Résultats de la recherche sur 'Prof oujda'

Forums Rechercher Résultats de la recherche sur 'Prof oujda'

15 réponses de 301 à 315 (sur un total de 533)
  • Auteur
    Résultats de la recherche
  • #239733

    En réponse à : MARJANE ! ouvre toi !

    fadi
    Membre

    @nediha_gawriya wrote:

    nchalah jvai le faire, mais ce soir j entendu une nouvelle ki ma 👿

    galek a sidi le responsable de recrutement ici a oujda est un FASSI et kil ne recrute ke des fassi deja 10 personne de la securité ki ont été imposé par la wilaya d’oujda ont été viré com par hasard 👿

    a koi ca sert d’ouvrir un marjane ici si c pour embocher des ETRANGERS :evil

    MAIS CMT J »AI LA RRRAGE 👿 👿 👿 👿

    Faut se méfier des Rumeures Mister Ned Gaw !! Tout ce que tu vient de dire n’a rien de vrai 8)

    D’abord, je vois pas pourquoi tu ne rate jamais l’occasion de raler contre les fassis et que tu traite tout les gens Hors Oriental d’Etrangers .. Change cette mentalité Rak Ze3ma 9ari !!

    Primo: Vu que tu a la Fassiphobie .. Rassure toi !! Le Responsable des Ressouces Humaine de Marjane Oujda n’est pas Fassi ..

    Secondo: Les gens de la sécurité dont tu vient de parler ont été viré pour Faute professionelle grave .. J’ai jamais vu un agent de securité Voler 😆 Donc pas la peine de dramatiser les choses !!
    Concernant le personnel .. 90% sont Originaires de la région !! Pas mal .. Non ??

    Pour Finir .. Je me pose la question !! Quand est ce que on cessera de se plaindre a chaque nouveau projet dans la region !! Faut que sa arréte les amis !!

    #239621
    observateur
    Membre

    La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographique
    (1)
    08/12/2007

    Oujda City : La Boîte à Merveilles de Séfrioui:la dimension ethnographique
    بقلم : tayeb zaid

    La Boîte à Merveilles est une œuvre riche en personnages surtout de sexe féminin. Aussi nombreux soient-ils, ils demeurent tous proches les uns des autres par les liens qui les unissent, liens de voisinage ou d’amitié, de rivalités ou de compassions, de circonstances ou d’échanges. Leur vie est régie par les événements quotidiens où se côtoient le réel et le recours aux forces occultes, où les faits semblent, pour le lecteur moderne, des faits sans conséquences et sans profondeurs, des faits d’un jour, d’un moment, sans lendemain et par conséquent éphémères. Mais détrompons-nous, ce sont des faits de société, de civilisation, d’époque. Un parcours de La Boîte à Merveilles laisse entrevoir les dessous de la société marocaine de 1920.

    I- Croyances, pratiques magiques, voyances et pèlerinages.

    A- la voyante Lalla Kanza.

    Le roman s’ouvre par une soirée de transes animée par des gnaouas où se mêlent les sons des crotales et des gambris et les odeurs de benjoins et d’encens dans une atmosphère de fraternité entre le djinn et l’homme, le temps d’une nuit. Tout est dédié au djinn pour chercher son soutien en satisfaisant ses exigences et ses caprices. Les fumées en nuages légers et crémeux montent vers les ténèbres de la nuit, domaine du Malin en attente de parfums nocturnes, les danses des femmes dans des contorsions où les corps sans os se tordent à se rompre, les couleurs vives des vêtements choisis au goût du prince de la nuit, et les youyou des femmes, langage sans code et sans cordes : tout cela pour sceller un pacte d’alliance avec les forces obscures de la nuit, une fois par mois, à Dar Chouafa où les locataires sont les acteurs, les témoins ou les spectateurs du rituel. La Chouafa , femme respectée par crainte, tire sa notoriété et son autorité du rite mensuel pendant lequel elle danse avec le djinn qui le lendemain devient son serviteur et son maître. Les couleurs qu’elle porte lui sont dictées par les djinns qui la hantent et la servent et chacun d’eux a sa propre couleur : « Il lui fallait un nombre important de coudées de satinette noire pour calmer l’humeur du grand génie bienfaisant, le roi Bel Lahmer. Depuis quelque temps, elle sentait aussi un mal sournois, dû à l’action de Lalla Mira. Pour faire cesser le mal, une robe d’un jaune de flamme s’avérait nécessaire. Il y avait bien Sidi Moussa à satisfaire, sa couleur était le bleu roi, mais la robe de l’année dernière pouvait encore servir. » ( page 106)

    B- Le voyant Sidi El Arrafi

    Autant il est plus simple dans ses pratiques autant la Chouafa est plus exigeante et plus spectaculaire. Il ressemble à un sage, ou à un derviche des temps anciens. Il parle par paraboles comme eux mais avec beaucoup de mystique et de mystère. Son langage est obscur mais validé par des références d’ordre théologique. Il est sincère et honnête dans ses propos et déclare dès le début que malgré le nom de ‘’voyant’’ qu’il porte ou que les gens lui font porter, il n’a rien d’une personne qui sache dévoiler l’avenir car cela relève des affaires de Dieu : « Ne vous attendez pas à ce que je vous dévoile l’avenir. L’avenir appartient à Dieu, l’omnipotent » La sincérité de l’aveugle est loin de semer le doute dans les cœurs des deux femmes, au contraire, elle les rassérène car elles connaissent bien la Chouafa pour être une prétentieuse et’’ une sorcière’’. Les deux Lalla sortent de chez l’aveugle soulagées et légères du fardeau : toutes deux ont le sentiment qu’elles vont bientôt le déposer pour se reposer.

