Résultats de la recherche sur 'La Culture avec un Grand C'
-
Résultats de la recherche
-
Salam voici quelque Info très Utiles, que j’ai pêché pour vous sur le net pour vos Entretiens.
SECRET DE RECRUTEUR ET ENTRETIEN
– ce qui leur met la puce à l’oreille –
A la recherche du moindre indice, les recruteurs prennent des allures dinspecteur Columbo quand vient le temps de lentretien. Le but de leur enquête : lire entre les lignes pour débusquer le candidat idéal.
1) Testez votre curiosité
Le recruteur : Florian Mantione, directeur du Florian Mantione Institut (Réseau international de conseil en ressources humaines)Ce quil cherche à déceler : la curiosité des candidats
Pour Florian Mantione, un bon candidat est un candidat curieux. Celui qui sest vraiment renseigné au préalable sur lentreprise et sur le poste aura donc toutes ses chances de plaire. Selon lui, un candidat doit aussi sintéresser à lenvironnement et à lévolution récente de son métier. « Vous nêtes pas de simples exécutants, explique-t-il. Avoir un avis sur les grandes problématiques de votre secteur est primordial lors dun entretien. »
Ses méthodes :
Le dada de Florian Mantione ? Le nom de votre lycée « Vous étiez au lycée Lamartine ? Mais qui est Lamartine au juste ? » Lobjet dune telle question : tester votre curiosité, mais aussi observer votre réaction lors dune situation inattendue. Ensuite, plus classique, attendez-vous à être questionné sur lentreprise et sur le poste que vous convoitez : quels sont les clients de lemployeur ? Ses fournisseurs ? Ses concurrents ?
2) Tester votre adéquation au poste
La recruteuse : Karin Gaudillat, chargée de recrutement chez Adecco Experts
Ce quil cherche à déceler : lépanouissement du candidat
Selon Karine Gaudillat, que ce soit en période de crise ou de plein emploi, les demandeurs demploi en France accordent beaucoup dimportance à leur futur environnement de travail. Ainsi, lors de ses entretiens, vérifier si le candidat pourra sépanouir au mieux dans son poste est sa priorité. « Notre objectif est de réussir à 100 % lintégration du candidat au sein de lentreprise », insiste-t-elle.
Ses méthodes :
Dans quel type dentreprise voulez-vous travailler ? Souhaitez-vous avoir des collaborateurs à manager ? Quelle amplitude de travail avez-vous lhabitude davoir pour la réalisation de vos missions ? « Toutes ces questions me permettent de détecter efficacement si les attentes du candidat sont en adéquation avec le poste ou pas », raconte-t-elle. Par ailleurs, si ce dernier semble douter de ses aptitudes, des tests dévaluation en ligne sont proposés par Adecco Experts pour laider à sauto-évaluer.
3) Mesurer votre conviction
La recruteuse : Catherine Dervaux, directrice de lagence de recrutement Men Way, Paris/Ile de France
Ce quil cherche à déceler : le relationnel
Catherine Dervaux ny va pas par quatre chemins : « avant même quun nouvel embauché soit en poste, la première chose que nos clients jugeront, cest son relationnel. » Aucun entretien ne déroge donc à la règle : enthousiasme, pro-activité, souplesse, bonne humeur tout est sondé. Et si ces conditions sont remplies, mais que les diplômes ou lexpérience professionnelle font défaut, son cur peut balancer.
Ses méthodes :
Tout au long de lentretien, Catherine Dervaux est aux aguets pour déceler « ce qui fait bouger » le candidat. « Montrez que vous êtes content dêtre là, souriez, réagissez rapidement, soyez présent, investissez-vous ! » Regarder la table sans conviction est rédhibitoire
4) Estimer votre motivation
Le recruteur : Frédérick Airès, responsable Développement et Innovation RH chez Teleperformance Centre Ouest
Ce quil cherche à déceler : la motivation et lenvie de se former
Chez Teleperformance, 95 % du recrutement concerne des postes de conseillers clients. Leur quotidien ? Répondre aux demandes des clients, et faire preuve de tact et de politesse à chaque appel, des missions plutôt délicates. « Il faut donc une certaine dose de ténacité et de motivation pour réussir dans ce métier », précise Frédérick Airès.
