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Causerie religieuse : la descendance du Prophète
SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, accompagné de SAR le prince Moulay Rachid, a présidé mardi après-midi au Palais Royal de Rabat, la première causerie religieuse du mois sacré de Ramadan, animée par le ministre des Habous et des Affaires islamiques, M. Ahmed Toufiq, sous le thème « la descendance du Prophète et le référentiel soufi dans l’histoire du Maroc ».
Sur la base du Hadith dans lequel le prophète Sidna Mohammed dit: « Une partie de ma Oumma demeurera sur le droit chemin au Maghrib jusqu’au jour du jugement dernier », le conférencier a décortiqué les composantes du tissu politique et social au Maroc depuis l’avènement de l’Islam et la nature des liens entre l’institution monarchique et sa base sociale.
Le Pr. Ahmed Toufiq s’est efforcé d’élucider le secret de la stabilité, de la continuité et de la singularité qui ont toujours caractérisé le royaume du Maroc, en mettant en exergue deux facteurs qui ont grandement contribué au façonnement de l’histoire du pays, le rôle des chorfas et le soufisme.
Après avoir présenté les différentes versions et exégèses du hadith, le conférencier a indiqué que la version qu’il a pris pour thème de cette causerie a bien spécifié le Maghrib comme terre où cette partie de la Oumma islamique « demeurera sur le droit chemin jusqu’au jour du jugement dernier ».
Cette version, a-t-il ajouté, a été adoptée par l’un des érudits de l’Islam, en l’occurrence l’Imam d’Alexandrie Abou Bakr ben Mohamed Ibn Al Oualid Attartouchi qui a commenté ce hadith dans une célèbre lettre de conseil au sultan Youssef Ibn Tachfine Al Mourabiti.
« Dieu seul sait si le Prophète – paix et salut soient sur lui – désignait par ce hadith les Almoravides ou l’ensemble de l’Occident musulman, connus pour leur attachement à la tradition du Prophète et de ses compagnons, loin de toute hétérodoxie et de toute déviation », écrit notamment Al Imam Attartouchi dans cette lettre.
Le Pr. Toufiq estime que ce hadith compte parmi les grands miracles du Prophète Sidna Mohammed ❗ ❗ . Les contrées se surclassent par leurs habitants, et les gens en surclassent d’autres par la valeur de leurs actes, a noté le conférencier qui a relevé la place particulière des descendants du prophète et l’obligation de respect qui leur est du de la part des croyants.
Avec le temps, l’appellation Charif est devenu l’apanage des descendants d’Al Hassan et Al Houssein, fils de Ali et Fatema, a indiqué M. Toufiq, précisant qu’en Orient un descendant d’Al Houssein est surnommé « Assayed » ❗ alors que celui d’Al Hassan porte le titre d’Acharif ❗ ❗ , alors qu’Acharif est surnommé par les Marocains Moulay, comme le surnommait Rached, compagnon de Moulay Idriss. ❗
Victimes de persécutions lors des grands troubles qui ont émaillé l’histoire de l’Islam, les Chorfa se sont dispersés dans différentes contrées de la terre d’Islam où ils ont joué des rôles d’avant-garde aux plans religieux, social et politique fondant même des Etats et des Emirats dans plusieurs régions 😆 , a rappelé le conférencier, estimant que la rencontre entre les Marocains et les Chorfa est la plus remarquable en terre d’Islam ❗ ❗ ❗
. Cette synergie entre les Marocains et les Chorfa s’est traduite lors de quatre grandes crises. ❗ ❗ ❗La première s’est produite quand les Marocains ont adhéré à cette nouvelle religion qu’est l’Islam et se sont engagés à la porter en Andalousie, alors que certains dirigeants de l’Etat central ont trahi cette confiance par l’exploitation de l’Islam, ce qui a suscité la colère des Marocains 👿 qui ont vu leur dignité bafouée et provoqué des heurts ayant conduit à la rupture avec le Califat ❗ ❗ ❗ ❗ et a ouvert la voie aux activités des différents opposants dans le pays, a expliqué M. Toufiq.
