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15 réponses de 211 à 225 (sur un total de 693)
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  • Alaa-eddine
    Participant

    @oualid : bah non tu l’as pas gaché lol, il a été décelé dès le début, d’ailleur j’ai laissé des indices expré pour qu’il soit décelé.
    t’imagine si les gens croient vraiment à mon histoire, ils y aura des manif et tout à oujda, pour raler contre ce nouveau projet qui veux augmenter les prix de transport de 70% !! 😆

    et oujdacity serait tenue pour résponsable 😆

    #206419
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    CLINIQUES PRIVÉES, SANTE ET SABLES SE RESSEMBLENT !

    Pour un peu on verrait les têtes de leurs directeurs empalés à Bab El Mahrouk, et les noms de ces cliniques sur la « Liste des Proscrits », placardés sur les murs ! On nage en plein Moyen-âge sur bien des chapitres. Voici ma réponse à propos des cliniques.

    « CLINIQUES, SANTE ET SABLES SE RESSEMBLENT »

    L’article paru sur ‘’l’Économiste’’ de ce 26 mars 2010 est très discutable. En fait il invite au débat. Ceci est mon opinion, je la livre publiquement, gratuitement. Elle va blesser bien des gens, et là aussi, gratuitement !

    Il y a comme une défection sur le plan de l’éthique, carrément de la justice et de l’équité. Un délit envers ces cliniques. Les défections et les termes du rapport devraient être constructifs et très confidentiels. La fuite opérée doit être sévèrement réprimée. Autrement, cette information doit être vue comme une délation voulue, une précampagne de je ne sais comme OPA ! Dès lors on est tenté de dire à la  »Santé Publique’’, notre mère à tous, occupe-toi des tiens d’abord ! Pour rester polis !

    On se demande ce que pense l’Ordre des Médecins ? Et si celui-ci fut invité pour faire partie de la battue ! Par principe et déontologie, de ces, disons  »commissions d’audit’, la présence eût été sinon une courtoisie, un devoir ? A moins que ce n’ait été vu et opéré comme une ‘’descente’’, un épisode de polar américain, joué sur les planches locales ! Est-ce qu’il y avait un programme préétabli de ces visites ? Sont-elles impromptues pour pouvoir surprendre, verbaliser et pénaliser ? Pourquoi l’Ordre n’aurait pas veillé à avertir les cliniques des années avant pour faire leurs autoanalyses, maintenances et ravalements ! Un cahier des charges existe-il, en accord avec l’Ordre et l’Université, où l’on cocherait, ce qui doit être et ce qui doit se faire !

    Et quand enfin ces descentes et/ou missions parlementaires ou autres, de la Sante  »Publique », iraient fouiner et s’enquérir dans les services glauques et autres écuries d’Augias de la Sante Publique, qu’aucun marocain, indigent ou pas n’ignore ?! L’éternelle question de balayer devant son chemin s’impose, plutôt que de ne voir que la bosse du chameau d’en face !

    Je parle de la Santé anciennement dite Publique ! Elle-même, sans mâcher mes mots, est sujette aux critiques les plus acerbes ! Il s’agit dès lors pour elle, non pas de faire dans les équipées sauvages, d’inspections punitives, western oblige, mais de régulations autogènes constantes ! Vérifier ses compétences, ses budgets, son matériel, sa peinture, ses couloirs, ses toilettes, ses blocs, ses  »TPA-gistes » sa salubrité, ses urgences, ses véhicules,  »ses pourboires » et chercher aussi les poux dans la tête de ses hôpitaux et autres centres et dispensaires inclus ! Mme la Ministre elle-même a parlé franchement de ‘’corruption’’. C’est une première, qui n’a pas ménagé hypocritement ses ouailles ! Il faut l’en féliciter, même si cette constante de la marocanité, cette plaie, persiste toujours ! De même, le problème du TPA reste posé là-aussi ! N’est-ce pas qu’il faut le curer ?

    Et quand enfin donnera-t-on, quand confiera-t-on ces cliniques de la CNSS, à la Santé Publique pour mieux les gérer, comme le reste ? C’est une option qui reste posée, vu l’illégalité première du 3ème secteur, telle que reconnue enfin et la récente mise en vente de ses hospices pour ne pas dire liquidation des polycliniques aux étrangers ! Opération qui a lamentablement échoué, pour plaire aux derniers des Mohicans, ces patriotes ! Mieux vaut rester entre nous et filer les polycliniques, déficitaires dit-on, au dirham symbolique, à Mme Baddou qui les prendra sous son aile, mieux que personne ! Le remembrement des Partis touche aussi la Santé et rien de mieux que la Santé pour soigner les siens !

    On se demande si ces articles incendiaires, commandités en douce et filtrés (puisque les journalistes ne sont pas membres d’office de ce genre d’audits, en principe !), serviraient à quelque chose ? Et si ces scoops ne sont des prétextes annonciateurs du  »largage » de ces cliniques ? CNSS et autres cliniques en voie de  »préparations et de procréations assistées’. Des neo-créations, réservées aux anciens fils des colons-protecteurs !  »Legouar », ces seigneurs et aristos venus d’ailleurs, dont nous restons si férus de leur race identitaire supérieure !

    Ou à la lecture de ces articles, qu’il ne s’agit que d’un prétexte, juste pour faire entrer le capital privé étranger (et/ou local- pour la figuration-), avec à l’appui des infos de désinformation toxiques et annonciateurs ! Ce genre de brulots incendiaires, tramés et commandités, juste pour déstabiliser les cliniques privées et montrer qu’il est juste de reverser les cliniques CNSS et les futures néo-créations aux mains, aux bourses,  »capitalistes » d’ici ou venus d’ailleurs !

    Ce n’est pas par esprit scientifique ni pour l’amour de Jésus qu’ils débarqueront en Afrique ! Le Maroc c’est aussi le fric ! C’est encore moins pour faire dans l’humanitaire qu’ils viendront. Mais, ils retourneront en terre conquise pour exploiter les malades ! Car les nôtres, cadres ou pas, restent coincés dans leurs cultes de l’étranger un complexe, décidément inguérissable!

    Mercenaires ou  »exploitants » économiques et financiers locaux ? Dieu seul le sait ? Ils seront comme leur alter-ego entrés, grâce aux subterfuges donnant-donnant de feu  »Si Driss » Basri ! Que son triste nom, et ses manigances soient oubliés !

    Ses amis, messamer Jeha, devenus maîtres de céans, maîtres des eaux et des ordures, comme si on ne savait pas nous torcher ni balayer, exploitent sans grand brio l’eau, les poubelles et les égouts et ls caniveaux. Fort curieusement à leur arrivée au Maroc, on n’a pas été leur demander avant d’investir ou de blanchir chez nous :  » mine ayna laka hada ? »

    Si les cliniques privées sont critiquées ici, dans  »ces articles de la mort’’, on se demande où étaient hier les percutants observateurs d’aujourd’hui ? Ceux du journal vecteur et ceux de la Houkouma qui leur ont passé le message ? Sont-ce les voies normales de l’Administration de la Santé ou autre, de travailler par journal interposé, afin de réguler la société et de la corriger ? N’y a-t-il pas comme une dérive des inspecteurs au service de Mme Baddou ? Où étaient ‘’les yeux et les oreilles’’ du ministère avant que notre honorable avocate ne prenne en main ce grand magistère ?

    Et curieusement, la lecture de cet article de l’Économiste, donne l’impression d’une véritable charge de procureur ! Un réquisitoire d’inquisiteur, une curée, excusez-moi du pléonasme ! En fait, une description non stop d’une grande Mezbala, qui m’a donné l’impression d’un descriptif réaliste des locaux mêmes de la Santé ! Demandez aux usagers ce qu’ils en pensent ! Faites un tour à n’importe quel service des urgences, un de ces soirs ! Ne faut-il pas une Harka publique, une M’hala hospitalière, à la place de cette Fantasia sur les cliniques privées ?

    Un monde où sévissent comme des vicaires, des papes et des portiers d’enfer, des demi-dieux, sans dieu ! Le Styx et l’Achéron, à portée de billets, des tickets sans facture, pour accéder aux portes spatiotemporelles. Il n’y a pas que les coulisses des cliniques privées qui ne mènent nulle part ! Sauf respect des illustres personnes imbues d’humanité, je ne parle que des prédateurs ! Comme je l’avais signalé à Si Thami Khyari, en son temps ! Oui l’Économiste aligne les gadgets rouillés d’un bazar cosmopolite rabelaisien, fait de détritus et de matériel désuet et en panne, impropre à aller aux ordures !

    Seulement et je vous fais un pari ! Ce sont des hospices, sommes-toutes pareils aux services et aux départements de nos propres ministères, qu’ils soient respectés, sinon meilleurs ! Pour être constructif, positif et objectif, j’affirme que nous avons par ailleurs des services et des Ministères, qui sont de véritables merveilles, des joyaux !

    Seulement on ne voit pour les critiques allouées que ce qui ne marche pas ! Et c’est bien, c’est mieux que la cécité diriez-vous ! Mais, nous sommes là pour stigmatiser la méthode pernicieuse usitée et ses soubassements insidieux potentiels ! Du message infraliminaire qui perce à travers l’article. Et s’il n’était là coopté-là, que pour préparer des conduites, des lois, des décisions, voire des cessions, des faveurs ou des privilèges ?
    Beaucoup de ces cliniques sont plus belles que celles d’Europe et leurs cadres sont des plus compétents ! Certaines unités sont à la pointe du progrès ! Je ne donne aucun exemple : la célébrité se mérite et doit s’activer et se ferrer à la modernité pour se maintenir.

    Pour celles des cliniques privées qui restent à réparer, il est facile de retourner le compliment et de répéter sans offenser personne, un assentiment général. Celui de rétorquer que ces services sont à l’image de notre pays et de notre pouvoir d’achat. On n’a jamais fermé un hôpital pour le réparer ! On les restaure, partie par partie. Et il y a des services de maintenance qui œuvrent à cela. Ce n’est pas un vœu pieux, mais une réalité ! Seulement les résultats et les apparences ne sont pas constamment patents ! L’usure d’une part, la dégradation, le sabotage, la vétusté, le manque de pièces, veulent que ces services et leur matériel soient souvent dépassés !

    On conçoit l’inspection des cliniques, toutes les cliniques, dans un but vital, prophylactique, régulier et salvateur et non d’un processus punitif humiliant et vengeur ! Pour éviter toute velléité terroriste ou iniquité, administrative, il faut faire entrer l’Ordre des Médecins et les Syndicats comme partenaires ! Et surtout, pour l’exemple, commencer par celles de la Santé Publique, tout azimut et celles de la CNSS. Sans oublier celles où le bas blesse ! Ou que dame Baddou n’ait pas le droit de mettre son nez dans son propre linge ? Et surtout de ne pas taquiner la CNSS !

    Sans vouloir défendre l’indéfendable, je dirais, mesure ! Et ce au vu du chemin qui nous sépare de l’Occident, cette image idéale, avec ses préceptes de pays en paix, unis, avancés, civilisés et nantis. Ainsi nous accusons les faits, les freins et les traits de nos reculs. Nous avons les cadres et les administrations, âla qad el hale. Les cliniques et les hôpitaux sont calqués sur notre humble image de ‘’provinciaux’’ issus de pays en voie de développement,  »de paysans », aux moyens limités. Avec parfois de stupéfiantes avancées, spectaculaires, qui redonnent satisfaction et espoir ! Alors faisons tous les progrès auxquels les marocains malades ou pas ont plein droit. Sans vindicte proférer et sans briser autrui !

    Ici hélas, les cliniques  »privées », ont été indiquées du doigt ! Non pour les vendre, mais pour les invectiver en vue de les asservir de les misérabiliser*, de les avilir pour justifier le non-dit auquel on s’apprête pour faire accepter aux  »autochtones » de vendre encore plus leur pays, notre pays , aux protecteurs insatiables ou d’importer des  »Siadna Legouar’ pour faire marcher les nouvelles cliniques !

    Pourquoi pas des  »docteurs blancs » pour faire marcher les hôpitaux  » et des Ministres  »blancs  » pour faire mieux marcher Leur Ministère de la Santé le premier?

    Pour assurer des présences au Parlement et de l’activité dans toutes les affaires du gouvernement qui grincent, au su et au vu de tous les marocains.

    Mohammed V et Allal El Fassi et quelque part El Khattabi et récemment Hassan II, et Sidi Mohammed VI, sans doute, ne voudraient pas de cela !
    Car, c’est la souveraineté du Maroc, l’indépendance des siens, que l’on est en train de solder et d’effriter !

    Et cela ressemble un peu au drapeau du Polisario et d’Alger qui flotteraient au Sud, au Sahara, si nos frères séparatistes n’étaient pas convaincus, demain, de partager avec nous notre unité, notre souveraineté territoriale, sous les mêmes valeurs sacrées, sans offrir nos terres aux autres.
    Vive sidi Mohammed, notre fabuleux flambeau ! A bas les vilipendeurs*, les sacrificateurs et les vendus ! Le Maroc restera patriote ou ne le restera point ! Uni et ferme, jaloux de ses terres et de ses libertés. Fier de ses médecins, de ses cliniques et de ses hôpitaux.

    Cliniques, santé et sables se ressemblent ! Les améliorer est le moindre des civismes. On ne va pas attendre qu’on nous débarque le Messie avec les derniers prosélytes pour être monothéistes ! Sans renier ni les échanges ni la coopération, et respectant leur propres jalousie sur leur et leur biens et leur identité, on ne va pas attendre des étrangers maintenant, après 55 ans d’indépendance, de s’approprier la santé des Marocains pour les soigner ! Le général Lyautey est mort, Allah yarh’mou !

    Dr IDRISSI My Ahmed,
    expert assermenté près la Cour d’Appel.

    L’article en question et auquel je fais référence est ici :

    http://www.leconomiste.com/print_article.html?a=99440

    COPIE
    *****

    Sale temps pour les cliniques privées

    · Mises en demeure et menaces de fermeture pour une vingtaine d’établissements

    · Un rapport accablant à l’issue d’inspections officielles

    Des équipements médicaux mélangés à des ustensiles de cuisine et de buanderie, défaillance au niveau des stocks d’oxygène, équipements médico-techniques incomplets, vétustes et rouillés, manque d’hygiène… Non, non vous n’êtes pas dans un hôpital public mais dans des cliniques privées. Ces dysfonctionnements font partie des résultats d’une série d’inspections menées par les équipes de Yasmina Baddou dans ces unités de soins. La démarche est inédite mais aurait dû en principe rentrer dans le cours normal des choses: l’article 26 de la loi 10-94 confère en effet au ministère de telles prérogatives. Mais c’est la première fois que le texte est appliqué depuis sa promulgation. Les équipes ayant inspecté une vingtaine de cliniques les plus en vue dans plusieurs villes: Rabat, Casablanca, Fès, Marrakech, Salé, Khémisset, Taounate… L’examen de la nature des anomalies identifiées par les inspecteurs charge lourdement l’image de ces établissements. Au point qu’on se demande parfois si nous parlons bien ici du système de santé privé, censé être autant exigeant sur la solvabilité de sa clientèle que sur la qualité de son service et de ses équipements.
    En tout cas les résultats de ces enquêtes sont effarants. Ici, le minimum de respect des normes de construction et de sécurité n’est pas observé. Là, le groupe électrogène ne dispose pas d’un système de commande lui permettant de se déclencher automatiquement en cas de coupure du courant, ou bien est placé en dehors du bloc médico-technique. Là encore, ce sont plutôt des défaillances au niveau des fluides médicaux avec une seule bouteille d’oxygène pleine, tandis que la deuxième de secours est absente ou vide (bonjour la respiration artificielle!), ou l’absence de système by-pass pour le raccordement des bouteilles d’oxygène. Dans d’autres établissements la situation est plus grave puisque les manquements touchent carrément aux équipements médico-techniques, notamment les blocs opératoires. Les inspecteurs ont été effarés de découvrir l’absence d’unité de réanimation et des équipements spécifiques, du sas avant l’entrée au bloc et en salle de réveil. Dans certaines unités il n’y a pratiquement pas de salle de stérilisation. Dans d’autres cas le poupinel (système de stérilisation par chaleur) qui est censé faire partie des équipements de cette salle, est entreposé dans un local destiné aux services généraux mélangés aux équipements de la cuisine et de la buanderie (un véritable lit aux infections locales que la communauté médicale aime bien désigner sous le terme savant d’infections nosocomiales). Dans certaines cliniques, il n’y a pas assez de prises électriques, du moins pas suffisantes pour alimenter toutes les machines nécessaires à la pratique des opérations de chirurgie.
    Dans d’autres situations les enquêteurs ont découvert de véritables bric-à-brac. Le lavabo aseptique est dépourvu de filtre et le défibrillateur n’est pas fonctionnel, les tables d’instruments sont anciennes et vétustes, Un appareil d’anesthésie supplémentaire existe mais non fonctionnel (dans un état d’oxydation avancé), qui plus est déposé dans la salle d’opération. La marche à deux pieds est oxydée et le scialytique (système d’éclairage utilisé dans les salles d’opération) présente des ampoules non fonctionnelles. La deuxième salle d’opération n’est pas épargnée: pas de négatoscope (sorte de petite armoire avec vitre translucide, munie d’un dispositif éclairant, sur lequel le médecin place les clichés). Les inspecteurs ont même relevé la présence de poussières et de taches de saleté à l’intérieur de cette salle d’opération. La collecte d’aiguilles usagées se fait dans les bouteilles en plastique d’eau au lieu des collecteurs spécialement conçus à cet effet. Un système fermant à clé destiné aux produits pharmaceutiques et vénéneux est inexistant. Un flacon de produit anesthésiant entamé a été abandonné sur la table d’opération. A la salle obstétricale, il n’y a pas de lavabo, pas de lit spécial permettant de mettre la patiente en position gynécologique et de déclive. Quant au lit qui s’y trouve est ordinaire. L’incubateur et la table de réanimation néonataux présentent des dysfonctionnements de chauffage et de l’afficheur de température.
    Les ressources humaines ne sont pas en reste (on s’en doutait un peu). Les cliniques n’emploient pas de médecin réanimateur à plein temps. Elles font appel à des médecins, anesthésistes particulièrement, ou aux infirmiers qui travaillent dans les hôpitaux publics (c’est le temps plein aménagé-TPA officieux ou au noir pour lequel privé et public ont trouvé un terrain d’entente!). Parfois les infirmiers sont formés sur le tas… Compte tenu de cette situation, Yasmina Baddou vient d’adresser des mises en demeure à une vingtaine d’entre elles. Celles-ci ont un délai d’un mois pour se conformer aux normes réglementaires. Dans le cas contraire, elle sera dans l’obligation d’ordonner leur fermeture par décision judiciaire. D’autres vont suivre. Le but est d’arriver à inspecter chaque clinique au moins une fois par an. L’objectif est de mettre de l’ordre dans les 360 cliniques que compte le pays. Il en va de la santé des citoyens.

