Résultats de la recherche sur 'Il etait une fois'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'Il etait une fois'

15 réponses de 721 à 735 (sur un total de 770)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • #213978
    Alain
    Membre

    Ce débat est assez complexe à mon avis.

    Je suis pris entre ma préférence pour la démocratie comme système de gouvernance, et les arguments de al-mansi qu’il faut aussi entendre.

    A l’époque de Mohammed V, la question ne se posait pas.
    Le Roi avait conduit son peuple vers l’indépendance avec un minimum de dégâts, des espérances nouvelles et un destin à prendre en main.
    Sa relation au peuple était similaire à celle d’un père.
    J’ai des souvenirs magnifiques de ce Roi, c’est un peu pour moi comme une légende. J’ai admiré cet homme. Nous avions été reçu au Palais à plusieurs reprises, et le jeune Prince Hassan alors étudiant venait à la maison, j’étais enfant, et le Prince m’a amené plusieurs fois avec lui au cinéma à l’époque où nous habitions à Rabat.
    Pour mes yeux d’enfant, le Maroc était heureux de la perspective de sa nouvelle vie.

    Lors du règne de Hassan II, j’étais très « sceptique » (le mot est faible) pendant de nombreuses années.
    A sa mort, j’ai un peu révisé mon jugement, je me suis dit que finalement, il avait été un rempart à l’intégrisme et qu’il avait évité le pire.
    Je sais que certains peuvent penser qu’au contraire, il a favorisé par la politique d’injustice sociale la montée de l’intégrisme.

    Pour ma part, je penche plutôt pour la 1ère hypothèse.

    Ce qui induit l’idée et la question : le Maroc est il prêt pour la démocratie ?

    Le seul fait de se poser cette question est en soi équivoque. Car poser la question de la maturité d’un pays est presque une offense.
    Ce qui est loin de ma pensée.

    Je n’ai pas aujourd’hui de réponse à cette question.
    Sûrement parce que je n’y suis pas à plein temps et que je ne vis pas le quotidien.

    Alors j’écoute tous les points de vues

    #213897

    En réponse à : Pas de bise pour Abdelkader

    Iznassen
    Membre

    @Alain wrote:

    .
    .
    …où l’on voit que chacun n’a pas la même lecture à partir du même sénario

    …. en réalité on ne voit que ce qui rentre dans le champs de notre seule « vision ».

    Et l’individu, ce brave Abdelkader, n’existe pas lui, seuls comptent les « obsessions » de ceux qui le regardent. Pour l’un c’est la francisation (alors qu’il est question des Pays Bas), pour l’autre c’est la cause du tamazight (que l’on apprend courament aux Pays Bas) 😛 😛

    ça n’est pas une obsession pour moi de parler de Tamazight. Je suis tout simplement logique.

    Je connais personnellement des jeunes franco-marocains de la deuxième génaration en France qui ne parlent que deux langues : le Français et Tamazight (Rifain). Ils comprennent que dalle à la « Darija » et encore moins à la langue des moyen-orientaux. Ces jeunes sont souvent malmenés dans les consulats puisque certains fonctionnaires leur reprochent de ne pas parler l’arabe ou plutôt la darija !!! Trouvez-vous cela logique !

    J’étais témoin une fois à un consulat en Allamagne. C’était suréaliste le comportement du fonctionnaire. Curieusement dans la même ville ou se trouve ce consulat, une banque marocaine s’est arrangé de prendre un Rifain qui parle Tamazight pour pouvopir communiquer avec la communauté Marocaine d’Allamagne. Cette communauté est à 90% originaire du Rif et en particulier de Nador.

    Lorsqu’il s’agit de collecter l’argent, on fait un effort !

    #201531

    Sujet: Clin d’oeuil ..

    dans le forum Religions
    fadi
    Membre

    Un homme se leva pour accomplir l’office matinal à la mosquée.
    Il s’habilla, fit ses ablutions et emprunta le chemin de la mosquée.
    En cours de chemin, il tomba et ses habits se salirent.
    Il se leva, se dépoussiéra et se dirigea vers sa maison.
    Une fois à la maison, il se changea, fit ses ablutions et s’en retourna à la mosquée.
    Sur son chemin, il tomba à nouveau et se salit, il se releva, se nettoya et se dirigea vers sa maison.
    Une fois à la maison, il se changea une fois de plus, fit ses ablutions et s’en retourna à la mosquée.
    Sur son chemin, il rencontra un homme tenant une lampe, il lui demanda son identité mais l’autre lui rétorqua : « j’ai vu que tu es tombé deux fois sur ton chemin vers la mosquée c’est pourquoi j’ai apporté cette lampe pour t’éclairer le chemin. »
    L’homme le remercia infiniment et tous deux se dirigèrent vers la mosquée.
    Une fois à la mosquée, le premier demanda à l’homme à la lampe de venir prier avec lui dans la mosquée. Ce qu’il refusa.
    L’homme le lui demanda encore deux fois mais la réponse était la même.
    L’homme lui demanda pourquoi il ne voulait venir prier.
    Il lui répondit «je suis Satan »
    L’homme fit choqué par cette réponse Satan lui expliqua :
    Sur ton chemin vers la mosquée c’est moi qui te fis tomber.
    Quand tu retournas à la maison pour te purifier et revenir à la mosquée, ALLAH te pardonna tous tes péchés.
    Je te fis tomber une seconde fois et même cela ne te découragea pas de venir prier à la mosquée. Mais au contraire tu repris le chemin de la mosquée.
    A cause de cela (ta détermination) ALLAH pardonna les habitants de la maisonnée
    J’eus peur qu’en te faisant tomber une fois de plus ALLAH ne pardonnât les villageois. Je fus convaincu qu’à coup sûr tu attendrais la mosquée.

    Donc il ne faut pas laisser Satan bénéficier de ses actions.
    Il ne faut pas abandonner une bonne action que vous avez l’intention d’accomplir car vous ne pouvez jamais mesurer la récompense attachée, en franchissant les obstacles dressés face à l’accomplissement de cette action.

