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15 réponses de 271 à 285 (sur un total de 291)
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  • Anonymous
    Membre

    الله الرحمـان الرحيم
    Cher Bouayad de Tlemcen.
    Nous sommes très ravis qu’un Tlemcènien enfin, et en plus du nom de Bouayad, participe à ce forum, car Tlemcen faut t-il le rappeler est une des villes les plus historiques d’Algérie, dont je trouve que le rayonnement culturelle et civilisationnel n’est pas assez mis en valeur en Algérie, comparativement à la ville de Fès, que je connais bien, au Maroc.

    Seulement là ou je risque de ne pas être d’accord avec vous c’est dans cette tendance à voir de la présence ottomane en Algérie (et non turque) quelque chose de « péjoratif », au contraire la présence ottomane en Algérie a évité beaucoup de tragédies en Algérie, en plus les ottomans ont réalisé ce que les arabes n’ont jamais fait, un vrai empire. Donc je crois qu’il faut être fière que nous avons plusieurs siècles d’histoire commune avec les frères dans notre religion les « turques » (ou plutôt les ottomans), et il faut de temps en temps être un peu reconnaissants. Je le dis même si je suis personnellement un descendant des iddrissids, donc plutôt arabe.

    Cela étant, je suis certain que notre cher Bouayad, vous apportera des informations supplémentaires concernant la recherche de votre arbre généalogique, chose qui est tout à fait légitime, d’ailleurs cet arbre m’intéresse à juste titre car j’ai des voisins à Sidi-Bel-Abbès qui sont des Bouayad, et ce qui m’a été annoncé, jusqu’à maintenant, c’est qu’ils ne sont pas d’origine ottomane, ça reste donc à vérifier.

    Avec toutes mes amitiés et des plus sincères.

    و السلام عليكم و رحمة الله

    Miloua Fodil (M’chichi)
    Sidi-Bel-Abbès.

    #212479

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Anonymous
    Membre

    je remercie Monsieur Idriss de sa reponse sur l’origine de ouled amar,je suis toujours ravi de recevoir aute suggestions.
    Merci a tout et Ramadan karim.

    Ahmed

    #201646

    Sujet: betisier de l’histoire

    dans le forum Débats
    samir.m
    Membre

    un peu d’humour ne fait de mal a personne 😉 Le bêtisier
    Les assurés écrivent



    Courriers reçus par des compagnies d’assurance.
    Extraits

    Vous me demandez si j’ai fait jouer l’assurance scolaire quand Pupuce a renversé la voisine ; mais je vous rappelle que Pupucen’est pas mon fils, c’est mon teckel !
    Je vous serais obligé de m’adresser le courrier concernant mon accident à un de mes amis, Mr X. Car, pour la passagère blessée, ma femme n’est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.

    J’ai signé le constat mais, ça compte pas ; j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.
    J’ai bien reçu la fiche de mon épouse : je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
    Circonstances de l’accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l’opération Portes Ouvertes de l’entreprise.

    Il me semble que ma petite affaire va bouger au printemps, ce dont je serais heureux.
    J’ai été victime d’un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier.

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    Je suivais la voiture qui me précédait qui, après que je l’ai dépassé m’a suivi. C’est alors qu’elle m’a choqué en plein derrière et m’a forcé par choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
    J’ai heurté une voiture en stationnement et me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l’automobiliste. J’espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m’accordant un bonus supplémentaire.

    Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j’ai dû vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
    Vous me dites, que d’après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c’est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.

    En avançant, j’ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J’ai donc reculé, mais en reculant, j’ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C’est alors que je suis sorti pour remplir les constats. Mais en sortant, j’ai renversé un cycliste avec ma portière. C’est tout ce que j’ai à déclarer aujourd’hui.
    Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d’une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique ; tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
    Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n’y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d’un accident ?

    Si vous continuez à m’envoyer des lettres recommandées
    sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrais dans l’obligation de résilier tous mes contrats.
    J’ai été blessé par une dent de râteau qui m’est tombée sur le pied. La dent était accompagnée du râteau.

    En qualité du plus mauvais client de votre agence (9 accrochages en 1 an), je vous demande d’avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d’échéance.
    Mon assureur m’avait téléphoné pour me dire qu’il m’envoyait un avenant. Le lendemain, j’ai reçu la visite d’un inspecteur de la compagnie, pas avenant du tout.
    Je vous témoigne mon grand mécontentement : vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c’est toujours avec celui d’avant que je paye les dégâts de celui d’après.

    J’ai touché une femme en arrière et moi j’ai perdu tout l’avant.
    Vous me demandez de renvoyer le certificat sur l’honneur, mais je l’ai perdu depuis longtemps.

    Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m’indiquer la marche à suivre.
    Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sur de ne rien oublier, j’ai fait des croix dans toutes les cases.
    Vous m’écrivez que le vol n’existe pas entre époux. On voit bien que vous ne connaissez pas ma femme.

    J’ai lu dans mon contrat auto que vous ne me remboursez pas les frais de réparations de ma voiture si j’ai causé un accident en état d’ivresse. Je suis prêt à payer ce qu’il faudra pour que vous supprimiez ce paragraphe.
    Vous n’allez pas encore me faire chier avec votre connerie de fric. J’ai envoyé une lettre recommandée pour annuler mon contrat.

    C’est vrai que le camion allait très vite quand il a heurté la voiture de M. X. Je suis prête à témoigner en faveur de ce monsieur qui est justement le patron de mon mari. Vous voyez que je ne suis pas rancunière.
    Ils m’ont trouvé 2,10 grammes d’alcool dans le sang et ils vont me condamner. Sur 6 à 8 litres de sang qu’on a dans le corps, vous avouerez que c’est pas tellement (personnellement, j’aurais cru que j’en aurais eu plus).
    Vous me dites que Mlle X. réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu’elle a été légèrement défigurée après l’accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer, que même avant l’accident, cette malheureuse n’avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.

    Je n’avais pas vu la voiture arriver, et quand je l’ai vue, je n’ai plus rien vu.
    Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n’est pas ma faute si j’ai renversé ce cycliste : je ne l’avais pas vu !

    L’accident est survenu alors que je changeais de fille.
    Nous avons bien rédigé le constat, mais pas à l’amiable du tout.
    Je conduisais depuis 40 ans lorsque je me suis endormi au volant.

    Au carrefour, j’ai ralenti et j’ai laissé passer absolument toutes les voitures venant de ma droite, que d’ailleurs il n’y en avait pas ; alors j’ai avancé et j’ai été heurté par une 4L qui venait justement de la droite par un moyen que j’ignore. J’ai heureusement freiné et c’est alors que le choc s’est montré sans réticence.
    Je ne suis pas du tout d’accord sur le montant que vous m’allouez pour les bijoux. Ça ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils.

    Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n’avais pas vu venir la voiture ; vous pensez bien que si je l’avais vue, je me serais arrêté.
    Je débouchais d’un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L’arbre m’a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j’étais sorti avec.
    Par la présente, je vous signale que mon fils a cassé un carreau de la fenêtre de l’un de nos voisins, M. X. Celui-ci habite au même étage que nous, mais juste au-dessus.

