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15 réponses de 106 à 120 (sur un total de 1,162)
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  • #279052
    dolph
    Membre

    ils sont tous les deux d’origine algérienne , c’est triste de voir ca sur une piste.

    #206892
    mounavri
    Membre

    [youtube:3prj4ip9]http://www.youtube.com/watch?v=WT0OjcfoP4U&feature=related[/youtube:3prj4ip9]

    Suite au comportement inqualifiable de Mehdi Baala(origine :Algérie) et Mahieddine Mekhissi Benabbad (origine : Algérie), vendredi soir lors du meeting Herculis de Monaco, Bernard Amsalem, président de la Fédération française d’athlétisme, a décidé, ce jour, de saisir en urgence la commission disciplinaire de la FFA afin de faire toute la lumière sur cet incident et prendre les mesures qui s’imposent », explique la FFA dans un communiqué.

    Cette commission se réunira en urgence et au plus tôt sous 8 jours, précise la Fédération, qui explique qu’en attendant, « le bureau fédéral conformément aux règlements généraux a décidé d’une suspension provisoire des deux athlètes »

    Les deux Français, Mehdi Baala et Mahiedine Mekhissi seront, par ailleurs, privés de toutes primes financières qu’ils devaient toucher pour leur apparition dans la Principauté, a indiqué samedi le directeur du meeting.

    NB : les 2 athlètes ont la nationalité française et courent pour le drapeau tricolore.

    DR IDRISSI MY AHMED
    Participant

    TME SELLAM, T’ES OÙ MAINTENANT POUR VOTER ? EN DÉRIVE SUR UNE PATÈRE ?

    Les fils d’Oujda, de Nador, d’Al Hoceima, de Tétouan et de Tanger sont à deux pas de l’Europe. Ils tirent le Maroc vers le haut et l’Afrique avec ! Qui a écrit pour eux ? Bien des livres en fait. Mais qui songe à leurs morts ? Ce texte est dédié à l’un d’eux, Ba Sellam, qui ne pourra pas voter.

    On a écrit pour les empereurs et les princes, Machiavel, les économistes et les banquiers. Salut DSK, Ferry ! On a écrit pour les prêtres et les ministres et les communistes. Sacrés rêveurs, éternels incompris ! On a écrit pour les techniciens les médecins, les chimistes les ingénieurs et les scientifique de tous bords ! Le monde s’est enrichi de connaissances encyclopédiques qui défient tout humanisme d’exister ! Mais on apprend peu à gérer ses connaissances et à communiquer! Le savoir n’est pas le caractère ni la personnalité. Le savoir devient pouvoir et autorise rarement à communiquer ses secrets ! A moins qu’il ne les utilise pour vendre, acheter les consciences et dominer.

    La connaissance, la technique, le savoir faire deviennent ressources, commerçables aussi. A raison, certes, pour rester maître des choses, des gens et des lieux. L’accès des pays pauvres et des familles pauvres est bloqué. Les pays attardés, ayant quelques richesses exploitables en font les frais. Leurs avancées homéopathiques et en différée, se font donnant donnant, et jamais fifty fifty. Si la mondialisation donne des ailes à certains elle enlève les plumes aux autres. Ouvrant les issues aux premiers elle emprisonne les autres. Autrui est un danger ostracisé, pour sa couleur, sa religion, sa langue, ses misères son inculture !

    Ceux du Sud n’ont pas ou peu accès au Nord. Sinon dans les rêves et quelques satellites ! Voire aux rares besoins des guerres, des mines et autres travaux pénibles ! Seulement, la tentation persiste. Encore que les langues et les moyens d’accès, les langues restent pour la majorité, un frein. L’inconnu défie subjugue et repousse à la fois ! La télé, l’internet, les universités et leurs facultés ne s’ouvrent pas aux premiers venus ! Non seulement il faut bien parler la langue, ce qui est naturel, avoir les moyens ce qui est normal, mais aussi passer des concours, fortement sélectifs et discriminatoires, qui ne s’ouvrent qu’avec un quota, hyper restreint. D’où le caractère inouï de certains profs qui en reviennent. Leur morbide jalousie à s’ouvrir et communiquer avec les ‘’illettrés’’ qu’on leur confie, à leur retour ici ! Il faut croire et bien croire pour ne pas se leurrer. Un être qui communique mal, un malade, seul et/ou pauvre est incompris.

    Tu es revenu d’Allemagne, le Rifain ! Que te sert-il alors de voyager ? De savoir, de travailler, ô toi, l’Émigré ?! Tu es venu hier et aussitôt, une crise, on te transporte alors en clinique. Toujours en retard chez nous ! Celle–ci t’évacue ! Emmenez-le chez lui ! Mort ! Tu te savais malade, tu es venu faire tes adieux à ton pays, et prendre le bout de terre, qui te revient et auquel on te destine. Aujourd’hui, ou demain, parce que la morgue n’est pas ouvrable le dimanche et que les tiens ne sont pas encore arrivés au pays pour t’enterrer !

    Tu as élevé tes enfants, construit une maison, une petite fortune sinon quelques économies…une dote pour les vieux jours, un pneu de secours pour tes enfants. Voisin, tu as une résidence secondaire que tu loues en partie ! Gardiennage et rapports à la fois ! Je ne t’ai pas vu depuis un an ! Tu revenais de chez l’épicier ou de la mosquita voisine, on s’était salués ! Aujourd’hui, j’ai même oublié ton nom, Sellam !

    De quoi te rappelles-tu ? En dehors du corps délaissé, est-ce que nous aperçois maintenant de là où tu reposes ? De quoi te rappelles-tu ? De tes ultimes douleurs, de tes difficultés de vivre, de tes printemps ? Que reste-il comme joies de tes amours, comme parfums de ton bonheur ? Que reste-il de cette vigne que tu as plantée ? De ton figuier ? Cet arbre mitoyen dont je partage, les branches et le feuillage, les moustiques, les guêpes, les feuilles mortes et parfois quelques fruits ? Que reste-t-il de ton corps que la médecine allemande a été incapable d’en prolonger la vie ? Que reste-t-il du propriétaire, du gérant ou du porteur-porté, du conducteur de ce robot que fut ton corps et que l’on va enterrer !

