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octobre 3, 2006 à 10:30 #208682
En réponse à : cherche plan de la ville de oujda
khouti59
Membre@fadi wrote:
Pour le CRT, je pense que c’est la destination de tt etranger visitant la ville, parce qu’il n’aura ni la téte, ni le temps de faire le tour de nos administrations ..
🙄Salam aleykoum
Moi je suis même pas touriste pour pouvoir me contenter du CRT . Je vis en france et j’ai rarement les moyens d’aller me ressourcer dans ma ville natale. En France j’ai contacté l’office du tourisme du maroc sans succès non plus.
Les freres , les soeurs si l’un d’entre vous se sens l’âme charitable en ce mois beni de ramadhan pour contacté les organisme cités. sa bonne actions ne sera pas perdue.C’est frustrant d’entendre les membres de sa famille évoquer des endroits de leur enfance, des quartiers de la ville sans pouvoir juger de la pertinance des distancesou du lieu dit.
saha ftorkoum à toussalam aleykoum
octobre 3, 2006 à 12:43 #216489En réponse à : Sebta et Melilia
dahlia
Membre😕 c est une colonisation economique fadi qu on le veuille ou pas et elle nous a été imposé on ne peut pas y fuir comme d ailleurs grand nombre de pays en developpement ki souvrent a l economie mondiale…..
je dis ca sans contester le fait ke les villes precités tanger tetouan et saidia sont des facteurs ou plutot des moteurs de la relance de leconomie marocaine…mais une relance dans l immédiat seulement .
🙄
octobre 2, 2006 à 9:17 #208334En réponse à : la mentalité des oujdis suite
manara
Membre@birouk wrote:
Les oujdis c’est vrais sont assez défaitistes devant les épreuves, battent leurs femmes et feraient n’importe quoi pour travailler à la police ou à la Dst, ils sont comme ça, lunettes sombres et sourires jaunes.
Par définition ils sont laches, parlent comme des algériens et se masturbent en cachette dans les toilettes des cinémas.Ils n’ont pas compris que le monde est entrain de changer, ils ont peur des algériens et finissent par épouser leur filles.
D’ailleurs dans cette ville, il ya 50% de marocains d’origine algérienne.Les Oujdis, ne sont pas des marocains à part entière mais entierement à part.
t’es atteint depuis quand?
Allah ychafi!!octobre 2, 2006 à 8:44 #208333En réponse à : la mentalité des oujdis suite
fadi
MembreOubliez cette histoire d’Oujdi Berkani Fassi Marrakchi Blabla 🙄
On est tous des marocains ici ..octobre 2, 2006 à 3:29 #216488En réponse à : Sebta et Melilia
fadi
MembreSebta et Melilia n’était qu’un exemple: Comme vous avez cité M Ali Kadiri,
Les plus belles terres marocaines sont encore colonisées par l’espagne: Les iles Canaries, Les iles Jaafarines sans oublier bien sur le territoire perdu après les accords de Lalla Maghnia ou les responsables marocains ont soldé 38% du territoire marocains au compte de notre voisin de l’Est 👿
Pour le cas de Saidia, Tanger et Tetouan je ne suis pas tout à fait d’accord ..
Il ne s’agit pas de colonisation mais de facteurs de dévelopement regional
😉octobre 2, 2006 à 3:09 #201703Sujet: Notre haut conseil des oulemas
dans le forum Religionsdawy
MembreSalut à tous.
Notre haut conseil des oulemas marocains,occupte-t-il fikhiant le role qui lui sied?.
Est-it en mesure de répondre aux questionnements du musulman marocain.
A-t-il les moyens constitutionnels ou autres d’exprimer son independance par rapport à l’executif?octobre 2, 2006 à 2:19 #201700Sujet: Sebta et Melilia
dans le forum Débatsfadi
MembreLa situation des deux villes « marocaines » restent encore un peu delicate ..
Villes théoriquement marocaines, mais pratiquement espagnoles ..
Pourquoi le Maroc ne prend pas au serieux le dossier de ces deux enclaves ?
Pourquoi le maroc n’ose méme pas en parler dans les assemblées politiques internationales ?
Pourquoi on a peur de revendiquer nos droits à ce point ?Débat Ouvert, à vos claviers ➡
octobre 1, 2006 à 10:43 #214815En réponse à : jm trop Berkane!!!
tachafine
Membre@zhm wrote:
mazbalate berkane ou bien mazbalate atarikh ? !!
stp plus de précision c’est important ! car la jvien de comprendre et grace a ton poste que berkan est mazbalte atarikh .
relis ton poste stp !c scientifique ce que tu vient de dire ? si c oui explique toi plus ou bien donne nous qulque chose de plus logique pour confirmer tes blagues lalla et pour dire que berkane est une mazbalat attarikh !!!! alors aray ma3andak ,;;;
si non alors tu veut prouve klk chose que tu as dans ton crane , c’est a dire
une maladie de dire que tu es plus civiliser ou plus eduque ou plus raciste , se sont des paroles des racistes , revoi ton language chere zhmBERKANE L’HISTORIQUE
La province tire son nom de la ville de Berkane, fondée au début du siècle sur les anciennes ruines d’un village historique, baptisé du nom de l’érudit et saint Sidi Mohamed Ben Elhassan Ben Mekhlouf Errachidi plus connu sous le nom de Sidi Ahmed Aberkane mort en 868 de l’Hégire.
la Province Berkane s’étend sur une superficie de 1985 km², soit 2.4% de la superficie de la région de l’Oriental. Elle est limitée au Nord par la Méditerranée, à l’Est par la frontière Maroco-Algérienne et la Préfecture d’Oujda-Angad, à l’Ouest par la Province de Nador et au Sud par la Province de Taourirt.
