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Les conditions de validité de la prière
Les conditions de validité de la prière sont :
Sans ces conditions de validités la prière n’est pas valable.
Il a était rapporté dans le hadith qu’un vieille homme faisait la prière et le prophète lui a dit ce qui signifie “refait la prière tu n’as pas fait la prière” et ce à trois reprises car la prière de cet homme n’était pas valable et le prophète ne se taisait jamais face au haram.
La prière est un acte d’adoration éminent on ne peut pas faire de l’à peu prés Allah ta^ala nous a ordonner de faire la prière conformément à Sa chari^a honorée.
Parmis les conditions de validité il y a :
– L’Islam
En effet pour que la prière de la personne soit valable il faut qu’elle soit musulmane, si non elle n’est pas valable.
– Savoir que le temps de cette prière a commencé
En effet il faut avoir la certitude que le temps de la prière est entré pour faire la prière la simple présomption n’est pas suffisante.
– Faire face à la qiblah
En effet pour que la prière soit valable il faut que notre poitrine soit dirigée vers la ka^aba honorée, en France la qibla est au SUD/SUD-EST car la France se trouve au NORD/NORD-EST par rapport à la ka^aba. Si une personne ne s’est pas dirigé vers la qibla sa prière ne sera pas valable, comment le serait_elle si elle se dirige vers Moscou par exemple ?
– La distinction
En effet pour que la prière d’un enfant soit valable il faut qu’il ait atteint l’age de la distinction. Il a atteint cet age quand il comprend la parole et sait formuler la réponse on lui demande par exemple combien il y a de mois de ramadan dans l’année ou combien il y a de jour de vendredi dans la semaine s’il comprend la parole et sait formuler la réponse il a atteint l’age de la distinction.
– Ne pas croire que l’un de ses piliers est simplement recommandé
Nous avions déjà vu les 17 piliers de la prière dans un cours précédent si une personne considère qu’un de ces 17 piliers (comme réciter a fatiha ou se prosterner par deux fois) serait soit disant recommandé sa prière n’est pas valable.
– La connaissance du caractère obligatoire de cette prière
Que la personne sache que la prière est obligatoire le cas échéant, mais si elle fait une prière sunna c’est une sunna.
– Couvrir la zone de pudeur
Pour l’homme : la zone de pudeur est du nombril aux genoux.
Pour la femme : la zone de pudeur est tout le corps sauf le visage et les mains avec quelque chose qui cache la couleur de la peau. Donc si on voit chez une femme autre que le visage et les mains sa prière n’est pas valable, ainsi si on voit son coup, où ses avants bras ce n’est pas valable.
– La purification des hadath ainsi que des najaçah non tolérables sur le corps, l’endroit de la prière, les vêtements et ce qui est porté sur soi.
En effet pour que la prière soit valable il faut être sur la petite ablution et sur la grande et ne pas avoir de substances impures selon la loi de l’islam sur le corps, l’endroit de la prière les vêtements ou ce que l’on porte sur soit comme une personne qui aurait de l’urine sur le pantalon avec lequel elle fait la prière ou comme une personne qui a dans la poche de sa veste avec laquelle elle fait a prière une bouteille d’alcool,dans ces cas leurs prières ne sont pas valables.
Il est donc indispensable d’observer ces conditions pour que la prière soit valable.
Des milliers de Palestiniens croupissent dans des prisons israéliennes. Et leurs familles ne connaissent pas toujours les raisons de leur emprisonnement, ni s’ils ont été inculpés ou condamnés, ni quand ils seront relâchés – pour autant que cela soit prévu.
10 400 Palestiniens dans les prisons israéliennes, dont 90 femmes et 328 jeunes de moins de 18 ansOn pourrait penser que le bébé Yousef a la vie devant lui. Mais cela ne va pas de soi quand on naît de parents Palestiniens à Gaza. Sans compter que Yousef est né dans une prison israélienne.
C’est justement pour cette raison qu’il est le seul des neuf enfants de Fatima al-Zeq à être auprès d’elle, puisqu’elle a été arrêtée, il y a neuf mois. Mais ces jours-ci, le bébé n’est pas avec elle. Il a développé des douleurs abdominales et a commencé à vomir, et il a dû être transféré dans un hôpital à l’intérieur de la prison de Hasharon en Israël.