    Les paroles du voyant aveugle sont sans équivoque. « La blessure semble profonde, pourtant la guérison est proche » ( page208) dit-il à Lalla Aïcha. Quant à Lalla Zoubida, il lui confie sur le ton de la solennité : « O ma sœur……..Souviens-toi que lorsque quelqu’un fait des vœux pour un absent, l’ange gardien lui répond : Que Dieu te rende la pareille » (page 210)

    C – Les pèlerinages des sanctuaires

    Le pèlerinage à des lieux saints ou censés l’être est une activité presque exclusivement féminine. La femme a toujours été considérée comme un être faible et fragile. Cette croyance, véhiculée de génération en génération à travers les âges a fini par être admise comme une vérité intrinsèque à la nature de la femme. Elle s’installe en elle et prend habitat de son corps, de sa pensée. La femme elle-même tient cet état comme un fait et s’y plie en s’y résignant.

    La femme va donc chercher ce qui lui manque là où il est : les Saints qui servent d’intermédiaires entre elle et Dieu. Elle y cherche secours et force. Elle y cherche protection et soutien. Elle y cherche libération et réconfort et guérison du mal physique ou du mal moral dont le mauvais œil est la cause. « Lalla zoubida, dit Lalla Aïcha, c’est Dieu qui m’envoie pour te secourir, t’indiquer la voie de la guérison, je vous aime, toi et ton fils,…. » (page 22) Lalla Zoubida ne peut pas refuser « Ma mère promit de visiter Sidi Boughaleb et de m’emmener cet après-midi même »(page 22). Arrivées devant le catafalque « chacune lui exposait ses petites misères, frappait du plat de la main le bois du catafalque, gémissait, suppliait, vitupérait contre ses ennemis. »(page 26)

    Le voyant aveugle n’a-t-il pas recommandé à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints, les patrons de la ville ? « Les Saints de Dieu qui veillent sur cette ville t’accordent leur protection. Visite leurs sanctuaires »(page 210) Lalla Zoubida ne se le fait pas répéter deux fois surtout à un moment difficile de sa vie. Elle dresse un calendrier hebdomadaire des visites des Saints « Chaque Santon a son jour de visite particulier : le lundi pour Sidi Ahmed ben Yahïa, le mardi pour Sidi Ali Diab, le mercredi pour Sidi Ali Boughaleb… » (page 214-215)

    II- Les fêtes religieuses : la Achoura

    La Achoura est vécue comme une fête aussi bien par les grands que par les petits Et chacun la célèbre à se façon. Les enfants se font acheter des habits neufs à l’occasion et des instruments de musique. « …ma mère me passa, à même la peau, ma chemise neuve, craquante d’apprêt. Je mis mon gilet rouge aux dessins compliqués et bien en relief. Ma sacoche en bandoulière, je complétai cet ensemble très élégant par la djellaba blanche qui dormait au fond du coffre de ma mère… » (page 142). Les enfants font usage de leurs instruments de musique dans l’allégresse et la joie du tintamarre qu’ils produisent : « Je m’assis, mis mon tambour par terre sur ses bords, je réussis à coincer ma trompette entre mes genoux. Mes mains manièrent le bâtonnet avec vigueur. Je soufflai de toutes mes forces dans la trompette » (page 139). Les femmes montent sur les terrasses pour faire parler leurs bendirs et derboukas « Le soir, des bouquets de femmes richement vêtues ornaient toutes les terrasses. Des tambourins résonnaient, les chants fusaient de partout. » (page 150).

    L’aspect religieux de la Achoura se manifeste dans la mise à neuf du Msid : Il est passé à la chaux, lavé à grande eau et éclairée de mille feux. Le sol est recouvert de nattes neuves. Chacun y a apporté sa contribution en fonction des moyens de la famille, mais à la mosquée, rien n’est refusé. L’embellissement du Msid pour le jour de la Achoura cède la place pour La Achoura elle-même que les apprentis fkihs célèbrent avec leur maître « Ce matin, les objets les plus ordinaires, les êtres les plus déshérités mêlaient leurs voix aux nôtres, éprouvaient la même ferveur,s’abandonnaient à la même extase, clamaient avec la même gravité que nous,la grandeur et la miséricorde de Dieu, créateur de toutes choses vivantes ….Les parents de certains élèves psalmodiaient avec nous….il célébraient la Achoura au Msid comme au temps de leur enfance » (page 144)

    III- Les menues activités quotidiennes

    Dar Chouafa est un espace clos que doivent partager avec équité les locataires qui sont au nombre de quatre familles : au rez-de-chaussée, la Chouafa ; au premier étage, Rahma, son mari et leur fille Zineb ; au second étage, Fatma Bziouya et son mari d’un côté, de l’autre Lalla Zoubida, son mari et leur fils Sidi Mohammed. Comme il n’y a qu’une porte d’entrée principale, une seule cour, un seul puits et une seule terrasse, chaque famille doit les utiliser à tour de rôle, un jour de la semaine. Cela n’empêche pas les disputes car certaines d’entre elles veulent utiliser l’espace à leur profit un autre jour que le leur, ce qui déclenche des disputes violentes « …Rahma eut l’idée néfaste de faire sa lessive un lundi. Il était établi que ce jour-là appartenait exclusivement à ma mère. »( page 14) S’ensuit une dispute verbale des plus violentes où chaque femme donne libre cours à son registre, mais en cela Lalla Zoubida est une championne « Je sais qui tu es, une mendiante d’entre les mendiantes, une domestique d’entre les domestiques, une va-nu- pieds, crottée et pouilleuse, une lécheuse de plats qui ne mange jamais à sa faim … » (page16).

