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15 réponses de 796 à 810 (sur un total de 1,252)
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  • #224458

    En réponse à : Le dico Oujdi

    trabando-48
    Membre

    salam,

    voici des termes « Oujdis » qui dérivent de langue française:

    – Ettama « مد يديك » = tant ta main.
    – Zoufri = ouvrier ( généralement on appel  » zoufri  » klk 1 qui vient d’une autre région pour travailler à notre ville et qui vit seul).
    – Koubbania « الشركة » = la compagnie.
    – Tingraffa = télégraph.
    – El bidou = le bidon.
    – Tétwar = trottoir.
    – Lamba = la lampe.
    – Komassi = commancer.
    – Frijidar = réfrigérateur.
    – Tirifiziou = télévision.
    – Sbérdina = les espadrilles.
    – Abadida = àh bah dis donc.
    – El bochta = la poste.
    – Lygouyat = les guants.
    – Zalamit = les allumettes.
    – L’antrit = la retraite.
    – Travoblik = les travaux publiques.
    – Likoul = l’école.
    – Rigla = la régle.
    – Tobîs = l’autobus.
    – Batima = le batiment.
    – Fista = la véste.
    – El bala = la pelle.
    – El guirra = la guerre.
    – Lastik = élastique.
    – Danone = yaghourt.( je l’aime cette nomination : de la pub gratuite)
    – Grafata = la cravatte.
    – Trissinti = l’éléctricité.
    – Bogos = beau gosse.
    – Salgoutt = sal goss.
    – Kryounat = les crayons.
    – Bouta = butan .

    une éxpréssion qui s’utulise partout dans le maroc c’est « sidi zékri » exp : « ma né3réf fiha élla khouya la sidi zékri ».

    est ce que klk’1 savait que le treme sidi zékri veut dire « jesus christ » 😆

    ça devient alors  » ma né3réf fiha la khoya la jesus christ » 😆

    #239963

    En réponse à : Un bonjour !

    dahlia
    Membre

    😛 😛 waaaaw ca me fait enormement plaisir ayman de voir que tu as gentiment transmis mon message!!!!!!

    j suis vraiment dsolé de ne pas pouvoir etre la avec vous regulierement…je pense presque tout les jours a vous….
    partager mon temps avec vous discuter ,veiller au bon deroulement des conversations me manque terriblement mais comme tout le monde peut savoir ..il y a bien des periodes dans la vie ou nous ne pouvons gerer notre temps comme bon il nous semble ,mais nous nous faisons guids par celui ci …nous subissons …

    je vous envoie a tous mes voeux, les meilleurs,pour le nouvel an sans oublier me souhaits de prospérité de reussite de joie a chacun de vous a l’occasion du AID …je souhaite aussi a tout les nouveaux inscrits la bienvenue..!!

    amicalement Dahlia

    #239684

    En réponse à : DROIT DE REPONSE

    saidi
    Membre

    @BOUAYED wrote:

    @acharifa wrote:

    salam alaykom akhi bouayad

    mazal kanatsana rad dialik akhi pour plus de details , rah jawabni akh mbarki walakin baghya na3raf aktar

    jazaka Allah khayran

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    الأخت الشريفة السلام عليكم و رحمة الله
    أنا لم أنساك و الأخ المباركي تفضل مشكورا بالإجابة بالتفصيل عن كل هذه التساؤولات و سوف أبحث من جهتي حتى أوافيك بكل ما أجده في موضوع  » الأدارسة بالمغرب الشرقي ».ء

    Chère Acharifa, je vais essayé de vous répondre dans le Topic des « Idrissides » et en attendant je vais continuer à répondre à Mr SAIDI, et regarde ce qu’il a dit dans son post du 28/8/2007 dans le même topic.

    Puisque vous m’avez provoqué, allons-y de quoi vous traitez depuis des années que ce site existe? Vous passez votre temps a étudier celui qui fils ou fille de tel ou telle qui lui même ou êlle même est fils de tel ou telle et ainsi de suite. Quel est votre but? A quoi voulez vous arrivez? vous êtes vous interessé au jeune garçon de 10ans qui vendait des CD SUR le port de TANGER à la médina d’oujda, de fes et d’ailleurs? celà vous a fleuré l’esprit de savoir qui était l’arrière arrière grand père ou grand mère de ce moutard, de savoir si il était chérif ou cheriffa? et après tout immaginons que vous allez découvrir d’après vos recherches dans les bibliothèques universitaires que ce jeune venduer de CD ou de cigarettes en détail! quesque vous allez lui apporter en lui annonçant que son arrière arrière grand père était chérif de telmle ou telle tribu. Avec tous le respect que je dois a votre travail, permettez moi de de vous dire qu’il ya beaucoup d’autre priorité criante dans notre région qui necessite des déplacements, d’aller sur le terrain, de voir la réalité qui saute au yeux, celà demande bien sûr un effort, c’est de lâcher le fauteuil confortable, dans une salle chaussée que l’université vous offre tout en étant sûr qu’à la fin du mois vous passez à la caisse pour toucher votre salaire!!!je ne pense pas pour ma part que celà est une formule citoyenne de vouloir faire avancer la région. J’en veux comme preuve: SM. LE ROI MOHAMMED VI est venu passer 10 jours dans cette fournaise qu’on appelle OUJDA; iL L4A FAIT PCQ IL A VOULU LA SORTIR DE cet enclavage, malheureusement, il lui a fallu 14 voyages dans la région avec des séjours qui dépassent 10 jours sur place pour voir certaines infrastructures se réaliser!!! je ne voudrais pas aller plus loin! citoyen est celuyi qui passe son temps à donner de ce qu’il peut ne fut ce que par parole comme vous le faite Monsieur BOUAYAD seulement, je pense que le nombre de personnes qui vous lisent et qui vous écrivent aurait beaucoup plus interessant et citoyen s’ils s’exprimaient à propos du besoin et de ce qu’il faut faire pour améliorer la situation de leur région en e’ssayant d’aider SM. LE ROI QUI a pratiquement élis domicile dans la région pour surveiller ce qui ce fait. Les chorfas, les gens qui vous écrivent pour savoir si leur prénoms ne pourrait pas les lier à un chérif ou à une chérifa me paraît être une cerise sur le gateau de laquelle on pourrait bien se passer pour le moment car nous avons beaucoup de chats à fouetter . Sans rancune, il ya bien longtemps que j’avais envie de te dire celà cher BOUAYAD.

    Chère Acharifa, voilà ce que pense ce genre de personnes des Chorfas, descendants du notre Cher Prophète Sidna Mohammad SAAW pris « pour quelle cuisse de Jupiter » ; phrase utilisée ce Mr SAIDI dans un de ses posts émis le 28/2/207. Ce Monsieur qui ne connait en Islam que le Nighache comme on dit car il a oublié ce que veut dire «  le Lien de Sang ou de Parenté« 
    صــلــة الــرحــم

    Et le LIEN DE SANG ou de PARENTE cela va pour Tout le Monde Chorfas ou non.