La situation géographique privilégiée de la province de Berkane à proximité des marchés extérieurs notamment européens et maghrébins la prédispose à devenir un pôle de développement important tant pour la région de l’Oriental, qu’au niveau national.Données géographiques : des reliefs contrastés
* Relief
Le paysage est marqué par des reliefs contrastés du Nord au Sud :
* La plaine de. Triffa dont l’altitude moyenne est de 200 mètres, s’étend sur une superficie de 61.060 hectares (dont 39.600 ha irrigués) en rive droite de l’oued Moulouya qui constitue le principal drain du réseau hydrographique de la région (1Millards m 3/an). Elle s’insère entre les monts de Béni-Snassen au sud et les collines d’Ouled Mansour au nord qui la séparent de la petite plaine côtière de Saidia.
* La chaîne de Béni-Snassen, dont les massifs culminent à 1429 mètres, au sommet de Jbel Bou Zaâbel.
* Climat
Le climat dominant dans la région est de type méditerranéen semi-aride avec :
* Une pluviométrie moyenne annuelle faible et irrégulière (300 mm) ; les précipitations sont concentrées sur les mois de décembre, janvier et avril ;
* Des températures moyennes annuelles variant entre 5,2°C et 18,7°C l’hiver, 18,5°C et 31°C l’été.LE POTENTIEL TOURISTIQUE
La Province de Berkane est parée d’atouts naturels, culturels et traditionnels qui en font une destination phare pour les visiteurs en quête de détente sur les sables dorés d’une plage méditerranéenne, pour les fervents des grands espaces désireux de respirer l’air pur de la montagne et d’explorer une nature sauvage, exotique et dépaysante ou pour ceux qui, réfractaires aux musées, veulent découvrir in situ les traditions, rites et croyances d’une culture mystérieuse et insolite.
En effet, la Province est dotée d’un rivage méditerranéen de 14Km, de forêts naturelles qui serpentent les monts de Béni Snassen vers les gorges de Zegzel, de grottes préhistoriques, mondialement connues, et de sources thermales réputées pour leurs vertus curatives.Le tourisme balnéaire : station balnéaire de Saidia
La Ville de Saïdia est située à l’extrême Nord-est du Maroc sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres, à 20 Km de la ville de Berkane et 60 Km de la ville d’Oujda. Cette petite ville littorale occupe une position géographique privilégiée et constitue un carrefour incontournable ouvert sur les marchés européens et maghrébins et à proximité des principales voies de desserte terrestres, aériennes et maritimes (à 2 heures d’avion de l’Europe, à 50 Km et 60 Km respectivement de l’aéroport Oujda-Angad et de la gare ferroviaire d’Oujda, à 80 Km du port de Nador et de l’aéroport de Aroui et à 90 Km du port et de l’aéroport de Melilla).
Le premier noyau de la ville date de 1883 et fût l’œuvre du Sultan Hassan Premier qui bâtit une Casbah de 15.600m2 de superficie sur la rive gauche de l’embouchure de l’Oued Kiss. Ce monument, vestige seigneurial d’épopées glorieuses, servait entre autre de bastion de la résistance face à l’hégémonie des envahisseurs.
Bien qu’elle remonte à l’orée du 19ème siècle, c’est du temps du protectorat français (1927) que la ville a été aménagée en tant que station balnéaire faisant le bonheur des autochtones et de l’ensemble de la présence coloniale dans l’Oriental.
Transformée en commune urbaine en 1992, la ville de Saïdia compte actuellement en temps normal, quelques 3338 habitants (RGPH, 2004) et reçoit des milliers de visiteurs en période estivale attirés par ses atouts touristiques multiples et diversifiés.Plage – Soleil
Considérée comme l’une des plus belles plages du Royaume, Saïdia possède des atouts naturels indéniables à même de séduire les plus exigeants en matière de tourisme balnéaire. Son climat idéal (plus de 300 jours de soleil par an avec des températures moyennes annuelles oscillant entre 18 C° l’hiver et 31 C° l’été), ses 14 Km de sable fin doré, la clarté de ses eaux propres pour la baignade et animées d’une faible houle et l’exubérance de ses paysages attirent chaque année plus de 200.000 visiteurs venus des quatre coins du pays et de l’étranger avec une forte présence des MRE (14,5% du total des estivants), plus particulièrement lors de la tenue du « Festival de Saïdia » mis sur pieds depuis 1980 pour promouvoir le patrimoine culturel et artistique que recèle l’Oriental.
Infrastructures et Animation
Les potentialités de cette station prêtant à une plus grande exploitation et ouvrant des perspectives d’investissements considérables, sont rehaussées par les équipements qu’offre la ville en matière touristique et renforcée par le port de plaisance, la rocade longeant le rivage méditerranéen sur 560 Km et reliant Saïdia à Tanger, l’école hôtelière et par l’essor qu’ont connu les festivités aussi bien artistiques, culturelles que sportives organisées en marge du festival rendez-vous incontournable.