    Le lecteur ne peut ne pas remarquer le code de l’utilisation par les hommes de la porte d’entrée. L’utilisateur de la porte commune doit annoncer son passage pour donner aux femmes le temps de rentrer dans leurs chambres afin de ne pas être vues par les hommes, fussent-ils les locataires eux-mêmes comme Maâlem Abdeslam, Driss le fabricant de charrues ou Allal le mari de Fatma Bziouya. « – N’y a-t-il personne, puis-je passer ?….-Passe, Maâlem Abdeselam… » (page 246).

    La cour est propriété commune et tout un chacun peut l’utiliser surtout pendant les circonstances exceptionnelles imprévues : fêtes, mariages, circoncisions, ou simple réception d’invités le temps d’un déjeuner comme ce fut le cas du repas offert aux aveugles « Le jeudi suivant, Rahma pour remercier Dieu de lui avoir rendu sa fille, organisa un repas pour les pauvres. Toutes les femmes de la maison lui prêtèrent leur concours. Lalla Kanza, la Chouafa, aidée de Fatouma la plus dévouée et la plus fidèle de ses disciples, lavèrent le rez-de-chaussée à grande eau, étendirent par terre des tapis usés » (page 50-51). Toutefois la Chouafa, elle, l’utilise de manière régulière « …elle s’offrait, une fois par mois, une séance de musique et de danses nègres » (page 4)

    IV- La femme au foyer

    Le rôle de la femme est de s’occuper de l’intérieur de chez-elle, souvent composé d’une seule chambre ou deux d’une maison commune comme Dar Chouafa ou celle où habitent Lalla Aïcha ou encore Sidi El Arrafi. Les femmes passent le plus long de leur temps à cuisiner ou à attendre leurs maris absents pendant la journée de la maison et se trouvant dans leurs ateliers ; à papoter sur les terrasses des choses qui relèvent de l’univers des femmes ; à faire la lessive ou le ménage. Les rares fois où il leur arrive de quitter leurs chambres c’est pour aller à la kissariat, au bain ou pour rendre visite à une amie comme cela arrive à Lalla Zoubida. Mais elles sont souvent accompagnées par leurs maris ou de l’un de leurs enfants.

    Le mari absent pour un certain temps, toute la vie de la famille se trouve affectée et bouleversée par ce vide laissé comme si tout a été réglé d’avance, par un commun accord , sur un acte notarié pour que tout gravite autour de l’homme. Pourtant, les femmes jouissaient de leur liberté, et le lecteur n’a aucunement le sentiment qu’elles manquaient de quelque droit : le droit d’abord de dire et le droit de faire ensuite. Au contraire, les hommes sont souvent absents de leurs maisons laissant les femmes libres de leurs mouvements, de leurs déplacements ;Lalla Zoubida règne en maîtresse dans sa maison : il lui arrivait de tenir tête à son mari : l’achat de la lampe à pétrole, la refus de porter les bracelets d’or, les scènes de la dispute avec Rahma et l’impuissance du mari à la faire taire…

    V- Les hommes et leurs activités

    L’histoire se passe à Fès aux environs de 1920. Fès c’est aussi le berceau de l’artisanat et des petits métiers. Si le roman consacre une grande place à l’artisanat marocain, il n’accorde que peu d’espace à la présence masculine. La scène du salon de coiffure est sans aucun doute l’unique scène purement masculine et qui s’étale sur une dizaine de lignes.

    Babouchiers, tisserands, fourniers, jardiniers, moissonneurs saisonniers, coiffeurs, dellals ou courtiers, chouafas, voyants, masseuses, marieuses, conteurs, pour ne citer que ceux-là et j’en passe. Mais deux métiers méritent que l’on s’attarde un peu sur eux : celui de tisserand et de coiffeur.

    Maâlem Abdeslam est tisserand de djellabas pour hommes. Comme les djellabas ne se portent que pendant l’hiver, il a l’idée de se convertir dans la confection des haïks pour femmes : en effet, les femmes ne peuvent sortir de chez-elles sans s’être enveloppées dans leurs haïks. Maâlem Abdeslam suit donc la tendance et comme la tendance est plutôt féminine, il opte pour le vêtement de la femme, obéissant ainsi au principe de l’offre et de la demande.

    Si abderrahman est, lui, coiffeur, mais il exerce d’autres activités parallèles au métier de coiffeur. Il pratique la saignée « Si Abderrahman retira les ventouses, alla les vider derrière un rideau. Sur la nuque du client paraissaient deux boursouflures sanguinolentes » (page 136) ; et la médecine traditionnelle « Demande aux gens de ta maison de faire frire dans du beurre un oignon blanc finement haché. Mélange à cet oignon frit deux cuillérées de miel, de l’anis et des grains de sésame… » ( page131) ; il circoncit les petits garçons « Je n’aimais pas Si Abderrahman. Je savais qu’il serait chargé de me circoncire. Je redoutais ce jour » (page 129), on fait appel à ses services pendant les fêtes « Il vint, selon l’usage, accompagné de ses deux apprentis, placer les invités et faire le service pendant le repas » (page 129) ; c’est un homme à donner des conseils « …mon père eut recours à ses soins et fait grand cas de ses avis et recommandations » (page 129)