    Excusez pour la gribouille de ma déclaration ; mon crayon marchait pas, j’ai plus de stylo-bille ; n’est ce pas, quand on part, on ne pense jamais avoir un accident, sans ça on prendrait ce qu’il faut.
    À votre avis, est-il préférable d’acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens, mais protégera ma maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou ? Je vous pose la question, parce que de toute façon, c’est vous qui paierez les pots cassés : soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.

    Je ne vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l’autre ne savait pas conduire non plus.
    C’est trop facile de dire qu’il n’y a pas preuve : vous n’avez qu’à en constituer, je vous paye pour cela.
    J’ai signé le constat, mais ça ne compte pas : j’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dedans.

    Je me trouvais en 2e vitesse quand ma voiture fit un tête-à-queue en marche arrière tout droit dans le ravin que j’avais l’intention d’éviter cet accident malgré ce que vous dites. Je ne suis nullement responsable. Soulignez que je suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.
    Dans un virage à gravillons, mon derrière a chassé dans une bouche à pompier.

    La Citroën avait priorité, c’est un fait, mais je ne l’ai pas vu ; d’ailleurs à la façon qu’il conduisait, on voyait bien que la priorité, il savait pas ce que c’était : la preuve que si ça aurait été le contraire (une auto qu’aurait venu par la gauche), il l’emboutissait pareil. Donc il n’y a pas de motif de s’arrêter à cette question de priorité à laquelle vous donnez tant d’importance.
    J’étais bien à droite et en me croisant, l’adversaire qui prenait son virage complètement à gauche m’a heurté, et maintenant il profite de ce que j’avais bu pour me donner tous les torts. Honnêtement, est-ce qu’il faut mieux être saoul à droite ou chauffard à gauche ?
    Je suis entrée en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m’ont paru terriblement limités. J’ai donc eu de la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m’est particulièrement favorable. Je pense que vous m’en saurez gré.

    Depuis l’accident, la culotte est plus mettable ; elle est à votre disposition, je voudrais savoir qui c’est qui va la payer. Je l’ai dit à l’agent mais sur son papier il a pas mis de culotte et il faudrait que vous lui en fassiez mettre une.
    Sitôt l’accident, le témoin a été mangé. Ce qui explique qu’il n’a pas signé.

    Je vous dis que la demoiselle n’a rien : ses bas ne sont même pas filés ! Alors elle n’a pas à se plaindre de ses jambes. D’ailleurs j’ai bien vu quand on faisait les pourparlers que ses jambes ne l’empêcheraient pas de marcher.
    Après l’accident, j’ai du être transporté à l’hôpital Laënnec pour me faire penser. Ces soins n’ont pas été donnés par le professeur Laënnec lui-même, mais seulement par un interné. Le professeur me verra demain.

    Voulez-vous bien noter mon adresse qui est maintenant dans la rue juste à côté de celle d’avant.
    L’accouchement était particulièrement difficile : il a fallu frayer un passage au chasse-neige.
    Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait, je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance-vie.

    Voulez-vous me dire le prix de l’assurance si j’achetais une voiture, alors que je n’ai pas le permis de conduire ?

    Étant un peu dur d’oreille, je n’ai pas vu le cycliste arriver.

    J’ai doublé un cycliste qui circulait à vélo …

    Je ne connais pas les parents du petit garçon que mon fils a renversé avec son vélo. Je sais simplement que son père est aveugle et que sa mère est voyante.
    Je me suis foulé le poignet en sucrant les fraises.

    En tentant de tuer un moustique, j’ai heurté un poteau téléphonique.

    Je croyais que ma fenêtre était baissée. Mais je me suis aperçue du contraire lorsque ma tête est passée au travers.

    Malgré ma fracture au poignet, j’ai pris mon courage à deux mains.
    Je n’ai guère eu le temps de voir le piéton, car il a immédiatement disparu sous la voiture.

    Le piéton ne savait pas quelle direction prendre. Alors je l’ai écrasé !

    J’ai vu le vieil homme et son visage triste lorsqu’il a rebondi sur mon capot.

    L’homme prenait toute la rue et j’ai dû effectuer de nombreuses manoeuvres avant de le frapper.

    Pourriez-vous me dire si mon assurance-vol garantit le vol des antivols ?



    Textes intégraux

    Je rentrai dans ma cariol sur la route de Gray. J’avais bu à cause de la chaleur deux blanc cassice. J’ai donc eu besoin de satisfaire une grande envie d’uriné. Jé arraité la voiture sur le baur de la route prais d’unta de pierres et de materiau rapport aux travos eczécuté mintenant pour l’élaictricitai. Jé commencé à uriné et en fesan ce besoin, jé, en maniaire d’amuzement, dirigai mon jai en zigue saque à l’entours.
    Alors mon jai a rencontrai un bou de fille électrique qui était par terre au lieu d’être accroché au poto. Une grosse étincelle a soté sur moi et un grand coup m’a raipondu dans le fondement et dans les partis, que lotre medecin y appelle tête y cul. Je me suis évanouille, et quand je sui revenu dans la connaissance, jé vu que ma chemise et mon pantalon été tout brulé à la braguette.
    Je sui assuré par votre maison et je voudrai être un demnisé. Jé droit à ce con m’a dit et je vous demande votre opinion. Mais dommage son de 93 francs o plus juste. Depuis le sinistre, jé les burnes toutes noires et ratatinés. Ma verge est tuméfié, gonflé et violacé. Le medecin a dit devant du monde qui peut répété : avec les faits nomaines électrics, on ne sait jamais.
    Au jour d’ojourd’hui, je ne peux plus m’en servir que seulement pour uriné, mais pour le reste, à seul fin de remplir mes devoirs conjugo avec ma femme qui a le sang chot, il n’y fot plus compter.
    A vous lire, je vous salue empressement.

    Je suis entré dans la terrasse d’un café avec ma 2CV ; comme il y avait beaucoup de choses, j’en ai cassé beaucoup aussi. Il y avait personne, ça fait toujours ça de moins (voir liste à peu près) :
    – 3 tables (pas tellement bien),
    – des chaises (en mauvais état),
    – un tonneau peint en rouge dans quoi il y avait un genre d’arbuste (le tonneau est pas récupérable, mais l’arbuste si),
    – il y avait aussi un peu de verrerie, mais des bouteilles il y en avait pas, sans ça c’était pire.
    Le restant que j’ai eu en dommage, c’est pas au café, c’est la grille d’un jardin public qui est à la commune ; c’est comme le banc et le feu rouge … il y avait un chien aussi, mais comme il s’est sauvé aussi vite et on l’a pas revu, il a dû rien avoir et on ne sait pas à qui c’est. Ça a pas arrangé ma 2CV non plus et elle est pas finie de payer.
    En déplorant énergiquement, je vous salue avec dévouement.
    PS : ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure, mais c’est rien : le docteur y a mis des infectants.

    Je vous écrit comme suite à votre lettre qui m’est survenue hier consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j’ai lu les lois et voilà ce qui en dérive : Quand il y a un croisement entre deux routes dont l’une ne traverse pas l’autre, celle qui est la plus petite doit s’arrêter la première. Donc il n’y a pas de priorité qui tienne. C’est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit, lequel je me trouve déjà par ailleurs.

