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J’ai trouvé cet article sur nôtre journal, et qui s’intitule « La délégation d’Oujda et le manque de professeurs ».http://www.oujdacity.net/regional-article-18182-fr.html
[La Délégation d’Oujda accuse un manque aigu de professeurs du cycle qualifiant. Surtout de professeurs de français. Pour pallier à ce manque, elle recourt aux services des professeurs du cycle collégial et des professeurs du primaire. Bientôt elle va épuiser toutes ses ressources qui sont d’ailleurs très maigres et s’orientera probablement vers les éducateurs et éducatrices des crèches et garderies de la ville pour suppléer à cet état de manque. Le but de la délégation est de couvrir le manque, boucher les trous, colmater les lézardes, mastiquer les joints, maquiller les vices, cacher les torts, peu importe pour elle la qualité de l’enseignement, son efficacité, l’avenir des élèves, leur préparation à l’examen de fin d’année… Son but ultime est de faire en sorte que cela ne se ressente pas, ne se voie pas, ne fasse pas problème. En allant faire sa quête dans les collèges et les écoles en professeurs non préparés à exercer dans le cycle qualifiant, la délégation montre de la manière la plus vilaine, qu’elle ne se préoccupe nullement de résoudre de manière pédagogique le problème du manque des professeurs, mais d’éviter de déclencher le mécontentement des élèves et les protestations de l’Association de leurs parents, si toutefois cette dernière a encore une voix pour protester. La dernière opération de -la délégation en matière de rafistolage est la nomination d’un professeur du cycle collégial appelée en renfort depuis le collège de Naïma pour venir remplacer un professeur du cycle qualifiant à Oued Eddahab. Considérée de loin, cette façon de faire s’inscrit dans le cadre du redéploiement des professeurs, vue de près, il ne s’agit là que d’un regroupement familial à peine déguisé. Le professeur en question a repris ses fonctions à Oued Eddahab. De manière administrative, les élèves ont un professeur physique, matériel, en chair et en os. Ils n’ont donc aucune raison de se plaindre, ni eux ni leurs parents. De manière pédagogique, seuls les jours à venir vont dire si le professeur en question a été nommée à ce poste dans le cadre du redéploiement ou pour des raisons de regroupement familial, quoique les faits laissent pencher pour le second membre de l’alternative. Une chose est certaine : ce professeur n’est pas préparée pour prendre en charge l’avenir des élèves des classes du cycle qualifiant. Le rôle de l’inspecteur est primordial car il y va de l’avenir de nos enfants.
Si l’expérience de faire appel à des professeurs non habilités à exercer dans le cycle qualifiant réussit, la délégation d’Oujda élargira encore son champ d’action en allant se ravitailler en personnel enseignant, comme je l’ai dit en amont, dans les crèches et garderies de la ville. Or l’expérience n’est pas conçue pour échouer mais pour réussir et elle réussit pour la délégation qui sait à la fois calmer les esprits grognons et satisfaire le clientélisme et le népotisme qui animent ses actes et prises de décision. ]
Ma question s’adresse à vous tous, et en particulier à un oujdinaute enseignant, à savoir nôtre ami, Houmidi :
-que pensez-vous de ce phénomène?
–pourquoi doit-on faire face à une telle pénurie de professeurs et dans des matières aussi importantes que le français?
–comment d’après vous peut-on arriver à palier ce manque pour éviter que la formation des étudiants oujdis ne tourne au cauchemard?Un style musical tres noble et unique, qui a gardé ses racines a Oujda jusqu a mnt,,, generation apres generation,,
C’est la musique arabo-andalouse. C’est une pure création culturelle. Elle se résout et se dissout dans l’histoire, dans les belles lettres, dans la civilisation de tout le Maghreb. C’est toute sa structure qui remonte très loin dans l’histoire.
La musiqua abdalousiyya (Gharnatie), comme son nom l’indique est considérée comme un héritage arabe existant au Maghreb ; cette musique s’est organisée progressivement au début du siècle passé et la ville d’Oujda était tenue, à cette époque, pour le berceau de cette expression artistique puisque le professeur Mohammed Ben Samïl fonda alors (en 1921) en compagnie de Si Rahal Mohammed, la société de musique de chambre l’Andaloussia ou Al-Jam’iyya al-andalusiyya, première association du genre au Maroc.
Essentiellement mélodique et modale, la musique gharnathie(de Grenade) conserve une tradition orale, authentique.