    Et voilà ce qu’on trouve dans le Sujet.
    و هذا ما نجده في الموضوع

    معنى صلة الرحم
    صلة الرحم تعني الإحسان إلى الأقربين وإيصال ما أمكن من الخير إليهم ودفع ما أمكن من الشر عنهم.
    وقطيعة الرحم تعني عدم الإحسان إلى الأقارب, وقيل بل هي الإساءة إليهم.

    حكم صلة الرحم
    لا خلاف أن صلة الرحم واجبة في الجملة, وقطيعتها معصية من كبائر الذنوب, وقد نقل الاتفاق على وجوب صلة الرحم وتحريم القطيعة القرطبي والقاضي عياض وغيرهما.

    ما ورد في شأن صلة الرحم و قطعها
    أمر الله بالإحسان إلى ذوي القربى وهم الأرحام الذين يجب وصلهم

    فقال تعالى : (( وَإِذْ أَخَذْنَا مِيثَاقَ بَنِي إِسْرائيلَ لا تَعْبُدُونَ إِلَّا اللَّهَ وَبِالْوَالِدَيْنِ إِحْسَاناً وَذِي الْقُرْبَى وَالْيَتَامَى وَالْمَسَاكِينِ وَقُولُوا
    لِلنَّاسِ حُسْناً وَأَقِيمُوا الصَّلاةَ وَآتُوا الزَّكَاةَ ثُمَّ تَوَلَّيْتُمْ إِلَّا قَلِيلاً مِنْكُمْ وَأَنْتُمْ مُعْرِضُونَ) (البقرة:83) .

    وقال تعالى : (( لَيْسَ الْبِرَّ أَنْ تُوَلُّوا وُجُوهَكُمْ قِبَلَ الْمَشْرِقِ وَالْمَغْرِبِ وَلَكِنَّ الْبِرَّ مَنْ آمَنَ بِاللَّهِ وَالْيَوْمِ الْآخِرِ وَالْمَلائِكَةِ وَالْكِتَابِ وَالنَّبِيِّينَ وَآتَى الْمَالَ عَلَى حُبِّهِ ذَوِي الْقُرْبَى وَالْيَتَامَى وَالْمَسَاكِينَ وَابْنَ السَّبِيلِ وَالسَّائِلِينَ وَفِي الرِّقَابِ وَأَقَامَ الصَّلاةَ وَآتَى الزَّكَاةَ وَالْمُوفُونَ بِعَهْدِهِمْ إِذَا عَاهَدُوا وَالصَّابِرِينَ فِي الْبَأْسَاءِ وَالضَّرَّاءِ وَحِينَ الْبَأْسِ أُولَئِكَ الَّذِينَ صَدَقُوا وَأُولَئِكَ هُمُ الْمُتَّقُونَ)) (البقرة:177) .

    وقال تعالى : (( يَسْأَلونَكَ مَاذَا يُنْفِقُونَ قُلْ مَا أَنْفَقْتُمْ مِنْ خَيْرٍ فَلِلْوَالِدَيْنِ وَالْأَقْرَبِينَ وَالْيَتَامَى وَالْمَسَاكِينِ وَابْنِ السَّبِيلِ وَمَا تَفْعَلُوا مِنْ خَيْرٍ فَإِنَّ اللَّهَ بِهِ عَلِيمٌ)) (البقرة:215) .

    وقال تعالى : (( وَالَّذِينَ آمَنُوا وَهَاجَرُوا وَجَاهَدُوا فِي سَبِيلِ اللَّهِ وَالَّذِينَ آوَوْا وَنَصَرُوا أُولَئِكَ هُمُ الْمُؤْمِنُونَ حَقّاً لَهُمْ مَغْفِرَةٌ وَرِزْقٌ كَرِيمٌ . وَالَّذِينَ آمَنُوا مِنْ بَعْدُ وَهَاجَرُوا وَجَاهَدُوا مَعَكُمْ فَأُولَئِكَ مِنْكُمْ وَأُولُوا الْأَرْحَامِ بَعْضُهُمْ أَوْلَى بِبَعْضٍ فِي كِتَابِ اللَّهِ إِنَّ اللَّهَ بِكُلِّ شَيْءٍ عَلِيمٌ )) (لأنفال:74ـ 75) .

    وقال تعالى : (( وَاعْبُدُوا اللَّهَ وَلا تُشْرِكُوا بِهِ شَيْئاً وَبِالْوَالِدَيْنِ إِحْسَاناً وَبِذِي الْقُرْبَى وَالْيَتَامَى وَالْمَسَاكِينِ وَالْجَارِ ذِي الْقُرْبَى وَالْجَارِ الْجُنُبِ وَالصَّاحِبِ بِالْجَنْبِ وَابْنِ السَّبِيلِ وَمَا مَلَكَتْ أَيْمَانُكُمْ إِنَّ اللَّهَ لا يُحِبُّ مَنْ كَانَ مُخْتَالاً فَخُوراً )) (النساء:36) .

    يتبع
    و السلام عليكم و رحمة الله

    C’est bien tout celà, ce serait encore mieux si vous vous donn,iez la peine d’ajoutr quelques phrases à vos interlocuteurs pour leur dire que s’ils veulent vous répondre: voilà en quelques phrases comment il faut proceder. Non bien sûr, vous vous estimez des as, et vopous voulez entrainer 35.000000 de marocaines et marocains avec vous sans aucune information. Ne cropyez vous pas que la citoyenneté doit commencer par là? sauf si vous ne vous interessez qu’à la population initiées aévec les dernierères inbstallations multimedia. C’est celà que j’appelle on se ment pour ce faire une bonne consciencce?

    #239682

    En réponse à : DROIT DE REPONSE

    saidi
    Membre

    @BOUAYED wrote:

    saidi a écrit:

    Monsieur BOUAYAD bonsoir. Après toute la délicatesse avec laquelle je me suis adressé à vous depuis que ce site nous permet des échanges, après avoir lu votre dernier post, j’ai revue ma copie, je me suis rendu compte que cen’était pqas la personne à qui je croyais parler. En effet, dans votre dernier post, vous avez été d’un brouillon tel que j’ai eu des difficulté à vous reconnaître, alors que vous m’aviez toujours donné l’impression dequelqu’un avec qui on peut dialoguer à l’aise!!!. D’après votre dernier post qui était d’ailleurs difficillement compréhensible tellement les sujets et les internautes étaient confondus on pouvaient difficillement s’y retrouver. Ce que j’ai retenu, de votre post, que plusieurs mois après avoir envoyé un post qui je pensait respectable et à bon escient, j’ai pu comprendre que que vous étiez très énervé, non conséquent avec vous même, créant une confusion qu’on ne connaissait pas de vous, il me semble avoir été interpellé par ce message, je dis bien il me semble, car c’était difficillement compréhensible. Sachez cher BOUAYAD, que je me souviens très bien de mon dernier message qui vous a été destiné: il dit en substance: merci pour ce que vous faites, le sujet que vous traitez n’est pas de mon niveau, je vous souhaite bonne continuation et je me suis barré!

    Que signifie votre réponse dans une espèce de brouillon indescriptible?