    Mohamed Chaoui

    #271382

    En réponse à : MOULOUDIA mchate m3a belhachmi

    MCiste
    Membre

    Depuis quelques Années je me posais la question suivante :

    Comment ça se fait que ce grand club avec tant d’histoires vit une situation pareille ??
    Qui est le responsable ou plutôt quels sont les responsables ?

    Et je pense aujourd’hui avoir trouvé une part de la vérité si c’est pas toute la vérité et je me fais un devoir d’éclaircir certains points aux vrais oujdis qui aiment le Mouloudia pour le Mouloudia

    Et cet opinion ne s’adresse surtout pas a une catégorie de pseudo oujdis qui guettent la moindre occasion pour faire du mal au Mouloudia

    En effet le MCO et depuis quelques années et plus précisément depuis la disparition du père Mustapha Belhachemi(Allah yerahmek ya si Mustapha ) attire la convoitise de différents protagonistes auxquels si Mustapha faisait face avec ardeur, dignité et courage.

    Ces responsabilités incombent a ces acteurs ensemble :

    *Je commencerai par ces présidents qui après sa mort ont trouvé le champ libre pour lui succéder avec leurs appartenance politiques ( parti Istiqlal, ou RNI ) afin d’assouvir leurs besoins et utiliser le Mouloudia comme un outil politique

    *En second lieu , ces opportunistes que je nommerai voyous du football qui ont crée la zizanie et continuent a ce jour et ce depuis des années autour du Mouloudia et dont la bassesse est arrivée au point de corrompre certains des joueurs pour que le MCO soit reléguée en deuxième division ou essayer par tout les moyens de transférer des joueurs sans la connaissance du comité ( Feu Si Mustapha Belhachemi en a payé le prix fort par sa propre santé et c’était une des causes de sa disparition ( allah yakhoud fikoum alhak bande de voyous).

    *La responsabilité incombe a ces nouveaux riches qui magouillent de part et d’autres en corrompant les voyous et ce dans le but de faire du Mouloudia un Tremplin pour assouvir leurs objectifs politiques ou de reseautage pour s’enrichir encore plus ou espérer avoir des postes clés a l’avenir

    *Aussi au public : Le vrai Public Oujdi et le meilleur de tout les publics au Maroc par reconnaissances des grands du football marocain, a aussi sa part dans cette décadence en restant les bras croisés devant ces agissement de voyous et pseudo_politiciens ,
    cette neutralité par absence totale des terrains, ce n’est pas ça le public Oujdi quoi qu il arrive si tu aimes le Mouloudia tu dois la supporter car c’est ton club c’est ton identité

    *Je reproche a comité directeur en place en la personne de Mr Lehmami de laisser les failles a certains soi-disant dirigeants de jouer le double jeu et tout le monde sait de qui et de quoi je parle

    *Par contre j’apprécie en Mr Lehmami d’être une personne intègre avec reconnaissance de tout le monde et qui continue la vision de (Si Mustapha Belhachemi allah ya rehmou)
    En s’opposant a ces voyous et pseudo politiciens et tous ces renards et ignorants qui veulent s’accaparer l histoire de toute une ville .

    Enfin je dirai a tous ces minables et bande d’incompétents
    D’aller chercher ailleurs d’autres proies car le Mouloudia qui fait partie intégrante de chaque famille a Oujda et par son passé, , son présent et son futur , par son public, sera protégé par ces hommes intègres qui malheureusement restent neutres ou en tant que spectateurs

    Le Mouloudia ne vous donnera jamais l’occasion de faire partie de son histoire car vous n’etes pas digne de cet honneur

    Je demanderai au public Oujdi de se mettre a coté de leur club et des joueurs qui souffrent enormemnt de ces agissement et de traquenards de ces voyous

    Je demanderai aussi par l’occasion a Mr Lehmami a résister a cette vague indécente de ces voyous tant qu il peut , ne serai ce que pour la mémoire de Si Mustapha Belhachemi , père du Football Marocain et Oujdi .

    Ni Si Mustapha Belhachemi( allah ya rehmou), Ni les ex présidents, Ni Mr Lehmami Ne sont Eternels……..

    Le Mouloudia par contre est Eternelle……….

    Un vrai MCiste

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Ecrire tout un livre pour dire que je ne veux pas publier ?

    Bonsoir, tu m’as écrit ce 12 mars 2010 : « My Ahmed, Bravo. A quand la publication de tes écrits ? ». Cher ami, veux-tu une réponse longue ou courte ? Dois-je t’écrire tout un livre pour te dire que je ne suis pas tenté de publier ?

    Ecrire est une chose, mais publier, c’est pour qui, c’est pour quoi ? Ici au Maroc d’abord écrire en français, pour un lectorat réduit est un défi au bon sens commercial de la chose ! Mais ça se défend pour les professionnels qui ont un nom sur les étalages de la culture. Les écrivains qui ont un label qui les distingue, les introduit et les avantage auprès des critiques, pour les consacrer chez les éditeurs. Voire de l’oligarchie francophone, ‘’lisante‘’ et luisante, seyante et sémillante, commerçante et bien pensante, sise sur l’axe cérébrospinal des deux capitales utiles ! Le reste, lisant et écrivant plus l’arabe, lit autre chose sur les cartes, son destin suspendu et son utilité discutable !

    Ecrire pour parler des amours de ma grand-mère, de mes jeux naïfs de mon enfance, passée près des palais, rythmer dans un poème le vol nuptial des papillons, sous le chant des cigognes et les râles des grillons, parler aux roches volcaniques de la couleur du vent qui les fait fantasmer avant leur éruption? Inventer pour le plaisir d’en sortir ou de faire peur, une évasion de terroristes ! Ou celle qui fera un film rocambolesque de mercenaires ou d’intégristes échappés aux fers des chez les matons ! Avorter des crimes des rescapés, éventer des révolutions châtrées dans l’un des pays chauds ? Vendre de l’exotisme, chargé de doutes à la xénophobie avérée ? Faire palpiter le lecteur en espérant passer un jour son œuvre au cinéma ? Ou simplement des errances politiques des partis et des hommes de mon pays et comment dicter aux décideurs mes stupides conseils et autres suggestions ! Ça c’est bien moi en fait ! Mais ça fait l’objet de lettres particulières ou de rares articles sur les journaux, pris à témoins ! Et non pas d’éditions !

    Ecrire pour éclairer, pour se définir et pour s’identifier. Ecrire des balivernes plaisantes sur soi, des contes pour adultes, en guise de passe temps ! Ecrire pour militer et défendre. Ecrire pour former et informer ! Pour écrire il faut un but, une raison de plus pour publier ! D’ailleurs, qui voudrait me publier quand je taquine les colons et médis des ses alter ego ! Ce n’est pas aux frais de l’ambassade ou de l’état, que des mots perceptibles comme blessants, pourraient voir le jour ! Admettre des actes répréhensibles, ou leur simple allusion, la critique et la mise au point, vous fâche déjà un homme. Il faudrait que les ‘’ bienfaiteurs‘’ soient masochistes pour accepter la diffusion de ce qui les indispose et blesse ! La transparence n’a pas cette couleur la reconnaissance des faiblesses passées non plus !

    Nos livres n’intéressent pas la vieille métropole ni les pays qu’elle a connus, même quand ils lui restent ombiliqués ou confédérés ! Les amateurs de votre belle langue, qui lui restent entichés, n’ont qu’à ce taire sur le plan de l’esprit ou de l’écrit ! Les écrits de ces ‘’ provinciaux ‘’ d’une autre nature, sont imbibés des relents d’un terroir qui semble plus étranger que jamais ! Notre français emphatique, imagé ou prolixe, date de votre dix huitième siècle ! Vous parlez autrement et vous lisez autre chose !

    Ecrire pour une minorité, une élite, publier à fonds perdus, juste pour timbrer les colis de votre livre dédicacé que vous vous devez d’adresser à des gens qui ne l’auraient jamais acheté. Mieux vaut chercher leurs emails pour les aviser, si ce n’est les importuner un peu, pour récolter en retour, quelques mots condescendants, si ce n’est rien du tout ! Car les gens sont braqués sur la parabole.

    Leur temps, ne suffit pas pour étancher cette soif immense de connaître le monde. Là, c’est un monde d’images qui les attire, les révolte contre les leurs, les invite puis les dissuade, et les interpelle constamment. Une relation d’amours pervers, chargée de symboles, de rancœurs violentes, de dépit et d’attirances ! Un monde, à peu de frais, qui si proche, n’est guère soumis à la quête des visas.

    Ces murailles en papiers, qui freinent l’émigration et que ne peuvent franchir que les plus motivés. Ce, au bout de parcours marathoniens, des aventures souvent mortelles ! De vrais chemins de croix pour les survivants qui espèrent vider cette patrie, cette poubelle l’Afrique. La marâtre arriérée qui les assume si mal et qu’ils répudient, même en y restant chevillés, surveillés par des mâtons.

    Si ce sont nos pays, ce ne sont plus nos terres ! Nos drapeaux, nos symboles, nos hymnes, nos frontières, ne collent pas aux limites de nos tribus ! La notion historique et large de Nation, s’est perdue dans les âges et dans l’entrechoc des religions et des civilisations, au profit de barrières et des douanes, qui ligotent les gens et assiègent les hommes !

    Pas bouger !! Un exode qui les déboutent et dissuadent l’Afrique de son virtuel paradis européen ! Chemin faisant, dans ma réflexion, sur le livre, la connaissance et la curiosité, je me retrouve en train de rouvrir le sujet galvaudé de la majorité des romans marocains ! L’exode économique. La quête stérile du Graal et ses tristes déboires. Cette volonté instinctive de quitter les lieux pour un motif vital, la recherche du travail, n’importe lequel est débouté ! A raison ?! Pour protéger l’espace, le sanctuaire privé des dieux, l’intimité des idoles et maîtres européens !

    Je disais donc, question ouverture sur les cultures, voilà donc un monde, parabolique, mais qui a tué le livre. Ecrans dans les deux sens, la télévision est suivie par des milliards d’individus. Un outil, mais aussi une attache passionnelle. Ce média universel, axe cérébral de la globalisation, qui reste néanmoins attractif et intéressant. Seulement sa profusion ahurissante dépasse l’imaginaire. Et cette occupation tue le temps de la lecture au point de se demander pourquoi écrire si l’on peut créer des images qui parlent ! Et là, Youtube répond à ma question !

    Les gens d’ici ont des difficultés avec l’épicier, la quête de nourriture et de médicaments, s’ils connaissent parfois le marchand de journaux, ils ont perdu l’adresse des libraires ! On vient d’en tuer un de ces ultimes résistants à Casa. Adieu, Jacob Chriki, tu me rappelles mes libraires du Mellah de Fès. Tous partis ! Qui en Israël ou Palestine, qui au Canada ou en France, qui chez le bon Dieu, Yahvé le père, à la bonne adresse, maintenant !

    Crime pour de vrai, dans une affaire banale et crasse. Celle d’un pommé, armé d’une barre de fer ou d’un couteau, peu importe ! Drogué ou pas, vol et non dérive raciste extrême. C’est le principal, rassure-t-on. Personnellement, je ne sais pas si la peine de mort se justifie encore dans de pareils cas ! Mais, il doit y avoir un salaire pour le crime.

    Là je serais, au conditionnel, pour appliquer la loi divine plus que le pardon humaniste ! La vengeance sociale impartiale pour l’exemple dissuasif et le châtiment ? Le ‘’talion’’, la justice. En un mot ‘’équitable’’, à hauteur de la biblique mesure du ‘’dent pour dent, œil pour œil’’ ! Et le pardon et la résipiscence, les remords et l’excuse, le regret et le pardon, qu’est-ce qu’on en fait, Docteur ! Seul celui qui a été tué ou Dieu, pourraient le faire ! J’ai horreur d’en parler !

    Toi, par exemple cher ami, que retiens-tu face aux criminels, aux monstres, qui gomment des vies comme ça. Que ce soit sous forme artisanale à l’unité, en série ou industrielle ! Je suis contre toutes les formes de guerre, contre la peine de mort, mais je suis déchiré devant des horreurs pareilles ! Au point d’invoquer d’autres consciences que la mienne, pour ne pas dériver dans mon jugement !

    Mais l’amalgame, le doute soufflé, à demi mot, pour qui veut tancer est vite fait. On incriminera la religion ou le terrorisme, le racisme, l’antisémitisme, pour instrumentaliser, sans dignité ni respect, l’épouvantable assassinat ! Ailleurs, quand c’est quinze mercenaires qui gomment un Hamas, les agents sortent avec des décorations et beaucoup d’argent, certainement. Un autre nom, une cachette, un boulot tranquille ou un autre passe, le temps qu’on tourne la page et qu’on efface de la mémoire l’événement !

    Ceci est un exemple où donner son avis, vous classe dans un registre de façon rigide et définitive, ou dans un autre où on se complait à vous flatter. On vous chasse ou on vous considère, selon l’audience et les partis pris !

    Ecrire et réagir, c’est souvent faire face à une démoniaque distorsion des événements et de la vérité. C’est donner son avis pour essayer de comprendre une trame opaque, les tenants et aboutissants d’un événement, d’une propagande. La réalité est dribblée dans les périphrases de discours programmés, dans des réactions de défense préétablies, pour justifier l’indicible, endoctriner les plus récalcitrants, désinformer ceux qui sont neutres, ou des mesures lénifiantes pour congratuler la tribu ou le clan !

    Ecrire, plus sobrement, c’est la recherche des mots et des actions susceptibles de faire resurgir la vérité, c’est clarifier son opinion.

    Ecrire est une artillerie offensive ou offensante. Une arme psychologique, dialectique, rhétorique, qui cherche à persuader ou contraindre, à confondre ou défendre, à humilier ou glorifier ! Ecrire, c’est aussi souder son opinion, sa compréhension des choses avec celle d’autrui. Publier, c’est tenter de les partager avec le plus grand nombre. C’est une recherche d’harmonie, de reconnaissance ou de soutien. C’est une façon de mesurer vos opinions, de leur donner un corps en les comparant à ce qui est admis de tous !

    Ce n’est pas un mystère au Ministère de la Culture, où maintenant à la place d’une actrice, poussée comme une héroïne sur le théâtre de notre composite gouvernement, nous avons un philosophe ! Pire que le sport, ce domaine que l’on a raté dans tous les championnats, son département, polyglotte à peine, ne dispose que de peu de moyens, pour conjurer la situation.

    Chez nous, la Culture ne nourrit pas son homme. Beaucoup de peintres y auraient du faire dans le bâtiment. Question de subsister, tant leurs huiles n’ont pas fait d’eux de gros légumes. Bien des acteurs, débarqués des planches, crèvent la dalle avant d’y plonger dessous ! Ou de recevoir anté mortem, par charité, des soins hospitaliers, en guise d’ultime reconnaissance, avant leur dernier sacrement !

