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15 réponses de 196 à 210 (sur un total de 379)
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  • #203335
    observateur
    Membre

    La Planète des Singes : Première partie, Chapitres I et II
    (1)
    08/01/2008

    Oujda City : La Planète des Singes : Première partie, Chapitres I et II
    بقلم : tayeb zaid

    Le chapitre I fait office de démarreur à l’histoire dont les péripéties se déroulent dans le fin fond de l’espace à une époque qui n’est pas celle du lecteur qui ouvre le roman pour le lire. La description du moyen de transport interplanétaire dans sa simplicité apparente mais ingénieuse, utilisé par le couple Jinn et Phyllis, augure que le voyage entrepris n’a pas de destination ni de terminus. Quant à la bouteille qui flottait dans l’espace et qui renferme un appel de détresse rédigé dans un manuscrit remis à l’espace, comme ceux que les marins en difficulté avaient coutume de jeter à la mer à une certaine époque, elle a deux fonctions narratives : -Elle sert à arrêter le récit porteur dont j’ai parlé dans un cours antérieur, c’est-à-dire, le récit de Jinn et Phyllis.

    Le récit porteur s’arrête à la fin du chapitre I de la première partie pour reprendre au chapitre XII de la troisième partie. -Elle sert à enclencher un autre récit, le récit dit porté, c’est-à-dire le récit de Ulysse Mérou. Le récit porté démarre avec le commencement du chapitre II de la première partie pour finir avec la fin du chapitre XI de la troisième partie. Cette technique, fréquemment employée au cinéma pour certains films d’aventure, consiste à faire lire par l’un des personnages qui ne participe pas à l’action de l’histoire, une lettre, un message, un manuscrit. Pendant que le personnage qui a découvert le document le lit, le spectateur du film voit, le lecteur du roman écoute ou lit derrière les épaules du personnage lecteur. Pour passer du récit porteur au récit porté, le cinéma recourt au flou, et le roman à la rétrospection.

    Le chapitre II, lui, s’attarde longuement sur le motif du voyage, sur la conception du vaisseau spatial et surtout sur la vitesse de croisière à laquelle l’engin doit parcourir la distance séparant la Terre de Bételgeuse dont elle est distante de plusieurs années lumières. Si le concepteur de ce vaisseau capable de se déplacer à une vitesse proche de ou égale à celle de la lumière, est un génie de son temps, il n’a pas ignoré non plus l’impact du temps sur les voyageurs de l’espace. Comme le roman est écrit en 1963 et qu’à cette époque-là la technologie était encore à ses balbutiements, Pierre Boulle a choisi l’an 2500 comme point de départ et de référence pour ce voyage. Il fait appel à Einstein pour lui emprunter sa théorie de la relativité en vue de sa mise en application. Je crois qu’il a réussi à vulgariser une théorie qui a rebuté plus d’un en la rendant accessible aussi bien aux non initiés qu’aux jeunes lecteurs. Selon cette théorie, plus on s’approche de la vitesse de la lumière, plus le temps s’écoule lentement, ou, à la vitesse de la lumière le temps s’arrête comme disent les vulgarisateurs de l’extrême simplicité. Ainsi, l’auteur, par la bouche de l’éminent savant Antelle explique à ses lecteurs que l’aller de la Terre vers Bételgeuse durera 2 ans et le retour 2, que 2 ans pour les voyageurs sont l’équivalent de 350 ans pour les Terriens, ce qui revient à dire que 4 ans dans l’espace parcouru à la vitesse de la lumière sont équivalents à 700 ans pour les terriens sédentaires. Quand les voyageurs seront revenus dans 4 ans, ils trouveront la terre vieillie de 700 ans. Partis en l’an 2500, leur retour est attendu en l’an 3200. Admettons qu’au moment du voyage, Ulysse Mérou, reporter et narrateur, ait 30 ans d’âge, à son retour sur terre, il aura 30 ans + 2 ans (aller )+ 1 an ( séjour sédentaire sur Soror) + 2 ans ( retour) : il aura donc 35 ans d’âge. Parti en l’an 2500, il sera de retour en l’an 2505. POUR LUI.

    Pour les Terriens, ils seront en l’an 3200 à peu près (chiffre relatif). Donc Ulysse Mérou a fait un voyage dans le temps, dans le PASSE. L’acte de suspendre le temps dont fait usage Pierre Boulle dans la Planète des Singes crée une interférence entre le temps personnel suspendu et le temps collectif en marche. Si Ulysse Mérou comme personne n’a avancé dans son siècle que de cinq ans, les terriens, eux, ont laissé derrière eux sept siècles. L’histoire de la Grotte que relate le Saint Coran dans Sourate ‘’AL KAHF’’, ne peut nous laisser indifférents. En effet, dans cette histoire, il a été question de jeunes garçons pieux ayant fui leurs contemporains qui les persécutaient pour leur foi. Il se sont endormis dans une grotte et à leur réveil : « Bien longtemps après, Nous les réveillâmes, comme jadis les avions endormis. Ils se mirent aussitôt, tout naturellement, à s’interroger :’’ Combien de temps sommes-nous demeurés ici ? – Un jour, dit l’un, ou peut-être moins encore. – Dieu seul le sait, conclut un troisième » (Al Kahf ; Aya 20). « Ils demeurèrent en leur caverne trois cents ans auxquels s’en ajoutèrent neuf » (Al Kahf ; Aya 25). Si pour Ulysse Mérou le processus de ralentissement a été généré par la vitesse, pour les jeunes de la Cavene, c’est tout le contraire, c’est par l’absence de mouvement ou par hibernation. Mais le résultat est le même. En revenant de l’espace, Ulysse Mérou retrouve la Terre vieillie de 700 ans ; en se réveillant de leur sommeil, les jeunes garçons la retrouvent vieillie de 309 ans. Dans les deux histoires, les personnages ont fait un voyage dans le PASSE. Il faut cependant noter que le cas du ralentissement du temps dans le Saint Coran est encore plus serré que dans la Planète des Singes. (Un jour ou moins= 309 ans # 4 ans= 700 ans) Le thème de la suspension du temps me fait penser à l’un des plus beaux poèmes de Lamartine dans lequel il adresse cette prière au temps : « Ô temps, suspends ton vol ! Et vous heures propices, //Suspendez votre cours ! » Pour finir, je laisserai Albert Einstein lui-même s’exprimer sur la portée de la manipulation du temps et pour l’avenir de la science et pour son avenir comme scientifique:’’Si la relativité se révèle juste, les Allemands diront que je suis Allemand, les Suisses que je suis citoyen suisse, et les Français que je suis un grand homme de science. Si la relativité se révèle fausse, les Français diront que je suis Suisse, les Suisses que je suis Allemand et les Allemands que je suis Juif’’.