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Monsieur SAIDI Bonsoir. Je vous appelle Mr SAIDI comme vous m’avez Appelé Mr BOUAYAD mais il fallait écrire BOUAYED avec un E.

    Vous étiez surpris que je vous ai interpellé 3 mois et 19 jours après que vous avez intervenu pour essayer de « passer l’éponge » sur un certain nombre de posts où vous ne m’avez pas « ménagé » avec des propos grossiers, déplacés et pas très amicaux.

    Vous avez « parlé » longtemps et à chaque je me suis dis que ce Mr va finir par se taire mais en vain. Vous avez continué, malheureusement avec votre air hautin, malsain et hostile.

    J’ai lu vos 447 interventions et j’ai même enregistré pas mal d’entre elles et j’ai constaté les « dégats » que vous avez fait auprès de pas mal d’internautes, en l’occurence : Menara, Oujdi-net, AmatoAllah, Oujdi 12, Hafid, Houlakou, Ficam, Shiro…Du moins ceux que vous avez cité sans compter ceux que votre subconscient prend pour (ce que vous avez cité) « beaucoup de minables d’Oujda-city ».

    Ne soyez pas surpris que je vous interpelle 10 ans après (si Dieu le veut) car :
    * d’une part, il n’y a pas de préscription en matière de manques de Finesse, de Délicatesse, du Savoir vivre et du Respect d’autrui.
    *d’autres parts, il y a un « Droit de Réponse » à toutes les Bétises que vous avez avancé, comme il y a un « Droit de Défense » chez les Juristes.

    Comme vous avez beaucoup « parlé », il faut faut maintenant savoir « se la fermer » et écouter ce que disent les autres et essayer de « corriger » votre « sale » caractère qui ne vous a rapporté que du mépris, du dédain et de l’hostilité de pas mal de personnes que vous avez « agressé » pour rien.

    Vous avez parlé de « Brouillon » mais vous n’avez pas vu le votre.
    Je ne parle pas de l’accent ou de la virgule, ni du sujet ou du verbe ou de la syntaxe. Je parle surtout d’aérer vos interventions en espaçant les paragraphes comme dans « les livres » et de savoir mettre le point là où il faut et de revenir à la ligne quand il faut. Revenir « Bon sang » à la ligne, cela permet à l’individu de respirer, de « se corriger » et de ne pas passer du « coq à l’âne ».

    Voilà ce que je constate Mr SAIDI :
    *Vous n’avez beaucoup d’estime pour les « Chorfas » alors que vous sursauté quand on a juste effleuré le terme « Amazigh ».
    *Vous n’aimez pas la langue Arabe et peut-être bien les Arabes.
    *Vous voulez refaire « l’Histoire » du monde Arabomusulman à votre guise.
    *Vous voulez nous donner des leçons sur la « Citoyenneté ».
    *Et vous avez dit trop de « mal » de moi (et des autres).
    Cela fait trop de choses à la fois.

    Je vais répondre à tout cela mais en dehors du post des « Idrissides » dans une Rubrique « Droit de Réponse » et il y aurait peut-être d’autres gens qui pourraient vous dire ce qu’ils pensent.

    En attendant, du calme, un peu moins « Mina Alaajrafa » et ne régissez pas « trop vite » à chaque qu’on vous pique et bouclez là en attendant.

    A bientôt Mr SAIDI avec toutes mes salutations mais pas ma sympathie.

    Donnez moi les possibilités de vous répondre comme j’ai essayé de le faire durant 5 heures pour vous dire ce que je pense on pourra alors peut être s’entendre et se mettre d’accord

    #239915
    trabando-48
    Membre

    Certes les conditions sont assez inhumaines d’aprés ce que vous dites, mais est ce que ces conditions la , seront appliquées tout au long de l’année? ou c’est un cas approprié à la période d’ouverture ?

    Car si c’est le cas y’a pas de probléme de soufrir une quinzaines de jours avans de retravailler dans des conditions normales, sans pour autant pérmétre aux autres (hiérarchie) de vous sous-éstimer , ni de se passé pour un chef au dépend de votre dignité , العزة لله , et ce n »est ni marjan ni autre sté qui est à l’origine des biens des gents mais seul Allah ( الرزاق هو الله ).

    De même avis que Aymen ,je pense que c’est bien dommage que votre contéstation n’a aboutit qu’à votre licenciment, à nous de repensé au rôle des syndicats salariales et de leurs absence de la vie qutidienne des travailleurs.

    #231667
    wampus
    Membre

    choukran khouya holako 3la had l9issa,every time i log on i check straight forward if there`s any add about(wara9a min diftar biladi)well done,you`v been trough a lot but the outcome was good hamdoulah.
    you got a gift concerning your arabic don`t complain about,not any one can do so starting with me 😉 thanks.

    #236604

    En réponse à : Namima Party :D

    houl
    Membre

    @dawy wrote:

    @houlakou wrote:

    @marlyn wrote:

    ikhwaaani wa akhawaaati f namima malkoume wache ghémkome l7éme!! ybali hade lila mam3akoume 9sara!! 🙁

    akhouya jib lina chi victime nbadiw fih DAWI rah hna AYMAN dkhoul ewa aala man ghadi nqasrou FADI rah markoub rah kali zghab lfar litim 😆

    Koutrat cha7ma kat bakkam.
    Chouf khouk 3ayadt 3la falloussa cintrée,rani daymen en forme 😆
    Galouli al fila fi8a 2km gouddam al farabi.Ka ya talbou l’visa bach yawasslou lal mousta3jalates.
    8am8oum wa7ed:Lalla al ma3ida tkarfsou 3li8a 😆 😆

    chaab lmarqa wa taghmass al kabch ma tamnaa manou ta haja bnadam yaamarha bakbouka hata listoma tbarra mannou 😆

    #203288

    Sujet: Zoubida se rebiffe

    dans le forum Nador
    dawy
    Membre

    Une autre victime de la nouvelle moudawana.

    http://www.youtube.com/watch?v=h6m-3Vm-VmE

    #203283
    Ibn al arabi
    Membre

    Les mines du colonialisme continuent de tuer

    La tâche est titanesque. Herculéenne. L’œuvre de toute une vie, diront certains. Jusqu’à avril 2012, délai fixé par la Convention d’Ottawa sur l’interdiction des mines antipersonnel, l’armée algérienne aura fort à faire avec les champs de mines, sinistre legs de l’armée française.