Fatima a écrit à des organisations de défense des droits humains à Gaza demandant leur aide pour veiller à ce que l’enfant soit soigné, puisqu’elle ne peut le faire elle-même.
Ses autres enfants ne savent pas pourquoi leur mère est en prison : les Israéliens ne le leur ont pas dit, et ils ne l’ont pas non plus révélé aux autorités palestiniennes. Ils ont également refusé de répondre à l’agence de presse IPS (Inter Press Service). Lorsqu’ils disent quelque chose, les Israéliens se contentent d’affirmer que les arrestations sont effectuées « pour des raisons de sécurité ».
D’après une source palestinienne, elle a été arrêtée parce que les autorités israéliennes suspectaient qu’elle allait perpétrer un attentat en Israël. On n’a pas trouvé d’explosifs sur elle. Une autre source suggère qu’elle a été arrêtée parce qu’elle appartient à la famille d’un dirigeant du Jihad Islamique.
Fatima s’était rendue à un hôpital israélien pour un traitement et, d’après les membres de sa famille, elle avait un permis pour ce déplacement. Mais lorsqu’elle arriva au poste de contrôle, ils l’ont arrêtée et jetée en prison. Elle rejoint ainsi les milliers de Palestiniens qui croupissent dans des prisons israéliennes. Et leurs familles ne connaissent pas toujours les raisons de leur emprisonnement, ni s’ils ont été inculpés ou condamnés, ni quand ils seront relâchés – pour autant que cela soit prévu.
Jumana Abu Jazar, âgée de sept ans, est connaît tout cela. Tout en accrochant la ficelle d’un tableau à un clou rouillé, elle explique : « Ma mère est morte, et je n’ai pas de frères ou soeurs. Mon père est en prison en Israël. Il y séjourne dans une cellule sombre. Je l’ai vu une fois. »
Jumana habite avec sa grand-mère Umm Ala’a dans le camp de réfugiés de Rafah au sud de la Bande de Gaza. Umm Ala’a raconte que le père de Jumana « a été arrêté par les forces d’occupation israéliennes en 2001, lorsqu’il franchissait la frontière de Rafah. Il accompagnait son père, qui avait reçu un traitement médical à l’étranger. Un juge israélien l’a condamné à 18 ans de prison ».
Là, encore une fois, la famille dit n’avoir aucune idée quel crime il a bien pu commettre. Mais une chose est claire : lui, comme beaucoup d’autres qui ont été arrêtés, ne sont pas ceux que l’on punit pour avoir tiré des roquettes sur Israël. D’ailleurs, la plupart de ces prisonniers n’ont pas commis ce qu’Israël considère comme des « attentats terroristes ». Ils sont coupables d’être des membres de partis politiques – c’est en tout cas ce que pensent leurs familles.
Et Umm Ala’a ajoute : « Son crime, c’était d’être palestinien. C’est un impôt sur la vie que nous payons tous ».
Beaucoup de Palestiniens sont condamnés pour des motifs qui ne sont jamais révélés, mais beaucoup d’autres se trouvent dans des prisons israéliennes, sans jamais avoir été inculpés. Ahmad Abu Haniyah, le coordinateur pour les jeunes du Centre d’Information Alternative [qui publie le magazine News from Within] – un projet mis sur pied conjointement par des journalistes israéliens et palestiniens il y a vingt ans – a été arrêté par les Israéliens en mai 2005. Il a été relâché en mai 2007. Les Israéliens ne lui ont jamais révélé pourquoi ils l’avaient arrêté en premier lieu. Il n’a jamais été inculpé ni jugé ; les Israéliens appellent cela la détention administrative.
Actuellement, chaque famille palestinienne connaît un membre de son entourage qui a été arrêté de cette manière.
Occasionnellement Israël relâche des lots de prisonniers en guise de « geste de bonne volonté ». Ce type de geste est très appréciés à niveau international, mais en général il s’agit de personnes qui arrivent de toutes manières au terme de leur peine. Le geste bénéficie à peu de Palestiniens, et en trompe encore moins.