    Bonne matinée Oujdinautes 😉

    #201519

    Sujet: Pas de bise pour Abdelkader

    dans le forum Débats
    Iznassen
    Membre

    MAROC – 11 juin 2006 – par PAR FOUAD LAROUI
    Il est toujours fascinant d’entendre les Marocains de Hollande raconter leurs tribulations dans leur pays d’origine. Je ne parle pas ici de la première génération qui est née et a grandi dans les montagnes du Rif ou dans les plaines du Souss. Ceux-là n’ont généralement aucun motif d’étonnement. Ils ont tout vu, ont tout subi, ont survécu. Non, je parle ici de la seconde génération, celle qui est allée dans des écoles portant le nom de Rembrandt et qui a grandi dans un plat pays traversé de rivières et de canaux. Cette deuxième génération a un rapport compliqué avec l’Empire chérifien.

    Par exemple, j’ai dîné hier avec mon ami Abelkader Benali. Abdelkader est un écrivain renommé aux Pays-Bas où il a obtenu les plus grands prix littéraires. Inutile de préciser qu’il écrit en néerlandais. Et comment pourrait-il en être autrement ? Ce jeune homme de 31 ans est né dans un petit village du Rif, un hameau plus qu’un village, et il est venu en Hollande encore bébé, dans les bagages de ses parents. Avec ceux-ci, il parle un mélange de tarifit et de néerlandais de base. Avec le reste du monde il communique soit en néerlandais, une langue qu’il maîtrise à la perfection, soit en anglais.

    Abdelkader revient de Casablanca, où il a participé au Salon du livre. Il me raconte ses pérégrinations dans le pays de ses ancêtres. Tout d’abord, il faut que je vous le décrive : Abdelkader est, du point de vue physique, un Marocain à 100 %. À 110 pour cent. Plus Marocain que lui, tu meurs. S’il mettait une djellaba, on lui confierait sans problème les clefs de la mosquée.

    Et le voilà à l’aéroport de Casablanca aux prises avec la force publique. Celle-ci est bien sûr d’une correction infinie : c’est pas grave, mon frère, si tu ne parles pas l’arabe, la langue de ton pays, c’est aberrant mais c’est pas grave, on peut parler en français. Les problèmes commencent quand les pandores et les gabelous s’aperçoivent que le jeune homme marocain à 120 % qui leur fait face ne parle pas non plus la langue de Lyautey. Le makhzen subodore qu’on se paie sa tête. La crise menace. Mais finalement, comme on est au Maroc, tout finit par s’arranger.

    Abdelkader me raconte, en dévorant sa choucroute, qu’il y a deux choses qui l’ont profondément étonné. La première, c’est que les Français et les francisants l’appelaient par son nom et les arabisants par son prénom. Soit c’était « monsieur Benali », soit c’était Abdelkader ou bien Si Abdelkader. Ça ne le dérange pas, il trouve même extrêmement sympathique que des gens qui ne le connaissaient ni d’Ève ni d’Adam l’appellent par son prénom. Mais ce qui l’a fait tiquer, c’est qu’on s’est parfois trompé sur son prénom.

    – Tu comprends, me dit-il, que des gens m’appellent Abdelkader, pourquoi pas, mais il m’est arrivé deux fois, dans les ruelles de Salé et dans la vieille ville de Marrakech, qu’on m’appelle Mohammed. C’est étrange.

    J’ai dû expliquer à Abdelkader qu’il n’y a là rien d’étrange, qu’il est tout à fait usuel d’interpeller quelqu’un dont on ignore le nom de cette façon-là. L’idée est que personne ne peut s’offusquer qu’on lui attribue le prénom du Prophète. Abdelkader m’écoute avec attention. Puis il me dit quelle est la deuxième chose qui l’a étonné, lors de son séjour à Casablanca : les bises.

    Il faut savoir qu’en Hollande les gens ne se font jamais la bise. On ne se serre même pas la main. On se dit « Hi » à bonne distance. Et voilà notre Abdelkader assailli de poutous par des gens qu’il ne connaît que très vaguement. Bonjour, smac-smac ! Bienvenue à Casa, smac-smac ! Tu te souviens de moi, on s’est croisés il y a deux ans ? Smac-smac ! Abdelkader veut bien qu’on l’appelle par son prénom, et même qu’on l’appelle Mohammed, mais qu’on l’embrasse à tout bout de champ, non, ça, ça lui semble étrange.

    De temps en temps, Abdelkader visite le Maroc, l’Algérie ou la Tunisie. Si jamais vous le croisez, clignez de l’œil, serrez-lui la main, susurrez Hi mais ne l’embrassez pas. Sa marocanité, en voie de dilution dans l’européanité septentrionale, ne va pas jusque-là…

    Souce : jeuneafrique.com

    Alain
    Membre

    Réponse à samir :
    je ne doute pas une seconde de ce que tu dis à propos des devices des RME, je voulais juste y ajouter ce compément par le tourisme.
    Pour l’orthographe, ne sois pas inquiet, je fais pas mal de fautes moi aussi…. demande à dawi qui les a bien repérées 😳 en toute amitié de sa part j’en suis convaincu.

    Pour fadi :
    avant toute chose : félicitation pour tes efforts à rendre tes posts plus lisibles, merci, car c’était parfois VRAIMENT difficile de te lire 😯 😯 😯 😯
    Si tu as l’adresse de sites qui donnent des infos sur le budget de l’Etat, merci de bien vouloir faire signe 💡

    #212767
    denzeller
    Membre

    J’aimrere rajoute une chose la virginité etait connsidéré avant comme une sorte de garantie: la famille du marié sassurait que la « marchandise » ete neuve et qu’elle na pas ete ouverte.
    ms aujourdui on est au 21eme, le siecle de l’evolution. La femme a beaucoup evolué, elle travaille comme l’homme.Dans tous les pays developpes, la femme=l’homme, voire supérieur dans certains cas

    maleuresement ce nes pas le cas du maroc, ou mm si des lois fixe legalite homm-femme, dans la vie reelle cest autres chose, la femme est tres defavoirisé, Combi1 de femme architectes ont vu leurs prjet retarder parceke les ouvriers refusaient d’obeir a une femme ? c’est pour cela qu’au Maroc une fill qui a fe l’amour avt le mariage est considéré comme une prostituéee, et l’homme alors ?? qui la fait plusieurs fois, la societé de le chatie pas pour sa. Je pense que la femme au Maroc sera toujours defavorise par rapport a l’homme , ou du moins pour longtemps.

