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L’effondrement d’un immeuble en construction, mercredi matin à Hay Oulad Wajih à Kénitra, a fait six morts et 26 blessés. Monsieur le ministre a insisté sur la nécessité de déterminer les responsabilités à tous les niveaux en ajoutant qu’une enquête a été ouverte à ce sujet.
A qui peut être incomber la responsabilité primordiale de cette effondrement?
Est-ce que c’est le propriétaire et le constructeur de l’immeuble qui peuvent avoir cette responsabilité? Ou Est-ce que c’est l’une des commissions qui a délivrée l’autorisation de construire? Ou peut être se sont les contrôleurs des infractions en matière d urbanisme?
L’article 64 de la loi n°12-90 relative à l’urbanisme indique les personnes qui peuvent effectuées les tournées de contrôle des chantiers de construction. Généralement se sont des techniciens relevant de la commune ou de la préfecture concernées, des fonctionnaires de l’autorité locale, de l’Agence urbaine ou de l’Inspection régionale de l’urbanisme, de l’architecture et de l’aménagement du territoire. Mais a qui on donne la priorité ? et est ce que le controle a ete realise?
Quant à la tâche qui incombe au contrôleur, la loi prévoit que « l’agent ayant constaté une infraction […] en établit procès-verbal qu’il transmet dans les plus brefs délais au président du conseil communal, au gouverneur concerné,[au procureur du Roi] et au contrevenant » Cependant, en réalité le contrôleur ne s’adresse directement à aucune entité administrative à l’exception du président de son conseil communal.
Est-ce que les constats d’infraction ont étés effectuées au bon moment afin d éviter la longueur de la période des poursuites administratives et judiciaire indiqué par les procès verbaux que souvent terminent leurs voyage au dessous des casiers des bureaux des malhonnêtes ou ceux qui n’a assument pas leurs responsabilités.
sinon l’article 67 de la loi 12-90 stipule que le président doit d’abord « notifier au contrevenant l’ordre d’arrêter immédiatement le chantier » dans un délai « qui ne peut être inférieur à 15 jours ni excéder 30 jours». Mais est ce que 30 jours n’est pas une longue période pour réparer peut être l’irréparable.
De plus le Président du conseil communal est tenu de « déposer plainte entre les mains du Procureur du Roi compétent aux fins d’engager les poursuites à l’encontre du contrevenant, en informer le gouverneur concerné et joindre à ladite plainte copie de la mise en demeure précitée et d’après les textes en vigueur, la juridiction compétente (procureur du Roi) doit engager les poursuites judiciaires à l’encontre des contrevenants dès la réception de la plainte déposée par le président du conseil communal elle est également tenue d’ordonner, aux frais du contrevenant, la démolition de la construction ou l’exécution des travaux nécessaires pour la rendre conforme à la réglementation en vigueur. Ces travaux doivent être exécutés dans un délai de 30 jours à dater de la notification du jugement devenu définitif.
Mais, pour arriver aux jugements définitifs, il faut passer par plusieurs étapes :
Dès la réception de la plainte déposée par le président du conseil communal accompagnée des pièces nécessaires, celle-ci est transmise à la police judiciaire en vue de programmer une audition pour le contrevenant. « L’objectif, précise ce responsable, est de s’assurer de l’identité du contrevenant.
Après réception du procès-verbal de l’audition et si le contrevenant n’a pas remis en cause son contenu, le procureur du Roi engage les poursuites judiciaires à l’encontre du contrevenant. La plainte constitue désormais un dossier référencé pour lequel sera programmée une audience. Le dossier est ainsi transmis à la présidence. Le président de séance demande au contrevenant des explications sur la nature et les motifs de l’infraction. Le jugement est, comme d’habitude, prononcé, après délibérations du jury, à la fin de la séance. Et enfin l’exécution du jugement par l’autorité locale
Généralement, ces sanctions sont soit des amendes, soit des démolitions, soit les deux à la fois. Cependant, ni les pouvoirs attribués aux acteurs concernés, ni les moyens mis à leur disposition, encore moins les peines infligées aux contrevenants n’ont pu garantir le respect des normes en vigueur. Bien au contraire, ils n’ont fait qu’inciter une bonne partie de la population à chercher les différentes possibilités de leur contournement. Sans oublie le dilemme des conseilles et du président de la commune envers le renouvellement de leurs mandats pour les prochaines élections ce qui reste comme un handicape a l’application de la loi.
alors pour quoi pas une police urbaine qui donne des avertissements, des amendes, et même des démolitions si nécessaire avec toutes les poursuites administratives necessire contre les contrevenant.