    Monsieur,
    Vous avez surement vu au journal l’accident qui s’est passé au lieu-dit le Harnel, vous m’avez surement reconnu, c’est moi qui a la dauphine bleue que vous assurez depuis 1965. Il y a eu des degats de matériel comme c’est marqué au journal, la demoiselle qui a été emmenée à l’hopital, ça va, y a rien.
    Vous serez bien aimable d’arranger cette affaire parce que je peux pas avoir d’histoire.
    Je vous affirme mon fidèle devouman.

    Je viens d’acheter un camion en remplacement de mon ancien qui est décédé sur la table d’opération de mon garage local. La cause est un cancer généralisé qui s’était développé dans la transmission, l’embrayage et les freins. Il est mort à l’âge respectable de 11 ans et 338424 km parcourus (sans accidents) et laisse dans le deuil, outre son propriétaire, les nombreux clients qui n’ont pas été livrés à temps. La dépouille sera exposée en arrière du magasin pour environ une semaine ; après quoi, elle sera écrasée.

    L’automobile a freiné devant moi. J’ai ralenti. Il a stoppé. J’ai freiné. Il est reparti. J’ai redémarré. Il a freiné de nouveau. J’ai levé le pied aussitôt. Il regardait à droite. Je regardais devant moi.
    Tout ça pour vous dire que j’ai fini par le heurter à l’arrière.

    Lorsque le feu a pris dans ma cuisine, mon mari n’avait pas terminé ses travaux de peinture : il y avait deux murs blanc sale, un vert propre et le dernier moitié sale, moitié vert propre. La fumée a noirci le vert propre et l’eau des pompiers a fait des traces jaunes sur le blanc sale et le plafond (de couleur indéterminée).
    C’est maintenant toute une histoire de choisir une couleur qui ne jurera pas trop avec le reste.
    Pouvez-vous en toucher un mot à l’expert ?

    Je dois vous dire que les gendarmes m’ont posé des questions indiscrètes, du genre : D’où veniez-vous ? Où alliez-vous ? Avez-vous bu quelques verres ? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour ? Votre passagère est-elle un membre de votre famille ?
    Vous avouerez que c’est beaucoup de curiosité pour de la tôle froissée et que je n’ai pas à soulever le voile de ma vie intime sous prétexte que j’ai bousillé un pare-choc.

    Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l’ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d’une lettre que je n’ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus.
    Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.

    Dimanche dernier, alors que nous déjeunions en famille, le lustre est tombé sur la table, ce qui a renversé la soupière dont le contenu s’est déversé sur la robe de ma belle-soeur qui s’est agrippée à la nappe, ce qui a provoqué la chute d’un verre sur les genoux de mon mari qui s’est coupé en le rattrapant.
    Vous voudrez bien me dire si parmi ces divers incidents, mon assurance rembourse quelque chose.

    J’ai des ennuis avec ma voisine du dessous. Elle habite au 2e étage et prétend que l’eau de mon balcon tombe sur le sien, or c’est l’eau des fleurs du balcon du 4e qui glisse le long de la corniche et mouille le balcon du 2e, du reste la locataire du 5e s’en est aperçue et l’a signalé à celle du 4e mais celle-ci ne veut rien entendre et prétend que c’est une fêlure de mon balcon (situé au 3e) qui provoque l’inondation au 2e.
    Qu’en pensez-vous ?

    Je vous renvoie le papieds avec lequel on peu se torcher le quu car je vous avet envoulier une lettre recommander il y a longtemps et jai plut la voiture non plut et je informe que mon règlement vous sera fait à Niort avec du 6×35 à répaitision car vous êtes une bande de gangstaire et je vais vous maitre entolle.
    Recevez monsieur mes condoléances.

    Anonymous
    Membre

    Monsieur Mokhtar,
    Libre à vous de considérer ce que je dis comme des « faussetés ». Aligner ces faussetés une par une et essayer d’argumenter. Que vous apportiez du soutien à votre cousin Bouayed, c’est normal. Cela s’appelle Al assabiya al kabaliya que je ne cautionne pas personnellement.
    Quant à l’ignorance que vous m’attribuez, c’est un vrai aveu d’impuissance de votre part et un manque d’argumentation. Encore une fois, je ne suis pas impressionné par les surates sélectives et les hadiths inventés.

    Que Dieu vous éclaire avec sa lumière.

    Petite question Si Mokhtar : Connaissez-vous la date d’arrivée d’Idriss I ?
    Sa date de marriage ? Sa date d’assassinat ? Et la date de naissance de Idriss II ?
    Voilà. Ce ne sont que des questions et je vous laisse faire votre recherche.

    Je serai ravis d’avoir vos réponses.

    #213778
    hafid
    Membre

    @clarisse wrote:

    Ravie de voir qu’Ibn Arabi est quand même reconnu par quelques personnes… 😀

    Dans un premier temps de l’Islam en Orient, la science de la philosophie et de la logique furent étudiées dans un climat de grande tolérance religieuse et intellectuelle. C’est dans la période de la conquête arabe de l’Espagne que furent traduites pour la première fois en arabe les oeuvres philosophes grecs, en particulier Aristote et que se développa un vif intérêt pour cette matière malgré le regard sévère des autorités religieuses.
    Le promoteur de l’étude de la philosophie fut Ibn Masarra (panthéiste), suivit au Xe siècle de Ibn Hazm et du juif Ibn Gabirol qui professa une philosophie néoplatonicienne. Le XIIe siècle fut marqué par Ibn Bayyah (Avempace) et son disciple Ibn Tufayl, dont l’oeuvre eut un fort impact parmi les chrétiens.

    Mais sans doute, celui qui eut la plus grande influence aussi bien dans le monde islamique qu’en Europe fut Averroes (Ibn Rushd, 1126-1198),

    #213776
    clarisse
    Membre

    Ravie de voir qu’Ibn Arabi est quand même reconnu par quelques personnes… 😀

    #213330

    En réponse à : Un Maroc Laïc ..

    Iznassen
    Membre

    AZERF ET LE MYTHE DE « LA JUSTICE COUTUMIÈRE BERBÈRE »
    RÉFLEXIONS SUR LE DROIT AU MAROC
    Mustapha El Qadéry, Rabat

    Amara n umagrad ad ira ad issagw, dat yan usemaqqel f umezruy n mamenk ad tusnmalant tghawsiwin izdin d uzerf d tsertit n Merrok, isragen yiwin ayelligh ur testi tenbâdt tanamurt xs yan wanaw n uzerf, llid tkusa gh umezruy nnes d taysiwin, ad yeg azerf anamur unsîb llig teffagh daw uzaglu n Fransa d Sbanya, trar f usga azerf mu ttinin làurf sul ilan g kran tsgiwin d kran igran izdin d tudert tamettit n kigan d imezdaghen n tmazirt.

    À travers une étude socio-historique de l’organisation de la justice et de l’espace politique de l’Empire chérifien à l’époque coloniale, M. Qadéry tente de comprendre les raisons de l’imposition d’une norme juridique particulière par l’État marocain indépendant. Considéré par ce dernier comme national et légitime, ce droit a été imposé au détriment de l’azerf, le droit coutumier. L’azerf est cependant encore en usage dans certaines régions et couvre plusieurs domaines de l’activité sociale et professionnelle.