    Le salon de coiffure est un lieu de rencontre où l’on ne vient pas seulement pour se faire raser, mais également pour s’informer ou faire circuler une nouvelle. La nouvelle du moment gravite autour d’un éventuel remariage de Moulay Larbi attendu que sa femme est stérile « Ce qui m’étonne, c’est qu’il n’a point d’enfants. Peut-être a-t-il une femme trop âgée ? »( page 132)

    VI- L’auteur témoin de son temps

    L’auteur, a-t-on toujours dit, est le témoin de son époque. Les faits qu’il relate sont de nature à nous renseigner sur son temps. Ils ont donc une valeur documentaire. Un exemple frappant ne peut passer inaperçu pour l’œil attentif du lecteur : Il s’agit de la lampe à pétrole, de son introduction dans les foyers à une époque où les gens s’éclaireraient à la chandelle. Cette invention fait son apparition avec l’entrée de l’occupant français : elle est perçue à l’époque comme un signe de modernité « O ! Merveille ! Au centre du mur, une lampe à pétrole était accrochée. Une flamme blanche et paisible dansait imperceptiblement dans un verre en forme de clarinette. Une glace, placée derrière, intensifiait la lumière ; nous étions, ma mère et moi, complètement éblouis »(page 42)Ce passage me rappelle un autre qui lui est similaire sur trois points : il parle d’une lampe à pétrole ; il est tiré d’une autobiographie ; il est situé presque à la même époque « …mon père considérait cette lampe comme le dernier mot de la technique, il est vrai qu’elle donnait une vive lumière, en même temps qu’une violente odeur moderne »( La Gloire de mon Père- Marcel Pagnol- Pages 68,69, Editions de Fallois).

    Les lecteurs de l’époque moderne, surtout les jeunes d’entre eux, sont sans doute insensibles à la richesse ethnographique de la Boîte à Merveilles. Traditions, mœurs, pratiques situées entre le religieux et le profane, entre l’obscur et le rationnel, entre l’archaïque et le moderne constituent le quotidien du Marocain de l’époque que raconte l’œuvre de Séfrioui. Le lecteur est redevable à cet auteur de lui avoir fait revivre cette époque , racontée dans un langage plus proche de l’arabe dialectale que du français.

    -Les numéros des pages renvoient à l’édition ’’Librairie des Ecoles- Casablanca’’

    #239511

    En réponse à : le monde est vraiment petit

    touria016
    Membre

    @manara wrote:

    bein voilà
    il ya deux jours je rencontre un ami qui etudiait avec moi a la fac d’oujda
    on s’est pas vus depuis 1986
    apres la fac ‘ 7al deniya koll wa7ed ra7 fi ji8a
    c’etait un voisin aussi
    où je l’ai revu?
    et bien sa fille etudie l’Arabe avec ma fille dans la meme association
    deniya sghira
    bessa7 8owa tbarek Alla8
    il etait maigre comme un clou
    wella tbarek Alla8 minna alwazn ta9il 😆

    al mo8im brit ngoulkom belli 8ad deniya sghira

    ya que les bons souvenirs qui restent
    pour mon cas: 8ad assadi9 kan dima kharej 3la lognayen li konna ndirou 3lo8om les travaux pratiques
    amma jran kan yeslakh8om wa ya3ti8om li prof 😆
    iw dikrayat jmila
    ça ne nous rajeunit pas 😡

    n8arkom mabrouk

    je suis très 😀 pour toi MANARA !
    l3o9ba lina [ ana wiyak ] 😀 😉

    #203240
    manara
    Membre

    bein voilà
    il ya deux jours je rencontre un ami qui etudiait avec moi a la fac d’oujda
    on s’est pas vus depuis 1986
    apres la fac ‘ 7al deniya koll wa7ed ra7 fi ji8a
    c’etait un voisin aussi
    où je l’ai revu?
    et bien sa fille etudie l’Arabe avec ma fille dans la meme association
    deniya sghira
    bessa7 8owa tbarek Alla8
    il etait maigre comme un clou
    wella tbarek Alla8 minna alwazn ta9il 😆
    al mo8im brit ngoulkom belli 8ad deniya sghira

    ya que les bons souvenirs qui restent
    pour mon cas: 8ad assadi9 kan dima kharej 3la lognayen li konna ndirou 3lo8om les travaux pratiques
    amma jran kan yeslakh8om wa ya3ti8om li prof 😆
    iw dikrayat jmila
    ça ne nous rajeunit pas 😡

    n8arkom mabrouk

    #203237

    La médiathèque de la ville d’Oujda

    La médiathèque de la ville d’Oujda est l’aboutissement d’un projet commun : pour la promotion du réseau de lecture publique marocain initié par Le Ministère de la Culture en partenariat avec le Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France au Maroc et la commune urbaine de la ville d’Oujda.
    La médiathèque est riche d’une collection bilingue (arabe/français) de 10 000 livres et d’un fonds audiovisuel de 1 000 CD, DVD et CD-rom. Elle offre également des espaces de consultation bien équipés pour permettre au plus large public de se former, de s’informer mais aussi de se détendre dans un cadre accueillant et chaleureux.