Ou est ce que la responsabilité incombe sur les présidents des communes qui, semble-t-il, bloquent le texte de loi 04/04, car ils estiment qu’il réduit leurs prérogatives, cette loi visant à limiter la construction de logements insalubres par des amendes et des peines privatives de liberté stipulées par cette loi contre les contrevenants. Celle-ci condamne, ainsi, les responsables qui délivrent des permis de construction sans tenir compte de la procédure en vigueur, à des peines d’emprisonnement allant de 6 mois à 4 ans et à des amendes de 100.000 et 500.000 DH ou à l’une des deux peines.
Enfin, est ce qu il faut plus de vigilance envers les responsables de prés ou de loin de ce genres des catastrophes.
Quant est ce qu’on commence a appliquer les lois de l urbanisme proposes par Monsieur le ministre? et quand est ce que on laisse les responsabilités aux agents compétents en la matière d’habitat et d’urbanisme? Quand est ce que on donne l’autonomie a cette ministere ou au moins la priorité dans la délivrance des autorisations, dans le contrôle des infractions, et dans la prise primordiale des démarches nécessaires aux poursuites administratives contre les contrevenant. Quand est ce que nous mettons fin à l’anarchie et limitons l’extravagance de certains présidents de communes.
A mon avis et malgré qu il y a encore des défaillance dans certains articles de la loi 04-04 cependant elle est beaucoup mieux que la loi 12-90 car le texte de cette loi vient clarifier la relation entre les autorités locales, les élus et l’autorité de tutelle. Il met au clair les responsabilités.source:
MAP
LE RAPPORT DES HABITANTS AU SYSTEME NORMATIF DE PRODUCTION DE L’ESPACE
LE PROJET DE LOI 04/04
AVEC MES POINTS DE VUE ET MES PROPOSITIONSSujet: Maroc et Denmark
Le ministre d’exterieur danois vient d’inaugurer la nouvelle ambassade danoise à Rabat ,ainsi promettant la consolidation des relations maroco-danoise notament dans le domaine droits de l’homme et la lutte contre l’emigration clandestine,l’epanouissement d’echange …
La question qui s’impose : a t-on oublié les caricatures provocantes ! le devoir de boycottage tant acclamé les foules!!
Sommes nous un peuple qui oubli vite ?!
Qu’en pensez vous?viser l’interet commun (s’il est bien commun ) , garder bonne relation avec l’aurte?ainsi garder le titre du pays gentil, la benediction des nations unis ,et decrocher quelques contrats bilateraux?
oubien, c’est une deuxieme humiliation de tendre la main à ceux qui nous ont insulté et blessé notre fierté?
Que dites vous??Sujet: Sur les traces de Bouteflika
Les gens qui l’ont vraiment connu ne sont plus de ce monde, mais toute la ville d’Oujda sait que votre raïs a fait ses études dans cette école. » Depuis le temps qu’il traîne ses guêtres dans la vieille médina d’Oujda, Laabidat connaît son quartier comme ses deux poches.