    #240037
    Ali
    Membre

    dès le dèbut de la saison le club ne fournie aucun grand effort pour ameliorer la situation de l’equipe.
    le fait de faire venir des nouveaux joueures de l’exterieure s’est pas la bonne solution, chaque saison on aperçois le meme probleme.
    si le club n’arrives pas a trouver la potion magique Alors on a un probleme a troce donc a la place d’humillier tout l’oriental avec leur façon de jeu en plus en direct a la tele, donc faut mieux de changer le nom de l’equipe au complet ou changer les derigeant.

    dans les payer developper semilaire a le notre, Les derigeant des club on des diplome ou suivre des formations academique complete pour qu’ils sachent ce qu’ils doivent faire.

    a mon avis l’histoire du Mouloudia Club Oujda il etais une fois avec ses gloire et victoire, A mon avis faut changer le nom du club au complet à la place de salire le bon vieux temp du mco.

    #239682

    En réponse à : DROIT DE REPONSE

    saidi
    Membre

    @BOUAYED wrote:

    saidi a écrit:

    Monsieur BOUAYAD bonsoir. Après toute la délicatesse avec laquelle je me suis adressé à vous depuis que ce site nous permet des échanges, après avoir lu votre dernier post, j’ai revue ma copie, je me suis rendu compte que cen’était pqas la personne à qui je croyais parler. En effet, dans votre dernier post, vous avez été d’un brouillon tel que j’ai eu des difficulté à vous reconnaître, alors que vous m’aviez toujours donné l’impression dequelqu’un avec qui on peut dialoguer à l’aise!!!. D’après votre dernier post qui était d’ailleurs difficillement compréhensible tellement les sujets et les internautes étaient confondus on pouvaient difficillement s’y retrouver. Ce que j’ai retenu, de votre post, que plusieurs mois après avoir envoyé un post qui je pensait respectable et à bon escient, j’ai pu comprendre que que vous étiez très énervé, non conséquent avec vous même, créant une confusion qu’on ne connaissait pas de vous, il me semble avoir été interpellé par ce message, je dis bien il me semble, car c’était difficillement compréhensible. Sachez cher BOUAYAD, que je me souviens très bien de mon dernier message qui vous a été destiné: il dit en substance: merci pour ce que vous faites, le sujet que vous traitez n’est pas de mon niveau, je vous souhaite bonne continuation et je me suis barré!

    Que signifie votre réponse dans une espèce de brouillon indescriptible?

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Monsieur SAIDI Bonsoir. Je vous appelle Mr SAIDI comme vous m’avez Appelé Mr BOUAYAD mais il fallait écrire BOUAYED avec un E.

    Vous étiez surpris que je vous ai interpellé 3 mois et 19 jours après que vous avez intervenu pour essayer de « passer l’éponge » sur un certain nombre de posts où vous ne m’avez pas « ménagé » avec des propos grossiers, déplacés et pas très amicaux.

    Vous avez « parlé » longtemps et à chaque je me suis dis que ce Mr va finir par se taire mais en vain. Vous avez continué, malheureusement avec votre air hautin, malsain et hostile.

    J’ai lu vos 447 interventions et j’ai même enregistré pas mal d’entre elles et j’ai constaté les « dégats » que vous avez fait auprès de pas mal d’internautes, en l’occurence : Menara, Oujdi-net, AmatoAllah, Oujdi 12, Hafid, Houlakou, Ficam, Shiro…Du moins ceux que vous avez cité sans compter ceux que votre subconscient prend pour (ce que vous avez cité) « beaucoup de minables d’Oujda-city ».

    Ne soyez pas surpris que je vous interpelle 10 ans après (si Dieu le veut) car :
    * d’une part, il n’y a pas de préscription en matière de manques de Finesse, de Délicatesse, du Savoir vivre et du Respect d’autrui.
    *d’autres parts, il y a un « Droit de Réponse » à toutes les Bétises que vous avez avancé, comme il y a un « Droit de Défense » chez les Juristes.

    Comme vous avez beaucoup « parlé », il faut faut maintenant savoir « se la fermer » et écouter ce que disent les autres et essayer de « corriger » votre « sale » caractère qui ne vous a rapporté que du mépris, du dédain et de l’hostilité de pas mal de personnes que vous avez « agressé » pour rien.

    Vous avez parlé de « Brouillon » mais vous n’avez pas vu le votre.
    Je ne parle pas de l’accent ou de la virgule, ni du sujet ou du verbe ou de la syntaxe. Je parle surtout d’aérer vos interventions en espaçant les paragraphes comme dans « les livres » et de savoir mettre le point là où il faut et de revenir à la ligne quand il faut. Revenir « Bon sang » à la ligne, cela permet à l’individu de respirer, de « se corriger » et de ne pas passer du « coq à l’âne ».

    Voilà ce que je constate Mr SAIDI :
    *Vous n’avez beaucoup d’estime pour les « Chorfas » alors que vous sursauté quand on a juste effleuré le terme « Amazigh ».
    *Vous n’aimez pas la langue Arabe et peut-être bien les Arabes.
    *Vous voulez refaire « l’Histoire » du monde Arabomusulman à votre guise.
    *Vous voulez nous donner des leçons sur la « Citoyenneté ».
    *Et vous avez dit trop de « mal » de moi (et des autres).
    Cela fait trop de choses à la fois.

    Je vais répondre à tout cela mais en dehors du post des « Idrissides » dans une Rubrique « Droit de Réponse » et il y aurait peut-être d’autres gens qui pourraient vous dire ce qu’ils pensent.

    En attendant, du calme, un peu moins « Mina Alaajrafa » et ne régissez pas « trop vite » à chaque qu’on vous pique et bouclez là en attendant.

    A bientôt Mr SAIDI avec toutes mes salutations mais pas ma sympathie.