    Des bibliothèques satellites graviteront autour de la médiathèque de la ville D’Oujda à « Ain sfaae, Aklim… », aux collections plus modestes, elles proposent toutefois aux populations rurales et périurbaines concernées un service de grande qualité grâce à l’implication de leur « tête de réseau » (prêt, échange de collections, programme commun d’animations) et au soutien apporté par la direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture.
    La médiathèque proposer des collections riches et diverses pour « donner à tous libre accès aux trésors de la pensée et de l’imagination de l’Homme », c’est l’ambition qu’elle se donne en collaboration avec les autres médiathèques du réseau et les bibliothèques satellites, s’inspirant du manifeste de l’UNESCO. Elles invitent en effet les publics de tous âges, sexes et catégories socioprofessionnelles, à venir trouver dans un cadre accueillant les documents les plus variés. D’un roman policier à un site Internet spécialisé en gastronomie, d’un disque de contes pour enfant à un documentaire sur les maladies infectieuses : tous les supports sont disponibles dans les collections du réseau de lecture publique.

    Promouvoir le livre et l’information, c’est aussi en faciliter l’accès. La médiathèque est donc ouverte à tous gratuitement. Les collections sont en libre accès pour qu’un utilisateur puisse, seul ou avec l’aide d’un bibliothécaire, trouver le document qui l’intéresse et l’emprunter après s’être inscrit. L’ensemble du fonds documentaire du réseau est également recensé dans un catalogue collectif informatisé, interrogeable via l’Internet ou sur place. Les espaces de consultation de la médiathèque a été conçus pour s’adapter aux besoins et aux pratiques de chaque public (tout-petits, enfants, jeunes, adultes).
    Car, au-delà de leur vocation traditionnelle de mise à disposition et de prêt de documents, ces médiathèques et bibliothèques sont également des espaces de vie culturelle qui invitent aux plaisirs de la découverte et de la connaissance : des animations (rencontres, lectures, expositions, débats, ateliers…) y sont organisées régulièrement par les équipes en place ou les associations culturelles locales à l’attention du plus large public.

    La médiathèque de la ville d’Oujda travaille dans l’ensemble d’un réseau de 10 médiathèque réparties dans les villes suivantes : Oujda, Taza, Mekhnès, Al Jadida, Sala aljadida, Khribga, Beni mellal, Larache, Ouarzazate, Tiznit.

    Le travail en coopération mené par les médiathécaires du réseau s’illustre d’abord par la création d’un catalogue commun recensant l’ensemble des collections du réseau lecture publique. Géré par la Direction du livre, des bibliothèques et des archives du ministère de la Culture, ce catalogue est consultable via Internet et permet aux utilisateurs d’interroger aussi bien le fonds de la médiathèque de leur province que celui des autres médiathèques du réseau.
    Son élaboration a nécessité en amont l’adoption de procédures communes (plan de classement, manuel de catalogage notamment), diffusées par l’association des médiathécaires du réseau de lecture publique créée en 2006.

    La médiathèque de la ville d’Oujda : Mohamed Ben Amarra

    Les partenaires pour la création la médiathèque :

    • Ministère de la Culture
    • La commune urbaine de la ville d’Oujda
    • L’ambassade de France

    Caractéristiques de la médiathèque :

    o La surface : 320 m2
    o Les espaces : la médiathèque contient trois espaces de lecture ; espace adulte, jeunesse et enfance. Il y’aura une salle de traitement du fond et un bureau du responsable ainsi que des toilettes.

    Fonds documentaire :

    • La dotation totale du fonds documentaire imprimé est de 10 000 titres.
    • Le fonds documentaire audiovisuel atteindra 1000 titres
    • La répartition du fonds est la suivante :
    o 1/3 de livres pour les enfants, 1/3 pour la jeunesse, 1/3 pour les adultes.
    o 50% de livres en arabe et 50% en français.

    Budget alloué à la création de la médiathèque (en dhs) :

    Collections imprimées : 946 374
    Fonds audiovisuel : 46 066
    Mobilier de bibliothèque : 765 824
    Equipement informatique : 177 275
    Equipement audiovisuel : 50 736
    Total : 275 986 1

    Toutes les fonctions de la médiathèque sont informatisées :
    o la gestion du fonds documentaire
    o Les transactions prêt/retour
    o La gestion des utilisateurs
    o Les statistiques.

    Fonctions de la médiathèque :
    o Accueil et orientation du public
    o Accès aux fonds documentaires imprimés et audiovisuels
    o Recherche dans le catalogue collectif
    o Prêt des documents
    o Accès à l’Internet
    o Animation autour du livre et de la lecture.

    note : pour plus d’information sur le le réseau de lecture publique marocain Veuillez consulter :

    http://www.minculture.gov.ma/fr/FSLP.htm

    http://www.ambafrance-ma.org/cooperation/index_coop_culture.cfm?view=coop_culture_ll&viewAll=TRUE&part=3

    http://rlp.artblog.fr/

    #239437

    En réponse à : Le grand ménage arrive ;)

    Alaa-eddine
    Participant

    l’admin s’absente deux semaines et voilà ce qui se passe ! 😆

    bonne idée fadi … il y a des sujets qu’il faut sinder aussi .

    désolé pour mon absence je profite de mon temps libre pour la nouvelle version d’oujdacity que j’espère pouvoir mettre en ligne debut 2008.

    #212543

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    BOUAYED
    Membre

    @Taourirt-Rouen wrote:

    Bonjour à tous

    Merci pour ce forum. Jamais je n’aurais pensé qu’un jour on puisse evoquer la tribu des Ouled Sidi Ali Bouchnafaa sur le net !!!!