Tous ces attraits prédisposent Saïdia à devenir une importante destination touristique entraînant la mise en valeur d’autres localités proches, le long de la même côte ainsi que vers l’arrière pays (surtout la zone des Béni Snassen).Le tourisme vert
Les monts de Béni Snassen
A quelques kilomètres au sud de la ville de Berkane, les monts de Béni Snassen constituent un terrain de prédilection pour les amateurs de tourisme de montagne. On y trouve un éventail de paysages et de sites, tous aussi fascinants les uns que les autres. Le SIBE des Béni-Snassen englobe deux zones : la première (6.150 ha) comprend de magnifiques paysages (grottes, falaises, escarpements) recouverts principalement de Thuyas, et la seconde (600 ha) referme la très belle chênaie du jbel Foural, habitat naturel d’une riche faune zoologique et ornithologique (Sangliers, Lièvres, Lapins, Perdrix, Pigeons, Tourterelles, etc.). Dans ces décors paradisiaques on peut s’adonner à la randonnée pédestre ou équestre, s’assoupir à l’ombre d’un chêne bercer par les murmures des eaux argentées d’un ruisseau, escalader les façades des gorges de Zegzel, découvrir la faune et la flore locales, savourer à l’issue d’une battue de chasse l’ivresse d’une belle capture ou se détendre dans la quiétude qui règne à Tafoghalt, un pittoresque petit village rustique situé en pleine forêt méditerranéenne (Thuya Chênes verts, Genévrier, Oxycèdre, Pin d’Alep, etc.). Son climat doux et frais l’été soulage les visiteurs de la chaleur qui sévi en plaine pendant cette saison. Il est fréquent que les cimes avoisinantes se tapissent l’hiver d’une couche de neige évoquant les fabuleux paysages du Haut Atlas marocain.Vallée de Zegzel
Emprunter la vallée de Zegzel c’est aller à la rencontre d’une végétation luxuriante, offrande généreuse de l’Oued Zegzel qui du cœur des montagnes de Béni-Snassen dévale les pentes au fond de gorges abruptes. Tout au long de ses méandres orangers, citronniers, néfliers, amandiers, légumes et céréales, jardins en terrasse verdoyants suspendus aux versants et constituant une toile bariolée aux tons impressionnistes, semblent s’accrocher de toutes leurs racines à la terre qui leur a donné vie. Les versants plus ou moins raides de ces monts et la rigueur de leurs hivers n’ont pas dissuadé leurs habitants, tirant leur subsistance d’une agriculture artisanale, de l’élevage et de la forêt, d’y bâtir des villages parfaitement intégrés à l’environnement.Sites archéologiques et historiques
Grotte des pigeons
La grotte karstique dite ‘’grotte des pigeons’’ à cause des nombreux pigeons qui y vivent, se trouve à l’entrée de la vallée de Zegzel, à 2 km à l’Est du village rustique de Tafoghalt. C’est une grande cavité largement ouverte vers l’extérieur présentant une entrée en forme d’arche. Découverte en 1908, la grotte est un gisement préhistorique mondialement connu en raison de l’importance des résultats scientifiques qu’elle a permis d’obtenir. Les fouilles entreprises en 1959 ont mis à jour plusieurs niveaux archéologiques contenant des restes d’animaux et des outils de pierre taillée datant du Paléolithique ( entre 40000 et 100000 ans). La grotte a ensuite connu 23 occupations successives au cours de l’Epipaléothique par une population de chasseurs qui allumaient à l’intérieur de grand feux provoquant la formation de couches cendreuses pouvant atteindre plus de quatre mètres. Les mesures de radiocarbone ont permis de dater ces couches cendreuses de 10.500 à 12.500 ans. Les spécialistes déterrèrent plus de 100.000 outils en pierre taillée, des restes d’animaux et surtout 180 sépultures d’individus appartenant à une race autochtone baptisée « homme de Tafoghalt » qui est à l’origine des populations berbères actuelles. Ces individus ont été enterrés selon un rituel funéraire qui laisse penser que les Epipaléolithiques avaient des sentiments religieux. Tous ces résultats font de la grotte de Tafoghalt un gisement unique au Maghreb qui n’a d’équivalent qu’en Egypte ou au Proche Orient.Grotte du chameau
Perdu parmi les contreforts de l’Oriental, la grotte du chameau est un site historique et archéologique qui fait partie de ces havres de paix, de beauté et de calme où l’on peut se réfugier loin de la pollution et du stress des grandes villes. C’est également un haut lieu de spéléologie où d’insolites silhouettes de terre s’élancent vers le plafond à la rencontre d’autres descendantes, les stalagmites et les stalactites forment un rempart de multiples colonnes patiemment sculptées dans le calcaire par les eaux d’infiltration durant des millénaires. Vu sa dimension, sa valeur comme habitat préhistorique, la beauté exceptionnelle de son site, son accessibilité, sa situation géographique privilégiée au sein des Béni-Snassen, à proximité du centre d’estivage de Tafoghalt et de la grotte des pigeons ( 5km),la grotte du chameau est une destination de choix pour les épris des grands espaces.La grotte s’ouvre dans la vallée de l’oued Farrouj, affluent de l’oued Zegzel, au coeur du massif des Béni-Snassen, sur la rive droite duquel elle présente deux entrées. C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.Le tourisme écologique
Le Site d’Intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) de la Moulouya
Sur une superficie de 2700 Ha s’étale le SIBE de la Moulouya, un site naturel particulier sans équivalent sur la côte méditerranéenne orientale en matière de biodiversité, en particulier pour l’Herpétofaune et l’Avifaune, avec la présence de nombreuses espèces menacées et remarquables.