    C’est donc a nous la nouvelle generation de remedier a sa.SANS LES FEMME, nous hommes ne serions rien, la femme donne la vie, il la respecter au moins pr sa.c’est un etre humain comme l’homme, douce et fragile, c’est a nous homme de la cherir et la protéger.

    #213737

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    Alain
    Membre

    c’était de l’humour, teintée d’ironie 😆 😆 😆 😆

    pardon, je l’indiquerai mieux la prochaine fois

    parce que bien sûr, il y aura une prochaine fois 😕 😕 😕

    #201514
    Iznassen
    Membre

    L’émission Studio 2M mais tout simplement la chaine 2M ne fait pas parti de mes télés préférées. Je poste cet article juste pour mettre en exergue le comportement des deux boites « magiques » marocaines vis-àvis de la culture Amazighe. Une culture qu’elles réservent qu’au folklore pour accueillir les touristes européens où leur faire apprécier la cuisine amazighe « couscous », « tajine », « thé à la menthe »….etc

    A. Bouzandag : ma mésaventure avec Studio 2M

    Lahsen Oulhadj

    Une télévision qui fait dans le racisme et l’exclusion, il n’y a plus que les crédules que cela étonne. Quoique nos officiels n’arrêtent pas de ressasser que, enfin, l’amazighité, dans ses différentes expressions, y aura de droit de cité, il faut dire que ce n’est pas le cas. Toujours ce terrible hiatus entre le discours et la réalité, pourrait-on dire.

    Abdellah Bouzandag chanteur du groupe Tafsut Music Band l’a vécu, à ses dépens. Sans se faire d’illusions, il a voulu, comme tous les jeunes du pays, participer à l’émission Studio 2M. C’est son droit le plus absolu. Mais manque de bol, il chante en tamazight. Ce que, comme vous pouvez l’imaginer, est loin d’être du goût des responsables de l’émission. Cela peut même être rédhibitoire, une véritable tare. Il nous raconte sa mésaventure en ces termes.

    « Le 12 juin dernier, je me pointe au lieu de la compétition. En voulant compléter le formulaire http://www.2m.tv/studio2m2006/st2006.pdf , j’ai été surpris d’avoir juste deux choix : chanson arabe ou chanson occidentale. Même pas marocaine ! Il faut le croire. J’ai donc décidé de ne pas cocher ni l’une ni l’autre. Lors de l’entretien, on m’a bien évidemment demandé dans quel genre je veux chanter. Ma réponse a été claire et nette : la chanson amazighe. Les responsables n’en revenaient tout simplement pas. Comme si j’ai commis un crime. Avec leurs mines complètement défaites, ils ont marqué la chanson arabe, malgré mes protestations. »

    « Lors du premier tour, continue-t-il, j’ai interprété ‘’a vava inu va’’, a capella. Et même si je n’en croyais pas mes yeux, j’ai été sélectionné. Au tour suivant, j’ai été interviewé par un de leurs journalistes qui a voulu savoir pour quelle raison je chante en  »chlha ». Incroyable, absurde, n’est-ce pas ? Réponse du berger à la bergère, je lui ai fait toute une réplique, mais en tamazight. Je ne sais pas si cela va être diffusé, mais en tous cas tout a été filmé. Toujours est-il que ce jour-là, pour certainement me froisser, j’ai été le dernier à passer. Le jury était composé entre autres d’Anas Tadili et du chanteur Malek. Je ne sais pas si c’est vraiment sincère, mais celui-ci s’est montré très enthousiaste et a joué toute une partition sur la qualité des participations. Il a même commencé son intervention par un « azul » bien perceptible.»

    « A la fin, conclut A. Bouzandag, et comme je m’y attendais un peu, le résultat était ainsi : huit personnes ont été sélectionnées pour la chanson arabe ( à Agadir, une ville prétendument amazighe !!) et deux pour la chanson occidentale. Je ne figurais pas naturellement parmi elles, car j’ai été tout simplement écarté. Ce que je n’ai pas accepté. J’ai donc voulu protester auprès du jury, mais on ne m’a pas laissé faire. L’un des responsables de l’émission, ayant remarqué mon sentiment d’injustice, m’a avoué qu’en tous les cas je ne pouvais pas passer au 3ème tour parce aucune musique amazighe n’y est programmée. Car, semble-t-il, la liste des chansons à interpréter par les candidats a été déjà bouclée. Aussi surprenant que celui puisse être, ce sont les responsables de l’émission qui décident de tout et effectivement- c’est le cas de le dire- ils ont décidé encore une fois d’exclure la chanson amazighe sur une télévision financée avec l’argent des Amazighs. »

    Groupe Tafsut (printemps) : http://www.tafsut.fr.tc/

    #213722

    En réponse à : 3333333333333333333333333

    dawy
    Membre

    Salut, mr sfinks:
    Ne t’attends pas à une réponse honnete de sa part.
    Ces usurpateurs de l’identité musulmane ne peuvent survivre que sur le terreau de la haine et de l’exclusion.
    Peut etre as tu entendu parler du capitaine crochet de londres?.
    C’est un egyptien qui a demandé en toute humilité le droit d’asile,ce qu’il lui fut accordé.
    Une fois que sa situation etait régularisée et non content de toucher 2000 euros par mois allouée par les services sociaux britanniques ,a eu cette idée geniale de precher la bonne parole qui consistait à dire qu’il fallait faire disparaitre la monarchie ,tuer tous les homosexuels et de préference le proclamer comme calife du commenwelth ET TOUT CA AU NOM DE SON ISLAM.
    Les exemples ne manquent, comme cet imam algerien en france qui s’amusait à enseigner à son auditoire comment tabasser sa femme.Cet imam etait polygame il avait deux femmes et une quinzaine d’enfants.
    Ils profitent de la crédulité des faibles et des ignorants sans vergogne au nom d’une religion qui prone le respect de l’autre.Ils n’hésitent à s’autoproclamer emirs ou califes alors que le dernier mandaté d’allah est saydona MOHAMMAD SALLA ALLAHO 3ALAYHI WA SALLAM.
    Ces nouveaux moutanabbis ,tant que dieu me prétera vie,je les combattrai.