    Une mémoire, un esprit une âme si ce n’est pas trop dire ? Veux-tu que l’on parle de ces trois réalités virtuelles ? Contrairement à l’agnostique qui me réfutera, pour parler de choses que je ne vois pas et dont il nie l’existence, je vais tenter de t‘en parler, même si tu ne m’entends plus, ou plutôt même si je ne te voies pas ! je ne parlerais pas du corps, qui dédié à la tombe, va rejoindre le chaudron de mère nature. Il alimentera, malgré soi, ou rendra au milieu ce qu’il a pris ou emprunté pour se conforter. Des vagues de virus et de microbes incorporés, des bataillons de larves et d’insectes y élèveront leurs progénitures qui iront le nettoyer…Curieux qu’il en reste des os !

    Comme je ne parlerais pas des feuilles mortes, que l’on ramasse du jardin et que vous êtes supposé enlever des rues pour qu’elles ne bouchent pas les égouts, monsieur le Président de la municipale de la ville de Kénitra ! Et vos savez que ça pue maintenant, notre ville ! Ça pue on suffoque ! Les pestilences scatologiques donnent la nausée à ses résidents et font détester la ville et ses régisseurs ! Je ne parle pas des corrompus. Je parle des rues et avenues sensu stricto. Je parle de l’atmosphère devenue irrespirable !

    Qu’est-ce qu’il y a de bien ici, pour délaisser l’Europe, l’Allemagne de Merkel, et venir y habiter ? Les racines, la proximité, une cure de nostalgie ? La vie facile ? La beauté de la ville, le climat ? Façon de parler, quand je fais allusion à notre pauvre ville ! Que serions-nous de plus que des feuilles ? Réduits à un corps en train de se déliter ? Nous sommes des composés chimiques, des éléments, capables de contribuer à reconstruire, ailleurs, des éléments sur un autre corps, des parties, ou de les remodeler et de les maintenir. Du consommable, inconsolable ! Les insectes qui vivent de ces ultimes composants et qui décomposent ces feuilles le savent-ils avant de faire à leur tour, un tour, dans les intestins des oiseaux et des bêtes qui les happent et les croquent ? Tout se recycle ou presque ! Et le hasard de la composition du milieu avec ses substances et ses êtres feront le reste. On nettoie ici dans cette vie. C’est une fonction des divers cycles vitaux de faire passer les éléments d’une classe à une autre, entre le milieu et les êtres vivants.

    Heureux qu’on enterre les morts des humains, monsieur le Président, vous qui n’arrivez pas à supprimer les nuisances ! Mais, il reste de cadavre de chat dont je vous ai parlé. Morts écrasé, à l’angle de deux artères, par un automobiliste aveugle ? Il est devenu plat on n’y reconnait à peine que la peau, assombrie et tannée par les pneus ! Le hic est que lorsque ce cadavre puait, personne n’est descendu de sa quate-quate pour le mettre dans un coin, question de pudeur, de morale, de culture ou de simple respect de la vie…Enfin, celle qu’il a perdue. Moi le premier qui vous en parle. Notre incivisme révélé par un chat. Mais ce n’est pas moi la Municipalité ni ses pouvoirs et service concédés ! Comme le dirait n’importe quel citoyen, qu’on ne respecte pas, même s’il paie des impôts !

    Et puis la municipalité n’habite pas ici ! Avez-vous dans votre des trous et des reliefs inutiles qui cassent les chaussées et les trottoirs comblés, qui repoussent les piétons sur le macadam ? Pour avoir sa place sur le trottoir, il faut être une pute, sauf leur respect, ou s’assoir au café pour scanner les gens ! Incroyable délaissement qui fait regretter à certains les colons d’autan. Ceux-là, tous secteurs confondus, ne savent pas faire leur boulot. Sans aucune marque de civilité ni de citoyenneté agissante, (pléonasme!), la ville devient, féroce, stupide, coléreuse, sale, inculte, incohérente, sans alternative de plaisance d’endroits de détente. Trottoirs et trous sont entre autres, les raisons des injures et des imprécations des électeurs. Et la ville, sa communauté est une patrie à sa façon. La désorienter et la décevoir, c’est dépiter et démotiver la communauté entière et ses électeurs, en faisant perdre sans recours des points au patriotisme comme aux partis politique et aux représentants de l’Etat ! Les trottoirs et les rues, c’est le cœur et la circulation de cet organisme urbain. Ne pas les soigner c’est faire porter l’irrespect et les injures aux régisseurs, toutes les parties confondues ! Vitrines de l’état, ce sont des marques de sous développement qui collent aux crânes des élites !

    Tu vois, le Chat et toi mon Voisin, morts ou vifs, vos corps, vos vies, n’auront servi à rien ! Ton corps n’aura servi à rien. Impropre même pour une greffe ! Ton corps n’aura surtout profité de rien ! Même d’un lieu hypothétique de détente ou de rencontre : une ville, un village que tu mérites et apprécie, après ton retour d’exil économique en Allemagne ! Je ne dis pas aimer ? Car personne n’aime cette ville. On a décomposé ce risque, il devient désuet et anachronique ! Et pire encore ce pays…Si ce n’était pour plaire au Roi, qui en cette période de printemps des pouvoir rencontre encore de l’admiration et force respect !

    Oui, je voulais parler de la chute des feuilles, du gouvernement, des partis, du parlement qui ont déconsidéré cette représentation et cette profession ! Je voulais parler des feuilles et de leur utile décomposition. Pas des sénateurs ! Ce ne sont pas des déchets les feuilles mortes, mais des composants élémentaires. Ce sont des décrets chimiques et physiques, climatiques et biologiques, qui décident de leur sort.