L’Embouchure de la Moulouya (le seul cours d’eau marocain important se déversant dans la Méditerranée) est classée comme site d’intérêt Biologique et Ecologique (SIBE) sur une superficie de 2.700 Hectares environ. Il comprend l’oued Moulouya ( de l’embouchure jusqu’à Ain Zerga), le cap sableux (Est de l’embouchure), l’arrière plage (falaises incluses) et les marais d’Ain Zerga, des Chrarba et gueltat Sidi Boudiaqui. Ces marais constituent de superbes étendues d’eau douce provenant de l’accumulation de précipitations pluviales et de résurgences ; ils sont cernés par une dense végétation palustre (Salicornes, Typhas, Roseaux,…), qui les rend quasiment inaccessibles. Ces zones abritent une avifaune riche et diversifiée comprenant des espèces endémiques d’importance mondiale à savoir : L’Ibis chauve, la Sarcelle marbrée, le Goéland d’Audouin, etc, et d’importantes populations d’oiseaux nicheurs tels que les poules sultanes, le héron pourpré, le busard cendré et Plusieurs espèces de fauvettes aquatiques. Elles constituent, par ailleurs, la plus importante escale migratoire de l’oriental, accueillant des espèces hivernantes dont certaines sont menacées d’extinction tels que les canards colverts, les oies cendrées, etc. Le tapis végétal environnant est composé de sansouïres à salicornes accompagnées de phragmites, de jonc, etc. L’herpétofaune (reptiles et amphibiens) de ce site est remarquable avec des espèces reliques endémiques de la région de Kebdana et l’Oranais, considérées comme éteintes de la planète depuis un siècle (Chalcides mauritanicus et Chalcides parallelus). Ces lieux d’une rare beauté où on peut contempler des levées et couchées de soleil féeriques, offrent un cadre agréable pour le tourisme vert.Phyto-écologie : 95 espèces représentant 38 familles avec de nombreuses formes endémiques, rares, remarquables et plantes médicinales qui abritent de nombreuses espèces dont 12 endémiques et rares.
Habitat : Ripisylve de Tamarix d’une densité exceptionnelle abritant un peuplement spécifique d’une diversité unique au Maroc.
Invertébrés Terrestres : sur 216 taxons retenus, 8 n’ont pas été trouvé ces 230 dernières années, 19 endémiques, 32 rares au Maroc et 5 classés comme espèces vulnérables inscrites sur la liste des espèces protégées au Maroc.
Herpétologie : 23 espèces dont 8 remarquables par leur endémisme et leur rareté, notamment Testudo graeca et Chamaeleo chamaeleo, deux espèces qui figurent sur la liste rouge internationale.Site de la cigogne blanche
A la sortie de la ville de Berkane, sur la rive droite de l’Oued Cherâa à proximité du ‘’Darih’’ de Sidi Ahmed Aberkane saint, patron de la ville, et à quelques dizaines de mètres de la grande mosquée, se localise le SIBE de la cigogne blanche. On y dénombré 33 nids juchés en haut de vieux et grands eucalyptus témoins silencieux de l’évolution et de l’extension de cette agglomération. Cette colonie est l’une des deux plus importantes du Maroc après celle des murailles de Dar El Kbira de Méknes (42 nids). Ce site constitue, d’ailleurs, l’un des rares points de concentration où ces grands échassiers se reproduisent normalement.Le Thermalisme
La source de Fezouane
merci a http://said35.chez-alice.fr/
La source thermale de Fezouane est située au piémont nord des Béni Snassen. Elle est née à l’issue d’une intense activité volcanique durant la fin du tertiaire et le début du quaternaire. Elle a pris du renom et de l’importance avec le premier sondage effectué par les pouvoirs publics entre le 29 Octobre 1961 et le 14 Janvier 1962.
Ses eaux de bonne qualité, appartiennent au groupe des bicarbonates calco- magnésiennes. Elles sont appréciées pour leurs propriétés curatives, notamment dans le traitement des maladies des reins.La source thermale de Chouihiya
Une source dont les eaux possèdent des propriétés thérapeutiques en dermatologie, se situe au centre de la commune rurale de Chouihiya à 30 Km de la ville de Berkane.
L’héritage culturel
Toute forme d’art est une source de renseignement sur la vie, la pensée et la sensibilité des hommes qui le crée. Le patrimoine culturel de la région de l’oriental s’est imprégné au cours de son histoire de traditions héritées des différentes civilisations qui s’y sont relayées.
Artisanat
Les produits de l’artisanat locale offrent une variété appréciable d’articles tels que couvertures, tapis, djellabas, robes et caftans au style Oujdi (mansouj), et produits de vannerie, ainsi que différents autres objets à base d’Alfa (paniers,…), se sont de véritables œuvres d’art reflétant la créativité et la sensibilité des artisans de cette région.
Chants, musiques et danses traditionnelles
Cette région se distingue par ses chants, ses musiques et ses danses populaires : Ahidous, Laâlaoui et ses variantes le Mengouchi , le Nhari et le Sghairi, des formes d’expression rythmées riches en percussions. Ces danses séculaires exécutées par plusieurs danseurs se tenant à coude et se mouvant comme un seul corps, exaltent le courage et la solidité des guerriers face à l’ennemi. La province possède également des groupes de Bardias, uniques en leur genre au Maroc. Se sont des guerriers à pied exécutant des figures expressives ; fusils à la main ils terminent leur prestation dans un nuage de poudre.
