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lorsqu on a posé la question au teroriste abou qatada detenu actuellement
en grande bretagne en attente d etre extradé vers son pays d origine la jordanie, pourquoi a-t-il redigé une fatoua permettant aux membres du GIA algerien de tuer meme des enfants , et c etait sur la chaine al jazira ; il repondit clairement que « les freres là-bas ( c est à dire en algérie) me l ont demandé et comme ils n ont de savants , j ai repondu à leur demande…et j ai utilisé pour celà fataoui cheikh ibn taymiyya… »
ce abou qatada etait GROS à l époque et je l ai revu il y a quelques semaines toujours sur al khassira et je me suis posé la question pourquoi beaucoup d entre nous les maghrebins sounnites malekites hommes et femmes , depuis quelques années , pour les questions de religion et de fiqh , on s adresse par telephone , par faxe aux chaines du machreq pour obtenir des reponses souvent sans aucun rapport ni avec notre madhab al maliki ni avec notre mode de vie au maghreb qui est totalement different du mode de vie au machreq . et pourqoui est ce que les gens du machreq ne s adressent pas dans ce domaine à nos savants malikia du maroc et du maghreb en general? et je me suis dit que complexe est du à plusieurs facteurs et que les moussalsalates egyptiens , syriens etc…ont joué un tres mauvais role dans tout cela et qu aujourd hui les chaines saoudiennes et du moyen orient ont trouvé chez nous un public déjà preparé par 35 ans de ya bach mouhandiss addi addounia…et apres avoir rencontré des machariqas j ai constaté à quel point ils etaient ignorants de notre histoire.
un syrien qui nous faisait imam al joumouaa et avec je discutais ne connaissait ni nos ancetres al mourabitines oua al mouahhidines…ni qu au maghreb la majorité des musulmans sont amazighiounes , ni que notre madhab c est le maliki et pire il ne savait pas que les marocains sont de tres grands spécialistes de la langue arabe avec le grand savant miara et d autres …pour lui l islam c etait qala ibn taymiyya et qala ibn al qayyim …et avec abou qatada c etait la meme chose…
un jour je vous citerai maoussouaatou aalam al maghrib qui comporte 9 volumes pour se reveiller et se liberer de ce complexe qui a permis et permet malheureusement meme aujourd hui à nos enfants issus de l immigration en europe ou meme ceux qui sont allés etudier en europe ou au canada , d etre piegé par des machariqa qui les preparent psychologiquement et les envoient en afghanistan et en iraq se faire tuer pour des problemes politiques et de pouvoir dans ce machriq tres instable.
apres j ai su que ce pauvre abouhoum qatada n est ni savant ni sidi zakri
c est quelqu un avec une grande gueule qui ne vaut pas le dernier de nos eleves de dar al hadith al hassania…و لله في خلقه شؤون
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UN GESTE ROYAL , LOYAL ET LOUABLE .
Du haut de la capitale algérienne, un événement significatif – et non des moindres – est venu mercredi soir marquer du sceau de la noblesse et de l’inattendu la vie quotidienne de la cité : la décoration de M. Ahmed Ben Bella, ancien et tout premier président de la République algérienne, du grand Cordon du Wissam Alaouite.
Cette distinction Royale lui a été remise par l’ambassadeur du Maroc au nom de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au cours d’une cérémonie où l’émotion s’est mêlée à l’espérance. Au bout de sa longue odyssée et de son combat trépidant, le leader algérien reçoit ainsi un hommage royal que l’on voit volontiers, à coup sûr, décerné sous la bannière de la fraternité maghrébine et d’une reconnaissance exprimée au nom de tous les peuples du Maghreb. Sous les combles, Ahmed Ben Bella incarne ainsi le symbole de l’idéal maghrébin.
A ce titre, entre autres, sa décoration prend une dimension exceptionnelle que les uns et les autres, de part et d’autre des frontières, ne peuvent pas ne pas saisir, tant il est vrai qu’elle vient rompre la longue nuit à laquelle sont pour notre grand désespoir réduites à la fois les relations entre le Maroc et l’Algérie et les nouvelles entre les deux pays. Inscrite dans une Geste Royale pour le dialogue, la concorde et la cohabitation fraternelle, cette distinction procède d’un irénisme à toute épreuve.
C’est le devoir de mémoire envers un nationaliste de la première heure qui, au-delà de son propre pays, incarnait pour le peuple marocain – au même titre que Mohamed Boudiaf par exemple qui avait fait du Maroc sa patrie – l’un des représentants décisifs de la lutte de la libération et de l’unité du Maghreb.
Sans doute devrait-on ne pas perdre de vue que l’ancien chef d’Etat algérien est aujourd’hui pour beaucoup une voix de la paix. Au nom d’un idéal partagé dans la ferveur avec ses frères marocains, il a à cœur de dissiper les braises d’une rupture devenue tragédie entre les deux pays.
Il est surtout un messager infatigable de la raison qui, l’âme déchirée, règne en moraliste au-dessus d’une mêlée périlleuse. « L’exilé et l’emprisonné sans amertume » qu’il fut pendant vingt-trois ans, incarne toujours l’espérance, la sagesse et la lucidité, nous dirions d’emblée le courage politique.
S’il adhère avec conviction au projet d’autonomie au Sahara, proposé par Sa Majesté le Roi, c’est assurément qu’il en mesure la portée historique, marqué qu’il fut par le cours précipité de l’histoire des années de l’indépendance. C’est aussi parce qu’il est conscient de l’engagement pacifique du Souverain qui n’a de cesse de hisser les valeurs de fraternité et d’amitié au sommet des exigences entre nos deux peuples