    #213329

    En réponse à : Un Maroc Laïc ..

    Iznassen
    Membre

    La laïcité, un choix nécessaire pour la construction d’un Etat démocratique au Maroc ou La nécessité de constitutionnaliser le principe de la laïcité

    Moha AREHAL

    Cet article se propose de donner des réponses à des questions largement posées chaque fois que le débat sur la laïcité est ouvert, soit entre les Amazighs ou avec d’autres mouvances de la société. Il s’agit entre autres des questions suivantes :

    Qu’est-ce que la laïcité ?
    Pourquoi la laïcité dans la constitution marocaine ?
    Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?

    Préambule

    La charte amazighe pour la révision du texte de la constitution, dans ses objectifs, met l’accent sur le principe de la laïcité comme un atout pour la construction d’un Etat de droit. Ce principe est loin d’être accepté par tout le monde.

    .

    En 1914, un décret légalise « les coutumes » dans les territoires dits « berbères » sans aucune réaction des oulémas ou des salafistes, dont le leader à l’époque était vizir de la justice « Ya hsra ». Ce n’est qu’en 1930, suite à la promulgation du Dahir organisant les tribunaux dans les territoires dits « berbères », que la machine arabo-islamiste a commencé son travail d’acharnement contre les Amazighs. Cette politique, non-déclarée d’ailleurs, a été encouragée par les autorités coloniales françaises. Aucune école « berbère » de l’époque française n’a enseigné la culture amazighe, contrairement aux écoles franco-arabes et franco-musulmanes qui ont fait de l’arabo-islamisme le cursus des « indigènes évolués », ceux devenus « nationalistes ».

    La constitution marocaine de 1962, bien qu’elle soit inspirée, Ya hsra, de la constitution française de 1958, a fait de l’islam la religion de l’Etat, et des Marocains des musulmans par défaut.

    Au Maroc, l’enfant est né, de facto, musulman. Le code de la famille est basé sur la chariâ humaine, qui conditionnait la vie des habitants de l’Arabie au temps du prophète, il y a plus de 15 siècles, alors que les Arabes de l’époque enterraient vivants les bébés de sexe féminin. Ces même principes ont été repris dans le code de la famille marocain. Le Ramadan est une obligation par force de la Loi, le jeûne doit être observé en public. La liberté de croyance n’a pas de cité dans notre pays. L’islam fait partie des trois lignes rouges à ne pas franchir au Maroc, on peut parler de tout sauf de la religion musulmane. Choisir sa religion au Maroc est considéré comme un crime. La changer par une autre, c’est encore pire. Droits de l’Homme ?

    Qu’est-ce que la laïcité ?

    Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, l’idée même de laïcité est presque impensable en Europe : Le pouvoir politique, qui est supposé émaner de Dieu, ne peut se passer de l’appui du clergé, même si à partir du XVIe siècle, les rois de France et d’ailleurs ont cherché à développer l’autonomie du pouvoir temporel. Les philosophes du XVIIIe siècle, en remettant en question les fondements de la société au nom de l’esprit critique, contribuèrent à ébranler les liens qui unissent la religion, l’Etat et la société.

    Au XIXe siècle, l’héritage de la Révolution française conduit à l’affirmation d’une société laïque dans laquelle la religion devient une affaire purement privée, disjointe de l’autorité politique. Le courant anticlérical, porté par les idées rationalistes et positivistes de la seconde moitié du XIXe siècle, conduit même à une pratique militante de la laïcité, dont la France constitue le meilleur exemple. Cette pratique s’illustre tout particulièrement dans l’institution de l’école laïque par laquelle les fondateurs de la IIIe République entendent affranchir le système d’éducation de la tutelle du clergé.

    Après la lutte acharnée, le combat en faveur de la laïcité aboutit en 1905 à la loi de séparation des églises et de l’État, à l’exception des colonies. Au lendemain de ce triomphe, l’apaisement du conflit place la France dans la situation de la plupart des grands pays de démocratie libérale. La pratique de la laïcité s’accorde aux principes fondamentaux du droit : égalité des cultes, liberté religieuse et séparation complète des domaines spirituel et temporel, ce qui implique le caractère non confessionnel de l’Etat et son incompétence dans le domaine religieux. Si elle a cessé d’être un enjeu aussi crucial qu’au siècle dernier, la laïcité continue toutefois de susciter des polémiques, notamment dans le domaine scolaire. L’immigration de populations de cultures différentes notamment nord-africaine, souvent mal attachées à leurs cultures d’origine (ne sont-ils pas arabes pour la France ?), pose ainsi une question délicate : Comment concilier la citoyenneté avec la fidélité à des croyances ? Si les démocraties garantissent l’exercice de tout culte dans la sphère privée, elles observent toutefois des attitudes différentes, suivant leur histoire et leur conception de la citoyenneté, devant l’ostentation d’insignes religieux dans les espaces publics ou le prosélytisme de certains groupes extrémistes. Alors, que savons-nous sur les Amazighs et la laïcité ? Comment peut-on expliquer l’existence d’un droit positif, Azerf, dans nos sociétés pré-coloniales aux cotés des institutions religieuses ? Azerf que la tradition juridique coloniale a réduit en « coutumes » ?

    Pourquoi la laïcité?

    Le développement spectaculaire de nouvelles sectes musulmanes et le caractère transfrontalier de leurs structurations, nous interpelle pour protéger notre pays par un arsenal juridique approprié, qui permet à l’Etat et au citoyen de vivre leur religion et leur vie sociale en toute tranquillité.

    Le crime perpétré contre la nation le 16 mai 2003 à Casablanca est la suite naturelle de la politique religieuse suivie par l’Etat depuis des décennies. En fait, pour contrecarrer les idées gauchistes et des panarabistes, les services de l’État, services secrets et non secrets, ont nourri une nouvelle idéologie aussi étrangère à notre histoire que celle qu’ils voulaient combattre : le wahabisme, idéologie terroriste gérée et financée de l’extérieur par les barons du pétrole.