😉 😉 😉 😉
octobre 1, 2006 à 7:18 #214117En réponse à : الأدارسة في المغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental
BOUAYED
Membreبسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
Mr Yahya de Sebdou, Bonjour. On n’a pas votre intervention et on n’a pas compris ce que vous voulez dire.Mr Mchichi, j’ai reçu ton message et comme on a nos E-mail, on pourrait communiquer nos informations au besoin. Avec toute ma sympathie.
Je vois que tu as créé, peut être sans le savoir? un 2ème topic sur les IDRISSIDES en arabe et c’est ainsi que je demande aux Responsables de bien vouloir supprimer le topic « الأدارسة بالمغرب الشرقي » nouvellement créé. Merci
Pour accéder au Topic « الأدارسة بالمغرب الشرقي Les Idrissides du Maroc Oriental », il suffit de cliquer sur le sujet si celui-ci existe dans la liste d’accueil puis cliquer sur Répondre et écrire directement dans la grande case sans pour autant écrire le nom du sujet. Si le sujet n’existe pas dans la liste d’acceuil, il faut cliquer sur le Forum Café Oujdacity puis sur notre sujet « الأدارسة بالمغرب الشرقي les Idissides du Maroc Oriental » et enfin sur Répondre comme c’est expliqué plus haut.
Je demande aussi aux intervenants qui veulent participer et discuter du et dans le sujet qui nous interresse, qu’il est souhaitable de le faire dans ce topic (Sujet) afin de ne pas créer autant de topics pour la même chose et disperser ainsi les interventions et les avis. Personnellement, je n’interviendrai et répondrai que dans ce topic. Merci pour tout.Pour Mr Bouayed de Tlemcen, Bonjour. Je voudrai avant tout procéder à des rectifications et précisions sur ce que j’ai avancé auparavant : Pour les Fils de Sidi Ali Bouchnafa, il fallait lire 4 dans le Sous Marocain et on m’a dit qu’ils portaient le nom de AGOURAM (à préciser ?) et c’est ma grand mère paternelle qui est d’origine fassie et non maternelle.
Le nom de Bouayed chez les Ouled Sidi Bouchnafa n’est qu’un nom parmi d’autres noms comme Elidrissi, Belhajji, Elgoual, Saada, Raoudi, Bouchnafa, Bahaddi, Benseria et autres… Mais il faut continuer les recherches de votre part toute en attendant celles de Mchichi. On reste en contact; Bien à vous.من المراجع كذمك
كتاب بيان المغرب في أخبار الأندلس و المغرب ، تحقيق لافي بروفونسال ، بيروت 1948 — كتاب المغرب في ذكر بلاد إفريقية و المغرب لأبي عبيد البكري ، تحقيق دوسلان ، باريس 1965 –المعجب في تلخيص أخبار المغرب لعبد الواحد المراكشي ، القاهرة 1949.و عن مصدر العشماوي
سيدي قادة بالمختار المعروف بسيدي عبد القادر بنخدّة الذي كان عالما عاملا و هو من ذرية سيدي عبد القوي الذي بمدشر تفريست بالريف من المغرب الأقصى و لما مات سيدي عبد القوي الثالث و دفن بالمدشر المذكور جاء ولداه محمد و عيسى للصحراء عند قبة سيدي أبي زيد و استقرا الى أن ماتا و دفنا هناك . فأما عيسى فخلف ابنه المهدي و منه تنسل أولاد مسعود الذين منهم البحليثة و أما محمد خلف احمد الذي خلف عبد القادر و الذي خلف احمد. هذا الأخير خلف محمد و احمد ، فمحمد خلف الأصفر الذي خلف محمد ابو نقاب جد النقايبية و خلف احمد المختار الذي خلف سيدي قادة المشهور بعبد القادر بنخدة بن المختار بن احمد بن عبد القادر بن احمد بن محمد بن عبد القوي بن علي بن احمد بن عبد الفوي بن خالد بن يوسف بن احمد بن بشار بن مسعود بن محمد بن طاوس بن يعقوب بن عبد القوي الأول بن احمد بن محمد بن ادريس بن ادريس.ء
و أما كثير بن ادريس فإنه تنسل منه الشرف في الأندلس و هم أهل مالقة و غرناطة و طارف و جبل الفتح و كافة بلاد الأندلس فجدهم اسمه سيدي محمد بن ادريس بن موسى بن عيسى بن يحيى بن عبد الله بن عبد الرحمان بن احمد بن محمد بن عبد القادر بن سعيد بن مسعود بن يوسف بن علي بن محمد بن كثير بن ادريس بن ادريس.ء
و أما اولاد سيدي عثمان بن عمر المعروف باغريس فمنهم فرقة في اغريس و منهم فرقة في جبل بني سنوس بإزاء قبائل بني بوسعيد فجدهم اسمه عثمان بن اعمر بن مسعود بن عبد الله بن سعيد بن بلقاسم بن عبد الجبار بن عثمان بن فرج بن محمد بن احمد بن ادريس بن ادريس.ء
و أما اولاد مالك فهم أهل الساقية الحمراء و منهم فرقة في بلاد اسويد و منهم فرقة في اتوايت يقال لها اتواريت و اتواتريت و انتازات بإزاء شافع فجدهم اسمه سيدي ابراهيم التازي بن محمد بن مالك بن عبد المالك بن محمد بن مالك بن عيسى الرضى بن موسى المرتضى بن عبد الله بن ابي جعفر بن محمد القاطن بن علي بن زين العابدين بن عبد الله بن حمزة بن ادريس بن ادريس.ء
يتبع
قرأت في العدد 2784 ليوم الجمعة 15/9/2006 من جريدة « الأحداث المغربية » ص 16 للسيد فاخر السلطان ما يلي : » و يقول لنا التاريخ أن الخليفة الرابع علي بن أبي طالب أعطى مخالفيه أثناء خلافته ثلاثة حقوق : 1- حق الكلام ، 2- حق الفيء و 3- حق التردد. أي بين لهم أولا حق إبداء الرأي من غير المواجهة بالقوة و استعمال العنف ، ثم ثانيا حق الفيء و ما لهم على الدولة من رواتب و غنائم و صدقات، و أخيرا حق التردد على المساجد و التي كانت حينئذ مراكز للحكم.ء
كما يؤكد التاريخ أن الخليفة الرابع لم يرفع السلاح بوه معارضيه و مخالفيه، و لم يقاتلهم إلا حين تجاوزوا حرية الكلمة و الرأي الى فرض الكلمة و الرأي بقوة السلاح و العنف. فالخوارج خالفوه ثم كفروه ، فلم يفعل لهم شيئا ، و عندما انتقلوا الى الخطوة التالية و هي رفع السلاح و استباحة الدماء قاتلهم.ء
