousiller ta voiture, rentre moi dedans »– Ça ne te choque pas que des mecs se fassent la bise entre 2 à 6 fois sans
être homos.– ça te semble normal que ces mêmes mecs tendent aux femmes une main tout ce
qu’il y a de plus viril.– Tu sors tes Pulls et vestes dès que la température descend à moins de 25°
– Tu n’arrives pas à comprendre comment les multinationales de jus d’orange
industriel peuvent subsister quand on peut avoir pour beaucoup moins cher un
jus d’orange pressé devant toi et 10000 fois plus bon.– Tu es surpris quand un vendeur te dit bonjour, et plein de gratitude face
à une caissière qui sourit.– Pour promettre quelque chose, tu ne peux t’empêcher de promettre enfer et
damnation à toi-même et à tout ton arbre généalogique : « Allah ya3ti
lwalidiya el cancer ila » (que mes parents aient le cancer si…) ou «allah
ye3tini el3adabe ila » (que je subisse les pires souffrances si….)– Tu bois de l’alcool avec une obligation de résultat : Te déchirer la
gueule….– Ta main devient insensible aux brûlures de deuxième degré pour cause d’une
longue pratique du couscous du vendredi.– Tu trouves normal qu’il y ait des gens qui accrochent un CD au rétroviseur
de leur voiture.– Tu vérifies une bouteille de Gaz avec la flamme d’un briquet sans trouver
cela dangereux….– Tu gardes sur toi en permanence ton acte de mariage ou alors tu prends
deux chambres d’hôtels quand tu vas uniquement dormir dans une.– Tu as le rythme dans la peau et tu l’exprimes via ton Klaxon.
– Tu penses mordicus que les flics squattent les ronds points pour y foutre
le bordel.– Tu trouves normal que des fois il y ait un orchestre à McDonald’s.
– Tu ne connais pas les demandes en mariage : dés qu’une relation dépasse 3
mois ça coule de source.– Tu trouves normal de donner ton corps à des gens bizarres au Hammam, pour
qu’ils te « frottent»…..– Tu considères comme prématuré qu’un jeune quitte le domicile parental à 30
ans.– Tu fais partie des inventeurs d’une lessive spécial « terkade » :
exclusivité mondiale.– Un agent de l’autorité « mkadem » peut renseigner tes futurs beaux parents
sur tes faits et gestes depuis le jour où tu as dépendu de sa
circonscription.– Tes relations créent un calendrier partagé pour coordonner leurs séjours à
ton domicile de façon à ce que tu ne te sentes jamais seul.– Tu ne crois pas au dernier recensement, vu que 30 millions c’est
uniquement le nombre de personnes sur les terrasses du café le soir.– Tu sais que s’il y a autant de femmes qui portent le nom de leur mari, ce
n’est pas parce qu’ils sont mariés :
c’est juste qu’ils sont cousins.– Tu as une cicatrice du vaccin au bras gauche.
– Tu ne trouves pas que c’est obscène de se gratter tranquillement les
noisettes en public.– Tu entends « mbarek l3wacher » (bonnes fêtes) à tous les carrefours sans
pour autant savoir ce qu’on célèbre– Le « lendemain » est toujours le jour où tu veux tout faire.
– Il y a toujours un verre de plus sur le plateau pour thé ou café.