En présentant leur allégeance à Moulay Idriss Ben Abdellah après qu’il eut fondé la dynastie Idrisside, les Marocains ont trouvé en les Chorfa la solution politique idoine à leur crise religieuse et sociale 😀 😀 , a relevé le conférencier qui a estimé que les Marocains ont renoué avec les origines du Califat ❗ ❗ .
La deuxième crise qui a reflété la cohésion entre la nation marocaine et les Chorfa s’est manifestée lorsque les notables des tribus du Tafilalet ont fait venir Moulay El Hassan Addakhil à la fin du 7ème siècle de l’hégire, a poursuivi M. Toufiq qui a rappelé que Moulay Ali Cherif Assijilmassi est entré en Andalousie, au nom du Jihad, à l’invitation des notables de Grenade, d’autant qu’il a défendu farouchement Tanger contre l’invasion Ibérique. ❗ ❗
Pour ce qui est de la 3ème crise, le conférencier a relevé le rôle important joué par les confréries soufies dans l’installation de la dynastie des Chorfa Saadiens, après le déclin du pouvoir central de la dynastie ouattasside. ❗ ❗
La quatrième crise s’est déclenchée après l’éclatement de la dynastie des Saadiens et la création de plusieurs principautés, ce qui a amené Moulay Mohamed ben Cherif, puis son frère Moulay Rachid ben Cherif ben Ali a fonder la dynastie des Chorfa Alaouites, en tant qu’Etat fondé sur la légitimité de la libération et de l’unification. ❗ ❗
Abordant le rôle du soufisme dans l’histoire du Maroc, M. Toufiq a indiqué que les soufis ont accordé plus d’importance à la purification de l’âme. Le courant soufi, a expliqué le conférencier, n’a jamais été un mouvement hystérique collectif mais a été un mouvement d’introspection pour retrouver la force et stimuler la mobilisation en vue de s’adapter à la nouvelle situation et s’occuper positivement de l’encadrement de la société ❗ ❗ ❗ ❗ , ce qui a activé le rôle du soufisme, particulièrement sous l’ère alaouite, sur les plans religieux, politique, social et pédagogique.
Ces rôles ont montré que la tendance soufie a été dominée au Maroc par les préoccupations sociale et urbanistique, a fait remarquer M. Toufiq.
Sous le règne de Amir Al Mouminine, l’espoir est de lier le passé au présent et voir jaillir les sources du bien afin que les Marocains continuent de vivre dans la quitéude, parfaitement au fait du pacte qui les lie aux chorfa ❗ ❗ , et être constamment en mesure de contribuer à la grandeur de l’humanité ❗ ❗ , a dit le conférencier.
MAP
اننا في زمان ظهر فيه جليا ضعفنا و غلبت فيه الفرقة علينا نحن المسلمين الذين من المفروض أن نكون كالجسد الواحد
فأصبح كل من هب و دب يكتب و و يخرج أفلام و ما الى ذالك ليظهر للشباب المسلم خاصة أن ديننا الحنيف هو دين عنف و قتل و دمار و أن في المقابل دين المسيخيةو اليهودية هو دين المحبة و الجمال و الهدوء…و هذا كما يعرف كل من يهتم بتاريخ الاديان كذب في كذب و استعمال شريط فيديو لاتهام دين بأكمله أ،ه دين القتل هو ضحك و مهزلة و ها أنا أطرح سؤالا بسيطا على المسمى طه الذي نشر في وجدة سيتي الرابط الذي يرينا من خلاله صاحبه لقطات من ما نعرفه كلنا و الذي جرى و يجري في العراق و ايات بينات من القران الكريم أخرجها ذالك المسيحي-اليهودي من نطاقها و كذالك لقطات من خطب ألقيت هنا و هناك
هل تظن أنه من الصعب على اخر اعلامي في عالمنا العربي و الاسلامي أ، يجمع لنا كوكتيلا من تلك الفضائح التي كان من ورائها الامريكي اليهودي المسيحي بوش و والده و اخوانهم في فلسطين و العراق و افغانستان …و من قبل في الهنود الحمر الذين أبيدوا ابادة تكاد تكون مطلقة و ما فعله الاستعمار في مغربنا الكبير و افريقيا…و القائمة طويلة لا حدود لهاtout est mis en oeuvre pour destabiliser notre monde arabo-musulman
– creation de conflits entre les pays musulmans
– evangelisation et judaisation de nos enfants
– distribution de cd et cassettes videos aux immigrés aux ports de almeiria et algezeras en arabe et en berbere pour diffuser soit-disant la » bonne parole »
-de chaines qui attaquent ouvertement notre annabi sidna mouhammad
– des caricatures au nom de la liberté d expression
-et voilà que si taha nous rajoute un lien qu il trouve realiste , bravo ya si taha!!!mais disons le franchement , les musulmans ne cherchent plus !!