فالجهاد استخدمه علي بن أبي طالب لرفع الظلم من أجل إقامة العدل، العدل المتمثل حينئذ بحرية العقيدة و السماح للطرف الديني الآخر المختلف بالبقاء، بل بالمحافظة عليه و حمايته، من أجل التعبير عن رأيه حتى و إن كان معارضا في العقيدة أو في السياسة ».ء
و السلام عليكم و رحمة اللهoctobre 1, 2006 à 2:47 #207432En réponse à : Débat sur la situation économique et sociale de la ville
saidi
MembreSans vouloir vous offusquer, car je suis sûr que vous êtes des internautes chevronnés, puis-je vous demander de nous faire un résumé d’incitation pour que les internautes de notre chère cityoujda.net puissent aller jeter un coup d’oeil sur le site PALTAK. J’y ai découvert, rien que sur la partie concernant le maroc des discussions très interessantes qui nous donnent parfois de la matières à reflexion(du moins pour les sujets discutés sérieusement). Je suis sûr que celà pourrait être bénéfique. merci salut saidi
octobre 1, 2006 à 2:32 #207431En réponse à : Débat sur la situation économique et sociale de la ville
saidi
MembreChère SOUMYA, bonjour.
J’ai bien lu ton message où tu donnes ton opinion pour ce qui est de la frontière entre le Maroc et l’Algérie. Certes, vu sous un angle un peu restreint, on serait tenté de comprendre tes arguments, malheureusement, la réalité est différente. En effet, malgré tous les exemples que tu cites et qui te paraissent bénéfiques pour la population pauvre frontalière, je ne pense pas être de ton avis, je m’explique: Nous savons tous que la population marocaine frontalière y trouve son compte (je ne te caches pas que lorsque je suis de passage à Oujda, mes pleins de réservoir de carburant pour mon véhicule, je les fait avec du carburant provenant en contrebande de l’algérie), ceci n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Il est vrai aussi qu’on a l’impression que la vie des gens paraît plus abordable. Mais ce que je voudrais te dire que c’est un système qui n’est pas viable ni durable. Pour exemple, si la population frontalière continue à se servir des différents produits provenant de la contrebande et par conséquent moins chèrs que les produits marocains (produits algériens, en provenance de Melilla, produits provenant d’autres pays sans même transiter par l’algérie etc…) Tu dois savoir que ce n’est pas la population pauvre qui profite de l’essentiel, ceux qui profitent de l’essentiel, c’est nos contrebandiers marocains en connivence avec les contrebandiers algériens qui ramassent le plus gros des gains au point qu’ils ne savent que faire de leurs gains si ce n’est d’ériger des bâtiments que tout le monde se pose la question de savoir à quoi peuvent-ils servir et combien de gens sont mis au travail pour résorber le chômage. D’un autre côté, tu ne dois pas oublier, que c’est une politique dangereuse en ce sens qu’il suffit aux gouvernants de l’autre côté de la frontière de donner un coup de vis pour arrêter cette contrebande et tu sais qu’ils sont capables, pourqu’on soit placé dans une très mauvaise position. J’ajouterais à celà que tout ce marché informell est nuisible à notre région, peutêtre pas à court terme mais sûrement à long terme. On doit se poser la question de savoir qui sont les investisseurs qui vont s’interesser à venir installer des usines dans la région s’ils savent qu’ils ne pourront jamais concurencer les prix des produits de la contrebande, alors? on doit continuer dans cette voie qui me paraît fragile et incertaine où faire un effort pour permettre à nos hommes d’affaires de venir installer leurs usines pour, je le repète engager, engager, engager car c’est la seule voie qui pourra permettre à nos jeunes universitaires diplômés passer des journées à pousser des charettes pour ventre des fruits et légumes ce qui nous désole tous quand on se rend à Oujda pour y passer quelques semaines(il faut aller voir en hiver ce que deviennent ces jeunes hormis le rêve d’attente d’un éventuel contrat pour venir grossir les rangs de chômeurs qui existent en europe). Pour bien te faire comprendre ces choses, sais tu que le complexe touristique que FADESA réalise à SAIDIA se répercute déjà sur pas mal de corps de métiers? comme nos hommes d’affaires ont souvent une vue courte sur l’avenir, au lieu de se mettre au travail, aggrandir leurs usines, multiplier l’embauche, il m’est venu à l’oreille (celà reste à prouver) que nos hommes d’affaires, au lieu de réagir comme je l’ai dit, ils se contentent malheureusement de faire venir des marchandises en contrebande en provenance de l’algérie pour pouvoir faire face à la demande pressante du groupe FADESA? cet exemple parmis tant d’autres doit nous donner à réflechir! ces hommes d’affaire, ce qui les interesse, ce n’est pas d’avoir le sens du civisme et de la citoyenneté et se mettre au travail pour développer notre région, non, ce qui les interesse, c’est de se procurer de la marchandise d’où qu’elle vienne pour peu qu’elle soit à moindre coût et que les bénéfices qu’ils feront soient colossaux.