    Ce n’est qu’à partir de cette date que les Marocains ont vu le danger que représente cette idéologie au Maroc. Les islamistes ont créé des mosquées un peu partout, tout endroit libre est une mosquée potentielle. Les pancartes se sont multipliées sur toutes les artères des villes et villages pour demander des dons aux bienfaisants pour construire une mosquée. Les associations d’islamistes n’ont délaissé aucun domaine, elles occupent tout le champ social et se substituent à l’État. Pourquoi ne pas faire des collectes pour construire des hôpitaux, des crèches, des internats, des maisons du peuple, des écoles, des maisons de cultures et autres infrastructures sociales ? Sidi Rbbi reconnaîtra sûrement les siens.

    Depuis son émergence sur la scène politique et sociale, le mouvement amazigh a fait de la laïcité un principe fondamental pour un Etat de droit et de démocratie. Cependant des âmes mal-intentionnées, panarabistes et soit disant gauchistes ont mis ce mouvement dans leur point de mire. Le mouvement est ainsi qualifié de francophile et de sioniste, qui vise à diviser la nation. Étrange gaucherie à la sauce marocaine…

    Le régime marocain, qui par bonne ou mauvaise foi a favorisé le développement de la religiosité dans le pays, s’est trouvé face à sa propre création, le 16 mai 2003, alors que le Maroc était considéré comme une exception dans le monde musulman. Les officiels ont compris que ce mouvement doit être contrôlé. Des voix démocratiques et le mouvement amazigh ont demandé de déclarer le caractère laïc de l’Etat marocain dans le texte constitutionnel. Sans cette décision, aucune force ne peut actuellement combattre l’offensive régressive menée par les porteurs du discours anti démocratique et anti-moderniste.

    Les personnalités amazighes qui n’ont cessé de revendiquer ce principe pour le véritable éveil démocratique dans notre pays n’ont jamais été entendues. Lors de la révision constitutionnelle de 1996, le mouvement amazigh a fait savoir que ce principe est important si le Maroc veut se démocratiser. Sauf que toutes les propositions du mouvement sont restées sans réponses !

    Actuellement, et en vue de la révision attendue par tous, le mouvement amazigh revient à la charge avec des propositions qui permettront au Maroc de se concilier avec lui-même. La proposition de la laïcité n’est pas nouvelle ou importée de l’extérieur. En fait, chez les tribus amazighes, le spirituel et le profane sont séparés. L’amghar ou l’amqran sont élus pour gérer les choses d’ici bas, le culte est assuré par ceux qui gèrent l’au-delà. A chacun son métier et son rôle.

    Quel type de laïcité proposent les Amazighs ?

    Cette question peut paraître énigmatique. L’analyse du mariage entre l’Etat et la religion est due à l’usage de la légitimité religieuse dans un pays caractérisé par la supposée dominance du religieux dans la vie des gens. Les zawiya et les saints sont omniprésent sur tout le territoire marocain. Cependant, la religion dans les tribus n’a jamais été un fait de société mais plutôt une affaire personnelle entre l’être humaine et son dieu. L’imam de la mosquée était toujours étranger à la tribu, il ne siège jamais dans l’assemblée annuelle, il exerce ces fonctions d’imam dans un cadre contractuel connu sous le nom de Chart. A vrai dire, c’est un fonctionnaire de la tribu. En cas de désaccord, la tribu peut recruter un autre imam selon d’autres conditions. Les zawiya et les saints marquent bien la séparation des sphères.

    Cet état de fait démontre que la société marocaine était toujours une société laïque.

    Ces vérités nous conduisent à proposer l’adoption du principe de la laïcité dans la constitution marocaine. Ces mêmes vérités historiques et sociales ont été à l’origine de l’intégration de la constitutionnalisation de la laïcité comme l’une des revendications de la charte amazighe sur la révision de la constitution.

    La constitutionnalisation de la laïcité doit donner aux citoyens marocains les droits suivants :

    Liberté de croyance : le citoyen a le droit inaliénable de choisir sa religion.

    Le citoyen a le total droit d’exercer sa religiosité comme il le veut en toute liberté.

    Innocence des nouveau-nés : les nouveau-nés naissent innocents et sans religion. Leurs parents ont le droit absolu de leur choisir le prénom de leur choix, en toute liberté.

    Egalité des citoyens, quelles que soient leurs croyances, devant la loi, y compris pour l’héritage. La constitution n’est-elle pas le Coran suprême de la citoyenneté ?

    L’Etat, étant un percepteur des impôts payés par les citoyens, s’interdit le financement ou la construction d’édifices religieux de toute nature. Il garde seulement le droit de contrôle sur les groupements religieux et sectes pour éviter tout débordement. La France et l’Espagne nous ont bien laissé une administration des Habous, bien modernisés et suffisamment riche (merci nos ancêtres) pour rendre aux édifices religieux ce qui leur appartient.
    Ces droits doivent se traduire dans la législation marocaine par le changement, l’amendement ou l’abrogation pure et simple des textes qui sont en contradiction avec ces droits

    Iznassen
    Membre

    Voici la publicité officielle de FADESA:

    Situation – Saïdia
    appartements & villas dans un programme exceptionnel
    Dans la province marocaine de Berkane, entre Melilla et l’Algérie, le remarquable complexe touristique, créé par FADESA, offre appartements et villas.

    Entre l’océan Atlantique et la mer Méditerranée, le Maroc nous accueille, stimule et rafraîchit à la fois, et nous étonne par sa mosaïque de traditions artistiques. La remarquable station touristique créé par FADESA s’étend à Saïdia, dans la province marocaine de Berkane, près de la mer Méditerranée, entre Melilla et l’Algérie. Saïdia est un petit port de pêcheurs très pittoresque, doté d’une longue tradition touristique, grâce à ses merveilleuses plages baignées d’une eau cristalline.

    Descriptif & Prestations des Appartements
    appartements & maisons dans un programme exceptionnel
    Mediterrania-Saïdia offre une sélection de logements (appartements et villas de différentes surfaces ) tout à fait adaptés aux attentes de chaque résident. Il existe également 9 hôtels de haut standing, un port de plaisance doté de 840 amarrages, 3 golfs 18 trous, un centre commercial, une clinique et un grand choix de services inclus.