– Quelqu’un frappe a la porte et avant que vous n’ouvriez, ton esprit
s’emballe de questions du genre : Est-ce que il y’a des biscuits dans la
maison? Combien de temps me faudrait-il pour préparer du msemen ?– Vous avez une vitrine pleine de porcelaine chère (surtout porcelaine
chinoise) d’une manière ordonnée dans le salon mais seulement la poussière y
jouit, ou des invites qui ne viennent qu’une fois par an.– Rien n’est gaspillé du mouton, sauf le sang peut être
– Tu trouves le moyen de jouer aux dames sur le trottoir en utilisant les
carreaux du dallage, des bouchons de soda et des rondelles de carotte– Même si tu t’habilles en jeans et sneakers tout le temps, tu as quand même
au moins une jellaba et un caftan ; on sait jamais ashno ka tjib lweqt (de
quoi demain est fait).– Tu dis ‘shkoon’ (qui est là ?) quand quelqu’un frappe à la porte, comme
quoi tu peux pas attendre les deux pas qui te séparent de la porte.– A cette même question, tu réponds « ana » (littéralement « moi »)
– Ton café au lait a tellement de mousse que tu es obligé de l’enlever à
chaque fois et déposer sur le sous tasse.– Tu commences par accoster une fille en lui disant: mane choufoukche a zine
(on se voit, beauté)? Et tu la traites de: ya 3la khayba (ce que tu peux
être moche) quand elle t’ignore.– Tu arrêtes ta voiture 3 mètres après le feu rouge pour être sûr que tu vas
démarrer le premier, alors que tu démarres le dernier car tu ne vois pas le
feu passer au vert– Tu fais exprès de ne pas traverser sur le passage des piétons.
– Tu fais des phrases avec des mots de 3 langues minimum (arabe
classique/francais/anglais/espanol/darija/berbere…)– Tu raconte des blagues où le marocain est toujours celui qui gagne grâce à
ses kwaleb (malices).– Il faut 3 ou 4 personnes pour te convaincre de rejoindre la piste de
dance, en te tirant les bras et jurant de tous les saints et awlya du
maghreb et Machri9 (d’orient), mais une fois dans la foule tu ne veux plus
arreter de danser, et tu y reste jusqu’a la fin de la fête.– Pendant l’horaire continu, tu trouve normal d’aller déjeuner chez toi, et
de faire une petite sieste.– Ce n’est jamais de ta faute. C’est toujours la faute de l’autre, du Bus
parti sans toi, le bijou qui s’est égaré, le vase qui est tombé, Le PC qui a
planté.– Tu crois que les codes TPS et compagnie sont piratés par des marocains à
Derb Ghellef(Casablanca) ou Swika(Rabat).– Tu fais régime za3ma (soit-disant) en mettant de l’édulcocrant dans le
café tout en engloutissant des tonnes de chebbakya (gâteaux mieleux) .– Tu ne t’etonne pas qu’il y ait une mahlaba (laiterie) et une téléboutique
tous les 10m– A l’étranger, tu as soudain envie d’un sandwich dial « pisseri »(d’épicier)
:
thon 7ar (piquant), vache qui rit et « kasheer » (mortadelle).– Tu considères les lignes doubles sur la route comme étant un endroit ou
les voitures ne peuvent pas t’atteindre– Tu crois appartenir à une race unique et tu as vraiment les boules qu’un
« non marocain » .wache kayéne hade chi wéla la??? 😆
Sujet: Philo
Imposant la broblematique du reel et le non-reel , qui connait la verité! Platon nous propose un mythe pour nous inviter à nous poser cette question ,pour cela il illustre avec l’image nommée « Mythe de la caverne » j’aime et je vous fait partager ;la voici:faut suivre 🙂
Les hommes sont semblables à des prisonniers enchainés depuis leur naissance,dans une caverne et tournant le dos à l’entrée ouverte sur la lumière,les yeux rivés sur la paroi de pierre qui leur fait face;ils ne voient rien de ce qui ce passe dehors.Cependant durant la nuit ;un feu allumé sur une hauteur ,brille derrière eux.Sur la paroie de la caverne ,se projettent alors les ombres d’hommes allant et venant,porteurs de statuettes et d’objets divers.Ces prisonniers qui n’ont jamais vu le jour ,prêtent ,eviemment,à ces ombres une realité qu’elles n’ont pas.
La caverne represente notre monde visible et ces personnages symbolisent ceux qui croient que le monde de l’experience sensible est le seul et vrai monde (ce qui, pour Platon est faux).
