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Cela fait belle lurette que je n’ai pas rencontré Jelloul, j’ai décidé de lui rendre visite chez lui. Arrivé là-bas, le nouveau locataire m’a dit que la personne que je cherchais a déménagé, il y a presque une semaine. Je lui ai demandé :_ « Ou est-ce que je pourrai le trouver ?
Il m’a répondu qu’il n’en savait rien ; mais, quelque fois, il lui téléphonait pour avoir des nouvelles de son petit chat.
_ « Quel chat, ai-je dit
Il m’a répondu tout en souriant :
_ « Ah, si je vous raconte l’histoire, vous ne me croirez sûrement pas !
_ Mais si, dîtes toujours !
Puis, tout d’un coup , il a réalisé qu’on était entrain de parler sur le seuil de la porte .Alors, il m’a invité à entrer chez lui .Mais tout d’abord, il m’a demandé la permission de préparer la chambre des hôtes. Bien entendu, vous devez bien savoir que les Marocains ont un sens de l’hospitalité très développé. Pour cela, ils ont une chambre bien meublée et qui est la plupart du temps fermée .Cependant, il arrive qu’un invité de dernière minute arrive .Alors que faire sinon l’ouvrir pour l’aérer un peu .C’était le cas pour ma personne. Juste deux minutes se sont écoulées, quand mon interlocuteur est revenu .Alors, il m’a invité à entrer dans un superbe salon .Je me suis assis sur un grand sofa .Aussitôt, mon hôte a tapé des mains. Puis, une jeune fille de 14 ans est entrée avec un plateau qu’elle déposa sur la table .Après quoi, elle est sortie en courant .J’ai regardé le plateau un moment : il contenait une théière, trois verres et un plat de gâteaux variés .L’hôte a versé le thé dans les deux verres .Il m’en a tendu un et m’a dit :
_ « Servez-vous un peu de gâteau s’il vous plait.
Après avoir bu une gorgée, je lui ai demandé s’il connaissait Jelloul .Il m’a répondu :
_ « Je suis son cousin.
Comme l’éclair, je l’ai interrompu :
_ Son cousin Kabbour
Il m’a regardé aussi surpris qu’un chat à la vue d’un kangourou :
_ « Qui êtes-vous, a-t-il fini par répondre
Je l’ai rassuré d’un geste ; puis je lui ai dit que c’était moi qui écrivait les aventures de Jelloul .Alors, à son tour, il s’est levé et m’a tendu une main chaleureuse en me disant :
_ « Je suis enchanté de faire votre connaissance monsieur Houmidi
Et d’ajouter :
_ Mais, dites-moi professeur, pouvez-vous raconter mes aventures à vos lecteurs tout comme celle de Jelloul ?
_ Rien de plus facile, ai-je répondu ; mais…..
_Mais, quoi ?
_Est-ce que vous êtes comme Jelloul ?
_ Non pas du tout ….Moi j’aime surtout faire le bien
_ D’ailleurs, a-t-il ajouté, j’use de mon intelligence pour l’intérêt général pas à celui de mon profil personnel.
_ C’est ce qu’on va voir, ai-je conclu
Après avoir bu mon verre de thé, je lui ai encore demandé de me parler de l’histoire du petit chat.
_ « Ah, oui ! Excusez-moi
Et d’ajouter :
_ Je vais vous la raconter comme si vous y étiez.
A suivre
Sermon pour le repos de l’âme de Nouzha
SERMON POUR LE REPOS DE NOUZHA , CETTE GRANDE AME …
Prison de verre,
Prison de chair,
Prison de fer.Terre bénie entourée d’eau et d’ennemis ! Terres bénies habitées d’ennemis qu’elles ne méritent pas ! Guerres et meurtrissures, religions et morts, toutes vouées au même Dieu…Sinon à Mars et à Shiva ! Guerres contre le sous-développement, guerre des sables et contre la sécession…Et puis cette guerre des routes ! Chaque année nous versons sur l’autel des routes des milliers de nos âmes ! Nous avons Gaza et l’Irak, sans Bush, devant nous ! Et là Nouzha !
Parallèlement…Un combat entre frères, depuis des lustres, un combat entre voisins sans visions, poussés par la haine et la jalousie, une lutte à l’intérieur de chacun, une lutte entre la vie et la mort, l’existence et l’anéantissement ! Entre la vie donnée, on ne sait comment, ses avantages, ses contraintes, ses limites ponctuées par les souffrances et les maladies, réglée pour mourir, il y a l’espoir pour certains, vécu avec foi, une foi investie comme un pari ou une assurance, une foi à toutes épreuves vécue comme un don ou une vertu !
Mon corps est ma terre ! Prison de chair, prison de verre, prison de fer ! Quelle est la différence entre la vie des hommes d’ici et celle des poissons dans un bocal ? Et ce, quelle que soit la taille du bocal où il se meut !