    Penses-tu que ces mots seront lus ? Et sur quel journal fais-tu le pari pour les publier demain ? Toutes fermées ou presque ! Je ne parle pas des grosses gueules ! Faut-il dire et te préciser qu’il n’y a presque plus de salles de cinéma au Maroc ? Antan, certaines servaient de scènes et de tréteaux à ces troupes apocalyptiques !

    Ecrire, serait-il devenu une faute après avoir été un crime ? Faute de doctorat et de magistère, peu de gens de chez nous, osent écrire et bien moins encore s’aventurent à éditer ! Publier est une gageure ! Car, n’étant pas un acte d’indifférence, mais d’engagement solitaire. Un acte suspect de lutte ou de pertinence. Ecrire peut être interprété comme une offense ou une caricature. Oser être c’est publier. Publier pour devenir soi-même ! A condition de mesurer son courage face aux risques. Le courage de ne pas rester, muet, quand rien ne vous oblige au silence ! Ecrire quand on a la chance de vivre, de vivre encore, publier quand on a la chance d’écrire et de savoir écrire et la perception, l’intuition, des choses utiles à dire. Je dis ça pour parler et réfléchir à ce que je viens de dire !

    En dehors du fait de vouloir parler de soi et de ses expériences, parce que le livre, c’est vous, et ce du fait qu’il porte votre nom, il donc le risque de produire des banalités. A une dame, médecin versée dans la communication et devenue éditrice de son état, qui me traitait de Victor Hugo, en plaisantant je suppose, ce que j’ai quand même gardé comme un réel compliment, je disais ‘’ je ne veux pas écrire de choses qui ne seraient pas utiles pour l’humanité. Un peu prétentieux mais c’est la seule chose inutile que je neveux pas courir ! Ecrire, oui si on a des choses importantes à dire…Autrement écrire pour soi, son journal, ses poèmes, sa prose de tiroir ! Au lieu de tuer des arbres et de crever ses yeux pour rien ! Le même défi que tu te tiens pour terminer mon texte, cette chose !

    C’est pour qui, finalement, c’est pour quoi qu’on écrit et qu’on se doit de publier ? Ou contre qui ? Ça dépend d’abord des compétences de l’écrivain, de sa valeur et de sa vanité ! Ça dépend des sujets qu’il fricote. Des cohortes d’où il sort ! Ses écrits seront bannis ou honnis, censurés ou acceptés, utiles, odieux ou stériles ? Et puis, le thème doit varier avec les préoccupations du moment et des lieux où il réside. Encore que ‘’la mode’’ écrire n’est pas suivie chez nous ! Quand vous avez une grande partie de la population qui est analphabète dans nos cinq langues ! Nos gens ont peu de moyens, en fait, pour s’offrir des livres.

    Ecrire devient, s’il ne l’était, comme nos urnes un motif suspect, vidé de son contenu, de son utilité ! Les gens, minimisés, oubliés, outrés ou abusés durant des siècles, se méfient des nouveaux prophètes et des parvenus ! Les plus motivés ne bougent pas ! Les plus conscients refusent d’aller aux urnes qui ont si souvent été manipulées. ils se méfient des nantis comme des opportunistes, qui demain vont encore les oublier. Elire ou élever au dessus de soi, Ces deux verbes sont presque voisins, peut devenir dangereux. Les électeurs retirent rarement leurs cartes. Ils se retirent avec dignité du struggle qu’ils considèrent encore soumis aux lois de la fausseté et des tripatouillages permissifs !

    Avec ce que je viens de dire, écrire est un dialogue, différé, autant qu’un déballage ou un aveu ! Une auto confession que l’on veut partager. Que font les écrivains, pour répondre à leurs ‘’ouailles’’, à leur lectorat ? Que font-ils des critiques ou des louanges, pour que ces avis et ces compliments ne restent pas vains ? Ils écrivent d’autres livres en réponse ! Ecrire est un jeu accompli qui se suffit à lui même ? Une analyse, une confidence aux schizophrènes qui nous habitent ! Ces parties de soi, qui dorment en nous, symbolisés par le Ça et le Surmoi ! Espoirs ou défis, écrire est un désir, une plainte ressassée, contenue. Publier est un désir, muet, caché et inhibé, mais une vraie et belle action quand ça a la chance d’avoir lieu.

    D’abord les romans me rebutent. Je déteste les longueurs, en faire c’est autre chose ! Punissez-moi ! Je suis simplement paradoxal ! A contrario, écrire des nouvelles, me serait-il plus aisé ? Je me le demande ! Vu mes contraintes professionnelles et obligations sociales et/ou vitales ? Vous y adhérez ! Des nouvelles courtes, ça m’irait. Et puis, j’accuse mes engagements multiples, qui me laissent peu de temps pour ouvrir les romans, les livres ou pour en faire !

    Je digère mon temps de façon sauvage ! Le résultat comptable est ruineux ! Je ne sais pas ce que je fais…Oui certes, je travaille et je sors peu de mon cabinet, du moins de son ordinateur ! Je ne suis pas ce que je suis ! Je ne me suis pas encore découvert. La vie et sa suite, je ne sais pas…C’est venu pour partir ! Ça vient comme ça ! Peut-être en moins amusant, du fait des péripéties de la santé péripatéticienne, (je parle de la mienne de santé pas de la publique) et des contraintes diverses, sinon communes à tout homme !

    Ensuite, les romans d’inspiration sociologique, judicaire, policière, avec leurs sous-bassements sexuels, leurs fondements bassement matérialistes, m’inquiètent sur mes capacités. Je me crois incapable de créer ce monde et de gérer ce climat ! Régurgiter aux lecteurs les tensions psychologiques, qu’ils ont lues ou vues ailleurs; relater des scandales aguichants, pour forcer l’envie de lire et pousser la vente ? Je fais allusions aux macabres affaires judiciaires qui fleurissent sur les pages des quotidiens et qui ne laissent pas neutres ! La pulsion de savoir, de connaître, la curiosité, font de nous des voyeuristes en puissance. Ne serait-ce qu’à compulser des pages ou de tourner des feuilles ou des images ! Etudier des humeurs ou le profil d’un assassin, son propre héros, tenter de le tuer ou l’emprisonner à la fin du livre ou de la série, parce qu’il est devenu quasiment vivant, parce qu’il est devenu obsédant ? Elucider des crimes déjà féconds dans le cerveau qui les imagine ? Ce sont quelques questions qui me viennent en tête !

    Toute une gymnastique, que ces péripéties et suspens que chacun aime parfois voir dans un film, n’est pas à la portée du médecin ! Je connais un lettré qui a versé dans le livre noir. J’ai connu de nom, sans le connaître un commissaire qui s’est versé avec engouement sur ce genre de polars !

    Se mettre, psychologiquement à sa place du protagoniste, dans le rôle du méchant ou du héros…Assis sur sa chaise, s’exercer au vol, au viol ou verser dans le crime, imaginaire à deux pas des phantasmes, pour ‘’déguster’’, ressentir des sensations fortes, à l’ombre de ses virtuels malfrats et personnages de création… Et pour les décrire, se mettre dans la peau de la victime ou à la place de l’assassin ? Pour le servir et l’asservir ? Pour le faire vivre dans un roman, au départ tout juste alimentaire ! Ecrire pendant des décennies afin de conquérir une renommée, pour se faire un nom de vivant, grâce des spectres subliminaux ? C’est grisant certes, de vivre la célébrité, grâce à des fantômes qui n’ont jamais existé !

    Autre façon d’écrire, c’est lorsqu’on s’intéresse à ce qui s’agite autour de nous ! Le journal et la télé, qui comme de véritables hôtes vivant chez nous, nous prennent trop de place, au dépens de notre vie, de notre temps. Ces émissions de télé nous dirigent et influencent sans nous le dire, nos humeurs, nos achats et nos comportements ! Du coup les infos nous donnent du grain à moudre. De la réflexion et des idées d’écriture, pour peu qu’on se laisse aller. J’ai déjà parlé de la propagande de l’intox, publicitaire, alimentaire ou autre, qui nous influence et nous détermine en conditionnant en influençant nos achats, nos jugements et nos comportements !

    Ecrire donc, en retour et se centrer sur les informations du monde où nous vivons est déjà un gisement inépuisable de sujets. Sauf que cette matière abonde déjà. Sur la presse elle même ! J’ai l’impression, pour ma part, qu’écrire dans ce registre, saturé déjà, serait inutile et improductif ! Inutile de parler des choses dont on a ras-le-bol ! Par ailleurs, faire dans l’événementiel, écrire pour fantasmer sur les mondanités, inaccessibles, louer la brillance des parvenus et leur ‘’bling bling’’, ce n’est pas pour moi !

    Je ne peux pas faire dan les essais, non plus, sur quoi que ce soit, n’ayant pas le temps de faire des recherches ni d’aller aux profondeurs des choses…Non pas que ce soit un tort ni un manque d’intérêt de ma part, mais ce serait un défaut de spécificité, un manquement  »cultivé », voire choisi, pour étendre une vision la plus large possible, au lieu d’un simple accès fenêtré. Une paresse ? Une paralysie de la concentration ? Seulement, pour être vraie et objective, toute vision doit être à la fois totale et profonde. Et là, ça creuse et défie mes limites. Je ne regarde pas à travers une lucarne ni à travers le créneau d’une meurtrière !

    Je pense que mon tort, tel que déformé par la vision généraliste qu’on colle à mon métier, effaré par l’entreprise immense de celui-ci, que je préfère côté information, fureter le plus largement possible, pour m’aviser d’abord, afin de ne pas passer à côté de ce qui est important, quitte à m’y entendre après pour approfondir le sujet.

    Dès lors, réagir ou ‘’vrombir avec les évènements’’, me semble plus vivant et assez opportun, interactif comme on dit depuis. Et c’est là finalement, j’investi mon écriture, il me semble ! Une sorte d’engagement, ‘’à fonds perdus’’, inefficace, mais qui ne rapporte rien. Si ce n’est pas lucratif, n’est-ce pas simplement ou malheureusement ludique ? Or, ne me censurant que peu, j’assume ma part de libertés et mes parts de perte et de risques, à jaser, critiquer, louer ou maudire !

    Un avis est une expression de vie et d’existence ! Un acte relatif mais bénéfique, même s’il est infime et ténu dans le village global. L’expression est une participation civique, à ce qui est universel ou communautaire. Une manifestation d’une certaine citoyenneté de base. C’est élémentaire, mais il faut pouvoir le faire ! Autrement, sur le plan social, c’est vivre en objet, en commensale.

    C’est ce qui donne l’impression de ’’batailler’’ parfois, en ne donnant son opinion. Les forums qu’il m’a été donné de parcourir, sont férus d’animosité première ! La critique et la chasse à autrui, au nouveau intimidé, confond rancune e réserves ! Certains forums comme dans certains groupes sociaux, sont fermés aux opinions, non grata, préférant brasser dans les idées partagées, dans le calme des redondances conservatrices et stagnantes !

    Je disais qu’affirmer son opinion, vouloir la discuter, la publier, la confronter est un exercice paradoxal ! Parce que autrui et son avis restent parfois indifférents, hermétiques ou suffisants ! Parfois on a affaire aux professionnels des lettres, des armes et des lois, des partis ou de leurs milices, jaloux de leur entité et de leur exaction, riches en complexes, qui vous reversent des salves dès que vous percez du nez ! Avec leurs travers perceptibles d’entrée, ils conjuguent le mépris avec l’arrogance, analysent votre personne avant vos phrases. Sans mesurer ni le lexique ni les idées, ils vous font un procès sur votre existence.

    Les gauchos, les ‘’imprécrators’’, militants prédateurs, sévissant sur les forums du Net, vous font déjà un PV d’intention, parce que vous vous appeler Untel ! Avec une particule, Dr, ‘’De’’ ou ‘’My’’ collée par habitude à votre nickname ! Vous devenez subitement, l’image et l’emblème de l’aristocratie stipendiée ! Un ersatz, un zombi, un avatar de la regrettable histoire, qu’on leur a appris à détester. Ils détestent en vous l’extraction, la fidélité atavique à votre pays, à votre famille à vos valeurs à votre religion !

    Vous n’avez pas à exhiber votre prénom usuel et familier ! Votre origine, les snobe et les irrite ! Ils vous conspuent avant de lire vos idées ! Et cette malheureuse méprise, excipée comme un militantisme clanique de base, comme une affiche de leur antimonarchisme primaire, est supposée vous dissuader de parler sur les forums tribaux, devenus malsains et triviaux, vous forcer à abandonner les débats, ou simplement vous trainer comme un malpropre dans la poussière pour vous faire quitter l’arène où ils se complaisent ! C’est plus que le nom qui les inspire, une supposée bourgeoise de votre ville d’origine, qu’ils détestent, synonyme pour eux d’une aristocratie, d’une classe honnie ! Peut-être une réminiscence de l’agneau de la fable dont ils veulent bien être, les loups !

    Ou simplement parce qu’une idée, parmi tout le fatras de huit pages, (qui vous aura couté votre temps et vos yeux), détachées de son contexte, est discutable et qu’elle les aurait exaspérés ! Mal émise ou qu’il manque une virgule pour entrer dans leur cerveau !
    Alors, si cet emportement antipathique est le révélateur, ludique et virtuel, d’une dissidence qui dit ouvertement son nom, qu’en serait-il devant des livres et des pages en réel papier ? A quoi bon écrire me dirais-tu, si c’est pour perdre des clients et me faire des ennemis à cause de propos fâcheux !

    Seulement le journaliste, l’homme politique, le militant, monsieur tout le monde, s’il tient à la liberté, doit pouvoir oser ses libertés sans lâcheté ni pusillanimité ! Savoir jouer sa quiétude, ses intérêts, accepter de blesser son orgueil, afin de dire ce qu’il pense, pas forcément pour blesser, mais juste pour communiquer, donner ton impression, dire ses propos, s’affirmer ainsi pour exister !

    Autrui, n’est pas votre ego ni votre égal ! Il est différent ! Autrui est volontiers une muraille en ciment. Sûr de ses principes et convictions. Ses certitudes lui vont comme un cuir de pachyderme. Au total, autrui comme vous est souvent subjectif ! Essayez de parler à un cadre ou à l’un de ses sbires, à un juge ou au préposé au commissariat ! Je donne cette image pour percevoir l’animosité première le doute et la décontenance qu’on vous oppose en premier ! C’est tout comme vous par rapport à cet Autrui qu’on critique et qu’on charge depuis le début ! Vous êtes dangereux pour lui, vous voulez tromper l’Etat, prendre plus que de droit, lui ôter ses droits…Passons, pour avancer malgré les terroristes du verbe !

    Pourquoi autrui résiste-t-il ? Parce qu’il se méfie, parce qu’il a peur ! Peur de l’étranger que représente chacun pour lui ! Pourquoi on ne veut pas enlever ce masque et laisser percevoir le fond de sympathie première ? De peur d’être trompé et abusé ! Cet instinct est le propre de l’être vivant ! On ne se découvre pas ses défenses devant l’inconnu, assimilé à l’ennemi et au prédateur. Parce que le temps et l’expérience sont les meilleurs révélateurs pour corriger les opinions, pour peu qu’on accepte de le faire ! Mais cette étape de prise de confiance, nécessite le temps de connaître l’autre et de découvrir ses intentions.

    Alors que faire devant les inopportuns, les méfiants, les adversaires vulnérants, qui ne ménagent pas autrui et qui l’empêchent de s’exprimer ! Tenir, oser se mouiller, accepter d’être critiqué injurié, déçu puis repartir ! J’ai eu l’occasion sur le forum de présenter des excuses à des visiteurs qui s’étaient inscrits pour se moquer et plaisanter, apparemment, alors que ce n’était pas le lieu, ou que j’avais mal jugé de leurs intentions, sur le vu une simple erreur, portée sur leur âge ! Et ça m’est arrivé d’être refoulé du fait de mon métier d’autres forums, ou pour des propos d’emblée considérés comme contradicteurs. Faut-il persévérer, s’entêter tenir ? Tout dépend du temps et de l’épaisseur du derme qu’on appelle fierté d’un côté et tolérance de l’autre !

    Faut-il écrire ? Oui, ne serait-ce que pour dénigrer ! Ce qui nous semble illogique ou irrégulier, évidemment. Dussions-nous nous tromper, on ne doit pas censurer nos opinions ni nos questions. Évidemment il y a la manière ! La politesse, la psychologie ou la diplomatie, pour ne pas blesser inutilement, ceux auxquels nous nous adressons ! Des gens qui pensent autrement, qui potentiellement nous écoutent, avec des dispositions diverses allant de l’intolérance à l’opposition !

    Que ce soit dans l’écrit ou dan l’oralité, rien n’empêche de se rattraper humblement, loyalement et sans hypocrisie, si on a commis une faute à l’adresse d’autrui ! Faut-il encore qu’il vous pardonne ! Faut-il encore sentir cette force du caractère, cette joie et ses effluves qui résultent de la grandeur d’âme ! Retrouver cette sérénité et cette chaleur qui vous enveloppent est un réel plaisir quand la controverse et l’altercation sont apaisées. Et là vous avez gagné l’un l’autre l’estime et dignement vous êtes comme amis, chacun ayant échangé les propos qu’il jugeait libres et bons !