Lenvie dapprendre est tout aussi importante chez Teleperformance : « tout nouveau collaborateur qui nous rejoint bénéficie dun parcours de formation, afin de devenir un conseiller clients efficace », explique Frédérick Airès.
Ses méthodes :
Après le test de culture générale et daptitude, les motivations du candidat sont passées au crible. Exemple : « si un candidat ne souhaite pas travailler sur la plage horaire du centre pour lequel il postule, il réduit considérablement ses possibilités dembauche, estime-t-il. À contrario, un candidat, qui se révèle flexible et prêt à sinvestir saura retenir notre attention. »
Enfin
Question incontournable pour Frédérick Airès : « seriez-vous prêt à suivre une formation ? ». Or, surprise, bon nombre de candidats semblent réticents : « pour beaucoup, lécole est déjà loin derrière eux. » Et elle ne leur rappelle pas que de bons souvenirs… Dommage, car cette motivation se révèle déterminante pour le recruteur.
Pauline Tissot -copyright Keljob.com – juillet 2009
Sujet: A OujdaCity seulement…
Je remaraque qu il ya une touche speciale dans ce forum , que j ai jamais vu ailleurs.
la participation des membres, de differentes generations, tt en partageant le meme esprit.
La diversite des opinions que ca soit politiques, culturels… tt en gardant le grand respect.
Le grand amour pour Oujda lahbiba ,
w une autre chose c est que meme les nouveaux membres n hesitent pas a s integrer avec nous avant meme de se presenter ou de continuer leur recherche qui peut etre les a menee ici..
A ce point la nous les oujdis houbala b oujda???? je remarque ca bzaaf. hna wjada on a wahd l attachment kbir pour cette ville . on en est fier a un point z3maa man3reft w safi ,
had shi li sheft f oujda city , si n importe qui, que ca soit ancien membre ou nouveau , demande conseil ou livre ou n importe quel aide, tel9aa jou9a , tt l monde veut aider wakha ri b des mots…
l7assoul Allah yaa3tikom sa7aa. oujdacity reste number 1 … serieux wllah jamais cheft shi forum bhal hada , wakha kayn des forums tel9a fihom le3jaab . mais hada fih haja plus importante…le sens de famille…w concret mashi virtuel….
Big Thanks to Alae PDT_Armataz_02_02
Un city center pour tracter le shopping
· Un business hub sur 55 hectares au centre-ville
. Plus loins deux unités Carrefour/Label’vie sur 5 ha à l’étude
· 7 milliards de DH pour le renouvellement urbain d’Oujda
La modernisation des commerces et services est l’une des priorités des autorités locales. La restructuration de la filière commerciale est enclenchée avec l’arrivée en force de la grande distribution. L’effet d’entraînement dans le circuit des franchises est palpables (voir article grande distribution). D’autres unités prospectent à l’instar de McDo, Zara, Kitea…
D’autant plus que deux unités Label’ Vie/Carrefour sur 5 à 6 hectares sont en phase d’étude ainsi que deux autres magasins Acima. «Pour promouvoir l’attractivité de la région et attirer le plus grand nombre d’enseignes, nous sommes en train de créer un city center, un hub implanté au cœur de la ville orienté shopping», annonce Farid Chourak, directeur du Centre régional d’investissement (CRI). Deux tours de 19 étages chacune et un centre d’affaires sortiront bientôt de terre non loin du quartier de la gare qui subit une véritable métamorphose. Le renouvellement urbain de la ville d’Oujda porte sur 350 projets pour un montant estimé à plus de 7 milliards de DH. L’enjeu est de faire de la ville un véritable pôle économique national, souligne le directeur du CRI.
La zone de la gare (18 mars) abrite aussi des hôtels opérationnels (dont un 5 étoiles flambant neuf Atlas Terminus et un 3 étoiles, Ibis).
