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la comission technique de football et volley ball de la federation sportive scolaire de la delegation de figuig a organisé le 8 et 9 janvier à bouarfa des journées de formaion pour les professeurs d’eps ainsi que pour les professeurs de l’enseignement primaire,ces journées sont encadreés par mrs:maktal,prof agregéà oujda et specialiste en volley
:ali tejjini prof d’eps àoujda et ex entraineur national scolaire
:abdellah bentaleb,inspecteur d’eps
nb:bouarfa va abriter le championnat scolaire pour toute les categories en volley et la categorie minime(a)en football le 20 fevrier prochainSujet: ENCGO
concolénces aux encgistes d’oujda
l’ecole nationale de commerce et de gestion a été créee en septembre 2004 pour encourager le développement de la région de l’oriental. 4 ans de travail et d’efforts pour construire cette école de haute formation des cadre en gestion des entreprises est remise en cause par le nouveau directeur qui vient de prendre en charge la direction de cette école. plusieurs mesures ont été prise en compte. parmi celles-ci:
– changement du corps professoral au cours de l’année pour permettre à ses amis de la fac de droit de rejoindre l’encg sous pretexte que ces enseignants sont des spécialistes (« dans le copiage des thèses »)
– 20% des étudiants doivent échoués
– 20% des étudiants doivent quitté l’école
– changement du logo de l’école (le logo actuel est le résultat d’un concours ouvert aux étudiants dès la première année)
– etc….
NB: le nouveau directeur ne s’entend pas avec l’ancien responsableA suivre……
bonjour tout le monde je voudrai prendre contacte avec la directrice du lycée ouadi eddahb à oujda mais malheureusement depuis qu’ils ont changé le directeur par une directrice l’ancien numero de telephone ne va plus, j’aimerai bien avoir le nouveau et même l’email de la directrice ou l’un des responsables si possible
merci à tous pour tous renseignement.mes sincères cordoléances pour la famille du professeur de ziri ibn attia
سلامBonjour,
Je suis une employée à marjane (‘agent de coffre), j’ai passé une formation durant octobre et novembre. , puis été ramené à faire une autre formation ici marjane Oujda, le temps qu’il ouvre ses portes. On s’est retrouvés par la suite avec des conditions qui m’ont surpris et choqué à la fois.
On es censé être au travail depuis 8h jusqu’à minuit en continue, sans pouvoir prendre une pause suffisante pour se reposer, manger ou autre chose; la plupart du temps on prend de nous même une petite pause de 15mn à partir de 20h du soir alors que les chefs de caisse eux ,n’hésitent pas à se permettre des moments de pause parfois en cachettes et prétendent qu’elles n’en bénéficient pas ;
Puis une fois l’heure de sortie arrivée , on se retrouve avec un autre problème ajouté à la liste des conditions désastreuse que nous vivons chaque jour , et tenter notre chance de trouver le transport dont la capacité est de 12 personnes , hors le nombre de personnel entassé dedans comme des moutons fait beaucoup plus de cette capacité en plus la moitié reste dehors dans le froid attendre que le bus de transport fais le tour de la ville et revenir pour prendre le reste et arriver en fin de compte vers 2h du matin chez soi , « pointer le sommeil » comme on dit , et se réveiller vers 7h du matin pour reprendre une autre longue journée .
Les employés perdent connaissance l’un après l’autre, il est arrivé à ce que une employée supplie les 4 chefs de caisse pour prendre une petite pause juste pour manger quelque chose car elle n’avait rien mis dans la bouche depuis la veille, en plus du travail fatiguant, et face au désintérêt des responsables qui ne pensent qu’au profit maximum, elle ne pouvait pas supporter, deviens bleue, perd connaissance et se réveille par la suite à l’hôpital qui lui demande de passer la nuit car son état le nécessite .
On a pas droit même à une salle de repos, on se retrouve avec du personnel allongé par terres dans les vestiaires sur un morceau de carton avec le froid qu’il fait.Puis quand je me suis révolté contre ces conditions, je me suis retrouvée arrêtée de mon poste tout simplement.
ich
Sujet: Bilan OujdaCity + nouveautés
Bonjours cher oujdinautes
Je profite du lancement du premier numéro d’oujdacity sur papier (lire l’article : http://www.oujdacity.net/oujda-article-8688-fr.html ) pour faire un point sur l’avancement du projet oujdacity ainsi que pour donner quelques nouvelles
Oujda City c’est aujourd’hui :
– Un portail qui fait participer une 10ene de journalistes bénévoles réguliers, et plusieurs correspondant occasionels.