    Donnez moi les possibilités de vous répondre comme j’ai essayé de le faire durant 5 heures pour vous dire ce que je pense on pourra alors peut être s’entendre et se mettre d’accord

    #218506
    Vertigo
    Membre

    Bonsoir à tous

    Moi c’est vertigo

    j’ai choisi cet avatar en hommage au livre de Paul Auster .L’histoire d’un garçon doté du don de voler.

    Il me parassait approprié car j’étais à la recherche d’une personne et le meilleur moyen de la retrouver était de prendre mon envol. En survolant le site oujdacity j’ai croisé un train du désert sur lequel je me suis posé.
    Je crois que jai vu juste. Le train est peut être en route pour mon terminus…
    Cependant sans son conducteur émérite peut être serais-je toujours en vol plané perdu mais déterminé.
    alors merçi a toi conducteur.

    #203273

    Sujet: DROIT DE REPONSE

    dans le forum Débats
    BOUAYED
    Membre

    saidi a écrit:

    Monsieur BOUAYAD bonsoir. Après toute la délicatesse avec laquelle je me suis adressé à vous depuis que ce site nous permet des échanges, après avoir lu votre dernier post, j’ai revue ma copie, je me suis rendu compte que cen’était pqas la personne à qui je croyais parler. En effet, dans votre dernier post, vous avez été d’un brouillon tel que j’ai eu des difficulté à vous reconnaître, alors que vous m’aviez toujours donné l’impression dequelqu’un avec qui on peut dialoguer à l’aise!!!. D’après votre dernier post qui était d’ailleurs difficillement compréhensible tellement les sujets et les internautes étaient confondus on pouvaient difficillement s’y retrouver. Ce que j’ai retenu, de votre post, que plusieurs mois après avoir envoyé un post qui je pensait respectable et à bon escient, j’ai pu comprendre que que vous étiez très énervé, non conséquent avec vous même, créant une confusion qu’on ne connaissait pas de vous, il me semble avoir été interpellé par ce message, je dis bien il me semble, car c’était difficillement compréhensible. Sachez cher BOUAYAD, que je me souviens très bien de mon dernier message qui vous a été destiné: il dit en substance: merci pour ce que vous faites, le sujet que vous traitez n’est pas de mon niveau, je vous souhaite bonne continuation et je me suis barré!

    Que signifie votre réponse dans une espèce de brouillon indescriptible?

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Monsieur SAIDI Bonsoir. Je vous appelle Mr SAIDI comme vous m’avez Appelé Mr BOUAYAD mais il fallait écrire BOUAYED avec un E.

    Vous étiez surpris que je vous ai interpellé 3 mois et 19 jours après que vous avez intervenu pour essayer de « passer l’éponge » sur un certain nombre de posts où vous ne m’avez pas « ménagé » avec des propos grossiers, déplacés et pas très amicaux.

    Vous avez « parlé » longtemps et à chaque je me suis dis que ce Mr va finir par se taire mais en vain. Vous avez continué, malheureusement avec votre air hautin, malsain et hostile.

    J’ai lu vos 447 interventions et j’ai même enregistré pas mal d’entre elles et j’ai constaté les « dégats » que vous avez fait auprès de pas mal d’internautes, en l’occurence : Menara, Oujdi-net, AmatoAllah, Oujdi 12, Hafid, Houlakou, Ficam, Shiro…Du moins ceux que vous avez cité sans compter ceux que votre subconscient prend pour (ce que vous avez cité) « beaucoup de minables d’Oujda-city ».

    Ne soyez pas surpris que je vous interpelle 10 ans après (si Dieu le veut) car :
    * d’une part, il n’y a pas de préscription en matière de manques de Finesse, de Délicatesse, du Savoir vivre et du Respect d’autrui.
    *d’autres parts, il y a un « Droit de Réponse » à toutes les Bétises que vous avez avancé, comme il y a un « Droit de Défense » chez les Juristes.

    Comme vous avez beaucoup « parlé », il faut faut maintenant savoir « se la fermer » et écouter ce que disent les autres et essayer de « corriger » votre « sale » caractère qui ne vous a rapporté que du mépris, du dédain et de l’hostilité de pas mal de personnes que vous avez « agressé » pour rien.

    Vous avez parlé de « Brouillon » mais vous n’avez pas vu le votre.
    Je ne parle pas de l’accent ou de la virgule, ni du sujet ou du verbe ou de la syntaxe. Je parle surtout d’aérer vos interventions en espaçant les paragraphes comme dans « les livres » et de savoir mettre le point là où il faut et de revenir à la ligne quand il faut. Revenir « Bon sang » à la ligne, cela permet à l’individu de respirer, de « se corriger » et de ne pas passer du « coq à l’âne ».

    Voilà ce que je constate Mr SAIDI :
    *Vous n’avez beaucoup d’estime pour les « Chorfas » alors que vous sursauté quand on a juste effleuré le terme « Amazigh ».
    *Vous n’aimez pas la langue Arabe et peut-être bien les Arabes.
    *Vous voulez refaire « l’Histoire » du monde Arabomusulman à votre guise.
    *Vous voulez nous donner des leçons sur la « Citoyenneté ».
    *Et vous avez dit trop de « mal » de moi (et des autres).
    Cela fait trop de choses à la fois.

    Je vais répondre à tout cela mais en dehors du post des « Idrissides » dans une Rubrique « Droit de Réponse » et il y aurait peut-être d’autres gens qui pourraient vous dire ce qu’ils pensent.

    En attendant, du calme, un peu moins « Mina Alaajrafa » et ne régissez pas « trop vite » à chaque qu’on vous pique et bouclez là en attendant.

    A bientôt Mr SAIDI avec toutes mes salutations mais pas ma sympathie.

    BOUAYED
    Membre

    @saidi wrote:

    Monsieur BOUAYAD bonsoir. Après toute la délicatesse avec laquelle je me suis adressé à vous depuis que ce site nous permet des échanges, après avoir lu votre dernier post, j’ai revue ma copie, je me suis rendu compte que cen’était pqas la personne à qui je croyais parler. En effet, dans votre dernier post, vous avez été d’un brouillon tel que j’ai eu des difficulté à vous reconnaître, alors que vous m’aviez toujours donné l’impression dequelqu’un avec qui on peut dialoguer à l’aise!!!. D’après votre dernier post qui était d’ailleurs difficillement compréhensible tellement les sujets et les internautes étaient confondus on pouvaient difficillement s’y retrouver. Ce que j’ai retenu, de votre post, que plusieurs mois après avoir envoyé un post qui je pensait respectable et à bon escient, j’ai pu comprendre que que vous étiez très énervé, non conséquent avec vous même, créant une confusion qu’on ne connaissait pas de vous, il me semble avoir été interpellé par ce message, je dis bien il me semble, car c’était difficillement compréhensible. Sachez cher BOUAYAD, que je me souviens très bien de mon dernier message qui vous a été destiné: il dit en substance: merci pour ce que vous faites, le sujet que vous traitez n’est pas de mon niveau, je vous souhaite bonne continuation et je me suis barré!