    Il en est de même des insectes, des moisissures et des micro-organismes qui s’en repaissent pour recycler leur corps et se multiplier. Ça, c’est la feuille de figuier, Voisin, qu’en est-il de ton corps maintenant. On ne va pas en parler. Ça ne te servirait à rien. A moins que tu ne m’entendes! Mais tu ne saurais me donner des conseils : je n’entends rien aux voix zombies de l’au-delà !

    Nous parlerons mémoire, sauf que la mienne c’est quasi fini, je ne retiens presque plus rien. La tienne c’est fini, je pense. Elle n’existe plus elle est anéantie. Celles de tes enfants, de tes voisins, de tes collègues, s’épuisent, comme un stylo chinois. Tu vivras cependant, en dehors de ton corps, dans l’intervalle de leur propre vie ! Un petit créneau, qui se souviendra même peu et rarement, de toi. Comme en souvenir de quelques bons gestes dont tu les aurais marqués…Quelques actions qui les auront concernés, intéressés ou irrités ! Tu vivras comme un souvenir dans ce qu’il leur restera eux-mêmes comme mémoire.

    Le but ce n’est pas de manger, Voisin. Même s’il est difficile, ce n’est qu’un moyen pour vivre. Le but de travailler est de gagner sa vie. Le but n’est pas de ramasser de l’argent; mais de l’utiliser. Ces constations primaires semblent renversées, paradoxales et contraires à ce qui est admis couramment. L’existence, ses valeurs, son but sont également inconnus. Elle est belle cette question. Je n’y ai jamais songé de ton vivant ! Questions qui demeurent sans réponses ni raisons cartésiennes! Je ne parle pas des réponses métaphysiques et religions. Elles sont ce qu’elles sont. On les avalise, quand on le sait, ou on les réfute, pour rester dans le questionnement. Oui, à quoi sert la vie, ici bas, sur cette terre ! Sur cette planète, dans ce pays, dans cette ville ! Avez-vous songé ou espérer vivre ailleurs ?

    Ailleurs, c’est le paradis. L’Eden que tu as cherché, TME, en allant en Europe, en, resquillant, en squattant, quitte à te noyer dans les eaux du Détroit ! Le Styx et l’Achéron des Olympiens, c’est notre Détroit de Gibraltar ! C’est mieux encore dans au-delà. L’Amérique, les States, le Canada. C’est l’indélébile idéal, l’éden espéré, dont nous formatent les livres, et les crédos fictifs, les dires et les radios. Tous sont d’accord qu’il fait mal vivre ici et qu’il faut quitter la misère et ces gens. Qu’il faut aller ailleurs à la source, aux pays des seigneurs, dans les anciennes métropoles des protecteurs et des conquérants. Exil économique, diaspora religieuse, appel surnaturel ou pour faire comme le voisin, qui est revenu fortune faite, ‘’plein de ressources et de raisons’’ !

    Vivre autrement, ailleurs ! Vivre autrement que la vie, elle-même, une autre option ! Criblée de peines et de maladies, d’indigences indécentes, qui rendent l’être inapte, infirme, impuissant, déstructuré, en perte de valeurs propres et d’image de soi, en dépression de sa propre valeur et de sa fierté devant soi! Autrement que dans ce pays, cette ville, ce globe !

    Vie et globe, extraordinaires rencontres, vies fantastiques, miracles qu’est la vie ! Et encore, on n’y a rien compris ! Au fur et à mesure l’homme dépasse son indigence ! L’homme ouvre les yeux et son intelligence se développe en faisant des progrès de jour en jour plus insolents ! L’homme reste inquiet dans ses faiblesses et son questionnement. Qu’est-ce qui maintient la vie, la crée, la menace et y met fin ? Comment et pourquoi ? Et à quelle fin tout cela ? Cette admirable éprouvette qui tournoie à une vitesse folle, et qui vogue avec son soleil dans un univers étoilé, qui s’étend sans fin…Bien sûr, ce n’est pas demain que les secrets nous seront livrés ou conquis. On partira nombreux avant et on restera sur notre faim. A moins que redevenus, des âmes, tout nous sera révélé, tout nous sera plus clair et transparent !

    Bien sûr je ne disserterais pas sur l’esprit ni sur l’âme ! Mais je me prends à penser que la mémoire, la vie, (qui restent sous la dépendance et le génie de la génétique) pourraient être en relation avec ce qu’on nomme ‘’l’esprit’’. Une synthèse, une commande chez l’homme, empreinte de ‘’conscience de soi’’, une entité, pour tout dire, qui se confond avec la personnalité, l’individu, le ‘’moi’’. L’esprit, quoique illisible et invisible, serait une émanation de quelque chose de plus éthéré et d’increvable, d’individuel mais de plus eternel, l’âme. Qui s’apparente le plus avec le vrai responsable de nous même ! Le réel moteur de la chose robotique, animale et minérale, l’homme !

    Et c’est ton esprit labile, qui fait fonctionner cette vie animale terrestre. L’esprit s’en détache à la mort. On se demande comment il colle ! L’esprit s’échappe, une fois que la mort survient. Alors, sans cette force de cohésion, l’ensemble de la commande de ce super organisme se désagrège. L’ensemble de cette immense construction de cellules, biologique et interactif, qu’est l’être vivant, s’arrête de fonctionner, cœur et cerveau, libérant tout ce qui le soude et se scinde. Tout ce qui est physique et chimique automatique chez le robot pensant, qui une fois né (et dès sa conception en fait), se répare seul, à force de consommer ce qui pousse et qui bouge, et de communiquer intimement, avec ce qu’il respire et ingère.
    C’est cette mémoire invisible, vitale, qui maintient la cohésion de l’être. Être toujours faible devant les contraintes physiques et sociales du milieu, ses nécessités vitales et individuelles. Être toujours faible devant les éléments extérieurs et ses propres structures. Celles qui composent son organisme et qui dictent ses besoins. Il est toujours faible devant ses institutions, ses instincts, sa culture, sa morale, ses nécessités et ses errements. C’est cet esprit, partie de cette âme, sa mémoire de soi-même, qui au final sera responsable de ce qu’il commet, et comment ses peurs, ses faibles libertés auront une influence sur sa vie, ses devoirs, ses droits et sur autrui.