Atia Abu Mussa a maintenant été détenu dans la prison au milieu du désert de Nafha durant 14 ans ; il a été arrêté lorsqu’il avait 21 ans. Tous les lundis, des amis et membres de la famille d’Atia se réunissent avec d’autres personnes devant la porte du bureau de la Croix Rouge à Gaza et tiennent une veillée pour leurs proches.
Ramdan al-Baba, posté devant le bureau de la Croix-Rouge explique : « Mon fils a fait une grève de la faim pendant une semaine. Il travaillait comme garde au quartier du président Yasser Arafat à Ramallah en 2003. Son crime était le fait d’occuper ce poste. » Il a ajouté que les conditions dans la prison israélienne étaient très dures : « Je ne peux même pas lui envoyer une lettre. »
Les Palestiniens ne peuvent même pas invoquer l’ habeas corpus (expression juridique qui signifie littéralement « montrez le corps »), qui relève des principes des Conventions de Genève selon laquelle un Etat doit produire des informations sur où se trouve la personne – ou le corps – sous sa juridiction. Israël s’oppose à ce droit sous prétexte que cela n’est pas nécessaire pour les personnes sous « détention administrative ». Actuellement, selon les chiffres officiels palestiniens, 863 Palestiniens en « détention administrative » ont été en prison pour plus de 15 ans.
Selon le Ministère palestinien des détenus et des ex-détenus, un total de 10 400 prisonniers palestiniens se trouvent dans les prisons israéliennes, dont 90 femmes et 328 jeunes de moins de 18 ans. Quarante-six des prisonniers, affiliés au Hamas pour la plupart, sont des membres du Parlement.
Les associations de défense des droits humains israéliennes affirment que les forces de sécurité du Shin Bet [services de sécurité] torturent régulièrement les Palestiniens dans les prisons israéliennes. Deux associations de défense des droits humains, B’Tselem et HaMoked, ont suivi 73 prisonniers entre juillet 2005 et juillet 2006. Ils ont rapporté que Shin Bet utilise régulièrement « les coups, les entraves (ligotages) douloureuses, le maintien du dos plié, les étirements des membres et de la privation prolongée de sommeil » pour torturer les prisonniers palestiniens. (source : http://www.france-palestine.org/article8698.html)
Sujet: IL ETAIT UNE FOIS ELLE…
Cette histoire est vraie elle a était écrite lors d’un voyage à la compagne…
L’encre coule et les larmes se répandent. Sur ces joues qu’elles ne manquèrent pas jadis de fendre ; à chaque fois que son souvenir me traverse la mémoire … pour vous mes amis je veux bien raconter l’histoire.
Les souvenirs se bousculent même après tant de recul …je me rappelle, il y a de cela beaucoup d’année … dans un coin de ma mémoire que je ne puis oublier … il y a des choses comme ça indélébiles qui vous mutilent ! Difficile d’oublier ces scènes qui à chaque fois que je suis dans le noir se faufilent … l’histoire de cette créature de Dieu qui fût tentée par un reptile. Souffrir en silence, ELLE se disait » ainsi soit il ! «
ELLE !
ELLE était née à la campagne au sein d’une famille d’illettrés, loin de la ville et du luxe sur lequel ELLE a déjà tiré un trait… Depuis sa + tendre enfance ELLE a été obligée de travailler, sa famille était nombreuse donc difficile pour ELLE d’étudier ! ELLE grandit au milieu de rien , entourée de bédouins, cultivateurs de terre chevronnés, qui attendent de leur enfants + qu’ils ne sont prêts à leur donner … environnement rude ou sagesse rime avec solitude… grandir au sein de cette foule , il devient difficile de ne pas sortir du même moule ! Une vie sans aucun sens et une existence inutile ; parsemée de légendes et de mythes débiles ! Vivant dans la confusion, incapables de discerner entre traditions paysannes et Islam : rien qu’à la manière dont ils traitent les femmes !
Malgré l’inconscience de ses parents qui la maltraitaient 365 jours par an, ELLE continua d’aller en secret à l’école, alors que pour ses frères c’était plutôt la tentation de la rue qui tenait le monopole ! Du bol ? Je vous pris de croire que sa vie n’était pas drôle, à devoir jouer dès son enfance autant de rôles !