L’Association Oujdie: ( AL-ANDALOUSIA ) en 1934…….
La musique gharnatie est une musique traditionnelle louant tes vertus de
l’amour, de la nature et de Dieu. Elle fut créée aux derniers siècles de
l’Andalousie musulmane. »il existe mnt a Oujda une Association Culturelle De La Musique Gharnatie , orchestre par Nassredine Chaabane le fils de Le Cheikh Mohamed Salah Chaabane

Le Cheikh Mohamed Salah Chaabane est né à Oujda en 1911.Très jeune, il fréquenta le monde de la musique traditionnelle dans différentes villes du Royaume (Taza, Fès, Rabat) ainsi qu’en Algérie (Tlemcen, Oran …).Son mariage avec la cousine de Abdelkrim Dali et Larbi Benasri, tous deux grands maîtres de musique gharnatie, va lui permettre un échange permanent avec différent cheikh algériens.
Reconnu par ses pairs, il reçut à son tour le titre de cheikh et entreprit la transmission de cet art traditionnel. Il forma plusieurs générations de musiciens et interprètes. Il excella dans un style qui lui était propre dit le « gharbi » ou le « malhoun oujdi ». Ses nombreuses compositions sont aujourd’hui méconnues du grand public aussi notre association tentera-t-elle de les faire découvrir prochainement.
Cheikh Salah et décédé en 1973 laissant à ses enfants la lourde charge de transmettre un patrimoine précieux. C’est ainsi que Si Mohamed et Nassreddine Chaabane ont pris le flambeau.
En restant fidèle à la mémoire de son père, Nessreddine Chaabane, prend en charge des élèves de plus en plus jeunes, créant une pépinière de laquelle émergeront peut-être les maîtres de demain.
1969 – Cheikh Salah en compagnie des grands maîtres de la musique
Gharnatie d’Oujda
Cheikh BOUCHNAK Benyounes / Cheikh KERZAZI Brahim / Cheikh HACHAMI / ZEMMOURI /
CHADLI / BENATTIA / CHAABANE Sidi Mohamed au piano et dans la 3ème rangée de bas
en haut, le 4ème à partir de la gauche : OUSTAD Nasreddine CHAABANE
Tantaoui(5ème de dr.à g./premier rang) et son association « Mawssiliyya » dans les jardins de Bab El-Gharbi,derrière les remparts mérinides/juin 2008

C’est une autre génération de l’association SALAM(paix).Les pères avaient fondé l’association en 1946:Cheikh Brahim Kerzazi…Werrad Boumdine…..Zerhouni….Zemmouri…Mehdi….Bouchnaq….Ben-Atiyya…Hachami…..Cheikh Saleh Chaâbane…Ghouti Achachi…Alaoui et autres.Et voilà le tour des fils ou petits-fils/juin 2008
Hakiki de Tlemcen/Oran à Oujda/juin 2008
Violoncelle, grand instrument de musique de tessiture basse de la famille du violon, tenu entre les genoux du violoncelliste. Il a quatre cordes accordées selon le schéma do sol ré la (do = deux octaves en dessous du do naturel ; la = la en dessous du do naturel). Sa tessiture s’étend sur plus de quatre octaves. Les deux violoncelles les plus anciens qui existent datent des années 1560 et furent fabriqués par le luthier italien Andrea Amati. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, le violoncelle était d’abord un instrument d’accompagnement qui jouait les lignes de basse et remplissait des structures musicales

a suivre…