    Vie sociale, morale, libertés, droits et démocratie, implication dans la politique-fiction, athéisme ou agnosticisme, adhésion à la religion autant de paramètres moteurs pour structurer la personne et l’enraciner dans ses convictions identitaires. Des fondamentalismes rigides aux extrémismes les plus outrés, les conditionnements dogmatiques des gouvernements et de leurs églises, interfèrent avec rigueur et sous pression pour former, diriger, planifier, moduler la bête et l’esclave. Finalement le but revient à stériliser l’individu et le formater selon un moule préconçu, adapté. Les états et les églises par la culture véhiculée dans les programmes ou prégnante dans les us et coutumes du milieu, asservissent et avilissent les personnes qu’ils sont sensés diriger et encadrer.

    Les enfants gâtés, les impénitents et les brebis galeuses vont à l’hôpital ou en prison, pour refaire leur coulage dans des moules adaptés aux normes en vigueur. Ainsi nous sommes responsables de ce que nous n’avons pas fait ! Nous-mêmes ! Notre biologie, nos instincts et notre personnalité ! L’éducation au sens large, la morale, la politesse, sont les premières constitutions qui établissent nos limites et nos droits. Ils établissent nos référentiels irrédentistes, creusent nos crédos persuasifs et les gravent pour plonger nos racines dans un continuum communautaire qui ne pardonne ni critique ni faille, encore moins la traitrise ou la félonie ! Si les laïcs et les athées se détachent librement de ces reliques et de ces contraintes religieuses et marques mystiques, dans certains pays du moins, ce n’est pas le cas pour les pays traditionalistes. C’est à croire que ce serait une marque de progrès de modernité et d’évolution que de se délester des croyances religieuses. Ou vice versa !

    C’est une impression sans certitude ni aval pour ma part. Seulement les laïcs respectent une autre morale. Celle de la dignité indue et du respect d’autrui, qui ne vont pas sans implications humanitaires, universelles. Une morale du ‘’bien gratuit’’, qui n’a pas besoin de la sanction d’un dieu ni d’une église ou de leur appréhension pour faire du bien. La charité, la solidarité n’ont pas besoin de credo pour humaniser la société. Ce n’est pas général et c’est discutable pour qui veut. Si les athées et les laïcs se détachent de la morale livresque ou biblique, c’est une évolution et un progrès à leur sens, sans doute. Cette liberté que l’individu s’octroie concède la même ampleur de libertés à autrui.

    Cette force morale spontanée est démocratique et égalitaire. Elle opère sans les contraintes des establishments religieux, des temples, des églises, des imams ou des ayatollahs. Elle est contraire le contraire du forcing des religieux. Les promesses ou les peurs des dieux, sont utilisées par les ecclésiastes, pour assoir leur pouvoir sur les fidèles assujettis et autres serviles zélateurs. L’institution religieuse persiste pour son propre compte, sa raison d’être, l’homme passe au second plan. La cause initiale est oubliée. Le pouvoir où végètent et s’enkystent les religieux, cloisonne les gens pour les maintenir comme les obligés pudiques et peureux, privés de libertés, brimés, astreints à la morale (policière). Une sorte d’inquisition en fait !

    Équation inégalitaire, perdue de vue dans l’histoire. Anachronique même, mais qui de nos jours se pratique, ici ou là, sans pudeur et sans freins. Comme si le bon dieu de la trinité ou les autres étaient différents. Les détenteurs des pouvoirs religieux se regardent en miroir, sans équivoque, parce que les contraires et les contradictions se savent et se comprennent. Chacun dans sa sphère géographique dirige les siens. Un minimum de respect, de nos jours, balise les frontières. Sauf dans les cas où des minorités, vivant sur des terres fertiles en pétrole ou en autres minerais, s’amusent à défier le pouvoir uniciste de leur communauté pour se l’attribuer afin de gérer (seuls avec le soutien de leurs amis et futurs clients de l’extérieur) qui vont exploiter pour eux les richesses tombées du sol ! La sécession n’est pas loin avec ses guerres civiles fratricides. Planifiées de loin…

    Sellam, comme toi Zahra et toi Hraga, et ces centaines de défunts chaque jour, que vous importe ce trou perdu qu’est devenue Kénikra ? Ses touristes à deux sous, ses ouvriers, ses RME et ses investisseurs ? Que vous t’importe-il, vous qui êtes à peine mort, de voter pour celui-là ou cet autre ? Que t’importe le référendum Salem, et ce qu’il octroie aux rifains et aux sahraouis comme privilèges de région et de langue ? Vous qui d’entre les premiers autochtones êtes sensés écrire différemment. Des signes curieux, une richesse du patrimoine, le tifinagh, qui ressemble à l’égyptien et aux hiéroglyphes ! Que t’importe la révision de la constitution, la réforme de la monarchie ou le reste du royaume ? Que t’importent maintenant Le Caire, ses pharaons et son Nil, que t’importent Tunis et sa Zitouna, Saleh et la reine de Saba, Damas et son cynique tyran ? Pour toi, le Printemps Arabe est un eternel hiver ! C’est vrai qu’on n’est pas très arabes et c’est pourquoi on a évité le pire, le chaos de justesse ! Nous sommes l’exception africaine ! Une île de fraicheur dans cette marmite qui flambe ! Pour les certains du moins, les perpétuels miraculés.