– Plus de 10000 articles : journal, cours, données touristique et économiques.
– Plus de 5000 visiteurs quotidiens : Au mois de novombre nous avons battu le reccord de visite en totalisant 100000 visites mensuelles et nous espérons aller bien au-dela de ce chiffre ce mois ci – inchallahJe cite ces chiffres pour remercier tous ceux qui participent de près ou de loin à l’évolution de notre (de votre) portail . car sans ces visiteurs fidèles que ca soit sur le site ou sur le forum, oujdacity ne vaut absolument rien
J’en profite aussi pour m’excuser de mon absence dernièrement. Je ne trouve malheureusement plus le temps de participer comme avant au forum, mais pour ca je ne m’inquiète pas vous remplissez très bien cette tâche
Il y a eu beaucoup de mouvement ces derniers temps : les blogs, le journal papier, la refonte d’oujdacity …etc
C’est pour celà que j’ai décidé de consacré la plus grande partie de mon temps libre pour les améliorations à venir sur le portail.et pour vous prouver que je bosse
voici un petit aperçu de ce que va ressembler le nouveau OujdaCity :
Les mines du colonialisme continuent de tuer
La tâche est titanesque. Herculéenne. L’œuvre de toute une vie, diront certains. Jusqu’à avril 2012, délai fixé par la Convention d’Ottawa sur l’interdiction des mines antipersonnel, l’armée algérienne aura fort à faire avec les champs de mines, sinistre legs de l’armée française.
Au programme : neutraliser plus de 3 millions de mines terrestres,
potentiellement dangereuses, et décontaminer quelque 1500 km de bande frontalière minée. Ce ne sont pourtant là que des estimations. Les historiens restent aujourd’hui encore divisés sur la quantité réelle de mines disséminées le long des frontières (lignes Challe et Morice). Des 11 millions de mines (chiffre officiel) ayant servi à isoler l’Algérie de ses voisins directs durant la révolution, l’ANP en a éradiqué 8 millions depuis l’indépendance. Les opérations de déminage, suspendues à la fin des années 1980, n’ont repris qu’en 2004. A un rythme soutenu vu le nombre de plus en plus élevé des victimes : 8 morts et 7 blessés d’après le ministère de la Solidarité nationale depuis le début de l’année. Ces opérations relèvent désormais d’une mission de « salut public ». Opérant souvent dans des conditions extrêmes, sans assistance internationale ni gros moyens, les unités spécialisées de l’armée avancent sur les terrains minés à pas de tortue, munies du reconnaissable engagement de rendre saines les frontières du pays, infestées d’engins de la mort. Djebel Asfour, ouest de Tlemcen. De par leur proximité immédiate avec le Maroc, les maquis de Asfour qui culminent à plus de 1500 m d’altitude offraient jusqu’à peu aux terroristes du GIA une parfaite zone de repli. Oujda, la ville marocaine, est à vue d’œil. La région n’en est pas moins sûre de nos jours. Cela fait bien quelques heures que nous avons quitté Tlemcen en compagnie d’officiers désignés par le commandement du secteur opérationnel pour nous amener sur le terrain d’opération du 14e régiment du génie de combat. La route tortueuse et brumeuse qui mène de l’ancienne mecque des trabendistes, Zouia, à Asfour, la n°99, n’est à présent fréquentée que par les Hellaba. Une nouvelle race de trafiquants versés corps et âme dans la contrebande de carburants en direction du pays voisin. Ni les barrages fixes des gardes-frontières ni les douaniers ne semblent en mesure de stopper la forte hémorragie. Des quantités « industrielles » de combustibles sont quotidiennement exfiltrées via la frontière pour être revendues à des tarifs dix fois plus chers au Maroc. Mais là n’est pas notre sujet. Retour sur les champs de mines. Ceux des lignes Challe et Morice à l’ouest du pays. Les deux impressionnantes lignes ont été construites en un temps record. De 1956 à 1959, le double barrage électrifié (plus de 5000 volts), tissé de fils barbelés renforcés en profondeur à la frontière par des bandes minées, a failli étouffer la révolution dans l’œuf. Fermer hermétiquement les frontières pour couper tout soutien extérieur à l’ALN était l’objectif recherché par les concepteurs du plan.http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=82033