    Au programme : neutraliser plus de 3 millions de mines terrestres,
    potentiellement dangereuses, et décontaminer quelque 1500 km de bande frontalière minée. Ce ne sont pourtant là que des estimations. Les historiens restent aujourd’hui encore divisés sur la quantité réelle de mines disséminées le long des frontières (lignes Challe et Morice). Des 11 millions de mines (chiffre officiel) ayant servi à isoler l’Algérie de ses voisins directs durant la révolution, l’ANP en a éradiqué 8 millions depuis l’indépendance. Les opérations de déminage, suspendues à la fin des années 1980, n’ont repris qu’en 2004. A un rythme soutenu vu le nombre de plus en plus élevé des victimes : 8 morts et 7 blessés d’après le ministère de la Solidarité nationale depuis le début de l’année. Ces opérations relèvent désormais d’une mission de « salut public ». Opérant souvent dans des conditions extrêmes, sans assistance internationale ni gros moyens, les unités spécialisées de l’armée avancent sur les terrains minés à pas de tortue, munies du reconnaissable engagement de rendre saines les frontières du pays, infestées d’engins de la mort. Djebel Asfour, ouest de Tlemcen. De par leur proximité immédiate avec le Maroc, les maquis de Asfour qui culminent à plus de 1500 m d’altitude offraient jusqu’à peu aux terroristes du GIA une parfaite zone de repli. Oujda, la ville marocaine, est à vue d’œil. La région n’en est pas moins sûre de nos jours. Cela fait bien quelques heures que nous avons quitté Tlemcen en compagnie d’officiers désignés par le commandement du secteur opérationnel pour nous amener sur le terrain d’opération du 14e régiment du génie de combat. La route tortueuse et brumeuse qui mène de l’ancienne mecque des trabendistes, Zouia, à Asfour, la n°99, n’est à présent fréquentée que par les Hellaba. Une nouvelle race de trafiquants versés corps et âme dans la contrebande de carburants en direction du pays voisin. Ni les barrages fixes des gardes-frontières ni les douaniers ne semblent en mesure de stopper la forte hémorragie. Des quantités « industrielles » de combustibles sont quotidiennement exfiltrées via la frontière pour être revendues à des tarifs dix fois plus chers au Maroc. Mais là n’est pas notre sujet. Retour sur les champs de mines. Ceux des lignes Challe et Morice à l’ouest du pays. Les deux impressionnantes lignes ont été construites en un temps record. De 1956 à 1959, le double barrage électrifié (plus de 5000 volts), tissé de fils barbelés renforcés en profondeur à la frontière par des bandes minées, a failli étouffer la révolution dans l’œuf. Fermer hermétiquement les frontières pour couper tout soutien extérieur à l’ALN était l’objectif recherché par les concepteurs du plan.

    http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=82033

    #209380
    ayman
    Membre

    s’il y’a eu de la decadence dans mes propos je te rassure que c’est pas fait exprés 😀 , en tout cas j’ai eu en aucun moment l’ipression de me contre dire , mon idée et simple et clair , et je precise et là je parlais au sein d’un couple et pas d’une illlegitimes relations ou amourettes 😉

    #209374
    nass
    Membre

    les femmes prefèrent surtout que l’homme soit naturel…
    et je suis d’accord avec tout ce qu’a dit AYMANE…
    « je pense aussi qu’un homme peut l’etre « RAJAL » tout en etant romantique et gentel ,sans que l’un efface l’autre » »
    et j’ajouterais que ça ne touche en rien sa virilité..ce que malheureusement la plus part des hommes croient…
    et ce qui manque plus chez l’homme, et je precise,
    l’homme oujdi ou de l’oriental…
    c’est le courage de montrer ses sentiments..
    tu le sens romantique, attentionné, aimant…
    mais jamais il ne devulgue ses sentiments…
    jamais il ne n’essai de communiquer, de dialoguer…
    et nous les femmes..on aiment les hommes beaux parleurs…

    😉 😉

    #203273

    Sujet: DROIT DE REPONSE

    dans le forum Débats
    BOUAYED
    Membre

    saidi a écrit:

    Monsieur BOUAYAD bonsoir. Après toute la délicatesse avec laquelle je me suis adressé à vous depuis que ce site nous permet des échanges, après avoir lu votre dernier post, j’ai revue ma copie, je me suis rendu compte que cen’était pqas la personne à qui je croyais parler. En effet, dans votre dernier post, vous avez été d’un brouillon tel que j’ai eu des difficulté à vous reconnaître, alors que vous m’aviez toujours donné l’impression dequelqu’un avec qui on peut dialoguer à l’aise!!!. D’après votre dernier post qui était d’ailleurs difficillement compréhensible tellement les sujets et les internautes étaient confondus on pouvaient difficillement s’y retrouver. Ce que j’ai retenu, de votre post, que plusieurs mois après avoir envoyé un post qui je pensait respectable et à bon escient, j’ai pu comprendre que que vous étiez très énervé, non conséquent avec vous même, créant une confusion qu’on ne connaissait pas de vous, il me semble avoir été interpellé par ce message, je dis bien il me semble, car c’était difficillement compréhensible. Sachez cher BOUAYAD, que je me souviens très bien de mon dernier message qui vous a été destiné: il dit en substance: merci pour ce que vous faites, le sujet que vous traitez n’est pas de mon niveau, je vous souhaite bonne continuation et je me suis barré!

    Que signifie votre réponse dans une espèce de brouillon indescriptible?

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Monsieur SAIDI Bonsoir. Je vous appelle Mr SAIDI comme vous m’avez Appelé Mr BOUAYAD mais il fallait écrire BOUAYED avec un E.

    Vous étiez surpris que je vous ai interpellé 3 mois et 19 jours après que vous avez intervenu pour essayer de « passer l’éponge » sur un certain nombre de posts où vous ne m’avez pas « ménagé » avec des propos grossiers, déplacés et pas très amicaux.

    Vous avez « parlé » longtemps et à chaque je me suis dis que ce Mr va finir par se taire mais en vain. Vous avez continué, malheureusement avec votre air hautin, malsain et hostile.

    J’ai lu vos 447 interventions et j’ai même enregistré pas mal d’entre elles et j’ai constaté les « dégats » que vous avez fait auprès de pas mal d’internautes, en l’occurence : Menara, Oujdi-net, AmatoAllah, Oujdi 12, Hafid, Houlakou, Ficam, Shiro…Du moins ceux que vous avez cité sans compter ceux que votre subconscient prend pour (ce que vous avez cité) « beaucoup de minables d’Oujda-city ».

    Ne soyez pas surpris que je vous interpelle 10 ans après (si Dieu le veut) car :
    * d’une part, il n’y a pas de préscription en matière de manques de Finesse, de Délicatesse, du Savoir vivre et du Respect d’autrui.
    *d’autres parts, il y a un « Droit de Réponse » à toutes les Bétises que vous avez avancé, comme il y a un « Droit de Défense » chez les Juristes.

    Comme vous avez beaucoup « parlé », il faut faut maintenant savoir « se la fermer » et écouter ce que disent les autres et essayer de « corriger » votre « sale » caractère qui ne vous a rapporté que du mépris, du dédain et de l’hostilité de pas mal de personnes que vous avez « agressé » pour rien.

    Vous avez parlé de « Brouillon » mais vous n’avez pas vu le votre.
    Je ne parle pas de l’accent ou de la virgule, ni du sujet ou du verbe ou de la syntaxe. Je parle surtout d’aérer vos interventions en espaçant les paragraphes comme dans « les livres » et de savoir mettre le point là où il faut et de revenir à la ligne quand il faut. Revenir « Bon sang » à la ligne, cela permet à l’individu de respirer, de « se corriger » et de ne pas passer du « coq à l’âne ».