    By means of a socio-historical study of the organisation of the judicial system and the politics of the Cherifian Empire during colonial times, M. Qadery tries to understand the reasons for imposing a particular judicial norm by an independent Moroccan state. The imposition of these laws, considered by Morocco to be national and legitimate, was at the detriment of azerf, the traditional law system. Azerf is, however, still in use in certain regions and covers various fields of social and professional activity.

    Le système juridique offre une matière de réflexion aussi importante que le législatif et l’exécutif pour l’étude d’un système politique. L’organisation du juridique peut offrir une image sur le développement politique d’un État et clarifier la nature des relations et des rapports des acteurs politiques et de l’État avec la société, et plus précisément de l’État avec les citoyens et les acteurs du développement économique.

    Ce n’est pas un hasard si la justice constitue aujourd’hui un chantier parmi d’autres pour la consolidation de l’État de Droit au Maroc. Elle en est le principal instrument. La nature de ses lois, leur intégrité, leur application et leurs concordances avec les normes internationales en matière de justice civile et économique constituent des critères déterminants retenus par les investisseurs étrangers ou les organismes internationaux pour établir leurs avis sur les systèmes étatiques et leurs potentialités de développement.

    L’intérêt de cette esquisse qui reprend des éléments d’une réflexion entamée lors de ma recherche doctorale (1995), est de m’interroger sur la notion du Droit et de ce que l’État indépendant au Maroc avait retenu comme droit national et légitime. Le droit n’est pas uniquement un ensemble de théories et de règles absolues, il est le miroir dans lequel se réfléchit la vie d’un peuple. Il est déterminé, en principe, par les faits sociaux de ce peuple. Aujourd’hui encore, le droit marocain (celui appelé berbère) demeure une source inépuisable pour la constitution et la consolidation de l’État de Droit et de la modernisation des constructions juridiques, qui doivent, bien-sûr, prendre en compte les mutations sociales et culturelles en cours, relèvent M. Tozy & M. Mahdi (1990). Quand le fait social se modifie ou disparaît, la règle juridique tombe en désuétude, disait G. Surdon en 1929, ancien enseignant du « droit musulman » et du « droit coutumier berbère » à l’Institut des hautes études marocaines.

    L’angle par lequel je m’interroge sur le droit au Maroc est azerf ou ce qui est connu sous le terme « droit berbère », résumé à l’époque coloniale de la zone française dans l’expression « justice berbère. » Cette terminologie en vigueur durant la période coloniale a été disqualifiée de facto au lendemain de l’indépendance, sans débat et sans s’interroger sur cette « invention » coloniale qui a discrédité pour très longtemps les institutions et les modes d’organisations sociales au sein des États post-coloniaux nord-africains. Avant de procéder à l’examen sommaire de cette approche, une mention particulière est consacrée d’abord aux trois espaces juridiques que le Maroc a hérités de la période du protectorat. Un territoire sous tutelle de l’autorité française au «sud», l’autre au nord sous tutelle espagnole et un autre à Tanger sous protectorat « international. » À noter que deux autres espaces juridiques seront intégrés à la « justice nationale » marocaine, l’un en 1969 après le départ de l’Espagne de la ville d’Ifni et du territoire des Aït Baâmran, l’autre en 1975 après le départ de la même Espagne du Sahara occidental. Chacun des deux espaces était régi par des lois propres, et ne dépendaient pas, à l’époque du protectorat, du système en vigueur dans la zone dite khalifale au nord du pays.

    1. Les trois espaces juridiques sous le protectorat

    Les territoires qui ont eu l’indépendance sous l’égide du sultan Ben Youssef, devenu le roi Mohammed V en 1956, avec une nouvelle légitimité, sont au nombre de trois. La zone française de l’empire chérifien dont la capitale est Rabat, à la tête de laquelle se trouve le sultan et le résident général de France ; la zone espagnole de l’empire chérifien à la tête de laquelle se trouve un khalifa (adjoint) du sultan et le Commissaire espagnol, résidant à Tétouan ; enfin la zone internationale de Tanger où le sultan de Rabat était représenté par un naïb (délégué) accrédité auprès des puissances internationales qui cogéraient l’espace municipal de la ville. Chacune des trois zones disposait de son Bulletin officiel et de ses propres lois selon l’organisation retenue par les puissances protectrices en accord avec le Sultan à Rabat, son khalifa à Tétouan ou son naïb à Tanger.

    La déclaration de l’indépendance du Maroc faisait suite aux accords d’Aix-les-Bains et la déclaration de La Celle Saint-Cloud, confirmés par la signature du traité de l’indépendance par le premier président du Conseil du gouvernement du Maroc, Mbarek Bekkaï, à Paris et à Madrid. Cette signature mettait un terme au traité du protectorat du 30 mars 1912, établi entre le Sultan et le gouvernement français. Pour rappel, la France avait procédé, après la signature de ce traité, à la conclusion d’accords sur la zone Nord de « l’empire chérifien » avec l’Espagne (traité du 27 novembre 1912) et « la zone internationale » de Tanger avec les autres puissances européennes en fonction du traité d’Algésiras de 1906 et d’autres traités bilatéraux entre la France d’une part et l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie d’autre part.

    2. La justice dans la zone française de l’empire chérifien

    Le XXe siècle marocain n’a pas encore fait l’objet de recherches sérieuses qui pourraient nous offrir de la matière brute, c’est-à-dire l’inventaire des dispositifs des politiques coloniales dans les trois zones, voire les cinq zones qui constituent le Royaume du Maroc d’aujourd’hui. Quelques recherches ont eu lieu, par des Français ou des Marocains qui ont cherché surtout à « répondre » à la recherche de la période coloniale ou à «défendre» les idées « nationalistes » sur le Maroc, son passé et son devenir « arabistes » (vision nationaliste) ou « arabo-islamistes » (vision salafiste d’essence wahabite). On est encore loin d’une recherche scientifique «nationale» capable de relever le défi sans le halo passionnel qui continue à marquer sa production à forte connotation idéologique ou partisane, et qui s’inscrit dans un suivisme sans bornes de « l’Occident » ou de « l’Orient » sans prendre le soin de s’interroger sur «soi» et l’histoire de «soi» avant de choisir son « camp »… scientifique.

    Le domaine judiciaire et l’organisation de ce domaine «sensible» n’ont pas fait l’objet, à ma connaissance, d’inventaire pour comprendre le système d’organisation durant la période de protectorat. Tout ce qui porte sur la justice est résumé dans le débat sur «la justice berbère» en opposition à la chariaâ (loi dite musulmane). Ainsi, les idées dominantes sur le dahir dit « berbère » vu et perçu, comme un dahir qui a visé « la séparation » des « Berbères » et des « Arabes » (catégories inventées par la colonisation), la soustraction des « Berbères » à la justice du Sultan ou encore le dahir de l’évangélisation des « Berbères », sont les seules connues et diffusées à propos de la justice durant cette période. À part ceci, rien et absolument rien sur les étapes de la mise en place de la modernisation de la justice par la France, conformément au traité de protectorat, par lequel le sultan avait délégué au gouvernement la République française l’unification et la modernisation de «l’empire chérifien», par l’intermédiaire du commissaire résident général de France au Maroc qui possédait les pleins pouvoirs dans le domaine.