    Ecrire de façon avenante, policée première, est de bonne facture. Seulement les lecteurs n’aiment pas les propos arrondis et lénifiants ! Il leur manque le côté bagarreur, ‘’disputatif’’, le côté excitant et trash ! Ecrire avec correction, pudiquement ? Non pas par crainte, mais par prophylaxie des entêtements inutiles et de la faillite, de la fermeture du dialogue ! Cependant, il faut verbaliser le mécontentement. Le bonheur et la joie se communiquent et se partagent, parfois. Dès lors, pourquoi taire leur contraire, le mécontentement et dire zut virilement ? Si ça ne va pas, il faut le dire ! L’homme a un parler, une langue, un verbe écrit ou oral, une conscience de son individualité et de ses libertés, asservie à sa personnalité. Il faut qu’il se libère, mais intelligemment. Il y a une dose de sel et d’épices dont il ne faut pas se départir.

    Ces dispositions étant signalées, dans nos réflexions et dans nos écrits, dans la réception de l’information d’où qu’elle provienne, l’acception doit être relativisée ! Ne pas tout accepter, discuter, comme accepter le fait que l’on doute de nos assertions ! Ainsi, question de vérités, le doute s’impose. Il faut rester circonspect. Faut-il douter de tout à en tomber malade ? La croyance, la confiance sont des états de repos et de paix. Le doute automatique, la méfiance créent l’inquiétude, la tension et le manque de repos ! Et là, c’est la pathologie !

    Seulement entre les vérités, la vérité et la réalité, il y un prisme déformant ! Et chacun voit à travers son propre prisme et son degré particulier de culture de compréhension ! Un mot ne signifie pas la même chose chez tout le monde ! C’est le premier écueil du dialogue. Allez traduire, allez penser dans une langue et vous exprimer dans une autre. Ce qui m’arrive étant né et formé, comme la plupart de mes concitoyens entre plusieurs langues et deux rives de civilisations ! D’un autre côté, l’information et l’intoxication, on en use et abuse ! L’enseignement, l’éducation, les us socio-familiaux, les préceptes religieux, les convictions et les crédos les plus fermes, les convoitises, ne sont pas à l’abri des manipulations et des influences.

    Le lavage de cerveau, son formatage, la remise à neuf n’est pas disponible pour notre usage ! Même si les vérités, les informations, les pratiques sont scientifiques, parfois ces connaissances ex cathedra, se révèlent être erronées ! La crédulité serait d’admettre que nos méthodes médicales, nos traitements, soient précis et qu’ils soient définitivement et perpétuellement justes et avérés ! Hélas, ou tant mieux, ces vérités d’un moment, ces techniques, ces médicaments nouveaux, sont sujets à caution. Il n’y a nul crime de révisionnisme à critiquer les anciennes méthodes de thérapie, au profit des données récentes et des pratiques nouvelles.

    Je ne veux pas parler de la chienne politique, telle qu’on la pratique de visu, de ses errances et de ses a priori, avec son côté mordant et son cynisme hypocrite, je ne veux pas parler des dogmes, du droit ni des droits, des lettres ou de la littérature et de ses fictions, mais de la médecine !

    Je ne sors que le cas de la grippe et de ses monumentales et cochonnes perversions ! Vous avez vu comment les plus ‘’hautes sommités’’ de l’OMS se sont trompés, ont trompé dans une OPA ignoble. Comment des milliards d’individus ont été trompés et leurs gouvernants abusés. On a parlé de virologues de renom, de leur mèche avec les industriels des grands laboratoires de médicaments !

    Comme hier, cette sortie à l’ONU du Secrétaire d’Etat américain sur le charbon ! ‘’Les images d’un Colin Powell agitant une fiole pleine du mortel bacille a fait le tour du monde’’. Ou ladite menace nucléaire de Saddam Hussein et de ses ADM. Des affaires manigancées, instrumentalisées pour entreprendre avec la bénédiction de l’ONU une guerre économique, mondialisée au frais des pays alliés galvanisés pour en payer la facture ! Des frappes chirurgicales ! Mon œil, dans ce travers, seul Chirac aura été un homme !

    Le but sordide était et reste, d’enrichir les promoteurs industriels américains, sous prétexte d’exportation de démocratie dans le même package. De liquider en passant un autocrate, félon puis leader, un somptueux tyran, devenu un triste assassin. On a trompé et abusé le monde entier, après l’affaire des Twins. Des articles contradictoires nous poussent à nous poser des questions sur les dirigeants du monde, sans savoir vers où on va et à quels saints il faut se vouer !

    Les States des Bush, ont embarqué bien des jeunes, liquidé toutes traces de cette civilisation. Au nom de quoi en fait et pour protéger quels affreux partenaires et frondeurs assassins ? Et nous avons vu en retour la grande déflagration monétaire et la faillite des banques en 2009 ! Qu’est-ce qui nous attend et qui nous viendra encore demain de l’oncle Sam et de ses virulent protégés ? Des Hiroshima racistes ? En tout cas la santé physique de la terre, son climat, son exploitation la détériorent à vue d’homme. L’habitacle est sujet à bien des violences, où la pollution de l’atmosphère, des rivières et des océans, du ciel et de ses couches, est cause par les grandes puissances ! Des exemples à suivre !!

    Explorer les informations et les dires, c’est aller pour les journalistes du moins, les politiques et financiers d’entre eux, devant des vérités pas toujours bonnes à dire ni à entendre.

    Ainsi, en allant au fond choses qui nous concernent tous, que reste-t-il dans chaque cas à découvrir ? Des ‘’entités remarquables’’ à élucider ! Faire le procès des monstres qui nous mentent et qui nous dirigent ? Faire à chaque fois, avec effarement la démonstration de la tromperie ? Et après ?

    Pour ce qui nous touche à notre petite dimension, que dire de ces médicaments qui manquent et qu’une fois rentrés sur le marché, ils doublent presque de prix ? Et quand on sait que cela concerne une population fragile et des produits incontournables, les mots tels que exploitation des souffrances, celles d’otages obligés et de chantages, nous viennent immédiatement à l’esprit. Nous n’avons pas cessé de parler de souveraineté de notre pays, à nos dirigeants, de disponibilité des médicaments cruciaux ! On ne nous écoute pas on crie pour rien, on se fâche. Forcément impliqués dans de couteux et importants projets, ils ne sont plus là ! Ils n’ont prévu personne pour s’occuper de nos cas ! Elémentaires !

    Les minorités, les maladies rares et orphelines, leur traitement, leur prise en charge, sont la face cachée de ceux qui doivent cacher la leur ! Et les intempéries politiques qu’on nous assène du voisinage, celles du climat qu’il faut affronter, les pluies qui abattent les minarets à leur tour, les pluies qui rasent les villages, les barrages qui risquent de céder sous le déluge, la population ruinée, à la merci de la famine et des maladies, que l’on secoure du mieux que l’on sait faire. Voilà l’autre face du programme urgent, qui occupe les nôtres de cadres, des officiels que l’on critique, quand ils ne peuvent pas nous aider !

    Nous râlons, nous, qui restons couverts et au chaud, sans rien donner de nos biens, de nos sous, à titre de solidarité avec les victimes ! Dans toutes les contrées du monde, là où les infrastructures sont relativement fragiles, destructions et épidémies, chômage et misères plus profonde encore, emportent des milliers de personnes chaque année ! En plus des maladies graves, qu’il est inutile de citer ici ! L’humanité saigne ! Vivement qu’on enseigne le ‘’civisme universel’’, le devoir de solidarité international, dans les écoles au même titre que la culture et les fondements de la morale et du civisme local !

    En ce qui me concerne donc, cher ami Henri, comme tu t’en est aperçu dans cette dissertation, c’est cas par cas que je donne mon opinion. Ça ne vaut pas la peine d’en faire des tartes ni des livres. Un poème par ci, un texto comme celui-ci par là, pour m’expliquer, au fur et mesure que les événements m’interpellent ou que la muse accepte de ‘’glousser’’ des semblants de poèmes avec moi !

    Merci l’ami de tant de sympathie et d’encouragements. Je m’excuse, si pour exprimer mes idées, à propos de l’écriture, j’ai dérapé ou fait dans l’amalgame, en interpelant des évènements, discutables et récents, qui non résolus à ce jour, suscitent intérêts, contradictions et passions !

    Dr Idrissi My Ahmed

    #275211
    hassani
    Membre

    bonsoir à toutes et à tous,
    je vois que vos défoulements sur cet hopital anciennement connu sous le nom de Maurice LOUSTEAU ou d’aprés ce que j’ai pu en lire était un veritable hopital d’environ 630 lits.
    En 1992, j’avais monté une association qui est née morte non pas faute de moyens mais plutot faute de voir du changement de la part des dirigents de l’hopital de l’époque.
    J’avais envie par mon commentaire voulu volontairement être provoquant, car la réalité que vous avez tous brillament décrit est connu de tous et vecu par la majorité des visiteurs et des MALADES.
    QUE FAIRE POUR QUE CELA CHANGE? FAUT IL MONTER UNE ASSOCIATION DES DEFENSEURS DES DROITS DES MALADES DE CET HOPITAL?
    Il n’en demeure pas moins que les problèmes de financement des hopitaux n’est pas propre à l’hopital EL FARABI qu’en vous entendez dans tous les journaux et notemment en France que beaucoup d’hopitaux ferment faute de moyens.
    je tente de répondre à hajmoussa,sur certains points que j’avais soulevés et pour lesquelles il m’a repris:
    – je ne suis pas medecin dans cet hopital comme tu as pu le croire………………….ni dans un autre
    -pour les qualités de conduite des autres villes, je ne suis pas partisan de la politique du « moins pire ».
    -pour la soit disant renommé des oujdis, elle était vrai peut-être jadis mais beaucoup moins aujourd’hui et à mon grand regret.
    j’aimais à entendre que ce qui qualifiait un oujdi c’était AL KELMA; aujourd’hui si un recensement devait se basait sur ce qualificatif, quelle serait le taux de la population de OUJDA?
    le rôle de l’hopital donc de son personnel est de soigner mais tout d’abord de bien accueillir ses visiteurs et ses malades
    en vue de les soigners mais notre HOPITAL EST MALADE QUI ET COMMENT LE GUERRIR?

    #206395
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Il y a des gens qui nous détestent du haut de leurs sombres républiques, parce que nous vivons dans une monarchie ! Hogra, jalousie ou incompréhension de nos droits et différences ?

    Monarchies, mercenaires et républiques

    Il y a des gens qui nous détestent du haut de leurs sombres républiques, parce que nous vivons dans une monarchie. La nôtre, comme un chêne au milieu des tempêtes, demeure sereine, hospitalière et pacifique, telle que assumée par les siens, dans un état millénaire, plus qu’ouvert aux autres, de toutes les religions, régimes et contrées. Pourvu qu’ils soient respectueux de nos valeurs de liberté, de juste milieu et qu’ils optent pour la coexistence dans la paix !

    Racisme et laïcité

    Voici quelques réflexions franches qui pourraient générer les défenses civiques et citoyennes, ou susciter le débat et la réflexion, voire la répulsion ! Mais la liberté de dire et dépenser est au dessus de tout.

    On peut être déiste, athée ou religieux, et c’est un avantage, une culture pour les résidents des pays laïcs ! Encore que des fois leurs relents d’exigüité hypernationaliste, malgré les options de mondialisation, bien étroites, les terrent dans le refus d’autrui. La xénophobie, voire le racisme, les plus crades, percent ! Exacerbés par le port de vêtements particuliers, ostensibles par rapport aux calots et autres croix plus discrets.

    Cet accoutrement exotique les exacerbe, chez eux et dérangent cette laïcité dogmatique bien pensante ! Pour ne pas dire qu’il profane leur quiète laïcité déifiée ! . Dans leur recherche soliloque et nombriliste des valeurs républicaines, les dérapages, incendiaires, fusent comme autant de bêtises dans les lèvres pincées et glauques que certains officiels, bien en vue, expurgent dans des sorties de foires douteuses !

    Les calomniateurs, les renégats, les dénégateurs, de tous bords, oublieux des invasions qui ont fait que la Gaule entre dans l’histoire, oublieux des guerres de religions, civiques et des guerres mondiales qui ont fait de la France, la métropole et son empire, oublieux de sa valeur de sanctuaire pour ceux qui sont épris des libertés, à travers le monde et qui ont trouvé refuge et matière à travers les âges à Paris, révulsent et se renient dans le discours populiste et pervers sur l’identité.

    Laquelle identité ? Celle de l’ADN, ladre, ou des chromosomes qui ont fait leurs femmes et leurs hommes ? Ces racines, jamais reniées de leurs présidents ! Celles des millions de juifs, sémites d’origine, devenus français homogénéisés à ceux de ses multiples souches ? Ou celles de leurs pendant noirs ou méditerranéens, ravalés pour faire l’union et la patrie ? Ce, quand il fallait mourir pour la patrie France, verser son sang hors des tranchés, subir ses rafles et ses exportations pour être gazés, quand il fallait aller au charbon, plonger dans ses mines, édifier ses tours et ses ponts ?

    Chair à canon ou nationalité en papier ! Les plus ingrats, les derniers naturalisés, crient plus fort que les autres ! Ils sont à la recherche de pureté ethnique ! Nouvelle virginité ou candeur ! Oublient-ils qu’ils sont humains, la science nous le démontre, et que nous sommes tous identiques et égaux devant le même Dieu, auquel ils croient, sans doute !

    Pureté ou races supérieures ? Un rêve mort avec Hitler ! Pureté raciale des clans et tribus ou de leur céleste gésine ? Celle de leurs lobbies universels, de la couleur de peau ou de leurs fortunes, pour se réserver les charmes de leur douce et schizophrène France, entre autres paradis réservés ! Indexant, expulsant, exhibant, ignorant, marginalisant, infamant tour à tour, ceux que leur mater patria, a glanés à travers l’histoire du creuset méditerranéen, pour les renier après les avoir spoliés, karchérisés, pour les humilier après avoir usé d’avances intéressées et de sourires jaunes ! Les abuser après les avoir usés. Voilà pour les tartuferies et les effronteries, enseignées comme credo aux prosélytes des droits de l’homme ! Version pour les autres et pas chez eux ! Manœuvres machiavéliques, bénignes, sans plus ! Manœuvres à oublier pour aller de l’avant, sans acrimonies de part et d’autres !

    Car, c’est banal et historique à la fois. Les impérialistes, les empereurs, ont de toujours régné en créant la discrimination ou l’opposition, entre leurs gens et les hommes qu’ils dominent ! Les colons et leurs gouvernants actuellement encore clament et se réclament pour diriger les pays tiers, des mêmes valeurs. Les racismes ne sont pas éteints ! « Il y a toujours un regard de mépris ou de condescendance, plein de préjugés, sur ceux qui sont issus des peuples colonisés » !

    De là, cette politique, cette faconde d’usurpations et d’hypocrisie désuète, ce délit aux couleurs humanitaires. Une extravagance embellie, dite : ‘’devoir d’ingérence’’. Seulement, cette arrogance fait des émules parmi les mulâtres et parmi les deuxièmes francesses d’hier. Toutes religions confondues pour s’accaparer des terres, kidnapper des tribus et les séquestrer, perpétrer l’apartheid, ou pire créer le terrorisme de toute pièces ! On nous envahit encore et on nous déteste même réduits chez nous.

    Ceux que nous connaissions tant, dans nos quartiers indigènes, sont témoins de notre sens de la lutte commune, de notre ouverture, comme par dessus tout, de notre sens de l’amitié, du respect et de l’hospitalité dont ils ont été les premiers bénéficiaires. Ce que nous abhorrons aujourd’hui, c’est le retournement et l’indécente ingratitude ! Ce sont les mots bellicistes, ces actes déstabilisateurs, ces faux fuyants, qui dénigrent le droit et la fraternité, les héritages et le destin commun, et qui emplissent de leur menace sans vergogne les médias. Notre devoir est de le leur dire et rester objectifs et vigilent. Car des pièges, on s’en doute, ils nous en tendront pour contrer nos offres d’autonomie et de construction commune du Maghreb.

    Identité versus ‘’natio-racisme’’

    Dans l’hexagone par exemple, ça les regarde de se définir par rapport à autrui. Question de s’unir sur le dos de quelqu’un. C’est une façon de s’unir que de haïr ensemble dans la même direction. Le cynisme revigore le patriotisme et les sentiments de nationalité. Seulement, ça nous touche de près, d’être bêtement haïs et traités par-dessus la jambe. L’anathème sur leur diversité ratée, nous interpelle. Le phénotype décrié se fonde sur la nouvelle religion. Celle des apparences vestimentaires. Le linge cachotier des courbes les offusque. Plus que les couleurs de peau, les signes d’appartenance à la religion les horripilent et les barbent.