Le poisson se meurt dans un bocal ! Ce doit être l’eau de cette p… de ville, ou de cette ville de p…, ! Avec mes respects indus aux vraies p…., celles qui travaillent dans un secteur hyper dangereux, et sans filets de sauvetages ! Et puis, il ne s’agit pas que de cette ville ou de ses routes ! Surtout n’excusez pas ma colère ! Puisse-t-elle s’abattre comme une malédiction mystique sur les coupables !Ils ont javellisé cette eau de boisson, plus qu’il ne faut ! La bonne eau de cette région est exportée Dieu sait où et pour en faire quoi ? Cette pourriture qui a tué le poisson blanchit nos intestins, mal remplis, non pour les ravaler mais pour nous fragiliser et nous avaler ! …/…
Alors, pourquoi ce transfert ? Cette valse des idée ! Si vous n’aimez pas vos conditions d’assujettissement ou d’esclavage, pourquoi offrez-vous des canaris à vos enfants ? Des oiseaux pour les faire chanter et s’accoupler en cage ? Passe-temps qui symbolise notre propre état ? Dérisoire !
Pourquoi avoir un poisson dans un bocal ? Un oiseau qui a le ciel pour demeure naturelle, est mis en cage ? Des chats et des chiens, adeptes des toits, des fermes et des rues, tenus en laisse et gardés en captivité ? Pour collectionner les puces ou donner de l’affection ? Cette ‘’denrée’’ manque-t-elle aux nôtres ? Non, c’est une culture, celle de l’amour et de l’amour portés aux êtres les plus frêles… Et sur la nature, des fois, que l’on reporte son affection ou sur des bêtes familières que l’on cristallise un transfert d’amour !
C’est le cas du chat Tommy, cadeau d’anniversaire d’un ami, défaillant, que notre amie perdue allait verser son trop plein d’amour ! Que sais-je des vrais pourquoi et des transferts ? Aidez-moi à les analyser ? Pourquoi l’amour s’envole-t-il comme cet aviateur ? Pourquoi mettre hommes et animaux en cage ? Pourquoi laisser en hypothèque un amour vrai ? Pourquoi la loi ne laisse place qu’à la jalousie de l’amour aliénant et possessif ? Pourquoi l’amitié ne s’installe-t-elle pas avant le désir et devant l’amour ?
…/…
Est-ce par manque d’affection, que nous , gens du Sud , donnons nos enfants à la mer et que nous livrons nos filles aux hôtels ?Est-ce par manque d’affection, que nous emprisonnons nos amies les bêtes, dans des cellules, des cages ou des bocaux ? Ni pour le sexe ni pour la chair, pourtant ils sont comme enchaînés…Nous oublions parfois que l’animal pourrait avoir droit aussi à sa liberté …Mais c’est une vue idéaliste et folle aujourd’hui, quand on sait le carnage que nous faisons de tous les animaux ! Je vais rendre les agriculteurs furibonds et les végétariens plus cool !
Par manque d’idées, de chantiers où s’investir, pour donner de son temps ? Par manque d’amour et de chaleur, croyant que les humains n’en donnent pas ? Par manque de tendresse, qu’on trouve dans leur regard, leur pelage, les couleurs de leurs plumes ou leurs voix ?
Pourquoi tuer, ou exploiter son prochain ?Pourquoi manger dès lors la chair de ces êtres ? Parce qu’on les aime et qu’on ne les élève pas ? Et que le jour du sacrifice, de la dinde ou du lapin, du mouton ou du bœuf, on oublie leur sympathie pour déguster leur sauce en suçant les doigts de la main qu‘ils ont léchée et qui leur a tranché la gorge, ou caressé le dos, avant leur trépas programmé?
Liberté à l’intérieur d’un bocal de verre, d’une fiole de fiel, remplie de mauvaise eau. Une latrine pleine de purin, qui a servi de gite…Une demeure dans une bouteille, un monde glauque, mais transparent, où l’on vous voit nager dans le fiel, manger, chier et faire du sexe dedans !
Ainsi va notre vie de poissons de compagnie. Notre démocratie, transparente ou glauque va jusqu’aux urnes, chercher des justificatifs, par componction et éthique ! Selon ceux qui en agitent les eaux, il faut passer par là pour gérer ! Ainsi est notre reliquat de pays, on nous voit à travers les barreaux des frontières. Parfois même qu’on vient d’ailleurs pour nous zyeuter d’en dedans ! Des barrières tressées comme des mailles de grillage de poulailler où des mouches brunes viennent par moment s’épingler sur les barbelés.
La différence avec les animaux qui nous servent de bétails et d’aliments, à la différence du pain, du livre et du médicament pour lesquels il faut casquer, le soleil et d’oxygène, pour un temps méconnu, nous est encore licite et offert !
Ainsi donc, pour revenir, comme dans un film, à la séquence des poissons emprisonnés dans le bocal d’hier…
De nuit, après avoir changé l’eau du premier bocal, où le poison chlore était dissous, j’ai oxygéné l’eau en la ventilant, à l’aide d’une bouteille de plastique vide..Je l’ai pressée comme une seringue pour mélanger l’air qu’elle contient à l’eau, sans violence, malgré son bruyant craquement…J’ai aussi changé l’eau et mis le poisson moribond dans un grand bol ! Après avoir pressé les branchies et le devant du thorax comme pour lui masser le cœur et le poumon, j’ai laissé la porte du balcon ouverte…La face au ciel, comme pour demander son intersession.
Ici le parallèle avec Nouzha est évident…J’implore Dieu très fort, avec appréhension toutefois !