Au total, 55 hectares seront dédiés à Oujda City Center au cœur de la ville avec centre d’affaires, parc de plateaux de bureaux, boutiques, banques et assurances, restaurants, sociétés et résidences haut standing.Des showrooms, concessions automobiles, magasins de mobilier… seront livrés sous peu. Il s’agit de 23 lots pour de grandes unités commerciales sur une superficie globale de près de 9 hectares. Les locaux sont pratiquement tous vendus, précise-t-on au centre régional d’investissement. Côté PME, des unités seront créées à l’intérieur de la ville. Il s’agit principalement de concentration d’activités liées à l’électronique, la mécanique, les matériaux de construction ou encore l’agroalimentaire.
Dans le même sillage, il est aussi programmé de construire une nouvelle gare ferroviaire dans le prolongement de l’ancienne station qui est l’une des plus anciennes du Maroc. Là aussi, une galerie marchande, des parkings et activités d’animation sont prévus.
La restructuration du paysage de la ville passera aussi par une mise à niveau de la filière commerciale, le commerce de proximité notamment (aux marchés de Lazaret, Toba, Si Lakhdar…) et l’organisation des marchands ambulants. L’idée est de créer des carrefours avec places marchandes. La mise à niveau portera également sur le marché de gros de fruits et légumes, l’abattoir municipal et la réalisation d’un marché de gros de poisson.
Les parties impliquées dans la conception et la réalisation de ces projets insisteront sur la convergence entre les différents sites tant sur le plan spatial qu’économique et socio-culturel pour la relance de l’économie et l’émergence d’activités aux standards requis, insiste le directeur du CRI.
Le culturel et les activités sportives ne sont pas en reste: la cité verra dans quelques mois la création d’un amphithéâtre en plein air pour accueillir concerts, pièces de théâtre et festivals, un conservatoire de musique et danse, un musée d’histoire orientale ainsi qu’un complexe culturel…
Sujet: Laisser la Moisson en Epi
Il est dit dans le Saint Coran : [“O toi, Youssef (Joseph), le véridique ! Eclaire- nous au sujet de sept vaches grasses que mangent sept autres très maigres, et sept épis verts et autant d’autres, secs, afin que je retourne aux gens et qu’ils sachent [l’interprétation exacte du rêve]”. Alors [Joseph dit] : “Vous sèmerez pendant sept années consécutives. Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi, sauf le peu que vous consommerez. Viendront ensuite sept années de disette qui consommeront tout ce que vous aurez amassé pour elles sauf le peu que vous aurez réservé [comme semence]. Puis, viendra après cela une année où les gens seront secourus [par la pluie] et iront au pressoir.”] (Youssef : 46-49)
La Vérité Scientifique :
Stocker les grains en épis est un système fondamental de préservation de la production dans des environnements très hostiles. Ces directives englobent l’agriculture, les techniques de stockages et de préservation de la production autrement les techniques de gestion de la production. Le docteur `Abd al-Majîd bel-`Abid et ses collègues de l’Université de Rabat au Maroc, ont fait une étude expérimentale sur des grains de blé conservés en épis. Ces grains restèrent intacts durant deux ans contrairement aux grains battus. Les résultats préliminaires montrèrent que 100% des grains en épis étaient restés en bon état. Sans oublier que le lieu de stockage était un lieu ordinaire qui ne jouissait d’aucune condition climatique spéciale. Dans ce cadre, il apparut que les grains en épis perdirent une grande quantité d’eau et devinrent secs avec le temps. Et ce, contrairement aux grains battus. Autrement dit, l’on se rendit compte que le blé battu était constitué de 20.3% d’eau. Ce qui a un effet néfaste sur sa productivité, sa croissance et sa valeur nutritive. Car l’eau favorise son pourrissement et sa détérioration. Puis les chercheurs comparèrent les facteurs de croissance des grains restés en épis et celles des grains battus. Et ce, durant deux ans. Les résultats furent les suivantes : les grains en épiss’avérèrent plus croissants de 20% du point de vue de la longueur des racines, et de 32% du point de vue de la longueur des tiges. Après quoi, les chercheurs évaluèrent les protéines et les glucides qui restent intacts. Concernant les grains battus, ils perdirent 32% de protéines après deux ans et 20% après un an. Quant aux grains en épis, ils ne perdirent rien du tout.