    Ma famille est issue de Ouled Said Belhaj !

    Mon père (Allah y rahmou) était un Mansouri !

    Je profite de ce forum pour présenter à la famille Bouayad de Oujda mes plus sinceres condoléances suite à la disparition de leur bien aimée Mère; ma chère tante, qui est décédée ce week end !

    Ina Li Allah Waina Ilyahi raji3oune

    Merci d’avoir présenté vos condoléances, elles sont naturellement les bien venues et elles vont droit au coeur.
    Je sais que j’ai de la famille à Rouen et il serait préférable de me donner plus de détails par messages privés afin de savoir à qui j’ai affaire.

    Je veux aussi profiter de l’occasion pour remercier toutes les personnes qui nous ont rendu visite d’Oujda, de Taourirt, de Jerada, de Ain Beni Mathar, de Mrija, de Hassiane Diab, de Bouarfa, de Nador, de Machraa Belksiri, de Casablanca…
    Merci aussi pour les personnes qui nous ont téléphonné du Maroc, de l’Algérie, de l’Espagne, de la France, de la Hollande et des Etats Unis.

    A tous, je dis Merci pour votre aimable compassion à la suite du décès de ma défunte Mère avec la gratitude de toute la Famille.

    Inna Lillah wa Inna Ilyhi Rajioune.
    إنا لله و إنا إليه راجعون

    Bien à Vous.

    #212542

    En réponse à : tribu ouled sidi Ali

    Bonjour à tous

    Merci pour ce forum. Jamais je n’aurais pensé qu’un jour on puisse evoquer la tribu des Ouled Sidi Ali Bouchnafaa sur le net !!!!

    Ma famille est issue de Ouled Said Belhaj !

    Mon père (Allah y rahmou) était un Mansouri !

    Je profite de ce forum pour présenter à la famille Bouayad de Oujda mes plus sinceres condoléances suite à la disparition de leur bien aimée Mère; ma chère tante, qui est décédée ce week end !

    Ina Li Allah Waina Ilyahi raji3oune

    #203205
    fadi
    Membre

    C’est la grande nouveauté concoctée, samedi dernier, par le Wali Mohamed Brahimi qui a annoncé, en ligne de mire d’un bilan-programme remarquable de développement global et intégré de la préfecture d’Oujda-Angad, le lancement imminent du projet «Oujda City-Center» qui sera édifié, avec ses tours jumelles, à proximité de la gare ferroviaire de la ville. Ce centre comprendra un espace d’affaires, des pavillons commerciaux, des entités professionnelles ainsi qu’un complexe résidentiel de haute gamme. En outre, le Wali a, également, annoncé le lancement du projet d’un grand pôle dédié aux nouvelles technologies, TECHNOPOLIS Oujda, qui s’étale, dans une première phase, sur 150 hectares autour du nouveau complexe aéroportuaire de la ville avant de s’étendre, ensuite, sur une superficie totale de 450 hectares. Tout comme Brahimi a indiqué que le projet SQLI permettra le recrutement de 500 ingénieurs spécialisés dans les technologies modernes de la communication et du commerce électronique.

    La Gazette Du Maroc.

    #215796

    En réponse à : Presentez vous

    touria016
    Membre

    @OUJDA67 wrote:

    salam

    nouveau dans le forum étudiant en comptabilité , je tiens a saluer les créauteurs du site qui permet une veritable connexion avec oujda malgrés les km 🙁 qui nous separent de cette ville magique 😀

    سلم عليكم

    Ici, tu es chez toi au mar7babik fi darek !
    PS : profite en bien que l’inspecteur Fadi est parti pour faire ce que tu veux 😆 car quand il reviendra 😥 mohim je te laisse découvrir par toi-même

    😆 😆 😆

    #210297

    En réponse à : bonne initiative a oujda !!

    trabando-48
    Membre

    @dawy wrote:

    Cher XAVIER,
    Puisque tu as reussi ton examen de passage à Oujdacity avec mention,permets moi de te souhaiter la bienvenue parmi les tiens.
    D’apres ce que j’ai compris,tu tiens absolument à avoir un job dans le domaine de l’appel et tu as bien raison.
    Pourquoi ne pas songer à celui de mouaddine.
    Une profession interessante à plus d’un titre .D’une pierre deux coups, tu sers le temporel et l’intemporel.
    Un metier qui ne manque pas d’interet.
    Meme s’il n’a pas un salaire fixe tres allechant,avec tous les avantages en nature qu’il a (laghdawates ou la3chawates à gogo surtout quand il y a beaucoup de partants),un mouaddine gagne au moins le double ou le triple qu’un employé d’un call center.
    Et cerise sur le gateau tu ne dois rien declarer au fisc.
    Seules conditions requises sont:
    -Ne pas etre allergique à l’islam
    -Connaitre al adan.
    -Avoir au moins 3 octaves(en cas de panne du micro)
    -Un reveil fiable.
    -Un estomac turbo.(en option)

    Ce n’est qu’une suggestion……… à creuser n’est-ce pas?
    J’aimerai bien connaitre ton avis

    cher Dawi ,
    le fait d’ entendre que les Fqih des mosquée ou les Mouaadines touche le triple salaire d’un simple employé laisse à revoir .
    un fqih ou un mouaddine , a de nos jours obligation d’ouvrire un compte bancaire , à fin de recevoir son virement mensuel permanent , qui ne dépasse pas les 600 dh , soit un salaire annuel de 7200 dh ( salaire mensuel de certains employés) , à savoir que nos cher banquiers se réjuissent de placer quelques produits dans les comptes de nos cher fqihs, donc une déduction aditionelle d’au moins 400 dhs par an ,ce qui nous laisse un salaire annuel de moins de 6800 dhs.