Nouzha , les viscères et le poumon éclatés , puis recousus, est sous aspirateur et calmants pour supporter les douleurs de son corps, écrasé de toutes parts . Elle mène une guerre à l’intérieur de son corps …Les médecins font de leur mieux avec compétence ….Mais…
L’autre poisson rouge, nage encore, en venant chercher des bulles d’air à la surface. Il est apparemment encore en bonne santé…Mais ai-je raison ? Et ce, jusqu’à quand ?
Le lendemain matin, étonné mais ravi, comme je l’ai craint hier en le ventilant, c’est le moribond qui est resté vivant…L’autre poisson rouge, qui semblait ne rien avoir, a trouvé sa mort !
Que me réserve comme mauvaise nouvelle cette parabole ?
Vite, je vais lui chercher de l’eau de table, vendue en bouteille de cinq litres, pour replacer l’eau du soir, avant d’aller au travail ! Un semblant de travail où je ne suis pas tranquille et où j’essaie d’oublier pour déstresser mes grandes craintes ! Pas moyen d’y échapper ! Pas moins de 20 téléphones la concernant, chaque jour, sans ménagement de ma voix ni des subtilités de langage nécessaires pour ne pas faire paniquer les autres, sa famille, malgré le drame !En rentrant en fin de journée, on m’informe de la mort du ressuscité ! Il a du finir sous les dents de l’un des chats qui vivent entre la porte et le jardin !
L’homme d’ici ne peut comprendre, il voit à travers son ambition la fortune qu’il espère gagner auprès de ceux qui ne l’aiment pas ! Ambitieux ou envieux, son âme et son corps, ne sont jamais tranquilles ! Peut-être que nos âmes auraient été mieux au paradis, si elles n’avaient pas été descendues sur terre, pour être testée ? Terrifiés, nus, fragiles, humiliés ou meurtris, nos corps infirmes mécaniques, cannibales et cassables, sont obligés pour vivre et prospérer, d’abaisser bien bas leurs âme, ces hôtes, d’importance, qui comptent plus que le physique et le cerveau !
Le téléphone sonne , le réanimateur m’apprend la mort de notre grande amie !
Les poissons sont mieux chez eux en mer, que dans nos tristes bocaux ! Déracinés, ils risquent de crever loin de chez eux !
Sermon pour une Star
Mes amis, une grande dame est partie ! Un grand cœur a été immolé sur le champ de bataille qu’on appelle la route. Etrange destin, admirable femme ! Qui vengera sa perte ? Qui protégera son étude et sa maison ?
Après toute cette politique et cette philosophie, que je te dédie Nouzha, ceci ! Je visite les lieux par lesquels tu es passée, ta maison, ce vaste cœur que tu as donné à ta grande famille, à ta fille adoptive, Laïla, que tu nous as recommandée, puis à tes chats et à tes amis…Pour te garder, vivante, ou en plus vrai, vivifiante, je m’accroche aux traces et aux symboles que tu laisses. La gentillesse, le travail sérieux, la joie de vivre dans l’amour d’autrui ! Je me remémore ton brillant sourire, tes yeux ton élégance, tes actes solidaires et tes pensées. Certes, tu n’es plus là, mais je ne crois pas que tu soies partie…
Ton chant et mon luth, Noureddine, vibreront-ils encore pour la joie de notre amie ? Pour elle, levons nos verres et chantons pour sa grâce nos meilleures prières ! La marraine est partie. Comme une étoile fascinante, elle a scintillé et elle a filé ! Tel un axe magnétique, elle a fondu, après une danse magique dans le ciel. Elle laisse le globe tourner en dérive et ses amis épars dans leurs regrets. La ville où nous l’avons connue, va me paraître plus vide encore, quoique trop remplie !
Tout est à Dieu, nous ne sommes que les jouets virtuels et furtifs du destin ! Puisque Dieu nous l’a donnée, cette vie doit être vécue amplement, doublement, en pensant le faire aussi pour elle !
Merci à ceux qui l’on aidée vivante de leurs vœux, de leur présence, de leur amour et puis tout dernièrement de leurs prières…
Par delà cette oraison funèbre, maintenant que la sémillante marraine du Club des Lions de Maamora est partie, on doit consolider son œuvre en souvenir d’elle. Je vous suggère d’appeler le Centre des Enfants Diabétiques Ruraux : « Dispensaire Nouzha El Amini ».
Et à vous d’imiter ses meilleurs actes ! Dont celui du soutien à l’AAMM dont elle fut la vice-présidente, et celui du partenariat qu’elle a signé avec notre association, pour toujours et à jamais !
Dr Idrissi My Ahmed
Rajouts et dédicace juste après son décès
Kénitra, les 20 et 21 octobre 2009EN PHOTO ICI
http://i88.servimg.com/u/f88/11/48/39/43/dsc08710.jpg
LORS DE LA VISITE CHEZ LE GOUVERNEUR ET WALI
DES RÉGIONS DU GHARB, AU MAROC
Malika, les deux malotrus et moi
Hier, comme d’habitude, je suis allé à mon club préféré pour savourer un verre de jus d’orange. Généralement, j’y vais juste avant le crépuscule.
Comme ça, je fais ma prière avec les habitués de ces établissements.
Pour une fois, je n’avais rien à faire chez moi; alors, je suis arrivé vers 6 heures du soir. Bien entendu, le club paraissait aussi vide qu’une école après la sortie des élèves. Donc, j’ai décidé de faire un tour dans le boulevard, histoire de rencontrer quelqu’un de mes connaissances.