    – Les Appartements & villas ont une cuisine équipée avec plan de travail en granit
    – Pré équipement pour la climatisation
    – Carreaux en céramique rustique
    – Garde-robe

    Les Environs de Saïdia
    appartements & villas dans un programme exceptionnel
    Les villas et appartements de Mediterrania-Saïdia sont situés au cœur d’une région ayant de nombreux attraits touristiques :

    Nador : Petite ville située dans le Rif (région montagneuse dans le nord du Maroc) . A 60km du complexe, ce petit port méditerranéen la Lagune Bou Areg est un centre de commerce pour la pêche, les fruits et le bétail. Nador est reliée à la ville espagnole de Melilla, située à 5km au nord, par route et par train.

    Melilla : Enclave espagnole située à 60km de la station balnéaire , Melilla (63.670 hab.) était un port franc avant que l’Espagne ne rejoigne l’Union Européenne. Encore aujourd’hui, la pêche reste la principale industrie de cette ville construite sur un énorme rocher et reliée à la terre par un isthme rocheux que seuls les petits vaisseaux peuvent franchir pour accéder au port . Un ensemble de petits forts protège l’isthme et des murailles entourent la ville. Parmi les principaux sites sont à signaler la Médina Sidonia et le musée municipal.

    Fès : Ville impériale la plus ancienne (à 275km de Saïdia ) et peut-être capitale spirituelle et culturelle du Maroc, la mystérieuse Fès nous envoûte par ses ruelles en labyrinthe et sa splendeur. Entourée de magnifiques murailles et portails, la Médina de Fès el-Bali (Vieille Fès) est l’une des plus grandes villes médiévales encore existantes dans le monde et, contrairement à de nombreuses villes fortifiées, la population de la Vieille Fès habite toujours à l’intérieur de la médina , au lieu de fuir vers le sud-ouest et vers les collines où se trouve la nouvelle ville , qui s’étend en direction nord et sud .

    La Médersa Bou Inania, université islamique édifiée en 1350, surplombe la Vieille Fès. Fréquemment surnommée la ville musée, Fès est une fenêtre ouverte sur l’histoire du Maroc. Le rayonnement de la ville est dû au maintien, à travers les siècles du caractère ancestral de son architecture, dont témoignent ses 143 mosquées, ses remparts originaux, ses anciennes médersas et ses palaces.

    Musées
    attraits près du programme d’appartements & villas
    Les villas et appartements à Mediterrania-Saïdia se trouvent au cœur d’une région à la culture ancestrale, et possédant plusieurs musées très intéressants. Les deux se trouvent à 200km dans la ville de Fès:

    Le musée Dar Batha : situé dans un palais hispano mauresque datant de la fin du XIX ème siècle, ce musée renferme d’admirables collections de l’art traditionnel de Fès. De vrais chefs d’œuvre en bois sculpté et en plâtre, en fer forgé et matériaux de décoration divers y sont exposés. Broderies, tapis, bijoux et pièces de monnaie, objets tous plus beaux les uns que les autres, émerveillent les visiteurs. La pièce centrale du musée reste cependant celle des céramiques car, grâce à une technique datant du X ème siècle, les artisans de Fès ont pu fabriquer les objets les plus précieux rendus uniques par le célèbre « bleu de Fès », inventé par leurs soins et obtenu à partir du cobalt .

    Le musée Borj-Nord : Rappelant sa tradition militaire, cette forteresse du 16ème siècle,près des remparts, abrite aujourd’hui un musée d’armes blanches et à feu. Une partie importante des collections, qui inclut un grand nombre d’objets rares, est constituée par des donations royales. Les armes exposées nous retracent l’histoire des civilisations indienne, asiatique et européenne, depuis la hache de la période préhistorique jusqu’à la carabine des temps modernes. Cependant, les objets les plus travaillés sont, sans aucun doute, ceux du Maroc : épées avec pierres incrustées et carabines avec motifs gravés.

    Plages de Saïdia
    attraits près du programme d’appartements et villas
    Vous découvrirez des plages de rêve à proximité des villas et appartements de Mediterrania-Saïdia :

    Saïdia: Une étendue de 20km de plage de sable fin, baignée par des eaux limpides et cristallines. L’accès à la plage principale se fait à travers une forêt d’eucalyptus.

    Plage Quem ada, Al Hoceima : la ville plage d’Al Hoceima , bien connue pour sa grande fréquentation, reste cependant propre et accueillante. (à 150km de Saïdia ).

    Loisirs à Saïdia
    attraits près du programme d’appartements & villas
    Les villas et appartements à Mediterrania-Saïdia se trouvent au cœur d’une région proposant une multitude d’activités de loisirs :

    Services : Mediterrania-Saïdia offre de nombreux services pour le plaisir et le temps libre des touristes. La station touristique possède un vaste choix de restaurants, pavillons commerciaux, spas et clubs de fitness qui évite aux visiteurs de se déplacer . Trois golfs à 18 trous sont le pôle de cette station touristique exceptionnelle. La station offre de nombreux espaces verts, six hôtels et une clinique. Le port de plaisance ainsi que ses services complémentaires fourniront de grands moments de plaisir à tous les passionnés de sports nautiques. Dix-sept « beachclubs´´ tout au long des 6km de bord de mer sont un point d’animation pour le port de plaisance et un endroit idéal pour que les touristes se détendent à l’ombre.

    Shopping : Les souks et les marchés sont l’une des plus grandes attractions du Maroc. Le visiteur pourra trouver des souks presque partout puisqu’ils font partie de la vie quotidienne des marocains. De grandes villes comme Fès et Marrakech possèdent de multiples souks (chacun ayant sa spécialité) et des centaines de souks prennent place à travers le pays et tout au long de la semaine, à des jours différents, suivant les villages de la région.