    Aucune recherche ne s’est intéressée non plus à la notion de chraâ (juridiction musulmane), son contenu, les agents chargés de son application et les domaines d’application des champs juridiques concernés par la dite chariaâ musulmane. Pendant « la protestation » contre le dahir dit « berbère », le mot d’ordre était celui de l’intégration des Berbères à la chariaâ du Sultan. Or, la chariaâ dont parlait « les nationalistes » n’était appliquée que dans le domaine du « statut personnel » chez les catégories citadines du sillage du Makhzen (qui ne possédaient pas de terre à faire hériter), le reste des lois qui concerne « les indigènes » était régi par des codes mis en place par la puissance protectrice, et les agents chargés d’appliquer la loi sont les caïds, les pachas et les tribunaux chérifiens présidés par des notabilités marocaines. Il s’avère donc que le dahir dit « berbère » n’avait pas pour objet principal la réglementation du « statut personnel », mais la réforme de la coutume pénale et du statut foncier des terres des tribus. En ce sens, le dahir visait en premier lieu à dessaisir les tribus de leurs terres en faveur des colons et de leurs collaborateurs marocains. Et, de ce fait, ni le discours « nationaliste », ni le discours « savant » post-colonial n’ont relevé la nature de ce dahir et ses véritables motivations. Et en second lieu, ce dahir entendait la « répression des crimes » commis en territoire « berbère », quelle que soit la condition de son auteur (article 6), selon le code pénal français en vigueur dans les autres régions du Maroc, et ce, dans l’objectif d’appliquer la peine de mort en territoire dit « berbère » dont la majeure partie était encore à la date de la promulgation du dahir en « dissidence ». Quelles étaient les tribus cataloguées comme « berbères » et selon quels critères ? Pourquoi des tribus « berbères » ont été exclues des circulaires vizirielles qui désignaient les tribus dites « berbères » ? Pourquoi les tribus qui dépendaient du « domaine » du Glaoui n’étaient-elles pas concernées par cette loi ?

    On peut avancer pour le moment que le débat sur le droit, et une éventuelle anthropologie de ce droit et les « sociétés » qui l’ont créé, ne peut avoir lieu sans une compréhension totale du système juridique durant la période coloniale. Comment était-il organisé ? Selon quelles lois et procédures ? Qui rendait la justice et au nom de qui ? Quelle est la place du Caïd (puissant tribal sans formation juridique) et celle du Pacha (puissant citadin sans formation juridique) dans la juridiction de l’empire chérifien ? Quelle est la place des tribunaux chérifiens, les tribunaux de coutume, les jmaâs judiciaires et le Haut tribunal chérifien dans le système juridique dans la zone française ? Comment a eu lieu l’évolution dans le temps et dans l’espace, l’organisation de la justice qui a suivi la pax française imposée après une longue conquête militaire sanglante dont « les Berbères » furent les principales victimes ? Les Caïds et Pachas nommés par le Sultan en ville et en tribu appliquaient-ils la chariaâ musulmane ? Selon quels procédés et procédures ?

    Et la justice en territoire de protectorat espagnole, comment fonctionnait-elle ? Avait-elle son « dahir berbère » ? Comment a fait l’Espagne dans l’organisation de sa «justice» de ses « Berbères » et comment l’avait-elle organisée et selon quelles lois ? Et Tanger ? Comment s’y déroulait-elle ? Quel était le statut des « indigènes », des « Berbères » dans le dispositif judiciaire international de Tanger ? Quelle était la place de la chariaâ dans ces territoires ? Et quels sont les combats des «nationalistes» dans ses régions dans le domaine juridique ?

    On ne sait rien de ces dispositifs en langue française et en langue arabe, ce qui les rendent indisponibles puisque la langue espagnole n’avait pas acquis le même statut que les langues française et arabe au Maroc post-colonial. On pourrait supposer que le Maroc indépendant avait choisi de généraliser « le modèle arabo-français » sans se soucier du « modèle espagnol » et sa possible « richesse » linguistique et judiciaire. Pourquoi cette élimination de « l’héritage espagnol » par le Maroc post-colonial ? Quant à l’héritage « berbère », il fut simplement éliminé.

    Sans un inventaire complet de l’ensemble de l’organisation judiciaire durant la période coloniale et ses trois zones, ainsi que celui des sous zones qui le constituait (justice rabbinique, justice berbère, justice de chraâ, justice française, justice des caïds et pachas, justice des jmaâs judiciaires, justice chérifienne, justice consulaire, justice mixte, …), sans un inventaire des dahirs, circulaires et textes qui ont fait offices de lois par lesquels les puissances protectrices avaient organisé leurs espaces respectifs de domination, on ne peut pas étudier le droit au Maroc, ses origines et les limites des différentes réformes qu’il a subies durant la période post-coloniale. Comment peut-on comprendre et étudier la «justice berbère» dans la zone de protectorat française en l’absence d’études sur l’ensemble du système judiciaire dans la zone française de l’empire chérifien ? Il serait illusoire de débattre sur la « justice berbère » sans comprendre le système français au Maroc dans son ensemble et les politiques qui ont régi la philosophie des bâtisseurs du Maroc moderne, « pacifié » et « unifié » sous l’égide du Sultan au nom duquel la France avait mené de bout en bout son entreprise « d’intégration » et « d’unification ».

    3. La « réforme » de la justice au lendemain de l’indépendance

    La « justice berbère » était perçue par l’ensemble des observateurs (de l’époque et d’aujourd’hui) sous l’angle du « dahir berbère », dahir qui n’a jamais existé, considéré comme une pure invention des « nationalistes » (M. Mounib, 2002). Ils en ont même fait le dahir de « la discorde » et de « la naissance » du mouvement politique marocain qui s’inspire de l’arabisme et du salafisme. Ce dahir, dit « berbère », est celui du 16 mai 1930 (17 hija 1348), intitulé exactement, « dahir réglant le fonctionnement de la justice dans les tribus de coutume berbère non pourvues des mahkamas pour l’application du chraâ ». Il fut l’unique dahir mentionné comme tel dans la réforme engagée par l’État indépendant. Le dahir n° 1-56-014 du 6 chaabane 1375 (19 mars 1956) supprimant tout contrôle général ou spécial de l’administration de la justice chérifienne précise dans son article 3 que toutes les dispositions contraires au présent dahir et notamment celles des dahirs des 7 kaada 1338 (24 juillet 1920) et 17 hija 1348 (16 mai 1930) sont abrogés. Le dahir du 24 juillet 1920 est celui portant sur la direction des affaires chérifiennes dont dépendait l’ensemble de la justice durant la période du Protectorat en zone française, et le dahir du 16 mai 1930 est le fameux dahir dit «berbère» portant sur la création de tribunaux dans les régions régies par la justice dite coutumière dans la zone française de l’empire chérifien. Il est curieux de constater que ce dahir de 1930 est le seul mentionné comme dahir à abroger, alors qu’il fut modifié par dahir du 8 avril 1934 (le dahir de 1956 ne mentionne pas cette modification) et nous pousse à l’interrogation suivante : Pourquoi le dahir de 1956 mentionne-t-il uniquement ce dahir de 1930 ? Cette omission de la modification subie par dahir du 8 avril 1934 signifierait-elle la reconnaissance de sa validité ?