Imaginons qu’un de ces prisonniers puisse s’évader .à l’exterieur ,il sera d’abord ebloui par la lumière puis, sa vue s’acclimatant ,il decouvrira petit à petit ,le vrai monde .L’apprentissage du prisonnier libéré se fera pas palier,ce sera un cheminement dialectique, une ascension difficile et longue pour découvrir le monde vrai,celui des idées où brille la vraie lumière,le Soleil(image du bien)
Si ce prisonnier retourne dans la caverne pour prévenir ses congénères de la fausseté de leurs croyance en des reflets ,il se sentira aveugle,ses yeux n’ont plus l’habitude de l’ombre ,parcequ’ils ont vu la pleine lumière du soleil.il ne verra même plus les ombres de la caverne et les prisonniers se moqueront de lui et ne le croirent pas .pourtant ses yeux ne sont aveugles qu’aux apparences et non au réel qui seul importe.
C finiJ’ai trouvé cette notion interessante, et j’aimerais connaitre vôtre avis?
Vous pensez que c’est une bonne chose de concilier religion et activité économique ou qu’au contraire ceux sont deux thèmes à séparer ?Pour vous éclairer un peu, pour ceux qui en auraient jamais entendu parler, j’ai pris la partie ke j’ai trouvé essentielle pr comprendre et mener le débat :
» Le développement des banques islamiques
Il y a actuellement plus d’une centaine d’institutions financières en fonctionnement.(Khan Mohsin-S. 1986) La plupart ont été créées dans la seconde partie des années 70 dans les pays arabes comme l’Egypte, le Soudan et les États du Golfe. Bien que les capitaux pétroliers favorisent les activités économiques et, partant, les opérations bancaires et financières, la structure du capital des banques islamiques ne dépend pas de l’initiative publique mais privée.
Les premières expériences :
La première expérience a eu lieu en Egypte, sous la forme des caisses d’épargne rurales du Mit-Ghamr (delta du Nil) entre 1963 et 1967. (Mayer Anne Elizabeth, 1985) Le modèle utilisé était celui des caisses d’épargne allemandes, adapté à l’environnement rural d’un pays islamique en développement. La majorité de la population rurale, très religieuse, était alors très méfiante vis à vis des banques fonctionnant sur le modèle occidental. Une part importante des revenus de cette population était économisée pour faire face à des problèmes de nature sociale, des urgences, etc… La condition indispensable à un changement de comportement, c’est-à-dire le passage d’une « épargne en actifs réels » à une « épargne financière », était de créer de nouvelles institutions financières qui respecteraient les principes religieux de cette population. L’expérience dût prendre fin pour des raisons politiques. Néanmoins, elle ouvrit la voie à des entreprises ultérieures, telles que la Nasser Social Bank en 1971, première banque à caractère social pour les groupes sociaux à bas revenus. Outre ces institutions d’épargne et de prévoyance sociale, des banques islamiques à caractère commercial furent aussi créées dès le milieu des années 70. Elles souhaitaient offrir une solution de remplacement « islamique » à ceux qui étaient déjà en contact avec des institutions classiques. Il y eut deux types d’institutions : les banques commerciales et sociétés d’investissement, et les sociétés internationales de portefeuilles islamiques.
La Banque Islamique de Développement :
Un événement important dans l’histoire de la banque islamique a été la création de la Banque Islamique de Développement (B.I.D.), institution inter-gouvernementale, à Jeddah (Arabie Saoudite) en 1975. Selon ses statuts, la B.I.D. a pour mission de favoriser le développement économique et le progrès social dans les pays membres et dans les autres communautés musulmanes, individuellement ou conjointement, suivant les principes de la loi islamique. La B.I.D. peut fournir des fonds propres et des prêts sans intérêts pour des projets de développement. Elle est également engagée dans le financement du commerce international. Outre son aide financière, la B.I.D. apporte son assistance technique, notamment dans la coordination des projets de développement des pays membres. (Wohlers-Scharf Traute, 1982, 1983)
L’objet de la B.I.D. est de promouvoir la coopération avec les banques nationales islamiques, en fournissant, par exemple, du capital social pour la création de nouvelles institutions islamiques, du financement conjoint de projets et une coopération dans le domaine des études et de la formation. La B.I.D. s’efforce de développer l’idée de la banque islamique dans le Tiers Monde et, à cet effet, coopère avec plusieurs institutions musulmanes. (MEED Special Reports, 1980, 1981) [2]
source : http://www.fsa.ulaval.ca/personnel/vernag/PUB/Islam.html
A vous ! 😀