    Randonnées en montagne : Le Maroc met en exergue ses splendides montagnes qui permettent aux aventuriers de goûter aux inoubliables expériences des randonnées les plus gratifiantes du monde. Les randonnées sont l’une des meilleures activités qu’offre le Maroc. Il existe , en effet , un grand nombre de longs circuits dans l’Atlas bien que la plupart des gens se limite à faire des randonnées plus courtes dans la région du Djebel Toubkal .

    Football : Un sport important , qui prend de l’ampleur dans un pays où l’équipe nationale a participé à la Coupe du Monde à quatre reprises . Le Maroc a d’ailleurs fait une demande pour accueillir ce tournoi en 2010, au moment où il obtenait dans les compétitions de club africain d’énormes succès . Les joueurs de football développent leurs talents dans des jeux improvisés sur la plage, dans la rue ou sur des terrains vagues.

    Ski : Bien que n’étant pas reconnu comme une destination habituelle pour le ski, les montagnes du Haut Atlas au Maroc sont recouvertes de neige, à partir de fin janvier jusqu’au début avril. Parfois les montagnes du Moyen Atlas ont suffisamment de neige pour ce sport.

    Equitation : L’équitation et les promenades à dos de chameau sont un passe-temps populaire au Maroc. De nombreux endroits offrent des circuits guidés à travers les Montagnes de l’Atlas .

    Pêche : Il est très facile d’organiser des excursions en bateau tout au long de l’immense Atlantique marocain et de la courte côte méditerranéenne. Dans l’arrière-pays, le Moyen Atlas s’élève au dessus de merveilleux lacs et rivières, dont certaines regorgent de truites .

    Sports nautiques/natation : On peut pratiquer une large palette de sports nautiques tels que la voile, le windsurf, le surf, la natation, le rafting, le kayak et la plongée.

    Terrains de Golf
    attraits près du programme d’appartements & villas
    Les villas et appartements à Mediterrania-Saïdia sont fiers d’offrir 3 golfs dans le programme :

    Le golf est le sport idéal pour profiter du soleil et de l’air pur. Trois golfs à 18 trous sont la principale caractéristique de Mediterrania-Saïdia . Ils s’étendent sur plus de 210 hectares de greens, sont entourés d’une végétation luxuriante et jouissent de magnifiques vues sur la plage, l’hôtel et la zone résidentielle.

    Source : FADESA

    #201486

    Sujet: ELGUERROUJ tire sa révérence

    dans le forum Sport
    Iznassen
    Membre

    Hicham el-Guerrouj tire sa révérence (Marianne 26/05/2006)

    La star du demi-fond marocain, idole de tout un peuple, met un terme à sa carrière, riche en records et en titres internationaux.

    « Salut l’artiste ! ». C’est ce que l’on a coutume de dire lorsqu’un immense champion, qui a fait rêver des millions de fans, quitte la compétition. Hicham el-Guerrouj est de ceux-là. Après dix années d’une carrière bien remplie, l’athlète marocain, âgé de 32 ans, spécialiste du 1500, puis du 5000 mètres, vient d’annoncer sa retraite sportive.

    « Je n’ai aucune envie ou raison de poursuivre la compétition. Je (l’)abandonne pour consacrer plus de temps à ma famille et me concentrer sur mes affaires », a-t-il annoncé lors d’une conférence de presse à Casablanca. Et c’est tout un peuple qui s’est levé, d’un seul homme, pour rendre hommage au « TGV » d’Ifrane, dont la silhouette longiligne et les foulées pleines de grâce font désormais partie de la légende de l’athlétisme. Et quelle légende !

    L’homme aux quatre titres de champion du monde, entre 1997 et 2000, n’avait-il pas réinventé le 1500 mètres : un sprint lancé dès la moitié de la course, qui laissait la plupart du temps ses adversaires sur place. Et puis, il y a les records : celui qui avait aligné la bagatelle de 50 victoires d’affilée en 98 courses, était descendu 33 fois en dessous des 3’30 sur le 1500 ! Avec en prime le record du monde de la spécialité en 3’26’. Un chrono de rêve qui reste encore un sommet inaccessible pour bien des spécialistes du demi-fond. Sans oublier sa carrière olympique, qui, de malchance en malédictions, s’acheva en apothéose aux derniers Jeux d’Athènes, avec deux médailles d’or, sur le 1500 et le 5000 m.

    Et le concert de louanges qui entoure cette comète de la piste n’est pas que de circonstance. En plus d’être un énorme champion et un monstre de modestie, le natif de Berkane dans le Rif oriental avait du cœur, lui qui avait fondé une association, « Beni Snassen », pour promouvoir le sport, l’éducation et la culture dans sa région natale. Il s’était également opposé fermement aux actes terroristes qui avaient ensanglanté Casablanca (en mai 2003), en apparaissant à la télévision, vêtu d’une tenue traditionnelle, pour rappeler au monde que les amalgames sur l’islam n’avaient pas lieu d’être.

    Hicham El Guerrouj avait commencé à briller dans les stades en mettant un terme au règne de son rival algérien, le grand Noureddine Morceli. Mais personne n’a réussi à l’enterrer, lui, sur la piste. On cherche en vain qui, aujourd’hui, aura les reins (et les jambes) assez solides pour lui succéder.

    Le 25/05/2006 à 7 h 00 – par Skander Houidi

    © Copyright Marianne

    P.S. Pour les curieux, le nom de famille  » ELGUERROUJ » dérive de Tamazight. En effet, on dit :

    Agerruj ( lire Aguerrouj), et au féminin, on dit : Tagerrujt ( lire thaguerroujth). Ce mot signifie « le trésor » et par extension les boîtiers où on cache les bijoux.

    #211749

    En réponse à : Mariage mixte

    meeloud
    Membre

    Ma chère Clarisse…

    Peut importe si mes paroles sont dures….ce n’est pas làa le problème…

    Si tu as une foi assez sincère en la religion vraie de Dieu tu comprendras que les beaux discours ne snt que la spécialité du Diable.

    Pour ma part, tu crois peut-être que je cherche à te convertir?! alors ma chère tu te trompes…ce n’est pas de mon ressort…

    Le seul devoir que j’ai est de dire la vérité peut importe si elle dérange.

