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Un jeune lycéen marocain, condamné à un an de prison pour avoir porté atteinte à la devise nationale, a obtenu la liberté provisoire jusqu’au 5 novembre, date de son procès en appel.
La cour d’appel de Marrakech a accordé la liberté provisoire à Yassine Belassal, un lycéen condamné en première instance à un an de prison pour « offense au Roi », a indiqué l’Organisation marocaine des droits humains (OMDH) dans un communiqué.
La cour d’appel de Marrakech a décidé d’ajourner le procès au 5 novembre, a ajouté l’OMDH citant Me Jilali Hammoumi, l’un des avocats chargés de défendre le lycéen.
Yassine Belassal, élève de terminale scientifique à Aït Ourir (sud), avait été condamné en septembre par le tribunal de première instance de Marrakech à un an de prison et à une amende de 1 000 dirhams pour « offense au Roi ».
Contactés par l’AFP, deux avocats du lycéen, Jilali Hammoumi et Mustapha Errachidi ont affirmé que le dossier de la police judiciaire concernant Yassine ne fait aucune référence à l’inscription « Dieu, la Patrie, le Barça (le club de football, Barcelone) » que le jeune lycéen aurait écrite sur le tableau de sa classe au lieu de « Dieu, la patrie, le Roi ».
Cette affaire a été suivie par la presse espagnole. Selon la presse marocaine, le président du club de Barcelone aurait décidé d’intercéder auprès des autorités pour obtenir la libération de Yassine Belassal.
« L’essentiel pour nous, c’est que la loi et que les droits de la défense soient garantis », a déclaré à l’AFP Amina Bouayache, présidente de l’OMDH.
« Le sacré, c’est bien le respect de la loi », a-t-elle ajouté en allusion aux articles de loi qui punissent au Maroc la transgression des « valeurs sacrées », c’est-à-dire l’islam, la monarchie et l’intégrité territoriale.
A la veille du septième sommet de l’ASEM (Asia-Europe meeting), qui se tient à Pékin les vendredi 24 et samedi 25 octobre, le Parlement européen a décerné son prix Sakharov pour les droits de l’homme au plus célèbre dissident chinois emprisonné, Hu Jia.
Ces derniers jours, alors que des rumeurs insistantes circulaient à propos de l’attribution de ce prix prestigieux au jeune homme de 35 ans – qui comptait parmi les possibles récipiendaires du prix Nobel de la paix -, la diplomatie chinoise faisait le forcing pour dissuader les parlementaires européens de prendre une telle décision.
Dans une lettre adressée au président du Parlement de Strasbourg, Hans-Gert Poettering, l’ambassadeur chinois auprès de l’Union européenne, Song Zhe, avait ainsi prévenu que si ce prix devait être attribué à Hu Jia, « cela blesserait les sentiments du peuple chinois et aurait de sérieuses conséquences pour les relations Chine-Union européenne ».Ignorant les pressions de la diplomatie pékinoise, les parlementaires européens ont voté en faveur de ce militant des droits de l’homme qui a été arrêté fin 2007 avant d’être condamné à trois ans et demi de prison pour « subversion »(=comportement contraire à l’ordre social établi). M. Poettering lui-même a tenu à souligner, jeudi, sous les applaudissements de ses collègues, qu' »en décernant le prix Sakharov à Hu Jia, le Parlement européen envoie un signal clair de soutien à tous ceux qui défendent les droits de l’homme en Chine ».
NB / NE VOUS ARRETEZ PAS EN LISANT LA SUITE
A PROPOS DU PRIX » SAKHAROV «
Prix Sakharov pour la liberté de penser (aussi appelé Prix Sakharov pour la liberté de pensée et Prix Sakharov pour la liberté de l’esprit), qui porte le nom du scientifique et dissident soviétique Andrei Sakharov, fut créé en 1988 par le Parlement européen pour honorer les personnes ou les organisations qui ont consacré leur existence à la défense des droits de l’homme et des libertés.
Le Prix Sakharov est remis par le président du Parlement européen en session plénière du Parlement chaque année le, ou vers le, 10 décembre, en commémoration du 10 décembre 1948, date de signature de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies.
Windows 7 sera le remplaçant de Vista
Microsoft a surpris tout le monde la semaine dernière en annonçant très tôt, plus d’un an avant sa sortie, le nom de son futur système d’exploitation destiné à remplacer Windows Vista. Une surprise d’autant plus importante lorsque l’on sait que celui qui était jusque-là connu sous le nom de code Windows 7 conservera ce nom en guise d’appellation. C’est la première fois qu’un nom de code de Windows survit à la recherche d’un nom « commercialement correct » : « Memphis » était devenu Windows 98, « Whistler » Windows XP, et « Longhorn » Windows Vista.
Mais que proposera exactement le remplaçant de Vista ? D’après ce que l’on sait, il ne devrait pas trop s’éloigner de son prédécesseur d’un point de vue graphique, même si l’organisation des dossiers et des logiciels intégrés devrait être revue. A ce propos, ces derniers seront moins nombreux puisque Windows Mail et Windows Movie Maker ne seront pas intégrés à Windows 7. Il faudra les télécharger à part ou bien utiliser des services en ligne, comme Windows Live Hotmail pour le courrier électronique. En revanche, seront présents Internet Explorer 8 et DirectX11 pour les jeux et la vidéo. Enfin, cette dernière version de Windows devrait représenter un progrès en matière de reconnaissance vocale et de reconnaissance d’écriture manuscrite.
Dernière précision : ce nouveau système d’exploitation devrait être capable de fonctionner sans problème sur les configurations actuelles. Une belle promesse qu’on ne pourra juger que sur pièce !