ne lisent plus !! ignorent tout sur l histoire du judaisme et du christianisme et comment s est repandu cette religion absurde
qui n arrive toujours pas à nous dire ce que signifie 3=1
le pére , le fils et le saint esprit ???peu de musulmans savent qu au départ des troupes françaises du port de toulon en direction de notre grand maghreb , le pape de lépoque etait present pour prier pour eux et benir leur massacres contre nos parents
et surtout leur demander de nous christianiser…
l histoire du christinisme est tres peu glorieuse , les indiens – ameriecains , les africains emmenés par force de la cote oueste d afrique vers le nouveau monde qui n en etait pas un puisqu il y avait son peuple et sa population , et j en passe jus qu à nos jours où des banou jildatina c est a dire des arbes comme nous veulent nous faire croire que les américains sont venus nous apprendre la démocratie en modernisant la prison d abou ghrib et y pratiquer leur chefs d oeuvres qui resteront à jamais gravés dans nos mémoires et transmises à nos enfants !!!
en bombardant nos enfants nos femmes et nos villes et nos villages
et en polluant nos terres
CE QUE TAHA066 A OULU NOUS MONTRER EST NEGLIGEABLE DEVANT
L ETAT HUMANITAIRE DESASTREUX DANS LEQUEL L OCCIDENT JUDEO-CHRETIEN A MIS NOS TERRES ET NOS PEUPLES EN IRAK ET EN PALESTINEpalestione spolliée et occupée par des judeos-europeens parceque l europe a été injuste envers et leur a donné avec la complicité de certains banou jildatina , une terre qui porte bien son : LA PALESTINE et un peuple qui porte bien son nom / LE PEUPLE PALESTINIEN…
comme c est facile de nos jours pour des laches de taper sur l islam
ce grand islam qui a sauvé l humanité de son obscurantisme .La prière du vendredi est une obligation pour les hommes. Dieu (soubhânahou wa ta’âlâ). « O vous qui avez cru ! Quand on appelle à la Salât du jour du Vendredi, accourez à l’invocation d’Allah et laissez tout négoce. Cela est bien, meilleur pour vous, si vous saviez ! »( Sourate Al-Joumou’a (62) – Verset 9)
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Que ceux qui négligent la prière du Vendredi cessent de le faire, sinon Dieu apposera le scellé sur leurs cœurs et ils finiront par être distraits de Sa pensée. » (Rapporté par Mouslim)
Il (sallallahou alayhi wa salam) a dit également : « La prière du Vendredi est une obligation à tout musulman, hormis quatre personne qui sont :
L’esclave,
La femme,
L’enfant,
Le malade ». (Rapporté par Abou Daoud)
Les mérites du jour de vendrediLe Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Le Jour de Vendredi est de grande importance, le meilleur des jours de la semaine sur terre : c’est le jour où fut créé Adam, le jour où il fut introduit au Paradis, le jour où il en sortit . C’est aussi le jour où finira le monde. » (Rapporté par Mouslim)
Un jour d’une telle importance, mérite d’âtre honoré, comme Dieu (soubhânahou wa ta’âlâ) l’a glorifié. Ce jour-là on doit multiplier les bonnes œuvres et s’abstenir de tout péché.
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Certes ! Le jour du Vendredi renferme un instant de faveur. Si la prière de quelqu’un, demandant des faveurs correspond à cet instant ,Dieu les lui accordera. » (Rapporté par Mouslim)
On rapporte que ce moment se situe entra l’apparition de l’imam et la fin de la prière ou après la prière de l’Asr.
Il est donc fortement recommandé de multiplier les invocations tout au long de la journée du vendredi, pour que nos demandes coïncident avec cet instant.
Que doit-on faire ce jour là ?