    Voilà ce que je constate Mr SAIDI :
    *Vous n’avez beaucoup d’estime pour les « Chorfas » alors que vous sursauté quand on a juste effleuré le terme « Amazigh ».
    *Vous n’aimez pas la langue Arabe et peut-être bien les Arabes.
    *Vous voulez refaire « l’Histoire » du monde Arabomusulman à votre guise.
    *Vous voulez nous donner des leçons sur la « Citoyenneté ».
    *Et vous avez dit trop de « mal » de moi (et des autres).
    Cela fait trop de choses à la fois.

    Je vais répondre à tout cela mais en dehors du post des « Idrissides » dans une Rubrique « Droit de Réponse » et il y aurait peut-être d’autres gens qui pourraient vous dire ce qu’ils pensent.

    En attendant, du calme, un peu moins « Mina Alaajrafa » et ne régissez pas « trop vite » à chaque qu’on vous pique et bouclez là en attendant.

    A bientôt Mr SAIDI avec toutes mes salutations mais pas ma sympathie.

    BOUAYED
    Membre

    @saidi wrote:

    Monsieur BOUAYAD bonsoir. Après toute la délicatesse avec laquelle je me suis adressé à vous depuis que ce site nous permet des échanges, après avoir lu votre dernier post, j’ai revue ma copie, je me suis rendu compte que cen’était pqas la personne à qui je croyais parler. En effet, dans votre dernier post, vous avez été d’un brouillon tel que j’ai eu des difficulté à vous reconnaître, alors que vous m’aviez toujours donné l’impression dequelqu’un avec qui on peut dialoguer à l’aise!!!. D’après votre dernier post qui était d’ailleurs difficillement compréhensible tellement les sujets et les internautes étaient confondus on pouvaient difficillement s’y retrouver. Ce que j’ai retenu, de votre post, que plusieurs mois après avoir envoyé un post qui je pensait respectable et à bon escient, j’ai pu comprendre que que vous étiez très énervé, non conséquent avec vous même, créant une confusion qu’on ne connaissait pas de vous, il me semble avoir été interpellé par ce message, je dis bien il me semble, car c’était difficillement compréhensible. Sachez cher BOUAYAD, que je me souviens très bien de mon dernier message qui vous a été destiné: il dit en substance: merci pour ce que vous faites, le sujet que vous traitez n’est pas de mon niveau, je vous souhaite bonne continuation et je me suis barré!

    Que signifie votre réponse dans une espèce de brouillon indescriptible?

    بسم الله الرحمان الرحيم و صلى الله و سلم على سيدنا محمد و على آله و سلم تسليما
    Monsieur SAIDI Bonsoir. Je vous appelle Mr SAIDI comme vous m’avez Appelé Mr BOUAYAD mais il fallait écrire BOUAYED avec un E.

    Vous étiez surpris que je vous ai interpellé 3 mois et 19 jours après que vous avez intervenu pour essayer de « passer l’éponge » sur un certain nombre de posts où vous ne m’avez pas « ménagé » avec des propos grossiers, déplacés et pas très amicaux.

    Vous avez « parlé » longtemps et à chaque je me suis dis que ce Mr va finir par se taire mais en vain. Vous avez continué, malheureusement avec votre air hautin, malsain et hostile.

    J’ai lu vos 447 interventions et j’ai même enregistré pas mal d’entre elles et j’ai constaté les « dégats » que vous avez fait auprès de pas mal d’internautes, en l’occurence : Menara, Oujdi-net, AmatoAllah, Oujdi 12, Hafid, Houlakou, Ficam, Shiro...Du moins ceux que vous avez cité sans compter ceux que votre subconscient prend pour (ce que vous avez cité) « beaucoup de minables d’Oujda-city« .

    Ne soyez pas surpris que je vous interpelle 10 ans après (si Dieu le veut) car :
    * d’une part, il n’y a pas de préscription en matière de manques de Finesse, de Délicatesse, du Savoir vivre et du Respect d’autrui.
    *d’autres parts, il y a un « Droit de Réponse » à toutes les Bétises que vous avez avancé, comme il y a un « Droit de Défense » chez les Juristes.

    Comme vous avez beaucoup « parlé », il faut faut maintenant savoir « se la fermer » et écouter ce que disent les autres et essayer de « corriger » votre « sale » caractère qui ne vous a rapporté que du mépris, du dédain et de l’hostilité de pas mal de personnes que vous avez « agressé » pour rien.

    Vous avez parlé de « Brouillon » mais vous n’avez pas vu le votre.
    Je ne parle pas de l’accent ou de la virgule, ni du sujet ou du verbe ou de la syntaxe. Je parle surtout d’aérer vos interventions en espaçant les paragraphes comme dans « les livres » et de savoir mettre le point là où il faut et de revenir à la ligne quand il faut. Revenir « Bon sang » à la ligne, cela permet à l’individu de respirer, de « se corriger » et de ne pas passer du « coq à l’âne ».

    Voilà ce que je constate Mr SAIDI :
    *Vous n’avez beaucoup d’estime pour les « Chorfas » alors que vous sursauté quand on a juste effleuré le terme « Amazigh ».
    *Vous n’aimez pas la langue Arabe et peut-être bien les Arabes.
    *Vous voulez refaire « l’Histoire » du monde Arabomusulman à votre guise.
    *Vous voulez nous donner des leçons sur la « Citoyenneté ».
    *Et vous avez dit trop de « mal » de moi (et des autres).
    Cela fait trop de choses à la fois.

    Je vais répondre à tout cela mais en dehors du post des « Idrissides » dans une Rubrique « Droit de Réponse » et il y aurait peut-être d’autres gens qui pourraient vous dire ce qu’ils pensent.

    En attendant, du calme, un peu moins « Mina Alaajrafa » et ne régissez pas « trop vite » à chaque qu’on vous pique et bouclez là en attendant.

    A bientôt Mr SAIDI avec toutes mes salutations mais pas ma sympathie.

    #239621
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    La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographique
    (1)
    08/12/2007

    Oujda City : La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographique
    بقلم : tayeb zaid

    La Boîte à Merveilles est une œuvre riche en personnages surtout de sexe féminin. Aussi nombreux soient-ils, ils demeurent tous proches les uns des autres par les liens qui les unissent, liens de voisinage ou d’amitié, de rivalités ou de compassions, de circonstances ou d’échanges. Leur vie est régie par les événements quotidiens où se côtoient le réel et le recours aux forces occultes, où les faits semblent, pour le lecteur moderne, des faits sans conséquences et sans profondeurs, des faits d’un jour, d’un moment, sans lendemain et par conséquent éphémères. Mais détrompons-nous, ce sont des faits de société, de civilisation, d’époque. Un parcours de La Boîte à Merveilles laisse entrevoir les dessous de la société marocaine de 1920.

    I- Croyances, pratiques magiques, voyances et pèlerinages.

    A- la voyante Lalla Kanza.