    La nouvelle guerre des religions s’offre le registre des rancunes ataviques, ressassées sur le dos des descendants des sarrasins On oublie les juifs, les noirs, les jaunes et les rouges, et on s’attaque aux verts ! Le profil de l’adversaire est tracé de façon caricaturale. On profite de la sémiologie simpliste, pour s’attaquer aux fondements. Ceux-là mêmes que les néo convertis affichent en opposition aux racismes divers et face à l’exploitation ! Finalement, c’est une guerre des symboles qui se scotche sur celles des ethnies, du racisme et de l’exploitation des peuples. On croyait que le capitalisme ravageur avait dit son nom et que c’était la vraie religion, la religion moderne : le business et l’argent ! Mais non, on interpelle encore les vieilles croyances pour leur faire la guerre et dominer autrui, le réduire, le chasser et l’exploiter, après avoir anéanti ses crédos, son expression de son droit, de ses libertés, ses terres, ses dieux, son destin !

    Par delà l’utilitarisme sublimé en matière de diplomatie, force est de découvrir dans l’adversité qui nous entoure les plus putrides perversions, la duplicité, la fourberie et l’imposture ! Les donneurs de leçons es-cathedra, les parangons de la nomenklatura, sont les plus hauts gradés en matière de corruptions, de prébende légitime et de prédation. L’hypocrisie la plus lâche cache l’adversité !

    Seulement, leurs réactions et leurs vœux d’ouverture ne se font que dans le sens qui leur plait et les avantage, aux dépens des valeurs modernes de mondialisation. Un civisme universel, qu’on espérait partager comme des idéalistes, en avance sur leur temps ! Mais cette fiction est tout juste faite pour les blogs et pas suffisamment dans les actes. Bourses et valeurs se ferment, au nom d’un individualisme de masse, un dogme, une drogue, devenus synonymes de citoyenneté. Vision étroite mais largement suivie!
    La haine identitaire et nos pénates.

    Ça regarde qui d’être différents ? Fiers d’être différents, sans encourir les foudres des donneurs de leçons et les moralisateurs transfrontières ! Démocratiquement et par respect pour les libertés, cette situation dans les pays tiers, vous permet en Europe et vous oblige, d’avoir du respect pour les formes de gestion de ces états ! Le label modernité, avec sa façon de voir les libertés, ne donne pas à tous les finances et les avancées techniques pour ressembler comme des copies aux chefs d’orchestres !

    Ceux qui sont en retard de phase par rapport aux riches et blancs, ont au moins une raison d’être différents et d’aller vers le progrès des autres selon leurs propres moyens ! Sans se casser en route ! On peut être antimonarchistes et vivre en Espagne, en Belgique, en Suède en Hollande ou en Angleterre ! Et tenir à y vivre, sans vouloir rien y changer. Ou vice-versa ! Pourquoi nous reprocher alors ce fait, si bien toléré, si bien garanti ailleurs ? Plus de 90 pour cent des citoyens marocains assument leur monarchisme ! Il n’y a qu’à voir comment le Roi est reçu, dans toutes les villes et les douars du royaume, qu’il parcoure inlassablement. Des milliers de milliers de marocains arborent sa photo, scandent son nom, heureux de tenir la main de M6 et de venir le saluer, sans contraintes ! Ça dérange qui, s’ils veulent rester ainsi et laisser au Monarque de partager le Pouvoir avec leurs ministres et leurs représentants ?

    Il est des républiques, plus que totalitaires, où les droits de l’homme sont quasiment écrasés et pervertis, qui au total sont bien moins ‘’démocratiques’’ que les monarchies les plus autoritaires…

    Ostensiblement, leurs gouvernants, militaristes ou gérés comme tels, de près ou de loin, sont bien moins respectueux des libertés publiques que ne veut le mot res-publica… Voulez-vous des noms !? On n’y compte ni les révoltes, ni les coups tordus, ni les coups d’états et autres guerres civiles ! Et ce sont des républiques, certaines plus fières au point de s’imposer comme des procurators et des parangons. Des donneurs de leçons dans leurs régions ! Leurs mérites nouveaux est de se transmettre le pouvoir grâce aux galons ou par filiation ! Alors question de démocratie, racontez-ça à d’autres !

    La perfidie et la félonie, agitant séditions, sécessionnisme, oppositions et autres joyeusetés, poussent certains pays, les commanditaires, à provoquer des coups d’état, à partir de leurs fiefs et sanctuaires. Ils s’imposent par la suite comme des sauveurs, des tuteurs et des contrôleurs de leurs crédules acolytes locaux. Ces agitateurs qui deviennent de force, des empereurs ou des présidents à vie, obséquieux envers leurs voraces tuteurs ! Et ce là où ils ont perpétré des crimes ou des ethnocides ! Monnaie de singes, ou monnaie courante pour mercenaires ? Chacun sa fierté, sa culture et ses valeurs. Mais il est des valeurs qui ne valent rien ! L’histoire est faite de ces micmacs. Les plagiaires de la région n’ont rien inventé !

    Certaines républiques, quel que soit le continent ou elles s’agitent, sont littéralement en retard de ce qui se fait en Europe. Mais, elles ont leurs modèles, déphasés, dans la littérature meurtrière et l’exploitation de leurs propres peuples !

    Exercice de la démocratie, droits de l’homme libertés d’association de religion, de se mouvoir de travailler ou de migrer varient d’un pays à l’autre.

    Démocratie n’est pas synonyme de république

    Républiques ou monarchies sont questions de nuances, tant la pratique des droits élémentaires, varie d’un label à un autre ! Le ‘’package démocratie’’, variable dans sa densité, ne semble pas à la portée de toutes les bourses. Chacun le compose comme un panier, sachant bien que la qualité et la quantité, sont questions de moyens !
    Il est d’immenses pays ou les élections, manipulées publiquement et à coups de gros moyens, ont élevé de véritables confiscateurs des libertés.

    Ces gouvernants ont perpétré des meurtres et des guerres tous azimuts. Ces monstres,  »démocratiquement » élus, du fait du jeu permissif des lobbies qui les injectent, sont finalement de gros pantins, qui desservent ceux qui les ont fabriqués ! Un exemple ?

    Dès lors, où est la limite et la valeur puriste, le sens éthique de ces-dites ‘’républiques’’, par rapport aux monarchies ? Avérées traditionnelles, héréditaires, surannées, dites ce que vous voulez d’elles ! Mais si elles sont aimées et adaptées, convenables pour les leurs ? Car les changer serait pire pour tous. Une manip incertaine, une opa de déstabilisation, dirigée de l’extérieur, serait un meurtre de civilisation ! L’histoire est bourrée de ce genre de manipulations. Evoluer, dans le sens du partage des pouvoirs, serait au contraire idéal et bénéfique pour tous. Un mérite, un don divin, un éclair d’intelligence ! Une nécessité royale peut coïncider avec un devoir populaire et représenter une garantie pérenne pour le pays qui l’espère !

    On ne peut pas comparer des pays qui ont évolué depuis des siècles à ceux qui commencent à peine à devenir des pays ! Je ne parle pas de nous autres! Déjà les Idrissides ont laissé une capitale et un Etat ! L’évolution ne s’achète pas en vrac dans le supermarché des démocraties qui voudraient exporter leurs styles, sans leurs moyens ! De même aucune baguette magique ne permet de brûler les étapes, qui ont demandé ailleurs des siècles d’évolution et de compromis pour se réaliser…Mais aussi pour creuser de véritables fossés entre les berges de la méditerranée, par exemple ! Encore que rien n’est parfait ! N’est-ce pas?

    Contradictions et exemplarité

    On ne peut pas comparer le creuset qui garantit des droits, une civilisation technique et moderne pour ses résidents, à des états débutants. Ceux-là gardent leurs façons d’exister et de voir la vie différemment. Les pays ne sont pas des ersatz, des photocopies les uns des autres. Ils ont besoin de gérer leur souveraineté, tout en évoluant vers les progrès reconnus de tous ! Le développement, le territoire, l’unité du peuple autour de projets de société, historiques et crédibles fédérateurs, les nécessités de cohésion trans-tribales, sont autant de paramètres et de contraintes à valoriser, alors qu’ailleurs, ils sont d’ores et déjà fixés ! On a vu ce que les brusqueries, commandités de loin, apportent comme lots de barbarie et de répliques et répercussions, qui mutilent le pays en le laissant pourrir, avec plus de retard, entre les mains des mutins, qui n’apportent jamais la démocratie !

    Certains pays sont  »indépendants », mais mis sous séquestre et sous contrôle  » ! Vous le savez ! Comment reprocher cet état de choses ou ces insuffisances, ces retards par rapport aux statuts avancés d’autres vieilles métropoles, sans critiquer ceux de ces états avancés qui les maintiennent  » dans cet état d’ingérence, de retard et d’indigence, d’arriération discriminatoire, ou au mieux sous perfusion délivrée au compte-goutte  »?

    Car, minerais et marchés réservés, il ne faut jamais tenter de concurrencer la métropole. Celle-ci, ayant assuré ses bases, reste le premier investisseur, le premier client, le premier à dire chut et à déclencher le holà ! Son expérience et son entrisme lui laissent, pour la mainmise et la maîtrise, suffisamment de distance avec ses obligés !

    Je suis pour toutes formes de régimes ! Pourvu qu’ils soient démocratiques, éclairés et respectueux des libertés individuelles, sans frontières, assurant l’égalité de tous devant la loi. Tant sur les plans de la culture, de l’enseignement, de la circulation des hommes, du savoir, des techniques et des capitaux ! Sinon, ça laisserait à désirer !

    La mondialisation et conséquemment, notre devoir d’observer, de tancer du haut de nos ergots, d’interpeler transfrontières les autres, sont à ce prix ! Pas de frontières, pour tout et pour tous ! Sinon chacun à la mesure de ses moyens, sans ingérence, sans arrogance ni suprématie, sans diktat de l’argent sur le destin des autres !

    Beaucoup ont suffisamment à déblayer devant leurs portes. Avant de jaser, qu’ils s’emploient d’assurer le développement et la démocratie des leurs. Avant d’importuner, d’interpeler ou de fomenter les insurrections, la sédition, d’embrigader les nôtres et de créer la sécession, qu’ils laissent libres leurs otages et leurs urnes. Qu’ils regardent ce que sont devenus les ennemis héréditaires d’hier, ceux qui ont causé deux guerres mondiales, mais qui restent nos premiers exemples, nos horizons, nos mais et nos voisins !

    Je n’aime pas cette conclusion si ordinaire, mais elle sied ici.

    Et je dis de façon apaisée, confiant dans l’avenir et la complémentarité,
    à bon entendeurs, salut,
    aux frères et aux voisins !

    Dr Idrissi My Ahmed
    Le 7 Mars 2010.

    #206392

    Sujet: Touche pas ma ville

    dans le forum Débats
    nediha_gawriya
    Participant

    Bonjour,
    Je ne sais pas si je suis le seul à remarquer les différentes massacres que connait notre chère ville, cette vague de détruire tout ce qui ancien et surtout tout ce qui marque la ville et qui la rend si spécial des autres villes.

    a Bd hassan 2 à titre d’exemple, toutes les arabes ont été arrachés, des arbres d’une espèce très rare et qui ont plus de 50 ans, qui a autorisé ça ? comment peut-on faire ça?! je ne comprends pas.

    j’ai l’impression qu’une main invisible veut effacer toute les empreintes qui marque notre ville,

    SANS PARLER des lycées et des écoles primaires qui sont maintenant des vrais monuments!

    bref une vague de destruction et de déracinement qui a un seul but à mon avis, effacer l’identité des Oujdis

    #275173
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    Sont-ce des symptômes de philosophie ou des critères d’aliénation ?
    Simples attritions ludiques, voici une chronique des humeurs et des éléments..

    « PLAINTE AU BON DIEU
    NOUS IRONS TOUS AU PARADIS ! »

    L’homme vit dans la gueule du néant ! L’homme est fait pour disparaître. Pour s’amuser, se plaindre, souffrir et disparaitre ! Banale cruauté. J’ai besoin d’un grand ‘’chœur’’ pour m’entendre, me répéter et pour souffrir avec moi.

    Ou pour penser normalement, mus, figés, entre les rails…à l’heure du train, sans regarder par la fenêtre le paysage qui file ! Pensées instables…idées invraisemblables, intraitables, à déclasser, moteur à idées, corps déchirés en vrac, angélisme déchu et décevant, délire de mots : la diffraction de la pensée éclate pour chercher des explications et des repère. Tout au moins un justificatif, une raisons pour son être et son ignorance.

    J’ai besoin d’un forum, d’orchestre d’un monde, d’un univers entier, pour m’écouter, une tribune d’anges, et de connaisseurs pouvant communiquer ! Les espaces exigües, les idées bornées et rigides, me donnent froid. J’ai comme dit l’autre, une mélancolie. Une agoraphobie, non une claustrophobie, dans ma solitude ! L’isolement est une barrière faite de barreaux invisibles qui pénètrent mon corps et le plombent, rendant le mouvement de mes idées impossible à sortir et d’échapper à la douleur de l’aliénation !

    Sont-ce des symptômes de philosophie ou des critères d’aliénation ? Simples attritions ludiques !

    Le paradoxe est une hésitation, qui interpelle l’intelligence ! La certitude appelle l’assurance, la rigueur, la rigidité et le fascisme, l’orgueil sinon la moquerie ou l’extrémisme. Seulement la certitude n’est pas la vérité. Et de par cette imperfection la certitude démontre qu’elle n’est pas la raison même si elle emplit de passions la réalité !

    Je préfère douter que de tromper les autres, que j’en soies conscients ou pas ! Je n’aurais alors aucun recours pour mieux voir et éventuellement aucune possibilité de corriger mon opinion ni moi-même. Et cela provient du fait que moi, mon caractère, mes humeurs, ma logique ou mes certitudes sont l’expression de ce que suis !

    L’hésitation n’est pas toujours, un manque d’intelligence ou d’information .Elle n’est pas l’ignorance. Sa versatilité admet la multiplicité des sources, des causes et des raisons, avant de fonder une opinion !

    Entre le virtuel et le fugace du réel, il n’y a qu’un pas. Le vol d’un plume, d’un duvet qui tombe d’une aile d’oiseau qui battait le vent en passant au dessus de votre tête !

    Ce sont deux cigognes, debout sur un nid, qui à leur façon lustrent leurs ailes ! Tendrement, avec amour, avant de procéder, sans le savoir, à l’acte de copulation. Est ce nécessaire avant de coïter puisque c’est le but ! ? La finalité étant de préparer instinctivement leur longévité, d’assurer leur descendance, de pérenniser postérité, destin de leur espèce, à leur façon ! La cour avant l’amour, les préparatifs le jeu e avant l’action ! C’est presque une loi, un règlement universel !

    Par jeu ou naturellement sans arrières pensées, voire sans humeur, ils interpellent les voyeurs ceux qui admirent leurs élégants ébats ! La nature n’est pas pudique. Elle communique ses richesses, ses couleurs et ses humeurs, ses danses immatérielles, même quand elle n’a pas la parole ou le chant pour y inviter et le proclamer ou le dire ! Pour l’humain, c’est la peur des couples des jaloux et des opportuns, qui a créé le besoin de se cacher pour faire l’amour. C’est la peur et la jalousie, la propriété qui crée les interdits et les barrières de sauvegarde. Le sens inné de ce qui nous appartient et de ce sont on sera responsable ! Mais aussi les moyens, discrets ou louches, hypocrites ou mensongers, de les contourner, qu’autrui façonne par égoïsme pour rafler ce qui ne lui appartient pas !

    Plus crûment ! La nature est vraie et sans complexes ! S’exhiber en train d’exprimer sa tendresse, de faire des câlins ou en train de coïter, en vue de procréer ou juste pour le plaisir, mélangeant la tendresse à l’attirance, n’est ni un crime ni une offense chez dame nature ! Chiens et chats, ceux des forêts et des écuries, les oiseaux et les plus gros mammifères, ne se cachent pas pour baiser et faire entre eux ce que leurs dictent leurs penchants et leurs hormones, l’amour !

    Le soleil perce entredeux montagnes de nuages la chape grise et froide qui encombre le ciel. Il se fraie un chemin jusqu’à nous pour nous pour le voir et l’admirer ! Matinal, sur un fond bleu pur, un oiseau d’une rare esthétique, contemple en le suivant, le fuselage qu’exhibe son compagnon…Sa dynamique, d’esthète, sa morphologie adaptée, sa perfection, lui permettent de brasser l’air et de faire miroiter sa beauté, son bonheur, en planant, libre, au dessus des humains.

    Sur le rebord du balcon, un geai noir, avale un morceau de pain ! Ce n’est pas un merle, peu importe son nom, il a un bec et il chante. Mais là, il bouffe ! Où a-t-il déniché ce morceau de pain, de bon matin au jardin ? Ils font les poubelles des voisins, maintenant les oiseaux ? Autant que cette multitude de chats inutiles, futiles et versatiles, aux odeurs nauséabondes qui n’enterrent même plus leurs excréments, comme les chats que j’ai connus ailleurs !