    Après le transfert de la capitale de Fès à Rabat, loin des « Berbères », les services du protectorat de la zone française avaient mis en place un Bulletin officiel, en français et en arabe, afin d’y publier dahirs, circulaires et autres textes de lois qui les rendaient légaux par leur publication, selon la conception nouvelle de la légalité et de la légitimité. Un Code des obligations et des Contrats avait vu le jour, et fut promulgué par dahir du 12 août 1913. L’article 475 de ce dahir précise que la coutume et l’usage ne sauraient prévaloir contre la loi lorsqu’elle est formelle. Comment comprendre le sens de la coutume et de la loi d’après ce texte ? Il est clair que la loi est celle proposée par la puissance protectrice, quant à la coutume, c’est la loi des «indigènes» qui n’a aucune place dans les buts à vocation coloniale de la «modernisation» de l’empire chérifien. En Algérie voisine, nous rapporte J. Berque (1955), les magistrats français considéraient comme un corps de coutumes, l’ensemble des droits locaux, d’origine islamique ou non, par opposition au code civil. Cette tendance française de la conception de la coutume est fortement tributaire à la théorie romano-canonique de la coutume, qui donne à celle-ci un sens strict et précis, en parfaite opposition avec la conception anglaise et la place centrale qu’elle accorde à la coutume et à sa conception dans son propre système juridique. Que pourrait peser la coutume «indigène» face à la loi allogène dont les porteurs étaient convaincus de l’humanisme de l’esprit de la mission civilisatrice qui les animaient ?

    La réforme du système héritée de la période coloniale fut entamée avec le dahir du 19 mars 1956, supprimant tout contrôle général ou spécial de l’administration de la justice chérifienne. Il fut suivi par une série de dahirs visant la mise en place de nouveaux tribunaux de l’État indépendant dans les trois zones héritées, et plus tard les dahirs relatifs aux textes de lois qui font office de code. Pour l’organisation des tribunaux, on peut citer les huit premiers dahirs publiés en la matière :

    Dahir relatif à l’organisation et au fonctionnement des juridictions de droit commun (4 avril 1956)
    Dahir portant création de tribunaux régionaux et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (18 avril 1956),
    Dahir portant création de tribunaux de juges délégués et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (18 avril 1956),
    Dahir portant création de vingt-quatre tribunaux de juges délégués et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (10 juillet 1956),
    Dahir portant création de tribunaux de juges délégués dans le ressort des anciens tribunaux coutumiers (25 août 1956),
    Dahir portant création de tribunaux de cadis dans les anciennes tribus dites « de coutume » (25 août 1956),
    Dahir portant création de vingt tribunaux de cadis dans les anciennes tribus, dites de « coutumes », et déterminant leur composition et leurs ressorts (25 août 1956),
    Dahir portant création de vingt tribunaux de juges délégués et déterminant leur composition, leur siège et leur ressort (25 août 1956).
    D’autres textes suivront plus tard, et entre 1956 et 1958, période du bouclage du dispositif juridique et judiciaire, les textes et dispositifs ont été menés par une commission composée de juges des ex-tribunaux chérifiens de la zone française, de Allal Al Fassi, Mokhtar As Soussi et Mustapha Bel Arbi Al Alaoui (trois éminentes personnalités de tendance salafiste), ainsi que le prince Hassan comme président honoraire de la commission au titre de ses compétences dans le droit français. Les textes adoptés étaient un amalgame entre la loi française et la loi makhzen disait un observateur américain de l’époque, I. W. Zartman (1964). Ce dispositif connaîtra son apogée avec « la marocanisation » de la profession et «l’arabisation» des textes français en 1965, ce qui a entraîné le champ juridique marocain dans un nouveau labyrinthe et qui soulève ainsi une nouvelle problématique.

    L’État national indépendant n’avait fait qu’intégrer les différentes zones héritées de la période coloniale à l’héritage jacobin français. « L’unification » et l’intégration des différents espaces juridiques au sein du même espace « national », au lendemain de l’indépendance ou de 1975, ne se passa pas sans heurts entre l’État et « les citoyens » des régions concernées. Ceci n’est pas spécifique au Maroc ou à la nature de son « régime ». L’Algérie voisine, « socialiste » « populaire » et « révolutionnaire », n’a pas échappé à la règle de reconduction pure et simple des lois « coloniales » au lendemain de l’indépendance. L’Algérie avait changé de législateur sans changer de législation, disait E. Chalabi (1992)

    4. Azerf ou la loi positive marocaine et le faux débat

    L’ensemble des éléments soulevés ci-dessus a contribué à fausser le débat sur azerf et la loi d’origine marocaine que la majorité des recherches ont réduit au statut de coutume selon la terminologie française et le sens de la coutume en droit français. Comment aborder ce sujet réduit à sa version la plus caricaturale dans laquelle la terminologie juridique française de l’époque coloniale l’avait confiné ? « Les nationalistes » et les chercheurs qui ont repris leurs visions dans le champ savant ont contribué à « disqualifier » la loi positive marocaine et ont opposé systématiquement la notion de chrâa à azerf sans se poser la question sur la nature du chraâ et ses domaines d’application au Maroc avant et pendant l’intervention coloniale.

    La recherche marocaine reste encore pauvre dans ce domaine. Et il lui a suffi que la recherche de la période coloniale s’intéresse aux lois dites «coutumières», à des fins politiques de domination et non de valorisation, pour disqualifier celle-ci et l’expulser du domaine de l’enseignement universitaire et du cursus de formation des magistrats et professionnels de la justice aujourd’hui, par crainte pourrait-on supposer, que ces curiosités seraient une pure invention coloniale ou encore susciter l’intérêt à ce qui peut semer la discorde au sein de la nation marocaine « arabe ». Pourtant, et jusqu’à nos jours, de nombreux domaines continuent à être régis par «la coutume» et les litiges qui surviennent dans les champs de son application ne trouvent chez les magistrats que dédain, et rarement de la compréhension voire de l’application pour résoudre des conflits dont aucun texte «officiel» ne peut trouver issue.

    Que savons-nous sur azerf (loi), ikchouden (tables de la loi), orf (coutume), kanoun, taâqqitt (écrit), tayssa et amsissa ? Pourquoi oppose-t-on systématiquement la chariâa à azerf alors que celui-ci est basé sur taguallit (serment) ? Comment se sont comportés les jurisconsultes durant les différentes périodes de l’histoire nord-africaine avec l’ensemble de ses dispositifs ? Comment se sont comportés les différents États qui se sont succédés au Maroc et en Afrique du Nord et subsaharienne avant et après l’Islam ? Que disent les Nawazil des Fouqahas à propos des litiges qui leur sont soumis et comment se déterminaient-ils ? Qu’est-ce qu’un Cadi, un Adel, un Mufti, un Faqih, un Agwrram, un Charif, un Amzzarfu, un Anflous, un Amzrag, un Amghar, un Ou Ljmaât ou un Anhcham dans l’histoire du Maroc ? Qu’est-ce que signifie la soumission ou non à l’autorité directe ou indirecte à l’autorité d’un État dans le domaine judiciaire ? Les tribus ou les villes soumises aux différents Sultans, Émirs ou encore Beys ou Deys qui se sont succédés au long de l’histoire musulmane des quatre derniers siècles en Afrique du Nord, ignoraient-elles azerf dans leur fonctionnement quand elles avaient à leur tête un représentant des autorités en question ?