    Que signifie votre réponse dans une espèce de brouillon indescriptible?

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Monsieur SAIDI Bonsoir. Je vous appelle Mr SAIDI comme vous m’avez Appelé Mr BOUAYAD mais il fallait écrire BOUAYED avec un E.

    Vous étiez surpris que je vous ai interpellé 3 mois et 19 jours après que vous avez intervenu pour essayer de « passer l’éponge » sur un certain nombre de posts où vous ne m’avez pas « ménagé » avec des propos grossiers, déplacés et pas très amicaux.

    Vous avez « parlé » longtemps et à chaque je me suis dis que ce Mr va finir par se taire mais en vain. Vous avez continué, malheureusement avec votre air hautin, malsain et hostile.

    J’ai lu vos 447 interventions et j’ai même enregistré pas mal d’entre elles et j’ai constaté les « dégats » que vous avez fait auprès de pas mal d’internautes, en l’occurence : Menara, Oujdi-net, AmatoAllah, Oujdi 12, Hafid, Houlakou, Ficam, Shiro...Du moins ceux que vous avez cité sans compter ceux que votre subconscient prend pour (ce que vous avez cité) « beaucoup de minables d’Oujda-city« .

    Ne soyez pas surpris que je vous interpelle 10 ans après (si Dieu le veut) car :
    * d’une part, il n’y a pas de préscription en matière de manques de Finesse, de Délicatesse, du Savoir vivre et du Respect d’autrui.
    *d’autres parts, il y a un « Droit de Réponse » à toutes les Bétises que vous avez avancé, comme il y a un « Droit de Défense » chez les Juristes.

    Comme vous avez beaucoup « parlé », il faut faut maintenant savoir « se la fermer » et écouter ce que disent les autres et essayer de « corriger » votre « sale » caractère qui ne vous a rapporté que du mépris, du dédain et de l’hostilité de pas mal de personnes que vous avez « agressé » pour rien.

    Vous avez parlé de « Brouillon » mais vous n’avez pas vu le votre.
    Je ne parle pas de l’accent ou de la virgule, ni du sujet ou du verbe ou de la syntaxe. Je parle surtout d’aérer vos interventions en espaçant les paragraphes comme dans « les livres » et de savoir mettre le point là où il faut et de revenir à la ligne quand il faut. Revenir « Bon sang » à la ligne, cela permet à l’individu de respirer, de « se corriger » et de ne pas passer du « coq à l’âne ».

    Voilà ce que je constate Mr SAIDI :
    *Vous n’avez beaucoup d’estime pour les « Chorfas » alors que vous sursauté quand on a juste effleuré le terme « Amazigh ».
    *Vous n’aimez pas la langue Arabe et peut-être bien les Arabes.
    *Vous voulez refaire « l’Histoire » du monde Arabomusulman à votre guise.
    *Vous voulez nous donner des leçons sur la « Citoyenneté ».
    *Et vous avez dit trop de « mal » de moi (et des autres).
    Cela fait trop de choses à la fois.

    Je vais répondre à tout cela mais en dehors du post des « Idrissides » dans une Rubrique « Droit de Réponse » et il y aurait peut-être d’autres gens qui pourraient vous dire ce qu’ils pensent.

    En attendant, du calme, un peu moins « Mina Alaajrafa » et ne régissez pas « trop vite » à chaque qu’on vous pique et bouclez là en attendant.

    A bientôt Mr SAIDI avec toutes mes salutations mais pas ma sympathie.

    #239621
    observateur
    Membre

    La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographique
    (1)
    08/12/2007

    Oujda City : La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographique
    بقلم : tayeb zaid

    La Boîte à Merveilles est une œuvre riche en personnages surtout de sexe féminin. Aussi nombreux soient-ils, ils demeurent tous proches les uns des autres par les liens qui les unissent, liens de voisinage ou d’amitié, de rivalités ou de compassions, de circonstances ou d’échanges. Leur vie est régie par les événements quotidiens où se côtoient le réel et le recours aux forces occultes, où les faits semblent, pour le lecteur moderne, des faits sans conséquences et sans profondeurs, des faits d’un jour, d’un moment, sans lendemain et par conséquent éphémères. Mais détrompons-nous, ce sont des faits de société, de civilisation, d’époque. Un parcours de La Boîte à Merveilles laisse entrevoir les dessous de la société marocaine de 1920.

    I- Croyances, pratiques magiques, voyances et pèlerinages.

    A- la voyante Lalla Kanza.

    Le roman s’ouvre par une soirée de transes animée par des gnaouas où se mêlent les sons des crotales et des gambris et les odeurs de benjoins et d’encens dans une atmosphère de fraternité entre le djinn et l’homme, le temps d’une nuit. Tout est dédié au djinn pour chercher son soutien en satisfaisant ses exigences et ses caprices. Les fumées en nuages légers et crémeux montent vers les ténèbres de la nuit, domaine du Malin en attente de parfums nocturnes, les danses des femmes dans des contorsions où les corps sans os se tordent à se rompre, les couleurs vives des vêtements choisis au goût du prince de la nuit, et les youyou des femmes, langage sans code et sans cordes : tout cela pour sceller un pacte d’alliance avec les forces obscures de la nuit, une fois par mois, à Dar Chouafa où les locataires sont les acteurs, les témoins ou les spectateurs du rituel. La Chouafa , femme respectée par crainte, tire sa notoriété et son autorité du rite mensuel pendant lequel elle danse avec le djinn qui le lendemain devient son serviteur et son maître. Les couleurs qu’elle porte lui sont dictées par les djinns qui la hantent et la servent et chacun d’eux a sa propre couleur : « Il lui fallait un nombre important de coudées de satinette noire pour calmer l’humeur du grand génie bienfaisant, le roi Bel Lahmer. Depuis quelque temps, elle sentait aussi un mal sournois, dû à l’action de Lalla Mira. Pour faire cesser le mal, une robe d’un jaune de flamme s’avérait nécessaire. Il y avait bien Sidi Moussa à satisfaire, sa couleur était le bleu roi, mais la robe de l’année dernière pouvait encore servir. » ( page 106)