La voilà qui grandit, et avec les année ELLE embellit … ainsi et peu de temps après, ELLE accepta de se marier. C’était le 1er venu, l’occasion pour ELLE pour s’éloigner de tout son vécu ! ELLE plongea ainsi dans la cage du mariage, le bonheur tant rêvé n’est plus alors qu’un mirage … à 1 si bas âge !! Seuls ces campagnards vous dirons que le mariage était la voie la + sage ! ELLE fût rapidement enceinte et eût une fille suivie d’un garçon … par manque d’argent, ELLE perdit le second ! Tel un dicton fatal, incontournable, le destin se déchaîne : ELLE accoucha du troisième !
Son mari en était encore à ses études, et il faut dire que la vie pour lui aussi devenait rude ! Il ne tenait pas ses responsabilités et était loin d’être un mari attentionné … mais au fond d’ELLE, cet homme ELLE l’aimait ! Ils n’avaient pas beaucoup d’argent et il était souvent absent. Trop souvent. Pour nourrir ses enfants, ELLE leur apprenait à être indulgents ! ELLE travaillait et s’occupait de la maison en même temps : ELLE frottait , ELLE lavait , ELLE préparait le dîner ; pour que quand il rentrera fatigué, il puisse trouver quoi manger… ses fils qui ne comprenaient pas la regardaient … et se souviennent désormais de l’avoir toujours vu épuisée et crevée !! Pour sa famille ELLE espérait le bonheur ; et ELLE y mettait tout son coeur … et cette main toujours sur le front aux appels de la sueur !!
ELLE !
Je me souviens 1 soir, ELLE attendait son mari, des heures entières à la fenêtre en vain ainsi … cette situation demeura quelques années; malgré que leur 2ème fille soit née, un jour il allait se décider à la quitter ! Dans leurs conversations le mot » divorce » fût prononcé … et maintes fois répété, mais… ELLE l’aimait ! Si douce et si patiente, pour ses enfants ELLE est arrivée à trouver un terrain d’entente ! ELLE était digne ; fière, responsable comme une mère ; ignorant la solitude qui depuis 4 ans la serre : son mari en voyage d’études se chargeant d’autres affaires, au delà des frontières … jouant son rôle de mère et celui de leur père, ELLE s’occupa seule des enfants … son rêve était de les voir grands.
Le jour, ELLE gardait la tête haute, impassible ELLE restait ! … la nuit, dans sa chambre, ELLE se cachait pour pleurer ! ELLE bossait le jour et faisait des heures sup. le soir, pendant que ses fils affrontaient les trottoirs, faisaient chaque jour face aux moqueries des gosse du quartier auxquelles ils finirent par croire … s’installe alors en eux le désespoir.
Mais pour leur éviter les dérangements, ELLE bossait et s’occupait de la maison en même temps ! Les heures sup. servaient à payer les dettes et acheter des vêtements décents à ses enfants … ELLE les éduqua dans le droit chemin : rester calme, digne et saint, respecter son prochain ! Vu que leur père n’avait pas réalisé que ses fils avaient besoin de LUI + qu’un diplôme de médecin ; ELLE leur apprenait que la FAIM ne justifiait pas les moyens ! Les leçons de morale étaient leur pain quotidien.
Mais chaque matin, ils se réveillaient sur une musique triste : les gouttes d’eau dans l’évier provenant du robinet à qui manque une vice … que de lassitude et que de sacrifices !!ELLE !
J’ai vu … tant de larmes dans ses yeux marrons résolus ; à accepter la fatalité qui l’écrasait sous le poids de son importance, ELLE disait seulement ne pas avoir eu de chance … mais ELLE savait au fond d’ELLE même que la malchance est une très mauvaise excuse – les jeunes d’aujourd’hui en usent pour justifier les doses qu’ils se transfusent- La ruse ? ELLE lui traverse l’esprit mais sa conscience la refuse ! Voilà pourquoi le vie amère qu’ELLE vivait, comparée à sa bonté, n’était pas méritée pour vous dire la vérité !