    La place que la France coloniale avait réservée à la coutume ne doit pas masquer la richesse de ce patrimoine juridique, culturel et historique dont l’étude doit être développée. Nous en avons la preuve à travers L. Mezzine (1987) qui a étudié le XVIIe et le XVIIIe siècles dans l’actuel sud-est marocain. Son étude avait utilisé, entre autres, le texte d’une taâqqitt où est consignée 401 articles régissant le fonctionnement d’un qsar qui dépendait de la tribu des Aït Atta, au XVIIe siècle. Si ce texte constitue le bonheur de l’historien soucieux de comprendre le passé des Hommes dans leur relation avec leur temps et leur espace, il constitue également une source d’une grande importance pour le juriste ou l’anthropologue soucieux de comprendre la philosophie de droit sur laquelle a reposé cette production juridique, d’une société locale donnée, dans sa relation avec les autres composantes de son appartenance tribale et territoriale, ses ressources économiques et ses enjeux «stratégiques». Cette taâqqitt constitue un maillon dans la chaîne de transmission des textes relatifs aux lois, que les Français avaient trouvés en fonctionnement lors de leur arrivée, et dont certains historiens (Al Baydaq) ont mentionné le fonctionnement à l’époque de l’empire almoravide (IXe – Xe siècles).

    Le droit catalogué comme coutumier continue à fonctionner aujourd’hui en ce début du XXIe siècle, droit qui continue à pallier l’absence de droit étatique. Ce droit est en vigueur en ville comme à la campagne et continue à fonctionner malgré son expulsion par les autres droits « reconnus » (M. Tozy & M. Mahdi, 1990). On peut même citer des domaines où il fonctionne encore : l’agriculture, l’élevage, les corporations des métiers, certains domaines immobiliers, le commerce… Cette expulsion progressive qui a duré tout au long du XXe siècle a réussi l’institutionnalisation d’un ensemble de droits hiérarchisés selon les besoins des décideurs. Est-ce une raison pour ne pas chercher à comprendre comment le droit marocain a assuré la pérennité des structures sociales et le maintien de l’ordre au sein des groupements qui composent le tissu territorial, social et culturel marocain et nord-africain ? L’étude de ce droit, ses textes et nawazil y afférentes nous offrent non seulement, un élément indispensable dans l’étude et la compréhension de l’histoire du Maroc jusqu’à la conquête coloniale (L. Mezzine, 1987 ; A. Sidqi Azaykou, 2002), mais aussi les éléments d’un débat sur la re-territorialisation de l’espace national dans le contexte de l’évolution mondiale vers le régional et l’extra-national.

    Références :

    J. Berque, Structures sociales du Haut Atlas, Paris, PUF, 1955.
    E. Chalabi, « Droit, État et pouvoir de l’Algérie coloniale à l’Algérie indépendante », in NAQD, n°3, Alger, 1992.
    M. El Qadéry, L’Etat-national et les Berbères au Maroc. Mythe colonial et négation nationale, Thèse de Doctorat, Montpellier III, 1995.
    L. Mezzine, Le Tafilalt. Contribution à l’histoire du Maroc aux XVIIe et XVIIIe siècles, Publication de la Faculté des lettres et des sciences humaines, Rabat, Série thèses 13, 1987.
    Mohmmad Mounib, Adhahir ‘al barbari’ akbar oukdouba siassiya fi al maghrib al mou’aâssir, Rabat, Dar Bou Regreg, 2002.
    A. Sidqi Azayku, «Fatawa baâdh oulama al janoub bi khoussoussi nidham ‘inflass’ bi al atlas al kabir al gharbi fi awaïl al qarn sabiâa âachar», in Histoire du Maroc ou les interprétations possibles, Rabat, Centre Tarik Ibn Zyad, 2002.
    G. Surdon, Psychologies marocaines vues à travers le droit, Conférence donnée le 21 juin 1929, au cours préparatoire au service des Affaires indigènes, Publication de la Résidence générale de France au Maroc, Direction générale des Affaires indigènes, 1929, Rabat.
    M. Tozy & M. Mahdi, «Aspects du droit communautaire dans l’Atlas marocain», in Droit et Société, Revue internationale du droit et de sociologie juridique, n°15, 1990, Genève.
    I. W. Zartman, Destiny of a Dynasty: The Search of Institutions in Morocco’s Developing Society, University of South Carolina Press, 1964.

    #207602
    Ali
    Membre

    slt tt le monde

    je viens de constater que s’afait longtemp que j’ai pas participer a ce forum , Donc j’ai pris largement de temp pour observer les pour et contre avis que les gens de notre region poste et analyser leur point de vue .

    en fin de compte ya seulement une minoritée qui pense objectivement pour le developpement de notre region.



    s’afait presque une annee et demi que j’ai posé l’idee de creer une association qui aide notre region pour ce developper au niveau national et international, je pensais que je vais avoir l’accord de tt le monde sur mon e-mail, mais malheureusement durant toute cette periode juste deux personne que j’ai reçu leur accord.

    ce que je viens d’ecrire s’est pas vraiment important, mais le plus important ce que je veux que les gens de notre region comprennent, qu’ils se revveille de leur sommeil s’instruise sur le point de voir comment le monde fonctionne .

    Mais reveiller vous les gens d’oujda et de l’oriental ou on est dans notre pays le maroc …. je pense que notre region il est banni sur tout les point de mesure qu’une ville peut avoir pour essayer de la moderniser au niveau national et surtout international .
    je pense que le gouvernnement a oublier que oujda etais un centre de gravité au niveau national .
    meme les elus font aucun effort pour montrer notre ville au niveau national .
    ni festivité ni forum internationaux organiser a la hauteur pour essayer de faire venir les invesstisseur et les touristes .

    je sais que notre region est riche des potentialité economique comme l’agriculture les montagne les plage les monument historique,
    mais des fois je pense que s’est fait exprer pour ne pas developper la region de l’est .
    je sais pas pourquoi ?

    Anonymous
    Membre

    Salut à tous , salut Dahlia,

    – Dahlia :J’ai lu attentivement tes posts et ce que tu me dis sur certaines filles qui se laissent faire pour un but matérile est triste , mais ça ne m’ettonne pas , car on m’avait déjà dis ça.

    – Je persiste à croire que les filles qui font ça , sont plûtot des filles oportunistes et  » ambitieuses  » , plutôt qu’à plaindre . ceci dit , je ne tolère pas que des profs ( dont l’mmense majorité sont mariés ) , fassent ce type d’acte contraires aux principe de l’éthique et de notre religion.

    – Faire pression sur une étudiande pour obtenir des faveurs sexuelles , ça s’appelle du harcèlement sexuel et moral en France , et c’est très
    sévèrement punis ( forte amende et prison aussi selon la gravité des cas ).

    Le Droit français est fortement teinté des principes judéo chrétien , donc se retrouve sur beaucoup de point avec le droit musulman ( sensé être beaucoup plus sévère sur les affaires de moeurs ). La loi Marocaine est effectivement plus dure que la loi française sur le paier du moins , mais mlheureuse pas bien appliquée . Pourquoi ? parceu le citoyen autant que les instances judiciaires ont pris de salles habitudes ( corruption).