    une comparaison de salaires qui laissera xavilove choisir entre :
    مغفرة القلوب او امتلاء الجيوب

    #210289

    En réponse à : bonne initiative a oujda !!

    dawy
    Membre

    @xavilove wrote:

    No déjà dawazt entretien f résidence EL BADAWI hadi presque un ans mai matfahemtch m3ahoum f salaire, le recuteur gali 1600 dh et contrat ANAËC mais mabritch. Pasque déjà leur produit est très difficile c l’Opérateur BOUYGUE TELECOM. Méme si j’ai l’expérience dans 3 Call Centre a Casablanca et tu as tel objectif à chaque jour et Call Centre = le stress :
    • Emettre les appelles téléphoniques à des clients dans le but de réalise une vente,
    • Réalise des rendez-vous confirmé avec les clients.
    • Reçois les appelles téléphonique des clients dans le but de répondre a leur problèmes techniques, ou donnée des informations.

    Cher XAVIER,
    Puisque tu as reussi ton examen de passage à Oujdacity avec mention,permets moi de te souhaiter la bienvenue parmi les tiens.
    D’apres ce que j’ai compris,tu tiens absolument à avoir un job dans le domaine de l’appel et tu as bien raison.
    Pourquoi ne pas songer à celui de mouaddine.
    Une profession interessante à plus d’un titre .D’une pierre deux coups, tu sers le temporel et l’intemporel.
    Un metier qui ne manque pas d’interet.
    Meme s’il n’a pas un salaire fixe tres allechant,avec tous les avantages en nature qu’il a (laghdawates ou la3chawates à gogo surtout quand il y a beaucoup de partants),un mouaddine gagne au moins le double ou le triple qu’un employé d’un call center.
    Et cerise sur le gateau tu ne dois rien declarer au fisc.
    Seules conditions requises sont:
    -Ne pas etre allergique à l’islam
    -Connaitre al adan.
    -Avoir au moins 3 octaves(en cas de panne du micro)
    -Un reveil fiable.
    -Un estomac turbo.(en option)

    Ce n’est qu’une suggestion……… à creuser n’est-ce pas?
    J’aimerai bien connaitre ton avis

    #235519
    OUJDI_PUR
    Membre

    @من بلاد الشيخات wrote:

    ah les gars, laissez parler !! ignorez-les !
    j’ai eu l’occasion de roncontrer des casawi, au début, ils te regardent avec un sourir moqueur rien qu’en sachant que tu viens d’oujda, mais avec le temps ils seront obliger de garder leurs limites.

    je confirme : quand ils sont gentils cé lorsq’ils voient leur interet (pas forcément matériel).

    le seul moyen efficace c’est de les ignorer.

    cela n’est pas une généralité, c’est une réalité.

    Il existe aussi, malheureusement, à oujda une mauvaise mentalité tribale, keske ça veut dire: être un pur oujdi ? un vrai oujdi ? un 100% oujdi ? (comme il a dit sélim sur sa femme) cé quoi lawjada la7rar ?
    y-a t il un oujdi à 80%? un oujdi inpur ? un faux oujdi ?
    quels sont les critères de la vraie « l’oujdité » d’un individu ? ses deux parents ? ses deux grands parents ? être de ahl angad ? être de beni znassen ? bni guil ? mhaya ? qui est le vrai oujdi parmi tous ces gens ?

    je n’ai pas envi de ré-orienter le débat vers une discussion conflictuelle inter-oujdi, mais je veux mettre le point sur le fait que cette fierté exagérée et cette revendication tribales renvoient immédiatement et indirectement au rejet des autres, les wjada reprochent aux autres ce qu’ils font chez eux depuis toujours : « rejet » des sa7rawa et swassa etc etc …

    à l’orient marocain, t’as vocation à préciser de quelle tribu tu es !! t’es d’oujda ? OK, et t’es d’où ? znassni ? ngadi ? t’es de tawrirt ? OK, mais t’es d’où ? de ouled ja3 ? etc etc

    cette attitude a renvoyé aux autres (ghraba etc etc) une image d’un oujdi proche du « racisme ».

    WACH SAHBI RAK TAHDARE 3LIYYA

    nb: relis l’histoire d’oujda

    Les anciennes familles de la ville :

    Dans la période pré-coloniale, la population d’Oujda était formée de groupes d’origines variés. En 1907 déjà, la diversité de ses origines était très grandes. On distinguait d’après Voinot : Les Oulad Amran , les Achegfane, les Ahel Oujda, les Oulad el Gadi, les Ahel Djamel, Les Oulad Aîssa.

    Ces six groupes avaient donné leur nom aux six quartiers d’Oujda. Chacun d’eux aurait été lui-même constitué par les éléments de provenances diverses.

    Les Oulad Amran se subdivisent en :

    Chekarna : sont chorfa (celui qui descend du prophète par Fatima) et seraient par les uns du ksar Oudaghir de Figuig, d’après les autres de Nédroma (Algérie).
    Oulad Moulay et Abbes : également chorfa auraient abandonné la région de Tlemcen au XVIe sciècle pour fuir la domination turque.
    Chouazi ou Oulad Ghazi : seraient originaires soit Tafilalet, soit des Beni-Snassen.
    Tlemçaniines seraient arrivés à Oujda vers la même époque que Moulay Abbès.
    Les Achegfane : Auraient de origines extrêmement variées allant des Beni-Snassen au Tafilalet en passant par Tlemcen et Figuig.