    B- Le voyant Sidi El Arrafi

    Autant il est plus simple dans ses pratiques autant la Chouafa est plus exigeante et plus spectaculaire. Il ressemble à un sage, ou à un derviche des temps anciens. Il parle par paraboles comme eux mais avec beaucoup de mystique et de mystère. Son langage est obscur mais validé par des références d’ordre théologique. Il est sincère et honnête dans ses propos et déclare dès le début que malgré le nom de ‘’voyant’’ qu’il porte ou que les gens lui font porter, il n’a rien d’une personne qui sache dévoiler l’avenir car cela relève des affaires de Dieu : « Ne vous attendez pas à ce que je vous dévoile l’avenir. L’avenir appartient à Dieu, l’omnipotent » La sincérité de l’aveugle est loin de semer le doute dans les cœurs des deux femmes, au contraire, elle les rassérène car elles connaissent bien la Chouafa pour être une prétentieuse et’’ une sorcière’’. Les deux Lalla sortent de chez l’aveugle soulagées et légères du fardeau : toutes deux ont le sentiment qu’elles vont bientôt le déposer pour se reposer.

    Les paroles du voyant aveugle sont sans équivoque. « La blessure semble profonde, pourtant la guérison est proche » ( page208) dit-il à Lalla Aïcha. Quant à Lalla Zoubida, il lui confie sur le ton de la solennité : « O ma sœur……..Souviens-toi que lorsque quelqu’un fait des vœux pour un absent, l’ange gardien lui répond : Que Dieu te rende la pareille » (page 210)

    C – Les pèlerinages des sanctuaires

    Le pèlerinage à des lieux saints ou censés l’être est une activité presque exclusivement féminine. La femme a toujours été considérée comme un être faible et fragile. Cette croyance, véhiculée de génération en génération à travers les âges a fini par être admise comme une vérité intrinsèque à la nature de la femme. Elle s’installe en elle et prend habitat de son corps, de sa pensée. La femme elle-même tient cet état comme un fait et s’y plie en s’y résignant.

    La femme va donc chercher ce qui lui manque là où il est : les Saints qui servent d’intermédiaires entre elle et Dieu. Elle y cherche secours et force. Elle y cherche protection et soutien. Elle y cherche libération et réconfort et guérison du mal physique ou du mal moral dont le mauvais œil est la cause. « Lalla zoubida, dit Lalla Aïcha, c’est Dieu qui m’envoie pour te secourir, t’indiquer la voie de la guérison, je vous aime, toi et ton fils,…. » (page 22) Lalla Zoubida ne peut pas refuser « Ma mère promit de visiter Sidi Boughaleb et de m’emmener cet après-midi même »(page 22). Arrivées devant le catafalque « chacune lui exposait ses petites misères, frappait du plat de la main le bois du catafalque, gémissait, suppliait, vitupérait contre ses ennemis. »(page 26)

    Le voyant aveugle n’a-t-il pas recommandé à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints, les patrons de la ville ? « Les Saints de Dieu qui veillent sur cette ville t’accordent leur protection. Visite leurs sanctuaires »(page 210) Lalla Zoubida ne se le fait pas répéter deux fois surtout à un moment difficile de sa vie. Elle dresse un calendrier hebdomadaire des visites des Saints « Chaque Santon a son jour de visite particulier : le lundi pour Sidi Ahmed ben Yahïa, le mardi pour Sidi Ali Diab, le mercredi pour Sidi Ali Boughaleb… » (page 214-215)

    II- Les fêtes religieuses : la Achoura

    La Achoura est vécue comme une fête aussi bien par les grands que par les petits Et chacun la célèbre à se façon. Les enfants se font acheter des habits neufs à l’occasion et des instruments de musique. « …ma mère me passa, à même la peau, ma chemise neuve, craquante d’apprêt. Je mis mon gilet rouge aux dessins compliqués et bien en relief. Ma sacoche en bandoulière, je complétai cet ensemble très élégant par la djellaba blanche qui dormait au fond du coffre de ma mère… » (page 142). Les enfants font usage de leurs instruments de musique dans l’allégresse et la joie du tintamarre qu’ils produisent : « Je m’assis, mis mon tambour par terre sur ses bords, je réussis à coincer ma trompette entre mes genoux. Mes mains manièrent le bâtonnet avec vigueur. Je soufflai de toutes mes forces dans la trompette » (page 139). Les femmes montent sur les terrasses pour faire parler leurs bendirs et derboukas « Le soir, des bouquets de femmes richement vêtues ornaient toutes les terrasses. Des tambourins résonnaient, les chants fusaient de partout. » (page 150).

    L’aspect religieux de la Achoura se manifeste dans la mise à neuf du Msid : Il est passé à la chaux, lavé à grande eau et éclairée de mille feux. Le sol est recouvert de nattes neuves. Chacun y a apporté sa contribution en fonction des moyens de la famille, mais à la mosquée, rien n’est refusé. L’embellissement du Msid pour le jour de la Achoura cède la place pour La Achoura elle-même que les apprentis fkihs célèbrent avec leur maître « Ce matin, les objets les plus ordinaires, les êtres les plus déshérités mêlaient leurs voix aux nôtres, éprouvaient la même ferveur,s’abandonnaient à la même extase, clamaient avec la même gravité que nous,la grandeur et la miséricorde de Dieu, créateur de toutes choses vivantes ….Les parents de certains élèves psalmodiaient avec nous….il célébraient la Achoura au Msid comme au temps de leur enfance » (page 144)

    III- Les menues activités quotidiennes

    Dar Chouafa est un espace clos que doivent partager avec équité les locataires qui sont au nombre de quatre familles : au rez-de-chaussée, la Chouafa ; au premier étage, Rahma, son mari et leur fille Zineb ; au second étage, Fatma Bziouya et son mari d’un côté, de l’autre Lalla Zoubida, son mari et leur fils Sidi Mohammed. Comme il n’y a qu’une porte d’entrée principale, une seule cour, un seul puits et une seule terrasse, chaque famille doit les utiliser à tour de rôle, un jour de la semaine. Cela n’empêche pas les disputes car certaines d’entre elles veulent utiliser l’espace à leur profit un autre jour que le leur, ce qui déclenche des disputes violentes « …Rahma eut l’idée néfaste de faire sa lessive un lundi. Il était établi que ce jour-là appartenait exclusivement à ma mère. »( page 14) S’ensuit une dispute verbale des plus violentes où chaque femme donne libre cours à son registre, mais en cela Lalla Zoubida est une championne « Je sais qui tu es, une mendiante d’entre les mendiantes, une domestique d’entre les domestiques, une va-nu- pieds, crottée et pouilleuse, une lécheuse de plats qui ne mange jamais à sa faim … » (page16).