    Dans ce cas, j’ai exposé la vérité à un frère, qui souhaite faire sa vie avec une non musulmane. Je lui ai simplement dit que c’était possible avec une juive ou chrétienne (et non une athée) selon la la loi que Dieu a transmis mais que ses enfants devaient être musulmans.

    Pourquoi ? parce que lors du jugement dernier lorsque Dieu leur demandera pourquoi ils n’ont pas suivi la voie du prophète, ils lui réponderont que c’est la faute à leur père qui ne les a pas guidés.

    Mon discours est différent selon que je m’adresse à un muslman, qui à la foi et à un non musulman qui cherche la voie ou à un athée (cf ALain) qui n’est pas disposé à comprendre.

    Clarisse, avec tout le respect que je te dois, avoir la foi, c’est à la fois Aimer Dieu et le Craindre.

    Si je prends l’exemple des chrétiens, ils véhiculent beaucoup d’amour et et c’est une chose que j’apprecie? mais malheureusement ils n’ont pas été capable de tranmettre les interdits qui maintiennent une certaine limite.

    entre le tout est permis et le tout est interdit il y a un juste milieux, c’est celui qu’Allah nous a transmis dans le coran.

    Qu’Allah nous guide dans le bon chemin, qu’Il te guide vers la voie droite…

    Salutations

    #213444

    En réponse à : Le risque de tsunami au Maroc

    Zineb
    Membre

    En fait voilà:
    « 
    Depuis quelques jours, Ciel des Hommes reçoit des centaines de connexions en provenance du Maroc, où s’est répandue une rumeur catastrophiste : un fragment de la comète 73p/Schwassmann-Wachmann 3 menacerait de tomber dans l’océan Atlantique le 25 mai, et d’y provoquer un gigantesque raz de marée auquel le Maroc serait particulièrement exposé. Rassurons tout de suite nos amis Marocains, c’est tout simplement impossible. Voici pourquoi.

    La comète 73p/Schwassmann-Wachmann 3 a commencé à se briser en 1995. Si plusieurs fragments se sont bien séparés les uns des autres, ils continuent de se suivre à la queue leu leu. La comète n’a pas explosé en projetant des débris dans tous les sens ! Il aurait fallu une énergie considérable pour produire une telle dispersion, or la comète, qui n’est qu’une  » boule de neige sale « , s’est brisée comme se brisent les glaçons lorsqu’on les immerge dans un liquide à température ambiante : avez-vous déjà vu un verre de jus d’orange exploser lorsque vous y plongez un glaçon ? Moi pas.

    Pour mieux comprendre ce qui s’est passé, imaginons que la comète 73p/Schwassmann-Wachmann 3 soit un train.

    Ce train spatial était initialement composé de 60  » wagons  » solidement reliés les uns aux autres et lancé à vive allure. En 1995, certains  » wagons  » ont commencé à se détacher des autres. Mais ils sont restés sur leurs rails ! le  » train  » spatial continue sur la lancée, même s’il est à présent en plusieurs parties.

    Maintenant me direz-vous, un train peut en cacher un autre : si aucun fragment visible ne semble menacer la Terre, peut-être que certains  » wagons  » trop petits pour être visibles pour le moment, et suffisamment grands pour représenter un danger, arriveront à la hauteur de la Terre lorsque celle-ci s’engagera sur le  » passage à niveau « . Et c’est là que nous pouvons tous pousser un  » ouf  » de soulagement : cette année, et pour très longtemps encore, la Terre et la comète ne passent pas au même  » niveau « .

    En fait, si sur les simulations de trajectoire, on a l’impression que les chemins se croisent, c’est juste un effet de perspective. En réalité, lorsque l’orbite de la comète se superpose à celle de la Terre vue du dessus, la comète est à ce moment-là soit très  » au-dessus  » soit très  » en dessous  » du plan de l’orbite terrestre. Imaginez que vous soyez sur une passerelle passant au dessus de voies de chemin de fer. Vous voyez passer les trains juste sous vos pieds, mais vous ne risquez absolument rien ! c’est exactement la même chose pour cette comète. Et lorsqu’elle coupe le plan de l’orbite terrestre, elle est à plus de 10 millions de kilomètres de la Terre, soit 25 fois la distance Terre-Lune !

    Pour conclure, une chose est certaine : les individus qui prennent la responsabilité de faire naître ce genre de rumeur sont au mieux des malades mentaux, au pire des pervers criminels, car en toutes circonstances, même en cas de danger avéré, c’est toujours la panique qui est la plus meurtrière.

    Espérons qu’en l’occurrence la raison l’emporte, et que personne ne se tue sur les routes en voulant fuir un danger imaginaire.

    par : Didier Jamet »

    dawy
    Membre

    Salut :Mon tres cher ami iznassen.

    Soit tu mens,ou tu délires.Ou les deux à la fois.
    On a déjà un nostradamus du coté du bou regreg qui se prend pour le MAHDI AL MONTADAR.Trop tard pour toi.La place est prise.

    Cher ami iznassen il n’y a pas de crise identitaire à Berkane,comme tu le prétends.
    Les Berkanis(es) ont conscience de la richesse de leur Marocanité.Leur Marocanité qui englobe plusieurs subtances dont la langue.

    Ils n’ont pas besoin d’un parano pour se défendre.

    Puisque tu es demandeur, delirons, ensemble si tu le veux bien.
    Je te remercie beaucoup de nous attirer l’attention sur les persecutions perpetrées par ISABELLE DE TAFOGHALT à l’encontre de nos compatriotes de Berkane.Merci de nous appeler à nous mobiliser contre cette inquisition orange.
    Je te serais reconnaissant,ammis n’tmourt,de me dire à partir de combien de generations(généalogie à l’appui et sans OGM{brassages des populations} puis je prétendre à ce titre de noblesse qui en l’occurence AMAZIGH(AOC).
    Il n’ya pas longtemps un celebre moustachu (c’etait hier au 20e) a essayé de commercialiser les critères de la race pure.Il n’a pas tenu le coup longtemps.Avec toutes les consèquences qu’ont connait.Peut-etre l’ignores-tu?.Ne joues pas avec le feu.C’est conseil d’un missn’tmourt.

15 réponses de 721 à 735 (sur un total de 770)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'Il etait une fois'