Mais maintenant ELLE est heureuse, même si le fossé entre son mari et ses fils se creuse, ces derniers s’en sont sortis sans trop de soucis ! ELLE croit enfin avoir du répit … mais un jour en décrochant le téléphone ELLE découvre que son mari la trompe !! Le choc est trop dur, ELLE tombe …malade, hospitalisée, les sentiments qu’ELLE avait pour lui se rompent … ses fils apprennent la nouvelle et à la haine ils succombent, le mal en eux refait ses rondes ! Leur père, ils espèrent bien ne pas le croiser, au risque qu’ils ne puissent se maîtriser … l’affaire se corse : ELLE refusa le divorce, même vidée de toutes ses forces… se sacrifiant pour sa petite fille l’innocente, ELLE enterra l’affaire même si à ce jour ELLE la hante ! HONTE ! Pour un adulte soit disant civiliser ! Incapable de rivaliser, de résister à la tentation ! De réaliser tout ce que sa femme et ses enfants ont du subir comme humiliations, tout ce qu’ELLE a sacrifié en attendant sa réapparition !! Sans jamais, jamais penser à la trahison… dans le fond, de quoi Peter les plombs !! Je crois que la séparation aurait été la meilleure des solutions !
A ce jour, ils sont encore ensemble avec leur 4 enfants : ELLE n’en souhaitait pas autant ; maintenant ils ont de l’argent… même si ELLE continue à faire semblant, ELLE est tranquille : ELLE a un mari, des enfants et des amis ; malgré quelques soucis … normal ! Sans eux où est le sens de la vie ?
ELLE !
Si je sais autant de choses sur sa vie qui ne fut pas rose, et que je vous parle de cette manière, ouvert et sincère, c’est que cette femme seule…
C’est vrai que le destin ne m’a pas trop gâté, j’ai quand même tout pardonné, mais … je n’ai rien oublié.
Sujet: Il etait une fois Fati
mama j’ai un truc important à te dire … «
– oui 7biba je suis à toi tout de suite … Oui Malika ? je t’écoute ! qu’est ce qu’on était entrain de dire ? ah oui ! dik jelaba li kant labssa fati7a ghzaaaala !! je lui avait demandé …
– mama 3afak s’il te plait c’est très important !! tu rapellera tata malika plus tard s’il te plait si tu ne m’écoutes pas je pense que je vais aller me jetter par la fenêtre !!!
– wili smel allah 3lik a benti 7biba diali ? qu’est ce qui se passe ma chérie ? .. bellati a malika je te rappelle tout de suite !!
– je ne sais pas quoi faire … je suis perdue
– a benti gha t7em9ini ! qu’est ce qui se passe ? pourquoi tu pleures ? 3awtani dak Karim dialek ??! vous êtes toujours fachés ?
– non tsale7na … il m’a appelé et on est sorti hier soir …
– iwa labass ! iwa donc chnou wa9e3 ? yakma il t’as encore reproché quelque chose ?
– non non du tout ! au contraire il a été gentil hier et très doux avec moi …
– mmmm iwa chnou ? dabeztou 3awd ? … yakma il t’a encore frappé ?!!??! tu sais que je l’ai dit à babak la dernière fois et il allait vraiment l’appeller bach ysebnou !! mais pour qui il se prend ?! ana benti ma kayench li yhez 3liha idih meziane meziane !! si tu n’était pas amoureuse de lui et que tu tenais autant à lui kane babak tkoune 3andou m3ah hedra khra !
– c’est pas ça a mama … c’est pire …
– pire ? … Fati !? yakma vous avez rompu ? ça fait quand même 1 an que vous êtes ensemble : daba faut réflechir aux fillançailles : 3andak yezhe9 lik !!
– mama… JE SUIS ENCEINTE……
➡
c’est un scénario qui malheureusement se répète de + en + souvent dans notre société marocaine .. liberaliste dans son orientation mais musulmane dans son essence, notre société vit un déchirement interieur fruit de cette désorientation : on ne sait + ce qu’on veut !
nous sommes musulmans et fiers de l’être… mais on n’aime pas trop les restrictions et la vie » à la musulmane » ! on aime penser » ouvert » et vivre » à l’occidentale » … mais on n’en aime pas les conséquences !un amalgame de contrastes …. Bref ! pour lancer dardacha :
mettez vous dans cette situation … Vous êtes père ou mère d’une fille qui vient de tomber enceinte suite à une relation hors mariage. Que feriez vous ?