Oujda (Maroc). De notre envoyé spécial
Gardien de parking, il a l’oreille aux aguets et l’œil sur tout. Bien sûr, Laabidat est trop jeune pour prétendre tout connaître du passé de sa ville, mais il n’est pas moins informé de l’histoire des lieux. « Bouteflika est né ici…..
la suite de l’article:
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http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=74149[/url]
La Planète des Singes : Première partie, Chapitres I et II
(1)
08/01/2008Oujda City : La Planète des Singes : Première partie, Chapitres I et II
بقلم : tayeb zaidLe chapitre I fait office de démarreur à l’histoire dont les péripéties se déroulent dans le fin fond de l’espace à une époque qui n’est pas celle du lecteur qui ouvre le roman pour le lire. La description du moyen de transport interplanétaire dans sa simplicité apparente mais ingénieuse, utilisé par le couple Jinn et Phyllis, augure que le voyage entrepris n’a pas de destination ni de terminus. Quant à la bouteille qui flottait dans l’espace et qui renferme un appel de détresse rédigé dans un manuscrit remis à l’espace, comme ceux que les marins en difficulté avaient coutume de jeter à la mer à une certaine époque, elle a deux fonctions narratives : -Elle sert à arrêter le récit porteur dont j’ai parlé dans un cours antérieur, c’est-à-dire, le récit de Jinn et Phyllis.
Le récit porteur s’arrête à la fin du chapitre I de la première partie pour reprendre au chapitre XII de la troisième partie. -Elle sert à enclencher un autre récit, le récit dit porté, c’est-à-dire le récit de Ulysse Mérou. Le récit porté démarre avec le commencement du chapitre II de la première partie pour finir avec la fin du chapitre XI de la troisième partie. Cette technique, fréquemment employée au cinéma pour certains films d’aventure, consiste à faire lire par l’un des personnages qui ne participe pas à l’action de l’histoire, une lettre, un message, un manuscrit. Pendant que le personnage qui a découvert le document le lit, le spectateur du film voit, le lecteur du roman écoute ou lit derrière les épaules du personnage lecteur. Pour passer du récit porteur au récit porté, le cinéma recourt au flou, et le roman à la rétrospection.
Le chapitre II, lui, s’attarde longuement sur le motif du voyage, sur la conception du vaisseau spatial et surtout sur la vitesse de croisière à laquelle l’engin doit parcourir la distance séparant la Terre de Bételgeuse dont elle est distante de plusieurs années lumières. Si le concepteur de ce vaisseau capable de se déplacer à une vitesse proche de ou égale à celle de la lumière, est un génie de son temps, il n’a pas ignoré non plus l’impact du temps sur les voyageurs de l’espace. Comme le roman est écrit en 1963 et qu’à cette époque-là la technologie était encore à ses balbutiements, Pierre Boulle a choisi l’an 2500 comme point de départ et de référence pour ce voyage. Il fait appel à Einstein pour lui emprunter sa théorie de la relativité en vue de sa mise en application. Je crois qu’il a réussi à vulgariser une théorie qui a rebuté plus d’un en la rendant accessible aussi bien aux non initiés qu’aux jeunes lecteurs. Selon cette théorie, plus on s’approche de la vitesse de la lumière, plus le temps s’écoule lentement, ou, à la vitesse de la lumière le temps s’arrête comme disent les vulgarisateurs de l’extrême simplicité. Ainsi, l’auteur, par la bouche de l’éminent savant Antelle explique à ses lecteurs que l’aller de la Terre vers Bételgeuse durera 2 ans et le retour 2, que 2 ans pour les voyageurs sont l’équivalent de 350 ans pour les Terriens, ce qui revient à dire que 4 ans dans l’espace parcouru à la vitesse de la lumière sont équivalents à 700 ans pour les terriens sédentaires. Quand les voyageurs seront revenus dans 4 ans, ils trouveront la terre vieillie de 700 ans. Partis en l’an 2500, leur retour est attendu en l’an 3200. Admettons qu’au moment du voyage, Ulysse Mérou, reporter et narrateur, ait 30 ans d’âge, à son retour sur terre, il aura 30 ans + 2 ans (aller )+ 1 an ( séjour sédentaire sur Soror) + 2 ans ( retour) : il aura donc 35 ans d’âge. Parti en l’an 2500, il sera de retour en l’an 2505. POUR LUI.