    Que t’importe Sellam, le sanglant tsunami sémite ? L’abattoir, l’autel, où Sion en vengeur de l’holocauste, vaporisera des âmes sémitiques, pour plaire au Seigneur et avancer Sa victoire et Son trône ? Si l’Apocalypse survient ce sera grâce aux activistes, aux activateurs extrémistes d’Israël et d’Amérique. Ça te profitera, mortel, tu ne resteras pas longtemps dans ta tombe en train de souffrir le néant et l’ennui. Tu ressusciteras plus vite. Résurrection rapide garantie pour le Jugement Dernier. Alors patience, fait un vœu, pour que ça éclate vite et tu seras réincarné avec les fanatiques des premières loges !
    Que t’importent Arafat, Saddam, Ben Laden, et comment ils sont morts ou été tués ! Que t’importent le Pape, Obama et Sarko, et comment ils gèrent la planète et ses hommes ! Que t’importe qui sera au gouvernement futur et sera comptable et responsable de la conduite des hommes !

    Que t’importe si le prochain ministre de la santé, soit une femme ! Une autre sémillante avocate ! Et si elle fera, sans répit ni respect, la chasse aux blouses blanches ! Et que faute de démissionner, elle restera ostentatoire encore aux affres des affaires ! Que t’importe Macchabé si les nouveaux ministres répareront les dols de leurs tristes prédécesseurs ! Les Humiliations subies par tous les stéthoscopes de la terre resteront un précédent incompressible ! Imputrescible, comme une haine atavique vitale, une marque d’irrespect au fer, que les générations future sauront hériter et transmettre ! Que t’importent les élections de l’Ordre, le service de cardio d’Avicenne, la énième chambre ou celles de ta commune ? Que t’importe si les hommes que tu choisis, vivants, soient déjà morts, qu’ils changent de sexe, de partis ou de programme encore, au gr des vents, pour vendre leurs voix, les tiennes, aux amis du surhomme ?

    Que t’importent Marrakech, Sodome et Gomorrhe ? Ses touristes, ses cafés et ses bars, ses hôtels, ses palmiers, ses serpents et ses singes d’une autre ère ! Que t’importe le sida, offert en cadeau aux enfants des hommes ? Que t’importe-t-il si des ministres étrangers ou des moins que rien d’ici ou d’ailleurs, débarqués des nues, comme des dieux, violent ce que tu as de plus cher, que la vie, le sable ou la terre ?

    Ô mortel, le bal des anges, la danse des cieux, la hadra de l’Olympe, son opéra de harpes et ses rires, ses nuages et ses tonnerres, t’importent si peu !

    Esprit en débâcle, esprit détaché de tout, va ! Tu n’as rien perdu, car il ne reste que les restes ! Rien qui ne soit plus cher que l’honneur que les restants ont perdu ! Ton corps repose là où il est, pour le rendre à la nature le recycler…Mais, toi tu t’es élevé, comme espéré, par delà les étoiles et la Lune ! Tu perçois le règne de Dieu, en partie certes ! Il est des étoiles qui sont mortes, leurs planètes et leurs êtres avec. Que resterait-t-il d’elles, si Dieu ne leur prêtait pas un bout de son âme ? Des trous noirs ? Des trous dans cet univers, vieux de milliards d’années, qu’on n’aperçoit que maintenant de la Terre ! Des vides négatifs, avides, qui avalent n’importe quoi pour le faire disparaitre et espérer renaître ! Tu vois le règne de Dieu, entre l’infiniment petit, les éléments subatomiques et grandes constellations. Tu l’admires ! Admirer de l’amour, l’essence de la piété et de la prière. Dieu n’a pas besoin de nos flexions, brutes, mais de notre admiration et de nos louanges peut-être, comme marque de respect et d’amour !

    Tu vois le règne de Dieu, alors que les restes de ton corps, ce bâtard dont chacun est jaloux, gisent sous terre ! Pourtant, tu n’entends rien, tu ne comprenais rien avant comme maintenant, si ce n’est pire ! Si tu m’entends et que tu voies mieux l’univers, sache que je ne t’entends point et que c’est dommage. Mais fais gaffe ne vient pas me hanter ! Ni, comme un spectre peupler mes cauchemars ou me donner des ‘’roueyates’’ yacyniques ! Ces visions mystico-religieuses, que je ne saurais utiliser pour exorciser le milieu !

    Là dans ton ‘’non-être’’, tu…, mais qui, que représente encore ce ‘’tu’’, ce Toi, ton ego et ton moi, cette Personne enfin que j’ai connue ? Là, tu as disparu, anéanti, il y a pour toi, comme un chaos ! Et pourtant tu étais là, tu as existé…Faut-il te remplacer par ce qui reste de tes œuvres, par de simples souvenirs ? Infimes et parcellaires, tant il est vrai et général, que tout est fragile et labile. On l’a fait, sans en avoir le choix !

    Ou même mieux, tu subsisterais quelque part ! Quelque chose de ce toi qui fut, de ‘’Toi’’? Maintenant que tu es ailleurs, là ou les lois physiques que l’on connait ne percent pas, garde-tu, es-tu un ‘’encore-quelque-chose’’? Là, dans ton trou noir, tu n’entends plus rien ? Dis ! Sens-tu les quelques pensées que l’on dirige vers toi ? Ce qui reste de toi, en dehors ces chairs en haillons, sentent-elles les anges et comprennent-elles leurs ordres ? Une communication entre inconnus ? Ou quelque chose du genre. Sens-tu la tristesse, le deuil, les pensées et la perte de ceux qui t’ont aimé et qui se trouvent devant ‘’rien’’ ?

    Non, tu es encore parti ! Toi le RME, pour aller trimer ! Toi le fugitif, l’explorateur, l’aventurier, l’exilé économique. Tu as laissé les tiens, par dépit, par défi, pour leur amour, pour aller ailleurs ! Sans cœur et même sans corps. C’est vrai que tu as été opéré et même enterré ! Tu t’es souvent sacrifié, vas-tu renaitre comme un phénix ?