Contrairement au club, le boulevard est animé .Il y a du remue ménage .Croyez-moi les amis, ça crie de partout ; on dirait que nous sommes entrain de regarder un match de football.
Autour de moi, des couples de jeunes qui arpentent le boulevard, bras dessus, bras dessous .Au même moments, des groupes de jeunes filles avec des tenues loin d’être décentes entrain de rire ou de chanter ; comme quoi, elles sont heureuses de se retrouver au pays.
Quant aux cafés, ils sont pleins à craquer .On y entrant, une bouffée de fumée et des odeurs transpirantes de sueur vous étouffent sur le coup.
Alors, j’ai opté pour un jardin .Là, je me reposerais et je sentirais l’air frais des fleurs et la fraicheur des arbres.
Je ne vous cache pas que j’ai été déçu sur le coup. A peine arrivé, j’ai remarqué que tous les bancs étaient occupés. Même les pelouses semblaient envahies par des personnes qui n’avaient hésité à faire de cet espace vert un lit d’herbe!
Mais ce qui m’a choqué c’est de voir les ordures : papier, boites, sachets ainsi que les épluchures de fruits et de graines éparpillés partout.
A croire que ces visiteurs n’avaient pas remarqué la présences des poubelles accrochées à chaque extrémité du jardin !
J’ai vu avec amertume que le carrelage n’avait pas été épargné .la plupart des carreaux sont endommagés.
Si je vous qu’ils n’ont pas plus de trois mois à être posé sur le sol.
C’est vraiment désagréable de constater que nos jeunes enfants jouent avec des patins à roulettes au risque de blesser les passants ou de se blesser eux même.
A moment, je voulais traverser l’avenue; là c’est un autre problème. Des files de voitures qui ne respectent pas le code de la route et le droit des piétons. J’ai du attendre un bon quart d’heure pour le faire.
Aussitôt, j’ai pensé que le mieux est d’acheter un journal .Aussi, je me suis dirigé vers le premier kiosque sur mon chemin. En arrivant, j’ai remarqué que lui aussi ne manquait pas de monde. La plupart lisait les gros titres et les détails sous le regard inquisiteur du vendeur des journaux.
Donc, j’ai rebroussé chemin pour aller à la mosquée la plus proche. En effet, il y en a une près de la place des pigeons. En m’approchant, j’ai constaté qu’elle est encore fermée.
Un vieillard m’a fait savoir qu’elle ne serait ouverte que juste un quart d’heure avant l’appel de la prière. Je regardai ma montre : 7h 30minutes.
Presque une heure d’attente ; ça ne me disait rien. Aussi, j’ai opté pour la marche quoique celle -ci paraissait impossible du fait de l’encombrement des gens.
Toutefois, j’ai emprunté des ruelles dans le but d’éviter d’être piétiné; mais en courant le risque d’être agressé par des « arnaqueur » ou des vagabonds.
Soudain, j’entendis un cri de détresse derrière mon dos. Je me retournai: une fille poursuivie par deux méchants individus. Elle s’approcha de moi et me dit:
_ » S’il vous plait aidez-moi; ces deux veulent me faire du mal.
Je dévisageai les deux inconnus: ils sont costauds et leurs gueules n’étaient pas loin d’évoquer qu’ils avaient récemment séjourné dans la prison .Devant telle situation, tout homme a deux choix: ne pas se mêler des affaires de son prochain ou bien prendre ses jambes à son coup. C’était difficile de choisir ; je crois aucun des choix ne m’a plu.
Alors, j’ai pris la main de la fille et en la serrant assez fort je lui ai dit:
_ » Malika, qu’est-ce que tu fais par là; on te cherche partout
Puis:_
_ Allez, viens ; ne les faisons pas attendre!
Tout d’abord, « Malika » m’avait regardé d’un air surpris. Aussitôt, elle réalisa que j’étais entrain de lui venir en aide. Alors, elle m’embrassa tout en m’entourant de ses bras :
_ » Ah, c’est mon oncle Larbi ; quelle joie de te revoir à nouveau parmi nous.
Dis-moi, t’es arrivé quand de Fès ?
Je jouai la comédie:
_Depuis deux heurs seulement
Pendant ce temps, les deux malotrus se regardaient en se demandant s’ils n’étaient pas entrain de visionner un feuilleton égyptien. Finalement, ils se déguisèrent en courant d’air ou tout simplement à la quête d’autres victimes.
La jeune fille m’accompagna quelques centaines de mètres sans piper mot .Au fait je lui tenais toujours la main. Soudain, je lâchai prise sa main. Celle-ci rétorqua:
_ » Excusez-moi de vous avoir dérangé; je crois que je vais partir chez moi.
J’optai pour son idée:
_ » Oui, et sans tarder; d’autres malfaiteurs referons le même manège avec toi.
_Vous avez raison, monsieur. Puis de nouveau, elle me serra la main .Avant de partir, elle me dit:
_ » Au fait, je m’appelle Malika .C’est une coïncidence n’est-ce pas ?
_Peut-être, ai-je répondu; seulement moi je ne m’appelle pas Larbi
_Dommage, lâcha-t-elle en me quittant
Sur ce, je suis retourné à mon club .En arrivant, j’ai constaté qu’on venait à peine de terminer la prière d »elmagrib »; quant à mon ami, il est parti après m’avoir attendu presque une heure.