    Le lecteur ne peut ne pas remarquer le code de l’utilisation par les hommes de la porte d’entrée. L’utilisateur de la porte commune doit annoncer son passage pour donner aux femmes le temps de rentrer dans leurs chambres afin de ne pas être vues par les hommes, fussent-ils les locataires eux-mêmes comme Maâlem Abdeslam, Driss le fabricant de charrues ou Allal le mari de Fatma Bziouya. « – N’y a-t-il personne, puis-je passer ?….-Passe, Maâlem Abdeselam… » (page 246).

    La cour est propriété commune et tout un chacun peut l’utiliser surtout pendant les circonstances exceptionnelles imprévues : fêtes, mariages, circoncisions, ou simple réception d’invités le temps d’un déjeuner comme ce fut le cas du repas offert aux aveugles « Le jeudi suivant, Rahma pour remercier Dieu de lui avoir rendu sa fille, organisa un repas pour les pauvres. Toutes les femmes de la maison lui prêtèrent leur concours. Lalla Kanza, la Chouafa, aidée de Fatouma la plus dévouée et la plus fidèle de ses disciples, lavèrent le rez-de-chaussée à grande eau, étendirent par terre des tapis usés » (page 50-51). Toutefois la Chouafa, elle, l’utilise de manière régulière « …elle s’offrait, une fois par mois, une séance de musique et de danses nègres » (page 4)

    IV- La femme au foyer

    Le rôle de la femme est de s’occuper de l’intérieur de chez-elle, souvent composé d’une seule chambre ou deux d’une maison commune comme Dar Chouafa ou celle où habitent Lalla Aïcha ou encore Sidi El Arrafi. Les femmes passent le plus long de leur temps à cuisiner ou à attendre leurs maris absents pendant la journée de la maison et se trouvant dans leurs ateliers ; à papoter sur les terrasses des choses qui relèvent de l’univers des femmes ; à faire la lessive ou le ménage. Les rares fois où il leur arrive de quitter leurs chambres c’est pour aller à la kissariat, au bain ou pour rendre visite à une amie comme cela arrive à Lalla Zoubida. Mais elles sont souvent accompagnées par leurs maris ou de l’un de leurs enfants.

    Le mari absent pour un certain temps, toute la vie de la famille se trouve affectée et bouleversée par ce vide laissé comme si tout a été réglé d’avance, par un commun accord , sur un acte notarié pour que tout gravite autour de l’homme. Pourtant, les femmes jouissaient de leur liberté, et le lecteur n’a aucunement le sentiment qu’elles manquaient de quelque droit : le droit d’abord de dire et le droit de faire ensuite. Au contraire, les hommes sont souvent absents de leurs maisons laissant les femmes libres de leurs mouvements, de leurs déplacements ;Lalla Zoubida règne en maîtresse dans sa maison : il lui arrivait de tenir tête à son mari : l’achat de la lampe à pétrole, la refus de porter les bracelets d’or, les scènes de la dispute avec Rahma et l’impuissance du mari à la faire taire…

    V- Les hommes et leurs activités

    L’histoire se passe à Fès aux environs de 1920. Fès c’est aussi le berceau de l’artisanat et des petits métiers. Si le roman consacre une grande place à l’artisanat marocain, il n’accorde que peu d’espace à la présence masculine. La scène du salon de coiffure est sans aucun doute l’unique scène purement masculine et qui s’étale sur une dizaine de lignes.

    Babouchiers, tisserands, fourniers, jardiniers, moissonneurs saisonniers, coiffeurs, dellals ou courtiers, chouafas, voyants, masseuses, marieuses, conteurs, pour ne citer que ceux-là et j’en passe. Mais deux métiers méritent que l’on s’attarde un peu sur eux : celui de tisserand et de coiffeur.

    Maâlem Abdeslam est tisserand de djellabas pour hommes. Comme les djellabas ne se portent que pendant l’hiver, il a l’idée de se convertir dans la confection des haïks pour femmes : en effet, les femmes ne peuvent sortir de chez-elles sans s’être enveloppées dans leurs haïks. Maâlem Abdeslam suit donc la tendance et comme la tendance est plutôt féminine, il opte pour le vêtement de la femme, obéissant ainsi au principe de l’offre et de la demande.

    Si abderrahman est, lui, coiffeur, mais il exerce d’autres activités parallèles au métier de coiffeur. Il pratique la saignée « Si Abderrahman retira les ventouses, alla les vider derrière un rideau. Sur la nuque du client paraissaient deux boursouflures sanguinolentes » (page 136) ; et la médecine traditionnelle « Demande aux gens de ta maison de faire frire dans du beurre un oignon blanc finement haché. Mélange à cet oignon frit deux cuillérées de miel, de l’anis et des grains de sésame… » ( page131) ; il circoncit les petits garçons « Je n’aimais pas Si Abderrahman. Je savais qu’il serait chargé de me circoncire. Je redoutais ce jour » (page 129), on fait appel à ses services pendant les fêtes « Il vint, selon l’usage, accompagné de ses deux apprentis, placer les invités et faire le service pendant le repas » (page 129) ; c’est un homme à donner des conseils « …mon père eut recours à ses soins et fait grand cas de ses avis et recommandations » (page 129)

    Le salon de coiffure est un lieu de rencontre où l’on ne vient pas seulement pour se faire raser, mais également pour s’informer ou faire circuler une nouvelle. La nouvelle du moment gravite autour d’un éventuel remariage de Moulay Larbi attendu que sa femme est stérile « Ce qui m’étonne, c’est qu’il n’a point d’enfants. Peut-être a-t-il une femme trop âgée ? »( page 132)