Aspect Miraculeux :
Il est dit dans le Saint Coran : [Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi…] Ce qui veut dire que préserver les grains en épis est la bonne méthode de préservation des grains à long terme. Il y a deux remarques scientifiques qui ont trait à ce verset :
1- La détermination de la productivité des semences à 15 ans repartis comme suit : sept années de vache grasses pendant lesquelles les gens sèmeront et récolteront sans coup férir, suivis de sept années de vaches maigres qui seront suivis de l’année du retour à la fertilité au bout de laquelle les gens se rendront aux pressoirs. Et les expériences scientifiques ont prouvé que les semences gardent leurs facteurs de productivité et de croissance durant 15 ans au maximum.
2- Le procédé de stockage mentionné dans le Coran en ces termes : [ Tout ce que vous aurez moissonné, laissez-le en épi…] est le procédé qui s’avéra dans l’étude expérimentale comme le procédé le plus fiable. Ainsi, devint-il évident que la meilleure méthode de stockage est la méthode indiquée par le Prophète d’Allah Youssef (salut sur lui), méthode qu’il tint de la révélation divine. Il va de soi que cette méthode était méconnue auparavant notamment chez les anciens égyptiens qui conservaient les grains après battage. Mentionner ainsi la bonne méthode, est l’un des aspects miraculeux de ce verset coranique qui prouve encore une fois de plus la précision et la justesse des informations contenues dans le Coran et partant, la vérité irrévocable que le Coran est une révélation d’Allah.Hier(21.02.2009), sur la chaine franco-allemande ARTE, un documentaire qui se déroule à Mengoub près de Bouaarfa été diffusé.
Voilà le synopsis, disponible sur le site de la chaine:
Deux Marocains tentent un pari fou : créer, en plein désert, une pépinière pour empêcher les jeunes paysans de leur région de céder aux mirages de l’émigration.
C’est l’histoire d’une rencontre entre deux Marocains, tous deux originaires de Bouarfa, une petite ville du sud-est du pays. Mostafa « le vieux » est depuis trente ans installé en France, dans une cité d’Évry, et revient pour les vacances ; Mostafa « le jeune », lui, s’est fait paysan dans le désert du Mengoub. Là où la misère grandit au rythme du sable, qui avance et dessèche les cultures, où faute de pouvoir gagner leur pain, les hommes ne trouvent plus à se marier et où les jeunes ne rêvent que d’une chose : partir. « El Mostafa » signifie « l’élu » en arabe. Mais l’aîné des Mostafa, sous son allure joviale, cache une fêlure : il y a quelques années, il a tenté de vivre dans un village de l’Essonne en reprenant le seul café du coin. Le racisme ordinaire a fini par l’en faire partir. Depuis, il considère son intégration en France comme un échec.
Une barrière verte contre le sable
Le cadet, lui, est revenu de ses rêves d’exil après quelques années de galère hors du Maroc. Ancien soudeur, il a finalement choisi son désert natal pour bâtir une maison, créer une ferme, fonder un foyer (après trente-six demandes en mariage infructueuses !). Il s’efforce aussi de montrer aux fils des fellahs très pauvres de la région que l’on peut s’en sortir sans émigrer, même avec très peu de moyens. « Il y a quelque chose de plus grand que l’argent, c’est l’espoir », aime à répéter à ses ouailles celui qui est devenu l’imam et l’homme- orchestre de sa communauté villageoise, dans la petite mosquée qu’il a construite au bout de son terrain. C’est lui qui a eu l’idée de la pépinière : dresser une barrière verte contre le sable qui avance. Et c’est Mostafa le vieux qui, avec son association Solidamoun, a trouvé les fonds pour financer cette utopie. Depuis, l’un en première ligne, l’autre en renfort, ils se battent contre le vent, le sable, le gel, les invasions de criquets. Et une petite école a fleuri à côté de la mosquée, pour les enfants du village. Cinéaste familier des chemins détournés, Laurent Chevallier (Djembéfola, Circus baobab, La vie sans Brahim…) raconte comment les deux Mostafa, le déraciné et le paysan, ont fait reverdir le désert.Il est possible de le voir ici: http://www.arte.tv/fr/programmes/242,date=21/2/2009.html
Je vous le recommande fortement.