Pour les Terriens, ils seront en l’an 3200 à peu près (chiffre relatif). Donc Ulysse Mérou a fait un voyage dans le temps, dans le PASSE. L’acte de suspendre le temps dont fait usage Pierre Boulle dans la Planète des Singes crée une interférence entre le temps personnel suspendu et le temps collectif en marche. Si Ulysse Mérou comme personne n’a avancé dans son siècle que de cinq ans, les terriens, eux, ont laissé derrière eux sept siècles. L’histoire de la Grotte que relate le Saint Coran dans Sourate ‘’AL KAHF’’, ne peut nous laisser indifférents. En effet, dans cette histoire, il a été question de jeunes garçons pieux ayant fui leurs contemporains qui les persécutaient pour leur foi. Il se sont endormis dans une grotte et à leur réveil : « Bien longtemps après, Nous les réveillâmes, comme jadis les avions endormis. Ils se mirent aussitôt, tout naturellement, à s’interroger :’’ Combien de temps sommes-nous demeurés ici ? – Un jour, dit l’un, ou peut-être moins encore. – Dieu seul le sait, conclut un troisième » (Al Kahf ; Aya 20). « Ils demeurèrent en leur caverne trois cents ans auxquels s’en ajoutèrent neuf » (Al Kahf ; Aya 25). Si pour Ulysse Mérou le processus de ralentissement a été généré par la vitesse, pour les jeunes de la Cavene, c’est tout le contraire, c’est par l’absence de mouvement ou par hibernation. Mais le résultat est le même. En revenant de l’espace, Ulysse Mérou retrouve la Terre vieillie de 700 ans ; en se réveillant de leur sommeil, les jeunes garçons la retrouvent vieillie de 309 ans. Dans les deux histoires, les personnages ont fait un voyage dans le PASSE. Il faut cependant noter que le cas du ralentissement du temps dans le Saint Coran est encore plus serré que dans la Planète des Singes. (Un jour ou moins= 309 ans # 4 ans= 700 ans) Le thème de la suspension du temps me fait penser à l’un des plus beaux poèmes de Lamartine dans lequel il adresse cette prière au temps : « Ô temps, suspends ton vol ! Et vous heures propices, //Suspendez votre cours ! » Pour finir, je laisserai Albert Einstein lui-même s’exprimer sur la portée de la manipulation du temps et pour l’avenir de la science et pour son avenir comme scientifique:’’Si la relativité se révèle juste, les Allemands diront que je suis Allemand, les Suisses que je suis citoyen suisse, et les Français que je suis un grand homme de science. Si la relativité se révèle fausse, les Français diront que je suis Suisse, les Suisses que je suis Allemand et les Allemands que je suis Juif’’.
« La Planète des Singes » est divisée en trois parties qui se subdivisent à leur tour en chapitres. Ce qu’il faut surtout retenir c’est la forme de la narration adoptée par Pierre Boulle pour faire parvenir aux lecteurs le contenu d’un récit dont les péripéties se déroulent loin d’eux et dans le temps et dans l’espace.
A- Le chapitre I de la première partie (de la page 5 à la page 9) et lechapitre XII de
la troisième et dernière partie (page 191) sont racontés à la troisième personne du singulier ‘’il’’ par un narrateur omniscient à focalisation zéro.
B- Tout le reste, à savoir du chapitre II de la première partie à la fin du chapitre XI de la troisième et dernière partie (de la page 10 à la page 190) est raconté à la première personne ’’je’’ par un narrateur personnage acteur du nom de Ulysse Mérou, à focalisation interne.Nous avons donc deux récits et deux formes différentes de narration.