    VI- L’auteur témoin de son temps

    L’auteur, a-t-on toujours dit, est le témoin de son époque. Les faits qu’il relate sont de nature à nous renseigner sur son temps. Ils ont donc une valeur documentaire. Un exemple frappant ne peut passer inaperçu pour l’œil attentif du lecteur : Il s’agit de la lampe à pétrole, de son introduction dans les foyers à une époque où les gens s’éclaireraient à la chandelle. Cette invention fait son apparition avec l’entrée de l’occupant français : elle est perçue à l’époque comme un signe de modernité « O ! Merveille ! Au centre du mur, une lampe à pétrole était accrochée. Une flamme blanche et paisible dansait imperceptiblement dans un verre en forme de clarinette. Une glace, placée derrière, intensifiait la lumière ; nous étions, ma mère et moi, complètement éblouis »(page 42)Ce passage me rappelle un autre qui lui est similaire sur trois points : il parle d’une lampe à pétrole ; il est tiré d’une autobiographie ; il est situé presque à la même époque « …mon père considérait cette lampe comme le dernier mot de la technique, il est vrai qu’elle donnait une vive lumière, en même temps qu’une violente odeur moderne »( La Gloire de mon Père- Marcel Pagnol- Pages 68,69, Editions de Fallois).

    Les lecteurs de l’époque moderne, surtout les jeunes d’entre eux, sont sans doute insensibles à la richesse ethnographique de la Boîte à Merveilles. Traditions, mœurs, pratiques situées entre le religieux et le profane, entre l’obscur et le rationnel, entre l’archaïque et le moderne constituent le quotidien du Marocain de l’époque que raconte l’œuvre de Séfrioui. Le lecteur est redevable à cet auteur de lui avoir fait revivre cette époque , racontée dans un langage plus proche de l’arabe dialectale que du français.

    -Les numéros des pages renvoient à l’édition ’’Librairie des Ecoles- Casablanca’’

    #238134

    En réponse à : Passation des Consignes

    @lawy: j avai pas compri que tu étai zakraoui exuse moi je n ai rien contre zkara c est l histoire qui a volu donc ya pas d amalguame PDT_Armataz_02_27 information utile: prkoi un 3atrousse parceque je suis diabétique la viande d angneau tros sucré pr moi en me la méme iterdi le pain aussi et 9adiyate zmaguri c est le destin qui a voulu que je le soit alor t inquiéte pas pour moi j ai l abitude de le faire ce traget surtous cette foi je vien dans ma ville natale lala oujda la3ziza ❗ ❗ ❗ ❗

    #235588
    saidi
    Membre

    @dawy wrote:

    @ratek84 wrote:

    @nediha_gawriya wrote:

    on s’en fouu des c saloosss a ta place jl’aurai tous grillé 👿 👿 👿

    en tt cas les gens de rabat sont des vrais malade..c tune lonnngue histoire

    é autant ke oujdi chui fiere de letre nous sommes une nation nss .. une race SUPERIEUR AUX AUTRES ! é j’assume ce ke je di 😉

    faite un tourr sur ce lien é dite moi ce ke vs pensez 😉

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_personnalit%C3%A9s_de_Oujda

    😆 😆 👿 😈
    RAK CHAAAYYYYEEEE333333

    La plupart est planquée à RABAT.Ils s’y sentent bien et meme tres bien.
    Oujda est leur dernier souci.
    Il n’y a pas de quoi etre fier.

    et encore moins d’être raciste car la définition précise de ce terme se trouve dans le message de notre ami nediha gawrya daté du 1.11.07.

    #235581
    dawy
    Membre

    @ratek84 wrote:

    @nediha_gawriya wrote:

    on s’en fouu des c saloosss a ta place jl’aurai tous grillé 👿 👿 👿

    en tt cas les gens de rabat sont des vrais malade..c tune lonnngue histoire

    é autant ke oujdi chui fiere de letre nous sommes une nation nss .. une race SUPERIEUR AUX AUTRES ! é j’assume ce ke je di 😉

    faite un tourr sur ce lien é dite moi ce ke vs pensez 😉

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_personnalit%C3%A9s_de_Oujda

    😆 😆 👿 😈
    RAK CHAAAYYYYEEEE333333

    La plupart est planquée à RABAT.Ils s’y sentent bien et meme tres bien.
    Oujda est leur dernier souci.
    Il n’y a pas de quoi etre fier.

    #235580
    ratek84
    Participant

    @nediha_gawriya wrote:

    on s’en fouu des c saloosss a ta place jl’aurai tous grillé 👿 👿 👿

    en tt cas les gens de rabat sont des vrais malade..c tune lonnngue histoire

    é autant ke oujdi chui fiere de letre nous sommes une nation nss .. une race SUPERIEUR AUX AUTRES ! é j’assume ce ke je di 😉

    faite un tourr sur ce lien é dite moi ce ke vs pensez 😉

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_personnalit%C3%A9s_de_Oujda

    😆 😆 👿 😈
    RAK CHAAAYYYYEEEE333333

    #235577
    nediha_gawriya
    Participant

    on s’en fouu des c saloosss a ta place jl’aurai tous grillé 👿 👿 👿

    en tt cas les gens de rabat sont des vrais malade..c tune lonnngue histoire

    é autant ke oujdi chui fiere de letre nous sommes une nation nss .. une race SUPERIEUR AUX AUTRES ! é j’assume ce ke je di 😉

    faite un tourr sur ce lien é dite moi ce ke vs pensez 😉

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_personnalit%C3%A9s_de_Oujda

    #235519
    OUJDI_PUR
    Membre

    @من بلاد الشيخات wrote:

    ah les gars, laissez parler !! ignorez-les !
    j’ai eu l’occasion de roncontrer des casawi, au début, ils te regardent avec un sourir moqueur rien qu’en sachant que tu viens d’oujda, mais avec le temps ils seront obliger de garder leurs limites.

    je confirme : quand ils sont gentils cé lorsq’ils voient leur interet (pas forcément matériel).

    le seul moyen efficace c’est de les ignorer.

    cela n’est pas une généralité, c’est une réalité.