    J’ai entendu un nouveau président se plaindre de sa chambre. Cette ville incivile n’apprend rien aux siens ! Aucun sens de la citoyenneté et de l’utilité publique ! Et vous voulez voter pour des « serfs » volants ! Des figurants, absentéistes, qui mentent et pavanent ! Aujourd’hui, ces opportuns sont dans un Parti. Demain, ils traverseront le continuum espace temps, pour rejoindre un celui qui est en vogue et qui avalent les élites et les autres ! La logique et l’objectivité, ils ont la leur et la suivent de très près !

    Autres partis, autres mœurs ! Hier, ils ont décrié le programme des adversaires, banals et communs, aujourd’hui, ils sont en plein dans celui de leurs ennemis ! Opportunisme ou évolution ? Les vérités changent avec l’âge et les intérêts ! Les hommes politiques sont les plus grands exemples de versatilité. Ils ressemblent aux vagues, mais ils sont de la même mer et de la même eau ! Et pourtant nous avons besoin de la mer, de ses vagues, de ses ressources, de ses poissons ! Si des fois ils restent frais et qu’ils n’aient pas mangé trop d’émigrés!-Ils sont dans leurs éléments. Le monde est ainsi fait. Les pires espèces se croient innocentes et utiles ! Où est la vérité, où est l’erreur ? Dérisions et calamités, ou mérites particuliers de notre biosphère ? Trophées du sous-développement ? Caricatures de nos tropiques ? Non, la vie est ainsi faite avec ses heurs et ses malheurs !

    Il fait froid, il a plu et venté toute la nuit… Comment vivent t-ils la pluie en mer, les poissons et ceux qui vendent leurs âmes, par le simple besoin qu’il est de travailler pour vivre ? Ceux qui dans les barques, défient pour une bouchée de pain, baignée de karcher et d’humiliations, Charybde et Scylla, le Styx et l’Achéron et les Parques et les requins, le Pen et ses affidés! Macabres traversée du détroit d’Hercule en patères et qui devrait être la honte de ceux qui préparent les guerres ou les menaces entre frères, au lieu de se donner la main pour lutter ensemble contre le chômage, pauvreté, les retards et sous-développement ! Honte à vous, dirigeants du tiers monde et faiseurs de morts ! Sont-ce des nécessités logiques, des destins incontournables, des visions de vérité ou des erreurs de parallaxe ? Des crimes en puissance, que certains jurent être des raisons patriotiques, nationalistes, pour guerroyer dans le civil ou contre les voisins ?

    Comment réparer les erreurs du délirium politique que chacun faire devant son café ? Comment réparer le courant des rêves fâcheux ? Tels ceux du dernier songe où un enfant malade, qui endure des difficultés de respiration, malgré l’anesthésie, présente une dyspnée qui vous sort du rêve ? Comment éviter de passer des rêves plaisant au cauchemar et surtout de continuer et de terminer les meilleurs rêves ne serait-ce que dans le rêve ! Comment passer et dépasser la crainte que ce genre d’incident puisse se passer dans votre cabinet ?
    Dans votre vie réelle ! Le réveil furtif, brutal vous cause de l’agitation et d’emblée empêche tout correctif du rêve avorté ! L’interférence entre les cauchemars et la vie, les délires et les rêves est affaires de circuits neuronaux qu’il faille au moins dégraisser ! Comment vivent-ils leur illumination, leurs hallucinations, leur imagination, leurs projets et leurs rêves ? Interpénétrations où l’équilibre reste précaire et l’inventivité, l’ivresse, la fiction, la poésie, à fleur de peau ! Et la réalité, la vérité dans tout cela, est aussi affaire de prisme et d’angles de vue !

    Ce sont des instants comme celui d’hier : un morceau vite avalé, un café pressé, un petit-déj désiré, mais non pris et vite, vite il faut aller au boulot ! Le travail interpelle d’urgence ! Pour retourner, fatigué, malade et déçu.

    Ou quand il pleut, c’est pour rouler emmitouflé pour aller travailler, puis revenir après avoir examiné maintes grippes, la peur au trippes, à cause des bruits et propagande de pandémie porcine ! Ce que font les gens ailleurs, sous d’autres cieux et températures, défiant la vie le glace te le verglas ! L’organisme, s’adapte, avec maints chauffages et conditionnements ! Et si ce n’était le gaz et le pétrole, que feront-ils demain ? Quand ces énergies, non renouvelables, seront à jamais épuisées ! C’est une idée pou se donner du courage, ici, et optimiser, pour respecter ce qui reste de la nature en vue de ne pas hypothéquer ou condamner à mort l’humanité, l’avenir de nos descendants ! Mais qui s’en soucie ? Les gros problèmes pour les politiques et les financiers, sont les dommages commis et le bellicisme, l’incivisme, l’extrémisme, l’égoïsme des encore vivants, qui ne veulent plus aller voter.

    Rêves et réalité-s s’inter pénètrent, se confondent agissant les uns sur les autres et se confrontent souvent.

    Le robot organique, humain, est fait pour vieillir et lâcher des pièces inutilisables pour autrui

    Oui on y a inclus des préceptes, des principes, une morale, une religion, des règles et du droit. L’intelligence et la morale…L’effet et « l’effarement », la raison, la conscience, la violence, la paresse, la reddition devant l’inconnu et l’incompétence généralisée, de comprendre le but de sa vie. Que celui qui l’a compris, me le dise ! J’attends de lui que ce soit vérifiable, par la raison !

    Un patient malade m’a confié : « Le bouquet d’anniversaire, offert par mon employée est maintenant dans la salle d’attente ! Les messages de vœux continuent de remplir sur les pages du forum émanant d’amis et connaissances du forum des laryngectomisés, des sans voix, qui parlent au cœur ! Un anniversaire, de privation, dans l’intimité, contrairement à ceux que je fêtais ! Et dire que pour un peu, Je n‘allais pas vivre ce moment ! ». Répondez-leur par émail ou par courrier, mais ne coupez pas l’écoute lui ai-je conseillé.

    Un autre bien inquiet m’a dit à peu près ceci : « Un arrêt cardiaque, après infarctus et une fibrillation ventriculaire, une crise de myasthénie grave avec son asphyxie, pour clore le tout. Résultat, après un an, je suis un reliquat, un homme en sursit ! Pour ne pas dire un poison, une refuznik, un râleur en privation, ou un cadeau ! Pour les autres ou moi-même, c’est selon les angles du prisme sur lesquels on place son optique ! Qu’il faille regarder cette virtuelle situation, par deux fois, pourrait varier encore pour un moment ! Un cadeau pour moi même et je n’en profite pas assez ! Ou si peu ! Et toi ma religieuse, peux-tu encore aimer ce corps et en profiter ? ». Que voudriez-vous lui répondre ?

    Contrairement au soleil qui sort et perce les nuages, contrairement aux oiseaux qui volent après leurs accouplements, je reste contrit face à face avec ce qui reste de mon deuxième élément. Ses préceptes l’obligent à recadrer sa vie. A s’occuper de dieu et de ses regrets et pardons. Et non plus d’être le bonheur du moment ! La récompense, le don, la bonté, sans calcul…L’interprète de l’amour, l’élégie de son amant !

    La souffrance du néant nous rend prolixes ou muets ! Capables de blesser les autres, à commencer par soi. Le bonheur se situe entre la paresse, la volonté, l’interdit et le licite. La bouffe à domicile ou le restaurant ! La surprise ou l’intuition ! La spontanéité et non le calcul du moment et du temps ! Le contraire est un cri qui monte et qui interpelle ! Une insatisfaction, un attrait, un éclair, un nuage une image, un rivage, un mirage, le don de soi, le refus ou l’abnégation.

    L’homme satisfait est inutile pour les autres, orgueil luxure satiété, ces états de repos sont improductifs et ne posent pas de questionnements.

    L’homme doit souffrir pour produire. L’homme doit souffrir pour s’exprimer, pour servir les autres, pour servir la vie, la sienne et celles des autres, pour sentir la séparation ou la causer la mort. Et la mort, la souffrance est le révélateur de l’existence, des dons, des changements, de la solitude ou du détournement des amants.

    L’existence se justifie par ses effets ! Non pas le bonheur, mais la souffrance dans la dure réalité dans les privations, les besoins, les envies, les nécessités, et leurs non satisfactions !

    Mais quel bien y a-t-il à sentir le mal, les plaintes le malheur la mélancolie les plaintes, les vers ou les cris, les mots ! En quoi serait-ce utile ou positif, pour l’être ou la personne, la famille ou le pays ? L’âme et Dieu ont-ils besoins de nos deuils et privations ?

    Est-ce pour épicer l’existence ou pour faire des stances de louanges, quand elle trop grognon bercée dans une satisfaction monotone ? Une morte laisse des orphelins désarçonnés, désemparés, désunis ! Elle aimait la vie et savait l’inoculer à ceux qu’elle aimait aidait ou protégeait ! Que reste-t-il de l’héritage de cette amie, de ses actions ? Un culte, un regret ?

    Laplume détachée de l’aile de l’oiseau, un duvet en fait, fragilisé par un parasite qui lui broutait la base, la fait choir au final sur le sol. Et ce sont les myriades de microorganismes de l’humus, les microbes, qui vivant dans cette humidité où nous allons, qui se repaissent de la nature. Prêts à entrer dans le concert vital de l’organisme qui les ingère, prêt à entrer dans le cercle de la matière et de l’énergie. Le moteur humus, l’usine où tout se recycle avant d’aller alimenter parasites, vers et oiseaux…Qui proies pour d’autres ou nourriture, vont enrichir la table de mets, le milieu de pitance ou de débris…La vie continue malgré ses freins anonymes, en digérant les entités et leurs mémoires !

    J’ai vu sur un PPS, ces photos de la Terre où celle-ci ne représentent rien devant les gros astres du cosmos. Et j’ai imaginé ce que nous représentons comme espace, comme entités, pauci temporelles, parmi les choses crées, visibles ou pas dans cet univers de super géants. Cela se résume à un petit rien, fragile, voué à disparaitre ! Les classiques ont dû penser à cela, pendant des nuits, créant la l’astronomie, l’astrologie, la philosophie et les religions pour temporiser leur naturelle angoisse ! J’apporte mon vin, et ma vanité, ces mots labiles, pour trinquer et réfléchir. Certainement pas la solution !

    « Pantins, piteux et pitoyables, richement dégénérés, nous s’agitons dans un monde trivial, de plaisirs et de danses, sans cesser de forniquer, de voler et de corrompre, sans nous soucier de rien, hormis ce qu’on peut appeler nos illustres personnes. » « Monde dégénéré de pervers où les rebus sont des innocents ».
    Ce sont les mots d’un film que je tire pour vous et moi, à cet instant ? Pour réfléchir, espérer et mieux agir.

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 08 février 2010…

    #206354
    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    PLAINTE AU BON DIEU : NOUS IRONS TOUS AU PARADIS !


    L’homme vit dans la gueule du néant ! L’homme est fait pour disparaître. Pour s’amuser, se plaindre, souffrir et disparaitre ! Banale cruauté. J’ai besoin d’un grand chœur pour m’entendre, me répéter et pour souffrir avec moi.

    Ou pour penser normalement, mus, figés, entre les rails…à l’heure du train, sans regarder par la fenêtre le paysage qui file ! Pensées instables…idées invraisemblables, intraitables, à déclasser, moteur à idées, corps déchirés en vrac, angélisme déchu et décevant, délire de mots : la diffraction de la pensée éclate pour chercher des explications et des repères. Tout au moins un justificatif, une raison pour son être et son ignorance.

    J’ai besoin d’un forum, d’orchestres, d’un monde, d’un univers entier, pour m’écouter, une tribune d’anges ! Et de connaisseurs pouvant communiquer ! Les espaces exigües, les idées bornées et rigides, me donnent froid. J’ai comme dit l’autre, une mélancolie. Une agoraphobie, non une claustrophobie, dans ma solitude ! L’isolement est une barrière faite de barreaux invisibles qui pénètrent mon corps et le plombent, rendant le mouvement de mes idées impossible à sortir et d’échapper à la douleur de l’aliénation !

    Sont-ce des symptômes de philosophie ou des critères d’aliénation ? Simples attritions ludiques !

    Le paradoxe est une hésitation, qui interpelle l’intelligence ! La certitude appelle l’assurance, la rigueur, la rigidité et le fascisme, l’orgueil sinon la moquerie ou l’extrémisme. Seulement la certitude n’est pas La Vérité.

    Et de par cette imperfection, la certitude démontre qu’elle n’est pas la raison même si elle emplit de passions la « réalité » ! Comprendre le « vécu », avec ses apparences et son poids, ses négligences et son mépris ! Le problème des minorités, leur reconnaissance parfois, ouvre dans les démocraties, la boîte de Pandore de cet exclusivisme de la raison !
    Je préfère douter que de tromper les autres, que j’en soies conscient ou pas ! Je n’aurais alors aucun recours pour mieux voir et éventuellement aucune possibilité de corriger mon opinion ni moi-même. Et cela provient du fait que moi, mon caractère, mes humeurs, ma logique ou mes certitudes, sont l’expression de ce que suis !

    L’hésitation n’est pas toujours, un manque d’intelligence ou d’information .Elle n’est pas l’ignorance. Sa versatilité admet la multiplicité des sources, des causes et des raisons, avant de fonder une opinion ! Indiscutable ! « ?? »

    Entre le virtuel et le fugace du réel, il n’y a qu’un pas. Le vol d’une plume, d’un duvet qui tombe d’une aile d’oiseau qui bat le vent en passant au dessus de ta tête !

    Ce sont deux cigognes, debout sur un nid, qui à leur façon lustrent leurs ailes ! Tendrement, avec amour, avant de procéder, sans le savoir, à l’acte primordial de la copulation. Est ce nécessaire avant de coïter, puisque c’est le but ! ? La finalité étant de préparer instinctivement leur longévité, d’assurer leur descendance, de se pérenniser par la postérité, le destin de leur espèce, à ce à leur façon ! La cour avant l’amour, les préparatifs le jeu avant l’action ! C’est presque une loi, un règlement universel !

    Par jeu ou naturellement sans arrières pensées, voire sans humeur, ils interpellent les voyeurs, ceux qui admirent leurs élégants ébats ! La nature n’est pas pudique. Elle communique ses richesses, ses couleurs et ses humeurs, ses danses immatérielles, même quand elle n’a pas la parole ou le chant pour y inviter, le proclamer ou le dire ! Pour l’humain, c’est la peur des couples des jaloux et des opportuns, qui a créé le besoin de se cacher pour faire l’amour. C’est la peur et la jalousie, la propriété qui crée les interdits et les barrières de sauvegarde. Le sens inné de ce qui nous appartient et ce dont on sera responsable !

    Mais aussi les moyens, discrets ou louches, hypocrites ou mensongers, de les contourner. Manœuvres qu’autrui façonne, par égoïsme pour rafler ce qui ne lui appartient pas ! La perversion de l’égoïsme, la triche, l’appropriation, le vol, sont des moyens naturels de défier et de contourner les lois de toute communauté ! Ce sont des us comme les règlements qu’ils défient.

    Le tabac et l’alcool sont permis et le hachich non .les psychotiques sont permis et les drogues similaires non ! Allez comprendre les limites que les détracteurs éclatent pour se forger une fortune, une place société la par le crime et la perversion ! Avant de blanchir ça et là, à travers le monde et les banques, les sociétés factices ou dans l’immobilier, dont ils haussent le prix face à ceux qui n’ont que leurs justes salaires et petits moyens.
    Et on les voit, porter la djellaba ici, ou les titres pompeux de sénateurs, de parlementaires, pour se déambuler et se déhancher dans les cours, dans la politique, à côté des ténors qui les inspirent, des décideurs de proximité, qui les sécurisent et leur ouvrent les bras ! La pseudo conversion dans la vie régulière leur permet de la façonner et de s’y réfugier. La moralité apparente est leur sanctuaire ! Il en est de même des coups d’état dans les républiques et autres régimes !

    Il en est de même de ces sauts de l’ange, de ces sauts de partis à tels autres, qui sont des manœuvres similaires aux trahisons et à la félonie ! Les opportuns n’ont pas de frontières ! Ils ont leur philosophie et leur morale ! Leur antimorale et leur incivisme, ils y adhèrent sans tromper personne, même dans cette fausseté dont ils se recouvrent ! Leurs principes, pour ne pas parler de préceptes, sont ceux de la dérégulation, de la non-reconnaissance de ce que leur oppose la majorité et ses lois restrictives de leurs libertés !