Le chapitre augural (première partie, chapitre I) et le chapitre terminal (troisième partie, chapitre XII) servent à clôturer le reste du roman qu’ils encadrent ou enchâssent. Tous deux constituent le récit porteur.La partie comprise entre le chapitre I de la première partie et le chapitre XII de la troisième partie et qui va du chapitre II de la première partie au chapitre XI de la troisième partie, constitue un récit encadré, ou enchâssé appelé également récit porté car il est venu se greffer sur le récit premier ou porteur. Nous avons ainsi deux récits emboîtés l’un dans l’autre : un récit sur Jinn et Phyllis, un couple de riches oisifs qui voyagent dans
l’espace pour le plaisir et il occupe le chapitre premier et le chapitre dernier du roman ; un récit de Ulysse Mérou, un terrien parti à l’aventure dans l’espace avec un savant et son disciple et il occupe toute la partie intermédiaire. Le premier est raconté par un narrateur omniscient, le second par un narrateur acteur.
Les numéros des pages renvoient à l’édition ’’Pocket’’: tayeb zaid
Sujet: CANDIDE se marie
Réécriture de la fin du conte : Candide, de Voltaire. Pour les élèves de la deuxième année du baccalauréat.
-1- …Emporté par la colère et excité par les paroles du baron, Candide tira son épée et sans laisser le temps ni à Pangloss ni à Martin ni à Cacambo d’intervenir, il lui perça le ventre. Il retira son épée et la lui enfonça de nouveau dans la bedaine tout en criant : «Mort aux barons ! Mort aux ingrats ! Mort aux jésuites ! » Jamais on ne vit Candide dans cet état de furie. Il paraissait vraiment révolté contre
tout ce qui l’entourait. Il était au paroxysme de la colère. Il se livra alors à un soliloque de délire : « Moi qui n’attendais que ce moment ! J’ai été chassé du château, j’ai été pris et engagé de force dans l’armée bulgare, j’ai fait une guerre qui ne me concernait nullement, j’ai failli être brûlé vif, j’ai failli être rôti et mangé, j’ai quitté le meilleur des mondes qui puisse exister, j’ai été roulé, volé …Toutes ces mésaventures causées par le meilleur coup de pied possible, ce coup de pied du Baron ton père, que j’ai reçu à cause de Cunégonde, et toujours à cause de Cunégonde, toi aussi, tu veux m’empêcher de me marier avec elle ! Et quelle Cunégonde !! vieillie, enlaidie par le temps et l’Espérance, par les viols et les jouissances ! Après tout ce que j’ai fait pour toi, pour elle, pour tout le monde !… ». Ses paroles s’éteignirent, ses sanglots éclatèrent et ses larmes coulèrent. C’était l’être le plus malheureux de la terre, le plus malheureux du pire des mondes possible. Martin, pendant tout ce temps-là, regardait sans aucune expression. Il était sans aucun doute en train de compter les coups que Candide assénait au baron. Cacambo était au chevet de celle dont la beauté s’était fanée. En effet, en voyant Candide dans cet état et surtout lorsqu’elle vit jaillir le sang de son frère qu’elle venait juste de revoir après une longue séparation, Cunégonde tomba évanouie.
La vieille s’en alla chercher de l’eau. Elle criait et se frappait les cuisses, bien qu’au fond d’elle, elle approuvât le geste de Candide. Pangloss, quant à lui, fut indigné du geste de Candide et regardait d’un air effaré la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il avait peur d’être embroché à son tour, c’est pourquoi il n’osa pas s’approcher de lui. Cependant il ne cessa pas de répéter : « Ce n’est pas le Candide que j’avais éduqué selon la philosophie de notre grand maître … Ce n’est pas lui … Lui qui était tout innocence et candeur, ce n’est pas possible !… Est-ce là le meilleur des mondes possible
?!.. Mais oui , je ne dois pas contredire ce que j’ai appris de mon grand maître philosophe !…C’est vrai, ce mal particulier, engendrera sûrement le bien , c’est certain …Ce sera le mariage de Candide et de Cunégonde … Leur amour triomphera …Il a déjà triomphé !…Mais il reste à savoir si Cunégonde veut toujours de Candide, et si Candide y tient toujours !…Je dois passer à la vérification … De toute façon, vérification ou non, c’est toujours le meilleur des mondes !… N’est-ce pas là la meilleure preuve !… ».
(A suivre)
par Mohammed ARJOUNI