Même si celà nous paraît à tous presque utopique, compte tenu des différents diplomatiques et politiques, je persiste à croire que le developpement de la région passera necessairement par l’ouverture des frontières, quand je dis celà, je ne parle pas que de l’algérie mais de l’UMA qu’on nous a toujours fait miroiter et que nous ne voyons toujours aucune prémisse qui permet d’être optimiste.
Vous voulez des exemples? pourquoi croyez vous que l’EUROPE de Bruxelles s’acharne à faire élargir son cercle en se tournant notamment vers les pays de l’Est? croyez vous que c’est pour sortir certains de ces pays de la misère qu’il le font? non! il le font pour attendre le retour de la manivelle, en élevant le niveau de vie de ces pays, ils finiront par devenir des consommateurs, et qui va leur fournir les produits de consommation? c’est les pays initiateurs qui n’arrêtent pas de les bombarder à coups de milliards d’euros, c’est parcequ’ils savent qu’il y aura un jour ou l’autre ce fameux retour de manivelle. Voilà, je ne veux pas me comparer à ces puissances, mais je suis convaincu, compte tenu du marché potentiel que nous avons d’abord entre les pays de l’UMA et pourquoi pas prendre les devant et viser les pays subsahariens.
Raisonner en termes des frontières en faisant allusion à la pastèque marocaine, au yaghourt algérien et les boissons qui ont d’ailleurs changées de sens puisque le cocacola dont rêvait l’algérien d’hier est devenu un commerce qui se fait dans le sens inverse puisque dans les familles d’Oujda, on voit rârement une bouteille de coca marocaine mais plûtot algérienne et à des prix défiant toute conccurence, celà pourrait être vrai demain pour beaucoup d’autres produits, que restera alors au maroc? fermer l’usine de coca d’oujda comme celà a déjà été évoqué à plusieurs reprises avec tous les licenciements qui suivront et les drames sociaux qui en découleront à moins qu’on se contente de dire que nous resterons supérieurs en leur fournissant des substances nocives sur lesquelles on ne doit malheureusement pas baser l’économie d’une région. Je vous demande de m’excuser d’avoir été long. salutationsseptembre 30, 2006 à 11:53 #208312En réponse à : ça vous apprendra à sortir des blagues sur les berkanais
Alaa-eddine
Participantsoyez les bienvenues sur notre forum, je tiens à préciser que les blagues restent des blagues et personne ne vous empèche d’en poster 😉
tout ce que je demande c’est de rester respectables, pas d’insultes …etc
berkani, oujdi ou rbati on est tous marocains 🙂
septembre 30, 2006 à 2:42 #209720En réponse à : appel aux berkanais!
snassnia horra
Membreje suis nouvelle sur ce forum,j’y participe ,comme ttles autres marocains,j’éspère y trouver refuge,car jai la sensation que je ne respire plus :lol 😯 en dehors de berkane,je suis résidante à al hoceima,et la spontaneité de mes concitoyens berkanais et berkanaises me manquent.
espérons pouvoir améliorer la qualité des sujets et des dialogues aussi.
c’est tt pour le moment,bon ramadan et à bientot.septembre 29, 2006 à 10:44 #201695Sujet: SQLI enfin a oujda
dans le forum Support Informatiquenediha_gawriya
Participantvoila un article issue du magazine « Programmez »:
SQLI ouvre le tout premier centre offshore dédié Open Source
LOGICIELS [mardi 19 septembre]
Dans le cadre de sa stratégie de développement alliant taille et densité technologique, le Groupe SQLI renforce son organisation en
pôles spécialisés, disposant chacun d’une expertise technologique et/ou métier spécifique, et accompagne le développement de son
pôle dédié Open Source de Poitiers en ouvrant, en partenariat avec l’Université Mohammed 1er de Oujda, son premier centre de R&D
offshore régional. Prolongement logique de sa stratégie de développement initiée en 2002 alliant taille, forte densité technologique et
industrialisation des services, SQLI complète aujourd’hui son dispositif en se dotant de pôles spécialisés dans des technologies et/ou
des métiers, tels que la Santé, les Collectivités Locales, le MCO*/Logistique, le Conseil (sous la nouvelle marque Sqli Consulting), la
Formation (Sqli Institut).