    Il existe aussi, malheureusement, à oujda une mauvaise mentalité tribale, keske ça veut dire: être un pur oujdi ? un vrai oujdi ? un 100% oujdi ? (comme il a dit sélim sur sa femme) cé quoi lawjada la7rar ?
    y-a t il un oujdi à 80%? un oujdi inpur ? un faux oujdi ?
    quels sont les critères de la vraie « l’oujdité » d’un individu ? ses deux parents ? ses deux grands parents ? être de ahl angad ? être de beni znassen ? bni guil ? mhaya ? qui est le vrai oujdi parmi tous ces gens ?

    je n’ai pas envi de ré-orienter le débat vers une discussion conflictuelle inter-oujdi, mais je veux mettre le point sur le fait que cette fierté exagérée et cette revendication tribales renvoient immédiatement et indirectement au rejet des autres, les wjada reprochent aux autres ce qu’ils font chez eux depuis toujours : « rejet » des sa7rawa et swassa etc etc …

    à l’orient marocain, t’as vocation à préciser de quelle tribu tu es !! t’es d’oujda ? OK, et t’es d’où ? znassni ? ngadi ? t’es de tawrirt ? OK, mais t’es d’où ? de ouled ja3 ? etc etc

    cette attitude a renvoyé aux autres (ghraba etc etc) une image d’un oujdi proche du « racisme ».

    WACH SAHBI RAK TAHDARE 3LIYYA

    nb: relis l’histoire d’oujda

    Les anciennes familles de la ville :

    Dans la période pré-coloniale, la population d’Oujda était formée de groupes d’origines variés. En 1907 déjà, la diversité de ses origines était très grandes. On distinguait d’après Voinot : Les Oulad Amran , les Achegfane, les Ahel Oujda, les Oulad el Gadi, les Ahel Djamel, Les Oulad Aîssa.

    Ces six groupes avaient donné leur nom aux six quartiers d’Oujda. Chacun d’eux aurait été lui-même constitué par les éléments de provenances diverses.

    Les Oulad Amran se subdivisent en :

    Chekarna : sont chorfa (celui qui descend du prophète par Fatima) et seraient par les uns du ksar Oudaghir de Figuig, d’après les autres de Nédroma (Algérie).
    Oulad Moulay et Abbes : également chorfa auraient abandonné la région de Tlemcen au XVIe sciècle pour fuir la domination turque.
    Chouazi ou Oulad Ghazi : seraient originaires soit Tafilalet, soit des Beni-Snassen.
    Tlemçaniines seraient arrivés à Oujda vers la même époque que Moulay Abbès.
    Les Achegfane : Auraient de origines extrêmement variées allant des Beni-Snassen au Tafilalet en passant par Tlemcen et Figuig.

    Les Ahel Oujda : sont formés par deux groupes peu nombreux :

    El Bequia : qui signifie « le reste » est composé des Oulad Menni, Oulad Mohamed ben Larbi et Oulad el Moul ; il serait le dernier vestige de l’antiquité population pré-islamique qui aurait occupé la ville au temps du Sultan l gendaire El Ablak el Fortas.
    El Kouarda : comprends principalment des gens originaires de Kouarda, et peut etre aussi quelque Beni-Snous et Beni-Bousaiid.(Algerie).

    Les Ouladd el Gadi : sont très mélangés ; cette fraction est constituée par les Arabes et les Berbères venus d’un peu partout. On y trouve, entre autres, des Beni-Snassen, des Cherada, des Beni Bou Said ainsi que des gens de Zouî et Aira près de Nemours.

    Les Ahel el Djamel : ont des origines diverses tout comme les précedents ; les Ouled Bou Kais viendraient du Ksar du meme nom (Sud Oranais) ; les Ouled El Khaled des Beni-Snassen, les Ouled Chamma de Tlemcen, les Ouled Filali du Tafilalet.

    Les Oulad Aissa : se divisent en Oulad El Mir et Oulad Aissa. Les premiers sont originaires des Beni Mimoun, chez les Beni-Mengouche, Beni-Snassen , les seconds des Oulad Aissa de l’ouest. Quelques familles provenant des Oulad El Arabi du sud de l’Atlas et des Beni-Yala se sont intégrées aux Oulad Aissa.

    La population s’est diversifié sous le protectorat français en 1907 du fait de l’afflux constant d’individus venus de tous le Maroc oriental, d’Algérie mais aussi de Maroc occidental, de Fez, Casablanca, Marrakech et même de Sous.

    moi je suis fier d’etre oujdi mais ca ne veut pas dire que je suis raciste

    actuelement je vis a rabat et alhamdoullah je n’ai pas ce genre de probelems
    mais rake 3aref dar lkhedma khedma dar ! au cafe rayyahe solo
    welli yaddakkare yar3afe sahbi

    en ce qui concerne casawa wach ngoullek des vrais profiteurs assalam yarabbi
    assane yadhake lessane **** welgalb fihe lakhdi3a
    CA VA

    #235213

    En réponse à : Mon Histoire avec Oujdacity

    trabando-48
    Membre

    voila ça fait déja plus de 3 ans que je connait oujdacity c’était en 2004 ,que j’ai consultai pour la 1ére fois notre cher site.

    l’histoire classique , on cherchait des photo d’oujda , juste que moi je vis à oujda et se sont des amis à moi qui vivent à l’étranger qui m’ont consseillé de consulter notre cher site ,
    et ce n’est qu’on cette année que je me suis inscrit dans le forum, grace à votre présence à votre amitié et à votre amour à notre cher Oujda .

    merci à tout les oujdinautes
    😉

    #235212

    En réponse à : Mon Histoire avec Oujdacity

    fadi
    Membre

    Voiiila !! Pour qu’il y ait pas de derives .. Un nouveau topic pour notre Histoire avec Oujdacity !!

    La mienne devrait certainement etre la plus ancienne :mrgreen:

    C’est en 2003 que j’ai fait la decouverte de l’ancien site Oujdacity .. J’étais à Taza à l’époque .. Une ville ou il n’y a absolument rien à foutre ( Oujda Ra8a Nwawer ) .. C’était mon année de Bac .. donc je cherchais des infos sur les écoles supérieures ou je pourrais continuer mes études supérieures .. Oncle google m’a proposé Oujdacity .. Et voila !!

    A l’époque y avait pas encore le forum .. donc je me connectait que rarement pour me ressourcer de ma ville natale .. Maintenant j’en suis devenu accro .. Le8la Ybli Chi Mslem 😆 😆

15 réponses de 196 à 210 (sur un total de 379)
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