1) Faire le ghousl avant d’aller à la prière.
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Le lavage du corps est une obligation à tout pubère le Vendredi. » (Rapporté par Al Boukhârî et Mouslim).
2) Porter des vêtements propres et se parfumer (pour les hommes, une femme ne doit pas se rendre à la mosquée parfumée)
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Tout musulman doit se laver le vendredi, bien s’habiller et se parfumer s’il a du parfum. »
3) Se rendre à la mosquée de bonne heure, avant l’appel à la prière.
Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Quiconque se lave le vendredi comme il le fait pour la janaba et se rend à la mosquée à la première heure fait une bonne œuvre de la valeur d’une offrande d’un beau chameaux.
S’il se rend à la deuxième heure, il aurait offert une vache, à la troisième heure, un bélier, à la quatrième une poule, à la cinquième un œuf.
Quand l’imam est dans sa chaire, les anges rentrent pour écouter le prône. » (Rapporté par Al Boukhâri et Mouslim)
4) Accomplir des prières surérogatoires en arrivant à la mosquée.
Comment ce passe la prière du Vendredi ?
1) L’imam monte sur la chair (minbar) au moment du midi local, puis, il salue les croyants. Quant il s’assoit, le muezzin appelle à la prière comme le fait pour Dhor. A partir de ce moment, il devient interdit de parler ou de s’amuser avec des caillou (ou autres), de déranger les autres… car le discours compense les deux rakats qu’il manque pour accomplir la prière de dhor complète. Il faut donc que la concentration pendant le discours soit la même que pendant la prière. Le Prophète (sallallahou alayhi wa salam) a dit : « Si tu t’adresses à ton ami, même pour lui dire : « Tais-toi » pendant que l’imam prononce son discours tu es fautif. » (Rapporté par Mouslim)
Et aussi : « Celui qui s’amuse avec des cailloux (quand l’imam fait son discours) commet une erreur, celui qui commet une erreur annule sa prière. » ( Rapporté par Abou Daoud)
2) L’appel terminé, l’imam se lève et prononce son discours (khoutba). Il loue Dieu. Le remercie et appelle le salut de Dieu sur Son Prophète et serviteur Mohammed. Habituellement, il fait cette invocation :
« Al hamdoullillahi nahmadouhou wa nasta’înouhou wa nastaghfirouhou wa na’oudou bi-llahi min chouroûri anfousinâ wa min sayyi âti a’mâlinâ
Men yahdihi-llahou fahoûwa-l-mouhtadi wa men youdzlil falan yajidalahou wa liyyan mourchidâ, wa achhadou an lâ ilaha illâ llahou wahdahou lâ charika lahou, wa achhadou anna mouhammadan ‘abdouhou wa rasoulouhou. »
« Yâ ayyouhâ-n-nâsou ittaqoû rabbakoum-l-ladzî khalaqakum min nafsin wâhidatin wa khalaqa minhâ zawjahâ wa batha minhoumâ rijâlan kathîran wa nisâ a wa-t-taqou-llaha al-ladzî tasâa aloûna bihi wa-l arhâm ina-llaha kâna ‘alaykum raqîbâ »
« Yâ ayyouhâ-l-ladzîna amanoû-t-taqoû-llaha haqqa touqâtihi wa lâ tamoûtounna illâ wa antoum mouslimoûn »
« Yâ ayyouhâ-l-ladîna amanoû ittaqoû-llaha wa qoûloû qawlan sadîdan yousslih lakoum a’mâlakoum wa yaghfir lakoum dounoûbakoum wa man youtti’i-llaha wa rasoûlahou faqad fâza fawzan ‘azîman. »
« Louanges à Allah que nous glorifions, dont nous implorons aide et pardon, et nous cherchons refuge auprès de Lui contre le mal qui est en nous et de nos mauvaise actions. Celui qu’Allah guide nul ne peut l’égarer, et celui qu’Allah égare nul ne peut le guider. J’atteste qu’il n’y a de divinité qu’Allah, Le Seul, L’Unique sans associé, et j’atteste que Mohammad est le Serviteur et le Messager d’Allah
Allah dit dans Son Livre:
« O hommes, craignez votre seigneurs qui vous a créé d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement. »
« O les croyants, craignez Allah comme Il doit être craint et ne mourrez qu’en état de pleine soumission. »
« O les croyants, craignez Allah et parlez avec droiture, Allah vous rectifiera vos actions et Il vous pardonnera vos péchés. Et celui qui obéit à Allah et à Son Messager, il réussira, certes, d’une grande réussite. »
3) Puis il exhorte l’auditoire à haute voix, rappelle les recommandations de Dieu et de Son Prophète, leurs promesses et leurs menaces.
