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15 réponses de 66,751 à 66,765 (sur un total de 70,646)
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  • #213773
    hafid
    Membre

    Ibn Arabí, Muhammad b. ‘Abd Allah,. (1076-1148)sevilla andalusi

    #213772
    hafid
    Membre

    Ibn’Arabî est considéré comme le plus grand des maîtres de la spiritualité islamique. Sa doctrine qualifiée de “monisme existentiel” a dominé et revivifié la spiritualité soufie soulevant parfois les plus vives résistances au sein de l’Islam. Sans prétendre résumer en quelques mots son œuvre littéraire colossale (plus de 400 ouvrages), nous pouvons toutefois nous arrêter sur le fait qu’Ibn’Arabî ne fait aucune distinction entre le Créateur et sa créature de sorte qu’il considère cette dernière comme une possibilité divine. Dieu crée par Amour de se faire connaître et sa créature est la manifestation de cet Amour. Tous deux sont donc indissociablement liés par cette énergie d’Amour. En outre, l’homme étant issu de Dieu, il possède sa conscience et a donc la possibilité de se reconnaître. Par extension, à l’image de l’artiste qui se fait connaître par son œuvre et de l’œuvre qui nous éclaire sur l’artiste, se découvrir soi-même c’est découvrir Dieu en soi et découvrir Dieu c’est se découvrir soi-même. La réalisation de cette réunion au Divin par la connaissance de l’Amour est donc pour lui le but de toute vie spirituelle.

    #213846

    En réponse à : "la nuit de l’ereur"

    hafid
    Membre

    ليلة الرعب هي الليلة التي ولد فيها ..ازناسن.. 😆 😆 😆

    #213698

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    hafid
    Membre

    الاخ فادي انت تعيش في مراكش , .مراكش التي كانت عاصمة المرابطين ,الدولة التي كان عمادها الاسلام كانت قوية اقتصاديا وعسكريا وسياسيا.اما انت يا فادي اليوم تعيش في مراكش العلمانية التي يباع فيها الخمر جهرا.. واصبحت قبلة للسياحة الجنسية ,ولهذا تاثرت افكارك يا اخ فادي .

    #213845

    En réponse à : "la nuit de l’ereur"

    dawy
    Membre

    Salut,
    La nuit de l’erreur c’est celle où t’as été conçu. 😆

    #201508

    Sujet: Les enfants de la misere

    dans le forum Débats
    ahmed
    Membre

    Marrakech : les enfants de la misère envahissent les rues
    LE MONDE | 10.06.06 | 15h00 • Mis à jour le 10.06.06 | 15h00
    MARRAKECH ENVOYÉE SPÉCIALE

    lle a trois mois et boit son biberon toute seule, couchée dans son lit à barreau. On a coincé le flacon entre les pattes d’un ours en peluche posé sur sa poitrine. Comment faire autrement ? Il n’y a dans cet orphelinat, cet après-midi-là, que trois assistantes maternelles pour 72 nourrissons. Les jeunes femmes travaillent dix-huit heures par jour et, malgré leur fatigue, se montrent efficaces et patientes.

    Mouna est l’une des rares petites filles recueillies par cette crèche de la Ligue marocaine pour la protection de l’enfance, à Marrakech. On compte en moyenne dans l’établissement une fille pour neuf garçons. On n’abandonne pas une petite fille, au Maroc. C’est une denrée précieuse. Une fille, c’est utile et c’est docile. On pourra toujours la faire travailler comme « petite bonne ».

    Les garçons, eux, sont légion. Amine, quatre mois, a été retrouvé en pleine rue, enfermé dans un sac plastique, au bord de l’asphyxie. Fouad, six ans, a été « oublié » par sa mère, il y a six mois, sur la place Jemma El Fna, au milieu des touristes et des charmeurs de serpents. Quant à Soukaïna, deux ans, elle a été vendue à deux reprises par sa mère, pour 500 dirhams (50 euros).

    Au Maroc, les enfants de la misère ne se comptent plus. Le pouvoir est conscient du problème. Il a décrété le 12 juin « journée nationale de lutte contre le travail des enfants ». Mais par quel bout aborder un dossier aussi vaste ? Enfants non scolarisés. Enfants « sniffeurs » de colle. Enfants exploités sexuellement…

    Combien sont-ils à travailler, entre sept et quinze ans ? Il est difficile de le savoir, 90 % des petits marocains entrent dans le cycle primaire, mais plus de la moitié abandonnent l’école avant le secondaire. Environ 600 000 jeunes de moins de 18 ans sont hors du système scolaire (sur une population de 30 millions). Les uns atterrissent dans la rue ou dans des ateliers d’artisanat, les autres dans des familles bourgeoises, comme petites domestiques.

    A Marrakech, – première destination touristique du Maroc – on parle davantage du problème des enfants dans la rue que des enfants des rues. Ici, à l’inverse de Casablanca, les jeunes en situation précaire disposent, la plupart du temps, d’un semblant de famille – une mère célibataire et analphabète le plus souvent – et d’un toit. Mais, à l’exode rural, au chômage, à l’éclatement familial en augmentation vertigineuse, s’ajoutent les problèmes liés au tourisme. La mendicité est le premier d’entre eux, bien plus que la pédérastie, dénoncée par les médias.