    Tu as senti un appel, une nécessité, un devoir. Tu as défié l’ignorance pour aller vers la connaissance, la technologie et les sciences. Pas toujours dans cet ordre, car c’est dans le vignoble, le bâtiment, les mines ou les champs que tu as terminé ta carrière. Seuls les hommes peuvent se reconvertir et leur intelligence est là pour le dire ! Untel voulait être chercheur, il a terminé dans les bars ou la chaussure ! En train de cirer les pompes ou de ramasser les ordures. Et pourtant ce sont des sociétés étrangères de renom qui viennent ici se sucrer en ramassant les nôtres de ménagères ! Par nous-mêmes, il vrai, ils ne donnent que des ordres pour tirer des bénéfices. Les nôtres sont nuls, ils ne le savent pas ! Il n’y a pas de sots métiers, mais que de sottes gens ! Au point qu’il fut vrai que les communistes, communauté égalitaire exemplaire, payaient au même tarif le chirurgien, le pompiste, le militaire, le fonctionnaire ! L’autre, comme couturière, a estompé sa carrière. On les voit quels que soient leurs pays d’origine et leurs continents, sauter la barrière des espèces et aller vers les blonds. DSK se voit maintenant au tribunal, à force de tourner entre les pattes d’une femme d’étage, venue de nulle part, en Guinée ! Retournement de destins : on ne sait plus qui est la victime ! Passons !

    Tu as défié l’angoisse, la peur et les vagues. La solitude, le froid et la faim. Resquilleur, tu as défié le danger et la haine, le mépris, l’insolence, l’exploitation et ses risques. Tu as squatté, frôlé la pègre. Tu as défié les éléments dès le départ. Laissant ton village inculte et asséché, tu as mendié autour de toi et emprunté pour un passeport, un visa, un ticket. Ou comme des milliers d’autres irréguliers, tu as emprunté les patères. Ces frêles esquilles, pour traverser le bras d’océan et de méditerranée ? Le bras d’honneur ! La peur au ventre, si tu as échappé aux requins et au naufrage, tu ne savais pas si tu allais dribler les gardes espagnols et filer de leurs pièges. Pour aller où et vers quelles dérives ?

    Le terrain n’est jamais balisé ! Exilé ou émigré, tu es revenu, ici, pour partir. Tu es là depuis trente jours. Tu ne sors pas de ton lit. Les tiens ne sont pas avec toi. Tu es seul. Tu refuses de voir le médecin. Tu veux partir. Partir sans espoir de retour ? Le ver une fois devenu papillon ne revient pas à sa forme première et ne s’y reconnaitrait pas. Tu vas, quelle que soit la nature de ce que tu avais en plus du corps, errer ou fuser, te ranger ou émaner, là où ton chemin est inconnu. Tu vas l’explorer quasiment le premier, puisque rien n’a filtré de tes prédécesseurs ni des conquêtes des premiers hommes qui sont morts ! Connais-tu tes premiers ancêtres ? Les premiers qui ont peuplé l’espace et qui de leur espèce, discutable, ont peuplé la terre. Les reconnaitrais-tu, là où tu es en ce moment ? Arrêtons les questions sibyllines et de fiction. Celles qui demeureront sans réponse à ces vers que nous sommes et que seuls les papillons sauront. Curieux ton nom, il signifie la paix. Paix, à ton âme, Sellam !

    Dr Idrissi My Ahmed
    Le 21 juin 2011
    Texte adressé en primeur avant correction sur : http://www.oujdacity.net

    #206881

    Sujet: Invitation

    dans le forum Café OujdaCity
    yashka
    Membre

    salut je m’appelle Yassine , j’habite Oujda !
    Svp pourriez vous me dire comment faire pour envoyer une invitation a ma copine qui vit en Russie , elle est d’origine Kazakh donc elle aura besoin d’une invitation de ma part pour qu’elle puisse me visiter au Maroc …
    Je vous en pris veuillez m’expliquer les démarches a suivre en détails , merci d’avance

    #212578

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    ChenafiMarwa
    Membre

    Bonjour tout le monde, je m’apelle Marwa Chenafi, cela fait enormement de temps qu’on tache de connaitre nos origines vu le mixe qui nous appréhende, finallement mon grand pére avait dévoilé avant sa mort que nous sommes des Adarissa , et que notre ancien grand pére est bien entendu Sidi Ali Bouchnafa, mais ce qui me soupçonne dans cette génealogie , c’est que mon grand pére n’as jamais visité l’oriental , vu que ses parents étaient à Tafilalet , exactement à Mdaghra , mon grand pére s’intitule : Sidi Ahmed ben Lahbib ben El Âarabi , je ne sais pas pourquoi mes grands pére sont au Sahara de Tafilalt , et pourquoi en comparaison il existe une ville en Iraq qui s’apelle : ( Shenafiyah , Al Qadisiyah , Iraq ). j’ai pris bcp de temps à connaitre d’ou ‘ est ce que je viens exactement , vu que mon grand pére sidi Ahmed est parti du sahara en Atlas ( Mrirt . Tameskourt . Khenifra . Ouaoumana ) se sont tte des villes d’ou ‘ est ce qu’il est passé en tant que Imam dans les mosqués , donc ma grand mére est automatiquement de la meme région , mais je veux simplement savoir notre généalogie , aparement beaucoup d’amis Oujdis à mon pére reconaissent qu’on est de l’oriental en l’armature des traits physiques et même de l’accent ! mon pére occupe un poste de proviseur à un Lycée public à Meknès . Salam a3leikoum .