    Le roman s’ouvre par une soirée de transes animée par des gnaouas où se mêlent les sons des crotales et des gambris et les odeurs de benjoins et d’encens dans une atmosphère de fraternité entre le djinn et l’homme, le temps d’une nuit. Tout est dédié au djinn pour chercher son soutien en satisfaisant ses exigences et ses caprices. Les fumées en nuages légers et crémeux montent vers les ténèbres de la nuit, domaine du Malin en attente de parfums nocturnes, les danses des femmes dans des contorsions où les corps sans os se tordent à se rompre, les couleurs vives des vêtements choisis au goût du prince de la nuit, et les youyou des femmes, langage sans code et sans cordes : tout cela pour sceller un pacte d’alliance avec les forces obscures de la nuit, une fois par mois, à Dar Chouafa où les locataires sont les acteurs, les témoins ou les spectateurs du rituel. La Chouafa , femme respectée par crainte, tire sa notoriété et son autorité du rite mensuel pendant lequel elle danse avec le djinn qui le lendemain devient son serviteur et son maître. Les couleurs qu’elle porte lui sont dictées par les djinns qui la hantent et la servent et chacun d’eux a sa propre couleur : « Il lui fallait un nombre important de coudées de satinette noire pour calmer l’humeur du grand génie bienfaisant, le roi Bel Lahmer. Depuis quelque temps, elle sentait aussi un mal sournois, dû à l’action de Lalla Mira. Pour faire cesser le mal, une robe d’un jaune de flamme s’avérait nécessaire. Il y avait bien Sidi Moussa à satisfaire, sa couleur était le bleu roi, mais la robe de l’année dernière pouvait encore servir. » ( page 106)

    B- Le voyant Sidi El Arrafi

    Autant il est plus simple dans ses pratiques autant la Chouafa est plus exigeante et plus spectaculaire. Il ressemble à un sage, ou à un derviche des temps anciens. Il parle par paraboles comme eux mais avec beaucoup de mystique et de mystère. Son langage est obscur mais validé par des références d’ordre théologique. Il est sincère et honnête dans ses propos et déclare dès le début que malgré le nom de ‘’voyant’’ qu’il porte ou que les gens lui font porter, il n’a rien d’une personne qui sache dévoiler l’avenir car cela relève des affaires de Dieu : « Ne vous attendez pas à ce que je vous dévoile l’avenir. L’avenir appartient à Dieu, l’omnipotent » La sincérité de l’aveugle est loin de semer le doute dans les cœurs des deux femmes, au contraire, elle les rassérène car elles connaissent bien la Chouafa pour être une prétentieuse et’’ une sorcière’’. Les deux Lalla sortent de chez l’aveugle soulagées et légères du fardeau : toutes deux ont le sentiment qu’elles vont bientôt le déposer pour se reposer.

    Les paroles du voyant aveugle sont sans équivoque. « La blessure semble profonde, pourtant la guérison est proche » ( page208) dit-il à Lalla Aïcha. Quant à Lalla Zoubida, il lui confie sur le ton de la solennité : « O ma sœur……..Souviens-toi que lorsque quelqu’un fait des vœux pour un absent, l’ange gardien lui répond : Que Dieu te rende la pareille » (page 210)

    C – Les pèlerinages des sanctuaires

    Le pèlerinage à des lieux saints ou censés l’être est une activité presque exclusivement féminine. La femme a toujours été considérée comme un être faible et fragile. Cette croyance, véhiculée de génération en génération à travers les âges a fini par être admise comme une vérité intrinsèque à la nature de la femme. Elle s’installe en elle et prend habitat de son corps, de sa pensée. La femme elle-même tient cet état comme un fait et s’y plie en s’y résignant.

    La femme va donc chercher ce qui lui manque là où il est : les Saints qui servent d’intermédiaires entre elle et Dieu. Elle y cherche secours et force. Elle y cherche protection et soutien. Elle y cherche libération et réconfort et guérison du mal physique ou du mal moral dont le mauvais œil est la cause. « Lalla zoubida, dit Lalla Aïcha, c’est Dieu qui m’envoie pour te secourir, t’indiquer la voie de la guérison, je vous aime, toi et ton fils,…. » (page 22) Lalla Zoubida ne peut pas refuser « Ma mère promit de visiter Sidi Boughaleb et de m’emmener cet après-midi même »(page 22). Arrivées devant le catafalque « chacune lui exposait ses petites misères, frappait du plat de la main le bois du catafalque, gémissait, suppliait, vitupérait contre ses ennemis. »(page 26)

    Le voyant aveugle n’a-t-il pas recommandé à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints, les patrons de la ville ? « Les Saints de Dieu qui veillent sur cette ville t’accordent leur protection. Visite leurs sanctuaires »(page 210) Lalla Zoubida ne se le fait pas répéter deux fois surtout à un moment difficile de sa vie. Elle dresse un calendrier hebdomadaire des visites des Saints « Chaque Santon a son jour de visite particulier : le lundi pour Sidi Ahmed ben Yahïa, le mardi pour Sidi Ali Diab, le mercredi pour Sidi Ali Boughaleb… » (page 214-215)

    II- Les fêtes religieuses : la Achoura

    La Achoura est vécue comme une fête aussi bien par les grands que par les petits Et chacun la célèbre à se façon. Les enfants se font acheter des habits neufs à l’occasion et des instruments de musique. « …ma mère me passa, à même la peau, ma chemise neuve, craquante d’apprêt. Je mis mon gilet rouge aux dessins compliqués et bien en relief. Ma sacoche en bandoulière, je complétai cet ensemble très élégant par la djellaba blanche qui dormait au fond du coffre de ma mère… » (page 142). Les enfants font usage de leurs instruments de musique dans l’allégresse et la joie du tintamarre qu’ils produisent : « Je m’assis, mis mon tambour par terre sur ses bords, je réussis à coincer ma trompette entre mes genoux. Mes mains manièrent le bâtonnet avec vigueur. Je soufflai de toutes mes forces dans la trompette » (page 139). Les femmes montent sur les terrasses pour faire parler leurs bendirs et derboukas « Le soir, des bouquets de femmes richement vêtues ornaient toutes les terrasses. Des tambourins résonnaient, les chants fusaient de partout. » (page 150).

    L’aspect religieux de la Achoura se manifeste dans la mise à neuf du Msid : Il est passé à la chaux, lavé à grande eau et éclairée de mille feux. Le sol est recouvert de nattes neuves. Chacun y a apporté sa contribution en fonction des moyens de la famille, mais à la mosquée, rien n’est refusé. L’embellissement du Msid pour le jour de la Achoura cède la place pour La Achoura elle-même que les apprentis fkihs célèbrent avec leur maître « Ce matin, les objets les plus ordinaires, les êtres les plus déshérités mêlaient leurs voix aux nôtres, éprouvaient la même ferveur,s’abandonnaient à la même extase, clamaient avec la même gravité que nous,la grandeur et la miséricorde de Dieu, créateur de toutes choses vivantes ….Les parents de certains élèves psalmodiaient avec nous….il célébraient la Achoura au Msid comme au temps de leur enfance » (page 144)

    III- Les menues activités quotidiennes

    Dar Chouafa est un espace clos que doivent partager avec équité les locataires qui sont au nombre de quatre familles : au rez-de-chaussée, la Chouafa ; au premier étage, Rahma, son mari et leur fille Zineb ; au second étage, Fatma Bziouya et son mari d’un côté, de l’autre Lalla Zoubida, son mari et leur fils Sidi Mohammed. Comme il n’y a qu’une porte d’entrée principale, une seule cour, un seul puits et une seule terrasse, chaque famille doit les utiliser à tour de rôle, un jour de la semaine. Cela n’empêche pas les disputes car certaines d’entre elles veulent utiliser l’espace à leur profit un autre jour que le leur, ce qui déclenche des disputes violentes « …Rahma eut l’idée néfaste de faire sa lessive un lundi. Il était établi que ce jour-là appartenait exclusivement à ma mère. »( page 14) S’ensuit une dispute verbale des plus violentes où chaque femme donne libre cours à son registre, mais en cela Lalla Zoubida est une championne « Je sais qui tu es, une mendiante d’entre les mendiantes, une domestique d’entre les domestiques, une va-nu- pieds, crottée et pouilleuse, une lécheuse de plats qui ne mange jamais à sa faim … » (page16).