    Plus crûment, pour revenir au vol naturel et à l’amour chez d’autres oiseaux, les animaux, les vrais, voici une suite de pensées ! La nature est vraie et sans complexes ! S’exhiber en train d’exprimer sa tendresse, de faire des câlins ou en train de coïter, en vue de procréer ou juste pour le plaisir, mélangeant la tendresse à l’attirance, n’est ni un crime ni une offense chez dame nature ! Chiens et chats, ceux des forêts et des écuries, les oiseaux et les plus gros mammifères, ne se cachent pas pour baiser et faire entre eux ce que leurs dictent leurs penchants instinctifs et leurs hormones, l’amour ! Les animaux connaissent et profitent de La Liberté plus que les humains.

    Le soleil perce entredeux montagnes de nuages la chape grise et froide qui encombre le ciel. Il se fraie un chemin jusqu’à nous, pour nous, pour le voir et pour l’admirer ! Matinal, sur un fond bleu pur, un oiseau d’une rare esthétique, contemple en le suivant, le fuselage qu’exhibe son compagnon…Sa dynamique d’esthète, sa morphologie adaptée, sa perfection, lui permettent de brasser l’air et de faire miroiter sa beauté, son bonheur, en planant, libre, au dessus des humains.

    Sur le rebord du balcon, un geai noir, avale un morceau de pain ! Ce n’est pas un merle, peu importe son nom, il a un bec et il chante ! Mais là, il bouffe ! Où a-t-il déniché ce morceau de pain, de bon matin au jardin ? Ils font les poubelles des voisins, maintenant les oiseaux ? Autant que cette multitude de chats inutiles, futiles et versatiles, aux odeurs nauséabondes qui n’enterrent même plus leurs excréments, comme les chats que j’ai connus ailleurs !

    Cette ville incivile n’apprend rien aux siens ! Aucun sens de la citoyenneté et de l’utilité publique ! Et vous voulez voter pour des « serfs » volants ! Des figurants, absentéistes, décriés par les partis comme de par la plus haute autorité du pays ! Admirez les djellabas qui mentent et se pavanent ! Aujourd’hui, ces opportuns sont dans un Parti. Demain, ils traverseront le continuum espace temps, pour rejoindre un autre ! De préférence celui qui a le vent en poupe ! Celui qui est en vogue ! Un nouveau sanctuaire qui a plus d’audience. Un cyclone qui les avale et dont ils les seront les nouvelles vagues ! Un hospice qui accueille les riches, les affairistes de la politique et les plus puissants ! Les élites fricotent avec les zélotes!

    La logique et l’objectivité, ils ont la leur et ils la suivent de très près ! Elle est évolutive et elle varie selon leurs désirs et leurs nécessités ! Autre Parti, autres mœurs ! Hier, ils ont décrié le programme des adversaires, banals et communs. Aujourd’hui, ils sont en plein dans celui de leurs ennemis ! Opportunisme ou évolution ? Les vérités changent avec l’âge et les intérêts ! Les hommes politiques sont les meilleurs exemples de versatilité. La foi à géométrie variable. Les plus illustres adeptes de Darwin et d’Einstein ! Ils ressemblent aux vagues et sont de la même mer et de la même eau !

    Et pourtant nous avons besoin de la mer, de ses vagues, de ses ressources, de ses poissons ! Si des fois ils restent frais et qu’ils n’aient pas mangé trop d’émigrés! Ils sont dans leurs éléments, les nôtres. Le monde est ainsi fait. Les pires espèces se croient innocentes et utiles ! Où est la vérité, où est l’erreur ? Chacun sa place sur terre ! Leur force tient dans leurs libertés inventives face aux lois standards ! S’ils ne les manipulent pas, ils les façonnent à leur guise ! Leur intelligence est dans la preuve de leur adaptation du milieu à eux-mêmes !

    Il fait froid, il a plu et venté toute la nuit… Pour ça ils n’y sont pour rien ! Comment vivent t-ils la pluie en mer, les poissons et ceux qui vendent leurs âmes, par le simple besoin qu’il est de travailler pour vivre ? Ceux qui, dans les barques, défient pour une bouchée de pain, baignée de karcher et d’humiliations, Charybde et Scylla, le Styx et l’Achéron, les Parques et les requins, le Pen et ses affidés, réunis !

    Macabres traversées du détroit d’Hercule en patères. Spectacles révulsifs de cadavres repêchés ou de rescapés de l’apocalypse ! Les zombies sont parqués dans des non- lieux, en attendant leur expatriation ! Ces scènes qui se multiplient partout dans le monde, devrait être la honte de ceux qui préparent les guerres et fomentent des crises et des menaces de guerres, entre voisins et frères, pour leurs vendre des armes !

    Banalités et nécessités sont voisines ! Au lieu de se donner la main pour lutter ensemble contre le chômage, la pauvreté, les retards et le sous-développement ! Candidement-dit de ma part, sans me leurrer ! Mais, mais toutefois, honte à vous, dirigeants du tiers monde et faiseurs de morts ! Sont-ce là des nécessités logiques, des destins incontournables, des visions de vérité ou des erreurs de parallaxe ? Ce ne sont que des crimes en puissance, que certains promotionnent et jurent être des raisons patriotiques, nationalistes, pour guerroyer dans le civil ou contre les voisins !

    Comment réparer les erreurs du délirium politique que chacun fait devant son café ? Comment réparer le courant des rêves fâcheux ? Tels ceux du dernier songe où un enfant malade, qui endure des difficultés de respiration, malgré l’anesthésie, présente une dyspnée qui vous sort du rêve ? Comment éviter de passer des rêves plaisants aux cauchemars et surtout de continuer, de terminer les meilleurs rêves, ne serait-ce que dans le rêve ?! Comment passer et dépasser la crainte que ce genre d’incidents puisse se passer dans votre cabinet ? Chez votre enfant ! Dans votre vie réelle !
    Le réveil furtif, brutal vous cause de l’agitation et d’emblée empêche tout correctif du rêve avorté ! L’interférence entre les cauchemars et la vie, les délires et les rêves est affaires de circuits neuronaux qu’il faille au moins dégraisser ! Comment vivent-ils leur illumination, leurs hallucinations, leur imagination, leurs projets et leurs rêves ?

    Interpénétrations où l’équilibre reste précaire et l’inventivité, l’ivresse, la fiction, la poésie, à fleur de peau ! Et la réalité, la vérité dans tout cela, est aussi affaire de prisme et d’angles de vue ! Hommes naturels ou ‘’superlatifs’’, simples, réguliers ou héros des dérives, l’accès au rêve est fonction du pouvoir d’achat ! Les premiers consomment, les autres s’enrichissent ! Les faiseurs de songes et de millions, vendent leurs drogues en faisant un grand tabac !

    Plus près de la table….Ce sont des instants comme celui d’hier : un morceau vite avalé, un café pressé, un petit-déj désiré, mais non pris et vite, vite il faut aller au boulot ! Le travail interpelle d’urgence ! Pour retourner, fatigué, malade et déçu. Et c’est pratiquement général …Il n’y a qu’à écouter les gens pour savoir que c’est la règle ! Vite manger, vitre sortir, vite finir, rouler avec ce que ça représente comme danger….Il n’y pas de paix, pas de retenue que des urgences et des gens pressé…Mais où vont-ils ? Un affreux ivrogne n’a-t-il pas tué notre amie ? Impunément ! Les gens devraient boire chez eux, s’ils doivent boire, mais enchainés à leurs lits et toilettes !

    Coté confidences hivernales. Quand il pleut, c’est pour rouler emmitouflé pour aller travailler, puis revenir après avoir examiné maintes grippes, la peur au trippes, à cause des bruits et propagande de pandémie porcine ! Ce que font les gens ailleurs, sous d’autres cieux et températures, défiant la vie le glace et le verglas ! L’organisme, s’adapte, avec maints chauffages et conditionnements ! Et si ce n’était le gaz et le pétrole actuellement exploitables et disponibles, que feront-ils demain ? Quand ces énergies, non renouvelables, seront à jamais épuisées ! C’est une idée pour se donner du courage, ici, et optimiser, pour respecter ce qui reste de la nature, pour éviter d’hypothéquer ou condamner à mort l’humanité, l’avenir de nos descendants ! Mais qui s’en soucie ? Les gros problèmes pour les politiques et les financiers, sont les dommages commis et le bellicisme, l’incivisme, l’extrémisme, l’égoïsme des encore-vivants, qui ne veulent plus aller voter ! Ou qu’il faut charrier pour emplir les urnes de la divine démocratie !

    Rêves et réalité-s s’inter pénètrent, se confondent agissant les uns sur les autres…pour se confronter souvent face à ceux d’autrui ! L’autre est un poison ! L’autre est toujours là pour déranger nos plans,… qui souvent le concernent !
    Le robot organique, humain, est fait pour vieillir et lâcher des pièces inutilisables pour autrui. Oui, l’a dopé ! On lui a inculqué un tas de choses ! Sinon engrossé de propagande, de religions, de morale, d’us biscornus et de partis pris communautaires…

    Oui, on y a inclus des préceptes, des principes, une morale, une religion, des règles et du droit. L’intelligence et la morale…L’effet et « l’effarement », la raison, la conscience, la violence, la paresse, la reddition devant l’inconnu et l’incompétence généralisée, de comprendre le but de sa vie. Mettez deux personnes face à face, ils ne seront aucunement d’accords sur le but de la vie ! C’est terrible. Et pourtant, on est là ! Que celui qui l’a compris, me le dise ! J’attends de lui que ce soit vérifiable, par la raison !

    Le bouquet d’anniversaire, offert par mon employée est maintenant dans la salle d’attente ! Les messages de vœux continuent à remplir les pages du forum, émanant d’amis et connaissances du forum des laryngectomisés, des sans voix, qui parlent au cœur ! Un anniversaire, de privation, dans l’intimité, contrairement à ceux que je fêtais ! Et dire que pour un peu, je n‘allais pas vivre ce moment !

    Un arrêt cardiaque, après infarctus, et une fibrillation ventriculaire, une crise de myasthénie grave avec son asphyxie, pour clore le tout. Résultat, après un an, je suis un reliquat, un homme en sursit ! Pour ne pas dire un poison, une refuznik, un râleur en privation, ou un cadeau ! Pour les autres ou moi-même, c’est selon les angles du prisme sur lesquels on place son optique ! Qu’il faille regarder cette virtuelle situation, par deux fois, pourrait varier encore pour un moment ! Un cadeau pour moi même et je n’en profite pas assez ! Ou si peu ! Et toi la religieuse, peux-tu encore aimer ce corps et en profiter ? Et toi la santé, tu ne peux pas te mettre au pas et cesser de m’enquiquiner ?

    Contrairement au soleil qui sort et perce les nuages, contrairement aux oiseaux qui volent après leurs accouplements, je reste contrit face à face avec ce qui reste de mon deuxième élément. Ses préceptes l’obligent à recadrer sa vie. A s’occuper de dieu et de ses regrets et pardons ! Et non plus d’être le bonheur du moment ! La récompense, le don, la bonté, sans calcul…L’interprète de l’amour, l’élégie de son amant ! Je parle de la force physique et de ma santé !

    La souffrance du néant nous rend prolixes ou muets ! Capables de blesser les autres, à commencer par soi ! Le bonheur se situe entre la paresse, la volonté, l’interdit et le licite ! La bouffe à domicile ou le restaurant ! La surprise ou l’intuition ! La spontanéité et non le calcul du moment et du temps ! Le contraire est un cri qui monte et qui interpelle ! Une insatisfaction, un attrait, un éclair, un nuage une image, un rivage, un mirage, le don de soi, le refus ou l’abnégation !
    L’homme satisfait est inutile pour les autres ! Orgueil, luxe, luxure, satiété, ces états de repos sont improductifs et ne posent pas de questionnements ! L’homme doit souffrir pour produire !

    L’homme doit souffrir pour s’exprimer, pour servir les autres, pour servir la vie, la sienne et celles des autres, pour sentir la séparation ou la causer, pour sentir la mort et sa menace. Et la mort, la souffrance sont les révélateurs de l’existence, des dons, des biens, des changements, de la solitude ou du détournement des amants !
    L’existence se justifie par ses effets ! Non pas le bonheur, mais dans la souffrance. L’existence se justifie dans la dure réalité, dans les privations, les besoins, les envies, les nécessités et leur non satisfaction !

    Mais quel bien y a-t-il à sentir le mal ? Les plaintes, le malheur, la mélancolie, les plaintes, les vers ou les cris, les mots ! En quoi serait-ce utile ou positif, de souffrir, pour l’être ou la personne, la famille ou le pays ? L’âme et Dieu ont-ils besoins de nos deuils et privations ?

    Est-ce pour épicer l’existence ou pour faire des stances de louanges, quand elle est trop grognon, bercée dans une satisfaction monotone…Nouzha morte, laisse des orphelins désarçonnés, désemparés, désunis! Elle aimait la vie et savait l’inoculer à ceux qu’elle aimait, à ceux qu’elle aidait ou protégeait !

    La plume détachée de l’aile de l’oiseau, un duvet en fait, fragilisé par un parasite qui lui broutait la base, la fait choir au final sur le sol. Et ce sont les myriades de microorganismes de l’humus, les microbes, qui vivant dans cette humidité où nous irons tous, qui se repaissent de la nature. Prêts à entrer dans le concert vital de l’organisme qui les ingère, prêts à entrer dans le cercle de la matière et de l’énergie. Le moteur humus, l’usine où tout se recycle avant d’aller alimenter parasites, vers et oiseaux…Qui, proies pour d’autres ou nourritures, vont enrichir la table de mets, le milieu de pitance ou de débris…La vie continue malgré ses freins anonymes, en digérant les entités et leurs mémoires !

    J’ai vu sur un PPS, ces photos de la Terre où celle-ci ne représentent rien devant les gros astres du cosmos. Et j’ai imaginé ce que nous représentons comme espace, comme entités, pauci temporelles, parmi les choses créées, visibles ou pas, dans cet univers de super géants. Un univers superbe et admirable, terrible et incapacitant. Ce que tu es ? Cela se résume à un petit rien, fragile, voué à disparaitre ! Les classiques ont dû penser à cela, pendant des nuits, créant par là, l’astronomie, l’astrologie, la philosophie et les religions, pour temporiser leur naturelle angoisse ! J’apporte mon vin, et ma vanité, ces mots labiles, pour trinquer et réfléchir. Certainement pas la solution !

    Pantins, piteux et pitoyables, richement dégénérés, nous nous agitons dans un monde trivial, de plaisirs et de danses, sans cesser de forniquer, de voler et de corrompre, sans nous soucier de rien, hormis ce qu’on peut appeler nos illustres personnes ! « Monde dégénéré de pervers où les rebus sont des innocents ». Ce sont les mots d’un film que je tire pour vous et moi, à cet instant !

    Dr Idrissi My Ahmed, Kénitra, le 06 février 2010

    #274937

    En réponse à : Les personnalités d’Oujda

    mourad.oujdi
    Membre

    safi!
    c’est tout ce que vous avez, pauvre oujda!!
    vous pouvez pas citer des personnalités qui ont marqué oujda depuis 994 jusqu’à 1950
    alors courage!
    vous connaissez bien ce qu’on cite dans les livres « attarajom » biensur !??

    pour al magana, voilà un extrait d’un livre de Mr Abderrahmane ZENATI:

    « ….Abdallah Al Magana n’était pas seulement ce qu’à Oujda en entend par un « Goual »… Il était aussi musicien, une sorte de «cheikh », avec son « Galal » et sa « Gasba», instrument de musique en roseau typiquement algérienne… Il était aussi un conteur populaire très charmant, débordant d’imagination et un véritable mémorialiste ambulant.

    Bedonnant, bouffi, tantôt il portait un costume à l’européen, tantôt il déambulait dans une large gandoura ocre et une rezza jaune d’or… Abdallah Al Magana était très populaire auprès de la population locale. Pour vivre, il passait son temps dans la journée dans la halka et la soirée dans les bars à raconter des histoires rocambolesques aux Oujdis qui adorent les narrations.

    C’est connu, l’Oujdi passe sa vie dans les terrasses des cafés à parler de football, à écouter et à répéter les potins qu’il avait entendus. Chaque Oujdi, en fait, collabore, avec une habileté de romancier à l’histoire de la vie des autres. Les Oujdis continuent de se perdre leur temps dans les cafés, matin et soir. Le plus souvent ils restent assis à la terrasse regardant avidement les passants, ragotant sur les défauts et les qualités de chacun.

    Beaucoup passent encore leur vie à raconter leurs rêves avec verve, les considérants comme un bon ou mauvais présage… pour se mettre au courant des plus récents commérages, ils s’absentent de leur boutique ou leur bureau… Tous ceux qui ont vécu à Oujda, comprennent ce que je veux dire.

    Vivant conformément aux coutumes locales, Abdallah Al Magana reflétait traditions et tempérament propre à la région.

    il passait le plus claire de son temps dans une alternance de palabre et de léthargie avec un intérêt savoureux fondé sur la médisance, les dénigrements des ragots et de la calomnie.

    Commentateur inné, son discours était basé autour des départs et de retour des émigrés, des commentaires provocants sur les juifs et les relations entre marocains et algériens.