Quand même, j’ai bu un jus d’orange …à votre santé, à celle de mon ami…Et à celle de MalikaFin de l’histoire.
PS: cette histoire est réelle à 99% ; vous devez bien convenir que je ne vous révèlerai pas le nom de la fille.
Aussi toute ressemblance avec la fille ne serait qu’un honneur pour moi.trucs et astuces pour concerver une bonne mémoire
il existe un lien étroit entre l’alimentation et le fonctionnement du cerveau. Pour favoriser notre dynamisme cérébral et notre mémoire, il est conseillé :
– de consommer des céréales qui contiennent des vitamines indispensables au bon fonctionnement des cellules de notre cerveau (vitamines du groupe B).
– des huiles végétales qui contribuent à renforcer la membrane des cellules de notre cerveau par leurs acides gras insaturés
– du jaune d’œuf et du poisson : les populations qui se nourrissent essentiellement de poisson gardent plus longtemps dans la vieillesse un bon fonctionnement cérébral.
– le cerveau est un gros consommateur de sucres rapides. Le miel, est, à cet égard, particulièrement recommandé.L’alcool est l’ennemi n°1 de notre mémoire. N’abusez pas du café, ne touchez jamais aux drogues et aux stupéfiants : ils provoquent une détérioration physique et intellectuelle parfois irréversible.
– repos physique respectant les besoins de sommeil et les intervalles de repos dans la journée.
– repos affectif : mémoire et affectivité coexistent dans le système limbique. « La mémoire dépend plus de la volonté et du cœur que de l’âge et des études ».(Ph. Baumgartner)
· La fixation des souvenirs dépend en premier lieu de la qualité de notre attention. Sachons écouter sans interrompre notre interlocuteur, lire « le crayon à la main ».
« Apprenons à écouter les autres, dans un monde bombardé d’informations, mais où personne ne sait plus écouter. »
Nous ne retenons bien que ce qui nous intéresse et ce que nous aimons. Apprenons à aimer notre temps, à nous passionner pour toutes les découvertes qu’il ne cesse de nous apporter. Apprenons surtout à aimer les autres et à nous intéresser à eux. Toute personne rencontrée constitue à elle seule un monde passionnant et d’une diversité inépuisable. Pour accéder à ce trésor, il suffit d’être ouvert à la rencontre et au dialogue.Toutes les informations nous viennent par les sens.
· Chez l’homme, la mémoire visuelle est la plus développée.
· Veillons à protéger nos yeux d’une exposition excessive au soleil et aux rayons ultraviolets, à l’abus d’écran de télévision et d’ordinateur. Assurons-nous, pour lire, de bonnes lunettes convenant à notre vue, et d’un bon éclairage. Distinguons « regarder » et « voir ». Voir demande un œil exercé, une attention en éveil. On ne voit bien que ce que l’on cherche.
· Apprenons à écouter, et à parler distinctement. L’audition et la voix constituent un chemin privilégié d’échange entre les hommes. Fuyons tous ces bruits excessifs engendrés par la technique moderne. La musique moderne fabrique des générations de sourds. Lors que notre ouïe commence à faiblir et rend plus difficile la communication avec les autres, n’hésitons pas à porter une prothèse auditive adaptée. Donnons toute la place à la musique, au chant, à la poésie.
La beauté du rythme et des images, la richesse des sonorités apportent une aide irremplaçable à la mémorisation.· N’oublions pas le grand pouvoir évocateur de l’odorat et du goût, sur la mémoire et notamment la mémoire affective. C’est une madeleine trempée dans du thé qui fit émerger de la mémoire de Marcel Proust, tout un monde de souvenirs d’enfance, et le mit sur la voie de la « Recherche du Temps Perdu », son chef-d’œuvre.
· Apprenons à nos enfants à être calmes, à vivre pleinement dans le moment présent. « L’anxiété d’un avenir imprécis bloque notre activité dans le présent, nous fait perdre la joie de vivre du moment présent. »
(Ph. Baumgartner)
Efforçons nous de vivre et de faire vivre notre entourage, dans la confiance et l’optimisme. Apprenons à nous décontracter, à détendre en particulier les muscles du visage et des membres. Nous pouvons, le cas échéant nous aider de Matha-Joga, technique de relaxation pratiquée selon 3 règles : mouvements exécutés avec lenteur, contrôle respiratoire total, détente complète.
Ouvrons-nous aux autres. Communiquer, c’est écouter et parler. « La conversation, voire les bavardages, sont préférables aux renfermements. »(J.M. Robert)
· Notre cerveau, pour bien fonctionner a besoin de beaucoup d’oxygène. Il utilise à lui seul, 20% de l’oxygène de notre corps, alors qu’il ne représente que 20% de son poids.
Apprenons donc à bien respirer, en privilégiant la respiration abdomino-diaphragmatique, et en évitant le blocage respiratoire. Une respiration ample et
profonde, en pleine décontraction, est souvent un bon moyen d’aider à l’évocation d’un souvenir qui nous échappe.
Aérons nous le plus souvent possible, la nuit en gardant la fenêtre ouverte quand la température le permet ; pendant nos temps de loisirs et de vacances, en privilégiant les activités de grand air dans un cadre naturel sans se laisser arrêter par un temps maussade.· La marche, en position correcte, tête droite et sortie des épaules, dos en rectitude, est un excellent moyen d’oxygéner notre cerveau et d’aider notre mémoire.