    Le lecteur ne peut ne pas remarquer le code de l’utilisation par les hommes de la porte d’entrée. L’utilisateur de la porte commune doit annoncer son passage pour donner aux femmes le temps de rentrer dans leurs chambres afin de ne pas être vues par les hommes, fussent-ils les locataires eux-mêmes comme Maâlem Abdeslam, Driss le fabricant de charrues ou Allal le mari de Fatma Bziouya. « – N’y a-t-il personne, puis-je passer ?….-Passe, Maâlem Abdeselam… » (page 246).

    La cour est propriété commune et tout un chacun peut l’utiliser surtout pendant les circonstances exceptionnelles imprévues : fêtes, mariages, circoncisions, ou simple réception d’invités le temps d’un déjeuner comme ce fut le cas du repas offert aux aveugles « Le jeudi suivant, Rahma pour remercier Dieu de lui avoir rendu sa fille, organisa un repas pour les pauvres. Toutes les femmes de la maison lui prêtèrent leur concours. Lalla Kanza, la Chouafa, aidée de Fatouma la plus dévouée et la plus fidèle de ses disciples, lavèrent le rez-de-chaussée à grande eau, étendirent par terre des tapis usés » (page 50-51). Toutefois la Chouafa, elle, l’utilise de manière régulière « …elle s’offrait, une fois par mois, une séance de musique et de danses nègres » (page 4)

    IV- La femme au foyer

    Le rôle de la femme est de s’occuper de l’intérieur de chez-elle, souvent composé d’une seule chambre ou deux d’une maison commune comme Dar Chouafa ou celle où habitent Lalla Aïcha ou encore Sidi El Arrafi. Les femmes passent le plus long de leur temps à cuisiner ou à attendre leurs maris absents pendant la journée de la maison et se trouvant dans leurs ateliers ; à papoter sur les terrasses des choses qui relèvent de l’univers des femmes ; à faire la lessive ou le ménage. Les rares fois où il leur arrive de quitter leurs chambres c’est pour aller à la kissariat, au bain ou pour rendre visite à une amie comme cela arrive à Lalla Zoubida. Mais elles sont souvent accompagnées par leurs maris ou de l’un de leurs enfants.

    Le mari absent pour un certain temps, toute la vie de la famille se trouve affectée et bouleversée par ce vide laissé comme si tout a été réglé d’avance, par un commun accord , sur un acte notarié pour que tout gravite autour de l’homme. Pourtant, les femmes jouissaient de leur liberté, et le lecteur n’a aucunement le sentiment qu’elles manquaient de quelque droit : le droit d’abord de dire et le droit de faire ensuite. Au contraire, les hommes sont souvent absents de leurs maisons laissant les femmes libres de leurs mouvements, de leurs déplacements ;Lalla Zoubida règne en maîtresse dans sa maison : il lui arrivait de tenir tête à son mari : l’achat de la lampe à pétrole, la refus de porter les bracelets d’or, les scènes de la dispute avec Rahma et l’impuissance du mari à la faire taire…

    V- Les hommes et leurs activités

    L’histoire se passe à Fès aux environs de 1920. Fès c’est aussi le berceau de l’artisanat et des petits métiers. Si le roman consacre une grande place à l’artisanat marocain, il n’accorde que peu d’espace à la présence masculine. La scène du salon de coiffure est sans aucun doute l’unique scène purement masculine et qui s’étale sur une dizaine de lignes.

    Babouchiers, tisserands, fourniers, jardiniers, moissonneurs saisonniers, coiffeurs, dellals ou courtiers, chouafas, voyants, masseuses, marieuses, conteurs, pour ne citer que ceux-là et j’en passe. Mais deux métiers méritent que l’on s’attarde un peu sur eux : celui de tisserand et de coiffeur.

    Maâlem Abdeslam est tisserand de djellabas pour hommes. Comme les djellabas ne se portent que pendant l’hiver, il a l’idée de se convertir dans la confection des haïks pour femmes : en effet, les femmes ne peuvent sortir de chez-elles sans s’être enveloppées dans leurs haïks. Maâlem Abdeslam suit donc la tendance et comme la tendance est plutôt féminine, il opte pour le vêtement de la femme, obéissant ainsi au principe de l’offre et de la demande.

    Si abderrahman est, lui, coiffeur, mais il exerce d’autres activités parallèles au métier de coiffeur. Il pratique la saignée « Si Abderrahman retira les ventouses, alla les vider derrière un rideau. Sur la nuque du client paraissaient deux boursouflures sanguinolentes » (page 136) ; et la médecine traditionnelle « Demande aux gens de ta maison de faire frire dans du beurre un oignon blanc finement haché. Mélange à cet oignon frit deux cuillérées de miel, de l’anis et des grains de sésame… » ( page131) ; il circoncit les petits garçons « Je n’aimais pas Si Abderrahman. Je savais qu’il serait chargé de me circoncire. Je redoutais ce jour » (page 129), on fait appel à ses services pendant les fêtes « Il vint, selon l’usage, accompagné de ses deux apprentis, placer les invités et faire le service pendant le repas » (page 129) ; c’est un homme à donner des conseils « …mon père eut recours à ses soins et fait grand cas de ses avis et recommandations » (page 129)

    Le salon de coiffure est un lieu de rencontre où l’on ne vient pas seulement pour se faire raser, mais également pour s’informer ou faire circuler une nouvelle. La nouvelle du moment gravite autour d’un éventuel remariage de Moulay Larbi attendu que sa femme est stérile « Ce qui m’étonne, c’est qu’il n’a point d’enfants. Peut-être a-t-il une femme trop âgée ? »( page 132)

    VI- L’auteur témoin de son temps

    L’auteur, a-t-on toujours dit, est le témoin de son époque. Les faits qu’il relate sont de nature à nous renseigner sur son temps. Ils ont donc une valeur documentaire. Un exemple frappant ne peut passer inaperçu pour l’œil attentif du lecteur : Il s’agit de la lampe à pétrole, de son introduction dans les foyers à une époque où les gens s’éclaireraient à la chandelle. Cette invention fait son apparition avec l’entrée de l’occupant français : elle est perçue à l’époque comme un signe de modernité « O ! Merveille ! Au centre du mur, une lampe à pétrole était accrochée. Une flamme blanche et paisible dansait imperceptiblement dans un verre en forme de clarinette. Une glace, placée derrière, intensifiait la lumière ; nous étions, ma mère et moi, complètement éblouis »(page 42)Ce passage me rappelle un autre qui lui est similaire sur trois points : il parle d’une lampe à pétrole ; il est tiré d’une autobiographie ; il est situé presque à la même époque « …mon père considérait cette lampe comme le dernier mot de la technique, il est vrai qu’elle donnait une vive lumière, en même temps qu’une violente odeur moderne »( La Gloire de mon Père- Marcel Pagnol- Pages 68,69, Editions de Fallois).