    Rien ne pouvait échapper à la curiosité dévorante de cet artiste. Il se décrivait lui-même comme un pure Oujdi, un vrai «fouinard » qui savait tout sur sa ville et sur ses concitoyens. Il connaissait les riches et les pauvres, les humbles et les arrogants, les honnêtes et les escrocs. Il était plein de sève et d’imagination. Ce qu’il ne savait pas sur la vie des autres, il pouvait aisément l’inventer et en nourrir ses interlocuteurs.

    Il m’avait raconté la saga de tous ces noms connus à Oujda : Sebti et l’histoire de sa richesse et de sont palais qui reste l’un des meilleurs édifices touristique de la ville. Le secret de la réussite financière des Scali, des Alj, des Ben Omar et des Moumni… la légende des Osman, dont l’un fut premier ministre du gouvernement marocain… l’histoire des Boulouiz, des Zouhir, des Boukarabila et des Hjirra… les exploits de Bekkay Lahbil, qui fut lui aussi premier ministre…Il me parla du Caïds El Mansouri, des Zaki… Il savait tout sur les pères de la révolution algérienne : Haddam, et Abrous, ces hommes dont les historiens algériens ne citent jamais le nom. Et dire que c’est eux qui ont « fabriqué » et l’indépendance de l’Algérie et Bouteflika lui-même… Abdallah Al Magana connaissait presque tous les juifs d’Oujda, leur passé… il m’avait appris des tas de faits sur Touboul, Aherfi, Benchetrite, Marciano, Benadiba, Aziza. Bref, il m’avait parlé de tous le monde : les Bel Hadj, les Houat, les Faraji, les Jabri, les Houar, les Dendane et les Ben Taj, les Bel Houcine, les Beramdane, les Khalloufi, les Ben Mimoun, les Oulads Lacaisse, les Ben Azzi et autre Boufous… Aucune personne n’avait de secret pour lui. Il en connaissait tous les tenants et les aboutissants, l’histoire de chacun et de la crasse qui s’y remuait.

    Raconter des histoires extravagantes et pleines de péripéties extraordinaires et invraisemblables était son fond de commerce, son moyen de vivre…

    Les Oujdis éprouvent beaucoup de tendresse pour lui. Il était présent à toutes les fêtes et réjouissances de la région. Il était pour les gens de l’Oriental un symbole de la culture… l’un des derniers mythes d’une certaine époque.

    Abdallah Al Magana, sans passer par une école, avait un esprit cultivé, raffiné, et en même temps d’une simplicité et d’une innocence presque puérile. C’était, dirais-je, un Oujdi dans le sens le plus noble du mot. Un des hommes les plus dignes de respect, un des hommes que j’ai toujours admiré et respecté.. ».

    #273687

    En réponse à : anciennes familles d’oujda

    mourad.oujdi
    Membre

    tu me fais rire, et en meme temps j’ai mal au coeur, un oujdi pur qui sait meme pas c’est quoi le gharnati!! waw, comme dit ma mere (mchaw nass oujda awlidi, hajroha, bqaw ghi 3ribban)

    sais-tu que le gharnati etait le seul style musical ecouté par les oujdis (les vrais) avant l’exode rural du 20eme siecle, à oujda cher ami, et tu peux le demander à un oujdi de souche, y avait ni 3laoui, ni rai, ni reggada;
    rai est venu d oran et des chioukhs de la region d oujda (3robia), reggada (c’est reggada et berkane), 3laoui c’est des regions aussi, donc arrete de dire que les anciens oujdis ecoutaient rai ou reggada;

    le gharnati est ancré dans la vie sociale des oujdi, en fait c’est heuresement une façon de faire une distinction entre les oujdis d’oujda et les …

    je demande à tous les oujdis de ce site, s’il vous plait, lisez un peu votre histoire, y a plein de livres sur notre ville, on est une ville raffinée, qui a su prendre de belles choses de ses voisins de fes de tlemcen et des turcs, s’il vous plait, laissez notre ville une ville citadine comme elle était depuis 1000 ans, ne melanger pas 3robi et oujdi horr!

    alors revise tes cours, le rai et les autre styles sont des styles recents à oujda, le gharnati est le plus ancien de ces styles, en plus c’est la musique des gens classe et citadins;

    #275036
    touria016
    Membre

    @rebel-touissit wrote:

    Vous avez tout les deux raison, d’ailleurs j’ai proposé la même solution sur le blog, à la fin de l’article, mais c’est dommage, je ne pourrai pas y assisté, je vie actuellement entre paris et boston…
    Je ne cherche pas à résoudre le problème de l’éducation au maroc… je cherche simplement a sensibilisé les habitants de touissit, qu’aux établissements scolaire, il y les profs les plus catastrophique de la planète… SOS !!

    Je sais que tu cherches pas à résoudre le problème de l’éducation au Maroc. Mais quand je parlais de ça, je voulais par là, qu’à travers ce problème de Touissit, on peut voir un exemple malheureux de ce qu’est l’éducation au Maroc.

    J’espère que les « toussitien(e)s » (je sais pas si on le dit comme ça..), seront nombreux(ses) à suivre le pas de ton action.
    Courage, ne baisse pas les bras. On finit toujours par faire des choses bien en se battant.

    Après tout, c’est quand le minimum que dont devraient bénéficier des jeunes dignes de ce nom, et qui ne demandent qu’à étudier dans des conditions décentes. PDT_Armataz_02_02

    #273415

    En réponse à : Santé et drogues ????

    Salah2006
    Membre

    ‘erreur médicale, un délit souvent difficile à prouver

    En cas de mort suspecte lors d’une intervention médicale, le procureur du Roi peut ordonner une autopsie.
    Sur la base d’un premier rapport du procureur, la police judiciaire dresse un procès-verbal pour décider si oui ou non le décès est le résultat d’une négligence.
    Les cas de médecins condamnés pour cause d’erreur médicale sont très rares au Maroc.

    L’affaire remonte au 22 octobre 2009. Wafae Asli, une jeune femme de 22 ans, cadre dans une société, est admise dans une clinique casablancaise pour subir une opération esthétique du nez. «Une intervention chirurgicale basique qui ne nécessite pas plus de 15 minutes», estime Radouane Rami, avocat au barreau de Casablanca, en charge du dossier. L’opération qui devait lui coûter 15 000 DH lui coûta la vie avant même qu’elle ait lieu, car le décès est survenu au moment de l’anesthésie.
    Pétrifiée par cette mort subite, la famille demande une enquête sur les vraies causes du décès et découvre avec effarement, une fois l’autopsie effectuée, que la mort serait due à une forte dose du produit anesthésique. C’est sur la base de ce premier rapport du médecin légiste que le procureur du Roi devra se saisir de l’affaire pour ouvrir une enquête. Mais ce n’est qu’à la mi-décembre, c’est-à-dire deux mois après le drame, que ce dernier adresse un écrit au tribunal de première instance de Casa-Anfa, arguant que la mort est le résultat d’une négligence en invoquant en même temps la responsabilité civile et pénale. Pourquoi tout ce retard pour saisir la justice ? «Nous attendions le résultat du rapport final que le service de médecine légale de Casablanca devrait établir. Hélas, aucune copie ne nous a été remise jusqu’à maintenant», explique Me Rami. La procédure veut effectivement que le procureur général ordonne une autopsie au service de la médecine légale pour déterminer les circonstances de la mort. Et c’est sur la base de son rapport que la police judiciaire dresse son PV. L’affaire Wafae Asli suit encore son cours. Aboutira-t-elle à la condamnation des responsables de cette «erreur médicale», ou supposée l’être ? C’est la question que se posent l’avocat et la famille de la défunte. Mais seul le juge peut trancher (voir encadré). Il faut dire que plusieurs affaires de ce genre (entraînant  la mort ou non du patient) ont été portées devant les tribunaux, mais les condamnations contre les accusés sont  très rares. Le cas de l’affaire Sakina Yakoubi est encore dans les mémoires.

    #274652
    stef2892
    Membre

    Je me permet ici de reproduire le texte d’une intervention d’Albert Ali, écrivain français patriote et muslman, intervention qui donne, à mon avis une des visions les plus juste sur ce qu’a été, est et sera l’Islam de France.
    Une vision ou nous avons tous notre place et c’est cela qui me plait.

    La France In Sha Allah ! Par Albert Ali, écrivain Français, patriote et musulman.

    Les minarets : des missiles sarrasins qui ne décolleront jamais ?
    J’entend tout le monde crier au scandale, une « réprobation unanime » selon Elkabach !
    De quoi parle t’on ? D’abord à travers ce référendum, nous observons de façon éclatante le fossé réel entre les opinons et sentiments refoulés des peuples européens et l’image médiatique que l’on donne de leur opinion.

    Décalages entre les sentiments réel et les prévisions des sondages, toujours prompt à nous rassurer que le multiculturalisme se porte bien et que les européens acceptent naturellement la diversité ethnico-religieuse, que les élites leur imposent depuis 40 ans.
    Nous oublions, que la présence musulmane récente en Europe et en France soulève des problématiques singulières et uniques.
    Qui ne relèvent pas de l’opinion ou de l‘intelligence, de la raison pure ou du débat politique, la présence musulmane engendrée par une immigration massive et unique dans l histoire de France, soulèvent plus que des débats de société, elles mettent en jeu une modèle de société qui peux précipiter la France dans le chaos !
    Pour la France par exemple, on oublie que l’identité française s’est en partie construite en opposition à ce que représente, pour résumer je dirais « les mahométans » depuis 732 !
    De Poitier aux croisades, de la Reconquista franco-espagnole à la littérature coloniale, de la guerre d’Algérie aux émeutes des banlieues, l’imagerie dominante et volontairement fabriquée par les élites du moment, reste fondée sur une opposition entre ces deux univers : hier la France fille aînée de l’Eglise et l’univers musulman « oriental », aujourd’hui la France mère de la laïcité face à un islam rétrograde et prosélyte.

    Ce qui signifie qu’un référendum de ce type donnerait les mêmes résultats partout en Europe et encore plus en France ou il frôlerait j’en suis persuadé – parce que je voterais aussi contre les minarets – au moins 70 % !
    Tout simplement parce que la visibilité musulmane dérange, et là je vais décevoir bon nombre de mes amis et frères issus de l’exil méditerranéen, je suis intimement convaincu qu’elle dérange à juste titre !
    Je sais certains vont me dire, « on est chez nous, on est chez nous ! », que la liberté de culte est garantie etc.
    Ce discours majoritaire chez les musulmans, est fondé sur la croyance que l’appartenance citoyenne, nous garanti la pérennité de notre existence sur le sol national !
    Que l’égalité de droit proclamée, doit être appliquée sans concessions, d’autant plus que le passé colonial de la France et l’exploitation de l’immigration, sont des facteurs aggravants pour l’Etat, qui devrait se repentir, sortir son mouchoir et accessoirement son chéquiers et faire amende honorable parce qu’il est foncièrement mauvais et injuste par nature, son racisme est systémique et nous sommes opprimés !
    Misère quelle naïveté !
    IL n’y a pas plus candeur délirante que croire qu’il suffit de dire « je suis français » et que par magie, tous les droits nous seraient dûs !

    Je pense que le vote suisse est le révélateur du fossé existant entre ce que les populations européennes et particulièrement françaises refoulent depuis 40 ans et l’image générale de tolérance et d’ hymne au multiculturalisme relayée par nos élites médiatico-politique.
    Quand on fait un peu d’empathie et je fais cela depuis des années, on est effaré de voir les Français en particulier et les européens en général enfermés dans un tel mutisme .
    Se prendre dans la tronche un tel déferlement de vagues migratoires incontrôlées, subir dans le silence la substitution ethnique dans certains quartiers, vivre avec un niveau de violence inouïe dans les parties populaires des grandes villes et ne pouvoir rien dire ?
    La solution en attendant la Saint Barthélemy c’est de se soulager dans les urnes !

    Voila ce que mes compatriotes, de confession plus ou moins musulmane – disons les enfants de l’immigration post coloniale – je ne sais pas d’ailleurs comment les définir, ils ont une identité multiforme et fragilisée, ne comprennent pas.
    Les détenteurs des papiers français, pourrais je dire, ne nient pas leur appartenance nationale, mais souhaitent aussi se définir par les fragments de culture et de traditions héritées de nos pères.
    « Je suis français, et aussi algérien ou marocain, mais pourtant banlieusard et surtout musulman aussi n’oublions pas ! »
    Mazette ! Quel couscous !
    La clef pour comprendre ce symptôme qu’est le refus des minarets, réside avant tout dans la définition de notre appartenance.
    Tant que nous ne nous n’aurons pas défini notre appartenance en termes clairs, le doute et la suspicion, les inconscients historiques refoulés et les représentations médiatiques, engendreront l’incrédulité des autochtones face à nos slogans pseudo citoyens et les manifestations extérieures d’islamité.

    Un minaret représente dans l’inconscient collectif des peuples européens autochtones un missile sarrasin, qui n’a pas encore décollé !
    Cela nous ne pourrons jamais le modifier avec des slogans sur « nos droits », parce que simplement, 1300 ans d’histoire qui ont accouché de ce sentiment, légitimement répandu dans toutes les couches de la population.
    Ce n’est pas en invoquant des slogans sur nos prétendus droits et notre prétendue francité, que par magie l’islam et ses pratiquants seront accepté et mieux encore les multiples communautés immigrées venues du sud et leurs enfants nés en Gaulle.

    Le véritable défi – le temps presse dans 10 ans il sera trop tard – est d’ancrer le noyau irréductible de l’islam en tant que spiritualité et théologie réformée et revivifiée, au sein des terroirs français .

    Il s’agit de programmer volontairement et intelligemment – c’est à dire hors de tout sentimentalisme – l’acculturation volontaire de nos enfants pour en faire des français à la culture et aux traditions franchouillardes semblables au sein des générations suivantes.
    Avec comme affirmation culturelle dominante majoritaire, la culture française et ses attributs essentiels, langue raffinée, relation charnelle à la terre, maîtrise des concepts et raisonnements issus de l’histoire intellectuelle du pays, volonté affirmée d’un avenir commun, patriotisme sincère, les autres attributs liés à la mémoire historiques ou à la religion historique étant hors de portée.
    En sommes des franchouillards, chtis, bourguignons, marseillais et bretons, musulmans qui assumeront pleinement leur francité et la relation charnelle sincère avec les terroirs ou ils vivent !

    Débarrassés des résidus de cultures immigrées, qui par définition sont déracinées donc vouées à s’appauvrir, nos enfants, les musulmans de France de demain – c’est à dire dès le 1er janvier 2010 – seront l’avant-garde patriotique porteuse de valeurs universelles.

    Ils deviendront les nouveaux hussards, symbolisant non plus le ghetto, la culture urbaine appauvrie, le rap bling bling voué à l’enfer de Skyrock, le culte du fric et des poufiasses, l‘insulte au drapeau français érigée comme modèle d’expression, mais désormais les chevaliers reflétant, la droiture, le courage, le travail, la spiritualité, la famille, l’entreprenariat, le respect, le service, l’érudition, la langue de Molière.

    Bien entendu leurs mosquées ressembleront comme pour les chinois chrétiens et musulmans à des lieux de cultes français. C’est-à-dire sans minaret ni coupole, sans faïence du bled ni tapis d’orient !
    Mais des édifices inspirés des traditions de construction issus des terroirs, perpétuées par les compagnons, avec du granite du Morvan en Bourgogne, ou des toits ardoisés en pays angevins, sans oublier la brique rouge des Flandres à Lille.
    Pourquoi pas même des arcs et des plafonds inspirés des arts architecturaux de l’Eglise millénaire ?
    Mieux encore, nos maisons d’Allah, seront baptisées par des noms de l’histoire de France.
    Près de chez moi une mosquée– usine réhabilitée – dirigée par un jeune musulman s’appelle déjà : Mosquée Eva de Vitray !
    Cet enracinement des musulmans et de l’islam est la condition sine qua non pour éviter le clash des civilisations que les ennemis de la France, collabos de l’Empire mondialiste souhaitent. Mais aussi la voie ultime pour ressusciter les traditions et les identités charnelles de nos terroirs oû nous résidons, seuls éléments de résistance opératoires face au seul et unique ennemi des peuples.

    Non pas le colonialisme révolu, encore moi le racisme ou le refus à l’emploi mais le mondialisme destructeur des identités fortes, des peuples et des frontières, dont nos pères et nous même sommes les jouets inconscients et la potentielle 5ème colonne pour un Kosovo dans le 9-3 !

    Albert Ali,écrivain Français, patriote et musulman.

    #206287

    Sujet: kyukushinkai

    dans le forum Sport
    djal
    Membre

    J’ai lu précédemment dans le journal OujdaCity qu’il y a des clubs de kyukushinkai à Oujda donc pour découvrir ce sport, cet art martial et comme les oujdis sont de vrais guerriers, admirez!!!

    [youtube:34prjs2i]http://www.youtube.com/watch?v=ouXJbi5ty88[/youtube:34prjs2i]

15 réponses de 211 à 225 (sur un total de 693)
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