    En ce début de matinée, les touristes sont rares sur la place Jemma El Fna. Les enfants-mendiants aussi. Ils n’arriveront que vers 14 heures, après avoir dormi. Tandis que leurs mères dessineront des arabesques au henné sur la paume des passantes, ils vendront des Kleenex, des sacs plastiques, ou se contenteront de tendre la main. Quand ils iront se coucher, vers minuit, ils auront récolté quelque 200 dirhams, soit 6 000 dirhams mensuels, alors que le smic est à 2 000 dirhams.

    « C’est dur, dans ces conditions, de convaincre les mères d’envoyer leurs enfants à l’école. Elles me disent toutes : « mais avec quoi vais-je les nourrir s’ils cessent de me rapporter de l’argent ? L’urgence, ce n’est pas de mettre mon fils à l’école, c’est de me trouver un travail ! » », raconte Karima M’kika, jeune fondatrice et directrice d’Al Karam, association qui se consacre aux enfants en détresse.

    Pour comprendre le problème des enfants au travail, il faut « dépasser les clichés que l’on a en Occident », souligne Fouad Chafiqi, universitaire spécialiste des sciences de l’éducation et consultant de l’Unicef. Beaucoup de ruraux voient « comme une bénédiction », explique-t-il, le fait que leurs fils et filles soient engagés comme apprentis ou « petites bonnes » peu après leur arrivée à Marrakech. De leur côté, les employeurs ne sont pas loin de penser qu’ils « font le bien » en sauvant ces enfants du vagabondage.

    Au fin fond de la médina, du côté du souk des tanneurs, Khalid, jeune éducateur de rue employé par Al Karam, semble découragé. « La sensibilisation et l’éducation ne suffisent pas. La vraie solution est économique. Il faudrait des programmes de réinsertion sociale », soupire-t-il. Khalid s’inquiète d’un phénomène en plein essor : « les parents fugueurs ». De plus en plus de mères viennent lui dire : « Je n’en peux plus. Débrouillez-vous avec mes enfants, moi, je renonce ! » Et elles partent pour une autre ville.

    Soumis aux pressions internationales pour réduire les dépenses publiques, le pouvoir marocain semble hésiter sur la conduite à tenir. On lui reproche souvent de privilégier les apparences. Les initiatives, il est vrai, ne manquent pas : coup d’envoi, en juin 2005, d’un ambitieux programme, « Le Maroc digne de ses enfants » ; préparation d’une loi réglementant le travail domestique ; signature, le 6 mai, d’un accord de partenariat entre l’Unicef et la willaya de Marrakech, etc.

    Sur le terrain, se plaignent de ne pas obtenir de budget dès qu’elles s’écartent du « spectaculaire ». « Un « généreux donateur » est venu proposé un centre exclusivement consacré aux enfants abusés sexuellement !, raconte, d’un air las, la responsable d’une association d’aide à l’enfance. Nous manquons d’éducateurs et de travailleurs sociaux. Personne ne veut prendre en charge leurs salaires. Or nos urgences sont là, dans l’invisible. »

    Florence Beaugé
    Article paru dans l’édition du 11.06.06

    mco91
    Membre

    لا إله الله إلا الله..

    لا حول ولا قوة إلا بالله

    je me demande quand dieu va nous demandé qu’est ce que vous avez fait pour vos fréres musulmans qui se font masacrer tous les jours!!!!!
    qu’est ce qu’on va répondre ❓ ❓ ❓

    mco91
    Membre

    😥 😥 😥 la hawla wala 9owata ila billah 😥 😥

    #201507
    Iznassen
    Membre

    « Areqqas » le facteur dans la langue des Marocains. « Areqqas  » signifie en Tamazight la personne chargée de transmettre une lettre, une parole, un bien entre les gens.

    Le mot est entré dans la Darija  » Reqqas »; mais il disparaît pour être remplacé par « lfactour » (Le facteur), puis enterré définitivement par la politique d’arabisation agressive.

    Heureusement le mot  » Areqqas » survit toujours chez les Amazighophones. Il est aussi utilisé actuellement pour désigner l’aiguille d’une montre. L’aiguille faisant un mouvement de va et vient comme un « Areqqas » qui fait l’aller-retour pour transmettre la lettre

    #201506

    Sujet: L’architecture amazighe

    dans le forum Divers
    Iznassen
    Membre

    #201505
    Iznassen
    Membre

    L’archétype de la Rifaine, telle qu’on peut en croiser encore aujourd’hui: large chapeau à pompons et serviette rayée autour de la taille.

    Mère courage aux pieds nus, mais au regard d’acier, exalant la fierté et la détermination des montagnards du Rif.

    #201504

    Sujet: Le Maroc d’antan

    dans le forum Divers
    Iznassen
    Membre

    #213802
    sfinks59
    Membre

    we c ca elle nié 😯 nimporte te qoi et salafia aljihadia qui ete lie avec alkaida et qui ete deriere les attenta de casa quest ce vous appelé ca 😈

    #213801
    Ibn al arabi
    Membre

    انتم وراء الكيبوارد وتحكمون على الناس اهم مجرمون ام ابطال !

    الرجل الشهيد كان في ساحة المعركة ويفتون له كبار العلماء

    اما انتم ماذا قدمتم لدينكم

    مع العلم ان القاعدة نفت جميع ما نسب اليها من العمليات التي تستهدف المدنيين والمساجد والاسواق, ارجوا المطالعة على مقالات الكاتب والصحفي الكبير robert fisk

    #213697

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    al-mansi
    Membre

    @fadi wrote:

    Ou sont ces lois inspirés par l’Islam ??

    justement !!! aucune loi n’est islamique sauf l’heritage comme t’as dit !!!

    donc, donc …… et donc…

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