    – Par exemple , le cas d’un prof a oujda marié , qui à été attarppé sur le fait de relations sexuelles avec une secrétaire mariée aussi , s’en est sortie en payant non seulement la justice mais aussi le mari de la secrétaire .
    Ca monte la compléxité de la société moderne : ambigu , sournoise et hypocrite . Ici dans notre exmple , personne n’a joué son role , ni le l’homme marié fautif ( pourtant musulman pratiquant ), ni la femme marié avec des enfants pour sa dignité , ni le mari ( indigne qui choisi de noyer le poisson par faiblesse et contre compensation financière ), ni l’état qui en fait aurait due sanctionner tout le monde en fonction de sa faute , pour marquer le coup et montrer l’exmple afin que d’autres personnes réflechissent a plusieurs fois avant de faire la faute .

    – Ceci pour illustrer et montrer que c’est toute une société qui doit etre exigente et sur le qui-vive . Dans le cas d’une étudiante : une éducation morale et religieuse , avec un encadrement non mixte à la cité universitaire par des personnes de confiance et matures diligentés par l’administration universitaire .
    En outre, les parents d’étudiants doivent etre actifs auprès de l’administration en ayant des représentants qui connaissent les lois et qui doivent alerter non seulement le doyen , mais aussi les autorités de polices.

    – En outre , une association d’étudiants peut etre montée hors du cadre de l’université , avec le soutient de représentant du peuple : députés ( c’est leur travail ), présidents de commune etc… A priori , et Legalement rien ne vous interdit de creer une association de protection contre le harcèlement sexuel et moral en mileiu étudiant et lycéen ( c’est un vrai fléau ).

    Vous observez , que des avocats offrent leurs services à ce type d’association, avec des prix très bas ( cça existe des avocats intègres )

    Bref c’est une véritable alchimie que d’infleur sur les évènements avec une association. Donc , du courage …

    – Dahlia , je connais beaucoup de cas de filles qui ont réussi leur étude par le travail , malgrés la présnce de profs injustes . En France , une fille qui n’arrive pas par les études , fait un métier ( patisserie , fleuriste , couture, restauration … une formation professionalisante , laquelle 50% des cas la mène a créer sa propre petite affaire.
    Donc l’excuse d’user de son corps pour subvenir à des  » besoins  » , meme familiaux , ça s’appelle de la prostitution et c’est la plus mauvaise des solution, vue qu’ à la fin la personne se détruit psychiquement ( c’est une forme de suicide ), et finie par sombrer socialemnt , physiquement , financièrement , et moralement .

    – Marchandiser son corps , l’expérience le montre en europe , ca amplifie le crime et le désordre social, à tel point que des états reviennent en arrière , car ça détruit le noyau familial, ça augmente le nombre de réseau criminel ( a l affu d’agent facile a gagner ), la consomation de drogues dures , la délinquence juvénile et les crimes patholigiques ( crimes sexuels )…. et j en passe .
    Une fille qui gagne en une jour , ce qu’elle pourrait gagner en un mois en utilisant ses facultés  » nobles » ( intellectuelles par exemple) , sera a elle tentée à travailler ? réflechir ? faire des enfants saints ? maintenir son mari dans un couple équilibré ? … La réponse est évidemment non.

    C’est donc un choix , peut vivre sans valeurs morales ? véritable débat …

    – Le blog a mon avis ce ne peut une que le complément d’une action locale, associative , et légale . Une blog seul , ça peut dériver très vite et devenir un outil de délation mensongère.

    – pour ce qui concerne mon aide , je veut un dossier complet avec des preuves concrètes et des témoignages (qui seront vérifiés ). Et je verrais ce que je peut faire .

    A bientot chers compatriotes .

    #201419
    ESTRELLA
    Membre

    bonjour a tous !!

    on vient de me passer le site, et je suis ravie d’etre une des oujdinautes 🙂

    j’espere pouvoir passer d bons moments avc vs, et vs avc moi aussi 😉 ………@+

    #211050

    En réponse à : Réalités Orientales …

    dahlia
    Membre

    chui trooooooooooooo contente que tu sois la oujdia ❗
    Ravie aussi de pouvoir te lire 😉
    mais dis donc ??? t’étais ou avant 🙂 En tout cas je te salue pour ta manière de penser tout est tout à fait juste et réelle …

    #211045

    En réponse à : Réalités Orientales …

    dahlia
    Membre

    chère oujdia1988 ,j’ai eu la chair de poule et les larmes aux yeux en te lisant…..

    Je suis ravie qu’il ait encore des femmes comme toi ,j’apprècie ton point de vue ,et si je parle et si je pense de cette facon c’est que je me vois dans pas beaucoup de temps aider ces meskins avec le moindre que je puisse avoir….et main dans la main nous y arriverons….Je suis sure ,et il ne s’agit pas seulement de faire des dons ou d’offrir ,mais bien aux cotés de cela nous devrions les sensibiliser à travailler à s’approprier de nouvelles facons de penser et d’agir ,de leur montrer qu’ils peuvent très bien se faire une fortune b « 3ér9 ktafhom » …bref ….que Dieu nous aide à bien faire ces petites choses ,wa « innama al a3malou bi anniyate »….et c’est du petit que nait le grand.

    amicalement chère oujdia

    #210663

    En réponse à : Visionnaires ?

    ahmed
    Membre

    @dahlia wrote:

    je suis sure que les idèes ne manqueront pas .

    mais qui finance ??????

    chere Dahlia, l’idee represente plus de 90% de project. s’il y a des idees originalles je serai ravi de signer un agrement de confidencialite. mais il faut avoir un business plan bien « sexy » (une etude de marche bien approfondee), pourque je puisse convaincre mes associers.
    bon courage les jeunes.

    #211032

    En réponse à : Réalités Orientales …

    al-mansi
    Membre

    Salam alaykoum,
    al-mansi est ravi de vous retrouver 😀

    notre chère dahia tiens toujours à son idée 😯 c’est à nous les paresseux de bosser 😀 c’est à nous de faire des efforts pour cueillir des fruits 😀

    mais bon sang notre problème est avec ceux qui récoltent sans faire aucun effort !!

    mais bon sang notre problème est avec ceux qui sont entrain de cueillir les fruits de nos plantes!!

    mais bon sang notre problème est avec ceux qui mangent le blé que des pauvres ont semé !!!

    dahlia arrète ton utopie platonienne STP

    on est dans un monde régit par la loi de la jungle où le plus fort mange le plus faible.

    on est dans un monde pourri avec des gens pourris qui sont là pour pourrir la vie des autres

    à qui tu demande de faire des efforts ? à quelqu’un qui a souffert pendant des dizaines d’années détude et qui a passé 100 concours sans réussir aucun ?

    à qui tu demandes de faires des effoerts? à des illetrés qui n’ont pas eu la chance d’aller à l’école et qui n’auront jamais la chance d’être « formés » pour trouver un travail ?

    à qui tu demande de faire des efforts ?

    #201275

    Sujet: ami pour toujours

    dans le forum Café OujdaCity
    Anonymous
    Membre

    salut les oujdi bravo!!!!!!!!!
    ravi 2 vous connaitre

15 réponses de 271 à 285 (sur un total de 291)
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