Fuyons le tabac qui nous imprègne d’oxyde de carbone, comme un poêle mal réglé, et affaiblit notre mémoire.· Faisons travailler notre mémoire.
Pour entretenir les circuits neuronaux où se gravent nos souvenirs, pour établir de nouveaux circuits, il est indispensable d’entraîner notre mémoire.
La musique, le rythme, la répétition sont les meilleures auxiliaires de notre mémoire :
– Exerçons notre mémoire musicale,
– Apprenons des chants et des poèmes,
– Répétons-les à voix haute, en nous efforçant d’en mettre en valeur la beauté.Quand nous lisons le journal, écoutons la radio, ou regardons le journal télévisé, faisons l’effort d’en retenir les éléments principaux, faisons le choix des évènements qui nous paraissent les plus significatifs, les plus porteurs d’avenir ; découpons dans les anciens journaux les articles les plus dignes d’intérêt (ou faisons-en la photocopie…) ; soulignons les passages que nous souhaitons retenir et parlons-en avec notre entourage.
Appliquons-nous, quand nous parlons et écrivons, à employer le mot juste, celui qui exprime le mieux notre pensée. Enrichissons nos moyens d’expression par le choix de nos lectures. Ayons un dictionnaire à portée de la main et consultons-le souvent.
Apprenons à connaître de mieux en mieux notre belle langue française et n’hésitons pas à apprendre ou à approfondir notre connaissance d’une langue étrangère. Apprenons tous les jours par cœur quelques vers d’un poème que nous aimons, ou quelques mots d’une langue nouvelle pour nous.
Apprenons chaque jour quelque chose de nouveau :
« Il y a plus de choses au ciel et sur la terre que l’esprit humain n’en pourra jamais concevoir ».
(Shakespeare)Lisons régulièrement de bons livres, des revues intéressantes. Visitons des musées et des expositions.Participons à des associations ou à des clubs qui nous donnent l’occasion de rencontrer des gens qui connaissent des choses que nous connaissons peu ou mal.
Lorsque nous voyageons, apprenons à regarder et à écouter, à nous passionner pour tout ce que nous découvrons : les gens, la nature, l’art.
Le jeu est un bon exercice d’entraînement de la mémoire, chacun selon ses goûts et ses préférences : belote, scrabble, bridge, échecs, jeux de société dans leur diversité.
« Un muscle qui ne travaille pas s’atrophie ; une intelligence et une mémoire qui ne travaillent pas s’atrophient, elles aussi, encore beaucoup plus vite. Lisez, voyagez, faits des mots croisés, jouez, soyez curieux ; intéressez vous aux gens, aux faits, aux choses. Toute nouvelle question que vous vous posez exerce votre intelligence. Posez vous beaucoup de questions. »
(Dr Aslan)
Le Prophète (BP sur lui) représente le modèle suprême parmi les hommes quant à sa magnanimité devant l’offense de ses épouses et son endurance. Il n’a jamais été reporté qu’un autre homme que le Prophète ait fait preuve de tant d’indulgence et de mansuétude envers ses femmes, et ce en dépit de sa glorieuse position et sa haute valeur chez Allah- exalté soit-Il- et parmi les hommes. Et vous, lecteurs et lectrices, avez pu constater, des preuves et indices que j’ai relevés au cours de mes recherches, le dégré de patience et de magnanimité en général. Mais je souhaite cependant, à ce stade, restituer ce qui fait meilleur état de preuve de ce sujet, au travers des citations suivantes :
1 – `Omar Ibn Al-Khattâb, qu’Allah soit satisfait de lui, a dit : « Nous peuple de Qoraïche nous dominions nos femmes. Quand nous vînmes chez les Ançars, nous vîmes que leurs femmes les dominaient et les nôtres se sont mises à imiter les leurs. Je m’emportai une fois sur ma femme mais elle me récusa, je ne le supportai point. Elle me dit alors : Pourquoi t’étonner que je te réplique? Par Allah, les épouses du Prophète (BP sur lui) le contestent, une d’elles le déserte même du jour à la nuit. J’en fus terrifié et lui répondit : Maudite soit celle parmi elles qui le fait. Je mis mes vêtements et descendit pour voir Hafsa et lui dit : Eh Hafsa, est-ce que l’une d’entre vous se fâche avec le Prophète (BP sur lui) jusqu’à la nuit? Elle répondit par l’affirmative. Je lui dis alors : Malheur à toi! Pourrais-tu te prémunir contre la colère d’Allah pour la colère de Son Prophète et éviter ta perte? » (hadith de Al-Boukhari)
Voyez comment Omar (A sur lui) s’est agacé d’une simple réplique de la part de sa femme, alors que le Prophète (BP sur lui) accepte les discussions de ses femmes et endure leur colère; même quand elles se retiennent de lui adresser la parole, lui le noble Prophète et le grand Imam. Cela n’est dû qu’à sa majestueuse magnanimité et son immense patience .
2 – Plus étrange que cela est-il que le Prophète (BP sur lui), malgré tout, leur tenait de belles paroles, comme si de mal n’avait été fait ou dit par elles. D’après `Aïcha (A sur elle) elle a raconté : “ Le Messager d’Allah (BP sur lui) me dit : « «Je sais lorsque tu es satisfaite de moi et lorsque tu es en colère contre moi.»