    #206872
    solare
    Membre

    Bonjour à tous les gens d’Oujda, 😛
    je m’appelle chaachoue ahmed,d’origine Meknès. jai 45 ans et père de 2 fils.
    je suis à la recherche d’un ami oujdi qui m’est particulièrement cher et qui s’appelle Hammouti abdelkader(si je me souviens bien, son frère ainé à l’époque travaillait à l’hôtel mamounia à Marrakech, comme directeur adjoint) .Nous avons perdu contact entre nous depuis plus de 25 années, dans des circonstances difficiles. 🙁
    En fait, notre histoire remonte à 1985-1986, quand nous étions encore des étudiants au cours préparatoires pour l’admission à l’école polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) en suisse.Hélas,le destin avait voulu changer le cours des choses et j’étais contraint ;pour des raisons purement financières( il me fallait 70 000 dh pour la carte de séjour); de revenir au Maroc pour un nouvel chemin dans la vie.
    Dans ces derniers temps,j’ai été sur place à Oujda mais le nom de hammouti semble appartenir à énormément de familles, ce qui ma compliqué d’avantage la recherche.
    Donc, après toutes ces années et à travers votre forum, je conjure toute personne connaissant mon ami de me renseigner sur lui.
    merci d’avance.

    #206843
    mounavri
    Membre

    Le Real Madrid a remplacé le trophée de la Coupe du roi par une copie qui est visible dans la vitrine du club, vendredi,

    après que le défenseur Sergio Ramos eut laissé échapper l’original , dans la nuit de mercredi à jeudi lors de la célébration de la victoire dans le centre de Madrid.
    Les Madrilènes ont remporté mercredi la Coupe du roi en battant en finale le rival barcelonais, 1-0. L’enthousiasme provoqué par le premier trophée de l’ère Mourinho est tel qu’il rend le défenseur Sergio Ramos bien maladroit. Lors du retour à Madrid de l’équipe perchée sur un bus impérial, Ramos laisse échapper la coupe qui est écrasée par les roues de l’engin.

    « Je suis arrivé à Bernabeu (stade du Real Madrid) deux minutes avant le bus de l’équipe. J’en ai toujours une supplémentaire (une coupe) avec moi au cas où il arrive un imprévu, que le roi n’ait rien à offrir par exemple. Le trophée de secours était prêt depuis longtemps », a déclaré au quotidien espagnol El Mundo Federico Alegre, le bijoutier de Madrid qui a réalisé le trophée.

    NB : »Il s’agit d’une chute de cinq mètres, le bus a roulé dessus, des pièces ont été perdues, les restes des pièces sont bosselées. Je ne suis pas attristé, pas même en colère. C’est des choses qui arrivent, ça sera une autre anecdote à raconter », a ajouté le bijoutier. Le Real a remporté mercredi (1-0 a.p.) son premier titre depuis 2008 et sa première Coupe du roi depuis 1993.

    #278556
    Alaa-eddine
    Participant

    @dolph wrote:

    primo je ne vis pas en Belgique

    en effet, merci de l’avoir confirmé, tu passera le bonjour à boutef ?


    dolf(213.177.160.37)

    IP scan result for 213.177.160.37
    reverse = hide-nat-pc.m-link.be
    originated from = Algeria

    et on peut même mapper ton IP : http://en.iponmap.com/213.177.160.37

    Merci à qui ? merci google

    c’est facile de se foutre derrière son clavier caché sous un pseudo et faire l’intello … marre de la connerie humaine

    ici au moins on admets tous être marocains, et on admet tous aimer notre roi, aucun marocain n’a honte de clamer haut et fort son origine et son identité … si tu as honte de ton origine va le dire « Librement » sur un forum algerien, tu nous racontera comment ca s’est passé à ta sortie du cachot …

    bref…

    #274885
    abdelaziz
    Membre

    Je pense qu’effectivement mourad connait très peu l’histoire d’Oujda et de façon plus général celle de l’oriental.

    Jusqu’à un passé récent et pour ne pas le nommer, celui des années de plomb, l’oriental était considéré comme le Maroc inutile.
    On a cantonné le Maroc Oriental à un no mans land entre l’Algérie et le Maroc.
    La réaction des gens de l’oriental était l’union sacrée, l’union autour d’un symbole celui de la plus grande ville et il se trouve que c’était Oujda.
    Quand le mouloudia jouait, tout l’oriental se sentait mouloudi, quand Berkane brillait au Basket tout le monde se sentait Berkanais.
    Oujda n’est en fait qu’un conglomérat d’habitants venant de l’ensemble de l’oriental pour créer l’appellation oujdie.
    Oujda n’a pu connaitre son âge d’or qu’avec l’apport de tous ces gens de l’oriental, toutes les mines avoisinantes envoyaient leur flots d’ouvriers faire leur course à Oujda et participer ainsi à l’éclosion économique de la ville.
    D’autre part, les orientaux quand ils se rendaient dans d’autres villes du Maroc, il leur suffisait de prononcer un mot, pour qu’ils soient identifiés comme des Oudis, langage commun.
    C’est normal si mourad , quand tu es catalogué d’Oujdi , tu étais fier de l’être que tu viennes de taourirt ou de jerrada , de ahfir ou de Berkane , nous avons une histoire commune , un langage commun , un caractère commun et ce n’est pas toi avec une fierté mal placée qui viendra changer les choses.
    Enfin je te rappelle qu’il n ya pas si longtemps , l’ensemble des lyciens de l’Oriental venaient faire leurs études secondaires à Oujda, ça crée des liens , non ?

    Va dire à un figuigui comme BENAZI qu’il n’est pas Oujdi , va dire à un Berkanais comme elguerrouj qu’il n’est pas Oujdi , ils vont te riere au nez.

    #206723

    Sujet: RIJALATOU BERKANE

    dans le forum Berkane
    tachafine
    Membre

    le sujet est consacre a la citation des personnalites originaires de berkane qui ont marques et marquent l’histoire de la ville de berkane , la region de l’oriental , le royaume ainsi qu’a l’etranger soit dans le domaine politique economique sociale sportif ou associatif….