1 – Vous allez contraindre le père ( moul lfe3la 👿 ) à épouser votre fille ? ou au moins reconnaître l’enfant , faute de quoi il sera traduit en justice
2 – Vous allez adopter l’enfant
3 – Vous allez contraindre votre fille à avorter
4 -Vous allez chasser votre fille de la maison par honte
5 – Vous allez commettre un crime d’honneur
6 – autres…Vous pouvez developpez votre point de vue sur la question biensur,ne me répondez pas par un numéro !!!
Assalam alaykoum wa rahmatoullah wa barakatouh Bismillah Er Rahmane Er Rahime – Au début, la maison de Fatima qu’Allah l’agréée était un peu éloignée de celle du Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam. Il lui dit un jour : « Je voudrais que tu habites plus près de moi. »Fatima, qu’Allah l’agréée dit : La maison de Harita (qu’Allah l’agrée) est proche de la tienne. Si tu lui demandes de changer de maison contre la mienne, il acceptera volontiers. » Le Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam répondit : « Une fois déjà il a échangé sa maison à ma demande. Je suis gêné de lui demander une seconde fois. » Mais Harita fut mis au courant du désir du Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam, et immédiatement il vint chez lui et lui dit :« O Prophète d’Allah, j’ai appris que tu veux que Fatima(qu’Allah l’agréée) vienne habiter près de toi. Ma maison est à votre disposition. Aucune autre maison n’est plus près de la vôtre. Echangez laquelle vous voulez. Tous mes effets, et moi-même sont sacrifiés pour Allah ta’ala et Son Prophète. Par le serment d’Allah ta’ala, tous ceux que vous prendriez de moi me seront plus chers que ceux qui resteraient. Le Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam répondit : « Ce que tu dis est vrai. » Il fit une invocation de bénédiction en sa faveur et échangea les maisons. – Pendant la Bataille d’Ohoud, à un moment le Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam fut sévèrement attaqué par les ennemis et deux cercles du casque qu’il portait s’étaient incrustés dans son crâne. Abou Bakr et Abou Oubaidah (qu’Allah les agrée) se précipitèrent à son secours. Abou Oubaidah (qu’Allah l’agrée) commença à tirer sur les cercles avec ses dents. Quand le cercle fut rompu, il avait déjà perdu une dent. Sans se soucier de cela, il commença à enlever l’autre cercle de la même manière. Il réussit à rompre le deuxième cercle mais il se brisa une seconde dent. – Quelqu’un demanda un jour à ‘Ali (qu’Allah l’agrée) : Comment était l’amour des Compagnons (qu’Allah les agrée) pour le Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam.Il répondit : « Par Allah ! Pour nous, le Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam était plus cher que nos richesses, nos enfants, nos mères. Sa compagnie était plus agréable que de l’eau fraîche pendant la sécheresse. » Il n’y a pas d’exagération dans les paroles de ‘Ali (qu’Allah l’agrée). En vérité, les Compagnons (qu’Allah les agrée), par la perfection de leur iman étaient arrivé au summum de l’amour du Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam. Il ne pouvait en être autrement en égard de ce qu’Allah ta’ala avait recommandé : « Dis: Si vos pères, vos enfants, vos frères, vos épouses, vos clans, les biens que vous gagnez, le négoce dont vous craignez le déclin et les demeures qui vous sont agréables, vous sont plus chers qu’Allah, Son messager et la lutte dans le sentier d’Allah, alors attendez qu’Allah fasse venir Son ordre. Et Allah ne guide pas les gens pervers. »(Sourate at-Tawbah, verset 24) Ce verset résonne comme un avertissement contre quoi que ce soit qui paraisse plus attrayant que l’amour d’Allah ta’ala et de Son prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam Puisse Allah ta’ala répandre sur les âmes des compagnons Ses plus grandes bénédictions pour les efforts qu’ils ont fait en acceptant l’Islam du Prophète salla Allahou ‘alayhi wa salam et en le transmettant à leurs successeurs.Amin. Extrait des Récits des Compagnons du Prophète par Shaykh al Hadith Mawlana Zakariyah Al Kandahlawi rahimahoullah
Source : http://aslama.com/forums/showthread.php?t=13063
En remerciant chalheureusement notre soeur « Bulma » .Puisse Allah l’imminer amin Wa salamou alaykoum wa rahmatoullah wa barakatouh_________________________________