4) Ensuite, il s’assoit , marquant une petite pause, puis il se relève pour reprendre son thème de sermon, avec le même entrain. Ayant terminé son prône, sans trop l’allonger, il descend de sa chaire.
5) A ce moment le muezzin annonce la prière.
6) Et l’imam préside une prière de 2 rak’ats (remplaçant celle de Dhor) en récitant à haute voix.
Questions– Si on arrive et que le discours a déjà commencé, doit-on faire la prière surérogatoire de deux rak’ats ?
– La prière du vendredi pour la femmeEst-Il vrai que la prière du vendredi n’est pas obligatoire pour la femme ? Et si la femme prie à la maison, doit-elle alors accomplir deux rak’ats ou quatre ?
Réponse
La prière du vendredi n’est pas obligatoire pour la femme. Toutefois, si elle y assiste et qu’elle l’accomplit, cette prière remplace le dhohr. Mais si elle reste à la maison, qu’elle accomplisse les quatre rakcats du dhohr.Ceux parmi les savants qui ont affirmé le caractère blâmable (karâhah) ou interdit pour la femme d’une grande beauté de faire la prière du vendredi, ou ceux qui ont dit que, dans l’absolu, sa prière est meilleure à la maison, ils l’ont dit quand les rangs des femmes dans la prière n’étaient pas séparés de ceux des hommes. Aujourd’hui qu’il est prévu dans certaines mosquées des salles séparées pour les femmes afin qu’elles apprennent les affaires de leur religion, il n’y pas de mal à ce qu’elles assistent à la prière du vendredi en observant la décence. Dans un hadith, [le Prophète -paix et bénédictions d’Allah sur Lui – dit] : « N’empêchez pas les servantes d’Allah d’aller aux mosquées d’Allah »
Texte Original
Notes :
1. la source en arabe provient du site Haneen. Vous pouvez consulter d’autres réponses du sheikh en arabe sur leur site.
Source : http://www.islamophile.org
– Que faire si on arrive pendant la prière ?
D’après Mâlik, Ash-Shâfi’î et Ahmad, celui qui n’a pu se joindre à la prière du vendredi en ayant au moins 1 rak’at, celui-là doit ensuite accomplir 4 rak’ats lorsqu’il les remplacera après les salams de l’imam.
Aboû Hanîa est de l’avis que dès qu’on se joint à une partie de la prière du vendredi (même dans la dernière position assise), on ne remplacera après les salams que ceux des rak’ats manqués.
– La Khouba peut-elle être faite en français ou une autre langue que l’arabe ?
Cette question revient à demander si, lorsque le Prophète (sur lui la paix) faisait la khoutba devant ses Compagnons, est-ce qu’il utilisait l’arabe parce qu’il faut n’utiliser qu’elle (amr ta’abbudî), ou bien est-ce qu’il l’utilisait uniquement parce que ceux qui écoutaient son discours comprenaient l’arabe ?
Aboû Hanîfa est du second avis (en ce qui concerne la khutba, pas en ce qui concerne la salât, qui, elle, doit toujours être faite en arabe).
L’Académie de Fiqh Islamique (sous l’égide de la Rabita) a donné un avis autorisant le fait de faire la khoutba dans la langue du pays, recommandant toutefois de garder en arabe le début du khoutba (la formule traditionnelle « Louanges à Dieu… »), ainsi que les versets coraniques qui y seront récités.
Cheykh Khâlid Saïfullâh est d’avis qu’il est mieux de faire la khoutba en arabe. Cependant, ajoute-t-il, il ne faut pas critiquer ceux qui choisissent de faire la khoutba dans la langue du pays, ni dire qu’il s’agit d’une bid’a (Jadîd fiqhî massaïl, p. 161-166)