Je lui dis : «Mais comment sais-tu cela?»
Il me dit : «Lorsque tu es satisfaite de moi, tu dis : Non par le seigneur de Mohammad! Et lorsque tu es en colère contre moi, tu dis : Non par le Seigneur d’Ibrahîm!»
Je lui dis : «Tu as dis vrai (ou sans doute), par Allah Ô messager d’Allah, je ne peux déserter que ton nom: (Rapporté par Al-Boukhâri)3 – Anas (A sur lui) rapporte : « Le Prophète (BP sur lui) était chez l’une de ses femmes et l’une des Mères des croyants envoya un plat qui contenait de la nourriture. La femme chez qui le Prophète (BP sur lui) était, frappa la main du servant et le plat tomba et se fendit. Le Prophète rassembla les morceaux du plat puis se mit à rassembler la nourriture du plat et la mit dans ce qui restait (du plat) en disant : « Votre mère a été jalouse ». Puis il retint le servant jusqu’à ce qu’ on lui eût donné un plat de la femme chez qui il était et donna ainsi le plat en bon état à celle dont le plat fut cassé. Et il laissa le plat brisé chez celle qui l’avait cassé. » (Al-Boukhâri)
Comptemplez la clémence du Prophète (BP sur lui), pour ses épouses : une d’entres elles s’éloigne de lui toute une journée, jusqu’à se retenir d’utiliser son noble prénom, alors que l’autre ose se comporter, en sa présence, à l’encontre que lui dicte son devoir. Mais malgré tout, il ferme les yeux, endure et pardonne, lui qui a tout pouvoir de se séparer d’elles, et bien que son Seigneur lui eût promis de les lui remplacer, s’il les répudiait, par des ‘épouses meilleures qu’elles, musulmanes, croyantes, obéissantes, repentantes, adoratrices, jeûneuses, déjà mariées ou vierges’ mais le noble Prophète était miséricordieux et clément, il excusait et pardonnait et l’ignorance ne le rendait que plus magnanime.
Sujet: LE BÊTISIER des hotlines
>> Client Je n’arrive pas à faire marcher votre CD-ROM d’anglais.
>> Hotline Mettez le CD dans le lecteur… il démarre ?
>> Client Non
>> Hotline Alors faites « Démarrer »
>> Client Non, ça ne marche pas, il ne se passe rien…
>> Hotline Euh, sous quel système d’exploitation êtes-vous ?
>> Client Vous voulez parler de la marque de ma chaîne hi-fi?
>>
>>
>>
>> Secrétaire Vous me dites « pas de majuscules pour le mot de passe »,c’est bien ça…?
>> Hotline Exact.
>> Secrétaire Et, les chiffres, je les mets en minuscule aussi ?
>>
>>
>>
>> Client Bonjour, je n’arrive pas à me connecter chez vous…
>> Hotline D’accord, on va régler tout ça, tout d’abord, j’ai besoin de savoir si vous êtes sur 3-1, 95, 98 ou Linux.
>> Client Non monsieur, je suis sur Paris, 75
>>
>>
>>
>> Secrétaire J’ai un problème avec Windows…
>> Hotline Qu’avez vous sur l’écran?
>> Secrétaire Euh…un pot de fleur.
>> Hotline Non, je veux dire « qu’est-ce qui est écrit? »
>> Secrétaire Ha d’accord.!..euh…Sony !
>>
>>
>>
>> Client Mon PC a planté… j’ai un message d’erreur « message not found » (avec un accent terrible, incompréhensible)
>> Hotline Euh, pouvez vous m’épeler le message d’erreur s’il vous plait ?
>> Client Bien sur ! M comme Maman, E comme Oeuf…
>> Hotline Hahahaha !
>> Client Vous vous moquez de moi ?
>>
>>
>>
>> Client Je ne trouve plus l’endroit ou j’ai installé votre produit.
>> Hotline Double-cliquez sur le Poste de Travail, s’il vous plait.
>> Client C’est où, ça ?
>> Hotline A l’écran, avez-vous une icône « Poste de Travail » ?
>> Client Je ne comprends rien du tout, pourquoi me parlez-vous de poste de travail ?
>> Hotline Vous n’avez pas de poste de travail ?
>> Client Non monsieur ! Je suis retraité, moi…
>>
>>
>>
>> HotLine Décrivez-moi votre écran
>> Client [Echap], [F1], [F2], [F3]….
>> HotLine Non ! Ca c’est votre clavier ! L’écran, c’est la télé…
>> Client Vous me prenez pour un abruti ou quoi ?
>>
>>
>>
>>
>> Client Je suis en train de m’inscrire sur votre site, mais je ne comprends pas tout…
>> Hotline D’accord, on va voir ça ensemble.
>> Client On me demande de saisir les coordonnées de l’endroit d’où j’appelle,un numéro de téléphone… Je mets quoi ?
>> Hotline Vous mettez le numéro de téléphone de l’endroit d’où vous vous connectez… De chez vous quoi…
>> Client D’accord… Voila… Ensuite, on me demande une ville…
>> Hotline Vous mettez les coordonnées de l’endroit d’où vous appelez.