    #278104

    En réponse à : seulment aux berkanais

    @compitieux wrote:

    salam
    de quoi te mêles-tu oujdi khoroto? pourquoi pollues-tu le sujet avec tes balivernes?
    pourquoi veux-tu faire le clown là où personne ne t’a sonné?
    pourquoi une blague 7amda à deux sous?
    et dire (brakna wlad leblad drayfin o nya)
    mais, le ridicule ne tue pas …

    premierement parce que j’ai lu des interventions de tachfine que je salues par l’occasion pour son education, fair play et son bon esprit. et je croyais le connaitre et c’est la raison pour laquelle j’ai place cette noukta. je voulais voire sa reaction pour savoir plus. Donc il n’etait pas malplace et secondo merci de me prendre pour khoroto.

    je n’ai pas fait le clown comme tu l’as pris. si tu as relis mon message, tu aurais pu comprendre que placer une telle blagues comme ca, n’as ni sense ni 3abbou rih mais dommage tu l’as pris comme insulte. fait des recherches sur le forum et tu verras que je n’ai jamais place de blagues ni sur brakna ni sur n’importe qui/quoi. tu as raison le ridicule ne tues pas et je trouve ca dommage.

    ce que j’ai dit sur berkane, je l’ai dit avec le coeur. j’aime la facon dont beaucoup de ces gens parlent et reagissent. et pour tes infos mes origines sont de labas.

    sinon je peux commencer a salir le forum par des insultes a droite et a gauche et te dire des choses plus pire mais je ne suis pas comme ca. l’insulte ne meneras a rien crois moi.

    et un conseil ne laisses pas l’emotion jouer un grand role dans ta vie!! la vie n’est pas seuelement noir ou blanc. et si tu as toute cette haine envers oujda, n’oublies pas que tu es dans un forum oujdi.


    @@ tachfine:

    pour mieux se comprendre, tu es abdelaziz de oued nachaf entre 2002 en 2004?

    #278456
    Alaa-eddine
    Participant

    Salam blanc, et bienvenu sur notre forum.

    Le sujet que tu as annoncé est vaste, mais laisse moi te donner mon avis personnel dans un premier temps.

    En général, les gens qui veulent travailler (je parle de ceux qui le veulent vraiment) vont là ou il y a du travail, ils n’attendent pas que le travail vient à eux.

    tu dis que ce sont d’autres qui prennent le travail des gens de la région, je n’y crois pas, car bien que je ne sois pas au Maroc actuellement, tous les amis que je connais à oujda et qui sont sérieux ont de bons posts qu’ils ne pouvaient pas avoir auparavant à oujda.

    à coté de ca, j’entends de plus en plus de voix qui se révoltent contre les travailleurs des autres régions du Maroc … ce que je trouve dangereux et limite raciste.

    à l’époque ou il n y avait pas bcq de travail à oujda, très peu d’oujdis prennaient l’initiative de bouger pour trouver du travail, je me souviens qu’on se lamentait sur notre avenir et sur notre ville …
    maintenant qu’il y a du travail et qu’il y a des gens motivés qui viennent le prendre on se lamente de nouveau …

    c’est une réalité du marché, quand l’offre augmente dans un secteur,la plupart du temps le marché local ne peut pas à lui seul y répondre, et ce sont des travailleurs de l’extérieur qui comblent le manque.

    si on veut qu’oujda bouge et évolue, il faut accepter ces changements, il faut accepter l’autre, il n y a pas de mal qu’un Rbati ou un Casaoui travail à oujda s’il a les qualifications necessaires.

    et soit en sure, les entreprises qui recrutent le plus à oujda n’ont rien à battre de l’origine de leur salariés, c’est la rentabilité de la boite qui passe avant tout, et donc la qualification et l’efficacité des postulant.

    #212577

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    hamidjitaza
    Membre

    Je m’appelle HAJJI-Nous sommes une grande famille à TAZA MAROC- Avant de mourir/1972/mon père m’a informé que nous sommes les descendants de SIDI ALI BOU CHNAF –outat haj de guercif tout prés de debdou et rchida-1890 LES HAJJI -Une partie exode pour Taza et d’autres pour autres villes du royaume
    Le prof d’arabe m’a informé que nos encetres /hajji/originaire d’orient ont étés des soldats volontaire dans l’armée de ABDELMOUMEM GOUMI fondateur de Taza -des informations fiables ou non –informez moi -merci
    http://www.hajji.mhammed@menara.ma

    #262973

    En réponse à : lycée abdelmoumen d’Oujda

    abdelaziz
    Membre

    Que cela fait du bien de retrouver tout ce petit monde, que dis-je? Ces grandes personnalités qui ont usé leur fond de culottes dans cet établissement si mémorable.
    J’ai fréquenté ce lieu magique de 1966 à 1970.
    Nul ne peut ignorer les événements survenus en plein révolution soixante huitarde.
    A l’exemple de toutes les capitales mondiales, l’idéal révolutionnaire avait touché la jeunesse oujdie abdelmoumienne.
    Je me rappelle d’une anecdote qui m’avait beaucoup marqué.
    Un petit groupe, je le nommerais ainsi pour ne pas tomber dans la terminologie anti revolutionnaire en disant un groupuscule politisé; avait décidé de faire de Mai soixante huit une année revolutionnaire très originale.
    Au sein même de cet établissement et à l’intérieur de ces murs ce groupe s’était donné comme surnom: LES CHATS NOIRS
    Ces chats noirs que personne n’a jamais identifié, menaient des actions originales comme celle qui a consisté un jour à dévisser toutes les ampoules des salles de classe et les entreposer sur les tables tout en signant sur le tableau noir, « AVERTISSEMENT DES CHATS NOIRS.

    #206658
    abd aljabbar
    Membre

    Bonjour,
    j aimerai bien trouve quelqu un qui pourrait me dire les origines de miri haj fadel a bab algharbi. c est tres important. merci infiniment.

15 réponses de 106 à 120 (sur un total de 1,162)
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