Dans le droit fil de cette stratégie et en s’appuyant sur la forte expertise de la société Lnet Multimédia, acquise en 2005, SQLI
dispose aujourd’hui d’un centre dédié Open Source situé à Poitiers. Cette organisation vise à accélerer la politique d’industrialisation
du Groupe, dans une logique de Qualité Totale (CMM-I), de productivité optimale et de rentabilité renforcée.
Historiquement composé de collaborateurs issus des milieux universitaires, que la culture R&D a fortement sensibilisés aux enjeux de
l’Open Source, et très présent au sein des collectivités territoriales, le centre de Poitiers s’est tout naturellement spécialisé sur les
technologies Open Source. Son expertise lui permet aujourd’hui de proposer aux entreprises des solutions ouvertes pragmatiques,
alliant performance et compétitivité, dans le respect de son engagement premier : la satisfaction pleine et entière des besoins des
entreprises.
A ce titre, la combinaison de l’Open Source et de CMM-I représente un atout majeur. Afin de renforcer ce pôle Open Source, SQLI a
souhaité se doter d’un centre de R&D / offshore et a signé une convention de partenariat avec l’Université Mohammed 1er située à
Oujda, au coeur d’une région privilégiée : l’Oriental marocain. SQLI bénéficie sur place, au sein même de l’Université, d’un vivier de
ressources de très haut niveau de qualité (la région étant réputée pour le niveau élevé des mathématiques), et de locaux
entièrement équipés (salles de développement, de formation, de réunion, de conférence…) avec les technologies les plus avancées,
dans l’enceinte de l’ENSA (Ecole Nationale des Sciences Appliquées). En contrepartie, SQLI met une plate-forme e-learning à la
disposition de l’Université ; les Experts du Groupe interviendront dans le cadre de formations spécifiques (ex. : CMM-I) et pourront
enrichir les cursus scolaires de modules complémentaires. SQLI participera également aux manifestations de l’Université autour des
NTIC et de l’Innovation. En étroite collaboration avec l’Université, SQLI contribuera ainsi au développement socio-économique de
l’Oriental en tant que vecteur d’emploi et promoteur de l’essor industriel local.
Pour concevoir ses solutions, SQLI a mis en place un laboratoire d’essais, disposant d’une plate-forme de tests et de démonstrations
(accessible aux collaborateurs du Groupe mais également aux clients) : le LabOS.
Sa vocation est :
– d’identifier les futures applications Open Source de référence dans des domaines non encore matures mais dont la demande est de
plus en plus forte, telles que le CRM, le groupware, etc. ;
– de développer de nouveaux composants venant enrichir les noyaux Open Source les plus prometteurs ;
– de créer des solutions packagées de pointe et de les diffuser auprès des clients du Groupe, s’inscrivant ainsi parfaitement dans la
stratégie d’industrialisation de SQLI.
Le centre de R&D et offshore de Oujda est d’ores et déjà opérationnel : recrutés et formés durant l’été aux standards de qualité du
Groupe (bonnes pratiques de développement, CMM-I, etc.), les collaborateurs travaillent actuellement sur les premiers projets Open
Source offshore ; par ailleurs, des missions conjointes de R&D, fédérant les Ingénieurs SQLI et les Universitaires sont sur le point de demarrerseptembre 28, 2006 à 11:26 #213749En réponse à : 3333333333333333333333333
hatim70
Membreje ne sait pas pourquoi monsieur ibn alrabi veut toujours donner cette idee de l’islam, je ne sent que de la haine , toujours vous cherchez des preuves assez faible pour defendre les massacres des innocents.
quand j’ai parle des innocents je voulais parler en premier lieu des massacres qui se passent dans les pays musulmans et dans autres pays , et le prophete sidna mohamed n’a jamais aracher les tetes de ses prisoniers , il les traitaient avec un grand respect , parce qu’il voulais donner un exemple pour le vrais musulman .
pour moi je trouve arracher une tete en public et la faire monter au gents de la facon qu’il font ces terroristes »moujahidine comme vous dites » de la barbarie ,il n’ya pas une grande difference entre ces massacres et les massacres des sionistes et les americains , alors ou sont passe les perceptes de l’islam la ? et qui est le musulman ,? il ne faut pas etre comme eux des barbares nous sommes des musulmans ,la je parle toujours des innocents musulmans ou autres .
alors la il y’a une difference entre le temps de la guerre et le temps de la paix ; a la guerre il peut tomber beaucoup des innocents c normale dans nos temps avec les bombes et les armes plus sofistique , parcontre quand ont perpetres des attentats contre des innocents quand sait en avant qu’il vont etre tuer alors la excuser moi monsieur ca devient un meurtre .
pour moi je suis avec le jihad fi sabili allah mais il ne faut pas que le moujahid s’eloigne de l’islam ,il ne jamais jamais oublier qu’il est un musulman avant tous souvenez vous qu’est ce qu’il a dit sidna mohamed quand il entre a la mek »mekka » »fath makka » ,,, c ca ce qui fait de l’islam une tres grande religion .
alors quand fait bombarder un souk en irak ou tuer des citoyens au maroc , jordanie ,arabie saoudite ,algerie, egypt …. est ce qu’on a change qualque chose est ce qu’ont a change des regimes ,,???? pas de tous cher ami !! vous savez pourquoi parcequ’ont a tuer qu’un simple citoyen musulman eehhhhh oui musulman ,qui voulait apporter klk de koi manger a sa famille , …
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