    Les Ahel Oujda : sont formés par deux groupes peu nombreux :

    El Bequia : qui signifie « le reste » est composé des Oulad Menni, Oulad Mohamed ben Larbi et Oulad el Moul ; il serait le dernier vestige de l’antiquité population pré-islamique qui aurait occupé la ville au temps du Sultan l gendaire El Ablak el Fortas.
    El Kouarda : comprends principalment des gens originaires de Kouarda, et peut etre aussi quelque Beni-Snous et Beni-Bousaiid.(Algerie).

    Les Ouladd el Gadi : sont très mélangés ; cette fraction est constituée par les Arabes et les Berbères venus d’un peu partout. On y trouve, entre autres, des Beni-Snassen, des Cherada, des Beni Bou Said ainsi que des gens de Zouî et Aira près de Nemours.

    Les Ahel el Djamel : ont des origines diverses tout comme les précedents ; les Ouled Bou Kais viendraient du Ksar du meme nom (Sud Oranais) ; les Ouled El Khaled des Beni-Snassen, les Ouled Chamma de Tlemcen, les Ouled Filali du Tafilalet.

    Les Oulad Aissa : se divisent en Oulad El Mir et Oulad Aissa. Les premiers sont originaires des Beni Mimoun, chez les Beni-Mengouche, Beni-Snassen , les seconds des Oulad Aissa de l’ouest. Quelques familles provenant des Oulad El Arabi du sud de l’Atlas et des Beni-Yala se sont intégrées aux Oulad Aissa.

    La population s’est diversifié sous le protectorat français en 1907 du fait de l’afflux constant d’individus venus de tous le Maroc oriental, d’Algérie mais aussi de Maroc occidental, de Fez, Casablanca, Marrakech et même de Sous.

    moi je suis fier d’etre oujdi mais ca ne veut pas dire que je suis raciste

    actuelement je vis a rabat et alhamdoullah je n’ai pas ce genre de probelems
    mais rake 3aref dar lkhedma khedma dar ! au cafe rayyahe solo
    welli yaddakkare yar3afe sahbi

    en ce qui concerne casawa wach ngoullek des vrais profiteurs assalam yarabbi
    assane yadhake lessane **** welgalb fihe lakhdi3a
    CA VA

    #203146

    Sujet: A vos blogs !!!

    dans le forum Le site Oujdacity
    Alaa-eddine
    Participant

    [html]

    Maroc Blog

    [/html]
    Salam chers oujdinautes 🙂
    j’ai eu un week end de 4 jours mais je ne me suis pas reposé pour autant :p
    en fait j’en ai profité pour finaliser le nouveau service que je comptais lancer avec la nouvelle version d’OujdaCity mais finalement j’ai décidé de le lancer (ou presque) bien avant .

    il s’agit d’un service de création de blogs gratuits.
    si vous n’avez pas le courrage de lire le discours ci-dessous je vous laisse découvrir le service tout de suite à l’adresse suivante : http://www.maroc-blog.net/
    😆

    pour ceux qui sont encore avec moi le principe est simple, c’est exactement la meme chose ou presque des fameux skyblogs, avec une touche un peu plus pro (je dis bien un peu plus :p ), et la possibilité de choisir parmis plusieurs habillages possibles.
    pour le moment j’ai mis en ligne seulement deux habillages, d’autres arriveront très bientot, à terme il y aura une disaine , et vous pouvez changer celui de votre blog à tout moment.

    Le service n’est pas officiellement lancé, aucune compagne de pub ni rien ne sera lancée pour le moment, mais vous pouvez si vous le souhaitez vous inscrire des à présent pour réserver votre nom de blog 🙂 .
    pour info, les blogs créés auront comme adresse nomdublog.maroc-blog.net.

    Les blogs enregistrés maintenant seront opérationnels tout de suite, pas besoin d’attendre le lancement officiel pour commancer à publier vos articles .

    parmis les fonctionnalités uniques proposées par maroc-blog la possibilité d’activer une option qui permet à vos visiteur de vous soumettre leur articles (un peu comme le journal OujdaCity) .

    Petit conseil, si vous faites partie d’une asso ou d’un groupe qui souhaite avoir un blog/site à son nom mais que vous n’etes pas encore pret à publier du contenu, enregistrer vous quand même car si votre nom est pris avant vous par quelqu’un d’autre je ne pourrai pas y faire grand chose 😉

    Les blogs les plus actifs, et les articles les plus populaires et les contenus de qualité se verrons réservé une zone dédié dans le nouveau portail OujdaCity (qui vas finir par arriver un jours :lol:), et donc d’une publicité gratuite ;).

    Une dernière chose, je n’ai pas eu le temps de tout tester pour le moment, si vous créer un blog et que vous rencontrez des difficultés vous pouvez poster vos questions ici, j’y répondrai des que possible .

    encore une fois, vos remarques / suggestions sont les bienvenues .

    #208053
    roubecraicom
    Membre

    merci bien pour ce forum.
    je veux savoir si ont peux construir un site emsemble, un site pour oujda et la region orientale, un site qui respecte les calités professionneles.
    bekkalmed@hotmail.com
    reponse SVP

15 réponses de 301 à 315 (sur un total de 533)
SHARE

Résultats de la recherche sur 'Prof oujda'