    Les lecteurs de l’époque moderne, surtout les jeunes d’entre eux, sont sans doute insensibles à la richesse ethnographique de la Boîte à Merveilles. Traditions, mœurs, pratiques situées entre le religieux et le profane, entre l’obscur et le rationnel, entre l’archaïque et le moderne constituent le quotidien du Marocain de l’époque que raconte l’œuvre de Séfrioui. Le lecteur est redevable à cet auteur de lui avoir fait revivre cette époque , racontée dans un langage plus proche de l’arabe dialectale que du français.

    -Les numéros des pages renvoient à l’édition ’’Librairie des Ecoles- Casablanca’’

    #239620
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    La Boîte à Merveilles de Séfrioui: la solitude du narrateur

    (2597)
    27/10/2007
    بقلم : Zaid Tayeb



    Le chapitre premier de la Boîte à Merveilles s’attarde longuement sur le thème de la solitude de Sidi Mohammed en sa qualité de narrateur .Le mot revient souvent surtout au début de l’œuvre :
    – ‘’Je songe à ma solitude’’ (page 3) ;
    -‘’Ma solitude ne date pas d’hier’’ (page3) ;
    -‘’A six ans, j’étais seul, peut-être malheureux, mais je n’avais aucun point de repère qui me permît d’appeler mon existence : solitude ou malheur’’ (page 6)
    – ‘’Je n’étais ni heureux, ni malheureux. J’étais un enfant seul’’ (page6)
    -‘’ En attendant, j’étais seul au milieu d’un grouillement de têtes rasées, de nez humides…’’ (Page 8).
    Il est vrai que Sidi Mohammed le narrateur est un enfant seul au sens large du terme et cette solitude l’a profondément marquée.
    Mais sa solitude ne s’arrête pas au chapitre premier, au contraire, elle s’étale pour couvrir tout le roman :
    -‘’Je sentis ma solitude devenir lourde à m’étouffer’’ (page 50)
    -‘’Hélas ! Déjà, j’étais voué à la solitude’’ (page 65)
    -Sidi Mohammed est un enfant unique : il est le premier de sa famille et qui plus est un mâle, né dans une famille où la mère est omniprésente : une mère grincheuse, difficile de caractère et de tempérament changeant. D’un côté, le fils ne quitte jamais le pan du haïk de sa mère auquel il est constamment agrippé et de l’autre, chaque fois que Lalla Zoubida souffre d’un manque matériel ou affectif, elle vide sa bile sur son fils qu’elle traite des noms les plus abjects et les plus dégradants :’’tête de mule’’ ; âne à face de goudron’’ ; chien galeux’’ ;’’ juif sans dignité’’ (page 104). Sont-ce là des marques de tendresse et d’affection d’une mère pour son enfant unique ?
    – Il est seul à Dar Chouafa où il n’y a aucun enfant de son âge en dehors de Zineb, une fille qu’il méprise et avec qui il ne peut combler le creux de son existence de jeune garçon de 6 ans. Quand il lui arrive de parler de Zineb, c’est en négatif :
    ’’ Elle s’appelait Zineb et je ne l’aimais pas ‘’ (page5)
    ‘’ Cela m’est égal qu’on ne retrouve pas Zineb, je pleure parce que j’ai faim !’’(page47
    ‘’ Une fille aussi bête que Zineb ne peut rien trouver d’amusant dans sa pauvre cervelle’’ (page71)
    Leurs jeux, ils ne sont pas nombreux, il faut l’avouer, se terminent presque toujours par des bagarres.
    ‘’Nous avions réussi à avoir du thé que nous avions transvasé dans une théière de fer-blanc, jouet de Zineb et pour finir nous nous étions battus’’ (page 54).
    Il la tient responsable de ses malheurs qu’il lui fait payer :’’ Je lui enfonçai les ongles dans les joues, lui arrachai les cheveux par touffes, lui envoyai de formidables coups de pied dans le ventre.’’ (page97)
    L’univers est strictement adulte et à dominante féminine. Au bain maure, dans une atmosphère d’indécence et de nudité féminines, il s’écrie’’ je me sentais plus seul que jamais’’ (page 10).
    -Il se sent seul au msid parmi les apprentis fkihs qui s’acharnent sur leurs planchettes et ne remarquent même pas sa présence. De son côté il ne les aime pas parce que leurs mondes sont différents : lui, il aime le rêve, eux la réalité. :‘’Nous habitions des univers différents. J’avais un penchant pour le rêve. […….] Je désirais que l’invisible m’admît à participer à ses mystères. Mes petits camarades de l’école se contentaient du visible.’’ (page6)
    Le jugement qu’il porte sur eux par le biais d’une figure de style très dévalorisante, à la fois plaisante et suggestive, est très significatif’’ En attendant [d’avoir dix ans] j’étais seul au milieu de têtes rasées, de nez humides’’ (page 8)
    Il est seul tout au long de l’oeuvre : il n’y a pas un seul garçon de son âge avec qui il peut évoluer, limer sa personnalité sur celle des garçons de son âge pour la développer au moyen des activités ludiques mâles. Les rares fois où il a l’occasion de jouer c’est avec des filles et à des jeux féminins ; cela se termine souvent très mal. Sa solitude s’accentue encore plus avec le départ de son père pour la campagne, le temps de se faire un capital et de remonter son atelier de tissage fermé après la perte de son capital. Sa mère le trimbale de maison en mausolée, et du mausolée chez le voyant. Il lui arrivait même de le laisser seul, ce qui contribue à creuser encore plus sa solitude déjà profonde :’’ Après déjeuner, ma mère me recommanda d’être bien sage, prit son haïk et partir rendre visite à Lalla Aïcha son amie. [….] Je me souviens encore des heures affreuses passées à l’attendre.’’(page188)
    Le narrateur retient de cette tranche de son enfance un sentiment de solitude, d’abandon et d’oubli. Il en est marqué pour le restant de sa vie :’’ Ma mémoire était une cire fraîche et les moindres événements s’y gravaient en images ineffaçables. Il ma reste cet album pour égayer ma solitude, pour me prouver à moi-même que je ne suis pas encore mort.’’(page 6)
    NB : les numéros des pages renvoient à l’édition ’’Librairie des Ecoles- Casablanca’’
    Zaïd Tayeb 27-10-2007

15 réponses de 796 à 810 (sur un total de 1,252)
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