>> Client Donc, je mets ma ville…
>> Hotline Oui…
>> Client Voilà… Et maintenant on me demande un code postal..
>> Hotline ..
>> Client Allo ? je mets quoi ?
>> Hotline (agacé) Votre code postal !
>> Client (sincèrement désolé) Excusez-moi si je vous embête, mais je ne connais pas grand-chose à l’informatique, vous savez…
>>
>>
>>
>> Hotline Monsieur, faites [CONTROL] [ALT] [SUPPR].
>> Client Ah oui, je connais ça. (on entend en fond click click click click…..)
>> Hotline Que se passe-t-il à l’écran Monsieur ?
>> Client Ben rien
>> Hotline Recommencez [CONTROL] [ALT] [SUPPR]
>> Client click click click click…
>> Hotline Et maintenant
>> Client Toujours rien…
>> Hotline Comment faites-vous la manipulation ?
>> Client Ben j’appuie sur les touches « C », « O », »N » , »T », »R », »O », »L »
>>et après sur « A », « L », »T » puis sur « S », »U » , »P » , »P » et enfin « R ».
>> Hotline (silence…)
>> Client Y faut peut-être l’accent sur CONTROL, non ?
>>
>>
>>
>> Client Mon disque dur est fêlé !
>> Hotline Et y’a quoi à l’écran ?
>> Client Ben que mon disque est fêlé !
>> Hotline Lisez moi exactement ce qu’il y a sur l’écran.
>> Client Hard drive faillure !
>>
>>
>>
>> Client Ca me met « nom d’utilisateur ou mot de passe incorrect »
>> Hotline Fermez la fenêtre, Monsieur, s’il vous plait.
>> Client Euh oui, c’est vrai qu’il y a un peu de bruit dehors…
>>
>>
>> Cliente Bonjour, j’ai mon Nescafé qui ne marche pas…
>> Hotline Heu je suis désolé Madame, mais nous ne faisons pas de support pour les appareils électroménagers…
>> Cliente Non non !!! C’est Nescafé pour Internet …
>> Hotline (???)… Heu ??? Vous ne voulez pas parler de Netscape par hasard???
>> Cliente Oui c’est bien ça ! Nescape… Nescafé… c’est la même chose…
>>
>>
>>ET ENFIN CELLE QU’ON ATTENDAIT, LA PERLE DES PERLES…..
>>
>>Une petite histoire enregistrée dans un service Hot-line d’assistance
>>
>>* Ridge Hall computer assistant ; que puis-je pour vous ?
>>* Et bien j’ai un problème avec WordPerfect.
>>* Quelle sorte de problème ?
>>* Et bien j’étais en train de taper et soudain tout est parti.
>>* Parti ?
>>* ça a disparu.
>>* Mmm. Et a quoi ressemble votre écran a présent ?
>>* A rien.
>>* A rien ?
>>* Il est vide ; il se passe rien quand je tape.
>>* Vous êtes toujours dans WordPerfect ou vous en êtes sorti ?
>>* Comment je sais ?
>>* Pouvez-vous voir le prompt C:? a l’écran ?
>>* C’est quoi un « prompte-ce »
>>* Laissez tomber. Pouvez-vous bouger le curseur a l’écran
>>* Y a pas de curseur. Je vous ai dit, il se passe rien quand je tape.
>>* Est-ce que votre moniteur est allumé ?
>>* C’est quoi un moniteur ?
>>* Le truc avec l’écran qui ressemble a une télé. Est-ce qu’il y a une petite lumière qui vous dit qu’il est allumé ?
>>* Je sais pas.
>>* Et bien regardez à l’arrière de votre moniteur et regardez où va la prise de courant. Vous pouvez voir
>>* Je pense…
>>* Bien ! Suivez le cordon jusqu’à la prise, et dites-moi si elle est branchée.
>>* Oui.
>>* Derrière le moniteur, avez-vous remarqué qu’il y avait deux câbles branchés à l’arrière ?
>>* Non.
>>* Et bien il y en a deux. regardez à nouveau et trouvez le deuxième.
>>* ..Oui, c’est bon.
>>* Suivez-le et dites-moi s’il est solidement branché à l’ordinateur.
>>* Je ne peux pas l’atteindre.
>>* Oh. Pouvez-vous le voir ?
>>* Non.
>>* Même en vous penchant ou en vous mettant a genoux ?
>>* Oh non, c’est juste que je n’ai pas le bon angle, il fait si sombre.
>>* Sombre
>>* Oui, le bureau est éteint, la seule lumière vient de la fenêtre.
>>* Et bien allumez la lumière.
>>* Je ne peux pas.
>>* Pourquoi ! ?
>>* Parce qu’il y a une panne de courant.
>>* Une panne… Aha ! Voila la raison…… Est-ce que vous avez encore les manuels et les boites et l’emballage que vous avez eus avec l’ordinateur ?
>>* Heu… Oui, c’est dans le placard.
>>* Bien ! Allez les chercher, débranchez votre système, emballez-le comme c’était quand vous l’avez eu. Et apportez-le au magasin ou vous l’avez acheté.
>>* Vraiment ? C’est si sérieux ?
>>* J’en ai peur.
>>* Et qu’est-ce que je leur dit ?
>>* Dites-leur que vous êtes trop bête pour posséder un ordinateur.
>>
>> Le type de la hot-line a été renvoyé.